3) Le comportement hygrothermique du bâti ancien. > Les propriétés du bâti ancien > Les outils pour le diagnostic

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "3) Le comportement hygrothermique du bâti ancien. > Les propriétés du bâti ancien > Les outils pour le diagnostic"

Transcription

1 3) Le comportement hygrothermique du bâti ancien > Les propriétés du bâti ancien > Les outils pour le diagnostic 11

2 Les différents outils du diagnostic énergétique Factures, relevés, équipements Caméra Infrarouge Test d étanchéité à l air Mesures de T, de consommations Relevés sur le terrain Phase diagnostic Simulation thermique dynamique Simulation hygrothermique Simulations numériques Phase calculs 22

3 Relevé des factures, enquête occupants, équipements L analyse des factures est un outil indispensable pour connaître les consommations RÉELLES de départ. Couplée à une étude des habitudes énergétiques des occupants par questionnaire et/ou par entretien. Elle permettra de recaler le modèle numérique logiciel. Relevés des équipements Plans et coupe du bâtiment Systèmes constructifs 33

4 La thermographie par caméra infrarouge Principe : Tout corps émet de la chaleur par rayonnement thermique. La caméra capte le rayonnement émis par les parois et permet d afficher une image correspondant aux températures en différents points de la scène visée. Permet d affiner la connaissance du comportement thermique des parois. Rend visible les faiblesses thermiques de l enveloppe (ponts thermiques, défauts d étanchéité à l air...) Cet outil est destiné à une analyse qualitative (pas de possibilité de calculs). L interprétation des images observée est très complexe, peu d organismes possèdent pour l instant une réelle qualification en la matière. La caméra permet d obtenir des images parlantes (à prendre avec des pincettes) mais reste facultative dans l étude de l enveloppe. 44

5 La thermographie par caméra infrarouge Repérage des faiblesses thermiques : Source: CETE Est 55

6 La thermographie par caméra infrarouge Repérage des modes constructifs Source: CETE Est 66

7 Les outils de mesure de l étanchéité à l air Source: CETE Lyon 77

8 Valeurs mesurées sur le bâti ancien: logements collectifs catégorie Haussmannien en pierre - 2 logements Haussmannien briques Logement sur commerce Maison ouvrière partagée en 2 Photo I4 en m 3 /h.m² env 0,83 1,70 1,2 3,0 0,77 N50 en vol/h 4,4 7,7 6,5 17,7 3,8 Source: CETE Est 88

9 Valeurs mesurées sur le bâti ancien: maisons individuelles catégorie Maison en granit Bretagne Grande demeure en calcaire tendre Meuse Maison calcaire dur Dordogne Photo I4 en m 3 /h.m² env 3,14 2,61 3,37 N50 en vol/h 15,72 18,8 11,1 Source: CETE Est / CETE Ouest 99

10 Exemples de défauts d étanchéité à l air Source: CETE Est/Lyon 10

11 Capteurs de températures et de consommations Source: CETE Est 11

12 Comparaison de la T des murs et de l air de la pièce Cas d un logement haussmannien en hiver comparaison de T air et de T surface du mur Température ( C) Tair intérieur Tsurface mur temps Source: CETE Est 12

13 Comparaison de la T des murs et de l air de la pièce N logts Catégorie I matériau pourcentage d'heures où T int - T surface >5 C Hiver période d'étude 1_1 Matériau 1 calcaire extra dur 4,7% 17/12/2008 au 31/03/2009 1_2 calcaire extra dur 5,4% 17/12/2008 au 31/03/2009 2_1 Matériau 2 calcaire tendre 0,0% 03/12/2008 au 31/03/2009 3_2 Matériau 4 4_2 Matériau 4 Catégorie II colombage rempli brique? 2,3% colombage rempli brique? 2,1% 18/12/2008 au 31/03/ /12/2008 au 31/03/2009 5_1 Matériau 1 calcaire extra dur 96,4% 27/11/2008 au 31/03/2009 5_2 calcaire extra dur 78,7% 29/11/2008 au 31/03/2009 6_1 Matériau 2 briques 90,2% 15/11/2009 au 22/03/2010 Catégorie III 7_1 Matériau 1 granit 16,1% 15/11/2009 au 31/03/2010 8_1 Matériau 2 calcaire tendre 7,8% 09/01/2009 au 31/03/2009 9_1 Matériau 2 briques 0,2% 14/01/2009 au 31/03/ _1 Matériau 3 pisé 2,5% 02/12/2008 au 30/03/2009 Catégorie IV 11_1 Matériau 1 calcaire extra dur 46,0% 15/11/2009 au 31/03/ _1 Matériau 2 calcaire tendre 7,7% 08/01/2009 au 31/03/ _1 Matériau 3 adobe 26,4% 14/01/2009 au 31/03/2009 colombage 14_1 Matériau 4 torchis 4,9% 15/11/2009 au 31/03/2010 Source: CETE Est et Ouest 13

