Lorsque la sécurisation des paiements par carte bancaire sur Internet conduit à une concurrence entre les banques et les opérateurs de réseau

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1 Lorsque la sécurisatio des paiemets par carte bacaire sur Iteret coduit à ue cocurrece etre les baques et les opérateurs de réseau David Bouie Das cet article, ous ous iterrogeos sur l issue de la cocurrece etre deux protocoles de sécurisatio des paiemets par carte bacaire coçus, d ue part, par les baques et, d autre part, par les opérateurs de réseau. Nous motros que le protocole de sécurisatio o-bacaire s impose sur le marché de la sécurisatio des paiemets par carte bacaire sur Iteret. Nous cocluos à la perte du cotrôle des baques sur les procédures de paiemet par carte bacaire sur Iteret au profit des opérateurs de réseau. Whe the secured paymets by card o the Iteret leads to a competitio betwee baks ad etwork operators I this article, we woder about the exit of competitio betwee two secured protocols of the paymets by card coceived, o the oe had, by the baks ad, o the other had, by the etwork operators. We show that the o-bakig secured protocol takes the lead i the market of the secured paymets by card o Iteret. We coclude to the loss of the bakig cotrol o the paymet procedures by card o Iteret to the beefits of the etwork operators. ots-clef : Système de paiemet électroique, Iteret, Cocurrece bacaire École Natioale Supérieure des Télécommuicatios, Départemet EGSH, 46, rue Barrault, Paris Cedex 13. Ecole Natioale Supérieure des Télécommuicatios, Départemet EGSH, 46 rue Barrault, Paris Cedex 13. Je remercie. Bourreau et Y. Radoux pour leurs coseils judicieux et leur aide précieuse. Ce travail a bééficié du soutie fiacier du Groupemet des Cartes Bacaires «CB» et du projet de recherche STAR du programme IST de la Commissio Européee.

2 imeo 2 INTRODUCTION Das cet article, ous ous iterrogeos sur l issue de la cocurrece etre deux protocoles de sécurisatio des paiemets par carte bacaire coçus, d ue part, par les baques et, d autre part, par les opérateurs de réseau. Nous motros que le protocole de sécurisatio o-bacaire s impose sur le marché de la sécurisatio des paiemets par carte bacaire sur Iteret. Nous cocluos à la perte du cotrôle des baques sur les procédures de paiemet par carte bacaire sur Iteret au profit des opérateurs de réseau. Das le cotexte du développemet du commerce électroique sur Iteret, des cetaies de systèmes de sécurisatio des paiemets sot proposés aux agets écoomiques afi d assurer la sécurité de leurs échages [1]. Parmi ceux-ci, deux protocoles coçus pour assurer la sécurisatio des paiemets par carte bacaire semblet plus précisémet s opposer e Frace [2]. Le premier est le protocole sécurisé de commuicatio o-bacaire baptisé Secure Socket Layer (SSL). Ce derier est le système le plus utilisé à l heure actuelle sur Iteret. Ce protocole possède ue triple spécificité : d ue part, il a été coçu par Netscape, u acteur o-bacaire, e 1992 ; d autre part, il est proposé par des opérateurs de réseau qui etret e cocurrece avec les baques pour offrir ce ouveau mode de paiemet sécurisé par carte bacaire ; efi, il s impose comme u stadard sur le marché. E réactio à la domiatio de ce protocole o-bacaire das les paiemets par carte bacaire sur Iteret, l esemble des baques fraçaises s est alors associé pour promouvoir le développemet d u protocole sécurisé de paiemet à base de carte à puce déommé Cyber-CO. Das le cotexte de cette oppositio techologique etre SSL et Cyber-CO, se pose alors la questio de savoir si Cyber-CO peut s imposer sur le marché de la sécurisatio des paiemets par carte bacaire et si, i fie, les stratégies mises e place par les baques sot cohéretes par rapport à leurs objectifs. Nous cofodros, das ce papier, la pricipale applicatio d Iteret, le World Wide Web, avec le réseau Iteret lui-même. L opérateur de réseau est u itermédiaire o-bacaire comme par exemple u opérateur de télécommuicatios, ue société iformatique, etc., e charge du trasport et de la sécurisatio évetuelle des doées de paiemet sur les réseaux.

3 imeo 3 Pour répodre à cette iterrogatio, l article est orgaisé e quatre parties. Das ue première, ous doos de maière sommaire u aperçu des pricipales classes géériques des ouveaux modes de paiemet électroique (NPE). Cette typologie des NPE permet de positioer les deux protocoles de sécurisatio des paiemets par carte bacaire, SSL et Cyber-CO, par rapport à d autres classes de NPE. Cette typologie précisée, ous ous cocetros, plus particulièremet, sur la cocurrece qui s exerce etre SSL et Cyber- CO. A ce titre, ous proposos u modèle de simulatio de la diffusio des systèmes SSL et Cyber-CO sur les dix prochaies aées. La simulatio du modèle est réalisée à partir de doées collectées auprès des membres d istitutios bacaires et o-bacaires européees. A l aide du modèle et des doées, ous simulos alors, das ue troisième partie, l évolutio de la diffusio des deux systèmes cocurrets. Efi, das ue quatrième et derière partie, ous cocluos cet article. I. UNE TYPOLOGIE DES NOUVEAUX ODES DE PAIEENT ÉLECTRONIQUE L objectif de cette partie est de doer ue typologie sommaire des pricipales classes géériques des NPE. Ces deriers recouvret des cetaies de systèmes affublés d épithètes multiples et variés traduisat le caractère ouveau, imagé et virtuel des iovatios e cours : «carte virtuelle dyamique», «arget virtuel», «jetos umériques», «e-cash», «protocoles de paiemet électroique», etc. Aussi, face à l iflatio des déomiatios, ue clarificatio s impose. Les NPE peuvet être défiis comme l esemble des modes de trasmissio sécurisée des paiemets sur les réseaux ouverts. Les NPE costituet essetiellemet des protocoles, i.e. des esembles de règles coçues pour assurer la commuicatio etre les divers acteurs du paiemet. Ces protocoles sot articulés autour de foctios et d algorithmes cryptographiques coçus pour sécuriser les paiemets sur Iteret. L esemble des NPE sur Iteret peut être dissocié e deux classes géériques aisi que l illustre la figure 1 ci-dessous : la première baptisée NPE e compte et la secode qualifiée moaie électroique. La première classe géérique de NPE e compte est exclusivemet composée de systèmes scripturaux. Quels que soiet les procédés cryptographiques utilisés, les systèmes

