Regards sur la réadaptation en déficience visuelle
|
|
- Xavier Malo
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Regards sur la réadaptation en déficience visuelle Introduction : Nous sommes ici pour vous présenter «une vue d ensemble» du programme en déficience visuelle. Avant de commencer, avez-vous remarqué les expressions populaires reliées à la vision, foudroyer du regard, un petit clin d œil, l amour rend aveugle Présentation du programme en déficience visuelle : Historique : En 1993, le programme en déficience visuelle voit le jour au Centre de réadaptation InterVal. Avant 1993, la clientèle devait se déplacer à l Institut Nazareth et Louis-Braille à Longueuil ou au Centre Louis Hébert à Québec pour avoir les services en déficience visuelle. Au départ, on comptait 500 personnes inscrites au programme, alors que maintenant nous avons environ 1500 dossiers actifs. Nous desservons la clientèle de 0 à 100 ans. Territoires : Nous desservons les territoires suivants : Mauricie et Centre-du-Québec. Notre équipe est située à Trois-Rivières. Certains services sont dispensés dans le milieu de vie de l usager. Provenance des références : Les principaux référents sont les ophtalmologistes et les optométristes. À noter que tous les professionnels peuvent référer un client pourvu qu ils fournissent un rapport oculo-visuel de l ophtalmologiste ou de l optométriste. L usager lui-même, ayant son rapport de vision, peut entrer en contact avec nous. Critères d admissibilité : Les deux critères nous permettant de statuer sur l admissibilité d un usager sont l acuité visuelle et/ou le champ visuel. Il est important de savoir que l utilisation de lunettes ou de lentilles cornéennes adéquates ne pourront restaurer une vision normale. Un œil en santé possède généralement une acuité visuelle de 6/6. L acuité visuelle est ce qui nous permet de bien discerner les détails. Est admissible au programme en déficience visuelle au Colloque InterVal 2009/Regards sur la réadaptation en déficience visuelle Page 1
2 Québec, toute personne dont l acuité visuelle dans chaque œil est inférieure à 6/21, c est-à-dire que la personne peut voir à 6 mètres un objet qui est habituellement perçu à 21 mètres par une personne qui a une vision intacte. Certaines personnes possèdent une bonne acuité visuelle, mais éprouvent tout de même des problèmes avec leurs champs visuels. Le champ visuel, c est ce qui nous permet de voir ce qui se trouve autour de nous, sans bouger les yeux. Normalement, une personne ayant une vision intacte possède un champ visuel qui se situe aux alentours de 160 o. Concrètement, la personne voit «d une épaule à l autre» sans bouger les yeux. Une personne ayant une déficience visuelle peut posséder un champ visuel très étroit ou encore avoir des scotomes à l intérieur du champ. Plusieurs diagnostics peuvent causer des pertes d acuité visuelle et/ou de champ visuel. Les principaux diagnostics à l adulte sont la dégénérescence maculaire, le glaucome, la rétinopathie diabétique et la rétinite pigmentaire % de notre clientèle adulte est atteinte de dégénérescence maculaire tandis que les autres diagnostics ont tous des pourcentages inférieurs à 10 %. Pour ce qui est de l enfance, les principaux diagnostics sont le nystagmus, l albinisme et les cataractes congénitales. La majorité de notre clientèle est composée d adultes et de personnes âgées. Sur environ 1500 dossiers actifs au programme, 1400 sont des dossiers à l adulte pour seulement 100 dossiers à l enfance. Les services : L usager inscrit au programme reçoit des services d une équipe interdisciplinaire. Les intervenants fournissent à la personne présentant une déficience visuelle des moyens compensatoires et des aides techniques afin d augmenter son autonomie. Voici une brève description de chacune des professions. Chef de programme : o Responsabilité administrative du programme en déficience visuelle. Coordonnatrice clinique : o Coordination des activités cliniques du programme en déficience visuelle (plans d intervention, discussions des cas, orientation des nouveaux besoins de l usager ). Colloque InterVal 2009/Regards sur la réadaptation en déficience visuelle Page 2
