Petit déjeuner presse. Bilan 2013

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1 Petit déjeuner presse Bilan janvier 2014

2 Sécurité publique Rappels Les zones de compétence Gendarmerie/Police Les indicateurs de la délinquance AVIP Atteintes volontaires à l'intégrité physique des personnes Cet indicateur concerne les faits de violences physiques crapuleuses (ayant pour but le vol) et non crapuleuses (dont le vol ne constitue pas le motif), les menaces de violences et les violences sexuelles (exemple : coups et blessures volontaires, atteintes aux mœurs, infractions contre la famille et l enfance ). Il comprend les formes de violence affectant physiquement nos concitoyens, notamment dans la sphère familiale. AAB Atteinte aux biens Les atteintes aux biens concernent les faits de vol (vols à main armée, vols avec violences, vols avec entrée par ruse, cambriolages, vols simples et liés à l automobile), les destructions et les dégradations. EIEF - Escroqueries et infractions économiques et financières L indicateur EIEF concerne les faits de faux en écriture, fausse monnaie, contrefaçons, escroqueries et abus de confiance, falsification et usages de chèques volés ou de cartes de crédits, abus de biens sociaux, fraudes fiscales.

3 Bilan de l année 2013 Le Morbihan figure parmi les départements les plus sûrs de France, alors qu'il a gagné en population (+16% en 20 ans). Nombre d AVIP pour 1000 habitants Nombre d'atteintes volontaires à l'intégrité physique des personnes (AVIP) pour habitants Le Morbihan est le 6 ème département le moins violent de France métropolitaine (11 ème en 2012). Nombre d atteintes aux biens (AAB) pour habitants Le Morbihan est le 34 ème département dans lequel le moins d atteintes aux biens sont enregistrées (33 ème en 2012). Nombre d AAB pour 1000 habitants Escroqueries et infractions économiques et financières (EIEF) pour habitants Le Morbihan est le 14 ème département de France métropolitaine dans lequel le moins d escroqueries et d infractions économiques et financières sont enregistrées (13 e en 2012). Nombre d EIEF pour 1000 habitants En 2013, les tendances morbihannaises (hors EIEF) sont plus favorables que les tendances nationales pour les trois agrégats suivis. Sur cette tendance de fond, trois observations se dégagent de l année 2013 : un début de baisse contrastée selon les zones du département des atteintes volontaires à l intégrité physique des atteintes aux biens en légère hausse, des faits de cambriolages amorçant une baisse et une montée des vols simples une hausse des escroqueries et infractions économiques et financières

4 Une baisse contrastée, selon les zones du département, des atteintes volontaires à l intégrité physique Evolution en % du nombre d'avip constatés par la police et la gendarmerie nationales Les atteintes volontaires à l intégrité physique connaissent une baisse en zone police (-7,4%, soit - 97 faits pour un total de 1212 faits). En zone gendarmerie (+6%, soit +86 faits pour un total de 1520 faits) elles enregistrent une hausse, mais dont le rythme diminue par rapport à l'année 2012, où elle atteignait +8,8%, soit +117 faits. Les violences physiques non crapuleuses augmentent modérément en zone gendarmerie (+2,4%, passant de 957 à 980 faits), mais baissent de façon importante en zone police (-13,1%), passant de 816 à 709 faits. Les violences physiques crapuleuses sont en baisse sur l'ensemble du département. Elles sont stables en zone gendarmerie (passant de 102 à 104 faits) et diminuent de -9,1% en zone police (passant de 165 à 150 faits). Les violences sexuelles augmentent en zone police (+6,9%, passant de 101 à 108 faits) et en zone gendarmerie (+14,9%, soit +18 faits). Les menaces de violence augmentent en zone police de +7,9% (passant de 227 à 245 faits) et en zone gendarmerie (+16,9%). Une légère augmentation des atteintes aux biens, des faits de cambriolages amorçant une baisse et une montée des vols simples Evolution en % du nombre d'aab constatés par la police et la gendarmerie nationales Les AAB augmentent de +2,2% (soit +239 faits pour un total de faits) en zone gendarmerie et de +1% (soit +63 faits pour un total de 6176 faits) en zone police. Le fait marquant en 2012, l augmentation des cambriolages qui atteignait à l époque +22,9% (soit +705 faits) enregistre une très légère baisse en 2013 (-0,8%, passant de 3780 à 3748 faits) sur l ensemble du département, avec une baisse de -4,1% en zone gendarmerie (passant de 3025 à 2902 faits), tandis que la zone police enregistre une hausse (+12,1%, passant de 755 à 846 faits), notamment à Vannes. De très bons résultats sont enregistrés dans la lutte contre les cambriolages dans les locaux industriels et commerciaux (-24,5% en zone gendarmerie, passant de 915 à 691 faits ; -12,16% en zone police, passant de 214 à 188), tandis que les cambriolages d autres lieux (caves, garages,...), ainsi, qu en zone police, les habitations principales, constituent des points de vigilance particuliers.

