Infiltration CHAPITRE 8.1 INTRODUCTION 8.2 INFILTRATION ET DÉFINITIONS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Infiltration CHAPITRE 8.1 INTRODUCTION 8.2 INFILTRATION ET DÉFINITIONS"

Transcription

1 CHAPITRE 8 Infiltration 8.1 INTRODUCTION L infiltrationestlephénomènedepassagedel eaudelasurfacedusolàl intérieurdecelui-ci. L infiltration revêt une grande importance car c est elle qui contrôle plusieurs processus en hydrologie comme le ruissellement, l humidification des sols et la percolation profonde. Les principales références sont: Référence:MusyetSoutter,1991. pp Référence: Gray, pp INFILTRATION ET DÉFINITIONS Il est important de définir les principaux termes utilisés: Taux d infiltration (f) : quantité d eau qui s infiltre dans le sol par unité de temps (mm/h). Masse infiltrée - Infiltration(F): quantité totale d eau infiltrée dans le sol pour une période de temps donnée(mm). F = t 0 fdt [8.1] Capacitéd infiltration(f max ):tauxmaximumd infiltrationquepermetunsoldonné (mm/h). Letauxd infiltrationestenréalitélefluxd eauentrantàlasurfacedusol.

2 128 INFILTRATION 8.3 PROCESSUS D INFILTRATION Le processus d infiltration peut être décrit par les figures 8.1. Lors d une précipitation, la pluie s infiltre dans le sol tant que l intensité de précipitation est inférieure à la capacité d infiltration. Lorsque l intensité de précipitation dépasse la capacité d infiltration, le surplus s accumule dans les micro-dépressions du sol. Lorsque ces dernières sont pleines, elles débordent pourcréerunelamed eauquicommenceàs écouleràlasurfacedusol,cequiestleruissellement. Le ruissellement est en réalité contrôlé par le processus d infiltration. a) Processus impliqués PRÉCIPITATION RUISSELLEMENT INFILTRATION b) Organigramme de cheminement ACCUMULATION OUI Pte t <f max NON f =Pte t S =0 OUI Microdépressions pleines NON R =0 f =f max R =Pte f max t S =0 f =f max R =0 S = S i +Pte f max t f=tauxd infiltration f max =capacitéd infiltration R=Ruissellement Pte = Précipitation S = Variation de stockage t = Pas de temps Figure 8.1 Processus d infiltration. Le processus d infiltration est contrôlé par: 1. les phénomènes contrôlant l entrée de l eau à la surface du sols(battance, présence de végétation, etc.), 2. l écoulementdel eauverslebasautraversduprofildusol(écoulementselonla loi de Darcy), écoulement aussi appelé percolation, 3. l écoulement par les fissures du sol ou écoulement préférentiel. La gravité et la capillarité sont les deux principales forces qui influencent le processus d infiltration. La gravité agit principalement sur l eau libre qui se retrouve principalement dans les macropores et qui agit vers le bas. La capillarité ou les forces de tension agissent principalement au niveau de l eau capillaire contenue principalement dans les micropores. Ces dernières forces agissent dans toutes les directions.