14 Les logiciels de simulation thermique des bâtiments Il existe plusieurs types de logiciel de simulation thermique : Logiciel pour le calcul réglementaire RT : utilisé pour vérifier la conformité d un bâtiment neuf à la RT2005 (moteur Th-C-E) ou d une rénovation de bâtiment construit après 1948 (RT existant, Th-C-Ex). Leur moteur de calcul est conçu par le CSTB pour le Ministère du MEEDDM, puis vendu avec une interface privée (ex : Perrenoud, Climawin ) Logiciel pour le DPE des logements: dit «3CL». Il permet de calculer l étiquette DPE d un logement construit après Logiciel de simulation thermique dynamique: permet de modéliser un bâtiment neuf ou une rénovation pour simuler ses besoins d énergie futurs pour le chauffage, le refroidissement, et les températures atteintes dans le bâtiment. Logiciels développés par des entreprises privées. 14

15 Simulation thermique dynamique du bâti ancien Simulation dynamique = on prend en compte à chaque instant la réaction du bâtiment face aux sollicitations thermiques extérieures ou intérieures (soleil, apports internes ) On considère le bâtiment comme «vivant», interagissant avec son environnement. (C est le cas des bâtiments anciens!) Seuls les logiciels de simulation dynamique sont pour l instant capables de refléter le comportement thermique du bâti ancien. Les consommations simulées sont proches des consommations réelles. Mais les modèles doivent être calés sur la réalité en utilisant les factures d énergie fournies par les occupants. Ex : Ville de Grenoble, 15

16 Etude des transferts d humidité Des logiciels existent pour étudier les transferts de l humidité dans les parois du bâtiment. Objectif : Contrôler si les solutions d isolation proposées ne créent pas de désordres ou de barrières nocives à ces transferts. Exemple de logiciels: WUFI, Delphin, HygIRC, STEP Ils permettent de prendre en compte les propriétés hydriques des matériaux : perméabilité à la vapeur d eau, hygroscopicité, capillarité. L évolution de la teneur en eau de la paroi peut être visualisée au pas de temps horaire sur une période longue (10 ans) Teneur en eau (kg/m3) Ex: étude des remontées capillaires pierre naturelle Pierre + plâtre «= 10» Pierre + ciment «= 25» Pierre + ciment + carrelage Pierre + plâtre + 60 cm carrelage 16

17 Etude des remontées capillaires dans un mur en grès pierre naturelle enduit de plâtre enduit de ciment carrelage Teneur en eau (kg/m3) pierre Pierre + plâtre Pierre + ciment Pierre + ciment Pierre + plâtre d'après TORRES et FREITAS, Modelling of rising damp in historical buildings 17

18 4) Quelles solutions de réhabilitations? 18 18

19 Réhabilitation thermique du bâti ancien : Faire les choses dans le bon ordre 1) Réduire les besoins en énergie du bâtiment. 2) Installer des équipements plus performants. 3) Recourir aux énergies renouvelables. Et à chaque bâtiment ancien Ses solutions 19

20 Réhabilitation thermique du bâti ancien : Conserver les qualités & améliorer les points faibles Ne pas perturber l équilibre hygrothermique existant (choisir des isolants compatibles sur le plan hydrique). Ne pas dégrader le confort d été et améliorer le confort d hiver (se servir de l inertie thermique existante ou l améliorer). Contrôler la qualité de l air intérieur (ventilation). Concilier qualités patrimoniales et thermiques. 20

