Allergie à la moisissure Alternaria. Formation continue allergologie - Asthme S.Maître, IAL,
|
|
- Caroline Gauvin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Allergie à la moisissure Alternaria Formation continue allergologie - Asthme S.Maître, IAL,
2 Monsieur D.B., été ans, portugais, CH depuis 3ans DA puis dès âge de 3 ans RC et asthme perannuels sur hypersensibilité aux acariens, exacerbation saisonnière sur hypersensibilité aux graminées -> Immunothérapie sous-cutanée (Portugal) aux graminées 1996 à 2002, graminées et acariens , résolution des symptômes Juin 2015: récidive RC allergique et asthme -> environnement: chat depuis 3 mois -> exacerbations asthme lors canicule et orages
3 Bilan Mr D.B. Prick tests : -positifs: Alternaria (1,2cm, pseudopodes), Penicillium -Négatifs: tous les standard, y c graminées et chat (4/4) Évolution favorable sous traitement symptomatique , qui peut être stoppé Attitude?
4 Introduction: moisissures, le flou artistique? Exposition aux moisissures (Aspergillus, Cladosporium, Alternaria, Penicillium): universelle mais hautement variable dans temps et intensité (ad 1000x concentration pollens..) extérieure: saisonnalité (juillet-août-septembre), intérieure (perannuelle), les deux -> co-occurrence avec autres aéroallergènes Concentration spores difficile à mesurer (non standardisé) types de moisissures variables selon zones géographiques Limitations des tests pour sensibilisation aux moisissures: Variabilité des extraits, mal standardisés Variabilité intraindividuelle avec le temps corrélation moyenne entre prick tests et IgE spécifiques -> discordance motivant souvent les 2 techniques certaine crossréactivité entre protéines partagées par différentes moisissures (CCDs, enolases, protéases..) The link between fungi and severe asthma: a summary of evidence, Denning et al, Eur Respir J 2006
5 Moisissures et asthme Association épidémiologiquement démontrée entre sensibilisation aux moisissures et sévérité d un asthme mieux démontré pour moisissures extérieures > intérieures (seulement si visibles) réserve: définitions floues lien de causalité? plusieurs mécanismes pathogéniques proposés: Allergènes fongiques: dommages tissulaires directs possibles (enzymes: protéases, glycosidases, stress oxydatif) + action simultanée comme allergènes Possible colonisation chronique des voies aériennes par les moisissures -> exposition chronique rôle composants cellulaires non-protéiques (glucans)? Composants organiques volatiles (VOCs) produits par plupart des moisissures: irritants The link between fungi and severe asthma: a summary of evidence, Denning et al, Eur Respir J 2006
6 Taille du problème Env 20% des asthmes considérés comme sévères (définition variable) -> selon séries 35 à 70% sensibilisés aux moisissures Prévalence estimée de sensibilisation aux moisissures (variabilité méthodologique++): 3-10% dans population générale (USA: 12%) 10-20% des atopiques 824 asthmatiques en Europe: 78% prick tests pos pour Alternaria Monosensibilisation rare Phénotype d asthme proposé: SAFS: Severe Asthma with Fungal Sensitivity -> cas particulier mieux caractérisé (même spectre?): sensibilisation à Aspergillus fumigatus: associé à asthme sévère persistant, rôle dans ABPA Enjeux: rôle immunothérapie? traitement antifongique? The link between fungi and severe asthma: a summary of evidence, Denning et al, Eur Respir J 2006 Fungi and allergic lower respiratory tract diseases, Knutsen et al, JACI 2012
7 Zoom: Alternaria 1 e description 1817; lien avec asthme dès 1960 Phylum Ascomycota (Alternaria, Cladosporium, Aspergillus, Penicillium, ) -> production ascospores Genre Alternaria: 50 espèces alternata (= tenuis): la plus étudiée Moisissure saprophyte ubiquitaire de pigment noir, phytopathogène Epidemiologie (USA, Europe): moisissure la plus fréquemment (avec Cladosporium) associée à sévérité de l asthme
8 Alternaria: aérobiologie Spores sexuées aéroportées et mycelium (allergènes) um ; seuil symptômes: 100 spores/m 3 (vs Cladosporium: 3000spores/m 3 ) Concentration extérieure (terre, végétation) >> intérieure (humidité/chaleur, dégâts d eau) Saisonnalité: détectables mai à novembre, pic août/fin d été Ad x quantité de pollens selon conditions -> max temps sec/chaud/venteux, après-midi Sporulation induite par pluie (+40%) et changements brutaux d humidité -> ouragans, inondations, «thunderstorm asthma» Augmentation lors des foins (fragmentation) changement climatique: augmentation Ag/plante et concentration de spores (x4) lors exposition au CO2