3 Ergothérapeute : o Évaluation et suivi du fonctionnement des enfants ayant moins de 5 ans. o Évaluation et adaptation des postes d étude ou de travail. Intervenante sociale : o Soutien psychosocial à l usager et à ses proches en lien avec le processus d adaptation au handicap visuel. o Information, orientation et/ou accompagnement vers les ressources du milieu. Optométriste : o Évaluation visuelle. o Prescription et attribution des lunettes et/ou lentilles cornéennes. Opticienne d ordonnances : o Attribution, commande, livraison, ajustement et réparation de lunettes et/ou de lentilles cornéennes. o Traitement des demandes d admissibilité au programme en support avec le chef de programme. Psychologue : Support en psychologie en lien avec l adaptation à une problématique en déficience visuelle. Spécialiste en orientation et mobilité : o Évaluation des capacités visuelles et de l utilisation des suppléances sensorielles nécessaires dans les déplacements. o Mise en place de programmes O&M, en fonction des besoins : familiarisation de nouveaux environnements, méthodes d analyse pour traverser des rues, utilisation de la canne blanche, préparation à l utilisation du chien-guide, utilisation des transports en commun, etc. o Analyse, adaptation et modification de l environnement. Spécialiste en réadaptation en déficience visuelle : o Évaluation et suivi en lien avec les habitudes de vie. o Enseignement des stratégies compensatoires dans les activités de la vie domestique et les activités de la vie quotidienne. o Évaluation et attributions d aides optiques et d aides techniques. o Entraînement pour l utilisation de logiciels adaptés pour l informatique (grossissement de caractères et synthèse vocale). Colloque InterVal 2009/Regards sur la réadaptation en déficience visuelle Page 3
4 o Enseignement du braille. Support administratif : Agentes administratives (accueil, secrétariat, inventaire et facturation). Technicien (réparation des aides). Présentation de cas et interventions : Madame est âgée de 74 ans, veuve et mère de 2 enfants, son fils demeurant à Vancouver et sa fille à Québec. Elle vit seule à logement en milieu urbain. Diagnostic visuel : Dégénérescence maculaire liée à l âge Acuité visuelle : 6/60 (20/200) Baisse de vision progressive depuis 2-3 ans. Santé : médication pour la pression artérielle, diabète, arthrose et cholestérol. Impact sur les habitudes de vie : Madame ne conduit plus depuis 2 ans, dépendante pour ses rendez-vous. Besoin d aide pour la lecture du courrier, gestion des biens et le journal. Elle a cessé d utiliser le courrier électronique. Difficultés pour la préparation des repas, accès à l heure, utilisation du téléphone. Elle ne reconnaît plus les gens. Perte d intérêts pour les loisirs, ne joue plus aux cartes et au bingo. Elle a cessé de participer à la chorale. À l extérieur, elle est éblouie et très craintive dans ses déplacements. Elle sort peu en raison de ses difficultés. Elle est fière et débrouillarde. Bonne capacité d apprentissage. Réticente à demander de l aide. Suite à un plan d intervention réalisé avec l usager pour bien définir ses besoins, en lien avec les impacts de la déficience visuelle dans les activités de sa vie quotidienne (habitudes de vie), voici quelques exemples du travail de l équipe interdisciplinaire. Habitudes de vie : Nutrition (préparation des repas) : Adaptation des électroménagers (repères tactiles) et adaptation des tasses à mesurer. Enseignement des techniques pour couper les aliments et verser des liquides. Colloque InterVal 2009/Regards sur la réadaptation en déficience visuelle Page 4
5 Communication (accès à l imprimé) : Évaluation des aides optiques, attribution d une loupe et entraînement pour l utilisation pour de cette dernière. Communication (accès à l ordinateur) : Attribution du logiciel de grossissement de caractères et adaptation du clavier. Déplacements : Évaluation pour diminuer l éblouissement (attribution d une aide). Évaluation de l environnement et adaptations visuelles si nécessaire (escalier). Évaluation et entraînement pour l utilisation de la canne blanche pour sécuriser les déplacements. Enseignement pour traverser les rues en toute sécurité. Loisirs (augmenter la participation sociale) : Support à Madame afin de reprendre ses activités sociales et recherche d un moyen de transport. Donc on vise, à la fin du processus de réadaptation, que Madame soit plus autonome dans l ensemble de ses activités de la vie quotidienne. Cette présentation a été préparée en équipe par les intervenantes suivantes : Huguette Aubry, intervenante sociale Anne Évrard, spécialiste en orientation et mobilité Danielle Jacob, spécialiste en réadaptation en déficience visuelle Joëlle Rondeau-Girardin, spécialiste en réadaptation en déficience visuelle Annie Véronneau, opticienne d ordonnances Colloque InterVal 2009/Regards sur la réadaptation en déficience visuelle Page 5
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou
Plus en détailNous remercions chacune des personnes suivantes pour leur précieuse contribution Hugues Boulanger, Régie de l assurance maladie du Québec Ginette
Nous remercions chacune des personnes suivantes pour leur précieuse contribution Hugues Boulanger, Régie de l assurance maladie du Québec Ginette Diamond, Centre de réadaptation InterVal Lyne Dufresne,
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailFaites l expérience d une meilleure vision
Faites l expérience d une meilleure vision IRIS est le plus grand réseau d optométristes, d opticiens et d ophtalmologistes au Canada répartis dans 160 boutiques et cliniques. Chaque professionnel IRIS