3 PROFIL D HUMIDITÉ ET INFILTRATION PROFIL D HUMIDITÉ ET INFILTRATION La figure 8.2 montre un profil d humidité typique lors du processus d infiltration. Il se forme à lasurfacedusolunezonedetrèsfaibleépaisseurquasisaturéeappeléezonedesaturation.au delàdecettezone,ils établitunezonedetransmissionoùlateneureneauestsupérieureàla capacité au champ mais inférieure à la saturation. Dans cette zone, l eau circule principalement par les macropores interconnectés ensembles. Cette zone de transmission se termine par lazonedemouillage,zonedetrèsfaibleépaisseurquiestentraindes humidifieretoùles gradients de potentiels sont très prononcés. Le front mouillant est la limite de la zone de mouillageséparantlesolhumidedusolsecetilestvisibleàl oeilnulorsquel onobserveleprocessus d infiltration dans un sol sec. Teneur en eau CC Sat Zone de saturation Zone de transmission Profondeur Front mouillant Zone de mouillage Figure 8.2 Description du profil d humidité lors de l infiltration. La figures 8.3 présente les trois principales étapes se produisant lors de la progression du front mouillant lors de l infiltration. Le front mouillant progresse en profondeur (figure 8.3 a) jusqu àcequecedernierrejoignelafrangecapillaireau-dessusdelanappe.c estl étapede l humidification du profil. Si l infiltration se poursuit, l eau qui migre par la zone de transmissionrejointlanappeetcelle-ciremontegraduellementverslasurfacedusol(figure8.3c). C est l étape de la remontée de la nappe. Lorsque l infiltration cesse à la fin de la précipitation oudel irrigation,leprofildusolseressuie(figures8.3betd)àuneteneureneauappelée capacité au champ(cc) et l excédent d eau alimente le profil inférieur en alimentant le front mouillant si celui-ci n a pas atteint la frange capillaire (figures 8.3 b) ou la nappe dans le second cas(figures 8.3 d). C est l étape du ressuyage. Ilfautretenirque,suiteàuneprécipitation,lesols humidifieduhautverslebasetquelanappe qui n est alimentée que lorsque le sol est complètement humidifié remonte du bas vers la surfacedusol.lesoldoits humidifieravantquelanappenepuisseêtrealimentée. Le modèle hydrique décrit ici est un modèle statique qui fait intervenir les humidités caractéristiques(saturation et capacité au champ). Ce modèle est un modèle simplifié par rapport au modèle dynamique de l écoulement en milieu non saturé présenté au Chapitre 6. Ce modèle

4 130 INFILTRATION considère la masse de sol comme homogène et ne considère pas l infiltration par les fissures et les craques du sol qui accélèrent la migration de l eau vers les profondeurs. Teneur en eau CC Sat Teneur en eau CC Sat Profondeur a) Profil en phase d humidification Teneur en eau CC Sat Teneur en eau CC Sat Profondeur Profondeur Profondeur b) Profil en phase de ressuyage c) Profil en phase de réalimentation de la nappe d)profilenphasederessuyagelorsde la réalimentation de la nappe Figure 8.3 Évolution du profil d humidité lors de l infiltration.

5 CAPACITÉ D INFILTRATION CAPACITÉ D INFILTRATION La capacité d infiltration est contrôlée par: 1. le phénomène de transmission de l eau, 2. les phénomènes contrôlant l entrée de l eau à la surface du sol, 3. letemps Entréedel eauàlasurfacedusol L entréedel eauàlasurfacedusolestcontrôléeparl intensitéetlanaturedesprécipitationset les conditions de surface. La principale caractéristique des précipitations influençant la capacité d infiltration est l énergiedelapluiequiestfonctiondelagrosseurdesgouttesdepluieetdel intensitédesprécipitations. La grosseur des gouttes de pluie est fortement corrélée à l intensité de la précipitation. Lerôledel énergiedelapluiedansl infiltrationsejouelorsdel impactdesgouttesdepluie aveclesol.l énergiedel impactpulvériselesmottesdesolpourcréerunecouchedesurface composée de particules de sol très fines et peu perméable. Ce phénomène est appelée battance et il se manifeste surtout dans les sols limoneux. Les conditions de surface du sol réagissent à l énergie de la pluie. La principale condition de surface est la couverture végétale qui absorbe l énergie de la pluie. Plus la végétation est dense, plus les feuilles intercepteront les gouttes de pluie et absorberont l énergie des gouttes. La surface du sol sera préservée. De plus, la présence de végétation favorise une plus grande porosité à la surface du sol, ce qui favorise l infiltration. Enconditiondesolnu,cesontlescaractéristiquesdusolquiinfluencentlaréactiondusolface l impact des gouttes de pluie. La matière organique favorisera la stabilité structurale et la résistancedusolfaceàl impactdesgouttesdepluie.latexturedusoljoueaussiunrôle,lessols limoneux étant plus sensibles La transmission de l eau Latransmissiondel eaudanslescouchesdesolestcontrôléeparlaloidedarcy. L épaisseur des couches et leur conductivité hydraulique ont un impact majeur sur la capacité d infiltration. La capacité d infiltration est contrôlée à long terme par la conductivité hydraulique de l horizon le moins perméable. La structure du sol, sa stabilité structurale et la porosité favorisent de meilleures conductivités hydrauliques et une meilleure capacité d infiltration. Toutes les interventions qui favorisent la stabilité structurale et la porosité ont un impact positif sur la capacité d infiltration. Comme l eau circule principalement par les macropores et que la compaction des sols affecte pricipalement les macropores, la compaction des sols réduit rapidement la macroporosité et la capaité d infiltration. L accroissement de la teneur en eau du sol a tendance à faire décroître la capacité d infiltration dusol.lorsquelateneureneauaugmente,latensiondusoldiminueetlegradientdepotentiel au front mouillant diminue, ce qui entraîne une diminution du flux d eau.

