AUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS

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1 Nice la Plaine 1 - Bt A3 RN Iscles des Arboras NICE Téléphone : Télécopie : Réf. client : NCA : /07 FT/FT MAIRIE DE NICE Direction des Bâtiments Communaux Service Sports et Culture Division Culture 59, rue Beaumont NICE CEDEX 4 Rapport N SGO /1/1 Mission : Audit plancher A l'attention de Monsieur André DOMINICI Copie : / Rapport établi par : Frédéric TRUNTSCHKA Nice, le mercredi 26 septembre 2007 AUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS ŒUVRE DE LA FOURMI 2, PLACE WILSON 3, RUE FONCET NICE (Indice 2) Ce rapport comporte 49 pages dont 1 page de garde Le Chargé d affaire Frédéric TRUNTSCHKA Siège social : 17 bis, place des Reflets - La Défense COURBEVOIE Société Anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de Euros - RCS Nanterre B

2 SOMMAIRE 1. OBJET DESCRIPTION SOMMAIRE DE L OUVRAGE ET DE LA STRUCTURE DOCUMENTS REMIS REPERAGE DE ZONES ET FILES DE PLANCHERS SUR SOUS-SOL PLANCHER BOIS ZONE 1 DE L AIRE D ACCUEIL ET TRI PLANCHERS BOIS ZONE 2 DU LOCAL POUBELLE ET DE LA SALLE DE DECOUPE PLANCHER BOIS AVEC CHAPE ZONE 3 DU LOCAL BUREAU 1 ET CUISINE PLANCHER BOIS AVEC DALLE BETON ZONE 4 DU LOCAL SALLE DE COUTURE PLANCHER BOIS AVEC CHAPE ZONE 5 DU LOCAL BUREAU 3 ET SALLE DE TRAVAIL PLANCHER BOIS AVEC CHAPE ZONE 6 DU LOCAL BUREAU REPERAGE DE ZONES DE PLAFONDS SUR RDC PLAFOND ZONE 7 SUR TRI ACCEUIL / LOCAL POUBELLE / SALLE DE DECOUPE PLAFOND ZONE 8 SUR SALLE DE COUTURE PLAFOND ZONE 9 SUR SANITAIRES / BUREAU / CUISINE / CIRCULATION PLAFOND ZONE 10 SUR BUREAU / SALLE DE TRAVAIL SONDAGES REALISES DIVERS CONCLUSIONS ANNEXE PHOTOGRAPHIQUES VUE GENERALE DE L ETABLISSEMENT PLACE WILSON VUE GENERALE DE L ETABLISSEMENT RUE FONCET POTEAU METALLIQUE FILE 1/B DE LA ZONE POTEAU METALLIQUE FILE 1/B DE LA ZONE SUPPORT DE TRAPPE ZONE 1 DE PLANCHER CONSTITUTION TRAPPE ZONE 1 DE PLANCHER SCELLEMENT CORNIERE SUPPORT DE TRAPPE DE LA ZONE 1 DE PLANCHER SOLIVE PORTEUSE ET PLANCHE DE LA ZONE 1 EN LIMITE DE LA ZONE BETON SOUS SANITAIRES SOLIVE PORTEUSE DE LE LA ZONE 1 DE PLANCHER RECOUPEMENT CENTRAL DU PLANCHER DE LA ZONE PROFILE SUR APPUI DE RIVE DE PLANCHER DE LA ZONE PLANCHE DE 27 MM SUR ZONE 3 DE PLANCHER SOLIVE DISCONTINUE SUR ZONE 3 DE PLANCHER AVEC RABOUTTAGE BIAIS GRAVATS DANS FAUX PLAFOND DE LA ZONE 3 DE PLANCHER GRAVATS DANS FAUX PLAFOND DE LA ZONE 3 DE PLANCHER PROFIL METALLIQUE I A PLAT ENTAILLANT LA SOLIVE DE LA ZONE SOLIVE SUR POTEAU DE LA ZONE 3 DE PLANCHER SOLIVES DE LA ZONE 4 DE PLANCHER EN COULOIR DES CAVES POUTRE COFFREE SUR LA ZONE 4 DE PLANCHER AVEC COULURE DE LAITANCE EN COULOIR DES CAVES FILE POUTRE COFFREE ENTRE 2 SOLIVES DE LA ZONE 4 AVEC COULURE DE LAITANCE DE PLANCHER COULOIR DES CAVES FILES 10 ET EPAISSEUR DU MUR DE COULOIR DES CAVES DE LA ZONE 4 ET 5 DE PLANCHER VUE GENERALE DU COULOIR DES CAVES ZONES 4 ET 5 DE PLANCHER page 2/49

