NOTE DE CONJONCTURE DE JANVIER 2015

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1 NOTE DE CONJONCTURE DE Sommaire Internationale Page 1 nationale Page 3 La conjoncture économique internationale Un PIB mondial revu à la baisse suite à l instabilité de la situation en Europe Les prévisions de croissance mondiale du PIB pour 2015 ont été révisées à la baisse, et passent de 3,4% à 3% en moyenne, suite à l instabilité vécue, notamment en Europe. 1. Une économie mondiale traversant une période d instabilité. L économie mondiale passe par une période d instabilité en ce début de 2015 qui fait douter des perspectives prometteuses annoncées. La Banque Mondiale a d ailleurs révisé vers le bas ses prévisions de croissance du PIB pour 2015 les ramenant de 3,4% à 3% comme moyenne mondiale, contre 2,6% réalisé en Les raisons de cette réduction des performances attendues sont multiples mais trois phénomènes déstabilisent la situation économique mondiale : - Le 1er phénomène est lié au fait que l accélération de la croissance mondiale n est venue que des USA, et reste donc dépendante des performances de ce pays. Il est certes attendu que l économie américaine continue sur sa lancée et réalise entre 3% et 3,2% de croissance du PIB en 2015, contre 2,4% en Mais des incertitudes persistent sur l effet que peut avoir l appréciation du dollar sur les exportations américaines, et de la baisse du prix du pétrole sur la production de pétrole de schiste. Ces deux secteurs peuvent connaître une contraction qui limiterait la croissance américaine, et donc par conséquent, celle de l économie mondiale. Cependant, les performances en matière de productivité liées aux nouvelles technologies, réduisent la vulnérabilité de l économie US dont le taux de chômage a baissé à moins de 6% et se rapprocherait de 5,5% fin La 2ème source d instabilité provient de la zone Euro en relation avec la situation de l économie allemande notamment : L Allemagne connaît des performances économiques faibles, cette tendance devrait persister en 2015 avec 1% de croissance prévue : c est la conséquence de la crise russe, mais aussi des politiques économiques adoptées (sous-investissement suite à la rigueur budgétaire, politique énergétique coûteuse). La France attend encore l exécution de réformes économiques pour relancer l activité économique. L Espagne et l Italie ont engagé des réformes structurelles (flexibilité du travail, réduction du déficit budgétaire, Conjoncture / Tunisie / Janvier

2 La BCE lance un ambitieux programme d une enveloppe de 60 Millards d Euros par mois pour dynamiser l économie européenne. Ce programme, sur 19 mois, est destiné à fournir des liquidités à taux très bas pour financer l économie recapitalisation des banques) qui doivent relancer le PIB et les exportations, surtout après la baisse enregistrée de l Euro. Il est attendu que la zone Euro réalise 1,1% de croissance du PIB en 2015 contre 0,8% en 2014 et -0,4% en Mais cette amélioration dépendra beaucoup des efforts de la Banque Centrale Européenne qui doit supporter l économie et éviter la déflation. En effet, le taux d inflation est devenu négatif (-0,2% en décembre 2014) suite à la baisse du prix de pétrole. La BCE a approuvé le 22 janvier un nouveau programme d achats de titres publics, analogue au programme adopté précédemment par les autorités monétaires aux USA (Quantitative Easing de la FED), ainsi que par la Banque Centrale Japonaise pour éviter la déflation et relancer l économie. Le programme de la BCE prévoit une enveloppe de 60 Milliards par mois sur 19 mois pour l achat de titres publics en vue de fournir les liquidités nécessaires au financement de l économie à des taux d intérêt très bas. L opposition allemande a été évitée par la limitation des risques (chaque Banque Centrale prend le risque de sa dette publique) et l engagement des pays d adopter des réformes structurelles en vue de réduire les déficits futurs (pays du Sud de l Europe notamment). Reste le nouveau problème posé par la Grèce après l élection d un Gouvernement qui veut reprendre les discussions sur sa dette et revoir les conditions de son rééchelonnement. - La 3ème source d instabilité de l économie mondiale provient des premiers pays émergents : les BRICS. La croissance économique de ces pays a connu un ralentissement qui continuera pour des raisons diverses : La Russie vit une crise économique liée à la situation qui découle du conflit ukrainien et de la baisse du prix de l énergie, principale ressource du pays. La Chine voit sa croissance se stabiliser à 7% car elle ne peut continuer à réaliser des taux de croissance à deux