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1 Expérimentation d une mesure d alliance thérapeutique entre éducateurs et adolescents de foyers de groupe au Centre jeunesse de Québec-Institut universitaire Karyne Giguère, chef de service, foyer Du Parc Geneviève Lamonde, direction scientifique, CJQ-IU Carl Turcotte, éducateur, foyer Du Parc Raphaël Paradis, jeune, foyer Du Parc Congrès de l ACJQ, 27 octobre 2014

2 Plan de la présentation 1. Contexte du projet 2. Définition de l alliance thérapeutique 3. Présentation du questionnaire et de l application web 4. Résultats de l expérimentation du projet dans les foyers de groupe pour adolescents 5. Retombées- foyer Du Parc

3 Contexte du projet Projet initié par la direction scientifique et la direction des services de réadaptation en internat et en foyer de groupe 4 foyers de groupe impliqués Présentation sur l alliance thérapeutique au printemps Projet en cours depuis plus de 18 mois.

4 Alliance thérapeutique

5 L efficacité des interventions L efficacité de tout type d intervention dépend de la capacité du client et de l intervenant de former une bonne relation de collaboration (Norcoss, 2002). Les facteurs les plus fortement associés aux effets de l intervention sont, par ordre d importance: 1. La motivation du client au changement (40%); 2. Les facteurs personnels de l intervenant (notamment sa capacité à établir une alliance thérapeutique) (30%); 3. Les techniques d intervention (15%);

6 Relation thérapeutique vs alliance thérapeutique La distinction entre ces deux termes n est pas toujours claire et ces deux termes sont souvent utilisés indistinctement. La relation thérapeutique comprend l ensemble des sentiments et des attitudes que l intervenant et le client ont l un envers l autre et la manière dont ils sont exprimés (Norcross, 2002). L alliance thérapeutique concerne plus spécifiquement le lien affectif et collaboratif qui se développe dans le cadre de l intervention.

7 Définition de l alliance thérapeutique L alliance thérapeutique réfère à la qualité et à la force de la relation de collaboration entre le client et l intervenant lors de l intervention (Bordin, 1975, 1989, 1994). Les trois caractéristiques principales de l alliance thérapeutique sont: Une entente sur les objectifs de l intervention; Une entente sur les tâches ou les moyens retenus pour les atteindre; Un lien affectif positif entre le client et l intervenant. Ce lien permet de négocier les objectifs et les tâches (Hovarth et Bedi, 2002).

8 Rôle de l alliance thérapeutique L alliance thérapeutique est considérée comme le véhicule pour introduire les consignes thérapeutiques (Biehal, 2008). Elle est considérée comme un médiateur important du changement (Ruch, 2005 dans Biehal, 2008), une pré-condition pour que les techniques et les procédures aient des effets bénéfiques sur le client (Botella et al., 2008). Technique d intervention Alliance thérapeutique Résultats de l intervention

9 Qualité de l alliance thérapeutique La qualité de l alliance peut être influencée par les quatre facteurs suivants: Des éléments propres au client; Des éléments propres à l intervenant; Des éléments d interaction entre le client et l intervenant; Des éléments externes.

10 Des éléments propres au client

11 Éléments propres au client Bien qu il manque d études pour établir une relation claire entre le sexe des jeunes et la qualité de l alliance, il semble que les filles établissent une alliance plus facilement avec leur intervenant que les garçons (Eltz et al., 1995; Wintersteen et al., 2005). Des attentes positives face au changement et à l utilité du traitement, la réceptivité au changement et la motivation à changer favorisent l établissement de l alliance (Constantino et al., 2010).

12 Éléments propres au client Un style d attachement anxieux-ambivalent, préoccupé ou évitant rend plus difficile l établissement d une alliance thérapeutique (Constantino et al., 2010). Les jeunes maltraités, particulièrement ceux qui ont vécu des abus multiples par leurs parents, sont également plus méfiants à l égard des intervenants et ont plus de difficulté à développer une alliance en début de traitement (Eltz et al., 2005).

13 Des éléments propres à l intervenant

14 Éléments propres à l intervenant La capacité d établir une bonne alliance thérapeutique ne semble être associée ni à l expérience ni à la formation du thérapeute (Hovarth et Bedi, 2002). Les qualités de l intervenant qui contribuent à la qualité de l alliance thérapeutique avec le client sont: - l engagement, la disponibilité, la chaleur, la loyauté, une attitude de non-jugement, l acceptation du style personnel du client (Obegi, 2008), la flexibilité, l honnêteté, le respect, le fait d être digne de confiance, le fait d être confiant, intéressé, alerte, amical et ouvert (Ackerman et al., 2003).

15 Des éléments propres aux techniques d intervention

16 Éléments propres aux techniques d intervention L exploration, le reflet, souligner les succès thérapeutiques antérieurs, les interprétations justes et précises, être affirmé, être compréhensif et s intéresser à l expérience du client améliorent l alliance thérapeutique (Ackerman et al., 2003). À l inverse, la sur-structuration de rencontres, l abus d interprétations, le dévoilement de soi inapproprié et l usage inadéquat de silences peuvent nuire à l établissement de l alliance (Hovarth et Bedi, 2002).

17 Des éléments externes

18 Éléments externes Les membres du réseau social du client peuvent nuire ou tourner au ridicule les efforts en lien avec l intervention(ross et al., 2008). Le contexte judiciaire ou d autorité de l intervention. Le roulement de personnel qui peut rendre l investissement dans l alliance très pénible émotionnellement (Ross et al., 2008). Le manque de ressources humaines, le ratio de clients par intervenant et la multiplication des tâches, qui restreignent le temps consacré aux rencontres individuelles, peuvent également constituer des obstacles à l établissement d une alliance de qualité (Matthews et Hubbard, 2007).

19 Les bris d alliance

20 Bris d alliance Les bris d alliance n ont pas que des effets négatifs. Les thérapies comportant des ruptures d alliance sont parfois plus efficaces que celles qui n en ont pas, à condition que les bris soient restaurés (Florsheim, 2000; Safran et al., 1990). Dans presque toutes les interventions, il y a des moments où le client se sent incompris, croit qu il n avance pas, ce pourquoi il est important de savoir repérer les indices de bris d alliance.

21 Indices de bris d alliance (Baillargeon et Puskas, 2013) L expression directe de sentiments négatifs L expression indirecte de sentiments négatifs Un désaccord avec les objectifs et les tâches d intervention La complaisance Les manœuvres d évitement Les comportements qui rehaussent l estime de soi La non-réponse à une intervention

22 Principes pour restaurer l alliance (Baillargeon et Puskas, 2013) Porter attention aux ruptures d alliance Être conscient de ses propres sentiments Accepter ses responsabilités Manifester de l empathie envers le client

23 Conséquences d une mauvaise alliance Une faible alliance thérapeutique est associée à une probabilité plus élevée: - d abandonner le suivi thérapeutique ; - de connaître une évolution moindre à la fin de l intervention. D où l importance d accorder une attention soutenue à cette dimension lors des premières rencontres (Hovarth et Bedi, 2002).

24 Recommandations

25 Recommandations Dans les situations où l intervenant a de la difficulté à établir une alliance: il doit tenter d identifier comment il contribue à cette situation et non mettre l accent sur les caractéristiques du jeune qui nuisent au développement de l alliance thérapeutique; il doit réfléchir sur ses propres actions et apporter les correctifs qui s imposent. Lorsque les résultats d alliance sont bas, l intervenant devrait pouvoir bénéficier d une supervision ou d une formation supplémentaire (Baldwin et al., 2007).

26 Recommandations Dans le cadre d un suivi avec un jeune, il est utile de développer une bonne alliance avec les parents, puisqu elle peut être particulièrement aidante pour la participation et la continuation de l intervention. Avec les jeunes, il importe de mettre l accent sur la dimension collaborative du traitement et de ne pas les pousser à parler trop tôt. Il est crucial de reconnaître les émotions exprimées par les jeunes et leur propre vision de leurs expériences, particulièrement avec les adolescents.

27 Recommandations générales Il est utile d évaluer régulièrement l alliance thérapeutique puisqu elle est amenée à fluctuer en cours de traitement. L évaluation régulière de l alliance thérapeutique permet de revoir les bases de la relation thérapeutique et d identifier les facteurs qui ont pu contribuer à faciliter ou à nuire à la qualité de l alliance thérapeutique entre l éducateur et le jeune.

28 Projet de mesure d alliance thérapeutique au Centre jeunesse de Québec-Institut universitaire (CJQ-IU)

29 Application web A été développée pour mesurer l alliance thérapeutique entre un éducateur et son jeune de suivi dans un contexte d hébergement en protection de la jeunesse; Peut être utilisée sur ordinateur de bureau, portable ou sur tablette électronique; Permet d obtenir immédiatement les résultats, les scores comparatifs et les graphiques d évolution des scores.

30 Exemple d instrument de mesure WAI (Working alliance inventory) (Hovarth et Grennberg, 1989) Questionnaire de 12 questions (version jeune et version intervenant) Permet d évaluer les trois dimensions de l alliance thérapeutique proposées par Bordin: Lien affectif ou émotionnel Entente sur les objectifs Entente sur les tâches de traitement

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35 Interprétation des résultats Plus le score est élevé, meilleure est la qualité de l alliance thérapeutique. Un résultat de 60 et plus indique une bonne alliance thérapeutique. Un résultat se situant entre 48 et 60 indique quelques difficultés dans l établissement de l alliance thérapeutique. Un résultat de 48 et moins indique des difficultés certaines dans l établissement de l alliance thérapeutique. Un résultat de 24 et moins indique des difficultés majeures dans l établissement de l alliance thérapeutique.

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38 Statistiques de participation au projet dans les foyers de groupe du CJQ-IU Résultats de février 2013 à octobre 2014 Foyer Du Parc Ensemble des foyers Nombre de jeunes Nombre d intervenants 6 26 Nombre de questionnaires Nombre moyen de passations 3,7 Min:1, Max:8 2,6 Min: 1, Max: 7

39 Résultat moyen (sur 7) aux sous-échelles de mesure de l alliance thérapeutique Échelles Résultats des jeunes (sur 7) Résultats des intervenants (sur 7) Lien thérapeutique 5,9 6,0 Objectifs d intervention 5,4 5,6 Moyens pour atteindre les objectifs 5,7 5,4 Résultat global 5,7 5,7

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41 Commentaires des intervenants C est simple et rapide à utiliser. C est pratique sur le «I-Pad» puisqu on ne monopolise pas l ordinateur et l espace bureau. Le fait d avoir les résultats sur le champ amène des discussions très intéressantes avec les jeunes. Cela contribue à une meilleure entente avec nos jeunes à propos des objectifs d intervention. Ça nous fait prendre conscience de l importance de notre alliance et de notre rôle à jouer pour établir cette alliance. Nous amène à se questionner sur ce qui est le plus important pour faire cheminer nos jeunes.

42 Commentaires des jeunes C est cool de voir ce que pense notre éducateur. C est rapide à faire. On réalise qu on a des meilleures relations qu on pensait. J aime voir tout de suite les résultats et en discuter avec mon éducateur. J aime utiliser un I-Pad plutôt que des feuilles.

43 Facteurs facilitant l implantation Les chercheurs viennent expliquer le projet à l équipe de travail. Un chargé de projet fait le suivi de l implantation en téléphonant régulièrement aux intervenants. Le chargé de projet est disponible pour répondre aux questions. Un intervenant est nommé comme «pair aidant» pour l aspect informatique. Le chef du foyer motive les intervenants à faire les passations. À chaque comité clinique, partage des constats en lien avec l évolution de l expérimentation en cours.

44 Merci de votre participation! Des questions? Des commentaires?

45 Références Ackerman, S.J. et Hilsenroth, M.J. (2003). A review of therapist characteristics and techniques positively impacting the therapeutic alliance. Clinical Psychology Review, 23, Baillargeon, P. et Puskas, D. (2013). L alliance thérapeutique: conception, pratique. Défi jeunesse, vol. XIX (3), 4-9. Baldwin, S.A., et al. (2007). Untangling the alliance-outcome correlation : exploring the relative importance of therapist and patient variability in the alliance. Journal of Consulting and Clinical Psychology, 75 (6), Biehal, N. (2008). Preventive services for adolescents: exploring the process of change. British Journal of Social Work, 38, Botella, L. et al. (2008). Predictors of therapeutic outcome and process. Psychotherapy Research, 18 (5), Horvath, A. et Bedi, R. (2002). The alliance in. Therapist contributions and responsiveness to patients, (ed. J., Norcross), New York, Oxford University Press. Martin, D.J., Garske, J.P. et Davis, K. (2000). Relation of therapeutic alliance with outcome and other variables: a meta-analytic review. Journal of Consulting and Clinical Psychology, 68 (3), Norcross, J. (2002). Psychotherapy relationships that work: Therapist contributions and responsiveness to patients. New York, Oxford University Press. Obegi, J.H. (2008). The development of the client-therapist bond through the lens of attachment theory. Psychotherapy, Theory Research, Practice, Training, 45 (4),

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