3 23. VUE GENERALE DU COULOIR DES CAVES DE LA ZONE 4 ET 5 DE PLANCHER VUE DU PLANCHER ZONE 6 DANS COULOIR CAVES VUE DU PLANCHER ZONE 6 DANS COULOIR CAVES VUE DU PLANCHER ZONE 6 DANS LA CAVE AU TRAVERS DE LA GRILLE D AERATION GRAVATS DANS LES JOINTS DE PLANCHES DE LA ZONE 6 AVEC POLYANE SUR PLANCHES PLANCHES DE 27 MM SUR ZONE APPUI DES SOLIVES SUR SOUPIRAIL SUR PLACE WILSON DE LA ZONE APPUI DES SOLIVES SUR SOUPIRAIL SUR PLACE WILSON DE LA ZONE VUE DU SOL SUR PLANCHER DE LA ZONE VUE DU SOL SUR PLANCHER DE LA ZONE VUE DU SOL SUR COULOIR DEVANT SALLE DE COUTURE SUR ZONE 3 AVEC LE DENIVELLE SUR LA SALLE DE COUTURE DE LA ZONE PASSAGE SUR PLANCHER ENTRE ZONE 1 (NON REFAITE) ET ZONE 2 (SUR CHAPE NEUVE) VUE DE LA DALLE BETON SOUS LE SANITAIRE CONTRE LE BUREAU DALLE BETON SOUS SANITAIRE A -7,5 CM AU-DESSUS ARASE SOLIVE ZONE AVEC TOMETTES NEUVES SUR LE SEUL SANITAIRE SUR LA DALLE BETON DE LA ZONE VUE DE LA CHAPE DANS LA CUISINE SUR LE PLANCHER DE LA ZONE VUE ENTRE COULOIR ET BUREAU 2 SUR LA ZONE 6 DE PLANCHER VUE DU SOL SUR PLANCHER ZONE 5 DEVANT LA SALLE DE TRAVAIL VUE DU SOL SUR ZONE 5 DANS LA SALLE DE TRAVAIL PLAFOND ACCUEIL ZONE PLAFOND LOCAL POUBELLE ZONE PLAFOND LOCAL DECOUPE ZONE PLAFOND SALLE DE COUTURE ZONE PLAFOND SUR COULOIR ZONE PLAFOND EN CUISINE ZONE PLAFOND EN CUISINE DETAIL ZONE PLAFOND SALLE DE TRAVAIL ZONE VUE PORTE SUR ENTREE COTE IMMEUBLE VUE PORTE SUR ENTREE COTE IMMEUBLE MARCHE DE 12 CM COTE BUREAU SONDAGE CUISINE VUE GENERALE SONDAGE CUISINE MAILLE CARRE DU TREILLIS SOUDE SONDAGE CUISINE EPAISSEUR DE CHAPE SONDAGE CUISINE EPAISSEUR DE CHAPE SONDAGE ATELIER VUE GENERALE sondage atelier epaisseur de la dalle beton ARMATURE ATELIER PERPENDICULAIRE PLACE WILSON ECARTEMENT ARMATURE ATELIER PARALLELE PLACE WILSON ECARTEMENT ARMATURE ATELIER PERPENDICULAIRE PLACE WILSON DIAMETRE ARMATURE ATELIER PARALLELE A LA PLACE WILSON DIAMETRE page 3/49

4 1. OBJET A la demande de la Mairie de Nice représenté par Monsieur André DOMINICI, le BUREAU VERITAS s est rendu sur le site de l association «Œuvre de la fourmi» sis à Nice 2, place Wilson / 3, rue Foncet dans le but de réaliser un audit de solidité des structures de planchers existants. L objectif de la mission est de donner un avis sur la capacité portante des planchers support de l exploitation, de leur solidité à froid et de définir le degré coupe feu actuel en comparaison de celui à atteindre. Sur ce dernier point, les planchers hauts de l exploitation seront aussi inspectés Notre première investigation a été basée sur des constations visuelles sans démontage ni sondage des parties normalement accessibles de l établissement lors de nos visites le vendredi 08 juin 2007, le mardi 12 juin 2007 et le lundi 18 juin Suite au rapport à l indice 1, des sondages ont été réalisés afin d affiner les conclusions. 2. DESCRIPTION SOMMAIRE DE L OUVRAGE ET DE LA STRUCTURE L établissement est implanté au RDC et au sous-sol d un immeuble d habitation ancien au 2 place Wilson à Nice dont la date de construction est estimée au alentour de Il n occupe pas l intégralité du RDC et du sous-sol. La distribution des locaux est la suivante : SOUS-SOL : - Stockage des habits - Chaufferie gaz RDC : - Réception accueil avec salle de tri - Local poubelles - Salle de découpe - Salle de repassage - Bureau 1 - Bureau 2 - Bureau 3 - Cuisine - Salle de travail - Sanitaires La construction est du type traditionnelle avec : - Mur en maçonnerie de pierre avec localement des murs ajoutés en aggloméré de béton creux de Plancher en bois avec solives en bois massif et planches rainurées bouvetée avec localement des zones avec chape ou dalle béton 3. DOCUMENTS REMIS Intitulé et références des documents N et indice Date du document Date du document PLAN DE DEMOLITION SOUS-SOL // PLAN DE DEMOLITION RDC // PLAN DE PROJET SOUS-SOL // PLAN DE PROJET RDC // page 4/49

