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1 2 e Trimestre Aquitaine du Bâtiment de votre Centre de Gestion Agréé édito Face à la montée inquiétante du chômage et alors qu un quart des jeunes de à 2 ans est sans travail et/ou sans formation ni diplôme, l heure est à la mobilisation pour l'emploi et la formation professionnelle. Ainsi, pour enrayer la courbe du chômage, le gouvernement a lancé ces derniers mois des mesures d urgence en faveur de la compétitivité et de l'emploi, notamment en faveur des jeunes. Mais ces dispositifs, sources d emploi ou de maintien dans l emploi, sont encore trop méconnus par les entreprises du BTP, qui peinent pourtant à recruter dans un secteur fortement concurrentiel et à maintenir les compétences en interne. Aussi, et parce que ces mesures représentent des opportunités de développement et de pérennisation d'activité, votre centre de gestion a décidé de présenter dans ce nouveau numéro de l Observatoire du bâtiment trois outils majeurs de ce pacte national pour la croissance, et de détailler les aides publiques qui les accompagnent. A savoir : les emplois d'avenir qui s adressent aux jeunes en difficulté et qui viennent d être élargis au secteur privé, les contrats de génération qui valorisent la transmission des savoirs, et enfin le crédit d'emploi pour la compétitivité et l'emploi, qui permet aux entreprises de réaliser une économie d impôt. sommaire Emplois d avenir, contrats de génération : les armes anti-chômage Le contrat de génération : un trait d union Les emplois d avenir : une aide à l insertion P1 P1 P2 Statistiques métier par métier P3 à Les chiffres clés P Emplois d avenir, contrats de génération : les armes anti-chômage Le taux de chômage en France a atteint au premier trimestre un niveau inégalé depuis 1 (, selon l Insee) avec 3,2 millions de demandeurs d emploi sans activité. Plus encore, un jeune sur quatre entre et 2 ans est actuellement au chômage. Face à ces chiffres alarmants, le gouvernement s est lancé dans la bataille pour l emploi en mettant notamment en place deux outils majeurs pour favoriser l accès des jeunes au marché du travail et inverser ainsi la courbe du chômage d ici la fin de l année. Les emplois d avenir et de génération sont donc venus s ajouter aux dispositifs déjà existants que sont les contrats aidés, les contrats de professionnalisation et autres contrats d apprentissage. Les premiers, qui s inspirent des emplois jeunes de l ère Jospin, sont dédiés aux 1-2 ans sans diplôme ou peu qualifiés, et plus particulièrement issus des zones urbaines sensibles ou des zones rurales où le chômage des jeunes est supérieur à la moyenne. Les seconds valorisent quant à eux la transmission et l échange de savoir entre les générations via la mise en place d un duo de travail junior-senior. L objectif étant de stimuler l embauche des jeunes et d assurer une meilleure stabilité des seniors tout en faisant en sorte que l âge ne soit plus l un des principaux facteurs de discrimination à l embauche. Le contrat de génération : un trait d union En effet, aujourd hui, tandis que les seniors sont écartés des entreprises (le taux d emploi des - est de 3, en France contre 3, en Aquitaine), les jeunes constituent la variable d ajustement du marché du travail (le taux de chômage des jeunes est de 2, en France contre en Aquitaine). En France, l entrée sur le marché du travail est difficile pour les jeunes qui sont souvent amenés à cumuler les contrats précaires, explique Marc Gibaud, chef de projet Contrats de génération au sein de la Direccte (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l Emploi). Pourtant, d ici à, plus de millions d actifs seront à la retraite et millions de jeunes auront fait leur entrée sur le marché du travail. Pointant du doigt le manque de solidarité envers les jeunes et les seniors et le défaut de compétitivité, le chef de l État a donc décidé de mettre en place le contrat de génération. Ce dispositif a pour objectif d insérer durablement des jeunes et de maintenir dans l emploi des salariés de plus de ans. Au lieu d opposer les générations, ce dispositif les relie en appelant à un effort de transmission de compétences entre générations. Le contrat incite ainsi des chefs d entreprise qui comptent dans leurs équipes des baby boomers