Magali LACAMBRA : Ingénieur Conseil Qualité Jean-Baptiste MOUSSIERE: Ingénieur Informatique et Qualité Guillaume THERON : Ingénieur Conseil Sécurité
|
|
- Alphonse St-Germain
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L informatisation des processus QSE dans les entreprises agroalimentaires Magali LACAMBRA : Ingénieur Conseil Qualité Jean-Baptiste MOUSSIERE: Ingénieur Informatique et Qualité Guillaume THERON : Ingénieur Conseil Sécurité et Environnement
2 Domaines de compétence Département Informatique Département Stratégie & Marketing Département QSE Systèmes d information Stratégie Management Qualité Gestion production Études de Marché Management Sécurité Pascal Bousselet Consultants depuis 1996 Élaboration Prix de Revient Mix Marketing PBCSoft Sarl depuis 2009 Édition Logiciels Études & Diagnostics Management Environnement 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 2
3 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS L informatisation des processus QSE 1- QSE : quelles contraintes? Les contraintes réglementaires et les sanctions encourues Les contraintes commerciales (cahiers des charges clients, IFS, etc.) Les avantages commerciaux de la certification 2- Quelles réponses concrètes? Qualité : plan HACCP, mesures d hygiènes, suivi des non-conformités, etc. Sécurité : Document Unique, gestion des compétences, suivi des accidents du travail, etc. Environnement : évaluation de l impact, gestion des déchets et des consommations 3- Les avantages de l informatique Harmoniser les processus Pérenniser et sécuriser l information Centraliser et transversaliser les processus 4- Quelques conseils pour l informatisation des processus QSE Intégration de la réflexion «processus» au schéma directeur informatique Implication des ressources humaines Réalisation d un cahier des charges Le type de contrat 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 3
4 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS QSE : QUELLES CONTRAINTES? 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 4
5 Les contraintes réglementaires en Qualité LE PAQUET HYGIENE (déjà 8 ans) LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Food Law (règlement 178/2002) Professionnels Règles spécifiques alimentation animale Règles générales d hygiène denrées alimentaires (y compris détaillants) Règles spécifiques d hygiène denrées d'origine animale (hors détail) Règlement 183/2005 Règlement 852/2004 Règlement 853/2004 Règlement 2073 / 2005 : critères microbiologiques Services de contrôle Règlement 882/2004 «contrôles officiels» Règlement 854/2004 Depuis 1 er janvier 2010 : DDSV et DDGCCRF n existent plus. Leurs activité ont été regroupées sous la direction départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP)/ Pôle Protection des Populations / Sécurité sanitaire des aliments et Sécurité et Loyauté des transactions commerciales 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 5
6 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Qualité Food Law (règlement 178/2002) «Objectifs de protection de la vie et de la santé des personnes, ET des intérêts des consommateurs» y compris pratiques équitables protection de la santé et du bien-être des animaux, de la santé des plantes et de l'environnement) Responsabilité pénale première dévolue à chacun des exploitants de la chaîne alimentaire. En cas d incident grave les professionnels doivent apporter la preuve qu ils ont tout mis en œuvre pour éviter un tel incident et s il y a atteinte à la santé du consommateur (hospitalisation, séquelles et parfois mort), ils relèvent du code pénal (si la négligence est établie, art ). Loi n du 13 mai 1996 relative à la responsabilité pénale pour faits d imprudence ou de négligence. Nouveau code pénal : art «il y a également délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement s il est établi que l auteur des faits n a pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait.» Obligation de traçabilité fiable sur l ensemble de la chaîne alimentaire Règles générales d hygiène denrées alimentaires Règlement 852/2004 Règles spécifiques d hygiène denrées d'origine animale Règlement 853/2004 Règlement 2073 / 2005 : critères microbiologiques 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 6
7 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Qualité Food Law (règlement 178/2002) Règles générales d hygiène denrées alimentaires Règlement 852/2004 Règles spécifiques d hygiène denrées d'origine animale Règlement 853/2004 OBLIGATIONS GÉNÉRALES DES EXPLOITANTS. 1. BonnesPratiques d Hygiène + Procédures basées sur principes HACCP: 7 principes du codex alimentarius(sauf production primaire et activités connexes) 2. Utilisation de Guides validés de Bonnes Pratiques d Hygiène et d application des principes HACCP (y compris pour la production primaire) 3. Respect des critères microbiologiques et de température réglementaires (si existent) 4. Déclaration et enregistrement de TOUS les établissements 5. Agrément sanitaire, le cas échéant Annexe 1 : Production primaire et activités connexes Partie A : dispositions générales d'hygiène + registres Partie B : Guides de bonnes pratiques d'hygiène Annexe 2 : dispositions générales pour tous les exploitants du secteur alimentaire (sauf production primaire) Disparition des agréments loco-régionaux. Estampille sanitaire : passage de «F» à «FR» Possibilité d utilisation de la marque d'identification sur tous les produits d'un