MTEV Stratégie Diagnostique
|
|
- Sarah Marie-Josèphe Goulet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MTEV Stratégie Diagnostique Pr Anne LONG, Médecine Vasculaire Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux Hôpital Edouard Herriot Mars 2015
2 MTEV TVP et EP : les 2 manifestations aiguës de la MTEV Epidémiologie : Incidence > cas / an en France, 5 à DC avec âge Gravité : DC Mal post-phlébitique, hypertension artérielle pulmonaire Néoplasie sous jacente Trt anticoagulant : hémorragie grave 3 % / an
3 Thrombose veineuse profonde Symptomatologie Circonstances de survenue Score(s) de Probabilité D Dimères Imagerie du thrombus : Echodoppler +++
4 Thrombose veineuse profonde MI Triade de Virchow Stase veineuse Altération de la paroi veineuse : lésion endothéliale Hypercoagulabilité
5 TVP Proximale V. Soléaires TVP Distale
6 TVP Signes cliniques Douleur dans 60% des cas Dans le territoire de drainage Spontanée ou provoquée par l effort physique ou la pression Brutale > progressive Œdème : augmentation de volume du MI en amont de l obstacle Dilatation veineuse superficielle Coloration cyanique du membre inférieur Douleur le long d un trajet veineux Perte du ballottement du mollet Augmentation de la chaleur locale (rare) Fièvre, tachycardie
7 Œdème du MI gauche
8 Œdème du mollet et de la cheville
9 Dilatation des veines superficielles
10 TVP Signes cliniques Signes peu sensibles et peu spécifiques +++ F du niveau de la TVP et de son degré d obstruction
11 Signes selon le SITE de la TVP TV musculaire : Douleur +++
12 Signes selon le SITE de la TVP TV VCI : œdème bilatéral
13 Signes selon le SITE de la TVP V FSD A FCD V FPD V FCD TVP du confluent fémoral D + Gde saphène = Douleur + oedème de tout le MI
14 TVP récente
15 TVP Signes cliniques Vérifier s il existe ou non des signes d EP - Douleur thoracique - Dyspnée - Toux - Crachat hémoptoïque
16 TVP Signes cliniques Interrogatoire +++ à la recherche des circonstances de survenue : - FDR déclenchant(s) transitoire(s) majeur(s) - FRD déclenchant(s) transitoire(s) mineur(s) - FDR persistant(s) de TVP - Autre diagnostic possible?
17 Circonstances de survenue Facteurs déclenchants transitoires
18 Circonstances de survenue Facteurs de risque persistants
19 Circonstances de survenue (3) Le contexte ou la clinique peuvent ils faire évoquer un autre diagnostic? - Douleur brutale au cours d un effort - Augmentation de volume du creux poplité (rupture de kyste poplité) - Traitement par anticoagulant : hématome
20 TVP. Diagnostic positif Le tryptique - Score clinique - D Dimères - Echodoppler
21 Calcul de la probabilité clinique Quelle est la probabilité clinique de TVP? => Scores de probabilité => Stratégie diagnostique
22 1er Score de Wells. TVP Cancer actif (trt en cours ou de moins de 6 mois ou palliatif) Paralysie, paresis ou immobilisation plâtrée d un MI Alitement récent > 3 j ou chirurgie majeure < 4 sem Sensibilité d un trajet veineux profond Augmentation de volume du MI Augmentation de volume du mollet > 3 cm / MI aσ Œdème unilatéral prenant le godet Collatéralité veineuse non variqueuse Dg alternatif aussi ou plus probable que celui de TVP - 2 Calcul du score Forte probabilité clinique de TVP Probabilité intermédiaire de TVP Faible probabilité de TVP 3 ou plus 1 ou 2-1 ou 0 Wells Lancet 1997 ; 350 :
23 Score de Wells TVP Probabilité prétest % de pts avec TVP Elevée 75% Intermédiaire 16% Faible 3% Patients externes, ED : veine fémorale -> confluence des axes jambiers Pas de dosage des DDimères
