avril 2011 conjoncture internationale Succession de chocs conjoncture française Se comparer pour s améliorer Remontée de l emploi intérimaire

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1 avril 2011 N 314 la vie économique et sociale des infrastructures dévastées, Kesennuma, 25 mars 2011 conjoncture Succession de chocs conjoncture française Se comparer pour s améliorer emploi Remontée de l emploi intérimaire situation sociale La compétitivité, condition du progrès social

2 conjoncture 2 actualité N 314 avril 2011 Succession de chocs conjoncture Ces derniers mois, l économie mondiale a été plus dynamique que prévu. Elle a donc été confrontée à une flambée des cours des matières premières. Elle est aujourd hui affectée par deux nouveaux chocs, les troubles politiques dans les pays arabes et le séisme au Japon. La croissance des pays importateurs de matières premières est menacée par le transfert de pouvoir d achat au bénéfice des nations productrices, les cours du pétrole ayant pris le relais de ceux des autres matières. En outre, les autorités chinoises, toujours soucieuses des risques de tensions sociales, semblent désormais plus craindre les débordements inflationnistes liés à la surchauffe qu une croissance insuffisante. Ces tendances modératrices seront renforcées par l impact dépressif de la baisse de l activité au Japon. L industrie nippone se situe en effet au cœur des échanges interindustriels mondiaux dans les secteurs électronique, aéronautique et automobile. Le calendrier du retour à la pleine utilisation des capacités de production japonaises demeure incertain, notamment pour les ressources en électricité. Cela pourrait avoir un impact à la baisse sur les prix des métaux, mais à la hausse sur ceux du pétrole et du gaz. En outre, le nombre de nations arabes touchées par des mouvements de contestation, notamment dans la péninsule arabique, ne présage pas d une atténuation rapide des tensions sur les cours pétroliers. Dans l attente du soutien qu exercera la reconstruction au Japon, la conjoncture mondiale restera affectée d influences contradictoires.

3 actualité N 314 avril conjoncture la synthèse Ces derniers mois, l économie mondiale a été chahutée par les tensions politiques dans le monde arabe, qui favorisé une remontée brutale des cours du pétrole. Ceux-ci ont en effet dépassé le seuil des 115 dollars début mars alors qu ils se situaient autour de 80 dollars jusqu à l été dernier. Depuis lors, les cours plafonnent, en ligne avec le ralentissement de l expansion dans les pays émergents, en premier lieu la Chine. Le resserrement de la politique monétaire chinoise semble produire ses effets, en particulier dans le secteur immobilier où le glissement annuel des prix est revenu à 6,4 % fin 2010 en regard de près de 13 % au printemps. En Inde, l envolée de 22 % de la production industrielle entre le début 2009 et la mi-2010 a laissé place à une stabilisation, alors qu au Brésil l activité manufacturière connaît également un coup d arrêt. Au Japon, le tremblement de terre, d une violence exceptionnelle, affecte de nombreux secteurs, notamment l automobile et l électronique. Les statistiques de production industrielle pour le mois de mars seront donc très défavorables, d autant que les risques d une nouvelle appréciation de la devise ravivent les inquiétudes sur la compétitivité des entreprises japonaises. Au total, le PIB pourrait diminuer au cours du premier semestre, puis rebondir en raison des efforts de reconstruction. Aux États-Unis, le secteur résidentiel demeure en difficulté, comme en témoignent les mauvais résultats du mois de février. En revanche, les exportations, qui bénéficient de la baisse du dollar, continuent de s envoler, rejoignant leur record de la mi Dans ce contexte, la confiance des chefs d entreprise ressort à très haut niveau, dans l industrie comme dans le secteur tertiaire. En Europe, la solidarité entre les États se renforce à l heure où la situation financière de certains comme l Irlande et le Portugal inquiète. Les taux d intérêt à long terme dans ces deux économies sont nettement repartis à la hausse, atteignant respectivement 10 et 8,5 % alors qu ils dépassent 12,5 % en Grèce. Par ailleurs, l accélération de l inflation laisse anticiper une remontée imminente du taux d intérêt directeur de la zone euro, la Banque centrale craignant des effets de second tour, en particulier en Allemagne. Au Royaume-Uni, la contraction du PIB au dernier trimestre 2010 et les pressions inflationnistes s intensifient. Dans le cadre du plan d austérité annoncé il y a quelques mois, le gouvernement vient de présenter son budget 2011, prévoyant un déficit sous la barre des 8 % du PIB en regard d un plus haut de 11,4 % en 2009.