en fin de carrière et qui voient des jeunes de la génération Y frapper à leur porte, à tirer le meilleur parti de cette diversité et à découvrir les avantages d une collaboration renouvelée. Il faut que les managers comprennent bien l intérêt qu il y a à travailler là-dessus de manière à conserver au sein de l entreprise les compétences clés. Contrairement aux emplois d avenir ciblés sur les jeunes non qualifiés, ces contrats de génération concernent tous les jeunes. Le législateur n a pas souhaité faire de discrimination concernant le niveau de qualification. Il s adresse ainsi à tous les jeunes de moins de 2 ans, quel que soit leur niveau de formation, et aux seniors de ans et plus maintenus en emploi. Pour les personnes handicapées, le seuil d âge est rehaussé à moins de 30 ans pour l embauche d un jeune et abaissé à ans et plus pour le maintien à l emploi d un senior. En outre, si le dispositif n est pas accessible au secteur public, il s adresse à toutes les entreprises, les petites comme les grandes. Autre facteur important et souvent ignoré, le contrat

2 de génération peut permettre à un patron de transmettre son entreprise. La loi permet en effet au chef d entreprise qui aura lui même ans ou plus de recruter un jeune et d organiser s il le souhaite pendant trois ans la transmission de son entreprise. Le contrat de génération répond au triple objectif d améliorer l accès des jeunes à un emploi en CDI, de maintenir l emploi des seniors salariés et d assurer la transmission des savoirs, des compétences et de l expérience. Ces contrats sont gagnants pour tous. Pour le jeune qui fait son entrée sur le marché du travail, pour le senior qui peut assurer la continuité de ses savoirs et pour le dirigeant qui peut maintenir les compétences au sein de l entreprise, assure Marc Gibaud. Le dispositif part du principe que l accès des jeunes à l emploi durable ne doit pas correspondre au départ en pré-retraite ou à la retraite d un senior et pousse au contraire au rapprochement de ces deux générations. Il permet ainsi de lutter contre le chômage aux deux bouts de la chaîne des âges. Si l entreprise accepte ce double engagement, embaucher un jeune en CDI et le faire former par un salarié senior de plus de ans, alors elle bénéficiera de deux aides forfaitaires de l État de euros annuels, pendant trois ans soit 000 euros. Ces aides peuvent s ajouter aux allègements déjà existants pour les bas salaires, en deçà d 1, smic. Pour les entreprises de 1 à salariés, l aide est accessible directement. Pour celles de 0 à 2 salariés non couvertes par un accord de branche contrat de génération, l aide est conditionnée à la négociation d un accord collectif. Enfin, pour les entreprises de 300 salariés et plus, il n y a pas d aide mais obligation de négocier un accord collectif avec fixation d objectifs. A défaut, elles s exposent à des pénalités financières. Le dépôt de demande des aides se fait auprès de Pôle Emploi. Il est important de savoir que le contrat de génération couplé au CICE (lire ci-dessous) et aux différents allègements liés à l embauche composent un package qui allège de le coût du travail pour un jeune embauché au Smic. L objectif avancé est de contrats sur le quinquennat, dont dès cette année, pour un coût estimé entre 2 et 3 milliards par an. En Aquitaine, près de 300 demandes de contrats de génération ont été déposées au 21 juin par les entreprises et 33 contrats au niveau national. Mais depuis, nous notons une accélération avec 00 demandes enregistrées sur une seule semaine du mois de juin. Il est encore trop tôt donc pour tirer un premier bilan et savoir si les chefs d entreprise joueront le jeu. Mais quelques économistes craignent déjà que certains tirent avant tout parti des effets d aubaine fiscale du dispositif. Les emplois d avenir : une aide à l insertion Autre mesure phare de l exécutif, les emplois d avenir. Lancés en début d année, ils visent à répondre à l urgence de la situation des jeunes sans emploi ni qualification. Pour prétendre à un emploi d avenir, le jeune doit être âgé de 1 à 2 ans (jusqu à 30 ans pour un travailleur handicapé), et être peu ou pas diplômé. Sur le terrain, les missions locales et maisons de l emploi se mobilisent pour repérer et sélectionner les jeunes les plus éloignés de l emploi et