LES DIMENSIONS DANS LA PERCEPTION DES INTERVALLES MUSICAUX *

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES DIMENSIONS DANS LA PERCEPTION DES INTERVALLES MUSICAUX *"

Transcription

1 LES DIMENSIONS DANS LA PERCEPTION DES INTERVALLES MUSICAUX * "W.J.M. LEVELT et R. PLOMP (Insttute for Percepton R.V.O.-T.N.O., SOESTERBERG, PAYS-BAS) Introducton Il est ntéressant de savor de quelle manère des sujets classent dans des catégores les dfférents accords de deux sons, quelles caractérstques de ces accords sont en général perçues par le sujet, autrement dt quels sont les trats «physques» spontanément utlsés par eux pour les dfférencer, ou, s Ton préfère ce terme, pour les «coder». Nous avons précédemment traté ce problème en présentant des accords de deux sons à des sujets et en leur demandant de les juger au moyen d'un jeu d'échelles sémantques selon la technque du dfférentel sémantque d'osgood. L'analyse factorelle fournt ensute les prncpales dmensons de cet espace de jugement (1). Ben sûr nous y avons trouvé une dmenson prncpale «d'évaluaton» dstnguant les accords agréables et désagréables. C'est dans cette dmenson que l'échelle «consonant-dssonant» a révélé une saturaton mportante, et nous en avons conclu que nos sujets naïfs utlsaent le terme consonant comme une catégore apprécatve. Il fut plus dffcle de précser les détermnants physques de cette évaluaton. De nouvelles expérences que je vas décrre dans un nstant, ont donné une vue plus drecte sur ce pont Une autre dmenson, dans cette premère analyse, parut relée à la grandeur de l'ntervalle : nous l'appelons «fuson». Cependant, les technques verbales de jugement ont des nconvénents. Le sujet est oblgé d'utlser une catégore qu'l n'emploerat pas spontanément ou qu ne lu semble pas pertnente. Nous avons donc cherché à utlser une technque non-verbale. La plus élégante nous a paru être une technque de comparasons tradques. Comparasons tradques des ntervalles muscaux. Procédure expérmentale, Le sujet dspose de tros boutons-poussors 3 chacun d'eux correspondant à un accord de deux sons. Sa tâche est de chosr parm eux * Cette étude a été réalsée avec le souten de l'organsaton Néerlandase pour le Développement de la Recherche Scentfque (Z.W.O.)- 172

2 les deux qu sont le plus semblables l'un à l'autre et les deux qu sont le plus dssemblables. Ce mode de jugement paraît asé pour le sujet, mas crée quantté de dffcultés pour l'expérmentateur. La premère concerne le jeu de trades à utlser, la seconde le mode d'analyse. TABLEAU I Proporton 1 :2 2 :3 3 :4 2 :5 3 :5 4 :5 5 :6 4 :7 5 :7 5 :8 4 :9 8 :9 11 :12 8 :15 15 : 16 Fréquences en Hz : 666 :600 :-572 : : : : :512 Dstance en Hz Nous avons un ensemble de 15 accords, c'est-à-dre 15 stmul (Tableau I). Cependant, pour une expérence complète, le sujet devat juger 455 trades, ce qu état une tâche mpossble. Pour évter cec nous avons utlsé une procédure dte «ncomplète», dans laquelle un sujet devat juger seulement 35 trades, les sujets se complétant les uns les autres. Nous n'entrerons pas dans ces détals technques dont le reste sera publé par alleurs (2). Quant au mode d'analyse, après l'exécuton de l'expérence l fallat trouver une technque d'échelle multdmensonnelle. Une technque de ce genre a été développée récemment par le Dr Kruskal des Bell Téléphone Laboratores ('3). Tands que dans d'autres technques les fréquences relatves de jugements de smlarté entre stmul sont transformées en dstances spatales par une transformaton en notes normalsées (z), la technque de Kruskal est ndépendante de toute hypothèse de probablté. Elle utlse seulement l'ordre des rangs des fréquences relatves sans donner de sgnfcaton à leurs valeurs absolues. Le Dr Kruskal a eu la benvellance de nous envoyer son programme de calcul, mas ce n'est que récemment que les résultats expérmentaux ont pu être manpulés. On trouvera donc c seulement quelques consdératons prélmnares sur les résultats. (L'analyse défntve est conçue en (2).) 173

