Protection des données personnelles et liberté d expression. Intervention de Dr Bangaly Camara Directeur Général de l ISIC/Kountia

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1 Protection des données personnelles et liberté d expression Intervention de Dr Bangaly Camara Directeur Général de l ISIC/Kountia

2 Tel / isicgn@yahoo.fr

3 Exemple 1: Vous trouvez un ministre assis tranquillement dans un bistrot fréquenté entrain de siroter un scotch en bonne compagnie, est-ce que vous en parlez le lendemain dans votre journal?

4 Exemple 2: Voici un homme arrêté sur son balcon torse nu, et qui fait face à une route très fréquentée. Déciderez vous d en parler ou pas?

5 Il y a lieu de faire une démarcation entre: l intérêt public; la curiosité publique; la vie privée.

6 Le premier exemple suscite des interrogations suivantes : Est-ce que l acte posé publiquement est en contradiction avec la loi?

7 Quel est l intérêt du public à connaitre cette histoire? Quel bénéfice les auditeurs ou lecteurs tireront de cette histoire?

8 L acte posé porte-t-il de préjudice à des tiers? A-t-il des conséquences sur le travail du ministre en question?

9 le fait qu un ministre sirote son scotch dans un lieu public n est pas interdit par la loi,

10 Le public n a aucun intérêt de connaître cette histoire parce qu elle ne porte pas préjudice à tierce, surtout que le ministre est assis tranquillement.

11 Cependant, les lecteurs pourraient être intéressés à cette histoire par simple Curiosité sans aucun intérêt journalistique sinon que commercial.

12 Mais si le ministre prend un verre de trop et qu il se met à faire des tapages, il aurait renoncé librement à sa vie privée et donné ainsi la latitude aux journalistes d en parler.

13 Le fait de faire du tapage dans un lieu public est un acte préjudiciable en soi, et de la part d un homme public ça devient intéressant pour les médias à cause de la valeur informative et marchande de l acte.

14 Dans un essai intitulé «Le carnaval des hypocrites», le journaliste français, Albert Du Roy attirait l attention sur le fait que «les hommes, en particulier publics, sont les premiers à inviter les médias à regarder par le trou de la serrure, quand cela les arrangent. Par contre les mêmes sont prêt à crier au scandale lorsque cela ne les arrange pas».

15 Il a été inspiré par l accident mortel de la Princesse Diana et Doddy Alfayed, sur le pont d Alma à Paris. L opinion retenait alors que c est la coursepoursuite provoqué par un paparazzi à la recherche de photos intimes, qui avait conduit à cet accident mortel.

16 Dernièrement, le magazine «Closer» remettait au goût du jour des révélations sur la vie privée du président français et qui ont conduit à sa séparation de sa compagne Valéry Trieweller

17 Regarder par le trou de la serrure répond parfois à un besoin de se distinguer dans la concurrence. Mais y a-t-on le droit d en user à notre guise?

18 Cette interrogation soulève une question principale à savoir la vie privée peut-elle relever de l intérêt général? Les hommes publics ont-ils une vie privée?

19 L approche anglo-saxonne défend mordicus qu un homme public ne doit pas avoir de vie privée. Elle répond à la logique de perfection des responsables publics. Ils doivent avoir des comportements exemplaires, donc parfait.

20 l approche française soutient que la vie privée ne doit pas interférer dans la vie publique.

21 Le sondage réalisé sur les révélations de Closer montre à suffisance que les français n étaient pas intéressés à la vie privée du couple présidentiel du moins tant que celle-ci reste dans le cadre strictement privé.

22 Constats: Aujourd hui, le développement technique et technologique offre un éventail de possibilités de communication à travers l internet, Twitter, You Tube, Face book et autres. les individus en général et parmi eux les hommes publics, ont tendance à renoncer librement à leur vie privée en mettant sur la toile des données personnelles, relevant parfois de la plus stricte intimité,doncàlaportéedetoutlemonde.

23 A partir de ce moment, on ne parle plus de secret personnel. Les lois qui sont sensées protégées nos vies privées sont affaiblies par nos propres désires de visibilité à travers le monde.

24 Quel reproche peut-on faire, en ce moment, à un journaliste ou à toute autre personne qui, puisant sur le net des données qu un homme public y aurait volontairement mis, en fait un usage abusif?

25 Une telle situation est alimentée par les deux versants du voyeurisme: D un coté, ceux qui fouillent dans les poubelles pour extirper des informations enfouies et les mettre au grand jour;

26 De l autre un public de plus en plus friand d informations tirées du caniveau et qui s en délecte au nom de la curiosité publique.

27 Au même moment les auteurs en tirent des grands bénéfices en termes de positionnement commercial, de notoriété et que sais-je encore.

28 L affaire Snodenen dit long, même s il faut l apprécier avec réserve parce qu elle est aussi l expression idéaliste de la démocratie.

29 Quand, pour la première fois, Jean d Arcy réclamait en 1969 le droit de l homme à la communication, il rêvait d une société de communication, c'est-à-dire une société fraternelle et solidaire, réconciliée avec ellemême.

30 La question qui se pose est, comment dans un tel contexte, caractérisé par un monde de plus en plus ouvert et transparent (où l on vous demande de plus en plus souvent de fournir des données personnelles) et par une exacerbation des tendances voyeuristes, peuton encore protéger les données personnelles sans faire entrave à la liberté d expression?

31 A notre avis un équilibre est à trouver entre ces points de vue divergents. Cet équilibre se situe entre le trop et le trop peu, tant pour les hommes publics que pour ceux des médias. En ce qui concerne les hommes publics, il s agit, sans verrouiller tout ce qui concerne sa vie tout court, ne pas permettre aux hommes de presse de regarder par le trou de la serrure même quand cela les arrange.

32 Pour les hommes de médias la question est de savoir toujours naviguer sur le fil du rasoir, éclairer sa pratique quotidienne par les considérations morales, éthiques et déontologiques qui gouvernent la profession du journalisme.

33 Pour terminer, je dois admettre que le droit du public a connaître des faits d importance est souverain( ),Mais j en conviendrai également avec John Merrill que «La liberté journalistique sans responsabilité est tout comme de vivre sans cerveau».

34 Je vous remercie de votre bien aimable attention

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