4 imeo 4 mis e œuvre foctioet sur des pricipes idetiques aux télépaiemets sur réseaux propriétaires : u ordre de paiemet dématérialisé est écessaire pour mobiliser la moaie scripturale iscrite sur u compte géré par u itermédiaire. Néamois, ue différece essetielle permet de décomposer cette classe de NPE e deux sous-classes : la ature de l itermédiaire qui gère les comptes des iterautes, i.e. ue baque ou u opérateur de réseau. Figure 1 : Typologie des ouveaux modes de paiemet électroique NPE NPE e compte oaie Electroique NPE Compte Bacaire NPE Compte No-Bacaire Porte- oaie Eléctroique (Avat) Porte-oaie Virtuel (!) Protocole Sécurisé Commuicatio (SSL, S-HTTP) Protocole Sécurisé Paiem et (SET, Cyber-CO) Système Notarié e compte (Paypal, Iteretcash) Système de Fidélisatio (beez, i-poit) Système de Recouvremet (w -HA, Password) Ue première sous-classe, baptisée NPE articulée autour de comptes bacaires, permet de sécuriser des ordres de paiemet trasférés sur Iteret pour mobiliser des fods déteus par des établissemets de crédit. Ces NPE costituet des protocoles de sécurisatio des paiemets par carte bacaire. Deux types de protocoles sécurisés peuvet être distigués : les protocoles sécurisés de commuicatio et les protocoles sécurisés de paiemet. Les protocoles sécurisés de commuicatio de type Secure- HyperTextTrasferProtocol (S-HTTP) ou Secure Socket Layer (SSL) sot coçus pour sécuriser tout type de doées sur le réseau à l image des ordres de paiemet, des mails, etc. Le protocole SSL, coçu à l origie par Netscape, permet de trasmettre so uméro de carte Il est iexact, d u poit de vue techique, d itégrer SSL das ue typologie des NPE. Néamois, d u poit de vue écoomique, ous souteos l idée que l itégratio de la solutio das ue classificatio des NPE est pas déuée de ses. Das la mesure où la solutio commercialisée a pour foctio de sécuriser les paiemets e lige, il deviet légitime pour u iteraute ou u commerçat d arbitrer etre plusieurs NPE sur le base de critères écoomiques tels que le coût de la solutio, la taille du réseau, la garatie bacaire ou o-bacaire de la fraude, etc.

5 imeo 5 bacaire e lige das le cadre d u formulaire lié à la commade. SSL est aujourd hui le système le plus utilisé sur Iteret. Selo le 9 ème baromètre du commerce électroique e Frace réalisé par le Webmarchad, 71,8% des sites marchads qui permettaiet d exécuter ue trasactio e lige au premier jui 2001 (vete ou réservatio itégralemet e lige) offraiet ue sécurisatio SSL. Ce protocole est proposé par les pricipales baques mais aussi par de ombreux agets o-bacaires qui ot pour métier la sécurisatio des flux électroiques, comme par exemple des opérateurs de télécommuicatios ou des sociétés iformatiques. Néamois, e dépit de so extrême popularité, la versio commuémet développée sur Iteret offre u iveau de sécurité relativemet faible das la mesure où aucu mécaisme de sigature électroique e permet d authetifier l utilisateur. E l absece d u tel mécaisme, les utilisateurs peuvet alors cotester et auler les paiemets réalisés. Pour pallier ces difficultés, coûteuses pour les baques et les marchads, l esemble des baques fraçaises s est associé pour promouvoir u protocole de paiemet sécurisé à base de carte à puce baptisé Cyber-CO. Le système Cyber-CO a pour ambitio de réduire les risques de fraude e garatissat aux commerçats le paiemet des vetes effectuées e lige et e supprimat pour les cosommateurs le droit de répudiatio des paiemets, comme cela est déjà le cas pour le paiemet de proximité par carte bacaire. Cyber-CO utilise pour cela u mécaisme de sigature électroique authetifiat à distace l iteraute à partir d u dispositif à base de carte à puce et d u lecteur de carte sécurisé. Cotrairemet au système SSL, les baques possèdet l exclusivité de l exploitatio et de la distributio du système Cyber-CO. Cette orgaisatio du marché s apparete doc à u régime «coopératif» etre les offreurs de sécurité, ou de faço plus schématique, à u moopole sur la sécurité. Par ailleurs, le système Cyber-CO est plus coûteux que le système SSL. E effet, si la techologie Cyber-CO permet de garatir u iveau de sécurité plus élevé, l ifrastructure techique écessaire augmete cosidérablemet le coût de productio du U cryptosystème à clé publique permet de sécuriser le trasfert du uméro de carte bacaire sur Iteret. Pour ue descriptio du protocole, le lecteur cosultera [3]. Le système Cyber-CO est basé sur le protocole Secure Electroic Tracatio coçu par Visa et astercard e 1996.