à ce titre les plus visés par la mesure. Ces jeunes bénéficieront d un CDI ou d un CDD de 1 à 3 ans mais plus encore d une formation pour apprendre un métier. Il s agit pour eux de se constituer une première expérience professionnelle et une deuxième chance d acquérir une qualification. Ce contrat est censé attirer les jeunes mais surtout les entreprises. Car à l exception de l État et du particulier employeur, tous types d entreprises peuvent signer un emploi d avenir avec un jeune. Dans ce cadre, elles peuvent être aidées à du SMIC brut horaire par l État dans le secteur non-marchand (collectivités territoriales, associations ) et à pour le secteur privé. Des montants auxquels peuvent s ajouter des financements plus locaux (conseil régional, conseil général ) Reste que quelques mois après sa mise en place, l arsenal antichômage du gouvernement peine à décoller. S il est encore trop tôt pour dresser un bilan du contrat de génération lancé en mars dernier, les emplois d avenir, qui eux, ont terminé la phase de rodage, accusent un sérieux retard à l allumage. Seulement contrats ont été signés mi-juin sur le territoire national (3 en Aquitaine au 2 juin), un chiffre largement en deçà des embauches promises avant la fin de l année. Pour booster le dispositif, le chef de l État a donc décidé de l élargir à des filières du privé. Si ces mesures sont encore trop peu utilisées, elles semblent cependant monter en puissance à en croire les récents chiffres. Le temps que les potentiels recruteurs connaissent les avantages de ces dispositifs gouvernementaux et soient convaincus de la pertinence de ces emplois aidés. Les nombreuses opérations de promotion que nous avons menées au printemps commencent à porter leurs fruits en permettant notamment de faire tomber quelques idées reçues sur le dispositif, souligne Marc Gibaub. Le CICE : un avantage fiscal Autre levier d action instauré par le gouvernement, le Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (CICE) a été mis en place pour améliorer la compétitivité et l emploi des entreprises françaises, notamment à travers des efforts en matière d investissement de recherche, d innovation, de formation, de recrutement, de prospection de nouveaux marchés ou de transition écologique et énergétique. En vigueur depuis le 1 er janvier, ce nouveau dispositif s adresse aux entreprises imposées à l impôt sur le revenu ou l impôt sur les sociétés, relevant d un régime réel d imposition (ce qui exclut les micro-entreprises et les auto-entrepreneurs), qui emploient du personnel salarié. Il équivaut à une baisse de cotisations sociales, sous la forme d une réduction de l impôt à acquitter en 1 au titre de l exercice. À noter que seules les rémunérations n excédant pas 2. fois le smic annuel peuvent ouvrir droit au CICE. Le crédit d impôt est calculé à un taux de sur la base des rémunérations éligibles versées en. Ce taux passera ensuite à % à compter de 1. Enfin, le CICE se cumule avec les autres dispositifs d exonération de cotisations sociales et presque tous les autres crédits d impôts dont peuvent bénéficier les entreprises. 2

3 Maçonnerie Vision de l évolution économique La lisibilité économique est floue avec des évolutions de performances commerciales en dents de scie depuis plus d un an, un secteur d activité détruisant de l emploi et des perspectives de développement économique plutôt négatives. % Résultats du 1er trimestre > Les entrepreneurs sont globalement peu confiants en un retour d une nouvelle dynamique économique. > Le solde reste négatif entre entreprises créatrices et destructrices d emplois : points. > Les entrepreneurs implantés depuis moins de ans sont à être optimistes (% pour les plus de ans). > Ce solde est constante depuis le 3e trimestre ( points). > Cette situation est commune aux zones rurales et urbaines. Evolution des effectifs du secteur maçonnerie par département Zone urbaine en hausse 0% 0% Aquitaine > Le pessimisme regagne du terrain (+ points / au 1er trimestre ). > Les entrepreneurs ruraux sont plus impactés par la conjoncture (baisse CA : 3 des panélistes, 2 en zone urbaine). 