P. Lombardi - Comment avez-vous procédé avec vos collaborateurs pour affronter la situation?
|
|
- Raymonde Albert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Traduction française de l interview en italien du P. Federico Lombardi, porte-parole du Saint- Siège et directeur de Radio Vatican, avec le Cardinal Velasio De Paolis pitolo_dei/it Diffusée sur Radio Vatican le jeudi 9 janvier à 12h. Traduction : Légionnaires du Christ de France. Les parties en bleu font partie du texte écrit intégral publié sur le site de Radio Vatican (cf. lien cidessus), mais ne sont pas inclues dans la rediffusion sonore. Sur le chemin qui a porté les Légionnaires du Christ au Chapitre général et sur l engagement de renouveau à l intérieur de la Légion, notre directeur (ndt : le directeur de Radio Vatican où l interview a été diffusée), le père Federico Lombardi, a interviewé le cardinal Velasio De Paolis, Délégué Pontifical pour les Légionnaires du Christ : Card. De Paolis - Je voudrais d abord préciser que ce chemin n est pas le début de l affaire de la Légion et de Regnum Christi, mais qu il est plutôt une étape. La première étape est l affaire du Fondateur ; la deuxième la visite de la part des cinq évêques envoyés par le Saint-Père pour se rendre compte de cette réalité ; et la troisième étape, justement, est la nomination du Délégué Pontifical. Pourquoi est-il important de le souligner? Parce que la visite des cinq Visiteurs Apostoliques a eu un résultat de réflexion, d évaluation et donc aussi de pondération sur le futur. Quand le Saint-Père a nommé le Délégué Pontifical, il avait déjà émis un jugement sévère sur l œuvre du Fondateur de la Légion, mais pas au point d en détruire la réalité même, au niveau substantiellement positif : c est-à-dire, si le Pape nomme un Délégué, il nie implicitement qu il faille donner un jugement substantiellement négatif sur la Légion. Lui-même, au début de la Bulle de nomination, dit : «Il y a un grand nombre de prêtres zélés et engagés sur le chemin de sainteté». C est justement parce que cette promesse de confiance existait que cette étape qui a commencé avec la nomination du Délégué Pontifical était donc plutôt une nomination positive. C est qu il s agissait de parcourir le chemin auprès des Légionnaires pour les porter, à travers une période de réflexion, de renouveau - un renouveau notamment pénitentiel - à revoir leur charisme, à réécrire leurs Constitutions avant de retrouver une situation positive à l intérieur de l Église. Il faut bien le dire car, d une certaine manière, l examen sur le Fondateur était considéré comme clos ; on considérait aussi que les visites apostoliques dans les différents lieux étaient terminées. Il fallait alors œuvrer à l intérieur de l Institut pour faire réfléchir les personnes et les aider à dépasser les difficultés. Voilà ce en quoi a consisté notre mission. Le Pape dit que la tâche principale, parmi les autres, est la révision des Constitutions. Ils avaient des Constitutions qui n avaient pas été rédigées selon les critères de l après-concile, mais elles avaient encore des critères traditionnels. C était un texte très long, lourd, confus même, où l on ne distinguait pas les normes constitutionnelles des autres. Il s y reflétait une mentalité qui ne distinguait pas, dans les règles extérieures de vie, la gradualité des lois, l importance des lois. On ne distinguait pas la substance des règles extérieures de vie, d autres normes qui sont utiles, nécessaires même, mais pas caractéristiques. Un océan de normes dans lequel le charisme était noyé ou, tout du moins, diffus ; il était donc difficile de l identifier. Voilà la tâche principale. P. Lombardi - Comment avez-vous procédé avec vos collaborateurs pour affronter la situation? Card. De Paolis - Au début, nous avons rappelé aux Légionnaires ce que les Visiteurs avaient dit, car c est par là que nous devions commencer. Nous avons présenté les observations des Visiteurs
2 au cours de diverses conférences à tous ceux qui se trouvaient alors à Rome ; environ séminaristes et prêtres. Les conférences étaient enregistrées et elles étaient ensuite envoyées à toute la Légion et aussi à Regnum Christi, qui est une réalité plus large que la Légion. Quand nous avons commencé, il y avait presque - on peut le dire - une division en deux groupes. L un affirmait que l intérieur du gouvernement de l Institut avait été pollué et donc que, d une certaine manière, on ne pouvait rien espérer de nouveau. Un autre groupe, au contraire, n arrivait pas à saisir la nouveauté ; pour eux, tout était positif, ils pensaient même que leur caractéristique, qui les avait empêché de tomber dans les défauts des autres Instituts religieux, était justement celle d être une réalité bien structurée. Mais