5 Si les cambriolages marquent donc le pas dans le Morbihan, les vols simples au préjudice des particuliers (hors automobile) connaissent une hausse de +19,3% en zone police (passant de 1597 à 1905 faits) et de +8,1 % en zone gendarmerie (passant de 2911 à 3147 faits). Une reprise des déclarations de vols de téléphones portables explique pour partie cette augmentation. Il faut souligner une baisse des destructions et dégradations de biens (-16% en zone police, +10,6% en zone gendarmerie). Notons également le caractère exceptionnel des vols avec violence, surtout avec armes à feu (9 en zone gendarmerie, 13 en zone police. Le point sur la mobilisation des services dans la lutte contre les cambriolages Une action répressive forte Une action opérationnelle renforcée : orientation territoriale des patrouilles, surveillance discrète en vue d établir des flagrants délits. Plusieurs bandes criminelles organisées démantelées, nécessitant souvent un patient travail d enquête. Renforcement de la police technique et scientifique. Des actions de prévention renforcées Une action de fond - Communication - Nombreuses consultations de sûreté et diagnostics de sécurité effectuées par les référents de la police et de la gendarmerie au bénéfice des professionnels et des collectivités territoriales Des actions ciblées selon les moments de l année - Opération «tranquillité vacances» à chaque période de vacances scolaires, afin d organiser une surveillance régulière de l habitation des personnes qui se sont signalées - Contacts spécifiques avec les commerçants au moment des fêtes de fin d année - Mise en place du plan territorial de lutte contre les cambriolages et les vols à main armée, signé le 12 décembre 2013 Des dispositifs participatifs Cinq communes (Berric, Guer, Muzillac, Noyalo et Ploëren) ont déjà signé des protocoles de participation citoyenne. En étroite collaboration avec le maire, une ou plusieurs chaines de vigilance sont mises en place, structurées autour d habitants d une même rue ou d un même quartier. Ce maillage est fondé sur le principe de solidarité, et animé par l esprit civique des habitants Des dispositifs réactifs Une alerte SMS à destination des commerçants permet de diffuser le plus largement possible des informations utiles en temps réel, et de prendre les mesures adaptées dès la survenue des évènements pouvant les toucher. Un plan anti-cambriolages et vols à main armée a été élaboré dans le département au cours du second semestre Mais c est par une modification des comportements de chacun d entre nous que nous arriverons à endiguer ce phénomène Une reprise des escroqueries et infractions économiques et financières Evolution en % du nombre d'eief constatés par la police et la gendarmerie nationales Les escroqueries et infractions économiques et financières enregistrent une hausse, de manière plus appuyée en zone gendarmerie (+17,3% soit +284 faits pour un total de 1925 faits) qu en zone police (+3,3% soit +24 faits pour un total de 760 faits). Cette augmentation est en grande partie, liée à aux infractions de falsification et d'usages en matière de moyens de paiement, chèques et carte volés. La plus grande vigilance dans le cyberespace reste également recommandée (cf. brochure disponible sur

6 Sécurité routière 1 Bilan de l année 2013 Rappel des chiffres nationaux pour 2013 Le bilan de l'accidentalité routière sur l'année 2013, comparé à 2012 au niveau national, révèle une diminution de : - 11% du nombre de personnes tuées (3 250 morts contre en 2012) - 6,6% du nombre d accidents corporels ( accidents contre en 2012) - 6,6% du nombre de personnes blessées ( blessés contre en 2012) - 4,7% de blessés hospitalisés ( blessés hospitalisés contre en 2012) Le nombre des personnes tuées, qui était stable et à un niveau élevé en 2011 et 2012, est, en 2013, historiquement bas dans le Morbihan Les données générales en 2013 confirment une tendance globalement favorable % Accidents ,4 % Blessés ,8 % Blessés hospitalisés ,8 % Tués % L indice de gravité, rapportant le nombre de morts au nombre d accidents, diminue donc très clairement, passant de 9 à 5,8. 1 Les chiffres 2013 ne sont pas consolidés à l heure de la conférence de presse, du fait de la comptabilisation comme tué de tout blessé qui décèderait dans les 30 jours après l accident, si le lien entre sa mort et l accident est établi.