2% 3 % 2% % % 2% 22% 1 Rénovation Neuf L'emp Evolu L'em Evo > A l instar du e trimestre, % des entrepreneurs ont réalisé un investissement. > Ce chiffre devrait baisser de plus de moitié au 2e trimestre. L'emplo Evolutio L investissement (1er trimestre ) L'emp Evolu % % % % > Les entreprises les plus anciennes (+ de ans) sont les plus demandeuses d intérimaires (% du panel, à pour les autres tranches). % % de la demande dans l intérim Evolution % > Depuis plus d un an, les entrepreneurs ont peu recours au travail intérimaire. > % des panélistes bénéficient d une trésorerie positive (% au trimestre précédent). % 1% %% % % % % % % % 2% Chiffre d'affaires et trésorerie (3ème trimestre / 3ème trimestre 11) Evolution du chiffre d affaires du secteur maçonnerie Evolution du chiffre d affaires du secteur électricité % Pyrénées Lot-et % Atlantiques % Garonne 1% Aquitaine Pyrénées Lot-et Atlantiques Garonne Evolution des effectifs du secteur maçonnerie sur l Aquitaine Chiffre d'affaires et trésorerie (1er trimestre / 1er trimestre ) 0 % L emploi (1er trimestre ) Vision de l évolution économique du secteur (2e trimestre ) Zone rurale Entretien 2% 3

4 Couverture Vision de l évolution économique Ce secteur d activité enregistre une baisse significative de son dynamisme commercial, 3 des panélistes déplorant une baisse d activité (+ points par rapport au e trimestre ). Cette situation a entraîné une nouvelle contraction des effectifs et une chute du recours au travail intérimaire. Le seul point positif correspond aux situations de trésorerie, indicateur depuis le e trimestre. % Résultats du 1er trimestre Vision de l évolution économique du secteur (2e trimestre ) L emploi (1er trimestre ) >M algré un léger rebond de l optimisme, la majorité des panélistes garde une vision de l évolution économique floue, voire négative. Charpente % Couverture-charpente > Le solde entre hausse et baisse d effectif reste négatif (- points). Plomberie-chauffage-sanitaire 0% 1 Evolution des effectifs du secteur couverture par département Chiffre d affaires et trésorerie (1er trimestre / 1er trimestre ) >3 e trimestre consécutif de hausse du panel des entreprises déclarant une baisse d activité. es entreprises localisées en zone rurale semblent plus impactées (baisse de CA : 1% du panel ; en zone urbaine) % 2% % % 1% Aquitaine Pyrénées Atlantiques Lot-etGaronne 3 % % 1% Charpente Couverture Plomberie > Le recours à l intérim a été divisé par 2, démontrant un marché de l emploi sinistré suite à une activité économique en forte baisse. > Charpente : des panélistes enregistrent une baisse d activité. >C ouverture-charpente : des TPE déclarent une baisse du chiffre d affaires. >P lomberie chauffage sanitaire : baisse des performances commerciales pour 3 du panel. a trésorerie est positive pour 0% des panélistes panélistes (chiffre / e trimestre ). es charpentiers sont les plus nombreux à déclarer un découvert bancaire (3), suivis des couvreurs () et des plombiers (). % % L investissement (1er trimestre ) > des entreprises ont investi lors de ce trimestre > Les entrepreneurs ont décidé de faire une pause dans les investissements, seulement % envisageant un achat au cours du 2e trimestre. 00 > Les soldes d évolution d effectifs sont négatifs pour l ensemble des professions. Evolution du chiffre d affaires du secteur couverture L'EMPLOI > des TPE déclarent une stabilisation de. % 3 Rénovation Neuf Entretien

5 Electricité Vision L année débute par une forte dégradation de la situation économique de ce secteur d activité : des entreprises enregistrent une baisse de leur chiffre d affaires, % des panélistes ont baissé leur effectif ( l ont augmenté) et 1/3 des entreprises déplorent une trésorerie négative. de l évolution économique Résultats du 1 er trimestre % Vision de l évolution économique du secteur (2 e trimestre ) > Les entreprises situées en zone rurale sont plus pessimistes (3 du panel ; 22% en zone urbaine). > Une légère évolution positive des optimistes est observée (+ points / 1 er trimestre ). L emploi (1 er trimestre ) > des panélistes gardent leur effectif inchangé. > Le solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois L'EMPLOI se détériore à nouveau L'EMPLOI : - points (-3 points au e trimestre, - 1 point au 3 e trimestre ). Evolution des effectifs du secteur électricité Chiffre d affaires et trésorerie (1 er trimestre / 1 er trimestre ) > Nette dégradation de la conjoncture, plus d un tiers des panélistes déclarant