ces derniers étaient en réalité tombés dans un piège beaucoup plus dangereux, celui du Fondateur même! Au cours du chemin, nous avons rencontré des problèmes relatifs aux conséquences du comportement du Fondateur vis-à-vis des victimes. Nous avons rencontré des problèmes d ordre économique, parce que les Légionnaires n étaient pas aussi riches qu on le pensait : la situation économique avait empiré, au niveau mondial à cause de la crise financière et au niveau institutionnel, pour eux, parce que la perte de réputation avait fait baisser le nombre d élèves de leurs écoles et, par conséquent, les rentrées financières. Mais le sujet qui a demandé le plus de travail a été celui des Constitutions. La question principale était de les réviser, surtout quelques points nodaux. Lesquels? Certains avaient déjà été corrigés. La distinction claire, plus claire et précise entre le for interne et le for externe, le for sacramentel et le for, disons, «disciplinaire» ou extérieur. Il fallait surtout réaffirmer une autorité qui ne soit pas arbitraire, mais qui doit œuvrer à l intérieur du Conseil. Ils avaient ensuite une certaine constitution d autorité très diffuse et fractionnée, avec beaucoup d éléments d incertitude. En gros, nous avons reconduit tout le problème à la réalisation des Constitutions selon les indications du Concile, de l après-concile et particulièrement du Code de Droit Canonique. C est autour de ce sujet que le plus gros du travail a été produit. Ensuite, il y a eu la tâche de renouveler les supérieurs, qui était très importante : au début, nous avons fait que les supérieurs restent en poste. C était une exigence nécessaire : en arrivant, effet, comment pouvions-nous agir et gouverner sans connaître la réalité? Il nous a semblé plus utile et plus efficace de maintenir les supérieurs, mais sous le contrôle de notre présence : nous avons donc fait l effort d être toujours présents à leurs Conseils généraux. Ils pouvaient disposer de leur gouvernement, mais ils ne pouvaient rien décider sans notre présence. Il y a donc eu cette osmose de dialogue constant : une fois par semaine, au moins, nous avions les rencontres des deux Conseils. J avais, moi, mon Conseil et ils avaient leur Conseil. Nous avons donc mis en marche ce dialogue où nous avons traité tous les grands problèmes : les problèmes du Fondateur ; les problèmes de la formation ; les problèmes de Regnum Christi ; et aussi les problèmes disciplinaires, puisque, même s ils n étaient pas très nombreux, dans la Légion, aussi, il y avait aussi des cas de prêtres qui s étaient rendus coupable d un délit dans l Église, tout comme, du reste, il y en a dans les autres Instituts. Voici donc le cadre général dans lequel nous avons agi. P. Lombardi - Je crois que le Chapitre a maintenant, substantiellement, deux missions : renouveler le gouvernement par les élections et approuver de nouvelles Constitutions. Mais si le travail des Constitutions a déjà été accompli, en quoi le Chapitre doit-il encore intervenir pour ces dernières? Card. De Paolis - Nous avons distingué le Chapitre en trois grandes étapes. La première étape est une vérification du chemin parcouru : un examen de conscience - nous l avons appelé comme cela - fait par rapport aux accusations qui ont été présentées. Comment nous les avons vérifiées et quel engagement nous devons assumer pour dépasser ces difficultés. On a aussi reconnu une démarche de pénitence qui devrait porter à reconnaître, publiquement même, ces responsabilités ; une démarche de chacun de savoir assumer même la souffrance qui dérive de
3 cette situation, comme expiation pour renouveler la Légion et donc aussi pour qu elle retrouve sa juste place à l intérieur de l Église. Le deuxième moment devrait être la nomination des nouveaux supérieurs qui devront ensuite gouverner l Institut. Le troisième moment, la révision des Constitutions, qui devrait être, justement, comme vous le disiez, simple, parce que nous y avons travaillé dans ces trois années et demie. Toute la Congrégation a été consultée et nous avons présenté aux capitulants (ndt : prêtres légionnaires du Christ délégués au Chapitre) un texte des Constitutions, avec le support des sources et du chemin parcouru. Il faut espérer que, maintenant, cela ne prenne pas trop de temps, même si le chemin, en connaissant les situations, pourrait aussi présenter des obstacles, car tous ont un peu envie de faire des propositions supplémentaires. Mais il est vrai aussi que le texte qui sera émis par le Chapitre ne sera pas le texte définitif car il devra ensuite être présenté au Saint-Père pour la révision et, ensuite, pour l éventuelle approbation définitive. P. Lombardi - Un point qui est très important dans cette affaire est le rapport entre le Fondateur