Pour le Pr. J. Janssens, Président, Le secrétaire,
|
|
- Marie-Noëlle Marcil
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SPF SANTE PUBLIQUE, Bruxelles, le 11/05/2006 SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT Direction générale de l Organisation des Etablissements de Soins CONSEIL NATIONAL DES ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS Section «Programmation et Agrément» Réf. : CNEH/D/262-1 (*) AVIS RELATIF AU PROJET D ARRÊTÉ ROYAL PORTANT REGLEMENT GÉNÉRAL DE LA PROTECTION DE LA POPULATION DES TRAVAILLEURS ET DE L ENVIRONNEMENT CONTRE LE DANGER DES RAYONNEMENTS IONISANTS Pour le Pr. J. Janssens, Président, Le secrétaire, C. Decoster (*) Cet avis a été ratifié par le Bureau spécial le 11 mai 2006
2 Ce projet d AR est destiné à remplacer l arrêté royal du 20 juillet 2001, qui concerne la même problématique, mais qui fait l objet d un recours en annulation devant le Conseil d Etat. Parmi les moyens évoqués figure la non consultation de certains organes consultatifs comme le CNEH. De manière à prévenir les inconvénients d une éventuelle annulation de l AR du 20 juillet 2001 par le Conseil d Etat et compte tenu de la nécessité d une révision de certains chapitres, l agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) a rédigé un nouveau projet d AR qui est soumis à l avis du CNEH.. Pourquoi ce nouveau projet? L AR du 20 juillet 2001 visait deux objectifs principaux: d une part, l exécution de la loi du 15 avril 1994 en vue de rendre opérationnelle l agence fédérale de contrôle nucléaire, d autre part la transposition de toutes les directives européennes encore à transposer, totalement ou partiellement, en particulier la directive de 1993 relative aux normes de base de radioprotection et celle de 1997 sur les expositions médicales aux rayonnements ionisants. Indépendamment des notions juridiques développées en introduction, il faut rappeler que des recours en annulation ont été introduits auprès du Conseil d Etat par les unions professionnelles de radiothérapie et de médecine nucléaire. En ce qui concerne ces recours contre l AR du 20 juillet 2001, il est bon de savoir que la plupart des dispositions incriminées avaient déjà été promulguées depuis plusieurs années dans des versions antérieures de cet AR: en 1993, pour les exigences de formation en radioprotection et disciplines liées, et en 1997 pour les dispositions relatives aux experts en radiophysique médicale. La création de l agence fédérale (AFCN) a abouti à un rassemblement de tous ces critères ainsi qu à la définition de nouvelles prérogatives de l Agence qui assure la gestion de toutes les composantes de la problématique en matière de radioprotection. Quels sont les changements? Bien que la base du nouveau texte reprenne toutes les notions précédentes (AR de 1963, 1993, 1997 et 2001), certaines modifications ont paru nécessaires en accord avec le conseil supérieur d hygiène, le jury médical de radioprotection et du conseil supérieur de la protection du travail. Le nouveau texte remplace la notion de travailleur par celle de personne exposée
3 C est tout à fait logique compte tenu de l emploi d indépendants dans les hôpitaux, lesquels doivent évidemment être officiellement concernés par la législation en matière de radioprotection. Quelles sont les remarques? Sans entrer dans le détail, le CNEH tient à formuler un certain nombres de remarques de principe. 1. Domaine d application de l AR Le projet qui est soumis au CNEH pose que les règles de radioprotection ne s appliquent pas aux appareils et installations du domaine militaire, sauf en ce qui concerne la protection des travailleurs extérieurs présents dans ces installations. Ces règles ne s appliqueraient pas non plus au transport d appareils ou de substances capables d émettre des rayonnements ionisants ordonnés par le Ministre qui a la défense dans ses attributions. Cette exception ne peut être acceptée: dans une politique réaliste de radioprotection et dans le souci d une totale transparence, tous les secteurs de la société, quels qu ils soient, doivent être concernés par les mêmes dispositions juridiques. Ainsi, les dispositions concernant les renseignements et documents à fournir sont applicables à tous: compétence du personnel, notions de sûreté, circuits, rejets, etc Compétences de l AFCN D un point de vue général, il ne paraît pas sain que l AFCN joue à la fois le rôle de normateur et de contrôleur, voire de sanctionneur. Il importe de confier le rôle de normateur à un organe autonome, composé de façon paritaire, d une part, d experts en radioprotection n appartenant pas à l agence, et d autre part, de médecins-specialistes utilisateurs de radiations ionisantes à des fins diagnostiques et