6 imeo 6 service de sécurité des paiemets. E particulier, les iterautes cosommateurs doivet être équipés d u lecteur de carte à puce pour pouvoir réaliser leurs trasactios. Ue deuxième sous-classe ititulée NPE articulée autour de comptes o-bacaires permet de sécuriser des ordres de paiemet trasférés sur Iteret pour mobiliser des fods déteus par des agets o-bacaires, les opérateurs de réseau. Ces NPE, adossés gééralemet au protocole SSL, offret la sécurisatio e lige de la trasmissio d ordres de paiemet dématérialisés coçus à partir de ouvelles procédures d échage ou de ouveaux istrumets de paiemet (wallet). Ces opérateurs de réseau proposet doc à leurs cliets, à défaut de pouvoir utiliser la carte bacaire pour ordoer les paiemets, de ouvelles procédures d échage ou de ouveaux moyes d échage. Cette deuxième sous-classe peut être divisée e trois groupes. Le premier, baptisé système otarié e compte, permet à u opérateur de réseau de régler les positios débitrices et créditrices de ses cliets à partir de comptes ouverts sur ses livres (Paypal, Bluelie, etc.). Le deuxième appelé système privé de fidélisatio permet le trasfert de poits de fidélité qui costituet u réel pouvoir d achat etre les parteaires du réseau (I-poit, webmiles, etc.). Efi, u derier groupe, baptisé système de recouvremet de créaces autorise u utilisateur à cosommer des produits e lige qui serot réglés e fi de mois avec sa facture téléphoique (w-ha, ipi, etc.). La deuxième classe géérique de NPE a trait à de ouveaux istrumets de paiemet apparteat à la classe de la moaie électroique : le porte-moaie électroique et le portemoaie virtuel. La moaie électroique est ue ouvelle forme de moaie dissociée de tout compte bacaire ou o-bacaire. Les titres de créace e sot pas déteus sous formes d écritures das des comptes mais sot iscrits sur la mémoire d u microprocesseur, appelé porte-moaie électroique, ou sur la mémoire d u ordiateur, baptisé porte-moaie virtuel, e possessio des utilisateurs. Ue procédure d échage permet le trasfert d ordres de paiemet dématérialisés coçus à partir «d applicatifs» logés sur des termiaux ou des statios qui etret e coexio avec des serveurs distats. Ce derier groupe de NPE est toutefois pas ue véritable classe de NPE das la mesure où aucu paiemet e lige a lieu au cours de l achat. Cepedat, l itermédiaire o-bacaire orgaise ue itermédiatio das les paiemets etre les e-marchads et les iterautes, positio occupée traditioellemet par les baques, ce qui ous coduit à itégrer cette classe das la typologie. Le système de recouvremet de créaces est calqué sur le modèle écoomique du Télétel développé par Frace Télécom.

7 imeo 7 Cette typologie des NPE regroupe, dès lors, des cetaies de système. Néamois, parmi ceux-ci, ous ous cocetreros sur l aalyse de la cocurrece qui s exerce sur le marché de la sécurisatio des paiemets par carte bacaire. La cocurrece oppose, d ue part, les baques qui soutieet la diffusio de leur protocole sécurisé de paiemet à base de carte à puce appelé Cyber-CO et, d autre part, les opérateurs de réseau qui s imposet sur le marché avec le protocole sécurisé de commuicatio baptisé Secure Socket Layer ou SSL. La questio qui ous itéresse ici est alors de savoir si le protocole o-bacaire SSL bééficie désormais d ue «base istallée» suffisammet importate pour verrouiller l etrée de toute cocurrece bacaire. II. UN ODÈLE DE SIULATION DE LA DIFFUSION DE SSL ET DE CYBER-CO Le modèle de simulatio développé das cette partie a pour ambitio de décrire la cocurrece etre les deux protocoles de sécurisatio des paiemet par carte bacaire sur Iteret. Les e-marchads qui proposet la sécurisatio e lige de leurs trasactios ot pour la plupart adopté la solutio SSL. Les porteurs, coutumiers de la solutio, sot e mesure de réaliser des trasactios sas aucue difficulté. E réalité, l adhésio à la solutio SSL pour u porteur e écessite aucue souscriptio au système i e requiert d équipemets matériels ou logiciels spécifiques i de commissios particulières. L utilisatio de la solutio SSL, rappelos-le, est techiquemet trasparete pour le porteur. E revache, le porteur s egage à doer so uméro de carte bacaire sur Iteret avec les risques que suppose cette procédure, comme l usurpatio du uméro de carte bacaire, le paiemet à u faux commerçat, etc. Toutefois, das le cadre du système SSL, le porteur est juridiquemet protégé cotre la fraude. Les baques itervieet alors e détermiat la politique de remboursemet de la fraude. Le délai de recouvremet des sommes idûmet débitées peut être e revache log et cotraidre le porteur à coaître passagèremet ue situatio fiacière icofortable. Les coûts d attete et de procédure liés au recouvremet des sommes peuvet alors créer ue aversio au risque de fraude pour les porteurs.