6 132 INFILTRATION La température a aussi un impact par l intermédiaire de la viscosité. Une augmentation de la températuredel eauentraîneunediminutiondelaviscositédel eauetparlefaitmêmeune augmentation de la conductivité hydraulique et de la capacité d infiltration. Lespropriétéschimiqueontunimpactimportant.Laprésencedesodiumquiestunagentde dispersion entraînera une dégradation de la structure du sol et une diminution importante de la conductivité hydraulique et de la capacité d infiltration. Il faut noter que la transmission de l eau et la capacité d infiltration sont surtout influencées par les phénomènes qui modifient la macroporosité du sol Le temps La capacité d infiltration en fonction du temps est principalement décrite par la figure 8.4. Avecletemps,lasurfacedusolsedétériorecequientraîneuneplusfaibleporositéetunediminution de la capacité d infiltration. Au niveau de la percolation, le front mouillant s éloigne de plus en plus augmentant la distance de parcourt pour une même différence de potentiel; le gradient hydraulique diminue. Figure 8.4 Capacité d infiltration en fonction du temps. Il est démontré que le gradient hydraulique devient unitaire lorsque le front mouillant s éloignedelasurfacedusol(cequiestlecaslorsdeprécipitationsprolongées -figure6.3)etquela capacité d infiltration qui correspond au flux de Darcy tend alors vers la valeur de la conductivité hydraulique en autant que la surface du sol n offre pas de contraintes à l infiltration.

7 MESURE DE LA CAPACITÉ D INFILTRATION Valeurs typiques de la capacité d infiltration. Le tableau 8.1 présente quelques valeurs typiques de la capacité d infiltration lorsqu elle tend àsestabiliseravecletemps.ilestànoterquelacapacitéd infiltrationaugmentedefaçonsignificative avec le couvert végétal. L annexe de ce chapitre présente les capacités d infiltration de différentes séries de sols du Québec; les données sont extraites de Côté et al., Tableau 8.1 Capacité d infiltration(mm/h) de quelques catégories de sols(gray, 1972). Catégorie Sol nu Culture Pâturage Céréales Pâturage Forêt desol en rang pauvre de qualité I 7, II 2,5 5 7, II 1,2 1,8 2,5 3,8 5 6 IV 0,5 0,5 0,5 0,5 0,5 0,5 Catégorie I: Sols de texture grossière Catégorie II: Sols de texture moyenne CatégorieIII: Solsdetexturefine Catégorie IV: Sols minces 8.6 MESURE DE LA CAPACITÉ D INFILTRATION La mesure de la capacité d infiltration se fait au moyen d un infiltromètre. Il existe deux types d infiltromètre: à submersion et à aspersion Submersion Les deux systèmes de mesure de l infiltration à submersion sont le système à simple anneau et à double anneau. La figure 8.5 présente le système à double anneau. Q Surface du sol Figure 8.5 Infiltromètre à double anneau. La capacité d infiltration est déterminée: f max = Q A Q = débit d infiltration A = surface d infiltration [8.2]