5 4. REPERAGE DE ZONES ET FILES DE PLANCHERS SUR SOUS-SOL ZONE 5 ZONE 6 ZONE 3 ZONE 4 ZONE 1 ZONE page 5/49

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7 5. PLANCHER BOIS ZONE 1 DE L AIRE D ACCUEIL ET TRI Le plancher de la zone 1 est entièrement en bois avec seulement un revêtement plastique en surface posé sur un panneau de bois compressé complémentaire estimé à 16 mm. Il est situé au droit de la zone Réception accueil tri. Dans cette zone, il était constitué de solives en bois de section 16 à 18 cm de haut et de 10 cm de large avec une portée de 6,10 m environ et un espacement de 0,55m environ. Il était surmonté par un platelage en planche rainurées bouvetées de 27mm d épaisseur et de 85mm de large (Photos n 8, 9, 31 et 34) A l origine, ce plancher était dimensionné, compte-tenu des portées pour une surcharge d environ 100 dan/m² sans critère de flèche puisque une telle portée conduirait à environ 35 mm de flèche. Par la suite, ce plancher a été renforcé par la mise en place d un mur porteur central en agglo sur la file C avec au droit des passages des profilés métalliques constitués entre les files 0 et 9 de profils en I jumelés divisant ainsi par 2 sa portée et entre files 14 et 17 de double U. Pour permettre la mise en place des profilés métalliques, une entaille a été réalisé en sous face des solives bois qui sont continues. Par ailleurs, la trémie d escalier a aussi été créée après par réalisation d un mur en bord de trémie sur lequel repose les solives bois qui ont été raccourcies sur la file E. Pour l activité exercée, l application de la norme NF P conduit à retenir selon notre analyse 400 dan/m² sur la zone d accueil avec comptoir (350 dan/m² dans le projet où il y aura salle de tri et poubelles) et 350 dan/m² sur la zone de stockage. Par ailleurs, un critère de poinçonnement de 200 dan sur un cercle de 25 mm de diamètre est requis suivant cette dernière norme (pied de mobilier par exemple). Pour une portée de 3,05m actuelle, les solives porteuses et le platelage permettent de tenir une surcharge d exploitation maximale de 250 dan/m² en répartie. Par contre le platelage lui est incapable d encaisser la contrainte de poinçonnement de 200 dan sur 25 mm de diamètre qui pour l instant n est pas réalisée sur le site mais qui pourrait ce produire. Bien que la présence du panneau compressé de 16mm par-dessus améliore la situation, son état de dégradation ne permet pas de résoudre ce problème. D autre part, les profilés métalliques en double IPN de 100 de 4,20 de portée à mi-portée des solives donnent avec 250 dan/m² une contrainte de l ordre de 40 dan/mm² très supérieure au 24 dan/mm². Pour respecter la contrainte et le critère de flèche, la surcharge de 100 dan/m² ne peut pas être dépassée. Il est à noter que les poteaux ponctuels en 10x10x4 métallique (Photos n 3 et 4) n ont pas dans cette zone de rôle structurel particulier. Par ailleurs, il est à noter la présence d une trappe de passage (Photos n 5, 6 et 7) dont la constitution ne permet pas à notre sens de dépasser les 100 dan/m² (Sur file D). On peut noter sur les photographies une couleur blanchâtre du plancher bois. Ceci résulte du fait qu ils ont été peints. Néanmoins, la dégradation de la peinture montre que les planchers ont été souvent soumis à une présence d humidité ce qui généralement n améliore pas la rigidité du plancher et donne des déformations excessives. A ce stade, les solives actuelles hors zone trappe permettent de reprendre une surcharge de 250 dan/m² mais le renfort métallique central ne peut pas aller au-delà de 100 dan/m² et le critère de poinçonnement des planches n est pas respecté. Ceci est très inférieur aux surcharges réglementaires à respecter sur cette zone. Par ailleurs et compte-tenu des profils métalliques, la stabilité au feu est quasi nulle. Compte tenu de l accessibilité totale de ce plancher par-dessus et par-dessous, il semble tout indiquer de mettre en œuvre un remplacement de ce dernier afin d atteindre la surcharge réglementaire de la NF P et d assurer le traitement CF 1h. Sur cette zone, on trouve aussi localement une zone en béton sur une demi-travée à la place de 2 solives entre files A et C et au-delà de la file 17 (Photos n 8, 35, 36 et 37). Cette zone est implantée sous un seul des sanitaires de l étage ou les tomettes sont neuves au sol. Compte tenu de la hauteur du plancher d environ 20 cm et du fait que l arase basse du plancher soit à -7,5 cm par rapport à la solive conduit à un plancher de 13 cm environ en béton armé. Compte-tenu des portées et que la zone est à 250 dan/m², il n y a pas, à notre sens pour cet élément de problème. Néanmoins, dans la réfection globale du plancher cette zone sera à remplacer de par sa position géométrique page 7/49