thérapeutiques. Cet organe, qui peut reprendre le rôle du Jury Médical mentionné à l article 54.9., devrait rendre un avis obligatoirement chaque fois qu une norme doit être définie. En outre, il est nécessaire de prévoir une instance d Appel contre les décisions de l AFNC. 3. Critères de formation en radioprotection D autre part, il n est pas opportun, dans un arrêté-cadre, de définir un nombre d heures d enseignement théorique et pratique en radioprotection, ni une énumération des cours. La raison en est simple: cet enseignement doit pouvoir s adapter à l évolution des connaissances scientifiques en la matière (on peut référer par exemple à la problématique de l exposition à des doses faibles, et au concept de réparation moléculaire; les points de vue adoptés vis-à-vis de ces concepts peuvent changer certaines applications de manière drastique). Cette remarque s applique à la formation en radioprotection des médecins utilisant des radiations ionisantes (radiologues, radiothérapeutes, nucléaristes, mais ainsi dans certains cas les cardiologues, orthopédistes, ) ainsi que les dentistes. De plus, le personnel technique et infirmier effectuant des examens diagnostiques ou des traitements au moyen de radiations ionisantes est aussi concerné. L exigence, pour le personnel technique et infirmier, de 50 heures de cours dont 20% de travaux pratiques avec contrôle des connaissances est excessif. La réglementation actuelle
4 entraîne, pour cette dernière catégorie de personnel, des frais considérables pour les hôpitaux, dûs à l absence de ces auxiliaires pour des raisons de formation de durée excessive, ainsi qu au remplacement de ce personnel pendant sa formation. En outre, aucune exigence précise de compétence n est définie concernant la qualité des enseignants de telle sorte que ces formations sont organisées sans la moindre évaluation extérieure d une réelle qualité. De plus, pour les médecins-spécialistes en radiologie, en radiothérapie ou en médecine nucléaire, l enseignement de la radioprotection fait partie intégrante de leur formation théorique et pratique dans la spécialité. La totalité de cette formation, au plan individuel, fait l objet d un avis de la commission d agrément de la spécialité concernée, lors de la demande d agrément du candidat pour accéder à l exercice autonome de la spécialité. Vu l avis de la commission d agrément, il n y a pas lieu de soumettre en sus une demande d autorisation à l AFCN. Ceci vaut pour toutes les formations qui incluent formellement l enseignement théorique et pratique en radioprotection avec contrôle des connaissances dans leur cursus, qu il s agisse de médecins, personnel infirmier ou technique. Par contre, toute autre personne utilisant des radiations ionisantes à des fins médicales sera tenue de soumettre une demande d autorisation à l AFCN et apportera pour ce faire la preuve d un enseignement complémentaire en radioprotection, adapté à l utilisation projectée, ainsi que la preuve de réussite du contrôle de connaissance en la matière. Ceci concerne entre autres les médecins-specialistes en cardiologie, en orthopédie, en gastro-entérologie, en pneumologie, en biologie clinique,, ainsi que les dentistes, qui souhaitent utiliser des radiations ionisantes de façon plus ou moins fréquente dans le cadre de leur pratique. Il va de soi que la formation en radioprotection de ces praticiens devra être adaptée à l activité professionnelle souhaitée. A ce sujet, il importe de faire remarquer que plus de 10 années d expérience de la réglementation actuelle ont démontré l inadéquation d un grand nombre de ces formations: non seulement le nombre d heures d enseignement est anormalement élevé, mais aussi le contenu et la qualité de certains enseignants laissent à désirer, surtout en ce qui concerne la formation du personnel auxiliaire. Il importe donc de faire le bilan des résultats obtenus suite aux exigences présentes. Il n est nullement démontré que la réglementation en vigueur ait amélioré la situation par rapport à la réglementation précédente, moins stricte. Il est donc essentiel de revoir les critères de formation de façon à obtenir, pour chaque groupe professionnel concerné, une expertise nécessaire et suffisante, en adéquation avec la bonne pratique médicale. Cette révision doit être confiée, soit aux commissions d agrément, soit au Jury Médical cité à l article En aucun cas, l AFNC ne peut se voir confier le rôle de normateur (voir remarque n 2). II convient en outre d analyser la situation du personnel médical et paramédical attaché à des laboratoires de recherche dans lesquels le recours à des techniques impliquant l émission de rayonnements ionisants n est pas rare. La même remarque concerne les opérateurs industriels.