3 Stmul* Nous avons réalsé deux expérences. Dans la premère, les 15 stmul du Tableau I étaent des ntervalles composés de sons smples (snusoïdaux); c'est l'expérence des sons smples. Dans la seconde expérence, les mêmes 15 stmul ont été utlsés, mas ls étaent composés de sons complexes. Chaque son résonnat avec tous ses partels, chacun d'eux ayant la même énerge. On a fltré les partels au-delà de Hz. C'est l'expérence des sons complexes. Chacun des stmul avat une fréquence de 500 Hz, de sorte qu'ls semblaent tous avor la même hauteur moyenne. La presson sonore avat un nveau de db. Résultats. Une parte des résultats d-e nos analyses est donnée dans le Tableau IL Ce tableau fournt l-es saturatons des 15 stmul en tros dmensons orthogonales, à gauche pour l'expérence des sons smples, à drote pour celle des sons complexes. La poston des axes auss ben que l'unté de mesure sont arbtrares. Les deux confguratons montrent des dfférences caractérstques. Pour les besons de cet exposé, nous consdérerons seulement une dfférence typque, mportante pour l'étude de TABLEAU II Projecton des Î5 stmul en tros dmensons (KRUSKAL's MDSCAL-program) Tons smples (S) Tons complexes (C) I II III I II III 1:2 2:3 3 : 4 2:5 3 :5 4. : 5 5 :6 4 :7 5 :7 5:8 4 :9 8:9 11 :12 8 :15 15 : , ,590» '

4 la consonance muscale. La consonance d'un ntervalle a toujours été attrbuée à la smplcté du rapport des fréquences qu le composent. Cependant une queston de fat se pose : un sujet utlse-t-l la complexté de ce rapport comme un moyen de codage dans la percepton des ntervalles muscaux? Mathématquement cette queston revent à se demander s nous pouvons trouver dans l'espace des stmul un axe sur lequel les projectons des stmul sont ordonnées selon la complexté de ces stmul. Autrement dt : ayant un espace undmensonnel c, dans lequel les 15 stmul ont des valeurs selon leur complexté, nous essayons d'amélorer la covarance de c et l'espace tr-dmensonnel du stmulus S, par une rotaton de e en S. En fat cec est un problème d*algèbre matrcelle dont le Professeur Van de Geer a trouvé la soluton générale (4). Cec également sera publé par alleurs (2). Il nous sufft c de donner pour chaque soluton les coeffcents de drecton de l'axe à rotaton optmale dans l'espace du stmulus. La complexté du rapport de fréquences est plus convenablement défne par le nombre le plus élevé du rapport (ans, par exemple, 2 pour l'octave, 3 pour la qunte, 5 pour la terce majeure, etc). Ce n'est pas là la défnton la plus évdente, mas pour le moment nous nous y tendrons et l'appellerons complexté I. À cause de la dstrbuton oblque de ces nombres (qu est un nconvénent pour l'analyse optmale) nous avons utlsé dans notre analyse les mesures logarthmques des complextés. 15 ' 3 le VU " o's 5g Q.S «"fc* o^ 0.5 ES 0.0 II 28 o*c» 1 ( " ' coeffcents de drecton ' _ n a 1 a 1 «* B o ' r=,407 log complexté p*,* 0, ,2 l.a Fgure L Relaton entre l'axe optmal de complexté dans l'espace des sons smples et la complexté I des rapporta de fréquences. Nous avons calculé d'abord Taxe optmal de complexté dans l'espace des sons smples. La Fg. 1 représente le résultat de cette analyse. Cet axe optmal est représenté par les coordonnées vertcales, les coordon- 175

