Qu'est-ce qu'un assemblage C MOS?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Qu'est-ce qu'un assemblage C MOS?"

Transcription

1 Qu'est-ce qu'un assemblage C MOS? C MOS (Complementary MOS) = assemblage technologique permettant de réaliser sur un même substrat des transistors N MOS et P MOS N+ N+ P+ P+ Caisson NECESSITE DE CREER Un CAISSON Dans cette partie nous allons étudier la construction du C MOS ou Complementary MOS qui est un assemblage technologique permettant de réaliser sur un même substrat des transistors N MOS et des transistors P MOS. Pour assembler ces deux types de transistors, il est nécessaire de créer une zone Si de type N dans le substrat Si de type P : Le caisson. Page : 1

2 Comment créer un caisson? A partir d'un substrat silicium de type P Dopage de la zone du caisson (photolithographie + dopage Phosphore) résine P Retrait résine, activation et diffusion du dopant Caisson Pour réaliser un caisson N dans un substrat P, on procède par dopage localisé au phosphore de la zone du caisson. Au cours du recuit, le dopant est activé et diffuse pour former le caisson N. Page : 2

3 Comparaison entre les transistors N MOS et P MOS - Technologie Transistor N MOS Type N Type P Type P Passivation finale Métallisation Contact Protection du transistor INTERCONNEXIONS Source et Drain Grille isolée Canal TRANSISTOR Implantation de champ Zone active Caisson Substrat ISOLATION Transistor P MOS Type P Type N Type N En technologie C MOS : Réalisation des étapes identiques en même temps Dédoublement des étapes différentes Ce transparent résume les différences entre la séquence technologique du N MOS et celle du P MOS. Il reprend le transparent vu précédemment, en y ajoutant le caisson. Ces différences se situent au niveau : Du substrat sur lequel est construit le transistor : pour le N MOS Caisson pour le P MOS Du transistor : canal, source et drain Les autres étapes restent identiques et peuvent donc être réalisées en même temps pour les deux types de transistor. Page : 3

4 La réalisation de l'isolation - 1 A partir d'un substrat P Croissance d'un oxyde de protection (oxydation) 40nm - 400Å Dépôt d'une couche de résine photosensible Les transparents qui suivent présentent comme nous l'avons fait pour le transistor N MOS, la réalisation de l'isolation latérale : définition de la zone caisson formation du caisson par implantation définition des zones de LOCOS formation des zones de LOCOS par dopage aux bore croissance du LOCOS. Page : 4

5 La réalisation de l'isolation - 2 Définition de la zone du caisson (photolithographie) Implantation phosphore (environ 10e12 atomes/cm²) Phosphore Formation du caisson : retrait résine désoxydation recuit caisson légèrement oxydant (environ 20nm - 200Å d'oxyde à 1150 C pendant 30mn à qq heures) Page : 5

6 La réalisation de l'isolation - 3 Désoxydation, puis croissance d'un oxyde piédestal (12nm) Dépôt d'une couche de nitrure de silicium (LPCVD) (80nm) Dépôt d'une couche de résine photosensible Définition des zones par photolithographie Page : 6

7 La réalisation de l'isolation - 4 Gravure du nitrure : mise à nu des zones de croissance du LOCOS Dégagement de la partie N MOS Élimination résine Dépôt d'une couche de résine Photolithographie Bore Dopage ISOSUB Page : 7

8 La réalisation de l'isolation - 5 Retrait résine Croissance du LOCOS (oxydation à 950 C) 600 nm Retrait du masque à l'oxydation : Oxynitrure formé (gravure chimique humide FH) Nitrure de silicium (gravure chimique humide H3PO4) Oxyde piédestal (gravure chimique humide HF) Croissance d'un oxyde sacrificiel (oxydation) 45 nm Page : 8

9 La réalisation du transistor - 1 Dopage du canal conducteur du N MOS Bore 10e12/10e13 at/cm² après protection par résine du P MOS Dopage du canal conducteur du P MOS Phosphore 10e12 at/cm² + BF2 10e13 at/cm² après protection par résine du N MOS Bore Phosphore + BF2 Retrait oxyde sacrificiel (désoxydation chimique FH) Croissance de l'oxyde de grille (oxydation) 17nm-4nm Les transparents suivants décrivent la réalisation des transistors dopage du canal conducteur du N MOS dopage du canal conducteur du P MOS formation de la grille ( en même temps pour les deux types de transistor) réalisation de la source et du drain du N MOS réalisation de la source et du drain du P MOS Page : 9

