MIE 88. Prévention, diagnostic et suivi des infections génitales de la femme : le bon usage des examens biologiques.
|
|
- Caroline Patel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MIE 88. Prévention, diagnostic et suivi des infections génitales de la femme : le bon usage des examens biologiques. I. OBJECTIFS Items ENC concernés : Item ENC 88. Infections génitales de la femme. Leucorrhées. Item ENC 4. Evaluation des examens complémentaires dans la démarche médicale : prescriptions utiles et inutiles. Item ENC 95. Infections sexuellement transmissibles (IST) : gonococcie, chlamydiose. Objectifs du cours : *Connaître les indications des examens biologiques dans le diagnostic d une infection génitale de la femme. *Citer les principaux agents infectieux impliqués et savoir prescrire les examens qui permettent leur mise en évidence. *Savoir prescrire le bilan biologique complémentaire pour dépister une autre IST associée II. DIFFERENTS TYPES DE PRELEVEMENTS MICROBIOLOGIQUES II.1. Prélèvement vaginal : recueil des sécrétions vaginales sur 1 ou 2 écouvillons avec milieu de transport bactériologique standard. Les sécrétions sont prélevées au retrait du speculum (paroi vaginale, cul de sac vaginal post). II.2. Prélèvement endocol : mise en place du spéculum ; après nettoyage de exocol avec antiseptique, introduire dans endocol, puis faire tourner 1 écouvillon avec milieu de transport bactério (gonocoque), puis un écouvillon avec milieu de transport spécifique pour Chlamydia et mycoplasmes génitaux II.3. Prélèvement urétral : recueil (si possible le matin) de écoulement purulent au méat urétral sur 2 écouvillons (1 bactério standard et 1 avec milieu de transport Chlamydia) ; sinon introduire 2 écouvillons fins sur 1 ou 2 cm dans urètre (1 bactério standard et 1 avec milieu de transport Chlamydia) II.4. Recueil du premier jet urinaire : recueil (si possible le matin) de 5 10 ml du début de miction (équivalent du prélèvement urétral) II.5. Prélèvements spécialisés : Prélèvement par ponction du CDS Douglas par voie intravaginale (si abcès du Douglas) 1
2 Prélèvements tubo péritonéaux sous coelioscopie : recueil de liquide ou pus au niveau du site infectieux (salpingite, pelvi péritonite, ) II.6. Règles de bonne prescription des examens microbiologiques : Noter sur l ordonnance accompagnant le(s) prélèvement(s) les éléments indispensables à la bonne réalisation et interprétation des examens: date et heure de prélèvement, nature précise de l échantillon, renseignements cliniques, demande explicite pour la recherche d agents infectieux particuliers (Chlamydia, mycoplasmes génitaux) +++ Tableau 1. Prélèvements génitaux chez la femme en fonction de l agent infectieux recherché Prélèvement Germes recherchés Vaginal Endocol Urètral / 1 er jet urinaire Coelioscopie / Ponction CDS Douglas Gonocoque (Neisseria PCR uniquement gonorrhoeae) (pas en routine) Chlamydia trachomatis PCR (dépistage : +++ PCR ++ PCR +++ PCR auto prélèvement) Mycoplasmes génitaux (Mycoplasma hominis, Mycoplasma genitalium, Ureaplasma sp) Candida albicans, Candida sp +++ Trichomonas vaginalis Examen direct pour recherche Gardnerella vaginalis +++ Vaginose bactérienne Bactériologie standard (bactéries commensales, anaérobies) ++ Vaginite bactérienne ++ Endométrite +++ Salpingite, pelvi péritonite III. ELEMENTS DU DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE EN FONCTION DU TABLEAU CLINIQUE ET/OU DE AGENT INFECTIEUX III.1. Infections génitales basses : III.1.1 Ulcérations génitales : Chancre syphilitique, Herpès génital? Cf Items ENC III.1.2 Leucorrhées : Diagnostic étiologique microbiologique non indispensable si clinique évocatrice (ex : vulvovaginite candidosique (Candida albicans, Candida sp)) Indications du prélèvement vaginal : *Signes cliniques atypiques *Echec d un premier traitement ou récidive 2