Plus en détailTrousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue
Trousse média 2015 Soyez vu... nous sommes lus! La revue Imprimé 10 raisons profitables d investir dans la revue l Optométriste 1. Bénéficiez d une excellente visibilité auprès de l ensemble des optométristes
Plus en détailCONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES
CONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES Publication initiale mise en vigueur : 9 septembre 2014 Destinataires : Clientèle, intervenants du Service des aides techniques, intervenants
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailSoutien en informatique clinique Un projet pilote
Soutien en informatique clinique Un projet pilote Un appui aux intervenants et aux usagers Debbie Furlotte Chef du programme en déficience visuelle adulte et surdicécité Steeve Mathieu Chef des systèmes
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailBien voir pour bien conduire
Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception
Plus en détailÉLUS MUNICIPAUX RETRAITÉS Groupe 71H64
ÉLUS MUNICIPAUX RETRAITÉS Groupe 71H64 SSQ, Société d assurance-vie inc. 90 Dispositions générales Le présent document décrit les dispositions contractuelles en vigueur le 1 er janvier 2009. Catégorie
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailDocument à destination. des personnels de l enseignement supérieur.
Document à destination des personnels de l enseignement supérieur. Vous trouverez dans ce document différentes informations vous permettant de mieux appréhender l arrivée d un(e) étudiant(e) en situation
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP
MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP CONTEXTE Selon la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées «Art. L. 114. - Constitue un
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailAssurances collectives
Assurances collectives Regroupement des organismes nationaux de loisir et de sport du Québec Conditions de renouvellement au 1 er avril 2015 et modification du choix d option Regroupement des organismes
Plus en détailLE(s) HANDICAP(s) : MOTS & CONCEPTS
LE(s) HANDICAP(s) : MOTS & CONCEPTS 1 Le Concept du handicap Une personne est handicapée quand : souffrant d'une déficience pérenne, et devant affronter un environnement inadapté, elle ne peut satisfaire
Plus en détailPrésentation du programme de Bourses d études INLB pour les personnes vivant avec une déficience visuelle
1 Présentation du programme de Bourses d études INLB pour les personnes vivant avec une déficience visuelle En collaboration avec Les Sœurs de Saint-Joseph de Saint-Hyacinthe Le programme de bourses INLB
Plus en détailBIEN santé re- gar- aire icit L ub P ctère der cara L à ctue ontra c non Document 704 13 10 t - 10 11/
santé BIEN regarder LES BONNES La consultation d un professionnel de santé pour les soins optiques n entre pas dans le cadre du parcours de soins. Vous pouvez donc contacter directement un ophtalmologiste
Plus en détailRecruter et accompagner un collaborateur déficient visuel
les cahiers de l AGEFIPH avril 2011 Recruter et accompagner un collaborateur déficient visuel plus d infos sur www.agefiph.fr Qu est-ce que l Agefiph? L Agefiph (Association de gestion du fonds pour l
Plus en détailLa réadaptation après un implant cochléaire
La réadaptation après un implant cochléaire Ginette Diamond, chef en réadaptation Sophie Roy, audiologiste Colloque CRDP InterVal 2009 But de la présentation Sensibiliser les participant(e)s à un outil
Plus en détailSéminaire d information pour les particuliers. Renseignements relatifs aux personnes handicapées
Séminaire d information pour les particuliers Renseignements relatifs aux personnes handicapées Objectifs Cette présentation vise à: Présenter les déductions et les crédits applicables aux personnes handicapées
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailMÉMOIRE PORTANT SUR LE PROJET DE LOI N O 50 :
Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines Mémoire présenté à la Commission des institutions Mars 2008 La
Plus en détailTrousse du solliciteur. Projet «Assurer l Avenir»
Trousse du solliciteur Projet «Assurer l Avenir» Janvier 2015 Table des matières 1. Présentation... 2 2. Les quatre partenaires de cette campagne... 3 Le comité directeur de «Faire la différence»... 3
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA
ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel
Plus en détailLes appareils mobiles vous en mettent plein la vue! Colloque réadaptation aides techniques 2014
Les appareils mobiles vous en mettent plein la vue! Colloque réadaptation aides techniques 2014 Présenté par : Jean-Marie D Amour SRDV, Institut Nazareth et Louis-Braille Louis-Philippe Pineault SRDV,
Plus en détailLes personnes handicapées et les avantages fiscaux