8 imeo 8 Si les coûts de la fraude peuvet être éamois recouvrés par les porteurs, les marchadises impayées ou les trasactios i fie cotestées et répudiées sot coûteuses pour les e-marchads. Das ces circostaces, et sauf exceptio d ue police d assurace cotractée cotre ces risques, il existe ue perte réelle pour les e-marchads. Ces risques sot précisémet iduits par l utilisatio de la solutio SSL qui e permet pas de lutter cotre ces dysfoctioemets. Ue perte liée au o-recouvremet de certaies trasactios est alors à predre e cosidératio pour le marchad. E vue de réduire cosidérablemet les coûts moétaires (fraude) et o-moétaires (maque de cofiace das les systèmes de paiemet) de ces écueils, les baques proposet u ouveau mode de paiemet électroique à base de carte à puce : Cyber-CO. L utilisatio de ce système implique pour le porteur l achat d u lecteur de carte sécurisé et, pour le marchad, l achat d u ouveau logiciel aisi que des commissios bacaires. L usage de la techologie Cyber-CO empêche tout porteur de cotester les trasactios qu il réalise : le e-marchad qui adopte Cyber-CO bééficie aisi d ue garatie de paiemet. Le marchad e supporte doc pas les coûts de la fraude. De même, le porteur a aucue aversio au risque de fraude et e subit alors aucu préjudice lié au recouvremet des pertes potetielles liées à l utilisatio frauduleuse de so uméro de carte bacaire avec SSL. ais, les coûts d adhésio à la solutio e sot pas seulemet moétaires : u effet de réseau coduit les acteurs à predre e cosidératio les coûts liés à l adoptio d ue ouvelle techologie dot le réseau est peu développé. Aisi, l adoptio de Cyber-CO par les porteurs est coditioée par l adoptio de Cyber-CO par les e-marchads et réciproquemet. II.1. LE CRITÈRE D ADOPTION DE CYBER-CO POUR LE E-ARCHAND Nous supposos, coformémet à la situatio actuelle, qu à l aée 0 du modèle, tous les e-marchads ot adopté SSL et qu u certai ombre de e-marchads ot adopté Cyber- CO. L offre des e-marchads Cyber-CO est supposée suffisammet riche pour iciter les porteurs à acheter avec Cyber-CO. La questio à laquelle ous souhaitos répodre est alors la suivate : quels sot les motifs d adhésio et les arbitrages qui icitet ou iciteraiet les e-marchads SSL à adhérer à la solutio Cyber-CO?

9 imeo 9 Pour ce faire, ous supposos que les e-marchads e sot pas homogèes : ceux-ci sot différeciés sur la base du ombre de trasactios qu ils réaliset. Das le cadre de ce modèle, ous cosidéros que le ombre de trasactios est ue variable exogèe e raiso de l absece de doées statistiques sigificatives. E outre, ous faisos l hypothèse forte que le ombre de trasactios SSL et le ombre de trasactios Cyber-CO suivet ue loi de Weibull. E représetat le ombre moye de trasactios Cyber-CO par marchad par tm et le paramètre de forme par D m, la foctio de desité de probabilités du ombre de trasactios par e-marchad Cyber-CO peut être représetée comme suit : f m tm m D m D m x tm D m x D 1 ¹ ( ) x e, avec > 0,f> x. U e-marchad qui souhaite adhérer à la solutio Cyber-CO doit e premier lieu souscrire aux coditios tarifaires de sa baque. Par souci de simplicité, ous supposos que les coditios tarifaires pour l esemble des baques sot équivaletes quelles que soiet les baques des e-marchads et que les coûts d équipemet de la solutio Cyber-CO sot uls (le coût du logiciel). Les coûts d adhésio à la solutio Cyber-CO pour u e- marchad sot composés d u aboemet auel, d ue commissio variable et d ue commissio fixe. Pour u e-marchad qui désire adhérer à la solutio Cyber-CO, l arbitrage est alors le suivat : u e-marchad adopte Cyber-CO si les coûts du système à l aée, i.e. l aboemet auel C f, la commissio variable C % et la commissio fixe C F, sot compesés par les reveus géérés par les porteurs qui ot adhéré à Cyber-CO. E Cette absece résulte tout simplemet du caractère ouveau des activités liées au commerce électroique. Le choix de cette loi repose sur la possibilité de mesurer empiriquemet le paramètre de forme de la distributio das le cas où, ultérieuremet, ous disposerios de doées statistiques sur le ombre de trasactios par e-marchad. Cette loi présete égalemet l avatage, lorsque le paramètre de forme de la distributio est égal à u, d être équivalete à ue distributio expoetielle. Das la suite du modèle, ous cosidéros précisémet, e l absece de doées statistiques, que le paramètre de forme de la distributio est égal à u. Das ce cas, la desité de probabilités du ombre de trasactios suit doc ue distributio expoetielle. L ituitio écoomique qui préside à la sélectio de cette distributio est que la probabilité pour u e-marchad de réaliser des trasactios décroît avec le ombre de trasactios.