8 6. PLANCHERS BOIS ZONE 2 DU LOCAL POUBELLE ET DE LA SALLE DE DECOUPE Le plancher de la zone 2 est entièrement en bois avec seulement un revêtement plastique en surface posé sur un panneau de bois compressé estimé à 16 mm. Il est situé au droit de la zone local poubelles et salle de découpe. Dans cette zone, il était constitué de solives en bois de section 18 à 20 cm de haut et de 9 cm de large avec une portée de 6,10 m environ et un espacement de 0,52m environ. Il était surmonté par un platelage en planches rainurées bouvetées de 27mm d épaisseur et de 85mm de large (Photos n 10, 11, 32 et 34) A l origine, ce plancher était dimensionné, compte-tenu des portées pour une surcharge d environ 100 dan/m² sans critère de flèche puisque une telle portée conduirait à environ 40 mm de flèche. Par la suite, ce plancher a été renforcé par la mise en place d un profilé métallique central constitué par 2 U jumelés divisant ainsi par 2 sa portée en file G ainsi que d un profilé de rive le long de la file H. Il s agit d UPN de 160 (Photos n 10 et 11). Pour l activité exercée, l application de la norme NF P conduit à retenir selon notre analyse 250 dan/m² sur le zone de circulation et la salle de découpe et 350 dan/m² sur le local poubelle (400 dan/m² dans le projet d aménagement en aire de réception et d accueil). Par ailleurs, un critère de poinçonnement de 200 dan sur un cercle de 25 mm de diamètre est requis suivant cette dernière norme (pied de mobilier par exemple). Pour une portée de 3,05m actuelle, les solives porteuses et le platelage permettent de tenir une surcharge d exploitation maximale de 250 dan/m² en répartie. Par contre le platelage lui est incapable d encaisser la contrainte de poinçonnement de 200 dan sur 25 mm de diamètre qui pour l instant n est pas réalisée sur le site mais qui pourrait ce produire. Bien que la présence du panneau compressé de 16mm par-dessus améliore la situation, son état de dégradation ne permet pas de résoudre ce problème. D autre part, les profilés métalliques en double UPN de 160 de 5,20 de portée à mi-portée des solives donnent avec 250 dan/m² une contrainte de l ordre de 18 dan/mm² inférieure au 24 dan/mm² mais avec une flèche de 2,08 cm un peu excessive. Pour respecter le critère de flèche, la surcharge de 200 dan/m² ne peut pas être dépassée. On peut noter sur les photographies une couleur blanchâtre du plancher bois. Ceci résulte du fait qu ils ont été peints. Néanmoins, la dégradation de la peinture montre que les planchers ont été souvent soumis à une présence d humidité ce qui généralement n améliore pas la rigidité du plancher et donne des déformations excessives. A ce stade, les solives actuelles permettent de reprendre une surcharge de 250 dan/m² mais le renfort métallique central ne peut pas aller au-delà de 200 dan/m² et le critère de poinçonnement des planches n est pas respecté. Ceci est très inférieur aux surcharges réglementaires à respecter. Par ailleurs et compte-tenu des profils métalliques, la stabilité au feu est quasi nulle. Compte tenu de l accessibilité totale de ce plancher par-dessus et par-dessous, il semble tout indiquer de mettre en œuvre un remplacement de ce dernier afin d atteindre la surcharge réglementaire de la NF P et d assurer un traitement CF1h. 7. PLANCHER BOIS AVEC CHAPE ZONE 3 DU LOCAL BUREAU 1 ET CUISINE Le plancher de la zone 3 est en bois avec une chape et un revêtement en carrelage (couloir et cuisine), en tomette (sanitaires) et en moquette sur le bureau (Photos n 33 et 38) Il est clair que la chape a été refaite dans la zone carrelée (hors zone tomette) compte-tenu que l on voit très clairement un polyane sur les planches de bois et que les anciens gravats de démolition coincés entre les planches sont retombés avec le rétrécissement des planches sur les dalles de faux plafonds. Ces derniers sont à éliminer immédiatement afin d éviter la chute d une plaque de faux plafond et des gravats associés (Photos n 14 et 15). Par contre, la chape n a pas été refaite dans les zones avec les anciennes tomettes d époque et avec la moquette. Pour les anciennes tomettes c est évident. Pour la moquette, sous le réagréage de sol, la trace des anciennes tomettes est visible page 8/49

9 La zone 3 se divise donc en 2 zones la 3.1 concernant les chapes neuves dans le couloir et la cuisine et le 3.2 dans le bureau et les sanitaires d époque. Pour les 2 zones le plancher bois était constitué de solives en bois de section 18 à 20 cm de haut et de 10 cm de large avec une portée de 5,90 m environ et un espacement de 0,50m environ. Il était surmonté par un platelage en planche rainurées bouvetées de 27mm d épaisseur (Photo n 12) et de 85mm de large avec une chape initiale probablement de l ordre de 6 cm avec revêtement. A l origine, ce plancher était dimensionné, compte-tenu des portées pour une surcharge d environ 100 dan/m² sans critère de flèche puisque une telle portée conduirait à environ 60 mm de flèche. Néanmoins, sur la file 1 à côté de la file E, on trouve une solive interrompue (Photo n 13) à proximité du mur en aggloméré de 20 et dont la continuité est assurée par une coupe à 45 entre les 2 parties de pannes. Il devait y avoir à l époque une particularité d aménagement à cet endroit. Compte-tenu de la présence du mur en aggloméré de la chaufferie, cette particularité ne pose pas de problème. Par la suite, ce plancher a été renforcé par la mise en place d un mur en aggloméré de 20 au droit de la chaufferie ramenant ainsi la portée à 4,10 m environ Pour l activité exercée, l application de la norme NF P conduit à retenir selon notre analyse 250 dan/m² sur cette zone. Par ailleurs, un critère de poinçonnement de 200 dan sur un cercle de 25 mm de diamètre est requis suivant cette dernière norme (pied de mobilier par exemple). Le sondage réalisé dans le sol de la cuisine montre sur la zone 3.1 qu une nouvelle chape en micro-béton (petits granulats) a été réalisée avec un ferraillage (Photo n 53). Cette chape est de 6 à 7cm (Photo n 55 et photo n 56) d épaisseur avec un ferraillage constitué d un treillis soudé à la maille 160x160 (photo n 54) avec un diamètre 5. L enrobage de l armature est quasi-nul. Compte-tenu de la nature de la chape et du ferraillage, il ne s agit pas d une dalle béton sur fond de coffrage réalisé par le plancher bois. Le seul but de cette chape est d apporté une certaine rigidité d ensemble vis-à-vis de charge localisée. Ceci permet notamment de s affranchir des problèmes de poinçonnement. Néanmoins dès lors que l on raisonne sur une charge d exploitation répartie sur l ensemble de la zone c est la limitation imposée par le plancher bois qui est à prendre en compte en tant que porteur structurel. Pour une portée de 4,10m actuelle, les solives porteuses, le platelage et le revêtement en chape permettent de tenir une surcharge d exploitation de 250 dan/m² en répartie mais sans respect du critère de flèche. Le respect de la flèche revient à limiter la surcharge à 150 dan/m² Le mur qui réduit la portée à 4,10m, s arrête et les files 9, 10, 11, 12 ne sont pas renforcées. La file 9 a un poteau a mi-porté qui permet d assurer le report de charge. La file 10 en a un aussi mais il est trop proche du mur pour avoir un effet significatif (Photo n 17). Les files 11 et 12 ont une portée moins longue mais les conclusions restes équivalentes. Par ailleurs, il est à noter la présence d une entaille dans les solives pour le passage d un profilé en I à plat au droit des files 8 et 9 proche de la ligne D (Photo n 16). Ceci affaiblie les solives mais il est cependant placé dans la zone comprimé du bois, a priori sans jeu, permettant ainsi le passage des efforts de compression liés à la flexion. Il est à noter que les poutres au-dessus de la chaufferie n ont pu être visualisées compte-tenu de la présence d un plafond non démontable en projection plâtre. Les positions et sections ont été extrapolées à partir des mesures du couloir. On peut noter sur les photographies une couleur blanchâtre du plancher bois. Ceci résulte du fait qu ils ont été peints. Néanmoins, la dégradation de la peinture montre que les planchers ont été souvent soumis à une présence d humidité ce qui généralement n améliore pas la rigidité du plancher et donne des déformations excessives. A ce stade avec une chape existante (tomette et moquette) et une chape neuve avec armature (carrelage couloir et cuisine) de 6cm, la limitation provient du plancher bois. Les solives actuelles permettent de reprendre une surcharge de 150 dan/m² (250 dan/m² sans respect du critère de flèche) sur la zone de la chaufferie et de 100 dan/m² sur la zone la zone au-delà. Ceci est inférieur aux surcharges réglementaires à respecter. Le degré coupe feu du plancher est estimé à ¼ heure sauf au-dessus de la chaufferie ou une projection plâtre a été réalisée pour au moins une protection coupe feu de degré 1h. Le critère non respecté pour cette zone concerne celui de la déformation avec la surcharge de 250 dan/m². L examen des revêtements du dessus montre que le carrelage n a subi de désordre que dans la cuisine qui est placée au-dessus de la zone sans le mur en agglo de la chaufferie. Bien que le critère de flèche uniquement ne soit pas respecté, on peut à notre avis assurer un recoupement par profilés métalliques entre la chaufferie et le mur du fond (dont l épaisseur sera à vérifier pour l ancrage) et un remplacement des anciennes chapes (bureau avec moquette et sanitaire) avec une nouvelle chape page 9/49