10 La réalisation du transistor - 2 Formation de la grille : dépôt du silicium polycristallin (LPCVD) dopage silicium polycristallin par P Phosphore Retrait de l'oxyde formé (gravure humide FH) Dépôt d'une couche de siliciure de Tantale Définition de la grille (photolithographie) Gravure de la grille (gravure sèche) Page : 10

11 La réalisation du transistor - 3 Réalisation des sources et drain du N MOS Implantation As 10e15 at/cm² après protection du P MOS par résine As Réalisation des sources et drain du P MOS Implantation BF2 10e15 at/cm² après protection du N MOS par résine BF2 Page : 11

12 La réalisation des interconnexions Dépôt et fluage de deux couches de verre protecteur (four ou recuit lampe) BPSG = BoroPhosophoSilicate Glass USG = Undoped Silicate Glass Activation des dopants Définition et gravure des zones de prise de contact sur silicium ou siliciure de tantale Réalisation d'une couche aluminium-cuivre et gravure des connexions Recuit sous gaz inerte AlCu TiN Le transparent suivant décrit la réalisation des interconnexions, identiques pour les deux types de transistors : dépôt de couches de verre protecteur ouverture des zones de prise de contact dépôt d'une couche conductrice gravure des connexions Page : 12

13 Le circuit C MOS terminé Isolation du caisson (diode) Polarisation nécessaire caisson/substrat Polarisation substrat 0 V Connexion entre transistors Polarisation caisson +Vcc Pour obtenir notre circuit C MOS, il est nécessaire de rajouter des contacts sur le substrat et sur le caisson, afin d'éviter les phénomènes parasites entre caisson et substrat (diode). Page : 13

14 Comment réaliser les prises de polarisation substrat et caisson? Pendant la réalisation des sources et drains des transistors Réalisation source et drain du N MOS réalisation prise caisson As As N+ N+ N+ Réalisation source et drain du P MOS réalisation prise substrat BF2 P+ BF2 N+ N+ P+ P+ N+ La réalisation des prises de polarisation substrat et caisson n'implique pas d'étapes supplémentaires lors de la construction des transistors. Elle est réalisée en même temps que les sources et drain des transistors. Page : 14

15 Qu'est-ce que le "LATCHUP"? Structure C MOS N+ N+ N P N P+ P+ P N P Existence de 2 bipolaires montés en série Risque d'amplification des courants parasites 1 bipolaire amplification 1 x bipolaires amplification 1 x 100 x 100 LATCHUP Risque de dysfonctionnement circuit, destruction métallisations La structure C MOS est une structure relativement complexe, associant des types de transistor différents Cette association peut créer des phénomènes parasites importants parmi lesquels on peut citer le latchup. Ce latchup est lié à l'existence, entre les deux transistors de deux bipolaires NPN et PNP, montés en série. Ce montage peut créer une amplification très importante des courants parasites (x10000) et des risques de dysfonctionnement des circuits ou de destruction des métallisations. Ces phénomènes peuvent être contrôlés par : les règles de dessin : augmentation des distances entre la zone N+ et le caisson La construction des substrats : couche fortement dopée en profondeur pour détourner les courants parasites. Page : 15

16 Suppression du Latchup Le SOI N+ SiO2 N+ P+ P+ P Si bulk En utilisant un substrat SOI (Silicon Over Insulator) et une isolation par tranchée, chaque transistor se trouve confiné dans un bloc de silicium totalement isolé électriquement de ses voisins par un matériau isolant. Page : 16

17 Quels sont les avantages/inconvénients des C MOS? AVANTAGES INCONVENIENTS Intégration forte > mémoires (DRAM, SRAM, EPROM EEPROM) Consommation statique faible Bonne immunité au bruit Nécessite le contrôle du LATCHUP Règles de dessin Rapidité inférieure à celle des bipolaires C MOS = Base des technologies actuelles 0,5µ en début de production (mémoire de 16 Mo) 0,35µ (mémoires de 64 Mo) Ce transparent résume les principaux avantages et inconvénients des assemblages C MOS Les avantages en terme d'intégration, de consommation et d'immunité au bruit expliquent que les C MOS soient à la base de l'essentiel des technologies actuelles. Page : 17