5 4. Mission de l expert en radio-physique (art 51.7.) L expert en radio-physique a une mission d assistance dans l organisation et la surveillance des mesures de radioprotection. Pour le service de radiothérapie, il s agit d un mandat à temps plein tandis que pour les services de radiologie et de médecine nucléaire, il est à la disposition des services pour émettre un avis en fonction de la demande. Un docteur en médecine qui suit la filière prévue peut étre agréé en qualité d expert en radio-physique médicale. Deux remarques sont à formuler: à l article , il est indiqué que l expert en radiophysique médicale pratique les mesures de dosimétrie liée à l appareil. Pour la médecine nucléaire, ceci ne peut être d application pour les caméras à scintillation, étant donné que ces appareils ne produisent pas des radiations ionisantes les exigences de formation (600 heures d enseignement théorique et pratique) (article , b) sont totalement disproportionnées par rapport aux exigences formulées pour la formation d experts qualifiés en contrôle physique de classe II (art 73.2, par 1,9) : 120 heures + une partie pratique. 5. Remarques ponctuelles A l article 30.6., 3 ème alinéa, il y a lieu de préciser le facteur de pondération utilisé pour le calcul de la dose à enregistrer. A l alinéa 5, il y a lieu d ajouter, outre le cristallin et les mains, la glande thyroïde. De même, le texte de l alinéa 11 doit être revu: la notion toute personne ne tient pas compte de la réalité du milieu hospitalier où patients, famille et cliniciens se rendent parfois dans des zones où des radiations ionisantes sont utilisées. Il est évident que les personnes ne doivent pas porter un dosimètre comme les médecins et auxiliaires occupés dans ces zones. Le Conseil National des Etablissements Hospitaliers souhaite une révision du projet d A.R. qui tienne compte de la réalité de l activité médico-hospitalière et des remarques fondamentales exprimées dans cet avis.
Surveillance dosimétrique Note législative
VL/NB Bruxelles, le 17 mars 2014 Surveillance dosimétrique Note législative 1 Un nouveau texte de loi vient de paraître. Il s agit de : Loi du 26 janvier modifiant la loi du 15 avril 1994 relative à la
Plus en détailROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique
ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailDIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailPRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE
PRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction... 4 1. Procédures de déclaration
Plus en détail2. Personnes intervenant pour assurer la radioprotection des patients ou des travailleurs.10
mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction...... 4 1. Procédures de déclaration et d autorisation de détention et d utilisation de générateurs électriques...... 5 1.1. Régime administratif des installations
Plus en détailSurveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"
Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.
Plus en détailJ ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection
Plus en détailsanté le parcours de soins Mémento
santé le parcours de soins Mémento Informations pratiques Qu est-ce que le parcours de soins? Le parcours de soins est un circuit que vous devez respecter pour bénéficier d un suivi médical coordonné,
Plus en détailRÈGLEMENT ADOPTÉ PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION DU F.R.S.-FNRS DU 5 MAI 2015 CONCERNANT LE MANDAT D IMPULSION SCIENTIFIQUE (MIS)
RÈGLEMENT ADOPTÉ PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION DU F.R.S.-FNRS DU 5 MAI 2015 CONCERNANT LE MANDAT D IMPULSION SCIENTIFIQUE (MIS) 1 TABLE DES MATIERES CHAPITRE I : CHAMP D'APPLICATION... 4 Article 1...
