WARRANTAGE POUR SECURISER ET VALORISER LES CEREALES

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1 PROGRAMME PROMOTION DE L AGRICULTURE FAMILIALE EN AFRIQUE DE L OUEST FICHE INNOVATION AU SENEGAL WARRANTAGE POUR SECURISER ET VALORISER LES CEREALES Grâce à l obtention d un crédit garanti par le stockage des céréales et à un prix de vente rémunérateur, les producteurs ont augmenté leur revenu, sécurisé leurs réserves alimentaires et financé la saison agricole. Dans le cadre d un projet porté par : Gret Enda Graf Sahel Producteurs fragilisés par la crise arachidière Le Sénégal est le 1er producteur au monde d huile d arachide et la culture a fait vivre jusqu au tiers de la population du pays. Mais la crise que traverse la filière fragilise aujourd hui les exploitations familiales. En outre, la monoculture intensive d arachide a appauvri les sols. Dans le cadre du projet de Promotion des Organisations et des Filières au Sénégal (Profils), le Gret et Enda Graf interviennent dans le sud de ce bassin arachidier (régions de Kaolack, Kaffrine et Fatick) pour appuyer la diversification des exploitations vers des cultures vivrières : mil, maïs, sorgho.

2 Traditionnellement destinées à l autoconsommation, les céréales sont sources de revenus entre leur récolte (octobre-novembre) et la campagne de commercialisation de l arachide (janvier-mars). Mais, en dépit des efforts pour améliorer la production, les agriculteurs, confrontés à des problèmes de trésorerie, sont souvent amenés à brader ou hypothéquer leur récolte (des avances sont concédées par les commerçants en échange d un prix de vente très bas, ce qui équivaut à des crédits usuriers). En 2010, le Gret et Enda Graf, en collaboration avec l Association des agriculteurs de la région de Kaolack (ADAK) et à une institution de microfinance, l Union des institutions mutualistes communautaires d épargne et de crédit (U-IMCEC), ont décidé de mettre en œuvre un test de crédit-stockage (ou warrantage) pour rompre le cercle vicieux de l endettement en période de soudure. Partir des pratiques de stockage existantes Le warrantage consiste à accorder aux producteurs un prêt garanti par la mise en stock de leur production, dont la valeur est susceptible d augmenter sous quelques mois. Souvent présenté comme une solution simple au problème de bradage de la production juste après la récolte, ce dispositif doit en réalité s adapter à chaque contexte d application (pratiques de production et de stockage, variation des prix et caractéristiques des marchés des produits concernés). Il est notamment nécessaire d identifier des études préalables la production à stocker dans un souci d adapter le crédit aux besoins de trésorerie des ménages de producteurs et dans le respect du calendrier de production. Dans le bassin arachidier, les pratiques de stockage des produits vivriers se sont développées suite à la construction de nombreuses infrastructures par les sociétés nationales, les ONG et les programmes de sécurité alimentaire. Les stocks concernent les semences d arachide pour les campagnes à venir, ainsi que le mil et le maïs pour l autoconsommation et la vente. Les entrepôts sont gérés de façon collective par des comités villageois qui garantissent la sécurité et le suivi des stocks. Toutefois, la taille de ces magasins est limitée par rapport aux besoins et les ménages conservent aussi des céréales pour l autoconsommation dans l habitation ou dans les petits greniers traditionnels. Bien que la récolte des céréales ait lieu en octobre-novembre, leur stockage n intervient pas avant janvier-février. En effet, les prestataires de services de battage attendent le début de la campagne arachidière pour démarrer leur tournée dans les villages : ils veulent être certains que les producteurs disposent de trésorerie. Entretemps, seul un battage manuel est possible, ce qui donne des grains de mauvaise qualité, souvent brisés, dépréciant la valeur marchande des stocks. Assurer la sécurité alimentaire des familles Dans le warrantage tel que mis en œuvre au Niger par la FAO, le crédit est octroyé au moment de la moisson aux OP qui sont en charge des magasins et des activités économiques permettant le remboursement du crédit. Dans ce cas-là, l objectif du crédit est de permettre le financement des intrants par l OP avant la campagne, et ainsi assurer la mise en culture dans les délais. Dans le cadre du projet Profils, les enquêtes auprès des ménages ont confirmé que les besoins de liquidités sont les plus élevés à la période de récolte. Toutefois, les producteurs ont retenu l option d un crédit individuel ayant pour objectif principal de sécuriser leur réserve alimentaire avant la période de soudure. Le crédit-stockage a démarré lors de mise en stock habituelle (janvier-février) pour bénéficier de la qualité qu apporte un battage mécanique. En début d année, la campagne arachidière a commencé, les dépenses des ménages et les remboursements de prêts de campagne peuvent être couverts par les recettes de l arachide. Le prêt obtenu couvre la période de latence avant le paiement effectif de l arachide livré ou, COMITÉ FRANÇAIS POUR LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE PAGE 2