Mémoire de Thèse de Matthieu Lagouge

Mémoire de Thèse de Matthieu Lagouge Conception de microsystèmes à base d actionneurs en SU8 pour la manipulation de micro-objets en milieu liquide et transfert vers un milieu quasi-sec * * * Annexes Mémoire de Thèse de Matthieu Lagouge soutenue

Plus en détail

Où sont-elles? Presque partout

Où sont-elles? Presque partout Les puces Vision historique Fabrication Les circuits numériques Les microprocesseurs Les cartes à puces Les puces d identification Controverses Questions Les puces Où sont-elles? Presque partout Où ne

Plus en détail

Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.

Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B. Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel

Plus en détail

Les transistors à effet de champ

Les transistors à effet de champ etour au menu! Les transistors à effet de champ 1 tructure A TANITO à JONCTION (JFET) Contrairement aux transistors bipolaires dont le fonctionnement repose sur deux types de porteurs les trous et les

Plus en détail

Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire

Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire LEEA 3 ème A, C. TELLIER, 28.08.04 1 Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire 1. Structure et description du fonctionnement 1.1. Les transistors bipolaires 1.2 Le transistor NPN Structure intégrée d'un transistor

Plus en détail

Le transistor bipolaire

Le transistor bipolaire IUT Louis Pasteur Mesures Physiques Electronique Analogique 2ème semestre 3ème partie Damien JACOB 08-09 Le transistor bipolaire I. Description et symboles Effet transistor : effet physique découvert en

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Les transistors à effet de champ.

Les transistors à effet de champ. Chapitre 2 Les transistors à effet de champ. 2.1 Les différentes structures Il existe de nombreux types de transistors utilisant un effet de champ (FET : Field Effect Transistor). Ces composants sont caractérisés

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

Thèse. Présentée devant L Institut National des Sciences Appliquées de Lyon

Thèse. Présentée devant L Institut National des Sciences Appliquées de Lyon N d ordre : 2005-ISAL-00112 Année 2005 Thèse Conception et fabrication de nouvelles architectures CMOS et étude du transport dans les canaux de conduction ultra minces obtenus avec la technologie SON Présentée

Plus en détail

Convertisseurs statiques d'énergie électrique

Convertisseurs statiques d'énergie électrique Convertisseurs statiques d'énergie électrique I. Pourquoi des convertisseurs d'énergie électrique? L'énergie électrique utilisée dans l'industrie et chez les particuliers provient principalement du réseau

Plus en détail

Contribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple

Contribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques

Plus en détail

TD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe.

TD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe. TD 11 Les trois montages fondamentaux.,.,. ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe ***exercice 11.1 On considère le montage ci-dessous : V = 10 V R 1 R s v e

Plus en détail

DOSSIER TECHNIQUE DU «DÉTECTEUR D HUMIDITÉ» Ce dossier technique est dédié au personnel technique ou enseignant.

DOSSIER TECHNIQUE DU «DÉTECTEUR D HUMIDITÉ» Ce dossier technique est dédié au personnel technique ou enseignant. DOSSIER TECHNIQUE DU «DÉTECTEUR D HUMIDITÉ» Ce dossier technique est dédié au personnel technique ou enseignant. AVRIL 2012 TABLE DES MATIÈRES Dossier technique du détecteur d humidité Dessin 1 - Éclaté

Plus en détail

Présenté par : Sous la direction de :

Présenté par : Sous la direction de : ANNEE UNIVERSITAIRE 2006 2007 LAYOUT DE SWITCHS RF STAGE EFFECTUE A ST MICROELECTRONICS GRENOBLE Rapport de stage de licence professionnelle EISI option microélectronique microsystèmes Présenté par : Sous

Plus en détail

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie

Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie ABDELILAH EL KHADIRY ABDELHAKIM BOURENNANE MARIE BREIL DUPUY FRÉDÉRIC RICHARDEAU

Plus en détail

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique.

