27-29 octobre Statistiques de la criminalité, information du public, information aux publics. Christophe SOULLEZ

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1 3 e conférence internationale sur l observation de la criminalité octobre 2010 Statistiques de la criminalité, information du public, information aux publics Christophe SOULLEZ Chef de l Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales INHESJ - France La diffusion au grand public des statistiques sur les phénomènes de délinquance s effectue par l intermédiaire des journalistes. Ils jouent un rôle clé dans la communication des chiffres car ils décident de leur intérêt en y consacrant ou non un article ou une séquence audio-visuelle et, auquel cas, en fonction de la place qui leur est accordée, dans les titres à la une, de façon détaillée au cœur du journal ou en fin d édition à travers une brève. Pour un organisme statistique, il est très difficile d évaluer, et donc d anticiper le retentissement médiatique, d une étude. Il dépend du calendrier de l information générale : dans une période où l actualité est dense avec un ou plusieurs événements qui monopolisent l attention des journalistes, un article statistique peut être ignoré, même si son thème ou son contenu semblait «porteur». Ses chances de diffusion et la qualité de son exposition seront d autant plus importantes que l actualité est «calme». Face à la concurrence qui existe avec les autres informations, il existe des procédés de mise en valeur des statistiques afin d accroître leur probabilité d accéder à la visibilité médiatique. Leur mise en œuvre dépend des objectifs de l organisme producteur, voire de son ou ses autorités de tutelle. Dans ce contexte, on peut être confrontés à deux situations diamétralement opposées : il peut arriver que la diffusion d un chiffre se fasse avec le souhait qu il passe complètement inaperçu, ou, à 1

2 l inverse, qu il bénéficie du plus de reprises possibles. On peut dire d un organisme sérieux fonctionnant dans des conditions satisfaisantes qu aucun de ces deux objectifs ne doit jamais intervenir dans un processus de publication. L objectif de discrétion ne peut concerner qu un chiffre dont la diffusion est obligatoire. Si ce n était pas le cas, son «blocage» serait, du point de vue d une autorité ne la souhaitant pas, la solution la plus efficace. C est une pratique qu il est possible de limiter à l aide de structures de validation et de publication qui ne sont pas soumises directement au risque de la censure statistique. Pour un chiffre qu un organisme est tenu de publier, toute stratégie visant à le rendre le moins visible, par exemple une mise en ligne un vendredi soir à 19 h sans communiqué de presse, doit éveiller la curiosité. En effet, si un article ne comprenait pas de chiffres susceptibles de poser des problèmes, il ne serait pas nécessaire d essayer d en limiter la connaissance. Il ne s agit pas ici de problèmes statistiques mais portant sur le sens et l interprétation des chiffres eux-mêmes. On peut ajouter que l absence de publication pour des raisons statistiques peut aussi provoquer la suspicion, parfois indépendamment du caractère justifié de la décision. L objectif d exposition maximale doit être distingué de l envie légitime du ou des auteurs d une étude de voir leurs travaux évoqués dans les médias. On se place ici dans le cas où l objectif prime sur les considérations statistiques. Cela peut, par exemple, concerner des articles financés par des intérêts particuliers, y compris des entreprises commerciales. En mars 2010, une estimation du nombre de victimes d usurpation d identité a servi de titre à une émission de télévision consacrée à cette forme d atteintes. Des recherches sur l origine du chiffre ont montré que ces informations étaient en fait issues de travaux commandités par une 2