10 imeo 10 réalité, le e-marchad compare le ombre écessaire de trasactios Cyber-CO pour retabiliser les coûts du système. Si le seuil de retabilité à l aée désigé par atteit, le e-marchad aura alors itérêt à adopter la solutio. tm be est Parmi l esemble des e-marchads, ous représetos ceux qui ot itérêt à adhérer à Cyber-CO par l esemble des e-marchads qui réalise le ombre miimum de trasactios écessaires pour retabiliser la solutio. E représetat le motat moye de la trasactio par f tm T et la marge par be m, il suit : T m C C 0 C, soit, % F t tm (1) be T m C) C F C f ( %. Nous remarquos que le critère d adoptio de Cyber-CO pour le e-marchad e pred pas directemet e compte l effet de réseau lié au ombre de porteurs Cyber-CO. Cette simplificatio ous permet de privilégier ue simulatio umérique aisée du modèle. L absece de prise e compte explicite de l effet de réseau pour les marchads e grève cepedat pas la portée des résultats qui serot commetés. Le critère du ombre de porteurs Cyber-CO est idirectemet pris e cosidératio par le ombre de trasactios que les porteurs Cyber-CO réaliset. E effet, das le cadre du modèle, plus le ombre de porteurs Cyber-CO augmete, plus le ombre total de trasactios Cyber-CO augmete et, das ce cas, plus le ombre de trasactios écessaire pour atteidre le seuil de retabilité et adhérer à Cyber-CO augmete. L ajout d u effet de réseau das le critère d adoptio du e-marchad aurait pour icidece d accetuer les phéomèes d adoptio ou de o-adoptio de la solutio Cyber-CO par les e-marchads et, i fie, par les porteurs. A partir de (1), ous sommes e mesure de calculer le ombre total de e-marchads susceptible d adopter Cyber-CO. Ce calcul est détermié par la foctio de distributio cumulée pour la variable tm be. E représetat le ombre total de e-marchads à l aée La marge est ici la marge de profit hors coûts de paiemet. Cette marge résulte du calcul suivat :. m T 1 m% L effet de réseau est pris e compte das le critère d adoptio de Cyber-CO pour le porteur.

11 imeo 11 par, le ombre de e-marchads T qui atteit le seuil de retabilité pour adopter Cyber-CO est alors : T be 1 F tm, soit après calcul, ( tm tm ) 1 1 be T e, ¹ ¹ d où, e simplifiat : T e tm tm be D m ¹ Cepedat, e raiso des coûts liés à l adoptio du ouveau système tels que les coûts d iformatio et les coûts de chagemet du ouveau mode de paiemet électroique, certais e-marchads peuvet e pas avoir itérêt à chager de système et ce même si le seuil de retabilité est atteit. Nous supposos que ces coûts itervieet de la maière suivate : parmi l esemble des e-marchads qui a itérêt à adopter Cyber-CO, seule ue partie d etre eux adoptera la solutio. Ces coûts traduiset e réalité ue sorte de sesibilité à l adoptio de la solutio. E représetat la sesibilité du e-marchad par S m et le ombre de e-marchads Cyber-CO à l aée 1 par 1, le ombre de e-marchads, adopte la solutio Cyber-CO durat l aée peut alors être défii comme suit : S 0 d m d1 1 1 m T Le ombre de e-marchads, l aée peut être défii comme suit : SSL. S., qui SSL, qui adopte pas la solutio Cyber-CO durat Le ombre moye de trasactios par e-marchad, tm, peut être défii comme le rapport etre le ombre total de trasactios, TN, et le ombre total de e-marchads, : TN tm.

12 imeo 12 De même, le ombre moye de trasactios par e-marchad Cyber-CO, tm, peut être défii comme le rapport etre le ombre total de trasactios Cyber-CO, et le ombre total de e-marchads Cyber-CO, : TN, TN tm. Pour défiir pour le porteur. TN, ous devos cosidérer les critères d adoptio de Cyber-CO II.2. LE CRITÈRE D ADOPTION DE CYBER-CO POUR LE PORTEUR Das le cadre du modèle, ous ous itéressos aux porteurs qui ot u accès à Iteret, qui possèdet ue carte bacaire et qui réaliset au mois ue trasactio par a sur Iteret. Nous supposos égalemet, coformémet à la situatio actuelle, qu à l aée 0 tous les porteurs ot adopté SSL et qu u ombre restreit de porteurs a déjà choisi Cyber-CO das la mesure où l offre des e-marchads Cyber-CO est assez riche pour iciter les porteurs à acheter avec Cyber-CO. E raiso des risques qu etraîe u paiemet par SSL, ous supposos que les porteurs ayat adopté Cyber-CO préfèret payer par Cyber- CO plutôt que par SSL. Le ombre de trasactios SSL réalisées par les porteurs Cyber- CO est alors voisi de zéro. Coformémet à la quasi-totalité des modèles classiques de l écoomie des réseaux relatifs à la cocurrece de techologies icompatibles [4][5][6][7], ous supposos que l usage d ue techologie est exclusif. U porteur utilise soit SSL soit Cyber-CO, mais jamais les deux à la fois. À l istar des e-marchads, ous supposos que les porteurs sot différeciés sur la base du ombre de trasactios qu ils réaliset. Nous supposos à ouveau que le ombre de trasactios suit ue loi de Weibull. E représetat le ombre moye de trasactios par porteur par tc et le paramètre de forme par D C, la desité de probabilité du ombre de trasactios Cyber-CO peut être représetée comme suit : Nous coservos les mêmes hypothèses relatives à la distributio du ombre de trasactios pour le e- marchad.