3 éventuellement, finance une activité génératrice de revenu. Mais les producteurs voient surtout dans ce dispositif un moyen de conserver des stocks alimentaires pour la famille sans y faire de ponctions pour faire face à leurs besoins monétaires (les clés du magasin sont détenus par l IMF et l OP). Le déstockage intervient en juin ou juillet. La date, concertée entre l U-IMCEC et les groupes villageois, correspond au début de l époque de soudure et des travaux de la nouvelle campagne agricole, qui nécessitent des achats d intrants. L U-IMCEC vend une partie des stocks pour se rembourser du prêt, des intérêts et des frais de stockage. Le reliquat des stocks est rendu aux producteurs qui peuvent ainsi nourrir la famille et les ouvriers agricoles. Rôle essentiel de l OP comme intermédiaire L ADAK, organisation de producteurs, joue un rôle indispensable d intermédiaire entre les producteurs et l institution de microfinance. Elle informe les producteurs sur le mécanisme de warrantage et fait la promotion du programme en motivant les communautés à apporter leurs stocks dans les entrepôts au lieu de les mettre directement sur le marché. L OP se charge aussi de collecter et de consigner les prix pratiqués sur les marchés locaux et périphériques. Elle joue, enfin, le rôle d entreposeur au travers de ses membres, les groupements villageois qui détiennent les stocks. Le coût du stockage est fixé par les comités de gestion à 100 FCFA par sac de 100 kilos et par mois. Producteurs, institutions de microfinance et transformateurs sont gagnants Cette première expérience est concluante. En 2011, 68 ménages ont mis 38 tonnes de mil en stock et reçu 3 millions de FCFA de crédit (soit près de 70 euros par ménage) avec un taux d intérêt annuel de 12 %. Ce taux, très inférieur à celui imposé aux agriculteurs familiaux en dehors du dispositif, est comparable à celui en vigueur dans le système bancaire, quasi inaccessible aux petits producteurs. La réussite de cette première expérience de crédit formel leur servira de référence pour une future demande. Les producteurs ont aussi bénéficié d un stockage fiable et d un niveau maximum de conservation (alors que le taux de perte atteint généralement 30 %). Plus de 80 % de ces céréales, de qualité reconnue, ont été vendues à des transformatrices de Dakar, à raison de 165 FCFA le kg, alors que le prix de valorisation à la mise en stock était de 125 FCFA. Les producteurs ont donc réalisé une marge brute de 40 FCFA par kg warranté. Pape Seck : «Nous avons reçu de très bons échos de la part des producteurs, qui étaient très satisfaits de l expérience. Et pour cause, certains d entre eux se sont retrouvés avec FCFA d économies après avoir stocké!» Les petites entreprises de transformation ont pu bénéficier d un stock relativement important et se sont approvisionnées à un meilleur prix que celui pratiqué à Dakar à cette période de l année où les céréales sont peu abondantes. L institut de microfinance a gagné une nouvelle clientèle et minimisé ses risques par la garantie du stock physique. Perspectives et défis COMITÉ FRANÇAIS POUR LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE PAGE 3

