Le P2D2. Réunion INSIS 24 mars Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis
|
|
- Basile Desmarais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 P. 1 Le P2D2 Réunion INSIS 24 mars 2014 Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis
2 Sommaire P Contexte et enjeux du P2D2 2 - Une nouvelle organisation 3 - Les outils 4 - Stratégie de déploiement général en 2014 et le dispositif d accompagnement du changement
3 P. 3 1 Contexte et enjeux du P2D2 Un projet prioritaire pour l établissement L occasion de poursuivre la démarche de modernisation engagée depuis 2005 (cf. le Protocole de modernisation) qui a notamment permis au CNRS : - de généraliser une logique de contrôle a posteriori, - de produire des comptes certifiés par des CAC, - de systématiser le recours à la monétique, etc. L anticipation des contraintes budgétaire: redéployer les ressources sur des tâches à fort enjeux Une opportunité pour résoudre des difficultés récurrentes liées : - aux limites de la carte achat, - à l hétérogénéité des pratiques entre DR, - à la conservation et au classement des PJ, etc. 3
4 P. 4 1 Contexte et enjeux du P2D2 Un projet innovant Le P2D2 va au delà du simple concept de service facturier La cible : la dématérialisation et l automatisation complète du circuit de la dépense (de la commande à la conservation des PJ) La création d un service centralisé de la DCIF en charge : du traitement dématérialisé de toutes les factures du CNRS (factures papier ou dématérialisées nativement cf. projet AEL) de l intégration des flux dans les SI afin de : - constituer et mettre à jour les bases tiers - traiter les oppositions, cessions, etc. - réaliser des contrôles et des PEC comptables automatiques - établir les propositions de virements pour le compte des ACS du classement et de la conservation des PJ du soutien et de l animation du secteur de la dépense Le SCTD : un service de la DCIF implanté à Nancy et organisé autour de deux pôles complémentaires (pilotage et exploitation)
5 1 Contexte et enjeux du P2D2 Principaux objectifs P. 5 Industrialiser tous les processus sans réelle valeur ajoutée Repositionner les interventions des acteurs au bon niveau : aux laboratoires : l achat scientifique (achat, service fait, relations fournisseurs) aux SFC en DR : les missions de comptables de proximité (le payement des dépenses, le recouvrement des recettes, l assistance aux UR ) à la DCIF : le pilotage et la maîtrise de la dépense et son incidence sur la situation patrimoniale de l établissement Partager, en temps réel, l information entre tous les acteurs (information sur l exécution de la dépense, information sur les justifications de la dépense, etc.)
6 1 Contexte et enjeux du P2D2 Un projet complexe : six chantiers menés de front P La refonte des processus : réingénierie et description de la chaine de la dépense 2 - Les outils informatiques : BFC-rénovation, DMF (outil de dématérialisation des factures), évolutions nécessaires dans Geslab et BFC, RESEDA (outil de gestion du référentiel fournisseurs) 3 - Le recrutement des personnels : quatre vagues (effectif cible de 30 ETPT) 4 - L aménagement des locaux 5 - Le déploiement (en 2013, 3 sites pilotes et déploiement national en 2014) 6 - L accompagnement au changement : stratégie de communication et actions de formation (personnels P2D2, formateurs, sites pilote, laboratoires et SFC, etc.)
7 2 Une nouvelle organisation Le P2D2 : la réingénierie complète de la chaîne de la dépense P. 7 La réception et le traitement des factures en un lieu unique La dématérialisation de l ensemble des flux relatifs à la dépense L automatisation d un maximum de contrôle Le pré enregistrement des opérations La conservation centralisée des pièces justificatives
8 2 Une nouvelle organisation P. 8 qui ne remet en cause ni : la place du délégué et de la délégation régionale les attributions de l ACS en tant que comptable assignataire de la dépense le rôle des unités dans les décisions d achat, et les relations avec ses fournisseurs
9 Le P2D2 : une nouvelle organisation du circuit de la dépense
10 2 Une nouvelle organisation Pour le laboratoire P. 10 Processus gestion de la dépense Processus gestion des fournisseurs Traitement commande Traitement facture La saisie de la commande dans Geslab La réception du produit ou de la prestation L attestation de service fait La certification du service fait dans GESLAB En revanche, le laboratoire ne reçoit plus la facture mais, éventuellement un mail pour confirmation (exemple, un écart de prix), Il peut visualiser à tout moment la facture et son état d avancement via DMF, et continue à recevoir dans Geslab le flux de la facture réglée par son SFC. Des recherches à effectuer dans la base nationale fournisseurs gérée par le P2D2 (Reseda) Des demandes de création à effecteur dans Reseda La validation et la création du fournisseur par le P2D2 La création du fournisseur dans GESLAB
11 2 Une nouvelle organisation Pour le laboratoire P. 11 Une attention particulière à porter sur la qualité du service fait : Une nouvelle organisation du laboratoire Une qualité du service fait : sa réalité et sa conformité Une attention particulière à porter sur la qualité de la commande : Éléments obligatoires Choix du bon code famille Qualité des données fournisseurs Une attention particulière à porter sur la mise en œuvre de la commande dématérialisée : la DA WEB
12 2 Une nouvelle organisation Pour le laboratoire : la demande d achat dématérialisée P. 012 GESLAB web GESLAB lourd a Saisie d une demande d achat par la personne au plus près du besoin Fournisseur b Validation de la demande d achat c transformation de la DA en commande par le gestionnaire habilité e transmission au fournisseur d-signature du bon de commande par la personne habilitée
13 2 Une nouvelle organisation Pour le SFC P. 13 Ce qui ne changera pas Ce qui changera La relation de proximité avec le laboratoire La responsabilité de l ACS L autorisation de décaissement par l ACS Certains contrôles seront faits automatiquement au P2D2 Toutes les factures feront l objet d une prise en charge automatique Une animation et une présence renforcées auprès des laboratoires Le transfert progressif de la gestion des tiers vers P2D2 (achèvement 2014) La modification de la transmission et de la conservation des pièces justificatives
14 P Les outils Un scanner Au SCTD Invoices (lecture et reconnaissance) Process director (intégration dans BFC)
15 3 Les outils P. 15 Les gestionnaires d unités : consulteront les factures / avoirs par une application web : «Web-board» traiteront les demandes d action (workflow) par une application web : «Workcycle»
16 3 Les outils Web board : C est un outil de partage des informations factures pour les gestionnaires d unités. P. 16 Numéro BFC du fournisseur Critères de recherche : Date de facture Statut de la facture Type de document EOTP Montant HT de la facture Valider la recherche
17 3 Les outils - Web board P. 17
18 3 Les outils P. 18 Work Cycle : Cette application Web est dédiée au traitement de Workflow.
19 3 Les outils Retour dans Geslab P. 19
20 4 -Stratégie de déploiement en 2014 Les 4 grandes régions: TSA P. 20
21 4 -Stratégie de déploiement en Janvier P. 21 Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septem bre Octobre Novemb re Décemb re Grand Est DR6 :(Pilote) DR8 Centre (pilote) DR10 : Alsace DR7 : Rhône Auvergne (Pilote) DR11 : Alpes Grand Ouest DR18 : Nord DR17 : Bretagne DR15 : Aquitaine DR19 : Normandie Sud DR20 : Côte d'azur DR12 : Provence & Corse DR14 : Midi Pyrénées DR13 : Languedoc Roussillon Ile de France DR4 : Gif DR1 : Paris A DR2 : Paris B DR5 : Meudon DR16 : PMA DR3 : Thiais
22 4 -Stratégie de déploiement en 2014 La formation des acteurs P. 22 Les gestionnaires d unités et gestionnaires SFC seront formés au moment du déploiement de leur délégation régionale, aux évolutions métiers et aux outils. Ces formations seront dispensées par des formateurs en poste en laboratoires ou en délégations régionales, qui auront euxmêmes été formés au préalable.
23 4 - Le déploiement en 2014 organisation : Un déploiement type: la première vague Grand Est 2014 Janvier Février Mars Avril Mai P. 23 Déploiement Grand Est (24%) Campagne nationale Information de l ensemble des acteurs concernés (DU, DR gestionnaires, formateurs, etc.) S-2 Formation formateurs 3 jours DR8 Call Go/No Go S2 DR7 Call Go/No Go S4 DR11 Call Go/No Go S6 DR10 Formation gestionnaires Call Go/No Go S8 DR06 Assistance & coordination au déploiement Call Go/No Go S10 Information 2 ème Vague (IDF) Légende Démarrage: Réunion avec Délégué/CDS Communication S-2 Formation formateurs 2 ème vague (IDF) DRX
24 4 -Le déploiement en 2014 organisation focus pour une Délégation Préparation Déploiement Déploiement P. 24 M-1 Information des acteurs S-2 Formation Formateurs de toute la vague (3 jours) Démarrage délégation Semaine 1 Semaine 2 Formation gestionnaires 1 er point déploiement à la fin de la 1 ère semaine de démarrage 2 éme point déploiement à la fin de la 2 ème semaine de démarrage Formation gestionnaires Préparation logistique formation formateurs S-2 : La formation de tous les formateurs du TSA se déroule sur 3 jours Le démarrage se fait au fur et à mesure des formations dispensées, sur 1 mois environ Un laboratoire est formé sur 1 journée, et démarre le lundi de la semaine suivante NB : En cas de problèmes graves détectés, le déploiement est suspendu
25 P. 25 Merci de votre attention
Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales.
Le Service Central du Traitement de la Dépense Intervenant l mentions légales. Sommaire L e S e r v i c e C e n t r a l d e Tr a i t e m e n t d e l a D é p e n s e : c o n t e x t e e t o b j e c t i
Plus en détailDéploiement national de la carte d achat au CNRS
Déploiement national de la carte d achat au CNRS Délégations pilotes 18 septembre 2007 Délégation Paris B Qu est-ce que la Carte d achat? La carte d achat est un moyen de paiement confié à certains agents
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailJournée des administrateurs des laboratoires CNRS INSIS
Journée des administrateurs des laboratoires CNRS INSIS Tarification auditable des prestations plateformes et services des UR Nadine Paul, SFC Toulouse Audit de tarification de plateforme un dossier d
Plus en détailGESLAB Fonctionnalités et Environnement
GESLAB Fonctionnalités et Environnement Objectifs Connaitre l environnement et les fonctionnalités de l outil Geslab Programme de la journée Accès logiciel Geslab Menus et ergonomie Statut des mouvements
Plus en détailRetour d expérience sur la mise en place du SERVICE FACTURIER
Retour d expérience sur la mise en place du SERVICE FACTURIER Réunion des Musées Nationaux Grand Palais des Champs-Elysées 10 et 13 mars 2014 Sommaire de la présentation 1- Le contexte 2- Présentation
Plus en détailLa carte d achat, c est quoi ça?
La, c est quoi ça? C est un outil mis à disposition des structures publiques et privées qui modifie et simplifie l acte d approvisionnement : C est une carte bancaire nominative et sécurisée qui permet
Plus en détailI. PRINCIPALES MISSIONS DES SERVICES DU TRÉSOR TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE. Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD
TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD Adresse : 1 bis place de la Banque 21042 DIJON CEDEX Tél : 03 80 59 26 00 Fax : 03 80 50 14 75 Mail : tg21.contact@cp.finances.gouv.fr
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailOFFRE DE FINANCEMENT
OFFRE DE FINANCEMENT ENTREPRISES EN DEVELOPPEMENT P.3 Financement de la Balance Clients (en TTC) P.3 Financement en Invoice Discounting (en TTC) P.4 Financement des Créances Commerciales (en TTC) P.5 Financement
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailLe programme Chorus et l'intégration du document électronique dans la comptabilité nationale
Le programme Chorus et l'intégration du document électronique dans la comptabilité nationale Présentation EDIFICAS Mai 2011 Nicolas Botton SOMMAIRE 1. Les gains issus de la dématérialisation dans le secteur
Plus en détailAudit de la filière et pilotage des prestataires : les meilleurs dispositifs juridiques, techniques et organisationnels
16 ème Forum Annuel Chèque 2009 Audit de la filière et pilotage des prestataires : les meilleurs dispositifs juridiques, techniques et organisationnels Le 23 janvier 2009, Cercle National des Armées, Paris
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailBudget Finances Comptabilité. Budget Finances Comptabilité. Manuel d utilisation. Manuel d utilisation
Budget Finances Comptabilité Budget Finances Comptabilité Manuel d utilisation Manuel d utilisation Recettes - Tome 2 Factures - Encaissement Version 4.30 Décembre 2014 Mises à jour du document Ce qui
Plus en détailLa Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective
Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailINFORMATION SUR LA LOI DU 1 er JUILLET 2010 SUR LE CREDIT A LA CONSOMMATION
INFORMATION SUR LA LOI DU 1 er JUILLET 2010 SUR LE CREDIT A LA CONSOMMATION Sommaire 1 I Contexte Page Principes.. 1 Esprit de la loi... 2 Impacts...3/4 2 I Information précontractuelle 5/6 3 I Contenu
Plus en détailPROJET DMF- Démat Factures Manuel d utilisation Utilisateur P2D2 pilotage Version 1.0 Mai 2013
PROJET DMF- Démat Factures Manuel d utilisation Utilisateur P2D2 pilotage Version 1.0 Mai 2013 Réalisé par La Direction des systèmes d'information du CNRS (DSI) Mises à jour du manuel 1.0 Mai 2013 Création
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailOBJET : GERER LES CESSIONS ET LES OPPOSITIONS DANS BFC
DOMAINE DEPENSE PROCESSUS REGLEMENT OBJET : GERER LES CESSIONS ET LES OPPOSITIONS DANS BFC date N de version Auteur Stade Novembre 2006 0 C.BRETELLE Transmis le 12 janvier 2007 DEFINITIONS ET PRINCIPALES
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailCopyright Agirc-Arrco Mars 2012. 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC)
2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC) SOMMAIRE (1/3) ENJEUX DE L INFORMATIQUE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE 1. Depuis quand un programme de convergence informatique
Plus en détailCARTE ACHAT. Yolande Sallent
CARTE ACHAT Yolande Sallent 1 2 Les points abordés Qu est ce que la carte d achat? Objectif Pour quels achats? Les plafonds de sécurité Le circuit de l engagement au paiement La sécurité du processus 3
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailLe projet Chorus a été conçu pour doter. Chorus : résultats et perspectives
Danièle LAJOUMARD Inspecteur Général des Finances Chorus : résultats et perspectives Le projet Chorus destiné à permettre la mise en œuvre intégrale de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF)
Plus en détailService formation permanente locale. Cahier des charges : «HABILITATIONS ELECTRIQUES FORMATIONS INTIALES ET RECYCLAGES»
Service formation permanente locale Cahier des charges : «HABILITATIONS ELECTRIQUES FORMATIONS INTIALES ET RECYCLAGES» Décembre 2013 1 Contexte A. Le centre L Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailLa dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé
La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé HOPITECH - Angers 10 Octobre 2014 Vladimir Vilter ASIP Santé Comment échanger par mail les données de santé des patients facilement
Plus en détailPoint d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé
Point d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé Assemblée Générale GCS Télésanté Basse Normandie 26 mars 2014 Anne Bertaud Pole Territoire Dossier Médical Personnel 2 DMP : quelques chiffres (février
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailPlus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires
Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII
Plus en détailLA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE
LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE Une fois les objectifs fixés pour son équipe, le manageur doit définir une stratégie et mettre en place un plan d actions. Outil de prévision et de planification, ce
Plus en détailDélégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1
Délégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1 Déroulement de la journée Tiers Recherches et Couguar Créations et particularités Demandes d achats Principes et création Commandes Informations
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailLa conduite du projet de dématérialisation dans les EPS
26/05/2014 Référence : P1 Domaine : Projet Titre : La conduite de projet dématérialisation dans les établissements publics de santé Annexes : P1A et P1B La conduite du projet de dématérialisation dans
Plus en détailLa dématérialisation des échanges et des moyens de paiement
La dématérialisation des échanges et des moyens de paiement Réunions Inter-cantonales en partenariat avec l AMF, Association des Maires de France. DDFiP du Cantal Mars 2012 1 1- La dématérialisation 2
Plus en détailDématérialisation des factures du Secteur Public. Présentation de l obligation à la fédération des offices publics de l habitat 3 avril 2015
Dématérialisation des factures du Secteur Public Présentation de l obligation à la fédération des offices publics de l habitat 3 avril 2015 1 La dématérialisation des factures 2 2008 : La première étape
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique, pour simuler les compétences futures, et évaluer la charge de travail. WWW.ANACT.FR OUTIL DE SIMULATION
Plus en détailDOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr
COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue
Plus en détailPierre Fournet : Président Aslog IDF, Directeur Développement Diagma
Optimisez votre réseau de distribution! Pierre Fournet : Président Aslog IDF, Directeur Développement Diagma Présentation ASLOG Association neutre et indépendante depuis 37 ans Mission :aider nos adhérents
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailCAF et ISO L expérience du Service d audit interne du Ministère de la Communauté française de Belgique
5QC CAF Centre CAF et ISO L expérience du Service d audit interne du Ministère de la Communauté française de Belgique Jean-Michel CASSIERS et Léon ZAKS 1. Présentation du Service 2. Missions du Service
Plus en détailLES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE
LES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE La mise en place d une politique d archivage offre des solutions pour assurer une gestion pérenne des archives. Ce guide de procédure doit : - servir de base
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détail2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT
2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT L article L4424-2 du code général des collectivités territoriales stipule que la collectivité territoriale de Corse assure l'accueil, la restauration, l'hébergement
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE FOURNITURES
Direction Générale des Services Marie-Hélène RENSON- LENOBLE Directrice Générale des services Tel 01 49 45 28 11 Fax 01 49 45 29 91 Mail : marie-helene.renson-lenoble@supmeca.fr MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES
Plus en détailMESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES
MESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES MESURER EN CONTINU TOUTES VOS CONSOMMATIONS D ÉNERGIE ET DE FLUIDES POUR PERMETTRE UNE OPTIMISATION DE VOS PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES Instrumenter vos immeubles à
Plus en détailComment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique?
Comment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique? La chaîne d approvisionnement ne saurait plus fonctionner sans EDI. L enjeu est à présent d accélérer
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailLE DIPLOME D ETAT (D.E.)
LE DIPLOME D ETAT (D.E.) Art. 1er. Il est créé une mention «pétanque» du diplôme d Etat de la jeunesse, de l éducation populaire et du sport spécialité «perfectionnement sportif». Art. 2. La possession
Plus en détailUne réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement. www.evaluation-envol-afnor.org
Une réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement www.evaluation-envol-afnor.org Quelques mots à propos du groupe Afnor Opérateur central du système français de normalisation
Plus en détailDÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER
DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER Pour les banques, le papier devrait servir à imprimer des billets ; pas à en garder la trace dans
Plus en détailCharte de l Evaluation des Formations par les étudiants
Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants 1 Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants I. Le contexte institutionnel La démarche de l UdS en matière de qualité des formations
Plus en détailLe développement de l offre de services en ligne. Décembre 2010
Le développement de l offre de services en ligne Décembre 2010 L administration électronique comme levier de la modernisation de l Etat L administration électronique fait désormais partie des leviers utilisés
Plus en détailOUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS
Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.
Plus en détailLA FONCTION QUALITE & LE LEAN MANUFACTURING 6 MARS 2009. François Liotard Directeur Développement Industriel Directeur Ressources Humaines
LA FONCTION QUALITE & LE LEAN MANUFACTURING 6 MARS 2009 François Liotard Directeur Développement Industriel Directeur Ressources Humaines QUALITE ET LEAN MANUFACTURING SOMMAIRE INTRODUCTION SUR LE LEAN
Plus en détailRéférentiel Engagement de service
Toute reproduction intégrale ou partielle faite en dehors d une demande expresse d AFNOR Certification ou de ses ayants droits ou ayants cause est illicite (code de la propriété intellectuelle artt. L122-4
Plus en détailS PA : les enjeux des nouveaux moyens de paiement européens. Délégation Alsace - Lorraine Conférence du mardi 23 novembre à Nancy
S PA : les enjeux des nouveaux moyens de paiement européens Délégation Alsace - Lorraine Conférence du mardi 23 novembre à Nancy Agenda Présentation générale du S PA Rappel des caractéristiques du SCT,
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détail10èmes Rencontres Mondiales du Logiciel Libre. NANTES, Le 7 Juillet 2009
10èmes Rencontres Mondiales du Logiciel Libre NANTES, Le 7 Juillet 2009 Les principes généraux : enjeux, approche partenariale... 2 Des enjeux financiers et qualitatifs les coûts de papier, d édition et
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailCOOPERATION DECENTRALISEE ET RESEAU FRANÇAIS DU TRESOR PUBLIC
Service de Coopération et d Action Culturelle AMBASSADE DE FRANCE AU SENEGAL -------- Pôle de la Coopération Non Gouvernementale COOPERATION DECENTRALISEE ET RESEAU FRANÇAIS DU TRESOR PUBLIC A L ATTENTION
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailPour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients
Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Prestation de Certification CERTIFICATION-D D-Indice 7 Applicable le 09//009 CERTIFICATION D Indice 7 Page /7 GLOBAL sas 8, rue du séminaire
Plus en détailPrésentation du protocole d expérimentation à Pôle emploi L EXPERIMENTATION TELETRAVAIL A DOMICILE ET TRAVAIL EN PROXIMITE CCE DU 18/02/2014
L EXPERIMENTATION TELETRAVAIL A DOMICILE ET TRAVAIL EN PROXIMITE Présentation du protocole d expérimentation à Pôle emploi CCE DU 18/02/2014 Dossier du CCE du 10/12/2013 amendé (compléments en bleu dans
Plus en détailDEMANDE SIMPLIFIEE DE PRET AU SECTEUR PUBLIC LOCAL Enveloppe 2013-2017 - «Financement de long terme des territoires»
DEMANDE SIMPLIFIEE DE PRET AU SECTEUR PUBLIC LOCAL Enveloppe 2013-2017 - «Financement de long terme des territoires» Pour un traitement de votre demande dans les meilleurs délais, nous vous remercions
Plus en détailPilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil
Plus en détailQualiac et la dématérialisation des factures. Dématérialisation des factures fournisseurs
Qualiac et la dématérialisation des factures Dématérialisation des factures fournisseurs Dématérialisation des factures Sommaire Les sources de la LAD (Lecture Automatique de Document) et Gestion Electronique
Plus en détailValorisation des résultats de la recherche. Objet et domaine d application du manuel Qualité...2
Valorisation des résultats de la recherche Version : décembre 2003 Objet et domaine d application du manuel...2 Champ d application du manuel 2 Périmètre d application du manuel 2 Terminologie 2 Présentation
Plus en détailLe DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012
Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche
Plus en détailINSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J
INSTRUCTION N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J VERSEMENT AU PROFIT DE L'ÉTAT DES SOMMES DÉPOSÉES SUR DES PRODUITS D'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE ATTEINTES PAR LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE ANALYSE
Plus en détailProcédure d'installation de SQL Server Express 2005
Fiche technique AppliDis Procédure d'installation de SQL Server Express 2005 Fiche IS00127 Version 1.04 Diffusion limitée : Systancia, membres du programme Partenaires AppliDis et clients ou prospects
Plus en détailQuel avenir pour les déplacements régionaux? La billettique intégrée. Nathalie AMIEL DIRECTION DELEGUEE TER PACA INTERMODALITE, BILLETTIQUE
Quel avenir pour les déplacements régionaux? La billettique intégrée Nathalie AMIEL DIRECTION DELEGUEE TER PACA INTERMODALITE, BILLETTIQUE Sommaire La billettique : généralités La billettique interopérable
Plus en détailCOMPTE-RENDU REUNION DE SERVICE 19 septembre 2005
Aujourd hui, les actions qui vont être abordées : Election des Délégués du Personnel ARTT Tour de table Divers COMPTE-RENDU REUNION DE SERVICE 19 septembre 2005 Monsieur REYTER Accueil pour cette première
Plus en détailHervé Le Coustumer - Directeur Business Unit Support & Services Managés
Hervé Le Coustumer - Directeur Business Unit Support & Services Managés Services IT Agenda Services IT, tendances et enjeux Notre vision de l exploitation du Data center Un cas d usage, le Centre de Production
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailYourcegid Secteur Public Finances : Une réponse globale aux nouveaux enjeux de la fonction publique. Collectivités. Finances
Yourcegid Secteur Public Finances : Une réponse globale aux nouveaux enjeux de la fonction publique Collectivités Finances Parce que votre organisation est unique, parce que vos besoins sont propres à
Plus en détailUne initiative de l Ordre des experts-comptables région Paris Ile-de-France. OPTIMISEZ votre saisie avec ETEBAC, Internet, Jedeclare.
Une initiative de l Ordre des experts-comptables région Paris Ile-de-France OPTIMISEZ votre saisie avec ETEBAC, Internet, Jedeclare.com Intervenants Arlette PATIN Expert Comptable CAC François-Gérard MONDI
Plus en détailPRINCE2 Vs PMI Comparaison & Complémentarité
PRINCE2 Vs PMI Comparaison & Complémentarité Antoine BRETON Antoine Breton a débuté le métier de chef de projet en 1984 dans le secteur du bâtiment. Entre 1986 et 1991 il fait partie de l équipe projet
Plus en détailListe des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailComment effectuer une réservation d hébergement en tant que chargé(e) de voyages et chargé(e) de voyages + valideurs?
Comment effectuer une réservation d hébergement en tant que chargé(e) de voyages et chargé(e) de voyages + valideurs? 1/ Page d accueil page 2 2/ Sélection du voyageur page 2 3/ Cas d un invité (agent
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailRESINFO Françoise Berthoud, Anne Facq, Gilles Requilé
RESINFO Françoise Berthoud, Anne Facq, Gilles Requilé RESINFO : la fédération de réseaux d ASR Les réseaux régionaux et thématiques Les actions de RESINFO RESINFO : Fédération des réseaux d ASR RESINFO
Plus en détailSOMMAIRE. Bernard Longhi
BTP 2015 Prouver les bénéfices de la dématérialisation des facturations de marchés publics de travaux Charleville-Mézières Signature pilote BTP 2015 4/12/2014 SOMMAIRE Qui sommes-nous? Rappel du projet
Plus en détailAIDE MEMOIRE. Forprev. De l habilitation à la gestion de sessions. Page 1 sur 55
2013 AIDE MEMOIRE Forprev De l habilitation à la gestion de sessions Page 1 sur 55 Bienvenue, Vous êtes, ou souhaitez être, habilité à dispenser des formations relevant du dispositif de démultiplication
Plus en détailOBJET : Mise en œuvre du décret n 2004-1144 du 26 octobre 2004 relatif à l'exécution des marchés publics par carte d'achat.
Secrétariat général DIRECTION DE L'EVALUATION DE LA PERFORMANCE, ET DES AFFAIRES FINANCIERES ET IMMOBILIERES SOUS-DIRECTION DES AFFAIRES IMMOBILIERES SLAC/N AFFAIRE SUIVIE PAR : Pierre AZZOPARDI Tél :
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détail