Plus en détailL INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN)
CHAPITRE 18 L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) Introduction 367 Les missions de l IRSN 367 Bilan des activités de l IRSN en 2007 369 Appui de nature réglementaire 369 Expertise
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailMonsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR
DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté
Plus en détailNouvelles échelles salariales Incluant le PIB
Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Convention collective Mars 2011 Mars 2015 Note : Ce document regroupe les échelles salariales applicables aux différents titres d emploi représentés à la FIQ.
Plus en détailLe décret du 9 mai 2012 ou la grande réforme des catégories de moyens humains accordées aux organisations syndicales représentatives.
ARTICLE Santé RH, juillet-août 2012 Jean-Yves COPIN Consultant Centre de droit JuriSanté, CNEH Le décret du 9 mai 2012 ou la grande réforme des catégories de moyens humains accordées aux organisations
Plus en détailPROCEDURE ENREGISTREMENT
Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailEquivalences et dispenses de diplômes pour l accès à un concours
LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Mise à jour le : 20/01/2015 Equivalences et dispenses de diplômes pour l accès à un concours Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale du Cher B.P 2001 18026
Plus en détailLes leçons tirées de l accident de Fukushima feront éventuellement l objet d une version révisée dans le futur. H. Métivier SFRP
Revue des livres Radiation Protection and Safety of Radiation Sources: International Basic safety Standards, Interim edition, ISBN 978-92-0-120910-8, IAEA, Vienne 2011, 65. Elles étaient attendues, voici
Plus en détail',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ
',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ UHODWLYHjODSURWHFWLRQVDQLWDLUHGHVSHUVRQQHVFRQWUHOHVGDQJHUVGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWVORUV GH[SRVLWLRQVjGHVILQVPpGLFDOHVUHPSODoDQWODGLUHFWLYH(XUDWRP LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,
Plus en détail2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire
2007-2012 L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire Cinq ans : petit coup d œil dans le rétro Cher lecteur, chère lectrice, 2012 est une année particulière
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailLE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose
LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailLes ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur
Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur 1 LE TEXTE RÉGLEMENTAIRE Protection des travailleurs Décret 2003-296 du 31/03/03 Codifié dans le code du travail Plus arrêtés d applications
Plus en détailLa planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes
La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes ETAT DE LA SITUATION 2007 V1.1 Direction générale Soins de Santé primaires et Gestion de Crise Bruxelles, octobre 2008 1. Les Kinésithérapeutes
Plus en détailLa Commission des Psychologues
La Commission des Psychologues UCL, le 24 octobre 2014 par Edward Van Rossen & Marie-Caroline de Mûelenaere Plan Fonctionnement Raisons d être Différences avec les fédérations professionnelles Le futur
Plus en détailagrément DES professions paramédicales
agrément DES professions paramédicales LES ERGOTHÉRAPEUTES Table des matières Pourquoi agréer les ergothérapeutes?...3 Un ergothérapeute au sens de la loi : de qui s'agit-il?...4 L'agrément est obligatoire...5
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE
ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE PENDANT LA PERIODE 2009-2011 RESUME Le bilan national des inspections des services de médecine nucléaire a été établi sur la
Plus en détailRédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM)
G U I D E D E L ' A S N M E D I C A L en collaboration avec SOCIETE FRANÇAISE DE PHYSIQUE MEDICALE Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM) GUIDE Nº 20 Version du 19/04/2013 Préambule
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailFormation de la Personne Compétente en Radioprotection
Formation de la Personne Compétente en Radioprotection Cécile Etard - INSTN SFRP - Cherbourg - 18/6/2004 1 Rappel «historique» Décret 86-1103 du 2 octobre 1986 Arrêté du 25 novembre 1987 Formation de 7
Plus en détailArrêté royal du 15 décembre 2010 fixant des mesures relatives au bien-être au travail des intérimaires (M.B. 28.12.2010)
Arrêté royal du 15 décembre 2010 fixant des mesures relatives au bien-être au travail des intérimaires (M.B. 28.12.2010) Section 1 re. - Champ d application et définitions Article 1 er.- Le présent arrêté