24 «2 ème» Score de Wells TVP Cancer actif (trt dans les 6 derniers mois ou trt palliatif) Paralysie, parésie ou immob plâtrée récente d un MI Alitement récent 3 j ou chirurgie majeure ds les 12 dernières sem (AG ou Rég) Douleur localisée sur trajet veineux profond du MI Augmentation globale de volume du MI Augmentation de volume du mollet > 3 cm / MI aσ Œdème prenant le godet Veines superficielles collatérales (non variqueuses) ATCD de TVP documentée Dg alternatif aussi probable que celui de TVP Calcul du score TVP non probable TVP probable Wells NEJM 2003 ; 349 : < 2 2
25 2ème Score de Wells TVP Patients externes, ED : veine fémorale -> confluence des axes jambiers Combinaison avec le dosage des DDimères Conclusion En cas de probabilité faible (< 2) et de DD négatifs => Exclusion de la TVP => Pas d échodoppler, pas de traitement
26 Score empirique
27 Précis de Sémiologie
28 TVP. D Dimères Produits de dégradation de la fibrine Négatif si < 500 ng/ml (méthode Elisa) VPN = 95 à 98% Dosage inutile si grossesse K évolutif pathologie inflammatoire chirurgie récente (sujet âgé)
29 Stratégie diagnostique Probabilité faible (ou intermédiaire) => DD DD < 500 ng/ml : exclusion de la TVP DD 500 ng/ml : écho-doppler Probabilité forte ou DD non indiqués Traitement anticoagulant si probabilité forte Echodoppler
30
31 Place des autres examens AngioCT : en 2ème intention axes iliaques et VCI Phlébographie : n est plus réalisée
32 TVP?
33 TVP. Extension profonde d une TVS TV grande saphène atteignant la crosse -> VFC TV petite externe atteignant la crosse -> V Pop => ED systématique du réseau profond en cas de TVS
34 TVP. Evolution locale de la TVP Evolution du thrombus Maladie post-thrombotique Récidives
35 TVP. Evolution du thrombus Reperméabilisation totale Reflux Reperméabilisation partielle Pas de reperméabilisation Rétraction progressive de la veine Veines collatérales Syndrome obstructif => ED de référence à l arrêt du traitement
36 Séquelles de TVP Séq TV Pop G, LT Séq TV Pop G, Da Silv A
37 Séquelles de TVP Séq TV Pop G, Pag A
38 Séquelles de TVP Séq TV Ilio-fémG, Amia P
39
40 Embolie pulmonaire
41 Embolie pulmonaire
42 Scores de probabilité. Wells
43 Scores de probabilité. Genève
44 Algorithmes diagnostiques Prévalence réelle de 10 à 35 % en cas de suspicion clinique Qqs score de probabilité utilisé faible EP = 10% intermédiaire EP = 30% forte EP = 65 % Angiographie pulmonaire «gold standard» Probabilité clinique + Gravité DD Imagerie : AngioCT, scintigraphie pulmonaire, ED, échographie cardiaque
45 Critères diagnostiques validés pour le Dg d EP selon la probabilité clinique Valide Non valide Discuté
46 Critères diagnostiques validés pour le Dg d EP selon la probabilité clinique Valide Non valide Discuté
47 CT (Pas de DD : VPN trop faible) 30% des patients EvtTE à 3 ms < 1% (EP segmentaire) EvtTE à 3 ms : 1.3 % dt 0.5 % d EP fatales
48
49 Algorithmes Dg Place de l ED Si CI à l angioct (ins rénale, allergie vraie iode, grossesse), à la recherche d une TVP proximale Obligatoire si AngioCT monobarrette Evaluation du risque de récidive qui est majoré en cas de TVP proximale Place de la scintigraphie de ventilation perfusion V/Q de probabilité intermédiaire, non contributive = fréquente Femme jeune (irradiation seins) DD élevés et CI à l angioct
50 MTEV. Stratégie diagnostique. Conclusion Score de probabilité ± Ddimères - augmentent la rentabilité de l examen d imagerie - diminuent le nombre d examens inutiles EDV par compression de l ensemble du réseau veineux AngioCT multidétecteur : - place privilégié pour le Dg d EP - utile pour l examen veineux ilio-cave
B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailMaladie thrombo-embolique veineuse (135) Docteur Jean-Luc BOSSON Juillet 2002 (Mise à jour Janvier 2005)
Maladie thrombo-embolique veineuse (135) Docteur Jean-Luc BOSSON Juillet 2002 (Mise à jour Janvier 2005) Pré-Requis : Anatomie du réseau veineux Physiologie de l hémostase et de la respiration Résumé :