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Mike El Kousseifi K. Hoummada, F. Panciera, D. Mangelinck IM2NP, Aix Marseille Université-CNRS, Faculté

Plus en détail

Une histoire de la microélectronique

Une histoire de la microélectronique Une histoire de la microélectronique Philippe Matherat GET - Télécom-Paris - Comelec / CNRS - LTCI (UMR 5141) http://www.comelec.enst.fr/ matherat/ Résumé Ce texte est une esquisse d histoire de la microélectronique,

Plus en détail

Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Nabeul

Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Nabeul Ministère de l enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la technologie Institut Supérieur des tudes Technologiques de Nabeul Département : Génie lectrique Support de cours : LCTRONIQU

Plus en détail

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION

Plus en détail

Titre original du document : DMILL, une technologie mixte analogique numérique ducie adaptée aux besoins de ia physique des hautes énergies.

Titre original du document : DMILL, une technologie mixte analogique numérique ducie adaptée aux besoins de ia physique des hautes énergies. DEMANDE D'AUTORISATION EN VUE D'UNE PUBLICATION OU D'UNE COMMUNICATION Centre : SACLAY Réf. émetteur : DAPNIA/DOC 94-112 94002478 Titre original du document : DMILL, une technologie mixte analogique numérique

Plus en détail

THESE. Présentée devant L Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse. En vue de l obtention du grade de Docteur INSA

THESE. Présentée devant L Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse. En vue de l obtention du grade de Docteur INSA N D ORDRE : 814 THESE Présentée devant L Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse En vue de l obtention du grade de Docteur INSA Spécialité : Matériaux pour l'electronique et Ingénierie des

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Conception et hybridation de l environnement électronique des composants de puissance à structure verticale

Conception et hybridation de l environnement électronique des composants de puissance à structure verticale Conception et hybridation de l environnement électronique des composants de puissance à structure verticale Timothé Simonot To cite this version: Timothé Simonot. Conception et hybridation de l environnement

Plus en détail

Le projet HBS. LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr. CEA. All rights reserved

Le projet HBS. LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr. CEA. All rights reserved Le projet HBS LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr Les buts du projet HBS En 2010 : 8.3 milliards, 1.3 millions d implantations par an, forte croissance dans pays émergents Réduire

Plus en détail

EP 2 339 758 A1 (19) (11) EP 2 339 758 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 29.06.2011 Bulletin 2011/26

EP 2 339 758 A1 (19) (11) EP 2 339 758 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 29.06.2011 Bulletin 2011/26 (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 339 758 A1 (43) Date de publication: 29.06.2011 Bulletin 2011/26 (21) Numéro de dépôt: 09179459.4 (51) Int Cl.: H04B 1/69 (2011.01) H03K 5/08 (2006.01) H03K

Plus en détail

Mesure de la pression différentielle et différentielle bidirectionnelle expliquée à l'aide du capteur

Mesure de la pression différentielle et différentielle bidirectionnelle expliquée à l'aide du capteur Dans la technique de mesure de pression, on distingue les méthodes de mesure en fonction des tâches à réaliser. Au rang de ces méthodes figurent la mesure de la pression absolue, la mesure de la pression

Plus en détail

a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement

a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement Sílvia Martín de Nicolás Résumé La diminution du coût des cellules photovoltaïques en silicium cristallin (c-si) passe par une

Plus en détail

Conception. de systèmes électroniques. analogiques

Conception. de systèmes électroniques. analogiques Christian JUTTEN Conception de systèmes électroniques analogiques Université Joseph Fourier - Polytech Grenoble Cours de deuxième année du département 3i Janvier 2007 Table des matières Modèle mathématique

Plus en détail

Études et Réalisation Génie Électrique

Études et Réalisation Génie Électrique Université François-Rabelais de Tours Institut Universitaire de Technologie de Tours Département Génie Électrique et Informatique Industrielle Études et Réalisation Génie Électrique Chargeur de batterie

Plus en détail

Université Mohammed Khidher Biskra A.U.: 2014/2015

Université Mohammed Khidher Biskra A.U.: 2014/2015 Uniersité Mohammed Khidher Biskra A.U.: 204/205 Faculté des sciences et de la technologie nseignant: Bekhouche Khaled Matière: lectronique Fondamentale hapitre 4 : Le Transistor Bipolaire à Jonction 4..