13 imeo 13 f c tc c D c D c x tc D c x D 1 ¹ ( ) x e, x. avec > 0,f> Das ce modèle, ous supposos que les idividus preet leur décisio e foctio d iformatios sur la taille passée des réseaux. De plus, quel que soit le processus de prise de décisio, ous cosidéros égalemet l hypothèse d irréversibilité des préféreces des porteurs. Ces deriers sot supposés «efermés» das u processus de décisio et i fie de cosommatio qu ils e cotestet jamais au log des périodes de cosommatio. Cette hypothèse restrictive est commue à l esemble des modèles de cocurrece techologique. U porteur qui souhaite adhérer à la solutio Cyber-CO doit e premier lieu se porter acquéreur d u lecteur de carte sécurisé. L usage de ce lecteur permet de réduire à zéro les risques de fraude et de répudiatio des actes de paiemet. Cotrairemet à la solutio SSL, u paiemet Cyber-CO est doc pas affecté par la fraude et la répudiatio. Nous supposos, das le cadre de ce modèle, que le pricipal motif d adhésio des porteurs à Cyber-CO est motivé par la peur de la fraude aisi que le cofirme divers sodages [8]. E coséquece, ous émettos l hypothèse que le porteur maifeste de l aversio pour le risque de fraude. Nous représetos le taux de fraude par t f et l aversio au risque de fraude par R. E représetat la perte réelle e cas de fraude pour le porteur par P c, ous défiissos la perte réelle attedue e cas de fraude (2) P ca Pc R Pc 1. P ca comme suit : Cette équatio traduit l idée d ue sur-valorisatio des pertes réelles attedues e cas de fraude. Le porteur va aisi predre e cosidératio o seulemet la perte réelle fiacière mais aussi la possibilité d ue gêe fiacière trasitoire liée à l attete du remboursemet. La perte réelle e cas de fraude P c pour le porteur peut être égale à zéro. Das ce cas, le porteur est itégralemet remboursé des fraudes qu il supporte et seule l aversio pour le risque de fraude iterviet das la défiitio de la perte réelle attedue e cas de fraude. Nous

14 imeo 14 observos e effet que das le cas où la perte réelle e cas de fraude pour le porteur, P c, est ulle, (2) est strictemet égale à l aversio au risque de fraude Au vu de cette derière expressio, il suit que la politique de remboursemet de la fraude pour le porteur deviet ue variable importate du modèle. Cette politique de remboursemet peut predre respectivemet plusieurs valeurs : plus celle-ci ted vers 100 %, plus le porteur est remboursé et plus celle-ci ted vers 0 %, plus le e-marchad est remboursé des frais egedrés par la fraude et la cotestatio des paiemets. Les coûts moétaires e sot cepedat pas les seuls coûts pris e cosidératio das le cadre de l adoptio de la solutio Cyber-CO par les porteurs. Nous supposos qu il existe ue exteralité techologique de réseau liée à l adhésio des e-marchads à la solutio. Aisi, l arrivée d u ouveau e-marchad das le réseau Cyber-CO occasioe ue exteralité positive pour tous les porteurs puisque sa présece augmete le ombre de trasactios potetielles. Nous supposos, e coséquece, que la base istallée de la solutio Cyber- CO costitue u facteur qui participe à so adoptio. À partir de ces élémets, ous pouvos alors préciser le critère d adoptio de la solutio Cyber-CO pour les porteurs : u porteur compare le prix du lecteur de carte à puce sécurisé par rapport au coût des trasactios fraudées qu il aurait eu à subir avec SSL. Le prix du lecteur est majoré d u coefficiet qui spécifie l effet de réseau. Ce coefficiet est le rapport du ombre total de e-marchads sur le ombre de e-marchads Cyber-CO. U porteur a alors itérêt d adopter Cyber-CO si le prix du lecteur de carte à puce majoré de l effet de réseau est iférieur au motat de la perte réelle attedue e cas de fraude. Parmi l esemble des porteurs, ous représetos ceux qui ot itérêt à adopter Cyber- CO par le sous-esemble de porteurs qui réalise u ombre miimum de trasactios. E représetat le prix du lecteur par R. C aisi que sa durée estimée par D, le ombre miimum de trasactios tc be, i.e. le seuil à partir duquel le porteur est itéressé par l adoptio de Cyber-CO, peut être défii comme suit : C D soit, 1 T Pca t f, ¹

15 imeo 15 tc be C D T 1 P ca t f. Le premier terme du membre droit de l équatio exprime l effet de réseau direct par le rapport du ombre total de e-marchads au ombre de e-marchads Cyber-CO. Ce terme traduit l idée selo laquelle plus le ombre de e-marchads Cyber-CO augmete, plus le ombre miimum de trasactios écessaires pour adopter Cyber-CO est faible ; de causes à effets, plus le ombre de porteurs susceptibles d adopter Cyber-CO augmete. Le deuxième terme caractérise le prix auel du lecteur. Ce terme traduit égalemet l idée que plus le prix auel du lecteur de carte à puce sécurisé est élevé, plus le ombre miimum de trasactios écessaires pour adopter Cyber-CO est élevé. Efi, le troisième terme itroduit les coûts liés à la fraude SSL. Nous observos égalemet que plus le motat moye de la trasactio, la perte réelle attedue e cas de fraude et le taux de fraude sot élevés, plus le ombre miimum de trasactios écessaires pour adopter Cyber-CO est faible. E représetat le ombre total de porteurs par N, le ombre moye de trasactios par porteur tc peut être défii par le ratio suivat : TN tc. N À partir de cette expressio, ous sommes e mesure de calculer le ombre total de porteurs susceptible d adopter Cyber-CO. Ce calcul est détermié par la foctio de distributio cumulée pour la variable N T N soit après calcul, be 1 F tc, tc be : tc tc be ¹ N T N 1 1 e. ¹ ¹ Après simplificatio, le ombre total de porteurs susceptibles d adopter Cyber-CO, N T, est alors doé par l expressio suivate :

