PALUDISME Cours IFSI
|
|
- Aurélien Lacroix
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PALUDISME Cours IFSI Aurélie FILLION Unité de Maladies Infectieuses CH de Chalon-sur-Saône
2 Epidémiologie du paludisme
3 Quels pays sont concernés par le paludisme? Gabon Sénégal Lesotho Algérie Madagascar Espagne Syrie Iran Thaïlande Chine Indonésie Colombie Chili Cuba République Dominicaine Etats-Unis
4 Quels pays sont concernés par le paludisme? Gabon Sénégal Lesotho Algérie Madagascar Espagne Syrie Iran Thaïlande Chine Indonésie Colombie Chili Cuba République Dominicaine Etats-Unis
5 Afrique inter-tropicale, Madagascar, Comores = 90% des cas mondiaux
6 Lesquelles des propositions suivantes sont vraies? Presque la moitié des êtres humains vivent en zone d endémie palustre. Le paludisme cause environ décès par an. Les sujets les plus à risque à complication d un accès palustre (décès) sont les enfants. Mayotte et la Réunion sont des zones d endémie palustre. Chaque année, plusieurs milliers de voyageurs reviennent en France infectés par P.falciparum. En moyenne, cinq personnes décèdent du paludisme en France chaque année.
7 Lesquelles des propositions suivantes sont vraies? Presque la moitié des êtres humains vivent en zone d endémie palustre. Le paludisme cause environ décès par an. Les sujets les plus à risque à complication d un accès palustre (décès) sont les enfants. Mayotte et la Réunion sont des zones d endémie palustre. Chaque année, plusieurs milliers de voyageurs reviennent en France infectées par P.falciparum. En moyenne, cinq personnes décèdent du paludisme en France chaque année.
8 Monde France 3,5 milliard personnes à risque 200 millions accès palustres /an décès /an 90% en Afrique Majorité chez les enfants < 5 ans Paludisme autochtone en Guyane Française + Mayotte Paludisme d importation Environ 4400 cas/an 80% des cas chez des migrants Afrique Subsaharienne (93%) P. falciparum (87%) 10-15% de formes graves décès /an Efficacité de la prévention : réduction > 50% de la mortalité
9 Paludisme et Plasmodium
10 Plasmodium = protozoaire sanguin (parasite) Espèces Répartition géographique Létalité Cycle de maturation intraérythrocytaire Persistance de formes hépatiques Proportion des cas importés en France métropolitaine P.falciparum Régions tropicales et intertropicales h - 82,8% P. vivax Idem + région à climat plus tempéré +/- (exceptionnelle) 48h + 7,4% P. ovale P. malariae Afrique intertropicale Idem P.vivax, mais en foyer - 48h + 6% - 72h - 2,1% P.knowlesi Asie du sud-est +/- 24h < 1%
11 Cycle sexué anophèle femelle Cycle asexué homme 1. Étape hépatique (1-2 semaines) Asymptomatique Libération des parasites (tous ou seulement une partie) 1. Étape sanguine Plusieurs cycles érythrocytaires avec pic fébrile à chaque libération des parasites
12 Transmission Transmission inter-humaine via un moustique Vecteur = anophèle femelle Piqûre indolore 1 seule piqûre = infectante Soir + nuit Transmissions exceptionnelles : transplacentaire, transfusion, greffon, exposition au sang, toxicomanie
13 Tableau clinique et biologique
14 Quels organes peuvent être atteints en cas d accès palustre?
15 Toutes les espèces Hémolyse Consommation des plaquettes Hyperplasie des macrophages Anémie hémolytique Cerveau Poumons Système cardio-vasculaire Foie Reins Thrombopénie Hépatosplénomégalie Peau P.falciparum Cycle érythrocytaire dans les capillaires viscéraux micro-thrombi, cytokines, hypoxie lésions tissulaires défaillance multiviscérale
16 Signes cliniques Signes biologiques Fièvre +++ (pics) + frissons Syndrome algique céphalées myalgies Troubles digestifs +/- Hépato-splénomégalie +/- Thrombopénie +++ Anémie + Hémolyse : Hyperbilirubinémie libre Élévation des LDH Haptoglobine basse Cytolyse hépatique < 10N Délai d incubation : P. falciparum : 7 jours à 2 mois Autres espèces : plusieurs mois
17 Paludisme grave à P. falciparum Critères cliniques Défaillance neurologique : confusion, somnolence, GSC < 11 Convulsions répétées Défaillance respiratoire Défaillance circulatoire : PAs<80mmHg, signes périphériques d insuffisance circulatoire Hémorragie Ictère Hémoglobinurie macroscopique Critères biologiques Anémie: Hb<7g/dl Bilirubine totale < 50µmol/l Hypolycémie Acidose Hyperlactatémie Insuffisance rénale : créatinine > 265µmol/l diurèse < 400ml/24 Parasitémie > 4% Réanimation!