et le charisme. En général, dans les instituts religieux, le charisme est en lien étroit avec l expérience et la personne du Fondateur : dans ce cas, néanmoins, il fallait les séparer radicalement. Pensez-vous qu on ait réussi à identifier un charisme autonome, le séparer de la personne du Fondateur? Card. De Paolis - Ce sujet nous concernait seulement en partie car, implicitement, cela avait déjà été jugé par les conclusions des Visiteurs et par les actes posés successivement. Si l on avait constaté une inséparabilité entre le Fondateur et l Institut, cela aurait été fini ; mais en prévoyant que la Congrégation puisse aller de l avant sur le chemin avec le charisme, on admettait implicitement qu elle avait probablement déjà un charisme valide. Il est également vrai, néanmoins, que le Saint-Père, dans la Bulle de nomination, parle de revoir le charisme en profondeur. Nous avons essayé de le faire. Nous avons inséré ce charisme à l intérieur d une réalité plus grande qui existait autour du Fondateur, celle de Regnum Christi. On a réussi à reconnaître le charisme de Regnum Christi, qui est vécu à des niveaux différents, selon les vocations, par des laïcs, des laïcs consacrés et des prêtres religieux. Et il nous semble que la détermination de ce charisme est assez précise. Plus que de «charisme» (un terme un peu problématique), nous avons préféré (surtout moi) suivre le Code (ndt : le Code de Droit canonique) et parler de «patrimoine», du «patrimoine de l Institut», c est-à-dire des éléments institutionnels. En effet, si nous nous bornons au charisme comme moment source et spirituel, nous sommes un peu en difficulté. Mais si nous pensons aux aspects institutionnels et, donc, à un charisme remis à l Église et approuvé par l Église, on peut l identifier : ce sont les prêtres religieux, les laïcs, les laïcs consacrés, qui veulent vivre le Mystère de Jésus qui annonce le Règne. C est la spiritualité typique de la royauté du Christ : la royauté du Christ non pas sous l aspect triomphant, mais sous l aspect de Jésus qui triomphe à partir de la Croix. Puis la piété eucharistique très accentuée et la piété mariale. Finalement, l apostolat, c est-à-dire l annonce du Règne du Christ, particulièrement par la création des universités et des études supérieures. Si nous pensons à tout cela, il nous a semblé que la physionomie, la spiritualité de cet Institut est assez claire et précise. P. Lombardi - Dans tout ce chemin, votre évaluation est que le corps de la Légion et du Mouvement Regnum Christi, dans ses aspects essentiels, a réagi positivement, avec disponibilité, à ce chemin de renouveau, au point de pouvoir vraiment avoir confiance, maintenant, qu il soit sur un chemin renouvelé, ou bien sommes-nous encore un peu en chemin?...
4 Card. De Paolis - Je voudrais dire avant tout que notre travail a porté surtout sur les supérieurs car c était le sujet principal, sujet qui avait suscité toute la discussion sur la Légion, qui s était centrée sur son Fondateur, qui était supérieur et supérieur absolu! Qu il suffise de penser - ils l affirment - qu il faisait et défaisait, et qu il ne se servait même pas du Conseil! Le problème était donc justement de les éduquer à une forme de gouvernement, où les supérieurs soient transparents, observent le système de l Église et respectent les règles. Dans cette perspective, puisque nous ne pouvions pas en si peu de temps être présents dans toutes les provinces de la Légion, et avec toutes les questions dont nous devions nous occuper, nous avons suivi la démarche de coopérer avec les supérieurs, ou plutôt de chercher à ce que les supérieurs coopèrent avec nous pour le renouveau, particulièrement sur l exercice de l autorité. En tout cela, nous étions convaincus que, la Légion dotée de supérieurs aptes, la route serait prise et pourrait donc se poursuivre. Je pense pouvoir dire que cela a été fait. On a aussi pu dépasser des tensions internes, qui se sont présentées également : bien sûr, elles n ont pas complètement disparu, mais la grande majorité s est retrouvée compacte. Je pense que le Chapitre commence sous de bons auspices car il y aura encore bien sûr des tendances d ouverture et de fermeture de certains, mais la tendance fondamentale est une acceptation du schéma des Constitutions présenté. La caractéristique à souligner est l obéissance absolue à l Église. Je me souviens, dès le début, avoir écrit dans une lettre qu en conservant cette fidélité et obéissance à l Église, le chemin ne pourrait être que positif. Et je pense qu effectivement, cette obéissance à l Église a été présente : je ne les ai jamais entendu grommeler contre l autorité de l Église, contre nous qui avions été mis à cette place. Bien sûr, l un ou l autre, mais c est normal Sous cet