4 conjoncture 4 actualité N 314 avril États-unis : CONFIANCE Stabilisation du taux d épargne % du revenu disponible La croissance au quatrième trimestre 2010 est finalement estimée à 3,1 % l an. De ce fait, la progression du PIB en moyenne annuelle ressort à 2,9 %, succédant à la chute de 2,6 % en Pour les années 2011 et 2012, le consensus des économistes américains prévoit respectivement 3,1 et 3,3 %. Cet optimisme qui est conforté par la bonne tenue des indices des directeurs d achat. L indice du secteur manufacturier demeure supérieur à 60, suggérant une croissance sensible de l activité au cours des prochains mois. L indice des services a légèrement reculé en mars, mais son niveau de 57,3 témoigne d une diffusion de la reprise aux activités tertiaires Taux d'épargne des ménages Source : Bureau of Economic Analysis La croissance américaine dispose de nombreux soutiens. La consommation des ménages progresse à un rythme de l ordre de 3 % l an, grâce à la seule augmentation des revenus réels. Par-delà de fortes oscillations, le taux d épargne est en effet stabilisé depuis dix-huit mois autour de 5,5 % du revenu disponible. Au cours des prochains mois, les ressources des Américains seront soutenues par la montée en puissance des créations d emploi, tandis que les gains de pouvoir d achat seront affectés par l accélération de l inflation liée à la hausse des cours des matières premières. Le risque déflationniste n est plus à l ordre du jour variation sur un an en % Indice général Inflation sous-jacente Source : Bureau of Labor Statistics Les exportations devraient rester bien orientées compte tenu de la vigueur de la demande des pays émergents et de l avantage compétitif important vis-à-vis du Japon et des pays de la zone euro. Ce dynamisme se transmet aux investissements des entreprises, lesquels sont tirés en même temps par la nette remontée du taux d utilisation des capacités de production et la diffusion de nouvelles technologies. Seules les dépenses publiques pèseront négativement sur la croissance au cours des prochains trimestres. Cette orientation est indispensable au rétablissement des finances publiques, qui ne pourra en effet être assuré par la seule accélération de la progression des recettes liée à la reprise conjoncturelle. Le déficit de l ensemble des administrations a atteint 10,4 % du PIB au quatrième trimestre 2010, dépassant la barre des 10 % pour le huitième trimestre consécutif. Le rétablissement des finances publiques est clairement le principal enjeu de la politique économique américaine, depuis que les craintes déflationnistes, longtemps exagérées, ont disparu. Le renchérissement des matières premières a porté le glissement annuel des prix à la consommation à 2,1 % en février, tandis que l inflation sous-jacente se ranime quelque peu.

5 actualité N 314 avril conjoncture 2. zone euro : montée de la devise Poursuite de la reprise de l activité début 2007 = 100 Production manufacturière Source : Eurostat L activité industrielle européenne a progressé à un rythme régulier, mais modeste pour une phase de reprise. Cela s explique par la dispersion des résultats nationaux : reprise vigoureuse en Allemagne et dans les pays d Europe du Nord face à des résultats médiocres en Europe du Sud. Les enquêtes, notamment celles auprès des directeurs d achat, suggèrent une poursuite de la reprise industrielle, ainsi que sa diffusion progressive aux activités de services. La consolidation des cours du pétrole à un niveau élevé constitue à l évidence une menace pour la reprise, même si la remontée de l euro au-dessus de 1,40 $ en atténue quelque peu les effets. Mais le passage de la devise européenne, qui l éloigne de sa parité d équilibre envers le dollar (1,15-1,20), handicape les exportateurs au moment où la croissance mondiale risque de connaître une phase de ralentissement. Enfin, le retour du risque sur les dettes souveraines d Europe du Sud constitue un danger permanent pour la cohésion de la zone, malgré les progrès réguliers de la gouvernance en ce domaine. 3. allemagne : CONTRACTION DU CHÔMAGE PARTIEL Nette reprise de l emploi 41,0 40,5 40,0 39,5 39,0 millions Emploi salarié Après avoir enregistré des résultats moins bons qu attendu au quatrième trimestre 2010, principalement du fait d aléas climatiques, l activité de l économie allemande a réaccéléré en ce début d année. En janvier, la production manufacturière du pays est ressortie en hausse de 0,2 %, après le rebond de 1 % observé en décembre. Les commandes de biens manufacturés provenant du marché intérieur et de l étranger se sont redressées en janvier (respectivement + 4,5 % et + 1,6 %), ce qui devrait soutenir la production et les exportations. Ces dernières sont par ailleurs stabilisées aux alentours de 83 milliards d euros par mois depuis septembre 2010, niveau proche de leur pic du premier semestre L indice Ifo, en baisse de 0,2 point en mars à 111,1, du fait du recul de la composante des perspectives à six mois (- 1,4 point à 106,5), reste à un niveau record, ce qui indique que l activité devrait continuer de croître à un rythme soutenu dans les prochains mois. 38, Source : Bundesagentur für Arbeit L optimisme des chefs d entreprise par rapport à leurs perspectives de croissance entraîne l accroissement de leurs besoins en main-d œuvre. Comme l indique l augmentation du nombre de postes vacants à en février, niveau supérieur au pic du printemps 2007, les entreprises rencontrent de plus en plus de difficultés pour embaucher et sont donc plus attentives aux revendications salariales. Le chômage partiel continue de se contracter, s établissant à en décembre contre au printemps 2009, et l emploi poursuit son redressement. Celui-ci atteint un nouveau point haut historique en février, à 40,6 millions de salariés. Le même mois, le taux de chômage diminue de nouveau selon Eurostat, à 6,5 %.