7 Les accidents mortels de la circulation dans le Morbihan en 2013 Catégorie des tués Evolution Piéton 8 14,5 % 4 12 % Vélo 4 7 % 2 6 % Cyclomoteur < à 50 cm3) 3 5,5 % 1 3 % Cyclomoteur > à 50 cm3 et < à 125 cm3 3 5,5 % 0 0 % Moto > sup à 125 cm % 9 27 % Véhicule léger % % Poids lourd 0 0 % 0 0 % = Autre (voiturette, quad, motobike ) 3 5,5 % 1 3 % Le nombre de tués dans la catégorie des usagers fragiles (piétons et deux-roues) est en diminution (16 contre 27), mais il représente toujours près de la moitié des morts sur la route. Le nombre de tués dans la catégorie des motos ne diminue pas. Au contraire, il augmente en proportion du nombre total de morts sur la route. Âge Evolution 0-17 ans 6 11 % 2 6 % ans 6 11% 8 24 % ans % 4 12 % ans 6 11 % 5 15 % ans 7 13 % 3 9 % ans 8 14 % 1 3 % ans 5 9 % 3 9 % = 75 ans et % 7 21 % Les nombres de tués par tranche d'âges diminuent, sauf les jeunes (18-24 ans) et les 75 ans et plus, qui augmentent également relativement aux autres âges de la vie. La moitié des tués entre 18 et 24 ans conduisaient une moto. Causes des accidents mortels Alcool et/ou stupéfiants Vitesse* Refus de priorité* Autres* Indéterminé Total % 7 24 % 4 14 % 5 17 % 0 0 % % 6 13 % % % 1 2 % 47 * hors alcool et/ou stupéfiants

8 L alcool et/ou les stupéfiants confirment leur rôle de premier vecteur d accidents mortels, en en expliquant près d un sur deux. La vitesse arrive en deuxième position, mettant en cause, dans 75 % des cas, des conducteurs de plus de 65 ans. Sur ce sujet, les vitesses moyennes relevées sur le réseau départemental sont stables (voies limitées à 90 km/h), voire augmentent sur les voies limitées à 110 km/h. Sur les routes nationales, elles augmentent sur les portions de voies limitées à 110 km/h. Réseaux limités à 90 km/h Réseaux limités à 110 km/h RN RD RN RD 1er quadrimestre ,4 88, ,5 2ème quadrimestre ,3 88,5 102,1 107,2 Une politique marchant sur ses deux pieds : répression et prévention Répression : évolution des infractions dans le Morbihan en 2013 Infractions Infractions Evolution Vitesse ,8 % Alcoolémie ,7 % Stupéfiants ,5 % Ceintures ,9 % Casques % Portable ,8 % Priorité ,7 % Total infractions ,4 % Prévention : un indispensable travail de réseau La mobilisation des 51 Intervenants Départementaux Sécurité Routière (IDSR), membres bénévoles du réseau AGIR, est indissociable du bon déroulement des opérations de prévention sur toute l année. En 2013, ils ont consacré 673 journées à ces actions. Par ailleurs, chaque collège et lycée a désigné un Référent Sécurité Routière (REN), point d appui pour proposer des rencontres sécurité routière dans les établissements scolaires. Autre relais important, le réseau des Elus Référents Sécurité Routière (ERSR) facilite ou est à l origine de certaines actions (le «concours Gastounet» mobilisant les écoles primaires ). Point d entrée des acteurs de la sécurité routière au niveau de la commune, les ERSR font jouer à plein «l effet levier» là où il est le plus efficace, au plus près de nos concitoyens. La sécurité routière dans le département est portée également par le partenariat très fort existant en la matière entre le Conseil Général et la Coordination Sécurité Routière. Enfin, une étroite collaboration avec des associations (la Prévention Routière ) les organismes socioprofessionnels et d autres partenaires privés (assureurs, auto-écoles, dirigeants de discothèques...) sont tout aussi indispensables à ce travail de terrain.