Plus en détail

http://www.lamoot-dari.fr Distribué par Lamoot Dari contact@lamoot-dari.fr GTS-L 5 / 10 / 15 DONNEES TECHNIQUES

http://www.lamoot-dari.fr Distribué par Lamoot Dari contact@lamoot-dari.fr GTS-L 5 / 10 / 15 DONNEES TECHNIQUES GTS-L / 0 / GROUPES STATIQUES DE PUISSANCE A COMMANDE LOGIQUE Applications principales Lignes d'extrusion et presses d'injection pour matières plastiques Canaux chauds Thermoformeuses Machines d'emballage

Plus en détail

Cours 9. Régimes du transistor MOS

Cours 9. Régimes du transistor MOS Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.

Plus en détail

SOMMAIRE. B5.1 Première approche

SOMMAIRE. B5.1 Première approche APPROCHE THEORIQE LES COMPOSANTS ELECTRONIQES B5 LES IOES SOMMAIRE B5.1 Première approche B5.2 e la jonction PN à la diode B5.3 Caractéristique d'une diode B5.4 Mécanisme de conduction d'une diode B5.5

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail

Guide de l Utilisateur

Guide de l Utilisateur Laboratoire Multimédia pour Explorer le Monde de l Electricité et de l Electronique Version 4 Guide de l Utilisateur DesignSoft Laboratoire Multimédia pour Explorer le Monde de l Electricité et de l Electronique

Plus en détail

Bruit électrique basse fréquence comme outil de diagnostic non destructif pour des technologies MOS submicroniques et nanométriques

Bruit électrique basse fréquence comme outil de diagnostic non destructif pour des technologies MOS submicroniques et nanométriques Université de Caen Basse-Normandie Mémoire présenté et soutenu le : 10/12/2013 par Bogdan - Mihail CRETU pour obtenir l Habilitation à Diriger des Recherches Bruit électrique basse fréquence comme outil

Plus en détail

www.elektor.fr/debut Auteur : Rémy MALLARD

www.elektor.fr/debut Auteur : Rémy MALLARD www.elektor.fr/debut L'électronique pour les débutants qui sèchent les cours mais soudent sans se brûler les doigts Auteur : Rémy MALLARD Éditeur : Elektor ISBN : 978-2-86661-180-4 Format : 17 23,5 cm

Plus en détail

La plate-forme Caractérisation CIM PACA

La plate-forme Caractérisation CIM PACA La plate-forme Caractérisation CIM PACA Un partenaire de choix pour la caractérisation chimique de vos matériaux Partenaires: Qui sommes-nous? La plate-forme Caractérisation CIM PACA est une association

Plus en détail

Physique, chapitre 8 : La tension alternative

Physique, chapitre 8 : La tension alternative Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.

Plus en détail

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne) Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de

Plus en détail

BCI - TPSP - Processeurs et Architectures Numériques

BCI - TPSP - Processeurs et Architectures Numériques BCI - TPSP - Processeurs et Architectures Numériques Jean-Luc Danger Guillaume Duc Tarik Graba Philippe Matherat Yves Mathieu Lirida Naviner Alexis Polti Jean Provost c 2002-2011 groupe SEN, Télécom ParisTech

Plus en détail

La polarisation des transistors

La polarisation des transistors La polarisation des transistors Droite de charge en continu, en courant continu, statique ou en régime statique (voir : le transistor) On peut tracer la droite de charge sur les caractéristiques de collecteur

Plus en détail

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF

Plus en détail

RELAIS STATIQUE. Tension commutée

RELAIS STATIQUE. Tension commutée RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur

Plus en détail

Références pour la commande

Références pour la commande avec fonction de détection de défaillance G3PC Détecte les dysfonctionnements des relais statiques utilisés pour la régulation de température des éléments chauffants et émet simultanément des signaux d'alarme.

Plus en détail

2.1 Le point mémoire statique Le point mémoire statique est fondé sur le bistable, dessiné de manière différente en Figure 1.

2.1 Le point mémoire statique Le point mémoire statique est fondé sur le bistable, dessiné de manière différente en Figure 1. Mémoires RAM 1. LOGIUE STATIUE ET LOGIUE DYNAMIUE Le point mémoire est l élément de base, capable de mémoriser un bit. Il y a deux approches possibles. L approche statique est fondée sur la l'utilisation

Plus en détail

Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle

Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme

Plus en détail

Silicalloy Concept. Comment une solution chrome-free élaborée en laboratoire conduit à renforcer l activité économique en région wallonne. S.