chiffres. Les contraintes de financement suite aux impayés et la concurrence des autres pays asiatiques (Indonésie, Vietnam ) limiteront la croissance du PIB chinois à un maximum de 7% par an. Le Brésil a été handicapé par la baisse des prix de l énergie et des produits de base. Sur la base 100 en Juillet 2014, l indice de prix est en janvier 2015 à 46 pour le pétrole et à 90 pour les autres produits de base (The Economist index). De ce fait, le Venezuela, l Argentine et à degré moindre le Brésil, connaîtront une récession en D autres pays africains (Nigeria, Ghana, Gabon ) qui avaient réalisé de bonnes performances ces dernières années subissent l effet de la baisse du prix de l énergie et des matières premières qui constituent leur principale ressource. Heureusement que d autres pays bénéficient de la nouvelle situation pour réduire leur déficit et relancer leur économie : l Inde en est un exemple. D autres pays comme la Turquie, l Egypte et la Tunisie doivent aussi en tirer profit. Le Japon a pu sortir de la récession et aspirer à 1,2% de croissance de PIB en 2015 grâce à la relance adoptée par le Premier Ministre Abe. Ce taux aurait pu être plus élevé si la taxe à la consommation n avait pas été adoptée. Pour cela, la 2ème taxe prévue a été reportée. Par ailleurs, l attrait des capitaux vers les USA par leur nouvelle politique monétaire de relèvement des taux d intérêt a défavorisé certains payx émergents. En conclusion, et par référence aux données de la Banque Mondiale (Global Economic Prospects, janvier 2015), la croissance du PIB mondial connaîtrait une progression, en passant de 2,6% réalisée en 2014, à 3%, attendue en Cela proviendrait essentiellement de l amélioration de la croissance américaine (de 2,4% à 3,2%) et de celle de certains nouveaux pays émergents (Inde, Mexique, Indonésie, Nigeria.). Mais la situation dépendra beaucoup de l amélioration attendue dans la zone Euro (de 0,8% à 1,1%), qui reste liée à la crise russe et, à un degré moindre, à la nouvelle situation en Grèce. La baisse du prix du pétrole prévue pour 2015, par rapport à 2014, favorisera cette amélioration de la croissance du PIB en relançant la demande par l augmentation du pouvoir d achat. Elle gênera la croissance de certains pays exportateurs d énergie, mais le gain net en termes de croissance du PIB mondial sera certainement positif, car toute baisse des coûts stimulera la production et la demande mondiale, à condition d éviter les situations déflationnistes en adoptant des politiques monétaires et fiscales adaptées. De même, plusieurs pays en profiteront pour réduire leurs déficits publics car les produits pétroliers étaient subventionnés dans plusieurs pays (Indonésie, Inde, Egypte, Tunisie,. Conjoncture / Tunisie / Janvier

3 Cameroun, Equateur.). L Indonésie a profité de la baisse des cours du pétrole pour annuler les subventions et mettre au point un programme d aides directes qui couvrira graduellement le tiers de la population. Ce programme indonésien devrait servir d exemple à plusieurs pays qui tentent de remplacer les subventions de prix accordées à tous, par des aides financières directes accordées à des groupes cibles. 2. Le point de vue du FMI. Le FMI confirme ces prévisions de croissance mondiale dans son dernier bulletin sur les PEM (Perspectives Economiques Mondiales) du 20 janvier : «Les prévisions de croissance mondiale sont révisées à la baisse malgré le repli des prix du pétrole et l accélération de la croissance américaine. Même avec la forte baisse des prix du pétrole, qui constitue un gain net pour la croissance mondiale, les perspectives de l économie mondiale restent moroses, plombées par des faiblesses fondamentales constatées par ailleurs» Les nouveaux facteurs qui soutiennent la croissance (baisse des prix du pétrole, mais aussi dépréciation de l euro et du yen) sont plus que compensés par des forces négatives persistantes, notamment les séquelles de la crise russe et la baisse de la croissance potentielle en Chine. Pour relancer la croissance, le FMI propose de : - Faire avancer les réformes structurelles dans tous les pays. - Adopter une politique monétaire accommodante pour éviter une hausse des taux d intérêt réels, suite à la baisse des prix en relation avec l énergie. - Accroître l investissement dans les infrastructures dans certains pays (Allemagne ). - Réformer les subventions et les taxes énergétiques à l occasion de la baisse des prix du pétrole. Conjoncture / Tunisie / Décembre 2015 Pour les pays importateurs de pétrole, comme la Tunisie, les gains dégagés devraient être utilisés pour mettre en place des transferts mieux