Etude pour l appréciation des pâturages dans les cercles de Tombouctou et Bourem Octobre 2013 Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières
|
|
- Simon Leblanc
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Etude pour l appréciation des pâturages dans les cercles de Tombouctou et Bourem Octobre 2013 Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières Cette étude a été menée avec le soutien financier de European Commission Humanitarian Aid department et de la Région Rhône Alpes. Ce document a été produit avec l'aide financière de la Commission européenne et de la Région Rhône Alpes. Les opinions exprimées ci-dessus ne devraient pas être prises, de quelque façon, pour refléter l'opinion officielle de la Commission européenne ou de la Région Rhône Alpes. I. Contexte Dans les régions du Nord du Mali, la saison des pluies 2013 a été caractérisée par une installation tardive des pluies suivie d une grande irrégularité dans leur répartition. Par conséquent, les pâturages sont peu ou pas présents dans plusieurs endroits. Lorsque les pâturages existent, la hauteur de l herbe est faible. Le feuillage arbustif reste relativement bien fourni. Cela laisse présager une pénurie d herbe très précoce avant même la période de soudure «habituelle» (d avril à mi-juillet). AVSF travaillant au Nord de Tombouctou et au Nord de Bourem, les éleveurs nous ont soulignés que la saison sèche et chaude 2014 sera extrêmement difficile et que de nombreuses pertes d animaux sont à craindre. AVSF a donc commandité, auprès de la Direction Régionale des Productions et Industries Animales de Tombouctou, une étude rapide pour une appréciation des pâturages sur certains de ses sites. Parallèlement, des questionnaires ont été administrés par les équipes mobiles de santé humaine et vétérinaire sur leurs points de passage. D une manière générale ces sites sont caractérisés par : - Une mobilité réduite pour cause d insécurité surtout vers l Est de Tarkint et vers la frange du fleuve, - Très peu d échanges socio - économiques entre ville/villages du fleuve et la zone nord (donc peu de possibilités d écouler les animaux et pour s approvisionner en céréales ou autres produits alimentaires de base), - Echanges commerciaux vers l Algérie et la Mauritanie toujours au ralenti, 1
2 - Très peu d appui des services techniques de l Etat, des ONGs, et organisations onusiennes sur les zones pastorales au Nord du fleuve Niger dans les Cercles de Bourem et de Tombouctou, - Existence de tensions intercommunautaires qui limitent les déplacements entre zones pour les pasteurs de différentes communautés, etc. - Un taux de familles pauvres et très pauvres supérieur à 50 % avec une dégradation de l accès au marché (déplacement des populations priorisé par rapport aux pâturages plutôt que par l existence des marchés, réduction des échanges commerciaux) II. Objectifs L objectif général de cette étude était de faire une appréciation rapide des pâturages dans la zone d intervention du projet. Pour ce faire l étude s est intéressée spécifiquement : (i) (ii) à la réalisation d une enquête auprès des éleveurs pour faires des constats et valider les informations sur les pâturages dans les cercles de Tombouctou (Commune de Ber et Salam) et Bourem (Commune de Tarkint) à la collecte des informations sur les prix des animaux et des denrées alimentaires sur les différents marchés visités. III. Méthodologie L étude a été, concomitamment, menée par la Direction Régionale des Productions et Industries animales sur la commune de Salam et par les agents techniques (vétérinaires) de l équipe mobile du projet sur les communes de Ber et de Tarkint. Les entretiens ont porté sur le disponible fourrager sur 31 sites au total. Les prix des animaux et des produits (mil et aliments bétail) ont été relevés au cours de l enquête. Les enquêtes ont été administrées dans la première quinzaine du mois d octobre Cette période permet d identifier les potentiels et gap en terme de ressources fourragères puisqu il n y a plus de pluie jusqu au mois de juillet suivant. A cette période, les éleveurs envisagent les différentes destinations pour leur transhumance en fonction des informations qu ils ont recueillies via les échanges entre éleveurs au niveau des puits. Certains gros éleveurs envoient même des missions avec leur véhicule pour s enquérir de la disponibilité de pâturage et négocier l accès aux puits. Cette année avec l insécurité et le départ de la quasi-totalité des familles nanties, très peu de missions de ce type ont eu lieu. 2
3 IV. Résultats de l étude Les résultats présentés ici sont issus de la synthèse des fiches d enquêtes réalisées par les équipes mobiles et le rapport de la Direction Régionale des Productions et Industries Animales de Tombouctou. Les pâturages de la zone sont composés de graminées annuelles (cenchrus biflorus), de graminées pérennes (panicum turgidum) et d arbustes. L étude a révélé que les pâturages exondés, surtout à Tombouctou sont à un état très moyen à mauvais avec plus de 65% assèchement des herbes sur plusieurs sites. Sur tous les sites couverts par l équipe du projet au Nord de Tombouctou et dans les sites enquêtés sur la commune de Tarkint à Gao, le disponible fourrager ne satisfait pas les besoins jusqu en juillet 2014 au mieux qu à 50 %. Sur l ensemble des sites visités, l état actuel des pâturages ne pourra pas couvrir le besoin de broutage aux animaux jusqu en période de soudure et il faut prévoir la fin de la disponibilité du pâturage herbacé en fin février début mars Après la fin des pâturages herbacés, le recours est l émondage ou la coupe des arbustes pour essayer de sauver les animaux. Cartographie sur la capacité de couverture des pâturages sur le Nord de Tombouctou et de Gao 3