5 nées horzontales représentent les logarthmes de la complexté ï. Il est mmédatement évdent à la vue de cette fgure que les sujets ne dstnguent pas les accords d-e deux sons smples selon la complexté de eurs rapports de fréquences. Un des prncpaux moyens de les dfférencer paraît être la grandeur de l'ntervalle. Cec est clar dans la Fg. 2. La grandeur de l'ntervalle est défne par la dstance en cycles,.o? 05 o "m Dans une communcaton fate au V Congrès Internatonal d'esthétque (5), nous avons appelé ces ndces «nterférences». Dans les expérences de psychophysque l est possble de montrer que deux sons smples produsent des nterférences physologques lorsqu'ls sont sécocffctents de drecton -.A o o w -a -0.5 Ko o~ E f*.952 a -..o M O _ H* Fgura î. Relaton entre l'axe dstance optmal en Ire tons de dstance * dans l'espace des sons smples et la largeur des ntervalles (dstance en Hz). par seconde entre les deux sons de l'ntervalle. L'axe vertcal représente Taxe optmal des dstances dans l'espace des sons smples, tands que l'axe horzontal représente la grandeur des ntervalles. Cette relaton paraît ben étable. On en conclut que dans des accords de deux sons smples les sujets entendent la grandeur de l'ntervalle mas non la complexté du rapport de fréquences. Voyons mantenant ce qu'l en est des accords de deux sons complexes. Le calcul de Taxe optmal de complexté dans cet espace donne le résultat représenté dans la Fg. 3. Ic une relaton clare semble exster entre l'axe optmal de complexté et les logarthmes de la complexté ï des 15 stmul. Apparemment les sujets dfférencent les ntervalles de sons complexes selon la complexté de leur rapport de fréquences. Nous en concluons que la percepton de la complexté dépend de la présence d'harmonques. Il ne semble pas y avor de sensaton nhérente à la smplcté du rapport de fréquences. Le jugement de complexté et de smplcté est dû à des ndces rattachés à la structure des harmonques. Interférence. 176

6 w T '"- "' " V log complexlfc '.» (nombre plus haut) ' ' ' ' ' Fgure S. Relaton entre l'axe optmal de complexté dans l'espaça des sons complexes et la complexté I des rapports de fréquences. u parés par une dstance mondre qu'une dstance crtque appelée la bande crtque. A l'ntéreur de cette bande on peut démontrer qu'l y a une sommaton des énerges stmulatrces e k t auss d'autres effets d'nteracton sonore. Ces effets sont absents lorsque les sons sont séparés par une dstance supéreure à la bande crtque. Mas la largeur de cette bande, lon d'être constante est foncton de la fréquence moyenne, comme nous allons le montrer tout à l'heure. Nous pouvons montrer que pour les pares de sons smples le degré d'nterférence, mesuré par exemple par le jugement de dssonance d'un sujet, est foncton du degré selon lequel les sons entrent dans leur bande crtque. Un exemple en est donné à la Fg. 4, Cette fgure représente les moyennes et les lgnes de 25 et 75 % des jugements de consonance sur des échelles en 7 pont fats par 14 sujets, en foncton de la largeur de l'ntervalle. Seuls des ntervalles de sons smples ont été utlsés, d'une fréquence moyenne de 500 Hz. La lgne pontllée vertcale représente la largeur de la bande crtque pour une fréquence moyenne de 500 Hz. L'échelle de consonance dans sa totalté est parcourue à peu près entre 25 et 100 % de la largeur de la bande crtque. Cec est auss vra pour d'autres fréquences moyennes pour lesquelles la largeur de la bande crtque peut être dfférente (6). L'exstence des bandes crtques n'est pas due à des processus centraux, mas à des processus ségeant dans l'organe pérphérque de l'ouïe. Il n'est donc pas surprenant que ce sot auss le cas de l'nterférence. Pour des sons smples, une seconde mneure est beaucoup plus dssonante qu'une septème majeure. Mas ces ntervalles sont estmés également consonants lorsque l'un des sons est présenté à une orelle et l'autre à une autre orelle (4). L'nterférence n'est alors plus possble, 177