9 Allergie à Alternaria: clinique RC saisonnière Asthme: forte association entre asthme et sensibilisation à Alternaria: épisodes sévères et potentiellement fatals d asthme Sensibilisation chez l enfant (6ans) corrélée à persistance de l asthme à l âge adulte Exposition spores corrélée à activité des sx d asthme («épidémies d asthme») The link between fungi and severe asthma: a summary of evidence, Denning et al, Eur Respir J 2006 Fungi and allergic lower respiratory tract diseases, Knutsen et al, JACI 2012 Mold Allergens in Respiratory Allergy: from Structure to Therapy, Twaroch, AAIR May 2015
10 Diagnostic Anamnèse -> overlap avec autres aéroallergènes Discordance entre tests in vivo et in vitro -> combinaison recommandée -> Prick tests: +sensibles, variabilité des extraits (enzymes) -> standardisation imparfaite -> IgE spécifiques extrait total: +spécifiques Importance des allergènes recombinants: produits métaboliques sécrétés (protéases++) ou composants structurels: Alt a 1: allergène majeur, rôle inconnu -> marqueur de sensibilisation spécifique à Alternaria (remplacerait extrait total?) 16 allergènes mineurs: Alt a 6 (enolase): marqueur de crossréactivité entre moisissures Tests de provocation Mold Allergens in Respiratory Allergy: From Structure to Therapy, Twaroch et al AAIR 2015
11 Allergie à Alternaria: prise en charge Mesures environnementales: baisse humidité et nettoyage moisissures intérieures visibles -> amélioration morbidité de l asthme Immunothérapie sous-cutanée à Alternaria: pas de recommandations claires : Extraits = composition complexe, haute variabilité -> mauvaise standardisation Sélection des patients difficile (polysensibilisés) -> sécurité (6 études): ad 40% réactions systémiques (FR: enfants, asthmatiques) -> considéré comme moins bien toléré que autres extraits Tolerance of IT with a standardized extract of Alternaria tenuis in patients with rhinitis and asthma, JACI > seulement 7 études d efficacité (pédiatriques, max 50 patients): 4 double-blind placebo-controlled -> une seule sur 3ans, 50 patients pédiatriques monosensibilisés -> amélioration significative rhinite et asthme, et pas d effets secondaires sévères Efficacy and safety of immunotherapy for allergies to Alternaria alternata in children, Kuna, JACI étude cas-contrôle prospective pédiatrique sur 3 ans (1988): bon effet (rhinite/asthme) 1 étude open-contrôle SLIT versus SCIT (1996, 2 ans): efficacité SCIT >SLIT, tolérance SCIT<SLIT 1 étude open-contrôle pédiatrique : asthmatiques monosensibilisés -> amélioration à 1an -> espoir dans les dérivés d allergènes recombinants! Traitement antifongique: pas de données Mold Allergens in Respiratory Allergy: from Structure to Therapy, Twaroch, AAIR May 2015
12 Deux précieuses vignettes cliniques valaisannes (Dr J.Duc) Garçon 7 ans Bronchites asthmatiformes dans petite enfance, puis RC perannuelle avec exacerbation juin-septembre, asthme perannuel suspecté A l année au camping de Granges, rive gauche, traces de moisissures dans le bungalow Bilan 2006: monosensibilisation Alternaria (prick+++) -> ttt symptomatique Bilan 2009: Alternaria (prick++++), IgE tot 150, IgE spéc classe 3 -> SCIT Alternaria alternata (4 ans): bonne réponse clinique, environnement inchangé
13 2 e vignette valaisanne (Dr J. Duc) Mr Z.A., 1981 Rhinite perannuelle avec exacerbation saisonnière juin à octobre; pas d asthme Agriculteur, habite rive gauche (Chalais) Bilan 1990 (9ans): monosensibilisation Alternaria (prick), IgE tot 180, IgE spécifiques classe 1 -> ttt symptomatique Bilan 2001 (20 ans, école agriculture, exacerbation juillet à octobre invalidante): monosensibilisation Alternaria (prick), IgE tot 67, IgE spécifiques classe 3 (9.9) -> SCIT Alternaria 100% (2005 à 2009): amélioration clinique rapide et persistante
14 Retour à Mr D.B. Bilan complémentaire: Dg: RC et asthme saisonniers sur hypersensibilité à Alternaria (et graminées?) Évolution spontanément favorable, traitement symptomatique stoppé en
15 Il revient vous voir en juillet 2016 RC et asthme insuffisamment contrôlés par ttt symptomatique bien mené Bilan cutané et IgE inchangés Vous lui proposez: 1. Poursuite traitement symptomatique 2. SCIT Alternaria 100% pdt 3ans 3. SCIT Alternaria 100% + graminées 100% pdt 3ans 4. Test de provocation nasale à Alternaria et graminées, SCIT en fonction 5. Test de provocation nasale à Alternaria, SCIT en fonction
16 Réponse
17 Messages Forte prévalence de sensibilisations aux moisissures chez atopiques et asthmatiques, traduction clinique difficile à évaluer (sous-estimée?) Alternaria: moisissure saisonnière juillet-octobre fortement allergénique, symptômes par mécanismes pathogéniques complexes impliquant l immunité innée Monosensibilisations (moisissures/alternaria) rares -> intérêt tests de provocation et allergène recombinant Alt a 1 Immunothérapie spécifique pour Alternaria mal étudiée; valable pour monosensibilisés?