4 Des pistes d améliorations proposées par les producteurs sont à l étude, comme le couplage du warrantage avec un crédit pour les intrants ou l ouverture régulière des magasins pour dénouer les crédits de ceux qui ont besoin de leurs stocks. Les principales contraintes restent la technicité nécessaire (qualité du produit mis en stock pour éviter sa dégradation, conditions du stockage, contrôle régulier) et le caractère spéculatif du dispositif : la rentabilité de l opération n est assurée que si les prix augmentent entre la récolte et la période de soudure, ce qui n est pas le cas chaque année. En effet certaines années, le prix du mil baisse ou stagne dès les mois de juin ou juillet lorsque l hivernage s annonce bien et que les stocks sont importants au niveau des grossistes. Ces derniers mettent alors en vente des quantités importantes qui font chuter les prix. Ces variations relativement rares sont difficiles à anticiper. Les conditions d un changement d échelle Le changement d échelle peut conduire à un paradoxe. En effet, une différence entre le prix de vente des céréales, bas, au moment de la récolte et celui, élevé, au moment de la soudure, est la condition de la rentabilité. Or elle peut se réduire de façon significative dans la mesure où le warrantage, s il prend de l ampleur, a un effet stabilisateur global sur les variations de prix. Même si cette perspective semble encore lointaine, la rentabilité du système se situerait dans la capacité des producteurs, au travers de leurs organisations, à négocier des prix à terme de vente en gros couvrant les frais du crédit et du stockage. Le projet a toutefois créé un référentiel précieux pour une extension future dans d autres zones et avec d autres partenaires financiers. L ADAK est constituée de 5 unions de groupements dont plusieurs ont manifesté leur intérêt pour le warrantage, de même que la Fédération des OP sénégalaises (FONGS). D anciens magasins de la Société nationale de commercialisation des oléagineux (Sonacos) ou de la Société de développement agricole du Sénégal (Sodeva) sont pressentis pour servir d entrepôts, une fois réhabilités. L implantation d un réseau bancaire plus dense diminuerait les coûts de transaction et de suivi. L offre de qualité, groupée, diminuerait les coûts de collecte des commerçants, les incitant à se déplacer pour venir chercher les céréales auprès des entrepôts de stockage. La marge ainsi dégagée permettrait de couvrir les coûts de crédit et de stockage. L équation financière du warranrage repose sur trois types d acteurs Les 68 producteurs des localités de Taïf et Diaglé (région de Kaolack) ont mis leurs productions vivrières en stock et bénéficié d un crédit en contrepartie. Formés sur le mécanisme ils ont préféré minorer le montant d acquisition du stock pour réduire le risque de remboursement lié à la fluctuation du prix de vente final. Leur volonté est d assurer une réserve alimentaire pour la période de soudure. L organisation de producteurs (ADAK) sert d intermédiaires entre les producteurs et l institution de financement. Elle informe les producteurs et les engage à entreposer leurs récoltes. L OP délivre à chaque producteur un certificat de dépôt, le warrant, qui sert de garantie auprès de l IMF. Elle garantit la sécurité du stock contre paiement de frais d entreposage, garde un cadenas des entrepôts et assure un suivi mensuel et une protection contre les prédateurs. L organisme de crédit, ici l U-IMCEC, vérifie la quantité, la qualité et le mode d entreposage des produits stockés et en évalue la valeur sur la base des prix du marché. Il accorde ensuite un crédit COMITÉ FRANÇAIS POUR LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE PAGE 4

5 correspondant à un pourcentage de la valeur du stock (taux de nantissement 1 ). Il possède aussi un cadenas des entrepôts et est propriétaire des biens stockés jusqu au remboursement du crédit. Même si les ONG Gret et Enda Graf ont initialement joué un important rôle d animation, elles ont dès la fin du projet, transféré cette capacité à l OP pour que le système puisse être plus efficace et plus durable. Pour creuser le sujet : Fiche projet, Sécuriser les filières céréalières aux céréales, 2011 Témoignage, Pape Seck revient sur les stratégies d appui aux filières céréalières au Sénégal, 2014 Etude, Réponse des OP aux besoins de financement des exploitations familiales, 2014 Découvrez d autres témoignages et fiches innovations sur la promotion de l agriculture familiale en Afrique de l Ouest sur alimenterre.org, ou retrouvez-nous sur cfsi.asso.fr CONTACTS l PORTEUR DU PROJET Gret, Guillaume Bastard : bastard [at] gret.org l PARTENAIRE Enda Graf Sahel l AUTEURS Gret et CFSI l PHOTOS Gret l DATE DE PUBLICATION août Le taux de nantissement se définit comme le pourcentage de stock auquel s applique la garantie de crédit. Inférieur à 100 %, il permet de compenser d éventuelles pertes de poids (déshydratation, attaque de ravageurs) et de valeur marchande (stagnation ou baisse des prix) des denrées stockées. COMITÉ FRANÇAIS POUR LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE PAGE 5

6 Ce projet a bénéficié d'un financement de la Fondation de France dans le cadre du programme «Promotion de l agriculture familiale en Afrique de l Ouest» (PAFAO, appel 2011). Voir la fiche projet. Le programme de Promotion de l agriculture familiale en Afrique de l Ouest est porté par la Fondation de France et le CFSI. Il bénéficie de la contribution de la Fondation JM. Bruneau (sous égide de la Fondation de France), de la Fondation Ensemble, de la Fondation L OCCITANE et de l Agence Française de Développement. La SEED Foundation et la Fondation Un monde par tous participent également au volet capitalisation du programme. COMITÉ FRANÇAIS POUR LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE PAGE 6

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