8 134 INFILTRATION Aspersion Pour reproduire les précipitations, des simulateurs de pluie peuvent être utilisé. Ils sont constituésdebusesquiessaientdereproduirelamêmeénergiequelapluie.l intensitédelapluieest simulée en faisant varier le nombre de buses en opération et leur temps d action. La capacité d infiltration est déterminée lorsque le ruissellement débute pour une intensité donnée Analyse des hydrogrammes L analyse des hydrogrammes des bassins versants de très petite taille ou des parcelles permet d estimer la capacité d infiltration. La capacité d infiltration correspond à la différence entre la précipitation et le ruissellement. Pour les bassins de grande taille, seule la capacité moyenne d infiltration peut être estimée. 8.7 ÉQUATIONS Cette section présente les principales équations utilisées pour décrire la capacité d infiltration d un sol Équations basées sur la masse infiltrée Ce premier groupe décrit la capacité d infiltration en fonction de la masse infiltrée. Holtan(1961) Référence: Gray, pp. 5.5 Holtan(1961) a proposé une expression de la capacité d infiltration en fonction de l épuisement de l emmagasinement de l humidité dans le sol: f max =a(s F) n +f c [8.3] S = volume potentiel(possible) d emmagasinement ou différence volumétrique entre la saturation et le point de flétrissement dans la zone située au-dessus de la couche de contrôle(qui limite l infiltration) (θ SAT -θ PF )dc dc = profondeur de contrôle F=massed eauinfiltréeoudéjàemmagasinéedanslesol f c =tauxd infiltrationfinalconstantdel horizondecontrôle conductivité hydraulique de l horizon de contrôle a,n =constantesdépendantdusol,n 0,5 Green- Ampt(1911) Référence: Musy et Soutter, pp L équation de Green-Ampt a été développée à l origine pour un sol profond et homogène. Elle utilise les hypothèses suivantes: lefrontmouillantestbiendéfinietséparelazonehumidedelazonesèche, leprofilestsaturéau-dessusdufrontmouillant, l infiltrationestcontrôléeparlavitessedetransmissiondedarcy.

9 ÉQUATIONS 135 Enseréférantàlafigure8.6etenutilisantlaloideDarcy,lacapacitéd infiltrationquicorrespondaufluxd eauentrantàlasurfacedusolpeuts écrire: f max =q= K s H 2 H 1 L f K s =conductivitéhydrauliquesaturée H 1 =potentielàlasurfacedusol H 2 =potentielaufrontmouillant [8.4] H 1 d Réf. θi θsat θ L f H 2 Front mouillant Figure 8.6 Schéma du processus d infiltration utilisé par Green-Ampt. Leniveauderéférenceétantàlasurfacedusol,lespotentielspeuventêtredéfinisetlacapacité d infiltration s écrit: H 1 =d=épaisseurdelalamed eauàlasurfacedusol H 2 =h f -L f h f =pressionaufrontmouillant hf L f d f max = K s L f [8.5] Sih f =pression= -S f = -succion,lacapacitéd infiltrationpeuts écrire: f max =K s Sf +L f +d L f [8.6] À n importe quel moment, la masse infiltrée F : F = θ sat θ i L f = θ L f [8.7] [8.8]