18 Merci pour votre attention!
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailALLERGIE RESPIRATOIRE
ALLERGIE RESPIRATOIRE Catherine NEUKIRCH Service de Pneumologie et Allergologie INSERM U700 Hôpital Bichat, Université Paris 7 Enquête allergologique chez l asthmatique : oui! Cause allergique retrouvée
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailMoisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014
Moisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014 Laurent Groux, Ph.D. Doctorat en Chimie (2003) de L université de Montréal Consultant en
Plus en détailEt si c était le logement?
LES MALADIES de cette famille sont communes, mais peu de médecins pensent à faire le lien avec le logement. Pourtant, la mauvaise qualité de l air de l habitat est courante et constitue le problème environnemental
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées
DOSSIER DE PRESSE C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées Novembre 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 L allergie aux pollens en 5 chiffres p. 4 La prise en charge
Plus en détailL allergie aux pollens de graminées. Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées
L allergie aux pollens de graminées Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées QU EST-CE QUE L ALLERGIE? L allergie est due à une réactivité anormale du système
Plus en détailAllergologie en pratique
2-0093 Allergologie en pratique M. Raffard, H. Partouche L incidence des maladies allergiques est en constante augmentation. Pour expliquer ce phénomène, on discute des modifications du style de vie dans
Plus en détailALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115
Collège des Enseignants de Pneumologie Référentiel pour la préparation de l ECN Dr Bourdin (Montpellier), Pr Godard (Montpellier) Pr Charpin (Marseille), Pr Tillie-Leblond (Lille) Pr Raherison (Bordeaux),
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailnewsletter Edito Avril Patrick Alexandre Président du Directoire
newsletter Avril Edito Patrick Alexandre Président du Directoire SUPERGENERIQUES Développement et élargissement du portefeuille de supergénériques QUATRE MEDICAMENTS Méthotrexate, Adrénaline, Sumatriptan,
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailLes voies aériennes unifiées la rhinite et son lien avec l asthme: mythe ou réalité?
L E S V O I E S A É R I E N N E S Les voies aériennes unifiées la rhinite et son lien avec l asthme: mythe ou réalité? par Jacques Bouchard Vous êtes en train de pousser votre panier d épicerie. Eh oui,
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détaild évaluation de la toux chez l enfant
Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailRÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat
RÉSUMÉ Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat Importance de la récolte de blé a entraîné attention sur la recherche sur la santé des plantes et, en particulier, mycose affectant la récolte
Plus en détailINDICATIONS DU DOSAGE DES IGE SPÉCIFIQUES DANS LE DIAGNOSTIC ET LE SUIVI DES MALADIES ALLERGIQUES. Mai 2005
INDICATIONS DU DOSAGE DES IGE SPÉCIFIQUES DANS LE DIAGNOSTIC ET LE SUIVI DES MALADIES ALLERGIQUES Mai 2005 La Haute Autorité de santé diffuse un document réalisé par l Agence nationale d accréditation
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailVentilation : Mesure et réglage des débits
Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détail5 rue Marteville 35000 RENNES 5. Allergology Unit Hospital Bld Dr Lacroix - 11100 NARBONNE
Prévalence de la sensibilisation à l arachide dans une population de 4137 sujets consultant en allergologie Enquête du Réseau Allergo-Vigilance en 2002 Morisset M 1, Moneret-Vautrin DA 1, Kanny G 1, Rance
Plus en détailGUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca
GUIDE INFO-ASTHME Siège social 855, rue Sainte-Catherine Est, bureau 222, Montréal QC H2L 4N4 Tél.: (514) 287-7400 ou 1 800 295-8111 Téléc.: (514) 287-1978 Courriel: info@pq.poumon.ca Internet: www.pq.poumon.ca
Plus en détailLes eczémas: l approche au cabinet
Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailJASP 2010 Québec 24 novembre 2010
Direction de santé publique L'éthique pour guider la réflexion et influencer l'élaboration des politiques publiques favorables à la santé: le cas des logements insalubres à Montréal JASP 2010 Québec 24
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailMedActuel DPC votre développement professionnel continu vol. 12 n o 8 25 avril 2012
MedActuel DPC votre développement professionnel continu vol. 12 n o 8 25 avril 2012 La faculté de médecine de l Université Laval Le Collège québécois des médecins de famille DPC et spécialités L immunothérapie
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailHypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test.
Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test. Cherih C 1, Bernede A 1, Breton AL 1, Pralong P 1-3, Nicolas
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailExemple de recherche documentaire
Exemple de recherche documentaire Étape 1 : Préparer le plan de recherche Démarrez votre recherche en écrivant clairement votre sujet (formuler une question si nécessaire), en identifiant les concepts
Plus en détailLes dangers de l environnement pour les enfants en bas âge
Enfant Environnement Santé Une information des Médecins en faveur de l environnement Avec le soutien de l Office fédéral de la santé publique Septembre 2007 Documentation 1. Introduction 2. Les dangers
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailProjet MONALISA MOnitoring Network of ALlergens by Immuno-SAmpling C. SINDT 1, G. OLIVER 1 et M. THIBAUDON 1
Projet MONALISA MOnitoring Network of ALlergens by Immuno-SAmpling C. SINDT 1, G. OLIVER 1 et M. THIBAUDON 1 1 RNSA Réseau National de la Surveillance Aérogiologique - Chemin des Gardes 6961 Saint Genis
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLes enfants non vaccinés sont en bonne santé!
Les enfants non vaccinés sont en bonne santé! Les médecins, même allopathes, commencent sérieusement à se poser des questions sur les vaccinations. Il est certain en tout cas qu ils vaccinent moins leurs
Plus en détailHopital: Optimisation, Simulation et évitement des Tensions. ANR-TECSAN 2011 7 partenaires ( 1 CH, 1 PME ) 900 k - 36 mois
HOST ANR-11-TECS-010 Hopital: Optimisation, Simulation et évitement des Tensions HOpital Sous Tensions ANR-TECSAN 2011 7 partenaires ( 1 CH, 1 PME ) 900 k - 36 mois Contexte 1 L hôpital est en crise: Augmentation
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailCette fiche concerne l activité
dmt N f i c h e d a l l e r g 52 o l o g i e - p n e u m o l o g i e p r o f e s s i o n n e l l e TR 52 Affections respiratoires professionnelles chez les personnels de nettoyage En résumé Le nettoyage
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLes mises au point de l'ifn
Les mises au point de l'ifn Octobre 2008 N 2 Pascale Dumond, Gisèle Kanny Médecine interne, Immunologie clinique et allergologie Centre hospitalier universitaire de Nancy Hôpital Central 54035 Nancy cedex
Plus en détailAsthma Facts & Statistics
Asthma Facts & Statistics What is Asthma? Doctors define asthma as a "chronic inflammatory disease of the airways" that can cause any or all of the following symptoms: Shortness of breath Tightness in
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc
NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des
Plus en détailCentre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires
Centre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires En collaboration avec la Commission de spécialité de la Société Suisse d Allergologie et d Immunologie (SSAI). Allergie
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailL assurance récoltes en France
P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailLes conditions de sécurité pour la réalisation des tests de provocation en allergologie Safety conditions for allergic challenge tests realization
Revue française d allergologie et d immunologie clinique 47 (2007) 323 332 http://france.elsevier.com/direct/revcli/ Revue critique Les conditions de sécurité pour la réalisation des tests de provocation
Plus en détailLa gale d été arrive à grands pas que faire?
La gale d été arrive à grands pas que faire? Enfin chaque année - le printemps arrive, chevaux et cavaliers peuvent enfin retourner dans la nature verdoyante. Mais c est aussi le cas des moustiques et
Plus en détail