9 Sécurité civile Bilan de l année 2013 En 2013, le service départemental d'incendie et de secours du Morbihan a assuré interventions, soit une augmentation de +8%, avec, comme chaque année, une légère hausse de l activité en période estivale. Entre 2008 et 2012, l activité opérationnelle semblait avoir atteint un palier autour de interventions annuelles comme le présente le tableau ci-dessous. En 2013, la barre symbolique des interventions est franchie pour la première fois. Répartition des interventions en 2013 Evolution de la répartition des interventions Interventions Variation 2012/2013 Opérations diverses % Incendies % Secours à personnes % Secours routiers % Total % L activité opérationnelle 2013 est marquée par une hausse des secours à personnes de +3% et par une augmentation des opérations diverses induite notamment par l engagement du SDIS lors de la tempête Dirk. Une hausse conséquente des feux d espace naturel (+19%) par rapport à la dernière période observée est également à signaler. Les numéros d appels d urgence «18» et «112» du département sont reçus au Centre de Traitement de l Alerte (CTA) situé dans les locaux de la direction départementale. Le CTA a traité appels en 2013, soit une augmentation de 5%. La modernisation des transmissions 2013 a vu également l interopérabilité SDIS SAMU renforcée par le lancement de la télétransmission des bilans secouristes établis par les sapeurs-pompiers via le réseau Antarès. La transmission de bilans dématérialisés par les centres tests en 2014, permettra de tirer les enseignements nécessaires à la généralisation de ce mode de communication évolué.

10 Situation de l emploi Bilan de l année 2013 Taux de chômage : il est calculé en rapportant le nombre de chômeurs à la population active, elle-même constituée de la somme du nombre de chômeurs et des actifs occupés. Demandeurs d emploi : sont inscrits à Pôle Emploi dans différentes catégories de demandes d'emploi en fonction de leur disponibilité, du type de contrat et de la quotité de temps de travail recherchés. Il est ici question uniquement des demandeurs d emploi de catégorie A i.e tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi, sans emploi, les chiffres sont corrigés des variations saisonnières. La situation actuelle de l emploi dans le Morbihan Emploi par grands secteurs (emploi salarié, 3 e trimestre 2013, INSEE) Services marchands (hors intérim) Commerce Industrie dont industrie agro-alimentaire Construction Intérim (données DARES octobre 2013) emplois emplois emplois soit 43 % de l emploi industriel emplois emplois ETP L activité partielle A fin novembre 2013 dans le Morbihan, heures d activité partielle effectives étaient enregistrées contre heures à fin novembre 2012 soit une progression sur un an de +2,58 %. A noter cependant, le recours important à l activité partielle a été enregistrée sur le 1 er trimestre 2013, la situation s étant stabilisée depuis. Les chiffres de la demande d emploi et du chômage Demandeurs d emplois (décembre 2013) en variation de 0,7 % en un mois et de +6,4 % en un an. La variation sur un an est de +4,7 % en Bretagne et de +5,7 % au niveau national. Des plus de 50 ans Variation sur un mois de +0,7 % et sur un an de +13,2 % Des moins de 25 ans Variation sur un mois de 2% et sur un an de 0,8 % Des femmes La variation de la demande d emploi totale des femmes évolue de façon légèrement plus favorable que celle des hommes : -0,8 % sur un mois contre 0,5 % pour les hommes ; et +5,5 % sur un an contre +7,1 % pour les hommes Taux de chômage (3 e trimestre 2013) France métropolitaine 10,5 % Bretagne 9,4 % Morbihan 10 % Actuellement, et même si cette tendance doit être prise avec beaucoup de prudence, la situation du chômage dans le Morbihan s améliore peu à peu : baisse sur le dernier semestre, baisse forte pour le chômage des jeunes, reprise de l intérim Au-delà des chiffres de décembre, la tendance semestrielle, qui est la plus pertinente, confirme en effet cette amélioration. Depuis juillet 2013, nous enregistrons : - une diminution globale de la demande d emploi de 2,3 % - une diminution de la demande d emploi des jeunes de 8,7 % - mais une augmentation de la demande d emploi chômage des seniors de +3,7 %. Cette augmentation est cependant moins forte par rapport à celle enregistrée sur un an. De plus, au 3 ème trimestre 2013, pour la plupart des secteurs d activité en emploi salarié, l évolution négative marque le pas. Si, pour la construction, la diminution des effectifs se poursuit (-1,2 % sur 3 mois ; -3.4 % sur l année), l industrie enregistre une évolution trimestrielle légèrement positive (+0,2 % sur 3 mois). Les offres collectées par Pôle emploi dans le Morbihan sont en augmentation sensible, principalement en ce qui concerne les offres d emplois durables (6 mois ou plus) : augmentation de +22,3 % sur le 4 ème trimestre 2013 par rapport au 3 ème trimestre 2013 et de +11,5 % sur la même période pour le total des offres. En baisse depuis le début 2011, l emploi intérimaire augmente sur le troisième trimestre 2013 par rapport au trimestre précédent (+5,8 %).