10 136 INFILTRATION Ce qui entraîne, L f = F θ [8.9] Sil épaisseurdelalamed eauesttrèspetited<<s f +L f,ddevientnégligeable: f max =K s +K s S f θ F [8.10] En réalité, lateneureneauau-dessusdufrontmouillantn estpassaturéemaispresquesaturée, l écoulementestpresquesaturék<k s, lateneureneauinitialen estpasuniformesurleprofil, lateneureneauinitialeestdifférented unessaiàl autre. la forme générale devient alors: f max =B+ A F [8.11] SiG=1/F, A,B=constantesdépendantesdesconditionsinitialesetdutypedesol A ->K s S f θ B ->K s ouf c f max =AG+B [8.12] Équations basées sur le temps Cette section regroupe les équations qui expriment la diminution de la capacité d infiltration en fonction du temps. Gardner + Widstoe(1921), Horton(1940) Référence: Gray, pp.5.8; Llamas, pp Gardner et Windstoe(1921) et Horton(1940) utilisent l hypothèse suivante: la réduction du taux d infiltration correspond à un processus d épuisement, ce signifie que le taux de travail est proportionnel à la quantité de travail qui reste à faire. Dans le cas du processus d infiltration,letravailquiresteàaccompliràuncertainmoment t estceluiquiestnécessairepour modifier le taux d infiltration de sa valeur actuelle f à sa valeur finale f c (f max -> f c ). Comme la vitesse de travail est associée à la dérivée de la capacité d infiltration en fonction du temps et comme la capacité d infiltration diminue avec le temps, la dérivée est négative et s exprime: f max t = k(f max f c ) [8.13] k = constante de proportionnalité

11 ÉQUATIONS 137 L intégration de l équation précédente réarrangée donne: f max (f max f c ) = k t [8.14] ln(f max f c ) = kt+c 1 Àt=0,f max =f o,cequipermetd écrire: C 1 =ln(f o f c ) f max =f c + f0 f c e kt [8.15] [8.16] [8.17] f max f c f 0 f c =e kt [8.18] La masse infiltrée peut être dérivée de la capacité d infiltration: F = f max dt = fc + f0 f c e kt dt [8.19] F =f c t 1 k f 0 f c e kt +C 2 [8.20] Avect=0,F=0etC 2 [8.21] C 2 = + 1 k f 0 f c F =f c t+ 1 k f 0 f c 1 e kt [8.22] Cette dernière équation est parfois représentée sous cette forme suivante, forme qui n est pas équivalente: F =f c t+de kt Kirkham + Feng(1949) Référence: Gray, pp.5.9 [8.23] L équation de Kirkham et Feng(1949) décrit la masse d eau absorbée dans une colonne horizontale de sol sec. La force prédominante est la capillarité. F =C t +a [8.24] f max = df dt =1 2 C t [8.25] a, C = constantes déterminées expérimentalement

12 138 INFILTRATION Philip(1957) Référence: Gray, pp.5.9 L équation de Philip(1957) décrit la masse d eau absorbée dans une colonne de sol préalablementséchéeetoùlesforcescapillairesetdegravitéagissent: F =S t +At f max = 1 2 S t +A [8.26] [8.27] S, A = constantes déterminées expérimentalement LaconstanteAcorrespondàf c deséquationsprécédentes. Kostiakov(1932), Lewis(1937) Référence: Gray, pp.5.8 L équation de Kostiakov(1932) et Lewis(1937) a été développée de façon expérimentale: F =at n [8.28] f max =ant n 1 [8.29] a, n = constantes déterminées expérimentalement Avec les équations 8.25 et 8.29, la capacité d infiltration tend vers une valeur nulle lorsque le tend devient très grand. Les modèles de Kostiakov(1932) et Lewis(1937) sont utilisés dans les études d irrigation où les applications d eau ne sont généralement pas faites sur de longues périodes. BIBLIOGRAPHIE ASAE, Advances in infiltration. Proceeding ofnthe National Conference on Advances in Infiltration, Chicago, Illinois. American Society of Agricultural Engineers. St-Joseph, Michigan. ASAE Publication Chow, Ven Te, Handbook of applied hydrology. McGraw-Hill, New York. Côté,D.,M.O.Gasser,etD.Poulin.2008.Guidedeconceptiondesamasdefumierauchamp II. Institut de recherche et de développement en agroenvironnement. Québec. 48 p. et annexes. Gray, Manuel des principes d hydrologie. Comité canadien de la décennie hydrologique internationale, Ottawa, Canada. Musy A. et M. Soutter Physique des sols. Presses Polytechniques et Universitaires Romandes. Llamas, J Hydrologie générale: principes et applications. 2e édition. Gaétan Morin. Boucherville.