10 armée. Ceci permettra d avoir une rigidité sensiblement équivalente sur la zone. Ce plancher devra aussi faire l objet d un renfort au droit des solives entaillées. Un traitement coupe feu de dégré 1h sera ensuite nécessaire. Ceci impose des renforcements structuraux à partir des caves. Afin de les éviter et ne conserver en cave que la prestation de protection au feu, on pourra opter pour la mise en place de connecteurs métalliques sur les poutres et la réalisation d une dalle en béton armé par-dessus (plancher mixte connecté). 8. PLANCHER BOIS AVEC DALLE BETON ZONE 4 DU LOCAL SALLE DE COUTURE Le plancher de la zone 4 est en bois avec probablement une dalle béton réalisée par dessus. Il est clair que le revêtement dessus a été refait dans son épaisseur totale compte-tenu que l on voit très clairement un polyane entre les jeux des planches de bois (Photos n 18, 19, 20, 22 et 23). Le niveau fini de cette zone est environ 7 à 9 cm au-dessus des autres zones. Compte-tenu de cette configuration, il est fort probable que ce soit une dalle béton qui ait été coulée sur le plancher bois qui avait été mis à nu comme coffrage avec un polyane d interposition. Avec l épaisseur de chape ailleurs, associé au 7 à 9 cm de dépassement, ceci conduirait à une dalle béton de 15 cm environ. Ces hypothèses n ont pas été confirmées par le sondage réalisée. Il s agit bien d une dalle béton mais d épaisseur plus modeste. Il y avait donc des différences altimétriques des divers planchers. L épaisseur de béton est d environ 9 cm. Soit une charge morte de l ordre de 225 dan/m². Cette dalle à était coulée sur le fond de coffrage formé par le plancher bois. Le mur séparatif du couloir avec les caves bien que non prévu porteur mesure 30 cm d épaisseur (Photo n 21) et a servi d étai linéaire donnant ainsi une portée maxi de 4,30m avec des solives de 22x9 tous les 50cm. Ce coffrage en charge de courte durée permet de prendre les 225 dan/m². Il est à noter quelques points singuliers comme la présence d une poutre sur la file 5 et entre les files 10 et 11. Celle sur la file 5 (Photo n 19) semble avoir été réalisé pour remplacer une poutre bois dans son rôle de coffrage (coulage de première phase). Celle entre file 10 et 11 entre 2 solives (Photo n 20) ne correspond ni au milieu de la pièce ni a sa fin. Elle n a pas d explication pratique sauf a montrer que le 1 er panneau de dalle formée est sensiblement carré et qu une suite à cette dalle était envisagée par panneau sensiblement carrée. Il est à noter qu en fin de dalle, il n y a pas de poutre. POUTRE BETON Cette dalle de 9 cm (Photo n 58) est armé avec des armatures en HA10 e=15 (Photos n 60 et 62) parallèlement à la façade sur place Wilson et du HA8 e=20 (Photos n 59 et 61) dans l autre sens avec un enrobage de 1,5cm. Il n a pas été vu de connexion entre la dalle béton et les poutres bois alors que la largeur du sondage intercepte au moins 2 solives. Un tube métallique a été vu mais, il ne correspond pas au système connu généralement sous avis technique relatif à la connexion bois / béton. Il est donc surprenant de noter que les armatures les plus importantes ne sont pas positionnées dans le sens a priori porteur de façade à refend central. Vraisemblablement ce plancher est, malgré le ferraillage, porteur dans le sens façade refend et utilise le bénéfice du mur de 30 cm longeant les caves. La portée est donc de 4,30m page 10/49