11 Les mesures en faveur de l emploi Les contrats aidés Les contrats d'accompagnement dans l'emploi (CAE) et les contrats initiative emploi (CIE) Au 29 décembre 2013 : 473 CIE ont été prescrits, soit 109,7% de l objectif annuel CAE ont été prescrits, soit 91,6% de l objectif annuel. Le conseil général s est engagé dans ce dispositif, à hauteur de CAE et 150 CIE sur l année 2013 et pour les bénéficiaires du RSA, il est enregistré 96 entrées en CIE et 962 entrées en CAE. Emplois d avenir (EA) Globalement, l objectif 2013 des EA a été atteint. En incluant novembre et décembre 2012 (lancement du dispositif), ce sont 600 EA qui ont été conclus dans le secteur non marchand pour un objectif de 566 EA (taux de réalisation : 106,0 %), et ce, à la faveur notamment d une très bonne participation des communes du département. Les résultats sont bons sur le plan quantitatif ; ils le sont également sur le plan qualitatif : le public visé, les jeunes les plus éloignés de l emploi, est celui qui a réellement bénéficié des EA, avec une grande majorité de contrats d une durée de 3 ans. Au 29 décembre 2013, le taux de réalisation pour le secteur marchand est de 71,7 %, soit 58 emplois d avenir conclus, l objectif annuel 2013 étant de 81. Priorités 2014 des contrats aidés Pour 2014, ces outils en faveur de l emploi pourront à nouveau être mobilisées largement. En effet, CAE, 186 CIE et 248 emplois d avenir pourront être prescrits au 1er semestre. La priorité des CAE sera donnée aux demandeurs d emploi seniors et longue durée. L emploi d avenir sera un peu plus orienté vers le secteur marchand avec déjà quelques décisions prises à cet égard : - un objectif de contrats plus important (20 % maximum du total) - l élargissement des secteurs d activités éligibles à ceux de la propreté et des activités d élevage - une ouverture à tous les secteurs pour les jeunes issus des ZUS et ZRR Enfin, la généralisation de la réforme des rythmes scolaires pourra également être mise à profit pour mobiliser le secteur non marchand et particulièrement les communes et les inciter à se préparer dès maintenant (recrutement des futurs animateurs d activités). Le contrat de génération 193 demandes d aides enregistrées depuis le 17 mars Les contrats de génération Ils sont issus de l accord unanime des partenaires sociaux du 19 octobre 2012 et de la loi du 1er mars Deux types de dispositions sont, selon la taille des entreprises, possibles ou obligatoires : une aide financière aux entreprises un accord d entreprise ou un plan d action

12 Taille de l entreprise Bénéficie de l aide Négociation collective 0 à 49 Oui Optionnelle 50 à 299 Oui 300 et plus Non applicable Obligatoire pour l obtention de l aide : accord de branche étendu (métallurgie, construction, grande distribution, filière agroalimentaire.) ou accord d entreprise ou de groupe, à défaut plan d action d entreprise Obligatoire : accord d entreprise ou de groupe, à défaut plan d action d entreprise Si non respect de l obligation : pénalité financière de 1 % de la masse salariale Modalités de l aide L aide est de par an pendant trois ans. Elle est versée par Pôle Emploi et par binôme de salariés remplissant les conditions suivantes : embauche en CDI à temps plein (ou au moins 80% à la demande du salarié) et maintien dans l emploi pendant la durée de l aide d un jeune de moins de 26 ans ou de moins de 30 s il est handicapé ; maintien dans l emploi en CDI, pendant la durée de l aide ou jusqu au départ en retraite d un salarié : > âgé d au moins 57 ans, > âgé d au moins 55 ans au moment de son embauche ou travailleur handicapé. En outre, l aide est aussi ouverte pour la constitution d un binôme entre un chef d entreprise de moins de 50 salariés de plus de 57 ans et un jeune éligible dans la perspective de lui transmettre son entreprise. Les accords ou les plans d action La négociation collective au sein de l entreprise est privilégiée autant que possible. Les accords s appuient sur un diagnostic et sont valables 3 ans. Ils font l objet d un contrôle par les services de la DIRECCTE. Les points à aborder concernent les engagements de l employeur en matière, notamment, de recrutement des jeunes, des conditions de leur intégration et de leur formation y compris avec le recours à l alternance, des mesures en faveur des salariés âgés et de la transmission des savoirs et des compétences. Les entreprises de moins de 300 salariés peuvent aussi bénéficier d une aide à l accompagnement pour la réalisation d un diagnostic ressources humaines orienté sur la question des âges et à mettre en œuvre des opérations en faveur d une gestion active des âges (s adresser à la DIRECCTE).

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