3 *Suspicion ou signes d infection génitale haute associée : Cf III.3. Inf génitales hautes *En cas d urétrite chez le partenaire ou de contexte évoquant une IST : Cf III.2. Bilan IST Eléments du diagnostic étiologique microbiologique : *Vulvo vaginite candidosique (Candida albicans+++, Candida sp): +++ Remarque : Portage vaginal (non symptomatique) chez 15 20% femmes, issu de flore commensale digestive. Prélèvement vaginal (Examen direct + culture) : Présence de spores et de filaments mycéliens à l examen direct (état frais ou coloration de gram) Levure à l état parasitaire. Frottis non inflammatoire (absence de leucocytes) Coloration de Gram : Présence de spores et de filaments mycéliens Pas de diagnostic sérologique +++ *Vulvo vaginite à Trichomonas vaginalis (Trichomonose) : +++ Réservoir strictement humain Contamination interhumaine : IST. Pas de portage. Traitement indispensable de la patiente et du(des) partenaire(s). Acheminement rapide du prélèvement vaginal au laboratoire +++ : parasite n existe que sous forme végétative, non résistante dans le milieu extérieur. Pas de forme kystique de résistance. Prélèvement vaginal (Examen direct) : Mise en évidence du parasite à l état frais (mobilité++) ou après coloration MGG à l examen direct microscopique. Frottis inflammatoire (présence de leucocytes) Pas de culture, ni de diagnostic sérologique +++ IST) Bilan d IST chez la patiente. Proposer le bilan également chez le partenaire. (Cf III.2 Bilan *Vaginose bactérienne : Prélèvement vaginal (Examen direct) : Frottis non inflammatoire (absence de leucocytes). Présence de «Clue cells» : cellules épithéliales tapissées de bactéries. 3
4 Déséquilibre de la flore vaginale : Disparition des Lactobacilles (Bacilles à Gram positif = Flore de Doderlein), prolifération +++ des autres bactéries (Gardnerella vaginalis ++, bactéries anaérobies, Mobiluncus, mycoplasmes génitaux). Flore normale : Lactobacilles Flore de vaginose bactérienne et «clue cells» Diagnostic de vaginose bactérienne : Association de Leucorrhées grisâtres malodorantes ph vaginal > 4,5 Amine test ou Sniff test ou test à la potasse positif Critères bactériologiques à l examen direct : Présence de «Clue cells» Flore de vaginose : disparition des lactobacilles et prolifération des autres morphotypes (Score de Nugent 7) Remarque 1 : Le traitement de la vaginose bactérienne est indiqué dans le cas où la patiente consulte en raison de l inconfort lié aux leucorrhées malodorantes. Chez la femme enceinte : il est recommandé de pratiquer un prélèvement vaginal pour rechercher une vaginose bactérienne en début de grossesse en cas d antécédent d accouchement prématuré. Toute vaginose doit être traitée ++ (car augmentation du risque d accouchement prématuré) Remarque 2 : Vaginite bactérienne : Diagnostic différentiel de vaginose bactérienne Prélèvement vaginal (Examen direct + culture) : Frottis inflammatoire (présence de leucocytes +++). Prédominance d un ou plusieurs types de bactéries issues de la flore digestive ou oro pharyngée : E. coli, Staphylococcus aureus, Streptococcus agalactiae, Haemophilus influenzae, Streptococcus pyogenes, Streptococcus pneumoniae, bactéries anaérobies. 4
5 Remarque : Point de départ possible d une infection génitale haute par voie ascendante (endométrite) Cf III.3. Inf génitales hautes III.1.3 Cervicites ou Endocervicites (+/ Urétrites): Souvent asymptomatiques chez la femme +++ (70% cas). Révélation le plus souvent au stade d infection génitale haute ou de complications. Toute suspicion d urétrite ou cervicite doit être confirmée microbiologiquement : un prélèvement bactériologique avant la mise en route du traitement antibiotique est indispensable. Eléments du diagnostic étiologique microbiologique : Agents infectieux responsables : Neisseria gonorrhoeae, Chlamydia trachomatis. Association fréquente de ces 2 bactéries responsables d IST : à rechercher en systématique +++ *Diagnostic de gonococcie (Neisseria gonorrhoeae) : Réservoir strictement humain Contamination interhumaine : IST. Pas de portage. Traitement indispensable de la patiente et du(des) partenaire(s). Prélèvement endocol +/ prélèvement urétral : examen direct + culture. Acheminement rapide du prélèvement au laboratoire +++ Frottis inflammatoire (présence de leucocytes). Présence de cocci à Gram négatif (souvent par 2 = diplocoques) extra et intra leucocytaires +++. La culture de la bactérie permet la réalisation de l antibiogramme +++ Recherche par PCR possible, mais pas encore en routine. Ne permet pas la réalisation d un antibiogramme. Pas de diagnostic sérologique +++ 5