Plus en détailL assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014
L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,
Plus en détailF REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S. sur le
F REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S sur le PROJET D ARRETE ROYAL MODIFIANT L ARRETE ROYAL DU 21 DECEMBRE 2006 RELATIF A LA COMPETENCE PROFESSIONNELLE POUR
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailDepuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détailLA CMU COMPLÉMENTAIRE
Vous êtes artisan ou commerçant, le RSI est votre interlocuteur social unique pour toute votre protection sociale personnelle obligatoire. Vous exercez une profession libérale, le RSI gère votre assurance
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailI. Démarches administratives et documents à produire
UCL - Guide administratif du médecin assistant candidat boursier (MACB) porteur d un diplôme de médecine ou de spécialisation obtenu dans un pays hors Union Européenne. Ce petit guide reprend des informations
Plus en détailAssociation METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR
Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR 20 mai 2015 Ce règlement intérieur complète et précise certains articles des statuts de l association modifiés et approuvés le
Plus en détailRapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine
Département fédéral de l'intérieur DF) Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Protection des consommateurs Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine
Plus en détailDr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys
Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)
Plus en détailAdmission (Formalités d ) : Formalités médicales ou non-médicales (questionnaire médical, examens
Par un langage simple et clair pour faciliter la lecture de nos courriers Les Services aux Clients Santé font de la satisfaction de leurs clients une priorité. Pour vous offrir un service de qualité, nous
Plus en détailADAPTATION DES OBLIGATIONS RELATIVES AU BIEN-ETRE DES INTERIMAIRES
1/5 ADAPTATION DES OBLIGATIONS RELATIVES AU BIEN-ETRE DES INTERIMAIRES L arrêté royal du 15 décembre 2010 fixant des mesures relatives au bien être au travail des intérimaires a paru au Moniteur belge
Plus en détailNotice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)
IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailREGIME GENERAL FRAIS MEDICAUX ENSEMBLE DU PERSONNEL
REGIME GENERAL FRAIS MEDICAUX ENSEMBLE DU PERSONNEL Ce document complète mais ne se substitue pas à la notice d information de l assureur qui est à votre disposition auprès des services de la DRH et qui
Plus en détailR.C. Professionnelle Proposition
R.C. Professionnelle Proposition AMMA ASSURANCES a.m. Association d assurance mutuelle à cotisations fixes conformément à l article 2, 2 de la Loi du 25.06.1992 (M.B. 20.08.1992) agréée sous le code 0126
Plus en détailL ATTESTATION D APTITUDE À LA CONDUITE
L ATTESTATION D APTITUDE À LA CONDUITE 1 Principe Le Service Public Fédéral Mobilité et Transports a sa propre réglementation (AR du 23/03/1998) qui impose non seulement la réussite d un examen théorique
Plus en détailAssociation d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)
Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PROFESSION DE CHIRURGIEN DENTISTE EN FRANCE POUR LES CHIRURGIENS DENTISTES À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE
Plus en détailVente en ligne de médicaments : où en eston
JIM.fr -Vente en ligne de médicaments : où en est-on? Page 1 sur 5 Publié le 15/11/2014 Vente en ligne de médicaments : où en eston? Barbara Bertholet (à droite) et Caroline Balosso Paris, le samedi 15
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailProtocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif
Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Introduction Rapport explicatif 1. La Conférence de haut niveau sur l avenir
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection
Plus en détailCirculaire aux hôpitaux
Avez-vous des questions ou souhaitez-vous des informations supplémentaires? Envoyez un courriel au frontdesk à l adresse suivante question@miis.be Ou prenez contact avec nous au 02 508 85 86 Le Ministre
Plus en détailAGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION
AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailConseil d Etat, 23 septembre 2013, n 350909
PETITES NOTES DE JURISPRUDENCE DECEMBRE 2013 Statuts des personnels Aftab ZAFAR Stagiaire Centre de droit JuriSanté Centre de droit JuriSanté - CNEH Conseil d Etat, 23 septembre 2013, n 350909 Service
Plus en détailClaudine AYME Relations-presse / Tél. +33 (0) 6 09 84 64 62 contact@claudine-ayme.fr Des visuels libres de droit sont disponibles à votre demande.