13 PROBLÈMES 139 PROBLÈMES 8.1 PourlesdeuxconditionsdesolprésentéesauxschémasAetBdelafigure8.7. a) déterminezleprofild humiditéetlahauteurdelanappeaprèsunepluiede40mm, b) déterminezleprofild humiditéetlahauteurdelanappeaprèsunepluiede80mm, c) déterminez la précipitation nécessaire pour faire remonter la nappe à un mètre de la surface, d) déterminez la précipitation nécessaire pour faire remonter la nappe à 0,5 mètre de la surface, A) Teneur en eau CCSat B) 0 Teneur en eau CCSat Profondeur (cm) Profondeur (cm) Frange Capillaire 160 Frange Capillaire Sat=50% CC=42% PF=22% 200 Figure 8.7 Profils d humidité.

14 140 INFILTRATION 8.2 Voici les mesures d un imfiltromètre par aspersion effectuées sur un loam sableux. Le taux d application était de 50 mm/h maximum. Temps (min) Masse infiltrée (mm) 0 0,0 3* 2,5 5 4,0 10 6, , , , , , , , ,0 *apparitiond unelamed eauàlasurfacedusol a) Déterminez le taux moyen d infiltration pour chaque interval de temps considéré, b) Déterminez le taux d infiltration instantané pour chaque mesure, c) Calez les requations théoriques suivantes sur les mesures pour obtenir les coefficients appropriés: - Green-Ampt -Horton -Philip d) Pour chacune des équations et les coefficients que vous avez déterminés en c), déterminez le taux d infiltration et la masse infitrée pour chacun des temps d observation. Comparez ces valeurs avec celles observées.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté

Plus en détail

Laboratoire Hydrologie et Aménagement (HYDRAM) Rapport de Master

Laboratoire Hydrologie et Aménagement (HYDRAM) Rapport de Master Faculté de l Environnement Naturel, Architectural et Construit (ENAC) Section de Sciences et Ingénierie de l Environnement (SIE) Programme de Master en Sciences et Ingénierie de l Environnement Laboratoire

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

OpenFLUID Software Environment for Modelling Fluxes in Landscapes

OpenFLUID Software Environment for Modelling Fluxes in Landscapes OpenFLUID Software Environment for Modelling Fluxes in Landscapes TP MHYDAS : Mise en uvre, analyses de sensibilité et de scénarii du modèle hydrologique distribué MHYDAS - Application au bassin versant

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

Logiciel pavages drainants mode d emploi

Logiciel pavages drainants mode d emploi Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition

Plus en détail

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale

Plus en détail

Toitures vertes : bien commun ou bien privé?

Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain

Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs

Plus en détail

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à

Plus en détail

Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin

Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin FICHE AGRI - MIEUX août 2011 Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin Pourquoi est-il important de connaître les sols? ARAA Objectifs de ce document Ce document présente une synthèse

Plus en détail

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

L eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau?

L eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau? L eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau? Les sols reçoivent de l eau provenant de différents flux, et une partie de l eau arrivant dans le «compartiment» sol y est retenue. Ainsi, la pluie

Plus en détail

conformes aux règles de l Art

conformes aux règles de l Art conformes aux règles de l Art documents de référence travaux d enduits de mortiers minéraux revêtements plastiques épais sur béton et enduits hydrauliques documents de référence mortiers d enduits minéraux

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX

LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements

Plus en détail

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Chapitre 10 : Mécanique des fluides

Chapitre 10 : Mécanique des fluides Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet

Plus en détail

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383 Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est