6 *Diagnostic d une infection à Chlamydia trachomatis: Bactérie intracellulaire stricte +++. Prélèvement endocol + 1 er jet urinaire +/ Prélèvement urétral : Recherche par PCR ++ Acheminement rapide du prélèvement au laboratoire +++. Utiliser milieu de transport spécifique. Remarque : Pas d examen direct (peu sensible), ni de culture bactériologique standard (bactérie intracellulaire). Culture cellulaire non réalisée en routine. Pas d indication de la sérologie dans le diagnostic des infections génitales basses non compliquées +++ III.2. Bilan pour recherche d infections sexuellement transmissibles (IST) associées Sérologie HIV (avec accord de la patiente ++) Sérologie hépatite B (Ag HBs, Ac anti HBs, Ac anti HBc) Sérologie Syphilis (TPHA, VDRL) Remarque : Sérologie hépatite C (Ac anti HCV) : si contexte de toxicomanie ++ ou transfusion sanguine, transmission sexuelle rare. Proposer le bilan chez le(s) partenaire(s) également +++ III.3. Infections génitales hautes (endométrite, salpingite, pelvi péritonite) III.3.1 Principes du diagnostic biologique : Le bilan étiologique bactériologique : doit être systématique mais peu contributif : infection souvent pluri microbienne, difficultés pour la réalisation de prélèvements corrects et pour l interprétation des résultats. NE DOIT PAS RETARDER LA MISE EN ROUTE EN URGENCE DU TRAITEMENT ANTIBIOTIQUE A LARGE SPECTRE +++ 6
7 III.3.2 Rappel physiopathologique et agents pathogènes responsables : Le col utérin correspond à un verrou microbiologique très efficace : l infection utéro annexielle nécessite que les bactéries franchissent ce verrou. *Soit la bactérie a la capacité intrinsèque (facteurs de pathogénicité propres à la bactérie) de franchir le col utérin = Agents responsables d IST : Chlamydia trachomatis ++, Neisseria gonorrhoeae (ou gonocoque) ++, Mycoplasma genitalium Endocervicites +++ puis infection ascendante vers utérus et trompes : Salpingite Pelvi péritonite +/ Complications (stérilité, GEU) *Soit la bactérie profite d une opportunité : liée à la patiente (avortement, accouchement, tumeur, malformation), ou liée à un acte médical (tout acte diagnostic ou thérapeutique par voie basse : stérilet, hystéroscopie, hystérographie, ) = Bactéries commensales présentes dans la flore vaginale Endométrites +++ Soit bactéries issues de la flore digestive (Escherichia coli +++, autres entérobactéries, Streptocoque du groupe B (Streptococcus agalactiae), bactéries anaérobies, Staphylococcus aureus Soit, plus rarement, bactéries issues de la flore oropharyngée (Haemophilus influenzae, Streptocoque du groupe A (Streptococcus pyogenes), Pneumocoque (Streptococcus pneumoniae) Remarque : Association bactérienne fréquente ++ Evolution : Endocervicite ou endométrite Infection ascendante Salpingite Pelvi péritonite III.3.3 Prélèvements à réaliser : *Si endométrite : Prélèvement endocol +++ (recueil de pus endo utérin) Recherche Bactériologie standard ++, Gonocoque, Chlamydia *Si salpingite ou pelvi péritonite: Prélèvement urétral ou 1 er jet Recherche Gonocoque, Chlamydia Prélèvement endocol +/ prélèvements tubo péritonéaux Recherche Gonocoque, Chlamydia, Bactériologie standard Hémoculture (si fièvre) Bactériologie standard NFS, CRP Sérologie Chlamydia trachomatis Remarque : Pas de diagnostic sérologique pour Neisseria gonorrhoeae +++ Bilan autres IST suivant le contexte : Cf III.2. Bilan IST 7