7 "1 "I 1 "T J..I.I <\ V V» *N V N N V,/ / / / f 1 1 l 1 f 1 I ' 1 ' / ' // 4 / / 1 1 l 4 **^~" <y ' r / t î t r w ~" A \ \ \ \ 10* * dstança (dffretnct trquentelle)encycl«sp. sec 1 Fgure 4. Relaton entre le degré de consonance de pares de sons smples et la largeur des ntervalles. Tous les accords de deux sons ont une fréquence moyenne de 500 Hz. La courbe pomtllée vertcale représente la largeur de la bande crtque pour 500 Hz. Il ressort clarement de ces consdératons que pour des pares de sons complexes l'nterférence ne coïncde pas avec la largeur de l'ntervalle, comme dans le cas des pares de sons smples, mas approxmatvement avec la complexté du rapport des fréquences défn plus haut. t Car l'nterférence ne dépend pas seulement alors de la dstance entre les sons fondamentaux, mas auss de la dstance entre harmonques, Des rapports smples donneront des coïncdences d'harmonques, et par sute une réducton du nombre de pettes dstances nterférentes. Ans nous pouvons employer alors une autre mesure de la complexté, c'est-à-dre la fréquence du premer partel commun des deux sons fondamentaux. Comme les autres harmonques communs ont des fréquences qu sont des multples du premer, leur fréquence mesure la densté de coïncdence des harmonques dans l'échelle des harmonques. Cec est une mesure plus compréhensble de la complexté nous l'appelons complexté II mas elle est fortement corrélée avec la complexté I. La Fg. 5 montre la relaton entre les logarthmes de la complexté II et l'axe optmal correspondant dans l'espace des sons complexes. Analyse des nterférences muscales. S l'nterférence est une dmenson mportante dans la percepton des ntervalles muscaux, on dot s'attendre qu'un composteur de musque tenne compte, entre autres choses, du degré d'nterférence qu'l ntrodut dans sa composton. Nous avons vu que l'écart entre l'nterférence mnmum et l'nterférence maxmum correspond à la dstance comprse entre la largeur de la bande crtque totale et un quart de cette largeur. Dans cet écart restrent de petts changements de la largeur des ntervalles correspondent à de grands changements d'nterférence. Cec donne au composteur un évental ntéressant de possbltés à utlser. Il est possble d'analyser des compostons de ce pont de vue.. De plus, 178

8 1 5 I? coeffcents de drecton.at., r s.928 1, o e * s log complaxts , B Fgure 5 Relaton entr-e l'axe optmal de complexté dans l'espace des sons complexes et la complexté II (fréquence du premer partel commun). nous avons vu que la largeur de la bande crtque est foncton de la fréquence moyenne des ntervalles. Elle est plutôt constante jusqu'à 500 Hz (autour de 100 Hz), et augmente au-delà de 500 Hz presque proportonnellement à la fréquence moyenne. S l'nterférence joue un rôle mportant en musque, nous devons trouver une relaton quelconque avec la bande crtque en fasant des analyses muscales. Il est clar que nous ne sommes pas c concernés par la successon des accords, mas nous devons consdérer seulement la «dmenson vertcale de sons résonnant smultanément. Nous obtenons quelque dée de cette dmenson vertcale en cherchant la dstrbuton de la densté de sons smultanés en foncton de la fréquence. C'est là une approche statstque; elle ne nous donne pas d'nformaton sur l'apparton des accords spécfques, mas seulement les fréquences d'apparton des dfférentes combnasons sonores. Une llustraton peut explquer comment ces analyses furent fates» Supposons que nous nous ntéressons à la dstrbuton de la densté des ntervalles ayant pour son grave ut 2 (523,3 Hz). Nous prélevons alors dans une composton muscale tous les accords contenant ut 3 et un son plus agu. Nous détermnons ensute la fracton de temps pendant lequel le son agu le plus proche est séparé de ut 2 par une dstance d'un demton, deux, tros dem-tons, etc. Il apparaît alors que la dstance d'un dem-ton et celle de 15 dem-tons sont rares, tands qu'une dstance de 4 dem-tons est plutôt fréquente. De cette dstrbuton des denstés nous pouvons calculer la médane (50 %) et les ponts correspondant à 25 et à 75 % respectvement. Ces mesures donnent une bonne mpresson des grandeurs des ntervalles ayant ut 2 comme son grave. Ben entendu nous ne nous ntéressons pas seulement à ut 2 mas nous 179