une baisse d activité (+1 points). > Cette dégradation provient majoritairement des entreprises localisées en zone rurale : 3 déclarent une baisse, en zone urbaine. Evolution du chiffre d affaires du secteur électricité Entreprise ayant Entreprise augmenté ayant augmenté % % Entreprise ayant Entreprise stabilisé ayant stabilisé Entreprise ayant Entreprise diminué ayant diminué 1 1 % % > des panélistes déclarent une trésorerie positive (- points / au e trimestre ). > des entrepreneurs ruraux profitent d une trésorerie positive ( en zone urbaine). > Un regain du recours à l intérim est enregistré, notamment en zone urbaine (% des panélistes, % en zone rurale). L investissement (1 er trimestre ) % % > Seulement des panélistes ont réalisé un investissement ( au e trimestre ). > des entrepreneurs interrogés envisagent un achat au cours du 2 e trimestre. % 22% Neuf Rénovation Entretien 2% 2

6 Menuiserie Vision de l évolution économique Ce secteur d activité est fortement touché par la conjoncture, tous les indicateurs, en ce début d année, étant négatifs : chiffre d affaires pour des panélistes, trésorerie négative pour 3 des entreprises interrogées et solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois négatifs (- points). Enfin, des entrepreneurs anticipent une nouvelle dégradation de la situation économique. Vision de l évolution économique du secteur (2e trimestre ) 3 2% > Les entreprises en enhausse zone urbaine affectées (solde sont plus négatif de points) que leurs homologues rurales (solde négatif de points). Evolution des effectifs du secteur menuiserie Serrurerie-métallerie 2% > Le solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois est de points ( points au e trimestre ). > Les entreprises âgées de plus de ans sont plus pessimistes (plus de du panel ; pour les de ans). Résultats du 1er trimestre L emploi (1er trimestre ) > En mois, le panel des pessimistes est de points. Menuiserie 2% % L'emp Evolu Chiffre d affaires et trésorerie (1er trimestre / 1er trimestre ) L'emp Evolu % activité enregistre une nouvelle baisse des performances commerciales. es entreprises de menuiserie sont plus affectées par une baisse de chiffre d affaires (0% du panel) que les entreprises de serrurerie-métallerie (). > Le recours à l intérim évolue peu (+2 points sur les derniers mois). Evolution du chiffre d affaires du secteur menuiserie % % 22% Rénovation 3 Neuf 1 2 L'em Evo > Le nombre de panélistes investisseurs a baissé de points sur les derniers mois > % des entrepreneurs ont investi au cours du 1er trimestre. > Une nouvelle baisse des investisseurs ( du panel) est anticipée sur le 2e trimestre. L investissement (1er trimestre ) es entreprises en zone urbaine sont 1% à présenter des baisses de CA (3 en zone rurale). > % des entrepreneurs déclarent une trésorerie positive (indicateur / au e trimestre ). 2% % L'em Evo Entretien

7 Aménagement Vision de l évolution économique Les indicateurs restent inquiétants pour l ensemble de la profession. En effet, des entreprises déclarent une baisse de leurs performances commerciales entraînant une nouvelle contraction des effectifs. Cependant, si la situation est préoccupante, elle pourrait s améliorer dans les mois à venir, le nombre de panélistes pessimistes étant en légère baisse (- points) et une situation de découvert bancaire affectant moins d entreprises ( contre au e trimestre ). Vision de l évolution économique du secteur (2e trimestre ) Plâtrerie, staff, décoration Peinture % > Dégradation sensible de la situation économique au 1er trimestre. > Glissement d entreprises de la stabilité vers la baisse des performances commerciales. Baisse 2% % Plâtrerie Peinture % L investissement (1er trimestre ) > des TPE interrogées ont investi (- points / au e trimestre ). > des panélistes prévoient un achat important au 2e trimestre. Carrelage > Plâtrerie : 1% déclarent une baisse d activité (2% au e trimestre ). > Peinture : une baisse de CA touche 3 des panélistes (2% au e trimestre ) > Carrelage : % des entrepreneurs stabilisent leur activité (baisse : 22 %). > des TPE déclarent une trésorerie négative. 