établissement, même si non soumis à agrément Obligations générales : Règlement 2073 / 2005 : critères microbiologiques Enregistrement & agrément des établissements (introduction de la dispense d'agrément) Exclusion du champ du commerce de détail Principe de la dispense d agrément validé au niveau européen Annexe 1 : définitions Annexe 2 : marque d'identification, objectifs de certaines procédures HACCP, information sur la chaîne alimentaire Annexe 3 : conditions spécifiques à chaque secteur (viandes d ongulés / de volailles et lagomorphes / de gibier d'élevage et sauvage / viandes hachées, préparations de viande et VSM / produits à base de viande / mollusques bivalves / lait cru et produits laitiers / œufs et ovoproduits/ cuisses de grenouilles et escargots 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 7
8 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Qualité Food Law (règlement 178/2002) Règles générales d hygiène denrées alimentaires Règlement 852/2004 Règles spécifiques d hygiène denrées d'origine animale Règlement 853/2004 Règlement 2073 / 2005 : critères microbiologiques Les critères microbiologique sont de deux types et varient en fonction des produits Les standards impératifs : CHAPITRE 1. CRITÈRES DE SÉCURITÉ DES ALIMENTS ce sont des critères de santé publique : Listeria monocytogenes, Salmonella, Entérotoxinesstaphylococciques, Enterobactersakazakii, E. coli, histamine Leur dépassement entraîne : 1. Action à l égard du lot concernés ; a. déclassement, b. utilisation conditionnelle, c. impropriété à la consommation, d. rappel, destruction, 2. Action sur le procédé de fabrication Valident l application correcte des bonnes pratiques et le bon déroulement d un procédé Les critères pour la vérification des bonnes pratiques d hygiène, des procédés : CHAPITRE 2. CRITÈRES D HYGIÈNE DES PROCÉDÉS Leur dépassement n entraîne pas d action sur les produits concernés mais conduit : a. à l identification de l origine de la défaillance b. & la mise en place d actions correctives 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 8
9 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Sécurité Directive cadre n 89/391/CEE du 12 juin 1989 Obligation pour l employeur d assurer la santé etla sécurité des travailleurs Mise en œuvre des principes généraux de prévention des risques professionnels Obligation de procéder à l évaluation des risques professionnels La loi du 31 décembre 1991 (Loi n , 1414, applicable depuis le 31 décembre 1992) L article L du code du travail Le décret n du 5 novembre /07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 9
10 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Sécurité Directive cadre n 89/391/CEE du 12 juin 1989 La loi du 31 décembre 1991 (Loi n , 1414, applicable depuis le 31 décembre 1992) Transpose en droit français les dispositions de la directive-cadre, cadre, en particulier l article L230-2 du code du travail qui pose les principes généraux de prévention. L article L du code du travail Le décret n du 5 novembre /07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 10
11 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Sécurité Directive cadre n 89/391/CEE du 12 juin 1989 La loi du 31 décembre 1991 (Loi n , 1414, applicable depuis le 31 décembre 1992) L article L du code du travail 1 Le chef d établissement prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs de l établissement, y compris les travailleurs temporaires. Actions de prévention, information, formation, mise en place d une organisation et de moyens adaptés, veille et amélioration 2 Le chef d établissement metenen œuvre les mesures prévues au1 sur surla base de principes généraux de prévention suivants: Eviter les risques Evaluer les risques ne pouvant être évités Combattre les risques à la source Adapter le travail à l homme (conception postes de travail, équipements, méthodes) Tenir compte de l évolution de la technique Remplacer ce qui est dangereux par ce qui ne l est pas ou l est moins Planifier le prévention en intégrant technique, organisations, conditions, relations sociales, facteurs ambiants Prendre des mesures de protection collective Donner des instructions appropriées aux travailleurs Le décret n du 5 novembre /07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 11
12 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Sécurité Directive cadre n 89/391/CEE du 12 juin 1989 La loi du 31 décembre 1991 (Loi n , 1414, applicable depuis le 31 décembre 1992) L article L du code du travail 3 Le chef d établissement doit, compte tenu dela nature des activités de l établissement: Evaluer les risques pour la sécurité et la santé des travailleurs Choix des procédés de fabrication, équipements de travail, substances chimiques, Aménagement, réaménagement des lieux de travail ou des installations Définition des postes de travail Actions de prévention, méthodes, Meilleur niveau de Protection de la sécurité et de la santé Prendre en considération les capacités du travailleur à mettre en œuvre les précautions nécessaires pour la sécurité et la santé Consulter les travailleurs sur le projet d introduction de nouvelles technologies, en ce qui concerne leurs conséquences sur la sécurité et la santé Le décret n du 5 novembre /07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 12