9 devons répéter cette procédure pour tous les autres sons du morceau de musque. Les ponts médans (50 %) de ces analyses peuvent être relés par un trat le long de l'écart des fréquences et nous pouvons tracer également les lgnes des 25 et 75 %. Il y a cependant une dffculté. Une note écrte n'est pas la seule à se fare entendre. Nous devons tenr compte également des harmonques. Pour cette rason le morceau de musque est, pour ans dre, écrt à nouveau, mas à présent avec un certan nombre d'harmonques ajoutés à chaque son. «Pour ans dre» seulement, car nous pouvons fare toute l'analyse pour un nombre lmtable d'harmonques à l'ade d'un apparel à bande perforée spécalement construt, dans lequel la musque peut être jouée au moyen d'un claver. Jusqu'à présent deux morceaux ont été analysés de cette manère (6), tands qu'un certan nombre d'analyses ont été fates auparavant à la man (7). Ces analyses portent sur de la musque de Schûtz, J.S. Bach, Dvorak et Krenek. Les résultats pour ces composteurs sont essentellement les mêmes. Un exemple en est donné à la Fg. 6 : une analyse de la trosème parte du quatuor à cordes en m bémol, op. 51 de Dvorak. TÏ L 1 1 n T u 500 " 200 c en w u I «o 50 I I l 1 1 t I I I I I 1 L. J L_J_..I I I 20 10* 2 5 I fréquence «n cycles p.sôc». Fgures 6. Dstrbuton de la densté des dstances entre des sons smultanés (y comprs les harmonques) en foncton de la fréquence (courbes des 25, 50 et 75 %). Quatuor à cordes en M bémol, op. 51 de Dvorak. Les courbes pon- Êllées supéreure et nféreure représentent respectvement les fonctons 100 et 25 % de la bande crtque. La courbe supéreure en pontllés représente la foncton de la largeur de la bande crtque, la courbe nféreure en pontllés, celle des 25 % de cette bande crtque. Les lgnes plenes sont les courbes des 25, 50 et 75 % pour ce morceau, l'analyse ayant été fate pour 8 harmonques de chaque son, ce qu est une estmaton rasonnable du nombre d'harmonques produts par des cordes. 180

10 Il ressort clarement de cette fgure que la musque «module» entre 25 et 100 % de la bande crtque, c'est-à-dre entre les lmtes du maxmum et du mnmum d'nterférence. De plus les courbes sont exactement parallèles à la foncton de la largeur de bande crtque, ce qu démontre l'mportance de cette foncton en musque. Fnalement on peut remarquer que la forme de cette courbe n'est pas entèrement due au chox conscent du composteur. Notre système à 12 dem-tons, tel qu'l a évolué au cours des sèclesj fournt un certan nombre de moyens de protecton contre les dévatons trop larges à l'égard de la règle de la bande crtque. Il est ntéressant d'observer qu'en fat une évoluton culturelle lente se produt en nteracton avec la structure de la percepton humane. BIBLIOGRAPHIE 1. VAN DE GEER (J.P.), LEVELT (WJ.3VL) & PLOMP (R.), The connotaton of muscal ntervas. Acta PsgchoL, 1962, 20, LEVELT ("W.J.M.), VAN DE GEER (J.P.) & PLOMP (R.), Tradc comparsons of muscal ntervas. Brt. J. Math. PsychoL (sous presse). 3» KRUSKAL (J.B.), Multdmensonal scalng by optmzng goodness of ft to a nonmetrc hypothess. Psychometnca, 1964, 29, VAN DE GEER (J.P.), Communcaton personnelle. 5. LEVELT (W.JJVL) & PLOMP (R.), The apprécaton of muscal ntervas. Actes V Q Congres Intern. d'esthétque, Amsterdam, PLOMP (R.) & LEVSLT ("W.J.M.), Tonal consonance and crtcal bandwdth. J. Acoust. Soc. Amer., 1965, 38, PLOMP (R.) & LEVELT (W.J.M,), Muscal consonance and crtcal bandwdth. Proc, Fourth Intern. Congress on Acoustcs. Copenhagen, DISCUSSION Pr t Wellek, Quelle est la relaton entre la complexté et la fréquence? Dr. Levelt. J'a défn deux mesures de complexté qu dépendent de la relaton de fréquence et tout cela dépend de la théore de l'nterférence. Selon cette théore, des mesures exactes mportent peu pusque la consonance cour une pette dstance et pour une grande dstance est la même. Mas l est mportant d'avor leur relaton. Pr. Wellek. Cela confrme la découverte du phénomène du seul. Selon cette théore, ce n'est pas la relaton exacte 1 à 2 et à 3 ou 2 à 3 qu compte, mas la relaton autour de ces chffres. Il y a un problème d'ordre phénoménologque en ce qu concerne le procédé scentfque ou non nformé. Les nterférences acoustques de 100 à 200 cycles par seconde ne donnent pas les melleurs résultats. Les melleurs 181