4 Concernant le maillage des puits qui servent d abreuvement aux animaux et à la population, il est généralement acceptable avec une bonne disponibilité de l eau. Toutefois certains puits doivent être réhabilités (surcreusement, aménagement de surface). A la même période, l état d embonpoint des animaux est moyen à bon sur l ensemble des sites visités du fait que l on soit en sortie de saison des pluies. Il est à noter que les pâturages de saison sèche et chaude ont commencé à être exploités alors qu en année moyenne ces pâturages ne sont utilisés qu à partir de mars. Prix moyen (FCFA) des animaux, mil et aliment bétail sur la zone d intervention en octobre 2013 Commune Chèvre Bouc Bélier Brebis Mil (100 kg) Aliment bétail (100 kg) Salam Ber Tarkint Les prix des animaux restent élevés du fait qu ils sont actuellement en bon état. La difficulté reste de trouver des acheteurs car plus de 90 % des animaux sont normalement vendus vers l Algérie. Or ce circuit tourne actuellement au ralenti. Le prix de l aliment bétail reste aussi élevé. Le prix du mil reste élevé pour la période du fait de l enclavement. On constate toutefois la baisse du prix puisqu en septembre le prix du mil était d environ FCFA. Cette baisse devrait se poursuivre notamment sur le Nord de Tombouctou du fait de la création d une nouvelle piste d approvisionnement entre le nord et la frange fluviale et par la relance de certains marchés en zone intermédiaire (50-70 kms du Nord du fleuve). 4
5 V. Perspectives - Risque très élevé de perte d animaux (le principal moyen d existence des populations) ; - Risque de concentration d hommes et d animaux sur certains puits pouvant entrainer des épidémies ; - Les temps d abreuvement qui sont déjà de 4 à 5 heures par troupeau risquent de s accroître diminuant ainsi le temps de parcours pour le pâturage ; - Risque de conflits autour de puits recevant trop de troupeaux par rapport à la disponibilité en eau. VI. Propositions d appui : - Aide directe en aliment bétail pour les populations pauvres et très pauvres : les familles nanties et moyennes peuvent acheter l aliment (certains enquêtés ont commencé la complémentation en aliment bétail (prix de FCFA/50 kg en octobre 2013 sur Nord Tombouctou et Commune de Tarkint) ; - Déparasitage et complément oligoélément généralisé : il n y a pas de services vétérinaires sur la zone d intervention et donc même les familles nanties n ont pas accès à la santé vétérinaire ; - Réhabilitation de points d eau sur les zones où des pâturages existent ; - Amélioration des moyens d exhaure sur les puits recevant un afflux d animaux ; - Déstockage d animaux pour compenser l absence ou la réduction des échanges commerciaux avec redistribution locale de la viande pour les familles très pauvres et pauvres ; - Chloration des puits sur les zones accueillant un nombre important d animaux (les puits servent aussi pour l alimentation en eau potable de la population) ; - Suivi de l évolution des mouvements de population et des épizooties et adaptation du service de santé à ces mouvements de population. VII. Conclusions : La période de soudure pastorale s annonce très précoce pour 2014 sur une grande partie du Nord Mali (zone du Haoussa, rive gauche du fleuve) et il est à craindre un taux de mortalité des animaux très élevé dû au manque d alimentation et au manque d accès aux services vétérinaires. Sachant que : - l élevage est la principale source de revenu - que cet élevage sert de caution aux familles vulnérables pour obtenir des crédits locaux qui couvrent entre 30 et 40 % de leurs achats alimentaires - que ces zones subissent les effets de l occupation armée depuis 2 ans - que ces populations demeurent très enclavées jusqu à présent (insécurité, tensions sociales, dispersion pour la recherche de pâturage, éloignement des pistes) - que les collectivités locales et services techniques reprennent depuis peu leurs activités Il est important que la zone pastorale dans sa partie haoussa soit appuyée précocement sur 2014 à la fois en terme d appui d urgence mais aussi pour renforcer la capacité de résilience des populations, la cohésion sociale, les marchés et l appui aux collectivités pour éviter de pérenniser une aide d urgence. Toutes les couches de la population seront affectées par cette crise touchant les animaux. 5
6 Zone d enquêtes terrain AVSF/ADESAH/DRPIA Tombouctou Fonds de carte : Photo satellite traitée, ACFE, sur les anomalies de biomasse pour octobre En rouge figurent les anomalies négatives en termes de biomasse par rapport à la moyenne d années antérieures. En vert foncé, les excédents de biomasse par rapport à la moyenne. 6
les cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détail* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.
(< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailBANQUE ALIMENT BETAIL Présenté par Seidi Mohamed Abdourahmane
Association : Conscientisation et Réflexion pour la Promotion de L Elevage. (ACRPE) Arrêté n 0033/MI/SP/D/DGAPJ/DLP BP : 24 Tahoua Tel : 96 59 05 77 E-mail : ass.acrpea@yahoo.fr BANQUE ALIMENT BETAIL Présenté
Plus en détailLa cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental
Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailCrédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements?
AGRONOMES ET VETERINAIRES SANS FRONTIERES Crédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements? Réflexion concernant les différentes modalités de crédit proposées dans le cadre du projet d
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailPLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE LOBOUGOULA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 CONTEXTE. Evénements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailLe pastoralisme au Sahel : Module d animation et de formation de l IIED-ARED. Note d information générale
Le pastoralisme au Sahel : Module d animation et de formation de l IIED-ARED Note d information générale Contacts Ced Hesse et Su Fei Tan (IIED) : ced.hesse@iied.org; sufei.tan@iied.org Sonja Fagerberg-Diallo
Plus en détailElevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois
RÉFÉrences - Réseau Économique de la Filière Équine Haute-Loire Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois Cet élevage de trait Comtois
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailRéférences technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011
Références technico-économiques Palmipèdes gras Année 2011 FILIERE LONGUE : ELEVAGE 1-Les points clés de «l'atelier type» élevage d'aujourd'hui DESCRIPTIF 36 000 Volume animal /an 6 000 6 Nb de bandes
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailLes stocks de proximité : enjeux, opportunités et limites. Le cas des pays du Sahel
Les stocks de proximité : enjeux, opportunités et limites. Le cas des pays du Sahel Roger Blein, Bureau Issala La crise alimentaire induite par la hausse des prix a relancé le débat sur la régulation des
Plus en détailACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire.
Chargé de Logistique RDC Closing date: 04 Sep 2015 I. ACTED ACTED ACTED est une association de solidarité internationale française qui a pour vocation de soutenir les populations vulnérables de par le
Plus en détailRAPPORT DE FIN DE CYCLE
1 MINISTERE DE L ENSEIGNEMENTS SUPERIEUR MALI ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Foi REPUBLIQUE DU Un Peuple - Un But - Une ----------- ----------- Direction Nationale de l'enseignement Supérieur et de la
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailSystème d information sur le pastoralisme au Sahel. Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel 1970-2012
Système d information sur le pastoralisme au Sahel Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel 1970-2012 Préface : L élevage pastoral sahélien joue un rôle prépondérant dans l économie des pays
Plus en détailLe bien-être animal en action : programme canadien d assurance qualité à la ferme
Colloque sur la production porcine «Comment faire autrement?» Le mardi 7 novembre 2006, Hôtel Universel Best Western, Drummondville Le bien-être animal en action : programme canadien d assurance qualité
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailTitle: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708
Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Language: English Translations: French Country: Botswana
Plus en détailPréparation aux transferts monétaires Evaluation des risques et possibilités
Préparation aux transferts monétaires Evaluation des risques et possibilités Régions de Gao et Sikasso, Mali Mars 2013 par Jessica Saulle Sandra Garcia Sidiki Diarra Cheick Diallo & Mahamane Dedeou Maiga
Plus en détailL EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue
L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION
Plus en détailMinistère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)
Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailPLAN STRATEGIQUE DE DEVELOPPEMENT DE LA
CROIX-ROUGE MALIENNE Reconnue d utilité publique par decret No.123 du 23 septembre 1965 PLAN STRATEGIQUE DE DEVELOPPEMENT DE LA CROIX- ROUGE MALIENNE Période : 2010-2014 Juin 2010 1 Préface et Remerciements
Plus en détail23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)
23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailUniversita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale
Universita Degli Studi di Milano Facoltà di Agraria Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Seminari del CICSAA Centro Interuniversitario per la Cooperazione allo Sviluppo