13 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Sécurité Directive cadre n 89/391/CEE du 12 juin 1989 La loi du 31 décembre 1991 (Loi n , 1414, applicable depuis le 31 décembre 1992) L article L du code du travail Le décret n du 5 novembre 2001 Art.R.230-1: Transcription et miseàjour par l employeurd un DOCUMENT UNIQUE Inventaire des risques identifiés Mise à jour Au minimum annuelle Lors d une décision d aménagement ou information supplémentaire sur un risque Art.R :lanon transcription ou Miseàjour des résultats de l évaluation des risques est punie dela peine d amende prévue pour les contraventions de5 classe. 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 13
14 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Environnement CODE DE L ENVIRONNEMENT LIVRE II Milieux physiques LIVRE V Prévention des pollutions, des risques et des nuisances Titre I er : Eau et milieux aquatiques Titre I er : Installations classées pour la protection de l'environnement Titre IV : Déchets Loi sur l Eau Règlementation ICPE Réglementation Déchet Origine : L'ordonnance n o du 18 septembre 2000 relative à la partie législative du code de l'environnement. Les livres I er, III, IV et V de la partie réglementaire du code de l'environnement ont été publiés par le décret n o du 2 août 2005 relatif à la partie réglementaire du code de l'environnement et les livres II et VI l'ont été par le décret n o du 22 mars Les 7 livres du Code de l Environnement : 1. Dispositions communes 2. Milieux physiques 3. Espaces naturels 4. Faune et flore 5. Prévention des pollutions, des risques, et des nuisances 6. Dispositions applicables en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à Wallis et Futuna, dans les terres australes et antarctiques françaises et à Mayotte 7. Protection de l'environnement en Antarctique 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 14
15 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Environnement Les régimes de déclaration / autorisation Régime administratif de vos activités ICPE IOTA soumise à autorisation soumise à déclaration soumis à autorisation soumis à déclaration Prescriptions applicables à votre entreprise Arrêté préfectoral d autorisation d exploiter Arrêtés types des rubriques de la nomenclature vous concernant + éventuellement des prescriptions spécifiques Arrêté préfectoral d autorisation Arrêté de prescriptions générales + éventuellement des prescriptions particulières Instruction de votre dossier Guichet unique en préfecture Guichet unique en préfecture Inspection et pouvoir de police DSV ou DRIRE (police du préfet) DDA ou DDE (police du préfet) Non concernés Règlement sanitaire départemental Mairie ou DDASS Police du maire Qui est concerné? Installations dont au moins une des activités référencées dans les nomenclature atteint le seuil de la déclaration Qui dépose la demande d autorisation et où? L exploitant, en 7 exemplaires, à la Préfecture du département Quelles prescriptions? arrêté du 2 février 1998 : relatif aux prélèvements et à la consommation d eau ainsi qu aux émissions de toute nature des ICPE soumises à autorisation 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA -L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 15
16 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Environnement La réglementation ICPE Prescriptions de fonctionnement : Ensemble des dispositions édictées par le préfet au moment de la déclaration / autorisation Portent sur modalités de fonctionnement et d exploitation, moyens d intervention en cas de sinistre, moyens d analyse et de contrôle Installations soumises à Déclaration Prescriptions générales : fixées par arrêté ministériel ou préfectoral Prescriptions spéciales : renforcent, allègent ou complètent les prescriptions générales initialement délivrées suite à des modifications de l installation ou des circonstances locales Installations soumises à Autorisation : Prescription fixées par la réglementation nationale : arrêté du 2 février 1998 Prescriptions fixées par l arrêté préfectoral d Autorisation Prescriptions fixées par arrêté complémentaire 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA -L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 16
17 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Environnement Les principales obligations La Directive IPPC européenne (96-61-CE du 24 septembre 1996) : Article 3 : Principes généraux des obligations fondamentales de l exploitant Utilisation des MTD (Meilleures Techniques Disponibles) Aucune pollution importante ne doit être causée Gestion durable des déchets Utilisation rationnelle de l énergie Mesures nécessaires pour prévenir les accidents et limiter leurs conséquences Mesures en cas de cessation d activité (éviter tout risque de pollution et remettre le site dans un état satisfaisant) Obligations de suivi des déchets : Article L du Code de l'environnement : principe de responsabilité du producteur de déchets L'entreprise est responsable de tous les déchets générés par son activité, y compris : les déchets assimilés aux déchets ménagers, même s'ils sont collectés par le service public les produits usagés issus d'un travail pour un client, dès que celui-ci les lui confie Article L du Code de l environnement : élimination des déchets dans des installations classées (ICPE) Les producteurs de déchets sont tenus d assurer ou de faire assurer leur élimination dans le respect de la réglementation et dans des conditions propres à éviter tout effet nocif sur l environnement. L'élimination comporte les opérations de collecte, transport, stockage, tri et traitement nécessaires : à la récupération des éléments et matériaux réutilisables ou de l'énergie et au dépôt ou au rejet dans le milieu naturel de tous autres produits, dans des conditions propres à éviter les nuisances 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA -L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 17