Plus en détailDocteur, est-ce que je fais une phlébite? Alain Beaumier
Docteur, est-ce que je fais une phlébite? Alain Beaumier Trois patients qui vous consultent à votre cabinet ou à l urgence craignent d avoir une thrombophlébite. O M me Lafrance, 52 ans et adepte de la
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailMaladie thrombo-embolique veineuse
SYSTEME CARDIOVASCULAIRE Maladie thrombo-embolique veineuse 28/04/2014 DUPESSEY Florence L3 Système Cardiovasculaire Dr. SARLON-BARTOLI (fait par le CCA du Pr.HABIB) 32 pages, Relecteur 7 Maladie thrombo-embolique
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailDIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE
DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE Marc Righini Service d Angiologie et d Hémostase, Département de Médecine Interne Générale, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse,
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailEMBOLIE PULMONAIRE. E Ferrari. Service de cardiologie. CHU Nice.
EMBOLIE PULMONAIRE E Ferrari. Service de cardiologie. CHU Nice. GENERALITES 1) Définition. L Embolie pulmonaire (EP) est la conséquence de l obstruction des artères pulmonaires ou de leurs branches par
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailContention Veineuse chez la Femme Enceinte
IVème Journée d Actualités Interdisciplinaires en Gynécologie Obstétrique Hémostase et Anesthésie Avec le soutien du Groupe d Etudes sur l Hémostase et la Thrombose (GEHT) et la Société Française de Médecine
Plus en détailMaladie thrombo embolique veineuse IADE
Maladie thrombo embolique veineuse IADE Didier SCARLATTI Praticien hospitalier mi temps - Rythmologie Département pédagogique faculté de médecine de Nice Rythmologie Interventionnelle Club des cardiologues
Plus en détailPhlébites: les pièges et ses nouveaux traitements Chris8ne Jurus Charles Nédey
Clinique du Tonkin Phlébites: les pièges et ses nouveaux traitements Chris8ne Jurus Charles Nédey Conflits d intérêts AUCUN Histoire clinique Femme 32 ans secrétaire 2 enfants 6 et 8 ans Implanon (8 ans
Plus en détailMaladie thrombo embolique veineuse IADE. D.SCARLATTI Praticien Hospitalier Cardiologie I4C scarlatti.d@chu-nice.fr
Maladie thrombo embolique veineuse IADE D.SCARLATTI Praticien Hospitalier Cardiologie I4C scarlatti.d@chu-nice.fr 1 Prétest 1/ Au retrait d un KT sous clavier, vous constatez un œdème persistant du bras
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailEt si c était une embolie pulmonaire? Pierre Baril
La thrombo-embolie veineuse dévoilée Pierre Baril M me Élisa T., 53 ans, se présente au service d urgence ambulatoire en raison d une douleur thoracique droite associée à de la dyspnée dont elle souffre
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLe syndrome de la classe économique
Le syndrome de la classe économique Définition et prévention Par, psychologue, psychothérapeute (hypnose, EMDR, EFT, TAT), superviseur de psychothérapeutes, consultante en psychologie humanitaire,, 2009
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailde la thrombose veineuse et de l embolie pulmonaire
& Prévention TRAITEMENT de la thrombose veineuse et de l embolie pulmonaire Brochure d information pour le patient Service offert par TAIN 2006 CARDIO 17 CONTENU 1 Introduction 3 La maladie thromboembolique
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailThromboembolie veineuse et traitement antithrombotique pendant la grossesse
N 308, juin 2014 (remplace n 95, septembre 2000) Thromboembolie veineuse et traitement antithrombotique pendant la grossesse La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailUtilisation péri-opératoire des filtres caves