18 Dans quel(s) cas doit-on évoquer un accès palustre? Retour du Sénégal (depuis 4 jours) + 39 c + céphalées Retour de Thaïlande (depuis 5 semaines) + 38 c + diarrhées Retour du Ghana (depuis 1 mois) + prophylaxie bien prise «tout va bien» Retour de Bornéo (depuis 2 semaines) + pas de prophylaxie toux et foyer pulmonaire Retour de la Bresse (depuis 1 semaine) sd pseudogrippal + ictère + diarrhée
19 Dans quel(s) cas doit-on évoquer un accès palustre? Retour du Sénégal (depuis 4 jours) + 39 c + céphalées Retour de Thaïlande (depuis 5 semaines) + 38 c + diarrhées Retour du Ghana (depuis 1 mois) + prophylaxie bien prise «tout va bien» Retour de Bornéo (depuis 2 semaines) + pas de prophylaxie toux et foyer pulmonaire Retour de la Bresse (depuis 1 semaine) sd pseudogrippal + ictère + diarrhées
20 Arguments épidémiologiques Notion de voyage en zone d endémie Même de courte durée Même plusieurs mois/années auparavant Avec / sans chimioprophylaxie PALUDISME = 1 er diagnostic à évoquer devant le tableau : «fièvre + retour d une zone d endémie»
21 Confirmation diagnostique
22 Frottis Goutte Epaisse (FGE) En urgence! Pas besoin d attendre un pic fébrile Examen de référence Biologiste qualifié +++ A répéter si négatif «Nouvelles méthodes» associées TDR par détection antigénique PCR Diagnostic positif de paludisme Diagnostic d espèce Parasitémie
23 Traitement d un accès palustre
24 Traitement de l accès palustre Simple Autres espèces P.falciparum Hospitalisation (ou ambulatoire) PO (sauf vomissement IV) Grave Réanimation IV Chloroquine (+/- Primaquine) - Atovaquone-proguanil (Malarone ) - Arthéméther-luméfantrine (Riamet, Coartem ) - Dihydroartémisine-pipéraquine (Eurartesim ) Artésunate (Malacef ) Molécule à adapter à l espèce Espèce non identifiée : traitement adapté à P.falciparum
25 Mesures associées Prise en charge des complications associées Antalgiques, anti-émétiques Perfusion de glucosé Oxygène Forme grave (réanimation) : dialyse, ventilation invasive. Surveillance et condition de prise du traitement antipaludéen Prise pendant un repas (en général, à adapter à chaque molécule) ECG Constantes Surveillance des effets secondaires cliniques : troubles digestifs, céphalées, troubles visuels, convulsions. Surveillance de l efficacité : clinique, biologie, parasitémie
26 antipaludique choix posologie (Malarone ) 1 ère ligne - 4 cp en 1 prise/jour pendant 3j à 24 h d intervalle - au cours d un repas, - à partir de 5 kg (adapter posologie), ok femme enceinte - troubles digestifs atovaquoneproguanil arthémétherluméfantrine (Riamet, Coartem ) 1 ère ligne - 4 cp en 1 prise à H0, H8, H24, H36, H48 et H60 - avec le repas ou boisson lactée - CI : allongement du QTc, ATCD de cardiopathie - À partir de 5 kg (adapter posologie), CI 1 er trismestre grossesse dihydroartémisinine -pipéraquine (Eurartesim ) 1 ère ligne - 4 cp en 1 prise/jour pendant 3j à 24 h d intervalle -CI : allongement du QTc, ATCD de cardiopathie - Surveillance ECG - à partir de 5 kg (adapter posologie dès <75kg), CI femme enceinte
27 antipaludique choix posologie quinine (Quinimax, Surquina, Quinine Lafran ) 2 ème ligne - 8 mg/kg /8 heures (sur 4h ou IVSE) pendant 7 jours - dans sérum glucosé 5% - Surveillance ECG - Imprégnation : céphalées, vertiges, NV, acouphènes, hyperacousie, amaurose - Surdosage/administration trop rapide : hypoglycémie, hypota, troubles visuels, trouble de la conduction cardiaque, décès - Dosage (obj: 10-12mg/l) - ok grossesse méfloquine (Lariam ) 2 ème ligne - 25 mg/kg en 3 prises espacées de 8 heures - en pratique: 3 cp, puis 2 cp, puis 1 cp (si > 60 kg) - Vertiges, NV, troubles psychiatriques, convulsions - à partir de 5 kg (adapter posologie), éviter chez femme enceinte halofantrine (Halfan ) 3 ème ligne - 2 cp/6h x3 à jeun + 2 ème cure à J7-J10 chez le non immun (à dose réduite) - CI : allongement QTc, hypovitb1, hypok - troubles du ryhtme, décès - en milieu hospitalier - surveillance ECG - à partir de 10 kg (adapter posologie), CI femme enceinte