18 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Environnement Les sanctions encourues Deux cas de figures : Inobservation par l exploitant des conditions d exploitation de son installation Exploitation d une installation en l absence de déclaration ou d autorisation Des sanctions administratives Quatre types de sanctions administratives : La consignation Les travaux d office La suspension du fonctionnement de l installation La fermeture ou suppression de l installation aux sanctions pénales La responsabilité de la personne morale est la responsabilité de la société en tant qu entité juridique Elle est assumée par le dirigeant de cette dernière Sous forme d amendes : de à Des peines de prison : 6 mois à 2 ans 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 18
19 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes réglementaires en Environnement En conclusion Qui est concerné? Toutes les entreprises sont concernées par des réglementations plus ou moins contraignantes Quelles implications? Les entreprises ont l obligation de réaliser des mesures de leur impact régulièrement Quelles sanctions? Les sanctions encourues vont des simples sanctions administratives (consignation, fermeture, etc.) à de véritables sanctionspénales (jusqu à 2 ans de prison et euros d amende) Et dans l avenir? Vers l affichage environnemental ( ) Intégration des critères environnementaux dans les cahiers des charges clients Surveiller, contrôler, maîtriser ses impacts Planifier les mesures Centraliser les résultats Contrôler sa conformité Identifier et traiter les non-conformités Réduire son impact 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 19
20 Les contraintes commerciales LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS AMONT AGRICOLE TRANSFORMATION DISTRIBUTION ISO 9001 GENERIQUE SYSTEME ISO ISO OHSAS NF V AgriConfiance SECTORIEL MÉTIER NF V Agriculture raisonnée BRC Food / Iop EUREP GAP IFS Food SECTORIEL PRODUIT HORS ACCREDITATION ACCREDITATIONS ETRANGERES AOC IGP - CCP (ATOUT CERTIFIE et NF AGRO) TERRA VITIS - Filière Qualité CARREFOUR TERRE & SAVEUR - CODEX QUALIMAT TRANSPORT Charte FFCAT FNA DS3027 CCvd SQF /07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 20
21 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes commerciales S assurer de la salubrité des produits portant leur marque (MDD) Cahier des charges Casino Le présent document assure que la société X s engage à délivrer Cahier des charges Exigences en matière de Qualité / Sécurité / Environnement / Éthique, etc. Référentiels privés IFS / BRC Exigences contractuelles envers le sous-traitant Exigences de moyen Transparence totale du système qualité Maîtrise des contrôles Les distributeurs qui participent aux comités IFS, et qui donc le reconnaisse, sont par exemple le Groupe Metro, Edeka, le Groupe Rewe, Aldi, Lidl, Auchan, le Groupe Carrefour, EMC -Groupe Casino, Leclerc, Monoprix, Picard Surgelés, Provera(Cora et Supermarchés Match), Système U, COOP, CONAD et Unes. Tous ces distributeurs ont participé à la rédaction de l IFS version 5. Par ailleurs, d autres distributeurs basés dans d autres pays européens comme l Espagne, la Pologne, l Autriche et la Suisse utilisent et reconnaissent l IFS. 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 21
22 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Les contraintes commerciales : être le relai des engagement des distributeurs (exemple : CARREFOUR) ENGAGEMENT CARREFOUR ET SES FOURNISSEURS 1- Responsabiliser nos fournisseurs sur le respect des droits sociaux 2- Garantir la sécurité alimentaire Sur le terrain, le service des Achats Internationaux du Groupe a mandaté en 2005, 474 audits dans 10 pays, avec un focus particulier sur la Chine, l Inde et le Bangladesh. L accent a également été porté sur les ré-audits puisqu ils représentent 23 % du total, soit 106 ré-audits. 3- Respecter l environnement Le Groupe développe une politique pro-active pour préserver les ressources naturelles des forêts, de la mer et de la terre. 4- Privilégier avant tout un approvisionnement local auprès de PME Promouvoir le savoir faire des PME et l approvisionnement local : France : Reflets de France : 289 produits et 138 fournisseurs Espagne : NuestraTierra: 222 produits et 93 fournisseurs Italie : Terra d Italia: 207 produits et 120 fournisseurs Belgique : Souvenirs du Terroir : 32 produits et 20 fournisseurs 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 22
23 Bilan des types de contraintes LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Type Exemple Elaboration Application Conformité 178/2002 Règlementation Norme Référentiel privé 852/2004 Directive 89/391 Directive 96/61 ISO ISO EMAS ILO-OSH 2001 IFS BRC SA 8000 OHSAS MSC Les états Obligatoire Contrôles officiels Consensus acteurs publics et privés d un secteur Groupement de clients / de parties prenantes Volontaire Exigence contractuelle ISO : 122 entreprises françaises certifiées en décembre 2008, dans le monde IFS: certification IFS Food dans le monde dont en France BRC: certifications en 2009 (contre 200 en 2005) dont 622 en France Contrôle première, seconde et tierce partie Audit seconde partie ou certification UNE CERTIFICATION = FACILITER LE RÉFÉRENCEMENT POUR PÉNÉTRER DE NOUVEAUX MARCHÉS 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 23