8 Sérologie Chlamydia trachomatis: Indications Pas d indication de la sérologie dans les cas suivants (non remboursement par CPAM): Dépistage d une infection à Chlamydia trachomatis Diagnostic d une infection génitale basse à Chlamydia trachomatis Suivi après traitement Aide au diagnostic chez adulte : Recherche d IgG Diagnostic d une infection génitale haute Evaluation de la dissémination quand infection basse certifiée (PCR positive) Suspicion de lymphogranulomatose vénérienne (LGV) : rectite, ulcération génitale Bilan d hypofertilité du couple Diagnostic d une arthrite réactionnelle ou d un syndrome de Fiessinger Leroy Reiter Aide au diagnostic chez nouveau né: Recherche d IgM Suspicion de pneumopathie atypique Glossaire : IST : Infection sexuellement transmissible (symptomatique ou non cliniquement), GEU : Grossesse extra utérine NFS : Numération formule sanguine, CRP : C reactive protéine (marqueur de l inflammation) Ag : Antigène, Ac : Anticorps, IgG : Immunoglobulines G, IgM : Immunoglobulines M, HIV : virus de l immunodéficience humaine TPHA : Treponema pallidum Haemagglutination Assay. Méthode à antigène tréponémique. VDRL : Veneral Disease Research Laboratory, test d agglutination des réaginines syphilitiques. Méthode à antigène non tréponémique. CPAM : Caisse primaire d assurance maladie Bibliographie : Item 88 : Infections génitales de la femme. Leucorrhées. CNGOF UMVF nantes.fr/gynecologieet obstetrique/enseignement/item88/site/html/cours.pdf Item 88 : Infections génitales de la femme. Leucorrhées. Préparation ECN CMIT. Pilly ECN item_88.pdf Maladies infectieuses et tropicales. E. Pilly. Collège des universitaires de maladies infectieuses et tropicales (CMIT)
Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailPrévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailGUIDE POUR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
GUIDE PR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ Catalogage à la source : Bibliothèque de l OMS Organisation mondiale de la Santé. Guide pour la
Plus en détailDIAGNOSTIC BACTERIOLOGIQUE DIRECT D UNE INFECTION
DIAGNOSTIC BACTERIOLOGIQUE DIRECT D UNE INFECTION Les prélèvements, principales bactéries en cause, interprétation. Maryse ARCHAMBAUD Danielle CLAVE DCEM 1 Laboratoire de Bactériologie-Hygiène Faculté
Plus en détailPRÉVENTION ANTÉNATALE DU RISQUE INFECTIEUX BACTÉRIEN NÉONATALE PRÉCOCE
PRÉVENTION ANTÉNATALE DU RISQUE INFECTIEUX BACTÉRIEN NÉONATALE PRÉCOCE SEPTEMBRE 2001 Recommandation pour la pratique clinique Service recommandations et références professionnelles Dans la même collection
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailComplément québécois. C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s
S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a H e r p è s g é n i t a l C o n d y l o m e s G o n o r r h é e L G V S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a Herpès génital Condylomes Gonorrhée LGV Syphilis VIH
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailMaladies transmises sexuellement (MTS)
Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailExtrait des Mises à jour en Gynécologie et obstétrique
COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur J. Lansac Extrait des Mises à jour en Gynécologie et obstétrique Tome XXX publié le 29.11.2006 TRENTIÈMES JOURNÉES NATIONALES
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailMICROBIOLOGIE. 1. Strep A et Urine Slide. 2. Coloration de Gram 3. Virologie (HCV, HBV, HIV)
MICROBIOLOGIE 1. Strep A et Urine Slide (page 1) 2. Coloration de Gram (page 1) 3. Virologie (HCV, HBV, HIV) (page 1) 4. UKNEQAS Microbiology (page 2) 5. QCMD (page 4) Les programmes 1, 2 et 3 sont organisés
Plus en détailInterprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012
Interprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012 Barbara KULI CHU de la Réunion Service de Médecine Interne, Unité des Maladies Infectieuses Service d'immunologie Clinique, CDAG, CIDDIST Cas Mr M 58 ans
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailÉvaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004
Rapport Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004 UNITÉ SCIENTIFIQUE SUR LES INFECTIONS TRANSMISSIBLES
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailDiagnostic des infections bactériennes : quelle place pour la biologie moléculaire?