Les personnes handicapées et les avantages fiscaux Ce guide est accessible par Internet. revenu.gouv.qc.ca Cette publication vous est fournie uniquement à titre d information. Les renseignements qu elle
Plus en détailTAUX MENSUELS DE PRIMES GARANTIE OBLIGATOIRE à compter du 1er juillet 2013
TAUX MENSUELS DE PRIMES GARANTIE OBLIGATOIRE à compter du 1er juillet 2013 ASSURANCES MALADIE OBLIGATOIRE RÉGIME A 0-29 67,10 $ 76,74 $ 143,32 $ 30-39 78,43 $ 89,69 $ 167,50 $ 40-49 88,21 $ 100,88 $ 188,35
Plus en détailÀ l écoute des personnes touchées par la SP. Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP
À l écoute des personnes touchées par la SP Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP Notre mission : «Être un chef de file dans la recherche sur le remède de la sclérose
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailRèglement sur l exercice de la profession d arpenteur-géomètre en société, c. A-23, r.5.001
Règlement applicable TABLEAU COMPARATIF DES CONDITIONS APPLICABLES À LA CONSTITUTION EN COMPAGNIE / SOCIÉTÉ PAR ACTIONS POUR LES DIVERSES PROFESSIONS AUTORISÉES PAR LEUR ORDRE À PRATIQUER EN SOCIÉTÉ (PARTIE
Plus en détailCENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques
CLINIQUE SAINT-JEAN Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques 1 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue au Centre du Diabète de la. Nous sommes un centre de traitement multidisciplinaire
Plus en détailCAHIER DE PROGRAMME SOINS INFIRMIERS (180.A0)
CAHIER DE PROGRAMME SOINS INFIRMIERS (180.A0) DIPLÔME D ÉTUDES COLLÉGIALES (DEC) Pour obtenir un diplôme d études collégiales, vous devez avoir satisfait aux trois conditions suivantes : 1. Avoir réussi
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailwww.csst.qc.ca En cas d accident ou de maladie du travail... voici ce qu il faut savoir!
www.csst.qc.ca En cas d accident ou de maladie du travail... voici ce qu il faut savoir! Qu arrive-t-il si je dois m absenter à la suite d un accident du travail? M on revenu Vous recevrez une indemnité
Plus en détailLes cas problématiques de l évaluation de la capacité à conduire Christine Dupuis et Jamie Dow NMEDA Canada, Québec 16 septembre 2010 23 septembre 2010 Société de l'assurance automobile du Québec, 2010
Plus en détailPoint de repères N 2 Janvier 2000. Déficience visuelle et Emploi
Point de repères N 2 Janvier 2000 Déficience visuelle et Emploi Sommaire Avant propos p 4 Informations générales p 6 L'optimisation des capacités résiduelles p 17 La compensation du handicap p 23 L'insertion
Plus en détail[FORMAT AGRANDI DE LA POLITIQUE D ACCESSIBILITÉ POUR LES PERSONNES HANDICAPÉES]
Type de doc. Politique Section Administration Prochain examen Décembre 2016 [FORMAT AGRANDI DE LA ] 1. Portée La présente politique s applique à tous les services et programmes fournis par le Centre de
Plus en détailRégime d assurance collective des employés et retraités du Mouvement Desjardins
Régime d assurance collective des employés et retraités du Mouvement Desjardins Desjardins Sécurité financière Centre de contact avec la clientèle : 1 866 666-7049 Site Internet : www.rcd-dgp.com Vice-présidence
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailSANTÉ ET SERVICES SOCIAUX - PROFESSIONNELS
SANTÉ ET SERVICES SOCIAUX - PROFESSIONNELS 1101 AGENT OU AGENTE DE LA GESTION DU PERSONNEL 1104 AGENT OU AGENTE D'APPROVISIONNEMENT 1105 AGENT OU AGENTE DE LA GESTION FINANCIÈRE 1106 CONSEILLER OU CONSEILLÈRE
Plus en détailLA DEFICIENCE VISUELLE
Fiche 1 LA DEFICIENCE VISUELLE PRESENTATION La déficience visuelle est une déficience sensorielle car elle atteint un de nos cinq sens, la vision. L'atteinte de la vision peut se situer à différents niveaux
Plus en détail6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin
6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin Des lunettes pour ceux qui en ont besoin De nombreuses personnes dans le monde sont atteintes d erreurs de réfraction. Cela signifie que leurs yeux ne voient pas
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailRégimes publics d assurance-maladie au Canada :
Comparaison des régimes provinciaux et territoriaux Dispositions en date du 1 er octobre 2010 Comparaison des régimes provinciaux et territoriaux i CANADA Comme leur nom l indique, les régimes complémentaires
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailListe des moyens auxiliaires
Annexe 25 Liste des moyens auxiliaires 1 Prothèses Remboursement selon convention tarifaire avec l Association suisse des techniciens en orthopédie (ASTO). 1.01 Prothèses fonctionnelles définitives pour
Plus en détailRÉGIMES COLLECTIFS DESJARDINS
RÉGIMES COLLECTIFS DESJARDINS Aide-mémoire pour le nouvel employé Le site Internet des Régimes collectifs Desjardins permet aux employés d effectuer eux-mêmes leur adhésion au régime d assurance collective,
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailVos élèves, nos étudiants!