Plus en détailFoire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST
Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 1. Introduction Au Sahel, environ
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailSYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA
SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailCoordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 10 JUILLET 2013
Le Mercredi 10 Juillet 2013 entre 09h et 11h, s est tenue dans la salle Déniba de l UNICEF, la 13 ème réunion de l année 2013 de Coordination du CLUSTER Nutrition Mali. Elle a été présidée par Mme Anne
Plus en détailL UDOPER: une OP construite sur la base des marchés à bétail autogérés
L UDOPER: une OP construite sur la base des marchés à bétail autogérés A- Présentation de l UDOPER et de ses relations avec les marchés à bétail a. Les marchés à bétail et la naissance de l UDOPER Sur
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailMISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN. Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010
MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010 James Léon-Dufour, Physical Site Planner ERT/UNCHR Abraham Asondou, Field Program
Plus en détailAccès aux services et structuration des éleveurs laitiers du département de Dagana Asstel Dagana Réflexions phase 2 Comité pilotage du 24 avril 2015
Accès aux services et structuration des éleveurs laitiers du département de Dagana Asstel Dagana Réflexions phase 2 Comité pilotage du 24 avril 2015 Un projet soutenu par : Avec la participation de : Quelques
Plus en détailGestion économique du produit agricole, dossier 3, Arnaud Diemer, IHEDREA, MCF Clermont-Ferrand LES MARCHES A TERME
LES MARCHES A TERME Institut des Hautes Etudes en Droit Rural et Economie Agricole 1 PLAN I ) CARACTERISTIQUES DES MARCHES A ) Objectifs B ) Fonctions C ) Conditions d existence D ) Types d intervention
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailasah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5
AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre
Plus en détailCOMPTE-RENDU DE L ATELIER REGIONAL DU PROGRAMME PILOTE LEAD «PASTORALISME ET ENVIRONNEMENT AU SAHEL»
COMPTE-RENDU DE L ATELIER REGIONAL DU PROGRAMME PILOTE LEAD «PASTORALISME ET ENVIRONNEMENT AU SAHEL» ELABORATION D UN SYSTEME D INFORMATION PASTORALISME ET ENVIRONNEMENT AU SAHEL (SIPES) Ouagadougou, Soritel
Plus en détailBAREME GENERAL DES CONDITIONS DE BANQUE
BANQUE COMMERCIALE DU NIGER (B.C.N) BAREME GENERAL DES CONDITIONS DE BANQUE I- du compte 1.1 Conditions d ouverture et de clôture de compte 1.1.1 Ouverture de compte (avec remise de la Convention de compte)
Plus en détail2 eme REUNION PREPARATOIRE REGION AFRIQUE DE LA CONFERENCE MONDIALE DES TELECOMMUNICATIONS (CMDT 10)
MINISTERE DE LA COMMUNICATION ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES * Comité de Régulation des Télécommunications* REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi 2 eme REUNION PREPARATOIRE REGION AFRIQUE DE LA CONFERENCE
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailComment évaluer la sécurité alimentaire? Guide pratique pour les Sociétés nationales africaines
Comment évaluer la sécurité alimentaire? Guide pratique pour les Sociétés nationales africaines Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge Toutes les parties de cette
Plus en détailIntroduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité
Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée
Plus en détailLe warrantage ou crédit stockage : un moyen pour les paysans de mieux valoriser leurs produits et une sécurisation du financement rural
Le warrantage ou crédit stockage : un moyen pour les paysans de mieux valoriser leurs produits et une sécurisation du financement rural Janvier 2007 Cécile Beaure d'augères, Afdi Afdi (Agriculteurs français
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailCoordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 07 Novembre 2012
Compte-Rendu de la Réunion du Le mercredi 07 novembre 2012 entre 09h et 11h, s est tenue dans la salle Déniba de l UNICEF, la 32 ème réunion de la Coordination du CLUSTER Nutrition Mali. Elle a été présidée
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailPLAN DE LA PRESENTATION
Présenté par: MAILELE Djibril Amadou, Directeur Production & Transport - NIGELEC PLAN DE LA PRESENTATION 1. CONTEXTE 2. AVENNEMENT DE LA PANNE 3. CONSEQUENCES DE LA PANNE 4. SOLUTION DU DEPANNAGE DEFINITIF
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailSCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT
SCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT (s appliquant aux projets d aide d urgence, de réhabilitation/ reconstruction et de prévention/ réduction des risques et de résilience) Le rapport final
Plus en détailAVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?
AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français
Plus en détailI. Se connecter sur : http://www.chiens-de-france.com
MODE D EMPLOI 1 SOMMAIRE I. Se connecter sur : http://www.chiens-de-france.com...3 II. Créez votre site internet sur chiens-de-france.com...4 A. Validation des sites...5 Options des sites...5 Dressage...5
Plus en détailPRESENTATION DE L AMAB ET DE SES PRODUITS
PRESENTATION DE L ET DE SES PRODUITS PRESENTATION L Assurance Mutuelle Agricole du Bénin en abrégé est une société d assurance mutuelle (SAM) à cotisations fixes avec conseil d administration, régie par
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailRÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015
LE RÉSEAU DES SERVICES DE COMPTABILITÉ ET DE FISCALITÉ DE L'UPA RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015 AVIS Prenez note que les mesures fiscales du budget du Québec ne sont pas
Plus en détailPortefeuille de projet
Portefeuille de projet MALI I. PROJETS RÉCEMMENT ACHEVÉS Projet d Aménagement Périmètre Irrigué de Manikoura (PAPIM) FAD- FAT 2002-08 15 604 millions FCFA Aménagement hydro-agricole de 1 094 ha Développement
Plus en détailRéalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire
Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire Village de Lakoulé, Commune rurale de Koréra-Koré, Cercle de Nioro-du-Sahel, Mali Rapport d avancement n 4 au 20/08/2013 Ce rapport conclut la
Plus en détailProgressons vers l internet de demain
Progreon ver l internet de demain COMPRENDRE LA NOTION DE DÉBIT La plupart de opérateur ADSL communiquent ur le débit de leur offre : "512 Kb/", "1 Méga", "2 Méga", "8 Méga". À quoi ce chiffre correpondent-il?
Plus en détailL'ARBRE A PALABRES. La note d'information des Médecins de l'espoir Bulletin N 4 octobre 2013 MEDES/SAPCOM MEDES/SAPCOM 74
L'ARBRE A PALABRES La note d'information des Médecins de l'espoir Bulletin N 4 octobre 2013 MEDES/SAPCOM MEDES/SAPCOM 74 Chez Chantal WOODTLI Chez Annick TITONE Avenue des Tilleuls 6 205 Rue des Rossets
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailPRESENTATION DES PROGRAMMES
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION DISCIPLINE - TRAVAIL PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE (PNIA 2010 2015) PRESENTATION DES PROGRAMMES ((Documentt proviissoiire)) Mai 2010 Table des matières
Plus en détailProfessions libérales Artisans Commerç ants Petites entreprises Auto-entrepreneurs PROTÉGER VOTRE ACTIVITÉ ET VOTRE FAMILLE
Professions libérales Artisans Commerç ants Petites entreprises Auto-entrepreneurs PROTÉGER VOTRE ACTIVITÉ ET VOTRE FAMILLE VOUS AVEZ DES BESOINS PROS NOUS AVONS DES SOLUTIONS PROS Un accident, un sinistre
Plus en détailIngénieur en prévention des risques
Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour
Plus en détailQU EST-CE QUE LA RFID?
QU EST-CE QUE LA RFID? Lorraine Apparue dans les entreprises au cours des années 80, la Radio Frequency Identification (RFID) permet de reconnaître, à plus ou moins grande distance, un objet, un animal
Plus en détailCOMPTE RENDU DE LA REUNION DU GROUPE TECHNIQUE DE TRAVAIL «Transferts Monétaires»
COMPTE RENDU DE LA REUNION DU GROUPE TECHNIQUE DE TRAVAIL «Transferts Monétaires» Date : 2 Mai 2013 Lieu : Bureau ONG ASB / quartier Camping Participants : ACF Espagne - ACTED - ASB - CaLP -CFS (Cellule
Plus en détailProgramme d aménagement intégré de quartiers informels de Port-au-Prince : Martissant et Baillergeau (AIQIP)
Programme d aménagement intégré de quartiers informels de Port-au-Prince : Martissant et Baillergeau (AIQIP) 1. Synthèse + plan Programme d aménagement intégré de quartiers informels de Port-au-Prince
Plus en détail