21 Des exemples de solutions de réhabilitation adaptées au bâti ancien : Interventions sur les fenêtres Interventions sur les murs anciens Correction thermique Isolation 21

22 Interventions sur les fenêtres : 1) Menuiserie de départ en bon état 2) Survitrage intérieur monté sur chassis ouvrant 3) Pose de double-vitrages mince avec conservation des petits bois. Pose d une double fenêtre : U départ W/m².K 4,5 U final W/m².K 1,4 Source: 22

23 Interventions sur les murs : 23

24 Interventions sur les murs : Pas de solution universelle! Diverses solutions constructives sont utilisables Il faut sélectionner parmi les solutions bien adaptées à chaque type de bâtiment et en fonction des objectifs visés (performance thermique, pérennité du bâti, confort hygrothermique hiver et été)

25 Interventions sur les murs : Rappel des propriétés à étudier, avant de faire un choix : Résistance thermique (coefficient R ou équivalent U) Mais aussi. : Inertie thermique (capacité thermique du matériau) Effusivité thermique (pour choix du revêtement intérieur) Comportement à l eau (cas du bâti ancien en particulier) Résistance à la vapeur d eau Hygroscopicité

26 Rappel des propriétés hygrométriques des matériaux à considérer : 1) La résistance à la vapeur d eau (coefficient µ) caractérise la quantité de vapeur d eau pouvant traverser un mur 2) L hygroscopicité et la capillarité (courbe de sorption) caractérise la capacité du matériau à stocker et destocker l humidité 3) La sensibilité à l humidité caractérise l altération du matériau en présence d eau

27 La résistance à la vapeur d eau Pull Gore-Tex Matériaux Epaisseur m µ Facteur de résistance à la vapeur d'eau Sd Air (référence) m Plaque de platre 0, ,1 m Laine de verre 0,15 1 0,15 m Enduits (chaux-plâtre) 0, ,2 m Mortier ciment 0, ,8 m OSB 0, m Brique 0, m Polystyrène 0, m Pierre calcaire ferme 0, m Béton 0, m Bitume 0, m K-Way La résistance à la vapeur d eau s exprime en épaisseur de lame d air équivalente Sd (en m) : Sd = µ x e 2 7 d'après Bruno JARNO, Patrimoine bâti et développement durable, AJENA 27

28 La résistance à la vapeur d eau NON PERMEABLE A LA VAPEUR D EAU PEU PERMEABLE A LA VAPEUR D EAU PERMEABLE A LA VAPEUR D EAU Ouate de cellulose Verre cellulaire Polystyrène expansé Panneau de fibre de bois Laine minérale Panneau de liège Polystyrène extrudé Laine de chanvre 2 8 d'après Bruno JARNO, Patrimoine bâti et développement durable, AJENA 28

29 L hygroscopicité La structure poreuse La condensation capillaire L humidité dans les matériaux bois 2 9 ciment Source : IBP Certains matériaux sont capables de stocker et de déstocker de l humidité lorsque l humidité relative de l air varie. On dit qu ils sont hygroscopiques. Le comportement capillaire permet de répartir l eau de condensation, évitant ainsi de concentrer les problèmes d humidité. d'après Bruno JARNO, Patrimoine bâti et développement durable, AJENA 29

30 L hygroscopicité Polystyrène expansé Panneau de liège Ouate de cellulose Polystyrène extrudé Verre cellulaire HYGROSCOPIQUE CAPILLAIRE NON HYGROSCOPIQUE NON CAPILLAIRE Panneau de fibre de bois Laine minérale Laine de chanvre 3 0 d'après Bruno JARNO, Patrimoine bâti et développement durable, AJENA 30

31 La sensibilité à l eau Ouate de cellulose Verre cellulaire Polystyrène expansé Polystyrène extrudé Panneau de fibre de bois Panneau de liège NON PUTRESCIBLE NON ALTERABLE Laine minérale NON PUTRESCIBLE - ALTERABLE si condensation Laine de chanvre PUTRESCIBLE & ALTERABLE si teneur en eau critique dépassée 3 1 d'après Bruno JARNO, Patrimoine bâti et développement durable, AJENA 31