Dossier de Presse Mirion Technologies (MGPI), filiale du groupe Mirion Technologies, inaugure son nouveau site industriel à Lamanon (13) Vos contacts presse : Viviane ELY - Chargée de Communication / Communication
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailGUIDE D APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION
GUIDE D APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION G-121 LA RADIOPROTECTION DANS LES ÉTABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT, DE SANTÉ ET DE RECHERCHE Publie par la Commission de controle de l'energie atomique Mai 2000 Commission
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailsanté GUIDE DE L AS- SURé
santé GUIDE DE L AS- SURé 1 AG2r la mondiale en bref Né de l union de deux Groupes MutualisteS et ParitaireS partageant les mêmes valeurs, AG2R LA MONDIALE fait partie des principaux groupes français d
Plus en détailLe Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données
www.coopami.org Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire PLAN de l exposé : Partie 1 : Contexte général du système de remboursement
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.
Plus en détailMise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel.
Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Alain BONTEMPS, Directeur du CEFRI -NOMBRE DE TRAVAILLEURS EXPOSES (Nucléaire): Total: 60
Plus en détailINDEX... 2 INTRODUCTION... 4 PÉRIODE... 4
Monitoring Marchés publics Utilisation des applications d e-procurement dans les services de l Etat fédéral Avril 2013 Juin 2013 1 Index INDEX... 2 INTRODUCTION... 4 PÉRIODE... 4 RAPPORT POUR LES SERVICES
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté du 9 octobre 2013 relatif aux conditions d exercice de l activité d utilisateur professionnel
Plus en détailArrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.
Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.1998) Modifié par: (1) arrêté royal du 3 mai 1999 relatif aux missions et
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailPremière prise de position du Conseil d Etat sur le rapport final de la Commission d enquête parlementaire sur le Réseau Santé Valais (CEP-RSV)
Conseil d Etat Staatsrat Première prise de position du Conseil d Etat sur le rapport final de la Commission d enquête parlementaire sur le Réseau Santé Valais (CEP-RSV) 1 Introduction En date du 8 avril
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détail«Actualités réglementaires en radioprotection»
Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l
Plus en détailArrêtent : Article 2 : La sélection des candidats s effectue selon les critères ci-après :
Arrêtent : Article 1 er : En application des dispositions des articles 17, 23 et 29 du décret exécutif n 10-77 du 4 Rabie El Aouel 1431 correspondant au 18 février 2010, susvisé, le présent arrêté a pour
Plus en détailRECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF À LA NOMINATION ET AU RENOUVELLEMENT DE MANDAT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL ET DU DIRECTEUR DES ÉTUDES (R-02)
RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF À LA NOMINATION ET AU RENOUVELLEMENT DE MANDAT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL ET DU DIRECTEUR DES ÉTUDES (R-02) RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF À LA
Plus en détailNote à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle
Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général
Plus en détailLes rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan
Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015 Bilan Contexte : Le marché hospitalier est identifié à la fois comme une source de croissance et d emplois pour les entreprises
Plus en détailPRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE
21/06/2007 PRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE I PRINCIPES GENERAUX L article L 4113-6 du CSP pose le principe d une interdiction pour
Plus en détailGUIDE ET CONSEILS PRATIQUES
Syndicats membres SNPADHUE : Syndicat National des Praticiens Á Diplôme Hors Union Européenne / www.snpadhue.com SMPLUS : Syndicat des Médecins à titre Extra Communautaire. SNCSCT : Syndicat National des