24 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Bilan des certifications IFS (1) DONNÉES MONDE 65 organismes certificateurs Évolution du nombre de certification Nombre d entreprises certifiées par pays Allemagne 2775 Italie 1397 France 1299 Espagne 984 Pays Bas 511 Autriche 403 Belgique 357 Pologne 317 Hongrie 274 République Tchèque 231 Suisse 230 Chine 190 Grande Bretagne 53 USA 15 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 24
25 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Bilan des certifications IFS (2) Répartition des 1299 entreprises certifiées par secteur d activité Autre % Produits laitiers % Boissons % Fruits et légumes 99 6% Conserves 118 8% Boulangerie et pâtisserie industrielle % Aliments prêts à servir % Produits et préparation à base de viande % 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 25
26 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Bilan des certifications BRC (1) DONNÉES MONDE : entreprises certifiées en 2009 Nombre d entreprises certifiées par pays Grande Bretagne 2367 Italie 1199 Pays Bas 925 Espagne 678 France 622 Chine 544 USA 526 Belgique 465 Allemagne 364 Pologne 240 Suisse 226 République Tchèque 85 Hongrie 64 Autriche 35 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 26
27 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Bilan des certifications BRC (2) Répartition des 622 entreprises certifiées par secteur d activité Autre % Produits laitiers, œufs liquides % Aliments secs et ingrédients 42 6% Produits acides ou non en conserves / bocaux 52 7% Boissons alcoolisées et produits fermentés / brassés 99 14% Plats préparés et sandwich, desserts prêts à consommer 61 8% Boulangerie biscuiterie pâtisserie 76 11% Fruits et légumes et noix 84 12% 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 27
28 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Bilan des certifications ISO PROPORTION D ETABLISSEMENTS INDUSTRIELS CERTIFIES ISO /07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 28
29 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS La certification comme avantage concurrentiel Part des entreprises concernant les normes volontaires comme un bénéfice / coût Etude AFNOR : Impact économique de la normalisation juin /07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 29
30 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS La certification comme avantage concurrentiel Normes volontaires et relations de l entreprise avec son environnement Etude AFNOR : Impact économique de la normalisation juin /07/2010 CONFÉRENCE ARIA -L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 30
31 DIAPOSITIVE MASQUÉE CONTRAINTES QSE LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS La certification comme avantage concurrentiel Normes volontaires et préventions des risques Etude AFNOR : Impact économique de la normalisation juin /07/2010 CONFÉRENCE ARIA -L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 31
32 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS QUELLES REPONSES CONCRETES? 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA -L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 32
33 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS La gestion de la Qualité dans l entreprise LES DIFFERENTS ASPECTS DE LA GESTION DE LA QUALITTE La Gestion du plan HACCP Étudier son procédé de fabrication Créer les logigrammes Réaliser l analyse des dangers Définir les surveillances La mise en place et les contrôles Créer les documents et les diffuser pour l application de l HACCP Contrôle des bonnes pratiques d hygiène (PRP) Gestion des Non Conformités Enregistrement des non-conformité interne / externe et des corrections immédiates Suivi du devenir du produit Indicateurs / Actions correctives Différents services gèrent la Qualité L HACCP est très souvent interprété Les contrôles des pré-requis en production sont gérés sur des fichiers diffus par des personnes différentes La rédaction du Bilan Qualité est lourde à mettre en place La formalisation du plan HACCP n est pas normée Un système de gestion des plans d actions et des nonconformités non aligné sur les autres services Déperdition de l information dans le temps Vers l amélioration continue? Analyse des différents indicateurs autour d un bilan Qualité Évaluation de la fréquence des NC pour l ouverture des actions correctives Suivi des actions correctives et vérification efficacité 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 33
34 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Règlement 852/2004 : Obligation mise en place HACCP Constituer l équipe HACCP Décrire le produit Déterminer son utilisation attendue Établir un diagramme de fabrication Vérifier le diagramme sur site Énumérer tous les dangers potentiels Effectuer une analyse des risques Envisager des mesures de maîtrise Déterminer les CCP Fixer un seuil (limite) critique à chaque CCP Mettre en place un système de surveillance Prendre des mesures correctives Appliquer des procédures de vérification Tenir des registres et constituer un dossier a n a l y s e m a î t r i s e 1 PLAN HACCP / PRODUIT 12 ÉTAPES / PLAN HACCP 7 PRINCIPES 2 MÉTHODES Codex Alimentarius: CP / CCP ISO : PRP / PRP O. / CCP La méthodologie de l ISO permet de diminuer le nombre de CCP afin d en garantir une surveillance en continue 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 34
35 LES RÉPONSES INTÉRÊT INFORMATIQUE QUELQUES CONSEILS Règlement 852/2004 : Obligation mise en place HACCP L HACCP UN SYSTÈME LOURD A GÉRER L HACCP doit être actualisée à minima annuellement, lors de toute modification du procédé de fabrication et en cas de détection de non-conformité majeure Entreprise peut avoir entre 10 et 20 plans HACCP Besoin de conserver un historique des modification et une justification de celles-ci Souvent sous format Word et Excel : manipulation longue pour la moindre modification besoin d ouvrir et de modifier chaque fichier composant le plan HACCP Des logigrammes souvent laborieux à représenter Une méthodologie très souvent interprétée par le Responsable Qualité qui en est le seul garant EVALCCP : une solution qui permet un gain de temps considérable au Responsable Qualité et le libère donc pour mieux gérer les «problèmes» du quotidien 08/07/2010 CONFÉRENCE ARIA - L'INFORMATISATION DES PROCESSUS QSE DANS LES IAA 35
Qualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailS.BAYNAUD www.haccp.fr
Les référentiels qualité et sécurité des aliments pour les IAA Qualité Sécurité Traçabilité des Aliments 2 bis rue Lamoricière CS 10402 44104 Nantes Cedex 4 Tél : 02 51 72 11 22 Fax 02 51 72 11 33 E.mail
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailLa nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»
La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels
Plus en détailSécurité Sanitaire des Aliments. Saint-Pierre, le 19 novembre 2013. Olivier BOUTOU. Les outils de la qualité sanitaire dans les pays du sud
Sécurité Sanitaire des Aliments Saint-Pierre, le 19 novembre 2013 Olivier BOUTOU Les outils de la qualité sanitaire dans les pays du sud Faisons connaissance Missions au sein d AFNOR Animation de formation
Plus en détailHACCP Évolutions réglementaires et normatives
MADRPM / CEPR Rabat 30 octobre 2007 HACCP Évolutions réglementaires et normatives Une logique de maîtrise But : maîtrise de la sécurité sanitaire des aliments Système HACCP : «Analyse des dangers, points
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national
Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet
Plus en détailVeille réglementaire
Veille réglementaire Anne Gerard 30/01/2012 AFNOR - Marseille En quoi consiste la fonction RQSE dans une IAA? Assurer la veille réglementaire et faire appliquer la réglementation (hygiène, environnement,
Plus en détailPAQUET HYGIÈNE : MODE D EMPLOI
PAQUET HYGIÈNE : MODE D EMPLOI AOÛT 2007 Ce document est une synthèse de cette nouvelle réglementation en matière de sécurité des aliments à destination des diététiciens. Il a été validé par le comité
Plus en détailTable des matières. Intro SQF BRC. Conclusion. - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7
Table des matières Intro SQF - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7 BRC - Introduction et historique du référentiel - Différence version 5 et 6 Conclusion 2 Innovaltech
Plus en détailManuel Qualité. Réf. : MAQ Page : 1 / 15 Version : 2 Date de révision : 04/04/2012
Page : 1 / 15 Rue Mabîme 77 4432 ALLEUR Belgique Tél. : +32 (0) 4 247 32 24 Fax : +32 (0) 4 427 18 82 e-mail : info@ansolive.com Site internet : www.ansolive.com Ce document est la propriété exclusive
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailCatalogue Formation 2015
Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailCurriculum Vitae. X Mise à jour. CV mis à jour le (DATE) : 10/08/09 PRENOM NADIA NOM ATROUN. Date de Tél. 0771 13 63 29 17 Avenue de pékin EL MOURADIA
Adresse Date de Tél. 0771 13 63 29 17 Avenue de pékin EL MOURADIA naissance ALGER Civilité (M., Mme, Fax Mlle) Code postal et ville 16000 ALGER E-mail nadiaatroun@hotmail.com Pays ALGERIE Expériences professionnelles
Plus en détailACCUEIL ET CONVIVIALITE DANS LA RESTAURATION Réf : R 01
ACCUEIL ET CONVIVIALITE DANS LA RESTAURATION Réf : R 01 Durée : 14 heures 990 HT / jour Dates : à définir en 2012 Savoir gérer les conflits dans un service de restauration Savoir organiser et animer une
Plus en détailLa certification ISO 22000
La certification ISO 22000 Maurice LE DOUARIN Responsable de la Restauration SILGOM Pôle de restauration collective Phases de travaux Travaux : 6,8 M Les travaux en quelques Equipements : 1,7 M chiffres
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailUN POINT DU VUE SUR LES DIFFICULTÉS RENCONTRÉES DANS L USAGE DE L HACCP
UN POINT DU VUE SUR LES DIFFICULTÉS RENCONTRÉES DANS L USAGE DE L HACCP «!Groupe de Réflexion sur l Analyse des Dangers en Alimentaire!» www.reseau-case.com/haccp présenté par Gilles TIXIER 2004 - dernière
Plus en détailCRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation?
CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation? Sommaire page 2 > A { Qu est ce qu une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE)?
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailHSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net
HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 8 modules de management intégrés www.red-on-line.net www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 1. 2. 3. 1. 4. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 5. 1.
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailL ISO 22000 : Pourquoi et comment?