32 Le frein vapeur # pare vapeur Différence importante! Pare vapeur : Technique conventionnellement utilisée S apparente à un film polyane complétement étanche à la vapeur d eau Protège les isolants non hygroscopiques (laines minérales) Efficacité très limitée en réalité au niveau des jonctions avec les planchers, le passage des réseaux, Frein vapeur : Stratégie d isolation «respirante» (perméable à la vapeur d eau) Perméable à la vapeur d eau Régule l hygrométrie au sein du mur Particulièrement adapté aux isolants végétaux et animaux (laine de chanvre, laine de mouton, ouate de cellulose, )

33 En pratique, un principe à conserver Intérieur Extérieur 3 3 Source: 33

34 En pratique : 2 grandes familles de solutions La correction thermique par enduit isolant < 6 cm L isolation thermique par des épaisseurs plus importantes

35 En pratique : correction thermique Dans de nombreux cas, une simple «correction thermique» des murs permet déjà d améliorer le confort d hiver et d augmenter la résistance du mur, sans perturber le fonctionnement hygrométrique et sans perdre complètement l inertie du bâtiment : Exemple courant : Utilisation d enduits isolants type Chaux Chanvre 5cm environ 3 5 Source: ville de Poitiers Source: Terre vivante 35

36 En pratique : correction thermique extérieure Ex: mise en oeuvre d un enduit isolant minéral chaux + silice (Unilit 20, λ=0,066w/m.k) Épaisseur (en cm) 1 cm 2 cm 3 cm 4 cm 5 cm Gain sur la consommation annuelle de chauffage (%) 10 % 19 % 26 % 30 % 34 % Ex : Ville de Grenoble, 3 6 Coût enduit 5 cm (HT) = 90 /m2 + échafaudage 25 /m2 Conso annuelle avant = 105 kwh ef /m²/an et après travaux: 70kWh ef /m²/an Gain annuel pour un appartement de 100 m² = suivant le mode de chauffage Prescription particulière : respecter le relief de la modénature, (appuis et encadrements des baies, corniches). Le support doit être entièrement décrouté avant travaux pour éviter tout risque de surépaisseur. 36

37 En pratique : isolation thermique Au delà de cette correction thermique, la pose d isolant est possible, en veillant alors à choisir un isolant perméable à la vapeur d eau et hygroscopique (éventuellement muni d un frein vapeur en isolation intérieure) Exemples : Laine de chanvre en pose intérieure Ouate de cellulose en pose intérieure Panneau de fibre de bois en pose extérieure

38 En pratique : isolation thermique intérieure Ex: isolant panneau laine de bois (Homatherm) 10 cm entre montant bois (+ lame d air) Épaisseur (en cm) Gain sur la consommation annuelle de chauffage (%) Ex : Ville de Grenoble, 10 cm 46 % 16 cm 52 % Coût de mise en oeuvre pour 10 cm (HT) = 40 /m2 Conso annuelle avant = 105 kwh ef /m²/an et après travaux: 60 kwh ef /m²/an Gain annuel pour un appartement de 100 m² = suivant chauffage 3 8 Coût de mise en oeuvre pour isolant minéral Multipor (Xella) : 70 /m2 38

39 Merci pour votre attention 39 39

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique

Plus en détail

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Objectifs Performance thermique Pérennité du bâtiment Performance acoustique Protection incendie Santé Confort d été Confort ressenti

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE Evolution et phases de la réalisation d une habitation en ossature bois et en écoconstruction. Qu est-ce qu une maison passive?

Plus en détail

UNE IMPERIEUSE NECESSITE CHALONS EN CHAMPAGNE 1 er juillet 2011

UNE IMPERIEUSE NECESSITE CHALONS EN CHAMPAGNE 1 er juillet 2011 ETANCHEITE A L AIR DANS LE BATIMENT UNE IMPERIEUSE NECESSITE CHALONS EN CHAMPAGNE 1 er juillet 2011 Ressources documentaires: bureaux d étude: WIGWAM, ALSATECH, EXPAIR 21, AFORDEX, ENERTECH Contexte général

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de

Plus en détail

L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS

L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS INFORMATIONS TECHNIQUES T 22 Mutuelle des Architectes Français assurances SEPTEMBRE 2011 ANNULE ET REMPLACE LA FICHE T 22 DE NOVEMBRE 1996 L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS Fiche élaborée par Clément Carpentier,