3 société qui produit des broyeuses de documents. Dans un tel cas, plus l estimation du nombre de victimes est élevée, plus le sujet bénéficiera de l attention des journalistes puis du public. Une fois celle-ci obtenue, on en vient au véritable objet de la démarche, expliquer que c est par l absence de destruction des documents personnels que se produisent les usurpations d identité. Sans même avoir à se prononcer sur la qualité des données diffusées, cet exemple montre comment une étude statistique peut être décidée et surtout exploitée à des fins commerciales. Si la motivation d une large diffusion médiatique est souvent liée à l avantage qu on croit pouvoir en tirer, il n est cependant pas en général d ordre économique mais plus politique ou idéologique. Une étude perçue comme allant dans le sens d une thèse particulière ou vantant les mérites d une action ou d une décision peut être mise en avant pour en assurer la promotion. Il faut ainsi distinguer les actions menées pour rendre visible une étude existante de celles portant sur son contenu en vu de l instrumentaliser lors de sa diffusion. Dans ce dernier cas, l objectif de communication peut être en contradiction avec celui d une présentation équilibrée des données. On peut, à ce sujet, prendre l exemple d une publication mensuelle de statistiques sur la délinquance comportant des indicateurs dont les évolutions sont contrastées, avec à la fois des hausses et des baisses. Selon l interprétation positive ou négative qu on associe à ces tendances, on pourra mettre uniquement en avant les unes ou les autres. C est une démarche tout à fait différente de celle qui consisterait à choisir la période de référence, le mois, le trimestre, l année ou autre afin précisément de ne citer que des chiffres qui «iraient dans le bon sens». Communiquer en choisissant ses informations est compréhensible, d autant plus que cela n empêche pas les contradicteurs de citer celles qui auraient été omises. En revanche, changer l information pour communiquer, voire ne diffuser qu une partie de celle-ci, relève souvent de la manipulation. 3

4 La recherche d une reprise médiatique sans concession sur la sincérité des données est un équilibre difficile à trouver. Le cas idéal, celui où la presse reprend le contenu de l étude sans le déformer, voire en y apportant des éclairages complémentaires appropriés, est aussi le plus rare. Le parcours d un article oscille plutôt entre la «carrière éclair» via quelques entrefilets et le «haut de l affiche». Or, à contenu égal, on peut passer de la rubrique «en bref» aux gros titres en fonction d une dépêche d agence ou de la une d un quotidien. Un tel passage ne dépend pas de l étude mais ce que le ou les journalistes en retirent. Prenons le cas fictif de statistiques sur un phénomène de délinquance émergent, comme le vol de téléphones portables ou la cybercriminalité apparues au cours du passé récent. La publication d un chiffre modeste en volume, ou pouvant apparaître comme tel, mais en forte augmentation peut alors résulter de la mise en place progressive des outils d enregistrement. Si une dépêche insiste dans son titre uniquement sur la variation, elle aura bien plus de reprises que celle qui tiendrait compte de sa cause de façon explicite. Il peut alors exister une forte dissension entre le titre et le contenu de l article sachant que c est le plus souvent le premier qui sera retenu. En dehors de la publication de chiffres erronés, ce que redoutent le plus les auteurs d une étude est le détournement de contenu, c'est-à-dire l utilisation des données statistiques à partir de calculs effectués par le journaliste. Non seulement leur présentation est modifiée mais, de plus, la paternité des chiffres ainsi publiés leur est quand même attribuée. Par exemple, exprimer un chiffre annuel en nombre d atteintes par jour est une pratique classique permettant de dramatiser sa présentation. Si cette technique de communication est appropriée dans une campagne publicité en faveur de la lutte contre certaines formes de violences, elle ne convient pas à un titre d article exploitant une publication statistique. Cette moyenne, souvent grossière puisqu il faut l exprimer en jour plein, est peu pertinente. 4

5 Les auteurs d une étude publiée peuvent aussi se trouver dans la situation paradoxale d avoir déclencher un emballement médiatique, se traduisant par des demandes nombreuses d interventions, sur un contenu inspiré de leur travail mais avec lequel ils sont en désaccord. Il leur est alors possible de rectifier en partie le tir mais le public aura bien plus souvent en tête la présentation simplifiée, voire simplificatrice, que les explications méthodologiques des auteurs. Plus généralement, il s avère difficile de faire la promotion de la lecture des études elles-mêmes. Un article journalistique est plus courte et d une lecture plus aisée. L un des défis que doivent relever les auteurs est de susciter des articles reprenant le contenu de l étude mais en limitant les déformations et les raccourcis. Le lecteur doit quant à lui, et si le thème l intéresse, poursuivre sa démarche en se référant directement à la source de l article. Une fois passée la période de leur première diffusion, les chiffres entament une deuxième vie. Elle est le plus fréquemment synonyme d oubli. Il est parfois étonnant de voir à quel point, dans la sphère médiatique, cet oubli peut-être rapide. Cependant, si l actualité le commande, à travers un événement comme un braquage de fourgon blindé, un meurtre dans un contexte particulier ou des émeutes urbaines, la deuxième vie peut être ponctuellement plus animée. L utilisateur devra alors veiller à bien citer la source d où il a extrait le chiffre car, sans cette précision, la valeur qui peut lui être accordée demeure inconnue. 5

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