L ISO 22000 : Pourquoi et comment? Olivier BOUTOU Ingénieur AFNOR Ce module a été élaboré par Olivier Boutou Ingénieur AFNOR Qu est-ce que l ISO 22000? C est la seule norme, reconnue au niveau international,
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailBâtir un système intégré
Florence GILLET-GOINARD Bâtir un système intégré Qualité/Sécurité/Environnement De la qualité au QSE Groupe Eyrolles, 2006 ISBN : 2-7081-3651-8 CHAPITRE 1 Un système intégré, quels enjeux? 1. QU EST-CE
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailCERTIFICATION CERTIPHYTO
CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailFormation des formateurs relais 3RB. Paris, 2 et 3 avril 2009
Formation des formateurs relais 3RB Paris, 2 et 3 avril 2009 Cadre juridique Formation 3RB -2 et 3 avril 2009 2 Sommaire 1. Introduction: prévention et textes juridiques 2. Hiérarchie des textes 3. Sélection
Plus en détailCHRISTINE BOUDREAU Téléphone: (514) 990-7582 Courriel: cb@cbmc-inc.ca Site web : www.cbmc-inc.ca
CHRISTINE BOUDREAU Téléphone: (514) 990-7582 Courriel: cb@cbmc-inc.ca Site web : www.cbmc-inc.ca Christine Boudreau, Microbiologiste Consultante inc. Consultation dans le domaine alimentaire Formation
Plus en détailPlan de Maîtrise Sanitaire ALPA CONSULT NORD REPRODUCTION INTERDITE
Plan de Maîtrise Sanitaire SOMMAIRE A) Généralités 1- Historique du Plan de Maîtrise Sanitaire (PMS) 2- Réglementation alimentaire B) Les Bonnes Pratiques d Hygiène 1- Le personnel 2- La maintenance 3-
Plus en détailCatalogue des formations 2015
Catalogue des formations 2015 Qualité Etiquetage Performance industrielle Sécurité alimentaire Hygiène HACCP Développement durable Marketing RH Cadres Techniciens Dirigeants Contrôleurs Opérateurs 1 Association
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailPRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE BRETTEVILLE SUR ODON PROCÉDURE ADAPTÉE PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES C.C.T.P X:\CANTINE\CONSULTATION
Plus en détailFormations. Un reseau de consultants a votre service pour renforcer vos competences et accompagner l evolution de votre entreprise
Formations 2015 Développement durable Management Qualité Hygiène Sécurité Environnement Un reseau de consultants a votre service pour renforcer vos competences et accompagner levolution de votre entreprise
Plus en détailSYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL
15 e École d été en évaluation environnementale Évaluation de la durabilité du développement urbain et industriel : outils d analyse de l empreinte écologique et des impacts sociaux et sanitaires Douala,Hôtel
Plus en détailformations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle
audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la
Plus en détailArt. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :
Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations
Plus en détailLe Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces
Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces 1 Origine du Responsible Care Démarche volontaire de l'industrie
Plus en détailRestauration Collective. Lycée Stanislas Jeudi 27 mars 2014
Restauration Collective Lycée Stanislas Jeudi 27 mars 2014 Programme de la journée Restauration Collective Introduction Réglementation et sécurité alimentaire Organisation et Ressources Humaines La norme
Plus en détailGROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS. Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.
GROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.2007/Uniagro Sommaire ORGANISATION DU GROUPE CASINO LES PRODUITS «TERRE ET SAVEUR»
Plus en détailACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES
ACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES ÉVOLUTIONS DU BRC VERSION 7 cedric.travaille@adria.tm.fr Mars 2015 1 ADRIA NOS MÉTIERS Recherche et Innovation : Qualité et sécurité des aliments, Innovation
Plus en détailSystème de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement. Un atout pour l entreprise
CCI Moselle, le16 avril 2013 Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement Un atout pour l entreprise Intervention de Olivier Rousseaux, Auditeur QSE, Expert en organisation et management
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailMémoire technique Aide à la rédaction
Mémoire technique Aide à la rédaction Pour apprécier la valeur technique de l offre, le maître d ouvrage peut exiger des candidats la fourniture d un mémoire technique. Deux cas de figure s offrent alors
Plus en détailDemande de Soumission - Transformateur
Demande de Soumission - Transformateur Nom de l entreprise : Prénom : Nom : Titre : Adresse : Ville : Code postal : Région : Téléphone : Télécopieur : Courriel : Site Web : Domaine d activités : *** possibilité
Plus en détailRÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE
RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB
Plus en détailFood Safety System Certification 22000. fssc 22000
Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole
Plus en détailTRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS?
TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? INTRODUCTION Aujourd hui, dans un contexte de crises sanitaires et de concurrence internationale croissante au niveau du secteur
Plus en détailMétiers de la Qualité, Sécurité, Environnement
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Qualité, Sécurité, Environnement Ingénieur méthodeordonnancement Qualité
Plus en détailAVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine
Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène
Plus en détailLA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX
LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX Par Michel LEDOUX Avocat Associé CABINET MICHEL LEDOUX ET ASSOCIES 10 RUE PORTALIS 75008 PARIS Tél : 01.44.90.98.98
Plus en détailAUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?
Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailPREFET DU BAS-RHIN. Le Préfet de la Région Alsace, Préfet du Bas-Rhin,
1 Direction départementale des Territoires du Bas-Rhin PREFET DU BAS-RHIN Service Environnement et Gestion des Espaces 14, rue du Maréchal Juin BP 61003 67070 STRASBOURG CEDEX ARRETE PREFECTORAL portant
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailQuelles sont les chances des petits producteurs de se
Quelles sont les chances des petits producteurs de se maintenir sur le marché? Quelles sont les solutions en France pour la réorientation des activités des petits producteurs? La Roumanie vient d entrer
Plus en détailEmballages Alimentaires
Emballages Alimentaires FORMATIONS 2010 INTER-ENTREPRISES Eco-conception des emballages alimentaires 24 & 25 mars 2010 - PARIS Gestion des fournisseurs d emballages et matériaux au contact en IAA 20 mai
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailCode à l intention des partenaires commerciaux
Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect
Plus en détailMétiers de la Production/ Logistique
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Production/ Logistique R & D Production Ingénieur de recherche Responsable
Plus en détailAutorisation et Convention
Autorisation et Convention Déversement d eaux usées non domestiques dans les réseaux publics de collecte Entreprises et Collectivités : procédures pour être en conformité avec la loi Crédit photo CA Évry
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailDES I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P R O TECTION DE
12 13 I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P ROTECTION DE L ENVIRONNEMENT (ICPE) 1.RÉGLEMENTATION 2.OBJECTIFS 3.LES PRINCIPES 3.1. LES ACTEURS 3.2. DÉCLARATION 3.2.1.PROCÉDURE 3.2.2.CONTENU DU DOSSIER 3.3.
Plus en détailFORMATION HYGIENE. (D après méthode HACCP) EN INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
1. Objectif : Comprendre les enjeux de la maîtrise de l hygiène dans votre entreprise «Agroalimentaire» (Fabrication, conditionnement, logistique, ) Savoir identifier les risques spécifiques à votre activité
Plus en détailCONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION
CONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ DANS LES établissements D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION 2 Table des matières 4-5 Présentation de SGS 6-7 Renforcez votre réputation 8-9 Programme d évaluation: «Hygiene
Plus en détailLaboratoire départemental d analyses
Catalogue des formations 2015 MICROBIOLOGIE ALIMENTAIRE SANTÉ ANIMALE AUDIT, CONSEIL ET FORMATION EN SÉCURITÉ ALIMENTAIRE LABORATOIRE DÉPARTEMENTAL D ANALYSES DU CHER 216 RUE LOUIS MALLET 18020 BOURGES
Plus en détailAudit interne. Audit interne
Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils
Plus en détailINSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14
INSTRUCTION GENERALE relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 SOMMAIRE 1 - La réglementation 3 2 - Principes généraux 2.1 Principes fondamentaux en matière d hygiène
Plus en détailFORMATIONS EMBALLAGE
FORMATIONS EMBALLAGE CATALOGUE Septembre à décembre 2010 En partenariat avec les entreprises Page 0 Sommaire HACCP filière Emballage Page 3 Matériaux et emballages aux contacts des denrées Page 4 alimentaires
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailFORMATIONS INTER-ENTREPRISES PROGRAMME 2015
S INTER-ENTREPRISES 2015 Contribuer à faire évoluer les compétences et les systèmes de management Management de la qualité et de la sécurité des aliments Nutrition, réglementation alimentaire Sensoriel
Plus en détailLaboratoire départemental d analyses
Catalogue des formations Microbiologie alimentaire santé animale AUDIT, conseil et formation en sécurité alimentaire Laboratoire 216 rue Louis Mallet 18020 Bourges Cedex Tél. 02 48 21 15 31 fax 02 48 50
Plus en détailESII. Une entreprise éco-citoyenne
ESII Une entreprise éco-citoyenne ESII s inscrit dans une politique de développement durable garantissant la mise en œuvre de pratiques sans danger pour l environnement ainsi que le respect des normes
Plus en détailCatalogue des formations 2014. Pour les entreprises agroalimentaires. Hygiène alimentaire. Restauration commerciale. Innovation. Procédures & normes
Hygiène alimentaire Restauration commerciale Innovation Procédures & normes Réglementation Nutrition Pour développer vos compétences et celles de vos salariés. Pour maitriser et améliorer la qualité de
Plus en détailLa gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité
La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité 8 ème journée professionnelle de l ANTAB - 21 Octobre 2011 Fatima TOUBAIS Ingénieur qualité Accréditation des Laboratoires Direction
Plus en détailMESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES
MESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES MESURER EN CONTINU TOUTES VOS CONSOMMATIONS D ÉNERGIE ET DE FLUIDES POUR PERMETTRE UNE OPTIMISATION DE VOS PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES Instrumenter vos immeubles à
Plus en détail8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace
Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme
Plus en détailJ U I L L E T 2 0 1 2
Code SQF Une assurance fournisseur basée sur les principes HACCP Code pour l industrie alimentaire 7 e édition J U I L L E T 2 0 1 2 Safe Quality Food Institute 2345 Crystal Drive, Suite 800 Arlington,
Plus en détailL hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD
L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailQuestionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise
Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale
Plus en détail