11 résultats sont donnés là où la courbe devent plus aguë, donc ce qu est mportant c'est que ce sot plus agu et non pas plus correct mathématquement. J'a fat des expérences de cet ordre sur les dfférents types d'audton et j'a trouvé qu'l y a des ntervalles de dstance et des ntervalles consécutfs. Il s'agt en somme d'ntervalles smultanés et d'ntervalles consécutfs, qualtés d'ntervalles qu ont été découvertes par Abraham. Les relatons phonques (Tongketen) permettent une orentaton de chacun de ces types. Dr. LevelL Mon problème expérmental a été plutôt de trouver une manère drecte et naturelle de classfcaton de ce genre de tons. J'a ndqué au sujet d'utlser l'une ou l'autre de ces catégores. 182

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

MODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS.

MODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS. Chapter MODÈLE DISIG À UE ET DEUX DIMESIOS.. ITRODUCTIO. ous commençons, dans ce chaptre, létude dun problème de mécanque statstque de la matère condensée où leffet des nteractons est mportant. Le modèle

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0.

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0. Corrgé du problème de Mathématques générales 2010 - Parte I - 1(a. Sot X S A. La matrce A est un polynôme en X donc commute avec X. 1(b. On a : 0 = m A (A = m A (X n ; le polynôme m A (x n est annulateur

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS. Josiane Confais (UPMC-ISUP) - Monique Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR8174)

PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS. Josiane Confais (UPMC-ISUP) - Monique Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR8174) PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS Josane Confas (UPMC-ISUP) - Monque Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR874) e-mal : confas@ccr.jusseu.fr e-mal : monque.leguen@unv-pars.fr Résumé Ce tutorel accessble

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta hermodynamque statstque Master Chme Unversté d Ax-Marselle Bogdan Kuchta Plan: Rappel: thermodynamque phénoménologque (dscuter l entrope, l évoluton de gaz parfat,) Premer prncpe Deuxème prncpe (transformaton

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Dynamique du point matériel

Dynamique du point matériel Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

La genèse des premiers pas

La genèse des premiers pas ZANONE, P. G. (990). Perceptuo-motor development n the chld and the adolescent : perceptuo-motor coordnaton. n C. A. Hauert (Ed.) Developmental psychology. Cogntve, perceptuo-motor, and neuropsychologcal

Plus en détail

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé 4th Internatonal Conference on Coputer Integrated Manufacturng CIP 2007 03-04 Noveber 2007 Perforances de la classfcaton par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): applcaton au dagnostc vbratore autoatsé

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le

Plus en détail

Coefficient de partage

Coefficient de partage Coeffcet de partage E chme aque, la sythèse d'u composé se fat e pluseurs étapes : la réacto propremet dte (utlsat par exemple u motage à reflux quad la réacto dot être actvée thermquemet), les extractos

Plus en détail

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance Calculs des conertsseurs en l'electronque de Pussance Projet : PROGRAMMAON ate : 14 arl Auteur : herry EQUEU. EQUEU 1, rue Jules Massenet 37 OURS el 47 5 93 64 herry EQUEU Jun [V37] Fcher : ESGN.OC Calculs

Plus en détail

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des

Plus en détail

The new Art of Smart. Loewe Art. La nouvelle intelligence télévisuelle.