Plus en détailRéglementation de l exercice a titre privé des Médecins, Chirurgiens-Dentistes, Généralistes et Spécialistes
Réglementation de l exercice a titre privé des Médecins, Chirurgiens-Dentistes, Généralistes et Spécialistes 1 II- Réglementation de l exercice a titre prive des médecins, chirurgiensdentistes, généralistes
Plus en détailsquadra Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQG PRÉS 100610
squadra G E S T I O N Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQUADRA ASSURANCES a développé sa plate forme de gestion: SQUADRA GESTION. Ses équipes dédiées partagent
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailavis CCE 2013-1270 La mise sur le marché des substances manufacturées à l état nanoparticulaire
avis CCE 2013-1270 La mise sur le marché des substances manufacturées à l état nanoparticulaire CCE 2013-1270 DEF Avis concernant un projet d arrêté royal relatif à la mise sur le marché des substances
Plus en détailCOMMUNICATION EVENEMENTIELLE BAC+4 Promotion 2014-2015
BAC+4 1. Introduction Longtemps négligé par les spécialistes, le management événementiel est reconnu aujourd'hui comme une discipline majeure du secteur de la communication. Abondamment utilisé, il permet
Plus en détailAssociation d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)
Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PHARMACIE EN FRANCE POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE ET POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME
Plus en détailDIPLOMES OUVRANT DROIT A L'EXERCICE DE LA MEDECINE EN FRANCE AUTORISATIONS MINISTERIELLES D'EXERCICE
DIPLOMES OUVRANT DROIT A L'EXERCICE DE LA MEDECINE EN FRANCE AUTORISATIONS MINISTERIELLES D'EXERCICE 1 - DIPLOMES OUVRANT DROIT A L'EXERCICE DE LA MEDECINE EN FRANCE I - Les titres de formation exigés
Plus en détailLa Garantie Santé. Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes. Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité,
Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes La Garantie Santé Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité, immatriculée au registre national des mutuelles sous le
Plus en détailPLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015
PLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015 Novembre 2011 . Pour faciliter la lecture, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent
Plus en détailComité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»
Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» CSSS/12/273 DÉLIBÉRATION N 09/054 DU 1 ER SEPTEMBRE 2009, MODIFIÉE LE 3 NOVEMBRE 2009, LE 7 SEPTEMBRE 2010 ET LE 4 SEPTEMBRE
Plus en détailTABLE DES MATIERES PREFACE. CHAPITRE PREMIER : PROTECTION GENERALE DE LA SANTÉ PUBLIQUE
TABLE DES MATIERES PREFACE. CHAPITRE PREMIER : PROTECTION GENERALE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Loi n 89/27 du 29 Décembre 1989 portant sur les déchets toxiques et dangereux.. Loi n 95/08 du 30 Janvier 1995 portant
Plus en détailAvis du Conseil National de la Consommation sur les informations des consommateurs-sites «comparateurs»
Conseil National de la Consommation 12 mai 2015 Avis du Conseil National de la Consommation sur les informations des consommateurs-sites «comparateurs» N NOR : EINC1511480V Trouver un produit, comparer
Plus en détailBULLETIN. Officiel. Emploi Travail. Formation professionnelle Cohésion sociale
Ministère du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la ville BULLETIN Officiel N o 1-30 janvier 2010 Emploi Travail DIRECTION DE L INFORMATION LÉGALE ET ADMINISTRATIVE 26,
Plus en détailTarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)
Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics
Plus en détailPOLITIQUE DE DON. Définir les modalités de distribution des fonds provenant de la Fondation RSTR.
POLITIQUE DE DON OBJET Définir les modalités de distribution des fonds provenant de la Fondation RSTR. DESTINATAIRES Les membres du conseil d administration de la Fondation RSTR La direction générale de
Plus en détail