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

Plus en détail

le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier

le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier Étanchéitéàl air le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier Les rencontres du Groupe PROTEC - CONFERENCE Qui sommes nous? Bureau de mesure et contrôle de la perméabilité à l air Formations en Infiltrométrie

Plus en détail

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations

Plus en détail

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

isolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison

isolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison Parlons peu isolons mieux. Multimax 0 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison En rénovation, Multimax 0 permet d optimiser efficacité thermique et espace habitable

Plus en détail

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse

Plus en détail

Isoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant

Isoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Isoler son logement Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Édition : juillet 2015 sommaire glossaire introduction De nombreuses raisons d isoler votre maison....

Plus en détail

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p.

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p. solutions B É T O N Inertie thermique et confort d été UNE TROP FORTE CHALEUR À L INTÉRIEUR D UNE HABITATION EST UN Logements Paris FACTEUR D INCONFORT IMPORTANT.SI CELA EST SOUVENT VÉCU COMME UNE FATALITÉ,

Plus en détail

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort

MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort www.monier.be MONIER systèmes d isolation de toiture à l extérieur Savez-vous que

Plus en détail

Compétences Bois. inclinées en rénovation

Compétences Bois. inclinées en rénovation 4 Compétences Isolation des toitures inclinées en rénovation Bois Sommaire 1. Les risques d humidité 2. Notions générales pour isoler une toiture 3. Cas de figures proposés dans le cadre de Compétences

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

Isoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant

Isoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Isoler son logement Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Édition : juillet 2014 sommaire glossaire introduction De nombreuses raisons d isoler votre maison....

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?

www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100

Plus en détail

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

Acoustique et thermique

Acoustique et thermique Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!

Plus en détail

ISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR

ISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS DÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LES MURS PAR

Plus en détail

Enfin un mur Éco Écologique Économique

Enfin un mur Éco Écologique Économique En instance de brevet Enfin un mur Éco Écologique Économique Le mur HighTech 2 fabriqué par Ultratec apporte une amélioration considérable aux standards actuels de fabrication de l industrie. Excédant

Plus en détail

Construction en bottes de paille

Construction en bottes de paille Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)

Plus en détail

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS

Plus en détail

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE La mise en œuvre BBC Formation pour entreprises IBSE 2 Les labels Maison bioclimatique Maison conçue pour bénéficier de tous les avantages du climat et du terrain ainsi que de la végétation environnante.

Plus en détail

Editorial. Daniel BEGUIN

Editorial. Daniel BEGUIN Editorial Bien que cette question soit moins souvent évoquée que la pollution industrielle ou les émissions de gaz carbonique liées aux véhicules, la construction d une maison peut représenter un enjeu

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX

Plus en détail

CHARPENTIER / CHARPENTIÈRE

CHARPENTIER / CHARPENTIÈRE CHARPENTIER / CHARPENTIÈRE de nouvelles exigences... Le respect de l'environnement est désormais au cœur de tous les métiers du bâtiment. Chaque professionnel-le doit maîtriser les nouvelles normes et

Plus en détail

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement SDH - SARL n 23 Avenue Gambetta 17100 Saintes Tél. : 05 46 97 61 34 - Fax : 05 46 97 26 30 N SIREN : 504 761 248 Compagnie d assurance : Generali Assurances n AL169975 Diagnostic de performance énergétique

Plus en détail

B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction

B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.1.- Caractéristiques d absorption B2.1.1.- Coefficients d absorption de surfaces couvertes par différents éléments Maçonnerie et enduits

Plus en détail

GUIDE CONCILIER EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET ACOUSTIQUE DANS LE BÂTIMENT

GUIDE CONCILIER EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET ACOUSTIQUE DANS LE BÂTIMENT GUIDE CONCILIER EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET ACOUSTIQUE DANS LE BÂTIMENT Avec le soutien de la DGALN Référence Y09 12 0000494 SOMMAIRE 1 INTRODUCTION... 4 2 LES EXIGENCES À ATTEINDRE EN THERMIQUE ET EN ACOUSTIQUE...