11 Pour l activité exercée, l application de la norme NF P conduit à retenir selon notre analyse 250 dan/m² sur cette zone. Par ailleurs, un critère de poinçonnement de 200 dan sur un cercle de 25 mm de diamètre est requis suivant cette dernière norme (pied de mobilier par exemple). Le ferraillage en place sans connexion au bois ne permet pas de justifier la tenue de la dalle qu avec le béton avec abstraction du plancher bois. Si on utilise le plancher bois avec 4,30m de portée et une chape de 9cm, les solives porteuses, le platelage et le revêtement en chape permettent de tenir une surcharge d exploitation de 250 dan/m² en répartie mais sans respect du critère de flèche. Le respect de la flèche revient à limiter la surcharge à 150 dan/m². Néanmoins, ce critère de flèche est important pour les matériaux fragiles sur dalle et l inconfort. Il est clair que la dalle de 9cm à conféré une rigidité d ensemble qui permet à notre sens d admettre un bon comportement de la dalle pour une surcharge de 250 dan/m². A ce stade avec une dalle béton sur plancher bois de 9cm de la zone 4, la surcharge de 250 dan/m² est atteinte. Le degré coupe feu du plancher est estimé à ¼ heure. On pourra opter pour la mise en place de connecteurs métalliques sur les poutres et la réalisation d une dalle en béton armé par-dessus (plancher mixte connecté) dans le cas où la solution retenue sur les autres zones est celle-ci afin d avoir une homogénéité structurelle continue sur la zone de cave. 9. PLANCHER BOIS AVEC CHAPE ZONE 5 DU LOCAL BUREAU 3 ET SALLE DE TRAVAIL Le plancher de la zone 5 est en bois avec probablement une chape avec un revêtement en sol souple. Une partie de cette zone est totalement inaccessible dans les caves privatives et un relevé partiel des sections a été fait et extrapolé (Photos n 40 et 41) Il est clair que la chape au-dessus sur les zones visibles (couloir cave) a été refaite compte-tenu que l on voit très clairement un polyane sur les planches de bois. Dans cette zone, le plancher était constitué de solives en bois de section 20 à 22 cm de haut et de 9 cm de large avec une portée de 5,90 m environ et un espacement de 0,50m environ. Il était surmonté par un platelage en planche rainurées bouvetées de 27mm d épaisseur et de 85mm de large avec une chape initiale de probablement de l ordre de 6 cm avec revêtement. A l origine, ce plancher était dimensionné, compte-tenu des portées pour une surcharge d environ 100 dan/m² sans critère de flèche puisque une telle portée conduirait à environ 35 mm de flèche. Il est à noter qu il existe sur une partie un mur de 30 cm d épaisseur longeant les caves qui bien que non prévu porteur apporte une certaine rigidité au plancher. Il n est cependant pas certain que ce mur continu dans l intégralité de la zone 5. Pour l activité exercée, l application de la norme NF P conduit à retenir selon notre analyse 250 dan/m² sur cette zone. Par ailleurs, un critère de poinçonnement de 200 dan sur un cercle de 25 mm de diamètre est requis suivant cette dernière norme (pied de mobilier par exemple). Pour une portée de 5,90m actuelle, les solives porteuses, le platelage et le revêtement en chape supposé permettent de tenir une surcharge d exploitation de 100 dan/m² en répartie mais sans respect du critère de flèche. Le respect de la flèche revient à limiter la surcharge à 50 dan/m² environ. A ce stade et avec les hypothèses d une chape de 6cm, les solives actuelles permettent de reprendre une surcharge de 100 dan/m² sans critère de flèche et de 50 dan/m² avec respect d une condition de flèche. Ceci est très inférieur aux surcharges réglementaires à respecter. Une solution pourrait consister à refaire un plancher béton par-dessus en utilisant le plancher comme coffrage mais ceci nécessiterait des étais en sous-sol car le mur de 30 longeant les caves n est pas forcement existant en bout de zone 5. Par ailleurs ceci conduira à avoir des pentes complémentaires dans l établissement et à augmenter la hauteur de l entrée Place Wilson actuellement à 12 cm. Un recoupement de portée des solives est possible et serait équivalente à la zone 3. Ce recoupement compte-tenu de la longueur de la zone 5 devrait être repris par des porteurs verticaux intermédiaire dont l existence sera à vérifier dans les page 11/49