16 imeo 16 N T N tc be tc D c ¹ e. Cepedat, les porteurs susceptibles d adopter Cyber-CO peuvet éamois refuser d adhérer à la solutio e raiso des coûts d iformatio liés à l adoptio de cette ouvelle solutio. Cette variable saisit e coséquece la sesibilité des porteurs à l adoptio de la solutio. Les coûts d iformatio peuvet être liés aux coûts d appretissage de la ouvelle solutio (istallatio d u logiciel, istallatio d u lecteur, etc.) ou bie à ue mauvaise campage de commuicatio sur les possibilités qu offre l usage d ue ouvelle solutio. Cette variable se maifeste de la maière suivate : parmi l esemble des porteurs qui ot itérêt à adhérer à Cyber-CO, seule ue partie d etre eux l adoptera. E représetat la sesibilité du porteur par S c et le ombre de porteurs Cyber-CO à l aée 1 par N 1, le ombre de porteurs qui adopte la solutio Cyber-CO ( N ) durat l aée peut être défii comme suit : N N 1 1 S N T S (3) c c Le ombre de porteurs SSL peut être défii comme suit : N N N. (4) SSL. Efi, ous observos que le ombre moye de trasactios Cyber-CO, être calculé comme suit : tc, peut tc soit, f ³ tc x f be c F ( tc ( x) dx be ) (5) tc f ³ ³ tc be f tc be D tc D tc c D c D c c x x D D c c e 1 e tc Dc x ¹ tc Dc x ¹ dx dx.

17 imeo 17 Dès lors, à partir de (3), (4) et (5), ous sommes e mesure de défiir le ombre de trasactios Cyber-CO désigé par TN TN SSL. Le ombre de trasactios Cyber-CO est doc :, et le ombre de trasactios SSL désigé par TN tc N. De même, le ombre de trasactios SSL est : TN SSL TN TN. Efi, le ombre moye de trasactios SSL est doé par l expressio suivate : TN tc SSL. N SSL SSL La simulatio de ce modèle écessite l obtetio d u certai ombre de doées. II.3. LES DONNÉES DU ODÈLE DE SIULATION Le modèle développé ici est appliqué à l esemble des pays europées. Plusieurs représetats des grades orgaisatios bacaires et o-bacaires ot été sollicités. Ces représetats peuvet être répartis e deux groupes : les représetats du mode professioel et les spécialistes du commerce électroique au iveau académique. Seuls les professioels ot été cosultés pour obteir les doées. Des formulaires d equête sous forme de questios-réposes et des etreties ot été réalisés. Trois groupes de doées ot fait l objet d ue évaluatio. Y. Radoux, H. Jacquet, W. Vaobberghe et P. Reia du Groupemet Cartes Bacaires «CB» (Frace), J.. Boret de Cyber-CO (Frace), E. Alyaakia de BBS (Norway), B. Beyls (Europay), I. aghiros de e-paymet Systems Observatory (Europea Commissio),. Krueger de l Istitute for Prospective Techological Studies (Europea Commissio - Spai), A. icho (Uited States), K. Böhle de l Istitute for Prospective Techological Studies (Europea Commissio - Spai) aisi que les deux cets membres de l observatoire europée des systèmes de paiemet électroique epso (Electroic Paymet System Observatory) qui ot discuté le travail das le cadre d u forum sur Iteret. Le Professeur F. Bar (Uiversity of Staford - US) a sesiblemet cotribué à améliorer le travail lors de sa relecture. Efi, les participats au colloque de Sceau orgaisé par A. Rallet ot permis ue amélioratio otable du travail. Nous e détaillos pas ici la ature des etreties et des questioaires qui demeuret essetiellemet des questios fermées à choix multiples.

18 imeo 18 Le premier groupe est lié à des doées géérales sur le marché du commerce électroique telles que les politiques de remboursemet de la fraude, les taux de fraude, etc. perçus par les professioels. À ce titre, les professioels s accordet à recoaître qu ue trasactio sur ciq est cotestée ou fraudée. Pour la majorité des professioels, la politique de remboursemet de la fraude est e outre favorable aux porteurs. La promulgatio de la récete Loi sur la Sécurité Quotidiee (LSQ) cofirme d ailleurs le droit au remboursemet des motats fraudés aux porteurs das le cadre du paiemet à distace. Cette loi garatit doc itégralemet les risques de fraude au porteur, le e-marchad supportat totalemet les coûts des dysfoctioemets. Le deuxième groupe de doées s itéresse aux porteurs. E avril 2001, le ombre d iterautes europées est estimé à 113 millios. Sur ces 113 millios, les professioels s accordet à peser que 40 % d etre eux possèdet ue carte bacaire soit iterautes. Parmi ces deriers, seuls 10 % d etre eux sot supposés réaliser ue trasactio e lige. Aisi, utilisateurs d Iteret sot supposés posséder ue carte bacaire et réaliser au mois ue trasactio par a à l aée 0 de otre modèle. À la fi de la dixième aée, cette même populatio est supposée tripler, soit estimée à Sur les porteurs, porteurs ot déjà adhéré à Cyber-CO à l aée 0 et le ombre de porteurs SSL est de U porteur est supposé réaliser u ombre moye de trasactios égal à 2 par a pour u motat moye de la trasactio équivalat à 76,22 euros. Pour réaliser ces trasactios, le porteur peut se porter acquéreur d u lecteur de carte à puce Cyber-CO au prix de 60 euros. Le prix du lecteur est supposé décroissat das le temps afi d itégrer les bééfices liés aux écoomies d échelle. Efi, l aversio au risque de fraude est supposée élevée, à l image des résultats des sodages, ce qui ous coduit à fixer arbitrairemet u taux d aversio au risque de 50 %. Le troisième groupe de doées est relatif aux e-marchads. Les évolutios liées au ombre de e-marchads sot égalemet limitées. Le ombre de e-marchads à l aée 2001 e Europe est estimé à E 2011, le ombre de e-marchads estimé est de , soit u coefficiet de 2,5. La répartitio iitiale du ombre de e-marchads est de 250 pour les e- marchads Cyber-CO et de pour les e-marchads SSL. Les e-marchads qui ot adhéré à Cyber-CO supportet ue commissio auelle de 365,88 euros ; la commissio auelle décroît chaque aée. Le e-marchad supporte e outre ue commissio fixe par