aspect, nous pouvons espérer qu effectivement, ces Constitutions pourront être adaptées à leur objectif, les accompagneront dans leur renouveau, porteront un bon fruit. Elles devront ensuite être approuvées par le Saint-Siège quand elles auront été émises par le Chapitre Général. P. Lombardi - Ce Chapitre affronte-t-il seulement les problèmes du renouveau de la Légion, ou bien également de la plus large et très grande réalité de Regnum Christi? Card. De Paolis - Je pense que notre chemin, sous cet aspect, a été un chemin nouveau car, auparavant, Regnum Christi était plutôt un appendice de la Légion : mais on a pris meilleure conscience que chaque groupe a sa propre autonomie, son identité et son mode de vie, mais qu à la fois, tous forment ensemble, disons, car aujourd hui on parle de «mouvement», un Mouvement. Bien sûr, le terme «mouvement» ne définit pas complètement cette réalité, puisqu il s agit d un ensemble de personnes qui veulent s engager, au sein de l Église, dans Regnum Christi, selon leur propre vocation. Une grande unité, donc, entre des laïcs, des laïcs consacrés et des prêtres religieux engagés dans une coopération étroite : ce sont des choses qu il faut encore définir ultérieurement. Mais il est important de souligner aussi que, d une certaine manière, ce qui a secoué la Légion avec les scandales, n a pas touché ce grand Mouvement de Regnum Christi. C est pourquoi il y a une grande part, une grande réalité ecclésiale qui demeure intacte et qui sert l Église particulièrement dans le domaine de la culture religieuse, des universités catholiques et pontificales et qui est prometteuse. P. Lombardi - Une dernière question. Cette affaire a été mise en route par un mandat donné par le Pape Benoît XVI ; aujourd hui, entre temps, il y a aussi eu un changement de Pontificat et nous avons maintenant le Pape François. Le Pape François est-il entré en pleine connaissance de cette affaire, vous sentez-vous accompagnés par lui, est-il bien informé sur ce qui se passe?
5 Card. De Paolis - Dans ces trois années et demie, je me suis adressé plusieurs fois au Saint-Père Benoît XVI et je lui ai fait des rapports ponctuels. Mais nous avons été pris par surprise au dernier rapport puisqu après la remise du rapport, le Pape a renoncé à sa charge. Quand le nouveau Pape a été nommé, j ai senti le devoir de lui présenter ce rapport ; il m a immédiatement appelé (ce qui veut dire qu il a accordé de l importance au sujet, même si je n avais rien demandé de particulier, j avais juste informé de la situation) ; il m a donc immédiatement appelé et, après quelques jours, il m a écrit une lettre, dans laquelle il me confirmait dans mon travail, il approuvait le programme que je lui avais présenté - c était justement le programme des dates du Chapitre Général - et il demandait que je le tienne informé du chemin de préparation du Chapitre. A la fin du mois de novembre, début décembre, j ai remis au Saint-Père des textes de préparation. Le Pape a été très attentif, très proche et il veut justement suivre le chemin que nous parcourons car - ce sont ses mots «il sent la grand responsabilité, comme Successeur de Pierre, d accompagner la vie religieuse et consacrée». P. Lombardi - Avec le Chapitre, il est prévu que soit élu un nouveau gouvernement de l Institut. Peut-on déjà prévoir que, si tout se passe comme on le souhaite, le mandat du Délégué sera conclu, ou bien est-il possible que le Délégué doive ensuite accompagner le chemin ultérieur? Card. De Paolis - Le mandat du Délégué, donné à l époque par Benoît XVI, n incluait pas de temps précis, mais le terme était lié à la tenue du Chapitre extraordinaire. Après le Chapitre extraordinaire, le mandat arrive à son terme.
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir
Plus en détailLe Baptême des petits enfants en 25 questions
Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous
Plus en détailDéclaration de M. Philipp Hildebrand, Président de la Direction générale de la Banque nationale suisse
Déclaration de M. Philipp Hildebrand, Président de la Direction générale de la Banque nationale suisse Berne, le 9 janvier 2012 Ce que la Banque nationale suisse (BNS) a pu accomplir depuis ma nomination
Plus en détailCOMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION
Stephen Wang COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Mariage, sacerdoce, vie consacrée, diaconat permanent, célibat «Petits Traités Spirituels» Série III «Bonheur chrétien» éditions des Béatitudes Ava n t-p r o
Plus en détailLES RÉSEAUX SOCIAUX ET L ENTREPRISE
LES RÉSEAUX SOCIAUX ET L ENTREPRISE PAR MADAME CHRISTINE LEROY COMMUNITY MANAGER, AGENCE NETPUB Tout d abord, je voudrais remercier le Professeur Drouot de m avoir invitée à cette passionnante table ronde.