2% % % > Le peu de recours à l intérim augure une situation de l emploi défavorable dans les mois à venir. Evolution du chiffre d affaires du secteur aménagement 0% 3 Evolution des effectifs du secteur aménagement par activité Chiffre d affaires et trésorerie (1er trimestre / 1er trimestre ) 2% > Les entreprises de revêtement de sols ont été les plus nombreuses à réduire. >3 1% des jeunes entreprises (- de ans) ont confiance en l avenir (% : + de ans ; % : + de ans). Stable > Le solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois est négatif ( points ;L'EMPLOI, points au e trimestre ). es panélistes sont moins pessimistes (- points par rapport au 1er trimestre ) mais restent très indécis ( du panel). Hausse 2% Résultats du 1er trimestre L emploi (1er trimestre ) Carrelage, recouvrement de sols 2% Neuf Rénovation 1 2 Entretien %

8 Chiffres Clés % % DONNEES REGIONALES DONNEES NATIONALES L activité dans l entretien-rénovation : -1, au 1er trimestre (-1, au e trimestre ). % Evolution de l activité attendue sur l année : - (neuf : -% ; entretien-rénovation : -0,) % % (chiffre d affaires par rapport au même trimestre de l année précedente) 0, 0,0 % -0, Evolution de l activité -1,0-1,0-1, -2,0 2% % % SOURCE : CAPEB % 0% 0,0 % Échantillon Aquitaine % Carnet de commandes (semaines) 1 Emploi (1er trimestre ) : % % % er % % Vision de l % Vision de l'év Evolution de l activité % % 1% 2 0% Gros 11 Em Embauches Entreprises ayant augmentéréalisée Œuvre2% Second Œuvre Entreprises ayant stabilisé Vision de l'évo Vision de l'évolution économique - % 23 Vision de l'év 2% 2% % Second œuvre Second œuvre Gros/Second œuvre Évolution du chiffre d'affaire second œuvre % % Evolution des effectifs ayant diminué Entreprises Vision de l' % % Entreprises ayant augmenté Le soldeentreentreprises entreprises créatrices et destructrices ayant stabilisé d emplois reste négatif (- points). Cet indicateur est Entreprises ayant diminué par rapport au e trimestre. % Entreprises ayant augmenté Entreprises ayant stabilisé Vision de l'évolution économique - Entreprisesayant diminué % Département de la CGA2 CREA@ VALLEE SUD Route de Vergt 20 Notre Dame de Sanilhac Tél info@cga2.org Département des CGA des de Gascogne Centre commercial de Christus 3, chemin de Talence BP 01 Saint Paul Les Dax cedex Tél contact@cga0.fr Vision de l'év Centres de gestion ayant participé ce trimestre à la collecte des informations 3 Départements 33 Trésorerie positive (en % des panélistes) 2% % Embauches réalisée 2% 0% des TPE -3,0 du bâtiment déclarent une 0% trésorerie positive (hausse d 1 point % % par rapport au trimestre précédent). % Vision de l'é Groscommandes œuvre Second œuvre Carnet de (au 01/0/) : semaines, d 1 point par rapport au 1 trimestre. hausse -0, VisionEvolut de l' Vision de l'évolution économique - -1,0-1, -2,0-2, % 2% -3,0 % % -2, % % % -1, Vision de l évolution économique second œuvre Trésorerie (au 01/0/) -2, % % -2,0 2% Vision de l'évolution économique - -0, 0, % 0,0 % % Évolution du chiffre d'affaire Résultats du 1er trimestre Chiffre d affaires (1er trimestre ) : 0, des entreprises déclarent une baisse de chiffre d affaires. Évolution du volume de l activité par le chef d entreprise % Vision de l évolution économique L activité dans la construction neuve : - % au 1er trimestre (- au e trimestre ). -3,0 économique Vision de l évolution Les entrepreneurs aquitains sont de plus en plus nombreux à subir la conjoncture économique, d entre eux déplorant une baisse de leurs performances commerciales au 1er trimestre (+ points par rapport au e trimestre ). L emploi est directement impacté par cette situation, des panélistes déclarant une baisse de leur effectif (% une hausse). En revanche, si les entrepreneurs restent indécis voire pessimistes pour 2% l avenir, ils sont moins nombreux à anticiper une dégradation de leur activité. % Département de la Département des CEGAL, rue Jules Favre 330 Libourne cedex Tél cegal33@wanadoo.fr CEGAPA, rue Paul Cassasus BP 02 Pau cedex Tél cegapa@wanadoo.fr CECOGEB 1, Place de la Bourse CS Bordeaux cedex Tél infos@cecogeb.fr Département du CGA 2, place du Maréchal Foch BP Agen cedex Tél info@cga.fr CEGECOBA allée des bois de Florence - CS Anglet cedex Tél : contact@cegecoba.com CECOGEB Tél Courriel : infos@cecogeb.fr Site web : Directeur de la publication : Éric Stéphant Réalisation : Charlotte Caunac Dépôt légal à parution. Imprimeur : BLF

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