ciblés en faveur des pauvres, réduire le déficit budgétaire et développer les infrastructures publiques. La baisse du prix du pétrole prévue pour 2015 par rapport à 2014 favorisera la croissance du PIB en relançant la demande par l augmentation du pouvoir d achat. nationale 1. Les réalisations de 2014 : Les performances économiques de 2014 rapportées par l INS ont été faibles sur plusieurs plans : La croissance du PIB n a été que de 2,3% sur les trois premiers trimestres et sera donc faible pour l année C est la 2ème année de suite que la Tunisie ne parvient pas à atteindre les 2,5% de croissance annuelle. La principale raison est le recul de la production de pétrole et de phosphate et dérivés, et la stagnation du tourisme. La production industrielle en général a évolué très lentement, en partie à cause de la récession en Europe, comme l indique le ralentissement de l indice général de la production industrielle au cours des dix premiers mois de l année 2014 (+0,3% contre 2,1% au cours de la même période de l année précédente). Le Conseil d Administration de la BCT du 2 février a aussi exprimé ses inquiétudes concernant la situation du secteur des services qui a vu ses principaux indicateurs d activité poursuivre leur repli en décembre dernier, surtout dans les secteurs du tourisme et du transport aérien.. - Le commerce extérieur a évolué défavorablement, ce qui a porté le déficit commercial à un niveau alarmant puisqu il s élève à plus de 15% du PIB. Cela est lié à la baisse des exportations en volume (-1,8% par rapport à 2013) résultant en une faible augmentation à prix courants (2,5%) malgré la baisse du dinar. D un autre côté les importations continuent à croître à 6,4%. Ce déficit s explique en partie par le déficit énergétique (27% du déficit total) et par le phénomène chinois (22% du déficit total). - L inflation a reculé à 5% en décembre 2014 contre 6% en Cette baisse du taux, qui a donné un taux moyen d inflation sur l année 2014 de 5,5%, est liée au recul du poste alimentaire avec l amélioration de la production agricole, mais le niveau d inflation reste plus élevé que la moyenne historique limitée à 4%. En Tunisie, les performances économiques de 2014 ont été faibles du point de vue de la croissance du PIB et du déficit commercial, mais montrent un indicateur positif: la baisse de l inflation. Cette baisse de l inflation explique la nouvelle mesure prise par la BCT relative à la suppression de la réserve obligatoire au taux de 30% sur les crédits à la consommation octroyés par les banques, et ce, en vue d atténuer les pressions sur la liquidité bancaire. - Le déficit des paiements extérieurs courants a atteint 8,9% du PIB suite au déficit commercial. Son financement a été assuré par les emprunts extérieurs en hausse rapide à côté des IDE qui sont en baisse (de 5% par rapport à 2013). - Cet endettement extérieur accru a permis une consolidation du niveau des réserves nettes en devises qui a atteint MDT ou l équivalent de 129 jours 3

4 d importation, à fin janvier 2015, contre 112 jours fin Cela a permis au taux de change du Dinar de se stabiliser puisqu il a enregistré une appréciation de 3,3% face à l euro, contre une dépréciation de 4% vis-à-vis du dollar, le 29 janvier 2015 par rapport à la fin de Le recours au financement extérieur par emprunts continue avec la réalisation de l emprunt émis sur le marché financier international, assorti d un coupon de 5.75% l an, d une maturité de 10 ans et d une taille de 1 milliard $. Ce recours réussi après plusieurs années d absence sur le marché, quoique coûteux par rapport au financement bilatéral et multilatéral, confirme la confiance des investisseurs privés extérieurs. C est un bon signe pour la réussite du schéma de développement qui serait adopté par le nouveau gouvernement comme indiqué ci-dessous. - Il faut noter que ce recours était nécessaire compte tenu du retard probable dans les décaissements des crédits de la Banque Mondiale et du FMI suite au report par la Tunisie de l adoption des lois économiques prévues conformément aux accords avec ces derniers. D ailleurs, le dernier rapport d évaluation du FMI (décembre 2014) indique que le Conseil d administration a approuvé les demandes faites par les autorités de rééchelonner les achats au titre de l accord et de modifier les critères de réalisation quantitatifs à fin décembre 2014 relatifs aux réserves internationales nettes, aux avoirs intérieurs nets et au déficit budgétaire primaire». Le FMI recommande de poursuivre les réformes : «Il est impératif d accélérer la mise en œuvre des réformes structurelles pour améliorer le climat des investissements et entraîner une croissance plus forte et plus solidaire : les priorités absolues sont l approbation par le parlement des lois sur la faillite, la concurrence, et les partenariats public-privé». 