Plus en détailVisita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin
N. 0311 Lunedì 27.04.2015 Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin Il Santo Padre Francesco ha ricevuto questa mattina in Udienza i Vescovi della Conferenza Episcopale
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détaildevant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable
VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre
Plus en détailMembre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services
SPEECH/13/XXX Michel BARNIER Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services Dématérialisation de la commande publique : un levier de modernisation de l administration publique
Plus en détailRéception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture
Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25
Plus en détailGuide de la création de site E-commerce pour les débutants
Guide de la création de site E-commerce pour les débutants www.ddlx.org 09 72 19 85 01 Introduction : Un aspect séduisant et attractif d internet, c est qu avec presque rien on peut faire de grandes choses.
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailN Y OU OÙ 1 Homophones grammaticaux de catégories différentes. ni n y ou où
GRAMMATICAUX DE CATÉGORIES DIFFÉRENTES NI HOMOPHONES N Y OU OÙ 1 Homophones grammaticaux de catégories différentes ni n y ou où NI N Y ni : conjonction de coordination. ni est le pendant négatif de ou
Plus en détailCréation d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels
Création d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels Paroisse Saint-François-Xavier des missions étrangères Ce dossier présente les motivations
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailRapport de fin de séjour :
Emmanuel PARIS Etudiant en droit Etablissement d envoi : Université Catholique de Lyon Etablissement d accueil : Université de Trèves (Allemagne) Rapport de fin de séjour : a) Vie pratique : Logement :
Plus en détailModulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1
Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...
Plus en détailFeuille de route 2013-2016
Archidiocèse de sherbrooke Vers un nouveau réseau de collaborations Feuille de route 2013-2016 Malgré les changements apportés, la diminution des ressources humaines et matérielles en milieu ecclésial
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailEntente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC)
Entente administrative sur la certification de produits conclue entre la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) et l Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) (ci-après
Plus en détail«Le Leadership en Suisse»
«Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»
Plus en détailUNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer
MODULE ÉVALUER SON PROJET COMPRENDRE UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer L ÉVALUATION DE L IMPACT SOCIAL L Impact Social
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailSTATUTS «ATELIER THEATRE DE L EVEIL»
1 STATUTS Association «ATELIER THEATRE DE L EVEIL» Logo 2 I. CONSTITUTION OBJET SIEGE SOCIAL DUREE Article 1 : Constitution et Dénomination Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association
Plus en détailThèmes et situations : Renseignements et orientation. Fiche pédagogique
Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : CFP Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Renseignements et orientation Objectifs
Plus en détailPROGRAMME DES COURS DE LICENCE
PROGRAMME DES COURS DE LICENCE DROIT PROCESSUEL (1 ère partie) ENSEIGNEMENTS ANNÉE C Abbé Bernard du PUY-MONTBRUN Ce cours sera consacré à l étude des procès canoniques. Après une introduction à l aide
Plus en détailPour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue
Alcool Pour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue Pour réduire sa consommation Alcool Vous envisagez de réduire votre consommation de boissons alcoolisées, mais vous vous posez des questions : vous
Plus en détailUn gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé
Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance
Plus en détailTIM S.A., une aventure d Homme
Comité d entreprise 1 Sommaire Edito de M. Hans-Jürgen Hellich, Directeur Général de Tim SA p. 9 Edito de Cyril Terrière, Secrétaire du Comité d Entreprise Tim SA p. 11 Itinéraires croisés d une entreprise
Plus en détailCHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION
ORGANISATION DE LA COMMUNICATION Pour toute communication, il est important de bien cibler l objectif à atteindre. Sans une démarche de planification et d organisation de celle-ci, les probabilités de
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailTechniques d accueil clients
Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit
Plus en détailChapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting
Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Contenu Contexte................................................................ 101 Examen du contrat........................................................
Plus en détailMotion pour «L interdiction des affiches publicitaires pour le petit crédit»
Motion pour «L interdiction des affiches publicitaires pour le petit crédit» De par mon métier d assistante sociale, je peux constater les ravages de l endettement sur la vie des familles et des jeunes
Plus en détailQuestion Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque?
Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque? Votre entrepreneur devrait avoir, ou peut facilement obtenir, un document de Travail sécuritaire NB qui indique qu
Plus en détailGarth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen
Plus en détailresponsable? Qui est Sinistres «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas»
Sinistres Qui est responsable? «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas» Comment l expert en sinistres détermine la responsabilité L incidence de la responsabilité Possibilités d appel Mars
Plus en détailDiscours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013
1 Première conférence du Comité régional de l AIAD (Association internationale des assureurs-dépôts) pour l Amérique du Nord sur les règlements transfrontières et les institutions-relais Discours d ouverture
Plus en détailSacerdoce commun et vie consacrée 1
Vies consacrées, 82 (2010-4), 270-279 Sacerdoce commun et vie consacrée 1 L année sacerdotale qui s est récemment achevée a été l occasion de nombreuses réflexions, tant sur le sacerdoce commun que sur
Plus en détailKerberos mis en scène
Sébastien Gambs Autour de l authentification : cours 5 1 Kerberos mis en scène Sébastien Gambs (d après un cours de Frédéric Tronel) sgambs@irisa.fr 12 janvier 2015 Sébastien Gambs Autour de l authentification
Plus en détailÀ propos d exercice. fiche pédagogique 1/5. Le français dans le monde n 395. FDLM N 395 Fiche d autoformation FdlM
fiche pédagogique FDLM N 395 Fiche d autoformation FdlM Par Paola Bertocchini et Edvige Costanzo Public : Futurs enseignants en formation initiale et enseignants en formation continue Objectifs Prendre
Plus en détailCompte rendu. Jeudi 12 mars 2009 Séance de 10 heures. Commission des Finances, de l économie générale et du Plan
Compte rendu Commission des Finances, de l économie générale et du Plan Examen de la proposition de résolution sur le renforcement de la régulation financière (n 1512)...2 Information relative à la Commission...7
Plus en détailLa Constitution européenne
La Constitution européenne "Le Parlement européen approuve la Constitution et appuie sans réserve sa ratification"(*): elle éclaire la nature et les objectifs de l'union, renforce son efficacité et son
Plus en détailGROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS
Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)
Plus en détailMais revenons à ces deux textes du sermon sur la montagne dans l évangile de Matthieu.
«AIMER SES ENNEMIS» «Qui veut prendre ta tunique, laisse lui aussi ton manteau». Si quelqu un te force à faire mille pas, fais-en deux mille avec lui». «Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent»
Plus en détailCamus l a joliment formulé : le seul. introduction
introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La
Plus en détailLA LETTRE D UN COACH
LA LETTRE D UN COACH COACH DIDIER GAGNANT KALIPE N 18 du Dimanche 04 Mai 2014 «Il fallait commencer un peu plutôt ; c'est-à-dire maintenant et résolument.» Un Coach vous enseigne la Méthode qui permet
Plus en détailLa nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ. Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS. En partenariat avec
La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ En partenariat avec Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS 4 MÉMENTO Dans le cadre d un projet d étude collectif, notre promotion a effectué un
Plus en détailAnnexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration
Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de
Plus en détailAdaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité
1 Organisation d un club Organigramme du club Description des fonctions des officiers et autres responsables désignés Activités des comités du club Méthode de travail des comités Rapports des comités Une
Plus en détailRÉALISATION D UN SITE DE RENCONTRE
RÉALISATION D UN SITE DE RENCONTRE Par Mathieu COUPE, Charlène DOUDOU et Stéphanie RANDRIANARIMANA Sous la coordination des professeurs d ISN du lycée Aristide Briand : Jérôme CANTALOUBE, Laurent BERNARD
Plus en détailLiberté Egalité Laïcité
Liberté Egalité Laïcité «Si je voulais faire rire il y a 30 ans je parlais de religion, si je voulais intéresser je parlais de politique ; c'est l'inverse aujourd'hui» Michel Serres César et Dieu. Nombre
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détailFédération des Mouvements Personne D Abord du Québec
Fédération des Mouvements Personne D Abord du Québec VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET ÉQUITABLE Bonjour, je me présente, Louise Bourgeois, présidente de la Fédération des Mouvements Personne
Plus en détailMÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie
MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu
Plus en détailJe viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences
Je viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences Cette révélation est donnée en français à Sulema, une femme née en 1954 au Salvador. Depuis plus de 30 ans, elle vit au Canada avec
Plus en détailChapitre 3: Qui tient les ficelles en Europe?