6 conjoncture 6 actualité N 314 avril Royaume-UNI : POUSSÉE INFLATIONNISTE Les dépenses des ménages stagnent depuis le printemps début 2005 = 100 Consommation de biens et services Source : Office for National Statistics Le PIB britannique, qui avait affiché de bonnes performances au printemps (+ 1,1 %) et à l été (+ 0,7 %), a reculé de 0,5 % au quatrième trimestre de l an dernier, notamment en raison des mauvaises conditions climatiques du mois de décembre. L activité demeure donc inférieure de 4,6 % à son niveau d avant-crise. La consommation, légèrement orientée à la baisse depuis le printemps 2010, devrait rester à la peine ces prochains mois du fait de la remontée de la TVA intervenue en début d année et de l accélération de l inflation. En effet, le glissement annuel des prix de détail est ressorti à 4,4 % en février, en liaison avec la hausse de 7,9 % des tarifs des transports (dont 15,9 % pour les seuls carburants) et de 6,2 % de ceux de l alimentation. L emploi se redresse timidement après avoir chuté de près de et la progression sur douze mois des salaires s inscrit autour de 2 %, rythme très inférieur à celui affiché jusqu au printemps 2008 (plus de 4 %). La crise immobilière a été d une sévérité exceptionnelle, à l image des nouveaux crédits, qui atteignent aujourd hui par mois contre une moyenne d environ avant le retournement du marché. De leur côté, les prix des logements repartent à la baisse depuis quelques mois, de sorte qu ils demeurent 18,5 % en deçà de leur sommet d il y a trois ans et demi. 5. chine : premiers signes de ralentissement Les mesures de durcissement commencent à porter leurs fruits milliards de yuans Les indicateurs publiés depuis le début 2011 témoignent d un ralentissement de l activité après les bonnes performances du second semestre de l an passé. Ainsi, la production d automobiles et de ciment se modère, tandis que celle pour l acier se maintient en expansion. L envolée des exportations de marchandises est interrompue et, dans le même temps, les importations d énergie se raffermissent, de sorte que l excédent commercial est revenu à l équilibre. Hors énergie, celui-ci s inscrit désormais à 160 milliards de dollars en rythme annuel, en regard de plus de 400 milliards à l été et à l automne derniers. Les ventes à destination du Japon, qui représentent un peu moins de 8 % du total, seront affectées ces prochains mois par les conséquences du tremblement de terre Nouveaux crédits bancaires Source : People s Bank of China Les tensions inflationnistes demeurent prégnantes. Le glissement annuel des prix à la production s est renforcé à 7,2 % en février, rythme qui n avait plus été observé depuis septembre Celui des prix à la consommation atteint 4,9 % (comme en janvier). Parallèlement, la progression des rémunérations s accélère, mouvement qui devrait se poursuivre compte tenu de l annonce par plusieurs provinces du pays d une hausse du salaire minimum. En conséquence, les autorités ont relevé pour la troisième fois cette année le ratio des réserves obligatoires des établissements bancaires, de sorte que les nouveaux crédits accordés ressortent à moins de 500 milliards de yuans par mois en regard de plus de milliards en octobre-novembre derniers.

7 actualité N 314 avril conjoncture française Se comparer pour s améliorer conjoncture française Le rapport de la Cour des comptes «Les prélèvements fiscaux et sociaux en Allemagne», publié début mars, fournit un éclairage précieux pour les acteurs de la politique économique. La Cour insiste, dans le droit fil de ses précédentes interventions, sur le fait que notre déficit structurel des finances publiques est supérieur de plus de trois points de PIB à celui de l Allemagne. Mais elle fait aussi apparaître «des facteurs de divergence économique préoccupants pour la France». La politique fiscale a été en effet l un des vecteurs de la priorité donnée depuis une décennie par l Allemagne à l amélioration de sa compétitivité. Les travaux de comparaison menés par la Cour permettent d ouvrir le débat sur plusieurs sujets : les marges de manœuvre sur le périmètre et le taux de la TVA à taux réduit ; leur utilisation possible pour une réduction accrue des déficits ou un allègement de la taxation du travail ; et pour cette dernière, l option du passage d un financement professionnel à un financement universel des politiques publiques relatives à la famille, au transport et au logement. Comme le souligne le rapport, il ne saurait être question d importer un «hypothétique modèle allemand». En revanche, prendre une voie différente de celle de l Allemagne n est pas anodin, puisque la France est le pays le plus sensible aux évolutions de la compétitivité allemande.