12 caves. Un traitement coupe feu de degré 1 heure serait à réaliser et notamment au droit des soupirails. Par ailleurs, sur un soupirail files 18, 19, le bois de reprise des solives semble abimé et devra être vérifié (non accessible dans la cave) et renforcé ou remplacé (Photo n 29 et 30). Ceci impose des renforcements structuraux à partir des caves. Afin de les éviter et ne conserver en cave que la prestation de protection au feu, on pourra opter pour la mise en place de connecteurs métalliques sur les poutres et la réalisation d une dalle en béton armé par-dessus (plancher mixte connecté). 10. PLANCHER BOIS AVEC CHAPE ZONE 6 DU LOCAL BUREAU 2 Le plancher de la zone 6 est en bois avec une chape avec un revêtement en sol soupe et carrelage (Photos n 24, 25, 26, 27, 28 et 39). Une partie de cette zone est totalement inaccessible dans les caves privatives et un relevé partiel des sections a été fait et extrapolé Il est clair que la chape dessus a été refaite sur la zone visible correspondant au couloir en carrelage compte-tenu que l on voit très clairement un polyane sur les planches de bois (photos n 27 et 28). Dans cette zone, il était constitué de solives en bois de section 20 cm de haut et de 9,5 cm de large avec une portée de 6,00 m environ et un espacement de 0,50m environ. Il était surmonté par un platelage en planche rainurées bouvetées de 27mm d épaisseur et de 85mm de large avec une chape initiale de probablement de l ordre de 6 cm avec revêtement. A l origine, ce plancher était dimensionné, compte-tenu des portées pour une surcharge d environ 100 dan/m² sans critère de flèche puisque une telle portée conduirait à environ 35 mm de flèche. Pour l activité exercée, l application de la norme NF P conduit à retenir selon notre analyse 250 dan/m² sur cette zone. Par ailleurs, un critère de poinçonnement de 200 dan sur un cercle de 25 mm de diamètre est requis suivant cette dernière norme (pied de mobilier par exemple). Pour une portée de 6,00m actuelle, les solives porteuses, le platelage et le revêtement en chape et carrelage supposé permettent de tenir une surcharge d exploitation de 100 dan/m² en répartie mais sans respect du critère de flèche. Le respect de la flèche revient à limiter la surcharge à 50 dan/m² environ. A ce stade et avec les hypothèses une chape de 6cm avec revêtement, les solives actuelles permettent de reprendre une surcharge de 100 dan/m² sans critère de flèche et de 50 dan/m² avec respect d une condition de flèche. Ceci est très inférieur aux surcharges réglementaires à respecter. Une solution pourrait consister à refaire un plancher béton par-dessus en utilisant le plancher comme coffrage mais ceci nécessiterait des étais en sous-sol car le mur de 30 longeant les caves ne semble pas existant sur la zone 6. Par ailleurs ceci conduira à avoir des pentes complémentaires dans l établissement suivant traitement des zones adjacentes. Un recoupement de portée des solives est possible et serait équivalente à la zone 3. Un traitement coupe feu de degré 1 heure serait à réaliser et notamment au droit des soupirails. Ceci impose des renforcements structuraux à partir des caves. Afin de les éviter et ne conserver en cave que la prestation de protection au feu, on pourra opter pour la mise en place de connecteurs métalliques sur les poutres et la réalisation d une dalle en béton armé par-dessus (plancher mixte connecté) page 12/49

13 11. REPERAGE DE ZONES DE PLAFONDS SUR RDC ZONE 10 ZONE 9 ZONE 8 ZONE page 13/49

14 12. PLAFOND ZONE 7 SUR TRI ACCEUIL / LOCAL POUBELLE / SALLE DE DECOUPE Ce plafond correspond aux construction d époque. Il s agit vraisemblablement d un lattis de canisses ou de lattes fixé sous les solives avec du plâtre (Photos n 42, 43 et 44) Ce plafond ne présente pas de désordre visuel particulier en dehors de petite fissuration et décollement de peinture. Dans ces conditions, on peut estimer pour la zone 7 l ensemble chape, plancher bois, lattis et plâtre coupe feu de degré 1/2h pour une exigence de 1 heure. Une protection complémentaire sera nécessaire. On pourra par exemple traiter ce plafond par flocage en respectant l ordre suivant : - Mise en place des suspentes pour le futur faux plafond de finition accrochées au solives porteuses - Mise en place d un métal déployer (ou autre système permettant l adhérence en fonction du produit retenu) - Réalisation du flocage - Mise en place du faux plafond Les canalisations électriques risquant d être prises dans le flocage devront être traitées comme une installation incorporée. 13. PLAFOND ZONE 8 SUR SALLE DE COUTURE Ce plafond correspond en typologie aux construction d époque. Néanmoins, il semble que ce dernier ait été rénové. Le détail de rénovation n est pas connu. Il peut aller de la simple reprise des plâtre à la remise en œuvre d un nouveau lattis avec plâtre (Photo n 45). Dans tous les cas, les propriétés vis-à-vis du feu sont peu affectées par ce type de travaux. Ce plafond ne présente pas de désordre visuel particulier. Dans ces conditions, on peut estimer pour la zone 8 l ensemble chape, plancher bois, lattis et plâtre coupe feu de degré 1/2h pour une exigence de 1 heure. Une protection complémentaire sera nécessaire. On pourra par exemple traiter ce plafond par flocage en respectant l ordre suivant : - Mise en place des suspentes pour le futur faux plafond de finition accrochées au solives porteuses - Mise en place d un métal déployer (ou autre système permettant l adhérence en fonction du produit retenu) - Réalisation du flocage - Mise en place du faux plafond Les canalisations électriques risquant d être prises dans le flocage devront être traitées comme une installation incorporée. 14. PLAFOND ZONE 9 SUR SANITAIRES / BUREAU / CUISINE / CIRCULATION Sur cette zone, il existe des faux plafonds en dalle 600x600 dont la hauteur de mise en œuvre n a pas permis leur ouverture avec les moyens d accès sur site. Néanmoins, la zone sanitaires, bureau, cuisine et circulation semble clairement être de la même typologie compte tenu de la géométrie des locaux. Sur cette zone, apparaît des formes de poutres avec des intervalles irréguliers. On voit par exemple une continuité de «poutre» entre cuisine et circulation dont l extrémité cuisine laisse passer le décor de rive et un tuyau (Photos n 46, 47 et 48). Un sondage permettra de mieux appréhender la nature de cette structure qui peut résulter de remaniement et renfort. Néanmoins, à ce stade d investigation, le plancher présente probablement la même composition et ne dépassera pas le coupe feu de degré ½ heure. Dans ces conditions, on peut estimer pour la zone 9 l ensemble chape, plancher bois, lattis et plâtre au maximum coupe feu de degré 1/2h pour une exigence de 1 heure. Une protection complémentaire sera nécessaire page 14/49