28 Prévention
29 Comment se protéger du paludisme? Spray insecticide cutané Vêtements couvrants Infusions de citronnelle Infusions de quinine Chimioprophylaxie anti-palustre Moustiquaire Diffuseur électrique d insecticide Ventilateur Traitement curatif présomptif dès que T > 38 5 Destruction des foyers larvaires Ne jamais quitter la Côte-d Or
30 Comment se protéger du paludisme? Spray insecticide cutané Vêtements couvrants Infusions de citronnelle Infusions de quinine Chimioprophylaxie anti-palustre Moustiquaire Diffuseur électrique d insecticide Ventilateur Traitement curatif présomptif dès que T > 38 5 Destruction des foyers larvaires Ne jamais quitter la Côte-d Or
31 Ne pas être piqué!!! Vêtements longs imprégnés de répulsif Répulsifs cutanés Moustiquaire imprégnée de répulsif Dès la fin d après-midi!
32
33 La chimioprophylaxie anti-palustre est indispensable lors d un séjour dans une zone de transmission élevée. protège totalement d un accès palustre. est contre-indiquée chez l enfant. est contre-indiquée chez la femme enceinte. est contre-indiqué chez l insuffisant cardiaque. doit être prise pendant 3 semaines après le retour de la zone impaludée. n est pas nécessaire pour les sujets nés en zone impaludée. reste indispensable pour les expatriés vivant plusieurs années en zone impaludée.
34 La chimioprophylaxie anti-palustre est indispensable lors d un séjour dans une zone de transmission élevée. protège totalement d un accès palustre. est contre-indiquée chez l enfant. est contre-indiquée chez la femme enceinte. est contre-indiqué chez l insuffisant cardiaque. doit être prise pendant 3 semaines après le retour de la zone impaludée. n est pas nécessaire pour les sujets nés en zone impaludée. reste indispensable pour les expatriés vivant plusieurs années en zone impaludée.
35 Chimioprophylaxie antipalustre But : éviter les accès palustres graves (décès) N empêche pas infestation manifestation tardive d un paludisme à P.ovale et P.vivax Choix de la molécule Zone géographique, période et conditions du séjour Durée du séjour Âge, poids, grossesse Co-morbidités (ATCD psychiatriques), traitement Tolérance et observance prévisibles Budget Suivre les recommandations annuelles du BEH (juin)
36
37 Immunisation? Jamais vraiment Réinfections périodiques immunité partielle formes moins graves Parasitémie plus faible Signes cliniques modérés Portage parasitaire asymptomatique possible Disparition si arrêt de l exposition Risque ++++ pour les émigrés retournant en zone d endémie
38 Conclusion Fièvre au retour d un pays en zone d endémie palustre = accès palustre jusqu à preuve du contraire Accès palustre = potentiellement mortel = urgence thérapeutique Traitement efficace, mais avec des effets secondaires potentiellement graves bilan pré-thérapeutique, condition d administration, surveillance (ECG, glycémie) Prévention ++++
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPaludisme Actualités 2015 Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 11/01/2015
Paludisme Actualités 2015 Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 11/01/2015 1. Introduction : vers l'élimination du paludisme? En 2001, les dirigeants du monde entier ont adopté les Objectifs du Millénaire
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailMise au point. Test rapide de diagnostic du paludisme : une curieuse discordance.