Plus en détail

Les outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest

Les outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest Les outils de simulation Myriam HUMBERT CETE Ouest Outils de simulation pour la GPE Objectif Ø Recommandations pour la mise en œuvre des calculs dans le cadre d une GPE ü Analyse qualitative des outils

Plus en détail

Protection thermique d été. Facteurs d influence et méthodologie de planification.

Protection thermique d été. Facteurs d influence et méthodologie de planification. Protection thermique d été. Facteurs d influence et méthodologie de planification. La protection thermique d été prend de l importance. L homme a pris conscience que notre train de vie actuel est en partie

Plus en détail

GUIDE DES MATERIAUX ISOLANTS

GUIDE DES MATERIAUX ISOLANTS GUIDE DES MATERIAUX ISOLANTS LE RESEAU ESPACE INFO ENERGIE 1 UN SERVICE GRATUIT NEUTRE ET INDEPENDANT Il s appuie sur 7 structures locales existantes au sein desquelles une douzaine de conseillers techniques

Plus en détail

Les bonnes pratiques de l isolation. Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés

Les bonnes pratiques de l isolation. Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés Les bonnes pratiques de l isolation Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés Une bonne Une bonne isolation La recherche de la performance énergétique du niveau de la basse consommation

Plus en détail

Construire et rénover sans se tromper

Construire et rénover sans se tromper GUIDE DE L ÉCO-HABITAT Construire et rénover sans se tromper CEDER Centre pour l Environnement et le Développement des Énergies Renouvelables Accompagnement, informations et conseils gratuits Avenue Gabriel

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Notre métier... p 4. Matière première... p 6. Ossature bois... p 9

Notre métier... p 4. Matière première... p 6. Ossature bois... p 9 Notre métier... p Matière première... p Ossature bois... p 9 Éléments constitutifs... p 0 Assemblages... p Performances énergétiques... p Réalisations... p Notre métier Matière première Charpentes Françaises

Plus en détail

COMPTE-RENDU ÉTUDE PHASE B

COMPTE-RENDU ÉTUDE PHASE B «Eco-construction : Bâtissons notre avenir» COMPTE-RENDU ÉTUDE PHASE B Étude de cas de 6 réalisations étude réalisée avec le soutien de : Sommaire Sommaire...3 Objet...9 Contenu...9 Méthode...9 1)Le choix

Plus en détail

Le SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire

Le SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire PROJET EUROPEEN ECO N HOME ACCOMPAGNEMENT SPECIFIQUE DES PARTICULIERS RETOUR D EXPERIENCE DANS LA LOIRE 27 Février 2009 Le SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire 36 groupements

Plus en détail

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION

Plus en détail

conformes aux règles de l Art

conformes aux règles de l Art conformes aux règles de l Art documents de référence travaux d enduits de mortiers minéraux revêtements plastiques épais sur béton et enduits hydrauliques documents de référence mortiers d enduits minéraux

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

Soltis Toitures et Isolation Durable

Soltis Toitures et Isolation Durable Soltis Toitures et Isolation Durable Contactez-nous au 02 779 97 12 www.soltis.be info@soltis.be département de Soltis S.A. avenue Général Wahis 16G 1030 Bruxelles Soltis Toitures et Isolation Durable

Plus en détail

Vers le label BBC dans l habitat existant

Vers le label BBC dans l habitat existant Collection DolceVita Solutions 4 Rénovation Economies Collection DolceVita Vers le label BBC dans l habitat existant GDF SUEZ DolceVita Axelle Lima axelle.lima@gdfsuez.com Tél. : +33 (0)1 56 54 47 88 Les

Plus en détail

Diagnostic énergétique. Rapport d étude

Diagnostic énergétique. Rapport d étude Diagnostic énergétique Rapport d étude Étude réalisée avec le soutien de : Maître d ouvrage : Mairie de Chonas l Amballan Objet de l étude : Groupe scolaire Étude réalisée par : ERMEL ENERGIE 3 Avenue

Plus en détail

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

CALENDRIER D APPLICATION DE LA RT 2012

CALENDRIER D APPLICATION DE LA RT 2012 Photo DR CALENDRIER D APPLICATION DE LA RT 2012 Le décret n 2010-1269 du 26 octobre 2010 indique les dates d application suivantes: en ce qui concerne les bâtiments neufs à usage de bureaux ou d enseignement,