Silicalloy Concept. Comment une solution chrome-free élaborée en laboratoire conduit à renforcer l activité économique en région wallonne. S. Silicalloy Concept Comment une solution chrome-free élaborée en laboratoire conduit à renforcer l activité économique en région wallonne S. Le Craz Avec le soutien financier de la Région wallonne 1 Projet

Plus en détail

PRESENTATION PRODUITS

PRESENTATION PRODUITS CONNAISSANCES FORMATION SÉCURITÉ PRESENTATION PRODUITS ÉVALUATION DES CONDITIONS COLLABORATION COMITÉS ANALYSE TECHNOLOGIE NORMALISATION La connaissance, instantanément Des solutions modernes, basées sur

Plus en détail

LES CAPTEURS TOUT OU RIEN

LES CAPTEURS TOUT OU RIEN LES CAPTEURS TOUT OU RIEN SOMMAIRE Généralités...3 Caractéristiques générales...4 Les capteurs mécaniques : principe...5 Les capteurs mécaniques : avantages et utilisation...6 Les capteurs mécaniques :

Plus en détail

Microélectronique Les technologies 3D au CEA-Leti mai 2011

Microélectronique Les technologies 3D au CEA-Leti mai 2011 DOSSIER DE PRESSE Microélectronique Les technologies 3D au CEA-Leti mai 2011 CONTACTS PRESSE : CEA / Service Information-Media Stéphane LAVEISSIERE Tél. : 01 64 50 27 53 - stephane.laveissiere@cea.fr Vincent

Plus en détail

Ecole d été des spectroscopies d électrons.

Ecole d été des spectroscopies d électrons. Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation

Plus en détail

TECHNOLOGIE D'AFFICHAGE SUR ÉCRAN TACTILE GUIDE DÉTAILLÉ

TECHNOLOGIE D'AFFICHAGE SUR ÉCRAN TACTILE GUIDE DÉTAILLÉ TECHNOLOGIE D'AFFICHAGE SUR ÉCRAN TACTILE GUIDE DÉTAILLÉ QU'EST-CE QU'UN ÉCRAN TACTILE CAPACITIF? Motif de linéarité des électrodes Un panneau d'écran tactile capacitif est recouvert d'un matériau qui

Plus en détail

Les moyens des plateformes du réseau RENATECH H. GRANIER Colloque INSU R&D pour l astronomie et l astrophysique 10 mai 2011 Grenoble

Les moyens des plateformes du réseau RENATECH H. GRANIER Colloque INSU R&D pour l astronomie et l astrophysique 10 mai 2011 Grenoble Les moyens des plateformes du réseau RENATECH H. GRANIER Colloque INSU R&D pour l astronomie et l astrophysique 10 mai 2011 Grenoble IEF-MINERVE Plan de l exposé Bref rappel des principes technologiques

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

Défi 1 Qu est-ce que l électricité statique?

Défi 1 Qu est-ce que l électricité statique? Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir

Plus en détail

B. Les ions : Quand un atome perd un de ses électrons il est appelé ion.

B. Les ions : Quand un atome perd un de ses électrons il est appelé ion. I. LES BASES DE L'ÉLECTRICITÉ 1. Les atomes A. Les parties de l'atome. Proton(s) + Neutron(s) = Masse Atomique. Nombre d'électrons = Nombre de Protons. Le Proton est positif. Le Neutron est neutre. L électron

Plus en détail

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue

Plus en détail

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact Barrières W - Détecteurs réflex, élimination de premier plan EPP Détecteurs réflex, élimination d arrière-plan EAP W - : haute performance et savoir-faire compact Détecteurs réflex énergétiques fibres

Plus en détail

Règles de protection des produits sensibles au DES

Règles de protection des produits sensibles au DES Ministère de l Enseignement Supérieur et de la recherche scientifique Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Nabeul Département de Génie Electrique SUPPORT DU COURS Option : Fabrication Maintenance

Plus en détail

1. PRESENTATION DU PROJET

1. PRESENTATION DU PROJET Bac STI2D Formation des enseignants Jean-François LIEBAUT Denis PENARD SIN 63 : Prototypage d un traitement de l information analogique et numérique (PSoC) 1. PRESENTATION DU PROJET Les systèmes d éclairage

Plus en détail

Chapitre 3 CONDUCTEURS ET ISOLANTS

Chapitre 3 CONDUCTEURS ET ISOLANTS Chapitre 3 CONDUCTEURS ET ISOLANTS Circuit à réaliser Réalisez les circuits ci-dessous, constitué d une lampe (ou une D.E.L. qui est plus sensible que la lampe), une pile et des objets conducteurs ou isolants.