2. Les perspectives de 2015 : Le FMI prévoit un taux de croissance du PIB tunisien de 3% en 2015, soit un taux légèrement supérieur à celui réalisé en 2014 estimé à 2,4%. Cette faible performance s explique selon le FMI par : - La transition politique qui se termine avec succès mais qui reste dans un environnement de tensions sociales et sécuritaires. - La faible croissance économique dans les pays partenaires. - Les effets négatifs des conflits dans la région (Libye). - Le report des réformes économiques structurelles. - L attentisme des investisseurs lié à la situation politique et la nomination du nouveau gouvernement. Le FMI prévoit un taux d inflation de 5% en 2015 et de 4% par la suite, compte tenu des tendances baissières des prix internationaux. Il prévoit aussi une amélioration du déficit extérieur suite à la baisse du prix de l énergie et à l amélioration de la production agricole (huile d olive, céréales). Cette amélioration devrait également se poursuivre grâce à la plus grande flexibilité du dinar, qui se déprécie lorsque le déficit s élargit, ce qui permet de réduire le déficit. Mais le FMI attire l attention sur les risques futurs élevés en relation avec la situation en Libye et avec les reports de réformes économiques suite à la situation politique dans le pays. Le programme économique de Nidaa Tounès repose sur une grande mobilisation des investissements directs étrangers, ce qui nécessite des réformes structurelles. et des partenariats public-privés Le Programme économique pour les cinq ans à venir du nouveau Gouvernement nommé le 2 Février se base sur le programme électoral du parti Nidaa Tounès qui peut être résumé comme suit (voir Programme-NIDAA-TOUNES-FR.pdf) : - Un effort d investissement soutenu, atteignant 125 milliards de dinars aux prix constants de 2014, soit une moyenne de 25 milliards de dinars par an. Cet investissement permettrait d assurer une croissance du PIB de 6% en moyenne, par an. - Une contribution publique importante (40% de l enveloppe), plus élevée que la moyenne passée qui s élevait à 35% (et pour laquelle les plans de développement précédents prévoyaient une révision à la baisse qui l aurait portée à 30%). La recommandation du FMI est de poursuivre les réformes engagées afin de stimuler l investissement. Ces réformes concernent notamment les lois sur la faillite, la concurrence, et les partenariats public-privés Conjoncture / Tunisie / Janvier

5 - L investissement public de 10 milliards D par an en moyenne (contre 5,5 ces dernières années) sera octroyé, à raison de 60%, aux régions de l Ouest et du Sud. Il sera financé en partie par l épargne de l Etat, qui doit redevenir positive grâce aux économies sur les subventions et autres dépenses courantes, et grâce à la limitation de l évasion fiscale. - La relance de l investissement privé (15 milliards D par an) passe par l afflux d IDE attendu (l équivalent de 5 milliards D par an) soit plus du double du niveau passé (autour de 2 milliards D par an). - Le financement extérieur se basera essentiellement sur les investissements directs étrangers (IDE). Les emprunts extérieurs seront affectés au remboursement de la dette passée, en vue de limiter l endettement extérieur qui a dépassé récemment 50% du PIB. - En 2019, le service de la dette extérieure sera limité à 12 % des recettes en devises et le déficit budgétaire limité à 3 % du PIB. - Une baisse significative du chômage: emplois seront créés en moyenne par an (contre une moyenne annuelle historique de emplois) Ce schéma repose sur une grande mobilisation des investissements directs étrangers qui exige une plus grande ouverture de l économie tunisienne et des réformes structurelles touchant les différentes réglementations qui régissent l investissement et l activité économique (les services notamment). Il repose aussi sur une mobilisation de l épargne nationale privée et publique qui devrait atteindre 20 milliards D en moyenne par an soit 20% environ du PIB futur contre moins de 15% ces dernières années. Cela exige un effort de l Etat et des privés pour retrouver les réflexes de bonne gestion et d allocation rentable des ressources. Contact us Moncef Boussannouga Zammouri Senior Partner T: E: mzammouri@kpmg.com Dhia Bouzayen International Contact Partner T: E: dbouzayen@kpmg.com Conjoncture / Tunisie / Janvier 2015 TOPIC / Market / Date 5

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