Chapitre : Qui tient les ficelles en Europe?. Qui est qui? Tout comme une commune, une province ou un pays, l Union européenne est gouvernée par des politiciens. Ceux-ci travaillent au sein de différentes
Plus en détailTravailleur autonome. 6. Avez-vous eu des changements dans vos activités/opérations depuis le dernier renouvellement? :
FORMULAIRE POUR NOUVEAU ADHÉRANT PROGRAMME D ASSURANCE DIC Assurance de responsabilité civile et professionnelle pour les membres de designers d intérieur du Canada (DIC) Une copie des documents suivants
Plus en détailLE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE
LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE Avant-propos Cher copropriétaire, Vous venez d acquérir un logement dans un immeuble en copropriété. Nous sommes heureux de vous accueillir et nous vous souhaitons d y vivre
Plus en détailISBN 979-10-91524-03-2
ISBN 979-10-91524-03-2 Quelques mots de l'auteur Gourmand le petit ours est une petite pièce de théâtre pour enfants. *** Gourmand le petit ours ne veut pas aller à l'école. Mais lorsque Poilmou veut le
Plus en détailReprésenter son Unité à l'assemblée Générale du Mouvement
Publications SGP SGP - P904006 - P904074 Mensuel - Mensuel - Numero - Numéro Spécial Spécial - N 157 - N - Août 157 2009 - Août (Ne 2009 paraît (Ne pas paraît en juillet) pas en - Ed. juillet) resp. -
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailNotre Programme de responsabilité Formation au Code déontologique de Nyrstar Code déontologique Des craintes? Contactez
Code déontologique Le Nyrstar Way Se prémunir de tout préjudice Eviter tout préjudice à notre personnel, notre environnement, notre stratégie et veiller à l intégrité de nos sites et équipements Etre ouvert
Plus en détailI. ENTRETIEN AVEC PAUL MBA-ABESSOLE,. PRÉSIDENT DU COMITÉ DIRECTEUR DU MORENA
I. ENTRETIEN AVEC PAUL MBA-ABESSOLE,. PRÉSIDENT DU COMITÉ DIRECTEUR DU MORENA Q. : Quelle est la repre-ientatìvìte- du MORENA? R. : On m a dit qu actuellement le MORENA aurait 80 % de sympathisants...
Plus en détailSondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -
Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements
Plus en détailclient. ECOUTE, SIMPLICITE, SERVICE... Pour ELCIA, l'accompagnement est la clé de la satisfaction ELCIA, le savoir-faire et l'écoute
Communiqué de presse Octobre 2007 ECOUTE, SIMPLICITE, SERVICE... Pour, l'accompagnement est la clé de la satisfaction client. «Gagner du temps, être plus réactif» «Hyper convivialité et souplesse d utilisation»
Plus en détailIntervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,
Plus en détailQue fait l Église pour le monde?
Leçon 7 Que fait l Église pour le monde? Dans notre dernière leçon, nous avons vu que les croyants ont des responsabilités vis-à-vis des autres croyants. Tous font partie de la famille de Dieu. Les chrétiens
Plus en détailSTATUTS. Statuts APOGES V2014-03-19 1/11
STATUTS Statuts APOGES V2014-03-19 1/11 Présentation de l'association L'association est l Alumni des diplômés des titres protégés : Diplôme postgrade HES en gestion d entreprise 1, Master of Advanced Studies
Plus en détailDéfinition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats
Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays
Plus en détailCONSTITUTION. Barreau de la Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale PRÉAMBULE. Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale
CONSTITUTION = BLC-ICC MGKarnavas DRAFT-1= Barreau de la Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale PRÉAMBULE Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale RASSEMBLÉE à (lieu) le (date)
Plus en détailLA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES
LA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES PAR François ROUX Depuis Nuremberg jusqu au Tribunal spécial pour le Liban, la défense devant les tribunaux pénaux internationaux a subi une évolution
Plus en détailComment organiser et animer. Jeudi 1 er Juin 2006
une Assemblée e Générale G Jeudi 1 er Juin 2006 L Assemblée e Générale G : Une corvée e Une cérémonie c Un spectacle L assemblée e générale g est le moment oùo l ensemble de ceux qui ont passé convention
Plus en détailLes principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012
Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012 Tour de table d une dizaine d indépendants et gérants de P.M.E.
Plus en détailToi seul peux répondre à cette question.
Suis-je dépendant ou dépendante? Traduction de littérature approuvée par la fraternité de NA. Copyright 1991 by Narcotics Anonymous World Services, Inc. Tous droits réservés. Toi seul peux répondre à cette
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailCela lui fut imputé à justice. Lecture de l épître de Saint-Paul aux Romains, chapitre 3, versets 27 à 31 et chapitre 4 versets 1 à 25 :
Cela lui fut imputé à justice Lecture de l épître de Saint-Paul aux Romains, chapitre 3, versets 27 à 31 et chapitre 4 versets 1 à 25 : Où donc est le sujet de se glorifier? Il est exclu. Par quelle loi?