Utilisation péri-opératoire des filtres caves Philippe Girard Département Thoracique. Institut Mutualiste Montsouris, 42 boulevard Jourdan, 75014 Paris, France. Email : philippe.girard@imm.fr Introduction
Plus en détailRôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions
Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailPATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ
PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ Les étapes du transport Y a - t - il un cardiaque dans l avion? CONTRAINTES CX VX L HYPOXIE LES ACCELERATIONS EFFETS DE L ALTITUDE LOI MARIOTTE PV
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailINTERNISTES: EMBOLIE PULMONAIRE S DESMARAIS INTERNISTE, CSSS PIERRE- BOUCHER 2014
INTERNISTES: EMBOLIE PULMONAIRE S DESMARAIS INTERNISTE, CSSS PIERRE- BOUCHER 2014 Bayer Health Care Bristol-Myers Squibb LEO Pharma 1- Interpréter les Ddimères selon l âge et discuter de l investigation
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF?
PREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF? Chokri Ben Hamida Service de réanimation médicale de Sfax La Thrombose une réalité qui tue La maladie thrombo-embolique
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailSurveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation
DIU d échographie module vasculaire DESC de médecine vasculaire L examen pré et postinterventionnel Gudrun Böge Médecin Vasculaire CHU de Montpellier-Nîmes Surveillance de l opéré vasculaire Surveillance
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailPrévenir la thrombo-embolie veineuse: mission possible!
P O U R Q U E L H O S P I T A L I S A T I O N N E S O I T P A S U N E M A L A D I E! Prévenir la thrombo-embolie veineuse: mission possible! 4 par Michel Cauchon 1. L embolie pulmonaire est la principale
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailgracieuseté de: Une compressothérapie et des jambes plus en santé
gracieuseté de: SIGVARIS Corp. 4535, rue Dobrin Ville St-Laurent (Québec) H4R 2L8 Canada 1.800.363.4999 Pour un détaillant SIGVARIS certifié près de chez vous, veuillez visiter le site www.sigvaris.ca
Plus en détailL éveinage chirurgical
La face cachée de la phlébologie L éveinage chirurgical Pour qui? Pour quoi? Yves Belzil et Richard Danylewick 4 M me V.Harris, très satisfaite du résultat obtenu lors de la prise en charge de sa maladie
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailProgramme pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux.
Programme P H A R M A C O pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux. AG Caffin 1, Y Chabi 1, C Sévin 2, B Leclere 3, C Debelmas 4, G Camus 1, X Bohand 1 1 Hôpital d Instruction des
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLes hauts et les bas des «bas»
La face cachée de la phlébologie Les hauts et les bas des «bas» Madeleine Duclos 5 O M me V. Harris travaille de longues heures debout. En fin de journée, elle ressent des lourdeurs aux membres inférieurs.
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailCe que vous souhaitez savoir à propos de la maladie variqueuse. Des varices des membres inférieurs. Qu est- ce que c est ça?
Ce que vous souhaitez savoir à propos de la maladie variqueuse Des varices des membres inférieurs Qu est- ce que c est ça? Des varices des membres inférieurs ce sont des veines de la surface des membres
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSe préparer à une angiographie artérielle
Se préparer à une angiographie artérielle Table des matières Sujet Page Qu est-ce que l athérosclérose?... 1 Durcissement graduel des artères (athérosclérose)... 2 Pourquoi dois-je subir une angiographie
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détail