19 imeo 19 trasactio équivalete à 0,30 euro qui décroît égalemet chaque aée. Efi, la commissio variable sur le motat de la trasactio est fixée à 2,5 %. La commissio décroît chaque aée. La marge commerciale hors coût de paiemet pour le e-marchad est fixée à 20 %. Le modèle de simulatio défii préalablemet va ous permettre, au moye de ces doées, de tester l aveir de la cocurrece etre SSL et Cyber-CO. III. SIULATIONS NUÉRIQUES ET PRÉVISIONS DE LA DIFFUSION DES SYSTÈES SSL ET CYBER-CO L objectif de cette partie est de procéder à la simulatio du cadre actuel de la cocurrece etre les deux protocoles sécurisés de commuicatio et de paiemet. La simulatio est basée sur u esemble de caractéristiques qui peut être décomposé selo trois groupes de doées. 1) Doées géérales sur le marché : La fraude et la répudiatio sot égales à 20 %. E d autres termes, u paiemet sur ciq est cotesté. La politique de remboursemet bacaire est égale à 100 % pour le porteur. Das ce cas, les porteurs sot itégralemet remboursés des fraudes évetuelles et les e-marchads supportet etièremet les coûts de la fraude. 2) Doées relatives aux porteurs : utilisateurs d Iteret possèdet ue carte bacaire et sot susceptibles d acheter e lige. À l aée 0, le ombre de porteurs Cyber-CO est de 1000 et le ombre de porteurs SSL est de à l aée 0. Le prix du lecteur de carte sécurisé est égal à 60 euros. Le prix décroît chaque aée pour atteidre la dixième aée le prix de 30 euros. L aversio au risque de fraude est égale à 50 %. La sesibilité du porteur est fixée à 2 %. Le ombre moye de trasactios est égal à 2. Le motat moye de la trasactio est de 76,22 euros. 3) Doées relatives aux e-marchads : sites marchads europées sot répertoriés. Le ombre de e-marchads Cyber- CO est de 250 et le ombre de e-marchads SSL est de La commissio auelle

20 imeo 20 pour adhérer à Cyber-CO est de 365,88 euros. Cette commissio auelle décroît chaque aée pour atteidre à la dixième aée 243,92 euros. La commissio fixe par trasactio est de 0,30 euro. La commissio décroît chaque aée pour atteidre la dixième aée 0,20 euro. La commissio variable, sur le motat de la trasactio, est de 2,5 %. La commissio décroît chaque aée pour atteidre la dixième aée 1,7 %. La sesibilité du commerçat est fixée à 1 %. La marge commerciale hors coûts paiemet est fixée à 20 %. Cet esemble de doées est-il favorable à l adoptio et à la diffusio de Cyber- CO? Nous commeços par étudier les comportemets d adoptio des porteurs. Nous observos que le prix du lecteur fixé à 60 euros demeure trop élevé par rapport aux coûts de la perte réelle attedue e cas de fraude et au ombre de e-marchads Cyber- CO. Seule ue partie des iterautes qui réalise beaucoup de paiemets e lige est icitée à adhérer à Cyber-CO. ais, il reste préférable, pour la majorité des porteurs, de e pas adhérer à Cyber-CO. Ces résultats sot sesibles au prix du lecteur : plus so prix dimiue das le temps, plus les utilisateurs sot icités à adopter Cyber-CO. Cette observatio traduit l idée que les coûts de la perte attedue e cas de fraude majorés du ombre de marchads Cyber- CO excédet le prix du lecteur. Das ces circostaces, il deviet doc avatageux pour ue partie supplémetaire des porteurs d adhérer à Cyber-CO. Cette observatio ous permet alors d avacer que la fraude a ue icidece o-égligeable sur les choix d adoptio des porteurs : plus le taux de fraude augmete plus le prix du lecteur deviet attractif. ais, e règle géérale, le faible ombre de e-marchads et le coût élevé du lecteur icitet pas les porteurs à adopter Cyber-CO. La première coclusio de cette simulatio est sas appel : la quasi-totalité des iterautes utilise SSL et o pas Cyber-CO pour sécuriser leur paiemet par carte bacaire sur Iteret. Les porteurs Cyber-CO e représetet, au bout de la dixième aée, que 0,05 % du ombre total des iterautes qui payet e lige. Das ce cotexte, le ombre moye de trasactios Cyber-CO sur l esemble des périodes reste stable et représete approximativemet 0,2 % des trasactios totales. Les résultats des simulatios umériques peuvet être adressés aux lecteurs itéressés.

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