The new Art of Smart. Loewe Art. La nouvelle intelligence télévisuelle. The new Art of Smart. Loewe Art. La nouvelle ntellgence télévsuelle. Desgn et technologe. My Perfect Entertanment. 1 Les nouveaux télévseurs Art allent le melleur de la technologe à un desgn mnmalste.

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace

Plus en détail

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT.

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT. 87 DUCAPTEURAUXEANQUESDEDONNEES. TECHNQUES D'NSTRUMENTATON EN GEOPEY8QUE. J:M. CANTN Unversté Lous Pasteur (Strasbourg 1) nsttut de Physque du Globe de Strasbourg Ecole et Observatore de Physque du Globe.

Plus en détail

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE Me Objectf De, par, avec Sandrne le Métayer Lumère de Phlppe Férat pectacle produt par la Ce DORE t j Me objectf numéro prx du Jury aux Gradn du rque (Le Hvernale/ Avgnon) p l e t t a r d, p Sandrne le

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne. Applcaton à l assstance à la condute automoble Mguel Gonzalez-Mendoza To cte ths verson: Mguel Gonzalez-Mendoza. Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne.

Plus en détail

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction Comparatve performance for solate ponts etecton operators: applcaton on surface efects extracton R. Seuln, G. Delcrox, F. Merenne Laboratore Le2-12, Rue e la Fonere - 71200 Le Creusot - FRANCE e-mal: ralph.seuln@utlecreusot.u-bourgogne.fr

Plus en détail

Guide d installation. Système d alarme bidirectionnel sans-fil. Modèles:

Guide d installation. Système d alarme bidirectionnel sans-fil. Modèles: Système d alarme bdrectonnel sans-fl Gude d nstallaton Modèles: PC9155-433/868 PC9155G-433/868 PC9155D-433/868 Utlsé avec : WT5500-433/868 WT5500P-433/868 Sére de claver bdrectonnel sans-fl IMPORTANT :

Plus en détail

Les méthodes numériques de la dynamique moléculaire

Les méthodes numériques de la dynamique moléculaire Les méthodes numérques de la dynamque moléculare Chrstophe Chpot Equpe de chme et & bochme théorques, Unté Mxte de Recherche CNRS/UHP 7565, Insttut Nancéen de Chme Moléculare, Unversté Henr Poncaré, B.P.

Plus en détail

Pratique de la statistique avec SPSS

Pratique de la statistique avec SPSS Pratque de la statstque avec SPSS SUPPORT Transparents ultéreurement amélorés et ms à jour sur le ste du SMCS LIENS UTILES Ste du SMCS (Support en Méthodologe et Calcul Statstque) : http://www.stat.ucl.ac.be/smcs/

Plus en détail

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P.

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P. LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50 Année 004-005 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque JP DUBÈS 3 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque

Plus en détail

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov. La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles

Plus en détail

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS AVERTISSEMENT Ce document est le frut d un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et hstore autour de Mondoubleau Thème de la cache : NATURE ET CULTURE Départ : Parkng Campng des Prés Barrés à Mondoubleau Dffculté : MOYENNE Dstance

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE OPTION. A. Lendasse, J. Lee 2, E. de Bodt 3, V. Wertz, M. Verleysen 2 Unversté catholque de Louvan,

Plus en détail

Séparation de Sources par lissage cepstral des masques binaires

Séparation de Sources par lissage cepstral des masques binaires Séparaton de Sources par lssage cepstral des masques bnares Ibrahm Mssaou 1 Zed Lachr 1, 2 (1) École natonale d ngéneurs de Tuns, ENIT, BP. 37 Le Belvedere, 1002 Tuns, Tunse (2) Insttut natonal des scences

Plus en détail