Plus en détail

Les dossiers...de VivArmor. La construction écologique

Les dossiers...de VivArmor. La construction écologique 2011 Les dossiers......de VivArmor La construction écologique Dossier Environnement La construction écologique par Jérémy ALLAIN Beaucoup d entre nous s emploient à tenter de réduire leur impact sur la

Plus en détail

Programme interreg Eco Fab. Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011. Compte rendu réalisé par

Programme interreg Eco Fab. Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011. Compte rendu réalisé par Programme interreg Eco Fab Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011 Compte rendu réalisé par Contexte : Le projet ECO FAB vise à créer un groupe de réflexion transmanche destiné à la création de réseaux thématiques

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque

Plus en détail

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats 6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.

Plus en détail

Etude de rénovation et d'amélioration des performances énergétiques. Copropriété du SENS UNIQUE. Exploitation Télégestion

Etude de rénovation et d'amélioration des performances énergétiques. Copropriété du SENS UNIQUE. Exploitation Télégestion Etude de rénovation et d'amélioration des performances énergétiques Copropriété du SENS UNIQUE Maintenance Exploitation Télégestion Etat des lieux : LE SENS UNIQUE 10 bâtiments - 137 logements Années de

Plus en détail

Bâtiment de bureaux à énergie positive «Green Office» à Meudon

Bâtiment de bureaux à énergie positive «Green Office» à Meudon Bâtiments Matériaux Opérations Installations Bâtiment de bureaux à énergie positive «Green Office» à Meudon B ÂTIMENTS Green Office est le premier bâtiment tertiaire de grande ampleur à énergie positive

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

LES ESSENTIELS DU N 6 BÂTIMENTS BOIS BASSE CONSOMMATION ET PASSIFS. Avril 2009

LES ESSENTIELS DU N 6 BÂTIMENTS BOIS BASSE CONSOMMATION ET PASSIFS. Avril 2009 LES ESSENTIELS DU Avril 2009 N 6 BÂTIMENTS BOIS BASSE CONSOMMATION ET PASSIFS ÉDITO Vivant, chaleureux, naturel, autant de qualificatifs associés au bois, matériau tendance qui revient en force sur le

Plus en détail

ou appelez au 04 75 81 27 42 Construction Durable

ou appelez au 04 75 81 27 42 Construction Durable Tous les prix pour la construction et la rénovation VERSION DEMO (sans les prix) Pour obtenir la version avec les prix : commandez ou appelez au 04 75 81 27 42 Construction Durable 2013 Economies d'énergies

Plus en détail

Aquitaine Thermographie

Aquitaine Thermographie Recherches de fuites par thermographie infrarouge Aquitaine Thermographie La thermographie La thermographie est une technologie précise et efficace, un allié fiable dans le domaine du bâtiment, de la maintenance

Plus en détail

Signification. Brève présentation du produit. Destination/utilisation. Recyclage Avantage du produit. Inconvénient du produit. Impacts sanitaires

Signification. Brève présentation du produit. Destination/utilisation. Recyclage Avantage du produit. Inconvénient du produit. Impacts sanitaires Septembre 2008 1 Sommaire SOMMAIRE... 2 GRILLE DE LECTURE... 2 INTRODUCTION... 3 LES PANNEAUX DE PAREMENT TRADITIONNELS... 4 PANNEAUX A LAMELLES MINCES ORIENTEES (OSB)... 5 PLAQUES DE GYPSE RENFORCEES

Plus en détail

Réunion départementale d information

Réunion départementale d information Réunion départementale d information 1 1 ORIENTATIONS ET GRANDS PRINCIPES Un objectif ambitieux, à mi-chemin des performances attendues pour 2020 De nouvelles orientations et des exigences renforcées Une

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593 Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr

Plus en détail

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles

Plus en détail

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3

Plus en détail

Concevoir. Le saviez-vous? Pourquoi? Orientation et organisation spatiale optimales pour favoriser les apports solaires gratuits

Concevoir. Le saviez-vous? Pourquoi? Orientation et organisation spatiale optimales pour favoriser les apports solaires gratuits Les fiches conseils 1 Concevoir Orientation et organisation spatiale optimales pour favoriser les apports solaires gratuits Le saviez-vous? Par rapport à une orientation sud, l exposition des façades au