15 On pourra par exemple traiter ce plafond par flocage en respectant l ordre suivant : - Mise en place des suspentes pour le futur faux plafond de finition accrochées au solives porteuses - Mise en place d un métal déployer (ou autre système permettant l adhérence en fonction du produit retenu) - Réalisation du flocage - Mise en place du faux plafond Les canalisations électriques risquant d être prises dans le flocage devront être traitées comme une installation incorporée. 15. PLAFOND ZONE 10 SUR BUREAU / SALLE DE TRAVAIL Sur cette zone, il existe des faux plafonds en dalle 600x600 dont la hauteur de mise en œuvre n a pas permis leur ouverture avec les moyens d accès sur site. Néanmoins, la zone bureau et salle de travail semble être de la même typologie compte tenu de la géométrie des locaux. Ce plafond correspond aux construction d époque. Il s agit vraisemblablement d un lattis de canisses ou de lattes fixé sous les solives avec du plâtre (Photo n 49). Ce plafond ne présente pas de désordre visuel particulier en dehors de petite fissuration et décollement de peinture. Dans ces conditions, on peut estimer pour la zone 7 l ensemble chape, plancher bois, lattis et plâtre coupe feu de degré 1/2h pour une exigence de 1 heure. Une protection complémentaire sera nécessaire. On pourra par exemple traiter ce plafond par flocage en respectant l ordre suivant : - Mise en place des suspentes pour le futur faux plafond de finition accrochées au solives porteuses - Mise en place d un métal déployer (ou autre système permettant l adhérence en fonction du produit retenu) - Réalisation du flocage - Mise en place du faux plafond Les canalisations électriques risquant d être prises dans le flocage devront être traitées comme une installation incorporée. 16. SONDAGES REALISES Deux sondages ont été réalisés par la ville de Nice (Photos 53 à 62) dans l atelier et dans la cuisine. Cuisine Atelier page 15/49

16 18. DIVERS Il est à noter que l établissement n est pas isolé par une porte coupe feu de degré ½ h avec ferme porte (ou baie obturée en coupe feu de degré 1 heure). Ceci est visible sur les photos n 50 et 51. Il est à noter la présence de marche à l entrée de 12 cm côté place Wilson (photo n 52). 18. CONCLUSIONS ZONE CAPACITE PORTANTE COUPE FEU RENFORCEMENT PH SS Zone dan/m² pour 350 à 400 requis Nul pour 1 h requis Par remplacement du plancher Zone dan/m² pour 350 à 400 requis Nul pour 1 h requis Par remplacement du plancher Zone dan/m² (sans critère de flèche) sauf au-delà chaufferie avec 100 pour 250 requis ¼ h pour 1 h requis (1 h réalisé sur chaufferie) Renforcement par recoupement ou remplacement du plancher Zone dan/m² ¼ h pour 1 h requis Néant Zone dan/m² sans critère de flèche pour 250 requis ¼ h pour 1 h requis Renforcement par recoupement ou remplacement du plancher et traitement de renforcement solive sur soupirail Zone dan/m² sans critère de flèche pour 250 requis ¼ h pour 1 h requis PH RDC Zone 7 // CF ½ h pour 1 h requis Zone 8 // CF ½ h pour 1 h requis Zone 9 // CF ½ h pour 1 h requis Zone 10 // CF ½ h pour 1 h requis Renforcement par recoupement ou remplacement du plancher A l analyse précédente, on peut noter des différences altimétriques des niveaux finis de planchers. On note que la dalle béton de l atelier (Zone 4) est 7cm au-dessus de la zone d entrée en plancher bois (Zone 1 et zone 2) et 6cm au-dessus de la zone carrelée ou en sol plastique (Zone 5 et zone 6). Compte-tenu des épaisseurs de chape et du bois compressé sur l entrée, on peut en déduire les éléments suivants : En prenant en référence altimétrique le niveau actuel fini du plancher bois d entrée on obtient les altimétries suivantes : - La zone 1 et la zone 2 a son plancher bois d origine en planche a -0,02m. - La zone 4 avec chape de 9cm est à 7cm au-dessus de la zone 2 et a donc son plancher bois d origine a -0,02m. - La zone 5 et la zone 6 de 6 cm de chape et 0,5 cm de carrelage est à 6 cm au-dessous de la zone 4 et à donc son plancher à 2,5 cm sous celui de la zone 4 et a donc son plancher à -0,045m. Pour conserver un accès handicapé utilisable, le niveau fini de la zone 1 et 2 ne peut quasiment pas évoluer et le remplacement complet du plancher est dans ces conditions nécessaires (pas de recharge possible). Cette zone est accessible dessus et dessous. Pour les autres zones, les renforts structurels ou remplacement des planchers semblent difficiles avec la présence des caves. Une solution pourrait être l utilisation du plancher bois actuel avec mise en place de connecteurs métalliques sur les solives et réalisation d une dalle de béton armé. Ces procédés sont sur avis technique (type TECNARIA ou SYLVABAT ou REPPEL ). Chaque procédé a son mode de dimensionnement et doit faire l objet d une étude spécifique par un BET spécialisé. Par ailleurs, et afin d atteindre la stabilité au feu une protection en sous face sera nécessaire (Par exemple par flocage ou équivalent). Le dénivelé entre les zones d entrée 1 et 2 et le reste du local avec connexion sur bois existera toujours et devrait être sensiblement équivalent. Il devra être de 10% maxi sur 0,50cm afin de respecter la réglementation handicapée. // // // // page 16/49

17 ANNEXE PHOTOGRAPHIQUES page 17/49

18 1. VUE GENERALE DE L ETABLISSEMENT PLACE WILSON 2. VUE GENERALE DE L ETABLISSEMENT RUE FONCET page 18/49

19 3. POTEAU METALLIQUE FILE 1/B DE LA ZONE 1 4. POTEAU METALLIQUE FILE 1/B DE LA ZONE page 19/49

20 5. SUPPORT DE TRAPPE ZONE 1 DE PLANCHER 6. CONSTITUTION TRAPPE ZONE 1 DE PLANCHER page 20/49

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