Diagnostic des infections bactériennes : quelle place pour la biologie moléculaire? Dr Ghislaine Descours Laboratoire de Bactériologie, Centre de Biologie Est DUCIV, 15 octobre 2014 Objectifs! Connaître
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailSommaire de la séquence 7
Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLa «période fenêtre» des ITSS
Les ITSS II : comment relever le défi La «période fenêtre» des ITSS pour optimiser et non empêcher la prévention! Marc Steben et Rhonda Y. Kropp 4 Josée a eu des relations sexuelles extraconjugales sans
Plus en détailSanté sexuelle: avis de tempête, sors couverte!
www.hup-ado.be Respecte-toi. Protège-toi. Santé sexuelle: avis de tempête, sors couverte! Prévention du cancer du col de l utérus Les MST, c est quoi? Dr. Love La vaccination contre le HPV 6 Check this
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailNOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION
NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailNaissance prématurée. Prédiction et prévention : défis et opportunités
Naissance prématurée Prédiction et prévention : défis et opportunités Contenu Qu est-ce qu une naissance prématurée?...3 Définition...3 Taux de naissances prématurées...5 Pourquoi s en inquiéter?...6
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition sexuelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition sexuelle Introduction Ce document concerne l évaluation de l adulte et de la femme enceinte, il ne concerne pas l enfant ni l adolescent. Il se limite à la prise
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailDonnées épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque
Dépistage et prévention du cancer du col de l utérus Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé (EPS) Juin 2013 État des connaissances sur le cancer du col de l'utérus Données
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailAPPORT DU DIAGNOSTIC MOLECULAIRE EN PATHOLOGIE INFECTIEUSE. Service de Microbiologie Hôpital Robert-Debré
APPORT DU DIAGNOSTIC MOLECULAIRE EN PATHOLOGIE INFECTIEUSE Service de Microbiologie Hôpital Robert-Debré 1 Diagnostic Bactériologique Isolement bactérie sur milieu de culture Caractérisation phénotypique
Plus en détailBIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR
BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR Ph. Biol. Jean Darimont Pharmalouvain mars 2011 BIOLOGIE CLINIQUE 1. Technique 2. Organisation 3. Economique La Biologie Clinique est impliquée dans
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailRapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang
Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles
Plus en détailL audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation
L audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation Jean-Paul Klein a, *, Pierre-Olivier Bazin b RÉSUMÉ L audit est un outil de progrès et d aide à la décision au service de l entreprise et
Plus en détailMise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France»
Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» MISE AU POINT DE L ORGANISATION DU RESEAU EN FRANCE, EN 2003 : Aujourd hui, cinq établissements
Plus en détailÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH
ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH et le SIDA? ÉDITION 2014 FRANÇAIS SOMMAIRE SAVOIR PAGE 5 Qu est-ce que LE VIH? PAGE 6 Qu est-ce que LE SIDA? PAGE 7 Comment peut se transmettre le VIH? PAGE 8 Lors
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailVivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique
PRÉCAUTIONS POUR LES INDIVIDUS SANS RATE FONCTIONNELLE La rate, c est quoi? La rate est un organe situé du coté gauche, vers le haut de l abdomen, sous les côtes, derrière l estomac. Une rate normale a
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailLES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques
LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détail