Plus en détail

L Energie Positive. -Mai 2013- DOSSIER DE PRESSE

L Energie Positive. -Mai 2013- DOSSIER DE PRESSE L Energie Positive -Mai 2013- DOSSIER DE PRESSE Sommaire Edito 3 I- La nouvelle mobilité 4 II- O SiToiT, bouquet de solutions à Energie Positive 7 III - La Cité de l Energie Positive, l école des bons

Plus en détail

Ekoconstruct / Catalogue 2014. ek construct

Ekoconstruct / Catalogue 2014. ek construct Ekoconstruct / Catalogue 2014 ek construct 1 Nos engagements Nos engagements Une entreprise familiale avec un savoir faire Une société tournée vers le développement durable Une construction rapide et personnalisée

Plus en détail

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux

Plus en détail

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique

Plus en détail

description du système

description du système description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module

Plus en détail

Le logiciel d aide à la conception des bâtiments bioclimatiques dès l esquisse

Le logiciel d aide à la conception des bâtiments bioclimatiques dès l esquisse Le logiciel d aide à la conception des bâtiments bioclimatiques dès l esquisse Un pont entre l architecte et le thermicien Régis LECUSSAN Directeur Général 2012 1 I. La société HPC-SA: les technologies

Plus en détail

Principe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs

Plus en détail

Rencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments

Rencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments Rencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments Critt Bois Epinal 8 décembre 2010 Intervention Placo : Simon Fourniau chef de groupe 1 2 2 Pourquoi améliorer la qualité de l air intérieur?

Plus en détail

Duo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers.

Duo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers. Duo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers. Sommaire Placoplatre : L innovation au cœur des enjeux. Découvrez notre dernière révolution technologique : Duo' Tech System Mur. La révolution de la contre-cloison

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à

Plus en détail

WSOMMAIRE. 1 SOMMAIRE. 2 GRILLE DE LECTURE. 3 INTRODUCTION. 3 CARACTERISTIQUES DES MATERIAUX.

WSOMMAIRE. 1 SOMMAIRE. 2 GRILLE DE LECTURE. 3 INTRODUCTION. 3 CARACTERISTIQUES DES MATERIAUX. w Septembre 2008 Sommaire WSOMMAIRE... 1 SOMMAIRE... 2 GRILLE DE LECTURE... 3 INTRODUCTION... 3 CARACTERISTIQUES DES MATERIAUX... 5 LES MATERIAUX DITS «TRADITIONNELS» A UTILISATION COURANTE... ERREUR!

Plus en détail

ISOLATION THERMIQUE PAR L INTERIEUR DES MURS EXISTANTS EN BRIQUES PLEINES

ISOLATION THERMIQUE PAR L INTERIEUR DES MURS EXISTANTS EN BRIQUES PLEINES ISOLATION THERMIQUE PAR L INTERIEUR DES MURS EXISTANTS EN BRIQUES PLEINES GUIDE D aide a la conception Ce guide a été réalisé par la cellule de recherche Architecture et Climat, dans le cadre de la recherche

Plus en détail

Illustration des activités du. Centre Scientifique et Technique de la Construction. dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments

Illustration des activités du. Centre Scientifique et Technique de la Construction. dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments Illustration des activités du Centre Scientifique et Technique de la Construction dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments Journée Smart Cities 07 juin 2012 Centre collectif de recherche

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

LOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

Construction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables

Construction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Catalogue de détails Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Construction CONTENU Détails de raccords Maison très basse consommation Systèmes bois massif Support maçonné

Plus en détail

2.- Fiche «menuisiers d intérieur»

2.- Fiche «menuisiers d intérieur» 1 2.- Fiche «menuisiers d intérieur» Le menuisier intervient dans des travaux visant une isolation aux bruits aériens, une isolation aux bruits de chocs ou une correction acoustique de locaux et parfois

Plus en détail

Maison QUATRE FAçades

Maison QUATRE FAçades Maison QUATRE FAçades Bruxelles Lieu : Woluwé-Saint-Lambert Typologie : Maison quatre façades DATE DE CONSTRUCTION : 1945-1946 DATE DE RENOVATION : 2008 -... Surface chauffee : 147 m² BESOIN DE CHAUFFAGE

Plus en détail