Plus en détail

Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.

Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction

Plus en détail

Structure et Technologie des Ordinateurs A. Oumnad

Structure et Technologie des Ordinateurs A. Oumnad Structure et Technologie des Ordinateurs par A. OUMNAD Structure et Technologie des Ordinateurs A. Oumnad Structure et Technologie des Ordinateurs par A. OUMNAD 2 Plan du cours I Introduction...4 I. Architecture

Plus en détail

Master 1 EEA. Capteurs numériques CCD & CMOS

Master 1 EEA. Capteurs numériques CCD & CMOS Master 1 EEA Capteurs numériques CCD & CMOS 1 PLAN DU COURS 1 - Historique, domaine d application et généralités 2 Structure d un capteur CCD 3 Principe de fonctionnement 4 Les capteurs couleurs 5 Aberrations

Plus en détail

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant

Plus en détail

Chapitre 4 : Les mémoires

Chapitre 4 : Les mémoires 1. Introduction: Chapitre 4 : Les mémoires Nous savons que dans un ordinateur toutes les informations : valeur numérique, instruction, adresse, symbole (chiffre, lettre,... etc.) sont manipulées sous une

Plus en détail

Circuit comportant plusieurs boucles

Circuit comportant plusieurs boucles Sommaire de la séquence 3 Séance 1 Qu est-ce qu un circuit comportant des dérivations? A Les acquis du primaire B Activités expérimentales C Exercices d application Séance 2 Court-circuit dans un circuit

Plus en détail

Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing

Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire

Plus en détail

rôle de contenant. Aujourd hui, ils servers, check for the existence of logical devices and logical nodes (as

rôle de contenant. Aujourd hui, ils servers, check for the existence of logical devices and logical nodes (as plugging a laptop into a substation communication network, IEDs can be explored, SA configurations based on the SCD Semi-conducteurs file can be inspected and SA de puissance network traffic can be thoroughly

Plus en détail

EP 2 533 063 A1 (19) (11) EP 2 533 063 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 12.12.2012 Bulletin 2012/50

EP 2 533 063 A1 (19) (11) EP 2 533 063 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 12.12.2012 Bulletin 2012/50 (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 33 063 A1 (43) Date de publication: 12.12.12 Bulletin 12/0 (1) Int Cl.: G01R 31/318 (06.01) (21) Numéro de dépôt: 1216093.1 (22) Date de dépôt: 23.04.12 (84)

Plus en détail

multifonctionnels People Power Partnership HARTING Mitronics Albert Birkicht Packages 3D-MID Décembre 2010 Page 1 1 Pushing Performance

multifonctionnels People Power Partnership HARTING Mitronics Albert Birkicht Packages 3D-MID Décembre 2010 Page 1 1 Pushing Performance Page 1 1 Contenu Profile du groupe Substrats 3D & en technologie MID Portfolio Technologies Solutions d assemblage et de connectivité MEMS Packaging & autres applications Page 2 2 Profile du groupe Page

Plus en détail

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1 1 Introduction Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semiconducteurs permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d énergie entre une source

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

LES MONTAGES D AMPLIFICATION: ANALYSE ET SYNTHESE

LES MONTAGES D AMPLIFICATION: ANALYSE ET SYNTHESE 1 Guillaume LAMY Fabrice DECROP 1G1 TD1 LES MONTAGES D AMPLIFICATION: ANALYSE ET SYNTHESE A ENSEA 1 ère A Electronique Analogique 2 Introduction A ce point d avancement sur les cours d électronique analogique

Plus en détail

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight

Plus en détail

Enregistrement automatique. des données

Enregistrement automatique. des données Enregistrement automatique des données Chapitre: 6 Page No.: 1 Il n y a que quelques années que l enregistrement manuel de données géotechniques était de coutume. L introduction de l enregistrement automatique

Plus en détail

III Capteurs et actuateurs

III Capteurs et actuateurs III Capteurs et actuateurs Tous les systèmes électroniques ont en commun qu ils fonctionnent selon le principe ETS (Entrée, Traitement, Sortie) du traitement de l information. ENTRÉE TRAITEMENT SORTIE

Plus en détail

LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité.

LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité. LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L électricité. L électricité cycle 3 - doc Ecole des Mines de Nantes 1 LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L'électricité. PROGRESSION GENERALE Séance n 1

Plus en détail

ELP 304 : Électronique Numérique. Cours 1 Introduction

ELP 304 : Électronique Numérique. Cours 1 Introduction ELP 304 : Électronique Numérique Cours 1 Introduction Catherine Douillard Dépt Électronique Les systèmes numériques : généralités (I) En électronique numérique, le codage des informations utilise deux

Plus en détail

Thèse de doctorat Spécialité : génie électrique. Ghania FARHI

Thèse de doctorat Spécialité : génie électrique. Ghania FARHI UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE Faculté de génie Département de génie électrique et génie informatique FABRICATION, SIMULATION ET CARACTÉRISATION DES PROPRIÉTÉS DE TRANSPORT DE COMPOSANTS À EFFET DE CHAMP LATÉRAL

Plus en détail

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Frédéric Pétrot et Sébastien Viardot Année universitaire 2011-2012 Structure du cours C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 C9 C10 C11 C12 Codage des

Plus en détail

MEMOIRES MAGNETIQUES A DISQUES RIGIDES

MEMOIRES MAGNETIQUES A DISQUES RIGIDES MEMOIRES MAGNETIQUES A DISQUES RIGIDES PARTIE ELECTRONIQUE Le schéma complet de FP5 est donnée en annexe. Les questions porterons sur la fonction FP5 dont le schéma fonctionnel de degré 2 est présenté

Plus en détail

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par

Plus en détail

Technique de sécurité

Technique de sécurité Technique de sécurité SAFEMASTER PRO Système de sécurité configurable Module d'entrée /-sortie UG 696.0 0668 Les avantages du SAFEMASTER PRO Pour applications sécuritaires jusqu à PLe, Catégorie, et SIL

Plus en détail

Grilles acoustiques. Type NL 6/6/F/2

Grilles acoustiques. Type NL 6/6/F/2 Grilles acoustiques Type NL //F/ Sommaire Description Description Exécutions Dimensions et poids Constructions modulaires Options Installation 5 Données techniques, type NL Données techniques type, NL

Plus en détail

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

L'intelligence en mouvement. Caméras AUTODOME 7000 avec fonction de suivi intelligent

L'intelligence en mouvement. Caméras AUTODOME 7000 avec fonction de suivi intelligent L'intelligence en mouvement Caméras AUTODOME 7000 avec fonction de suivi intelligent 2 Bosch AUTODOME 7000 Les caméras IP et HD AUTODOME 7000 combinent une intelligence avancée, une flexibilité de diffusion

Plus en détail

Sommaire. Problématique :

Sommaire. Problématique : Adel Tihianine Marie Deruytere Jérémy Tachel Problématique : Sommaire Plan : I) Introduction II) Premiers supports d écriture III) Mécanisation et numérisation IV) Les écrans tactiles V) Expérience VI)

Plus en détail

Système 260. Système 260 Contrôle de processus. Caractéristiques clés. Logiciels Typiques

Système 260. Système 260 Contrôle de processus. Caractéristiques clés. Logiciels Typiques Système 260 Contrôle de processus La technologie novatrice de ce produit vous offrirait non seulement une analyse immédiate de systèmes mais aussi elle met en valeur leurs capacités. Étant à l avant-garde

Plus en détail

ELECTRONIQUE ANALOGIQUE

ELECTRONIQUE ANALOGIQUE LCTRONIQU ANALOGIQU CALCUL T XPRIMNTATION D UN AMPLIFICATUR A TRANSISTOR BIPOLAIR Joël RDOUTY Mise à jour décembre 2010 AMPLIFICATUR BASS FRQUNC A TRANSISTOR BIPOLAIR L'objectif de ce T est de montrer

Plus en détail

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt

Plus en détail

Module 3 : L électricité

Module 3 : L électricité Sciences 9 e année Nom : Classe : Module 3 : L électricité Partie 1 : Électricité statique et courant électrique (chapitre 7 et début du chapitre 8) 1. L électrostatique a. Les charges et les décharges

Plus en détail

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL Commune de Val-de-Ruz Conseil communal RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL à l appui d une demande d un crédit de 100'000 pour la rénovation de la salle d économie familiale (C12) du collège

Plus en détail

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement

Plus en détail