Printemps 2014 numéro 28 Collège communautaire du Nouveau-Brunswick Vos élèves, nos étudiants! Depuis quelques mois déjà, nous publions des profils de vos anciens élèves sur la page Facebook CCNB sur la
Plus en détailORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE COMITÉ PERMANENT DU DROIT D AUTEUR ET DES DROITS CONNEXES
OMPI SCCR/19/13 ORIGINAL : Français, anglais, arabe, chinois, espagnol, portugais et russe DATE : 11 décembre 2009 ORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE F COMITÉ PERMANENT DU DROIT
Plus en détailProjet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et
Plus en détailPERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones
PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation
Plus en détailJournée d étude des leaders en soins infirmiers
Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires
Plus en détailÀ tout moment. une mutuelle sur qui compter
À tout moment une mutuelle sur qui compter Harmonie Mutualité, votre partenaire santé Votre entreprise vous permet de bénéficier d une complémentaire santé collective Harmonie Mutualité. En nous rejoignant,
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailProgramme d assurance-invalidité de courte durée
Programme d assurance-invalidité de courte durée Votre trousse de six pages Aperçu Le Programme d assurance-invalidité de courte durée (PAICD) assure un traitement uniforme pour tous les employés lorsqu
Plus en détailProposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES
Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport
Plus en détailProgramme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle
Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud
Plus en détailGuide explicatif Nouveau barème d allocation des UFC
Guide explicatif Nouveau barème d allocation des UFC Table des matières Introduction p.3 Mise en contexte Objectifs Barème d allocation des UFC Guide de pointage des activités professionnelles p.5 Activités
Plus en détailC est votre santé Impliquez-vous
C est votre santé Impliquez-vous Le financement de ce projet a été fourni par le ministère de la Santé et des Soins de longue durée de l Ontario www.oha.com 1. Impliquez-vous dans vos soins de santé. Dites-nous
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailPour un soutien médical sur mesure
Pour un soutien médical sur mesure Assistance soins médicaux Comment accéder aux services d Assistance soins médicaux 1. Téléphonez au 514 871-9884 ou sans frais au 1 877 778-9808. 2. Assurez-vous d avoir
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailFiscalité, frais médicaux et autres
Fiscalité, frais médicaux et autres Marie-Claude Lévesque, Associée déléguée Hugo Jackson, CA, M.Fisc. Jocelyn Veillette, CA, CMA Pierre-Yves Dubois, CA, MBA Plan de la présentation Frais médicaux Fonctionnement
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailConseil et vente produits complémentaires. Conseil et vente Verres unifocaux. Atelier Administration. Conseil et vente Verres multifocaux
Plan de formation Opticienne CFC / Opticien CFC Atelier Administration Conseil et vente Verres unifocaux Conseil et vente Verres multifocaux Conseil et vente produits complémentaires 10.05.2010 ASO Olten
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailCONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow
LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec
Plus en détail5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin. Une mutuelle dédiée aux médecins et à leur famille
Complémentaire santé NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Complémentaire santé + 5 raisons de choisir la
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailCARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1
CARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1 SOMMAIRE ASSURES LE RESEAU CARTE BLANCHE... 5 LES PROFESSIONS DE SANTE... 5 CARTE BLANCHE, COMMENT ÇA MARCHE?... 6 LES OPTICIENS... 7 LES CHIRURGIENS-DENTISTES...