8 emploi 18 actualité N 314 avril 2011 Remontée de l emploi intérimaire emploi L emploi salarié dans le secteur marchand s est redressé de 0,2 % pendant les trois derniers mois de 2010, confirmant le rebond amorcé en début d année. L augmentation de l emploi intérimaire assure de nouveau l essentiel du mouvement. La baisse des effectifs industriels s est sensiblement ralentie, revenant à 0,1 % contre 0,5 % pendant l été. Après réaffectation de l emploi intérimaire, les effectifs industriels totaux ont progressé de 0,5 % au quatrième trimestre. La remontée des offres d emploi en janvier-février après un passage à vide pendant les derniers mois de 2010 est cohérente avec l amélioration conjoncturelle attestée par les enquêtes auprès des chefs d entreprise. Mais la hausse de l emploi pendant les prochains trimestres restera contrainte par la modestie de la reprise (de l ordre de 2 % l an) et la restauration de la productivité après sa chute lors de la crise. Dans ces conditions, la progression du nombre de demandeurs d emploi est seulement interrompue. Le chômage des moins de 25 ans s effrite lentement, tout en demeurant supérieur de 30 % à son point bas de fin En revanche, le chômage de longue durée peine à se stabiliser et représente désormais près de 40 % des demandeurs d emploi.

9 actualité N 314 avril N 314 avril situation sociale La compétitivité, condition du progrès social situation sociale Le gouvernement a annoncé sa décision de mettre en œuvre des mesures sur le partage des profits d ici à cet été. Il relance donc un débat ouvert à plusieurs reprises par le chef de l État insistant pour que les partenaires sociaux négocient sur la répartition de la valeur ajoutée. Les pouvoirs publics sont assurément légitimes ainsi que les partenaires sociaux pour créer les conditions les plus favorables au dialogue social. Le partage de la valeur ajoutée relève de la gouvernance des entreprises. Ce dossier ne saurait d ailleurs se réduire au seul aspect du partage entre salaires et profits car c est l ensemble de l affectation des résultats des entreprises qui doit être pris en compte : recherche et développement, investissement matériel et humain : formation, politique de l emploi, ressources humaines... D un point de vue politique, à l approche des futures campagnes électorales de 2012, les dirigeants politiques sont désireux de répondre aux impatiences des salariés sur le pouvoir d achat et à leurs inquiétudes suscitées par la hausse des prix des produits alimentaires, de l essence et de plusieurs tarifs publics (SNCF, gaz, électricité...). Ces préoccupations ne doivent cependant pas conduire à oublier les réalités économiques, alors que l accent vient d être mis sur le déficit de compétitivité des entreprises en raison du coût du travail plus élevé en France que dans la plupart des pays voisins, notamment l Allemagne. S agissant du partage de la valeur ajoutée, le rapport Cotis (mai 2009) avait souligné l hétérogénéité des situations financières des entreprises, indiquant, par exemple, que «seule une PME sur six distribue des dividendes» et que dans les grandes entreprises ce pourcentage «reste inférieur à 50 %». Par ailleurs, les dernières données de l INSEE soulignent la faiblesse des taux de marge dans l industrie manufacturière, en net recul par rapport à la période précédant la crise.

10 situation sociale 28 actualité N 314 avril 2011 Pour la participation et l intéressement qui, en 2009, ont représenté 14,4 milliards d euros pour quelque 10 millions de salariés, des décisions contradictoires ont été prises ces dernières années. Ainsi les mesures d incitation fiscale prévues en 2008 pour développer l intéressement ont subi un sérieux coup de frein dans le budget 2011 avant d avoir produit leurs effets. Elles sont désormais recentrées sur les seules entreprises de moins de 50 salariés. Le forfait social prélevé sur la participation a, quant à lui, été relevé de 4 % à 6 %. Les possibilités de déblocage immédiat de celle-ci ont, de leur côté, modifié la nature d un mécanisme précisément conçu comme une forme d épargne longue. Autant des actions de simplification et d incitation de développement de tous les dispositifs actuels (PEE, PERCO, participation et intéressement, avec éventuellement fusion de ces deux derniers mécanismes) sont souhaitables, autant l instauration de nouvelles obligations serait économiquement inopportune et même contreproductive : les entreprises ont besoin, plus que jamais, de règles du jeu stables et cohérentes évitant des injonctions contradictoires au gré des circonstances ainsi que des empiètements dans le domaine des responsabilités relevant du management des entreprises.

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