Mise au point Test rapide de diagnostic du paludisme : une curieuse discordance. J. Maslin a, T. Coton b, C. Martinaud a, D. Lignac c, L. Journaux d, F. Grassin e, B. Chagneau f. a Fédération des Laboratoires,
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailDEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs
DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs Sabine GENTY Médecin Groupe Technip (secteur International) Ex Prat Att à la Consultation des Voyages Hôpital Avicenne BOBIGNY
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLes parasites externes du chien
Les parasites externes du chien La puce La puce, doit-elle être considérée comme un parasite normal du chien? Non, elle vit à ses dépends, les femelles prélevant du sang sur le chien pour se nourrir. La
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailApproches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain
Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Claudio Daniel RIBEIRO A l'heure actuelle les différentes possibilités thérapeutiques proposées pour le traitement du paludisme rencontrent
Plus en détailsporozoïtes Oocystes* Schizontes* ookinètes mérozoites zygotes Développement : Durée de la sporogonie (à 28 C, en jours)
500 Nombre de cas de paludisme diagnostiqué en Belgique LA MALARIA : Nombre de cas 400 300 200 100 0 Méthodes diagnostiques 1984 1986 1988 1990 1992 1994 Année 1996 1998 2000 2002 LA MALARIA fr 2006 ver
Plus en détailTHÈSE DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ BORDEAUX 2
Université Victor Segalen Bordeaux 2 Année 2010 Thèse n THÈSE pour le DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ BORDEAUX 2 Mention : Sciences,Technologie, Santé Option : Epidémiologie et Santé Publique Présentée et soutenue
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailMALADIES D AILLEURS aux escales et à terre. origine, soins, prévention
MALADIES D AILLEURS aux escales et à terre. origine, soins, prévention Le but de ce dossier n est évidemment pas d être un Traité de Médecine mais plutôt une base de référence sur les risques médicaux
Plus en détailExpatriation&santé & L E C OMITÉ D'INFORMATION M ÉDICALE. Mémento à l'usage des professionnels de santé L A S OCIÉTÉ DE M ÉDECINE DES V OYAGES
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES L A S OCIÉTÉ DE M ÉDECINE DES V OYAGES & L E C OMITÉ D'INFORMATION M ÉDICALE (Ministère des Affaires Étrangères Maison des Français à l'étranger) Présentent Expatriation&santé
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailLe parasitisme chez les arthropodes
Le parasitisme chez les arthropodes Photo : Warren Rosenberg NOWAK Julien La puce du chat Ctenocephalides 1 felis SOMM AIRE I. Introduction... 5 A. Définition... 5 B. Le parasitisme, une forme spéciale
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailCONSEILS AUX VOYAGEURS
CONSEILS AUX VOYAGEURS Vous devez prochainement partir en mission à l étranger Au cours de votre séjour, vous pouvez être confronté à différents risques : risques infectieux : paludisme, diarrhées, hépatites,
Plus en détailACCES UNIVERSEL AUX TESTS DIAGNOSTIQUES DU PALUDISME
ACHIEVING Accès universel aux tests diagnostiques du paludisme Manuel Pratique Programme mondial de lutte antipaludique Organisation Mondiale de la Santé 20 avenue Appia 1211 Genève 27 Suisse http://www.who.int/malaria/en/
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailTable des matières PARTIE THEORIQUE... 2 II.1 Dans le monde II.2 Au Maroc
Table des matières PARTIE THEORIQUE... 2 I. INTRODUCTION... 3 II. EPIDEMIOLOGIE... 5 II.1 Dans le monde... 5 II.2 Au Maroc... 6 III. DIAGNOSTIC MORPHOLOGIQUE DES PARASITES... 12 IV. DONNEES DIAGNOSTIQUES
Plus en détailPartie I Recommandations aux voyageurs des pays tropicaux - 15
8 Avertissement Mis à part quelques précisions sur la prévention du paludisme (malaria) et le traitement de la diarrhée chez les enfants, ce livre ne se consacre ni aux nouveau-nés et jeunes enfants, ni
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal
USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailVolet de l étude consacré aux interventions des personnels de santé, intitulé
STAGIAIRES L'ÉTUDE TACT Volet de l étude consacré aux interventions des personnels de santé, intitulé Une étude randomisée en groupe des interventions des personnes de santé et des communautés pour encourager
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailIntoxications au Monoxyde de Carbone (CO)
Intoxications au Monoxyde de Carbone (CO) K. Elhajjaoui, N. Rhalem, I. Semlali, R. Soulaymani Bencheikh 1. Introduction : L intoxication au monoxyde de carbone (CO) occupe la première place dans les pays
Plus en détailDons, prélèvements et greffes
Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détaildeuxième partie maladies infectieuses et parasitaires
2 deuxième partie maladies infectieuses et parasitaires 1 CHARBON... 2 CHOLÉRA... 3 CYSTICERCOSE... 4 dengue... 5 HÉPATITE... 6 LÈPRE... 7 LEPTOSPIROSE... 8 mélioïdose... 131 9 myosite TROPICALE... 133
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détail