Plus en détailAvertissement. La pagination du fichier PDF est ainsi demeurée en tous points conforme à celle de l original.
Avertissement Pour faciliter la consultation à l écran, les pages blanches du document imprimé (qui correspond à la page 4) ont été retirées de la version PDF. On ne s inquiétera donc pas de leur absence
Plus en détailDemande de logement social
Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 14069*02 Avez-vous déjà déposé une
Plus en détailPistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement
Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement, MELS, novembre 2011 Page 1 Document
Plus en détailASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL
ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat
Plus en détailGLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE
Texte de janvier 2007 GLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE Dr Xavier Zanlonghi (1, 2) 1 - Clinique Sourdille Centre Basse Vision 3 place Anatole France 44000 NANTES tél :
Plus en détailModernisation des programmes d aides techniques du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS)
Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux Modernisation des programmes d aides techniques du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) Convergez vers
Plus en détailEOVI MANAGER. des solutions au tempo de votre équipe. qui renouvelle la mutuelle
EOVI MANAGER des solutions au tempo de votre équipe SANTé Intégral la qui renouvelle la mutuelle GARANTIE SANTÉ : VOUS la CHOISISSEZ, VOS SALARIÉS la RENFORCENT 1 Vous choisissez la garantie collective
Plus en détailVente en ligne de médicaments : où en eston
JIM.fr -Vente en ligne de médicaments : où en est-on? Page 1 sur 5 Publié le 15/11/2014 Vente en ligne de médicaments : où en eston? Barbara Bertholet (à droite) et Caroline Balosso Paris, le samedi 15
Plus en détailL ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI
L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI Les ERP «ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC» Le nouveau dispositif réglementaire L ESPRIT DE LA LOI Nouvelle définition de la personne en situation de handicap Accessibilité
Plus en détailPublicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé
Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Swiss santé, Ma formule Édito Swiss santé, Ma formule Créez votre complémentaire santé personnalisée Rester en bonne santé est ce qu il y a de plus
Plus en détailsquelettique Importance pressentie des troubles de santé psychologique Sollicitation par les centres d urgence d
Étude chez les prépos posés s des centres d appels d d urgence : la première phase d une d démarche de prévention des troubles de santé psychologique et musculo-squelettique squelettique Présenté par Louise
Plus en détailENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B.
ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. Dates importantes 13 janvier: Réunion de l APÉ (19h, bibliothèque de l école) 14, 21, 28 janvier: Dîners chauds 14, 28 janvier: Bouts de choux
Plus en détailDOSSIER : RECHERCHE et CONSEIL SCIENTIFIQUE À l aube d une ère nouvelle. poster. bilan 2007. formation. chiens-guides d aveugles.
juillet 2008 I n 35 bilan 2007 Affectation des dons formation Des collégiens apprenent le Braille chiens-guides d aveugles Selection et éducation enquête L observatoire de la transparence des associations
Plus en détailLa rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa
Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailGARANTIES. Étudiants NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE
Étudiants NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Étudiants 5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin Une
Plus en détailMESURES D AIDE FINANCIÈRE AUX FAMILLES AYANT UN
MESURES D AIDE FINANCIÈRE AUX FAMILLES AYANT UN www.msss.gouv.qc.ca MESURES D AIDE FINANCIÈRE AUX FAMILLES AYANT UN PERSONNES CONSULTÉES M. Daniel Bérubé, ministère de la Santé et des Services sociaux
Plus en détailDégénérescence maculaire liée à l âge
Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et
Plus en détailDECLARATION D ACCIDENT
CONTRAT D ASSURANCE AIG N 4.091.165 FEDERATION FRANCAISE DE BASKET BALL DECLARATION D ACCIDENT En cas d accident, cette déclaration accompagnée des documents détaillés ci-après est à envoyer à : AIG EUROPE
Plus en détailAide-mémoire pour assurer l accessibilité de vos événements
Guide pratique d accessibilité des événements Aide-mémoire pour assurer l accessibilité de vos événements Accessibilité extérieure Transport Service de transport collectif régulier, fréquent et à proximité.
Plus en détailLa Loi sur l aide aux personnes et aux familles
La Loi sur l aide aux personnes et aux familles (L.R.Q., chapitre A-13.1.1) Par : Olivia Dugré, étudiante en droit à l Université Laval Sous la supervision de Christian Loupret Avril 2012 TABLE DES MATIÈRES
Plus en détail