Plus en détail

ADDUCTION D EAU POTABLE AVEC POMPE PHOTOVOLTAÏQUE

ADDUCTION D EAU POTABLE AVEC POMPE PHOTOVOLTAÏQUE ADDUCTION D EAU POTABLE AVEC POMPE PHOTOVOLTAÏQUE Pratique et recommandations de conception et d installation COMMISSION EUROPEENNE Adduction d eau potable avec pompe photovoltaïque a été réalisé dans

Plus en détail

L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS

L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS INFORMATIONS TECHNIQUES T 22 Mutuelle des Architectes Français assurances SEPTEMBRE 2011 ANNULE ET REMPLACE LA FICHE T 22 DE NOVEMBRE 1996 L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS Fiche élaborée par Clément Carpentier,

Plus en détail

Que sont les sources d énergie renouvelable?

Que sont les sources d énergie renouvelable? Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013

Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013 Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE Journée technique du Cedre Brest 14 novembre 2013 1 Déroulement Fiches techniques Contexte Description technique Démonstration Questions 2 Fiches

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique

Plus en détail

2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x = 1 9

2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x = 1 9 Partie #1 : La jonglerie algébrique... 1. Résous les (in)équations suivantes a) 3 2x 8 =x b) Examen maison fonctions SN5 NOM : 2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x d) 2 x 1 3 1 e) x 2 5 = 1 9 f) 2 x 6 7 3 2 2.

Plus en détail

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S Concours EPIT 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette MW K1200S Durée : 2h. Calculatrices autorisées. Présentation du problème Le problème

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut

Plus en détail

Estimation de potentiel éolien

Estimation de potentiel éolien cours1 (suite) Estimation de potentiel éolien Mesures de la vitesse et de la direction du vent Différents types d anémomètres-girouettes Anémomètre à coupelles Simple et robuste, il nécessite l adjonction

Plus en détail

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ

Plus en détail

LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage

LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation

Plus en détail

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 Mesure et prédiction du bruit de pluie sur des systèmes multicouches Jean-Baptiste Chéné 1, Catherine Guigou-Carter 2, Rémy Foret 1, Mikkel Langager

Plus en détail

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête 74 RUE DE VIENNE, 27140 GISORS RAPPORT DE DIAGNOSTIC DES SONDAGES REALISES DANS LA SALLE DE PROJECTION 0. TABLE DES MATIERES 0. Table des matières...

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique

Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

Paysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau

Paysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau Objectif Aider les élèves à identifier certaines caractéristiques des nuages. Permettre aux élèves d observer les nuages, de les décrire avec un vocabulaire simple et de comparer leurs descriptions avec

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre.

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Isabelle Bombard, Bruno da Silva, Pascal Dufour *, Pierre Laurent, Joseph Lieto. Laboratoire d Automatique

Plus en détail

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

GUIDE DE GESTION DES EAUX PLUVIALES

GUIDE DE GESTION DES EAUX PLUVIALES GUIDE DE GESTION DES EAUX PLUVIALES Stratégies d aménagement, principes de conception et pratiques de gestion optimales pour les réseaux de drainage en milieu urbain Remerciements Le Guide de gestion des

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1 TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port

Plus en détail

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue

Plus en détail

Révision de la numérotation des règlements

Révision de la numérotation des règlements Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,

Plus en détail

Réunion publique/téléconférence

Réunion publique/téléconférence Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

Items étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire

Items étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire CHAPITRE N5 FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION Code item D0 D2 N30[S] Items étudiés dans le CHAPITRE N5 Déterminer l'image

Plus en détail

ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS

ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres

Plus en détail

Influence du semis direct et des techniques culturales simplifiées sur les propriétés d'un sol de la ferme pilote Sersour (Sétif)

Influence du semis direct et des techniques culturales simplifiées sur les propriétés d'un sol de la ferme pilote Sersour (Sétif) Influence du semis direct et des techniques culturales simplifiées sur les propriétés d'un sol de la ferme pilote Sersour (Sétif) Bouzrara S., Ould Ferroukh M.E.H., Bouguendouz A. in Bouzerzour H. (ed.),

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail