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1 Économie Introduction du cours Université Panthéon-Assas Collège de Droit 1 ere année Etienne LEHMANN Professeur d Economie à l Université Panthéon-Assas etienne.lehmann@ensae.fr 12 octobre / 9

2 De nombreuses questions de politiques économiques se posent dans l actualité. Faut-il baisser le coût du travail (CICE - Pacte de responsabilité) et si oui, comment (quel ciblage pour les baisses de cotisations patronales, quel dispositif... )? Faut-il faciliter les licenciements économiques des CDI en échange d un recours juridiquement plus difficile aux CDD? Face à la crise des dettes souveraines, faut-il diminuer les dépenses publiques? Augmenter les impôts? Lesquels? A quel rythme? Doit-on toujours promouvoir la concurrence entre les entreprises? Quelle réglementation faut-il imposer au secteur bancaire? Doit-on séparer les banques d affaires des banques de dépôt? Quelles réserves les banques doivent elles détenir?... 2 / 9

3 Toutes ces questions alimentent le débat politique mais aussi le débat partisan. Or un certain nombre de faits existent, permettant d identifier un certain nombre de mécanismes économiques et de les quantifier. Comprendre ces mécanismes doit permettre de mettre sur la table des arguments plus objectifs, et donc de dépassionner les débats. La question des objectifs que doit poursuivre la politique doit rester politique/idéologique. Mais la question de leurs effets sur les incitations que perçoivent les agents économiques et, par là même, sur le fonctionnement de l économie doit être le plus possible dépassionnée et sortie des débats partisans. On cherchera des prédictions à partir d hypothèses dûment explicitées et que l on pourra comparer aux faits. Si les prédictions sont contredites par les faits, alors on sera conduit à remettre en cause les hypothèses. Nos résultats ne sont pas des postulats idéologiques mais des prédictions conditionnées à la vérification de nos hypothèses. 3 / 9

4 Le problème de l allocation des ressources Au départ se pose le problème de l allocation des ressources. 1 Qui doit produire quoi en quelles quantités et quand? 2 Qui doit consommer quoi en quelles quantités et quand? Ce problème se pose d un point de vue positif: à quelle allocation des ressources aboutit les actions des agents économiques? Ce problème se pose aussi d un point de vue normatif: l allocation des ressources qui nous semble souhaitable? quelle est L approche normative nécessite de définir l allocation que l on juge idéale, un exercice reposant sur des a priori idéologiques, laissant un rôle essentiel au débat politique, idéologique. L approche positive en revanche doit être abordée de manière objective, étant donnés des faits observés. 4 / 9

5 Un problème complexe En France millions d habitants (Source INSEE). Une classification produit avec entrées. 365 jours dans l année. Un problème à = inconnues d autant plus qu on connait très mal les préférences/ besoins de chacuns, ni les technologies/ capacités de chacun. Une administration dirigiste de l économie (planification) nécessite une quantité astronomique d informations sur chacun des agents économiques qu il est illusoire d obtenir.... d autant plus que ces informations sont en perpétuelles évolutions. 5 / 9

6 Le rôle de l économie de marché Adam Smith, dans Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations en 1776 défend l idée qu il suffit de laissez faire les intérêts égoïstes des agents économiques. Si les producteurs d un bien produisent moins que ce qui serait optimal pour satisfaire les besoins des consommateurs... La loi de l offre et de la demande doit faire augmenter les prix... ce qui incite les producteurs à produire davantage... La main invisible du marché permet alors de coordonner les actions égoïstes des agents économiques pour atteindre le bien-être social. La détermination des prix fournit alors à chaque agent les bonnes incitations pour agir au mieux de l intérêt général. Il faudrait limiter l intervention de l Etat dans l économie aux fonction régaliennes et à la production de biens rentables pour la société mais que le marché ne peut pas assurer (infrastructures,...) 6 / 9

7 Pourquoi l intervention de l Etat est néanmoins nécessaire? En réalité, les marchés fonctionnent rarement aussi bien que ne le supposait Adam Smith... Les monopoles cartels peuvent influencer stratégiquement les prix à leur profit, biaisant alors les incitations des autres agents. Les prix sur certains marchés ne sont pas déterminés de manière concurrentiel, mais de manière régulée (exemple : SMIC et grilles de salaires des conventions collectives sur le marché du travail). Les agents peuvent utiliser des informations erronées qui entrainent des comportements moutonniers (exemple sur les marchés financiers). Les actions d un agent économique peut avoir un effet externe (externalité) sur les autres agents qui sera individuellement ignoré (exemple : pollution, ou innovation). Même si les marchés fonctionnaient parfaitement, ils pourraient aboutir à une allocation que l on jugerait inéquitable / inégalitaire. 7 / 9

8 La démarche On va d abord chercher à comprendre pourquoi, lorsque les marchés sont parfaits, leur fonctionnement aboutit à une allocation ayant de bonne propriétés (efficacité) efficacité Parétienne. A quelles conditions les marchés sont ils parfaits? (Premier théorème de l économie du bien-être, formalisé par la théorie de l équilibre général par Léon Walras (1874), Kenneth Arrow (Prix Nobel 1972) et Gérard Debreu (Prix Nobel 1983)). On va ensuite se demander comment l État doit s y prendre pour réparer les défaillances des marchés qui rendent leur fonctionnement imparfaits. Le but est réfléchir à la manière la plus appropriée avec laquelle l État doit intervenir pour réparer telle ou telle insuffisance de marché, tout en cherchant à limiter les distorsions sur les comportements économiques que cette intervention engendrerait. On s attache autant que faire se peu à donner des éléments quantitatifs basé sur des données économiques, en particulier micro-économiques. 8 / 9

9 Plan du cours Partie 1 Les marchés sont parfaits L offre La demande Efficacité de l équilibre Partie 2 Les marchés ne sont pas parfaits. Taxation Monopoles et politique de la concurrence. Chômage - Emploi et politiques du marché du travail. 9 / 9

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