Plus en détailÉpreuve de Compréhension orale
60 questions (4 sections) 40 minutes L épreuve de compréhension orale rassemble 4 sections comprenant 60 questions (questions 51 à 110). SECTION A SECTION B 8 questions Associer des illustrations à des
Plus en détailPARTAGER LES TÂCHES MÉNAGÈRES
Activités éducatives pour les 10 à 11 ans PARTAGER LES TÂCHES MÉNAGÈRES VOTRE ENFANT APPREND À : FAIRE DES CHOIX SELON LES BESOINS ET LES DÉSIRS D UN GROUPE RÉALISER UN PROJET COMMUN EN COOPÉRATION PARTAGER
Plus en détailBonsoir, Mesdames et Messieurs,
Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de
Plus en détailSTATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE
STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE Publié le 1 er juin 2013 STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE Voté par le Comité national de l Enseignement catholique le 15 février 2013. Adopté
Plus en détailRedépôt du projet de loi C-377 Sommaire de nos arguments
[Logo] 14, McQuade Lake Crescent Tél. : 902-450-1012 Bureau 205 Téléc. : 902-450-1013 Halifax (Nouvelle-Écosse) B3S 1B6 Courriel : info@mainlandbuildingtrades.ca Redépôt du projet de loi C-377 Sommaire
Plus en détailL Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11
L Enseignement religieux au Luxembourg Sondage TNS-ILRES Juillet 08 11 5 av. Marie Thérèse L-2132 Luxembourg tél.: 44743-501 sesopi-ci@sesopi-ci.lu www.sesopi-ci.lu 978-2-9599806-3-3 Documentation Etude
Plus en détail«Je pense, donc je suis» est une grande découverte
6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui
Plus en détailNormes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives
Normes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives Ministère de la Sécurité publique Application des lois sur les véhicules hors route Mars 2009 A. Normes de conception et d entretien des
Plus en détailI- Quel est le but du contrôle «quinquennal» (contrôle obligatoire tous les cinq ans)?
ARC/ HTTP://WWW.UNARC.ASSO.FR/ DOSSIER DU MOIS DE DECEMBRE 2008 Le contrôle quinquennal obligatoire des ascenseurs Le contrôle quinquennal des ascenseurs a été institué par l article 79 de la loi du 2
Plus en détailVersion 6.0 du 07/11/06. Comment décloisonner mes services et les faire travailler ensemble vers les mêmes objectifs?
Version 6.0 du 07/11/06 Comment décloisonner mes services et les faire travailler ensemble vers les mêmes objectifs? Salut Paul Tu as l air relax, ce n est pas ton habitude Oui, c est incroyable! On n
Plus en détail23. Le discours rapporté au passé
23 23. Le discours rapporté au passé 23.1 LE DISCOURS INDIRECT On utilise le discours indirect pour transmettre : Les paroles de quelqu un qui n est pas là : Il me dit que tu pars. Les paroles de votre
Plus en détailQUID DES ACTES CONCLUS PENDANT LA PERIODE DE FORMATION DE LA SOCIETE?
QUID DES ACTES CONCLUS PENDANT LA PERIODE DE FORMATION DE? FICHE CONSEIL Page : 1/8 Au moment de la constitution d une société, les futurs associés sont conduits fréquemment à s engager pour le compte
Plus en détailSuis-je toujours le même?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Suis-je toujours le même? Introduction Avant de répondre à la question, il faut comme toujours en philosophie bien en comprendre le problème. Le " je suis " fait
Plus en détailLes libertés individuelles et le monde du travail : Scènes de ménage?
Les libertés individuelles et le monde du travail : Scènes de ménage? Comment concilier au mieux les conditions de travail avec les libertés individuelles des salariés? Une telle question s avère souvent
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailJournée sans maquillage : une entrevue entre ÉquiLibre et ELLE Québec
Journée sans maquillage : une entrevue entre ÉquiLibre et ELLE Québec Cette semaine, Fannie Dagenais, la directrice générale d ÉquiLibre, et Louise Dugas, la rédactrice en chef reportage, culture et style
Plus en détailFootball Club La Sarraz-Eclépens Case Postale 47 1315 La Sarraz Couleurs : rouge - jaune - blanc
Fusion du FC La Sarraz (1910) et du FC Eclépens (1968) le 5 mai 1994 E-Mail : secretariat@fclasarraz-eclepens.ch No A.S.F. : 09 101 L E S S T A T U T S D U F O O T B A L L C L U B L A S A R R A Z E C L
Plus en détailChristen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire?
Christen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire? Mariage entre catholiques et musulmans 1ère partie pour une pastorale du discernement aide pastorale 2 Groupe de travail «Islam» de la CES 2
Plus en détailSTATUTS DU COMITE UGSEL PARIS
STATUTS DU COMITE UGSEL PARIS TITRE I - CONSTITUTION Article 1 Il est formé entre les adhérents aux présents statuts, conformément aux dispositions de la loi du 1er juillet 1901, un comité départemental
Plus en détailRÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires
RÈGLEMENT sur la collaboration avec les intermédiaires Fédération Internationale de Football Association Président : Joseph S. Blatter Secrétaire Général : Jérôme Valcke Adresse : FIFA FIFA-Strasse 20
Plus en détail