L utilisation de l Internet comme mode de participation à l espace public dans le cadre de l AMI et au sein d ATTAC

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1 Éric GEORGE 2000 L utilisation de l Internet comme mode de participation à l espace public dans le cadre de l AMI et au sein d ATTAC par Éric GEORGE Internet dans la société / La société dans Internet Colloque du CIRASI, le 20 octobre 2000, Télé-Université, Montréal Disposant de moins de dix minutes pour prendre la parole, vous me permettrez de lire mon texte. Je vais vous faire part ici des enseignements issus de ma thèse. En ce qui concerne la problématique, le cadre théorique et la méthodologie, je vous renvoie vers le résumé présent sur le site Internet du colloque (< Je me suis intéressé à l utilisation du réseau Internet par un certain nombre d organismes dans le cadre du projet d accord multilatéral sur l investissement ou AMI. Les premiers enseignements portent sur l analyse des contenus consacrés à l AMI sur la Toile. Cette dernière a été utilisée avant tout comme un moyen de diffuser de l information sans passer par l intermédiaire des médias existants. L utilisation du réseau Internet s intègre en fait dans des politiques de communication préexistantes. Le «Net» est considéré comme un simple prolongement de la politique générale de communication. C est notamment le cas pour les organismes qui se contentent de mettre sur la Toile des contenus déjà produits sans tenir compte des potentialités spécifiques du support. Les faibles possibilités d interactivité, qu il s agisse d envoi de courriel, de participation à des échanges en mode synchrone ou asynchrone en témoignent. Il a même été possible de constater dans certains cas une faible utilisation des liens hypertexte. Ainsi, dans le cas du Congrès du travail du Canada, le contenu consacré à l AMI est longtemps resté divisé en deux sous-ensembles distincts. Cela dit, on constate de façon complémentaire que l on retrouve certaines caractéristiques essentielles des logiques de communication traditionnelles propres à chacun des macro-acteurs de nos sociétés telles qu elles ont été définies par Yves de la Haye et précisées par Michel Sénécal. Ainsi, peut-on interpréter l absence des entreprises comme relevant de la recherche de l apolitisme. En ce qui concerne les constituantes de l État, nous avons pu voir à l occasion de l analyse des sites du Ministère des affaires étrangères et du commerce international du Canada et du Ministère français de l Économie et des Finances que l accent était mis sur la recherche du consensus entre les différentes composantes de la société. Enfin, les groupes constitutifs de la société civile, qu il s agisse des syndicats tels le Congrès du travail du Canada, le CTC ou la Société des auteurs compositeurs dramatiques, la SACD ; de regroupements comme l association pour la taxation des transactions financières pour l aide aux citoyens, ATTAC ou SalAMI, ont utilisé la Toile pour informer, mobiliser, entretenir la polémique, le conflit, pour mettre l accent sur la diversité des positions des différents acteurs sociaux sur l AMI. Ces logiques transparaissent aussi à l étude des liens hypertexte vers d autres sites. Du côté des sites gouvernementaux ainsi que du côté de celui de l OCDE, il n y a des liens que vers des sites défendant les mêmes positions. Ceux-ci correspondent la plupart du temps à d autres sites

2 Éric GEORGE institutionnels. C est particulièrement frappant dans le cas de l OCDE qui renvoie aussi à d autres documents consacrés à l AMI. La lecture de ceux-ci amène à conclure à l existence d une quasi-unanimité en faveur du projet. En revanche, du côté des organismes de la société civile, notamment du côté d ATTAC, on se rend compte de la présence d un ensemble de liens très important qui mènent vers des sites d organismes qui ont pris des positions très différentes les unes des autres. L exposition de positions conflictuelles est ici effectuée grâce à la réalisation de répertoires thématiques d une richesse considérable. Par ailleurs, les liens vers d autres sites sont aussi utilisés pour mettre en évidence l existence de réseaux, à la fois organisés internationalement autour de thématiques -- je fais ici plus particulièrement référence au Ring consacré à la taxe Tobin qui regroupe plusieurs organismes à travers le monde qui s intéressent de façon centrale à cette question -- et organisés sur des bases plus nationales -- je fais allusion ici aux liens existant entre ATTAC et d autres associations françaises comme «AC! Association contre le chômage» et «DAL Droit au logement». Enfin, je mettrai l accent sur deux autres points à propos de l utilisation de la Toile. Premièrement, on remarque, et ce n est pas sans lien avec ce qui précède, que les discours de regroupements comme le CTC et la SACD s adressent avant tout à une population ciblée les quelques 2,3 millions d adhérentes et d adhérents au syndicat canadien et les membres de la société française et ce même s ils ont accès à un «auditoire» potentiel beaucoup plus considérable grâce au réseau Internet. Je me contenterai d un exemple parmi d autres : sur le site de la SACD, il est question de la menace de l AMI pour les questions de propriété intellectuelle et de droits d auteur. Or, on constate à l étude du vocabulaire employé que l on ne cherche pas à faire comprendre les enjeux au-delà du champ culturel français et au-delà francophone. En revanche, il en est différemment dans les cas d ATTAC et de SalAMI souvent présentées comme des lieux de mobilisation sociale d un nouveau genre. D emblée, c est l ensemble de la population qui est visée, québécoise en ce qui concerne SalAMI, internationale en ce qui concerne ATTAC. Ce type d association tend à défendre des intérêts spécifiques, par exemple la taxe Tobin pour éliminer la pauvreté dans le monde dans le cas d ATTAC, mais le fait non plus au nom de telle ou telle catégorie mais au nom de l ensemble des êtres humains. La Toile témoigne d ailleurs de ce phénomène et y contribue et j en viens au deuxième point spécifique que je souhaitais aborder. Deuxièmement, je vais dire quelques mots à propos de l archivage. J ai retrouvé ici trois cas de figure. Premièrement, le site de l OCDE : l essentiel du contenu consacré à l AMI, du moins le contenu consacré de façon centrale à l AMI a été supprimé quelques semaines après l abandon du projet. Seul restent encore sur le serveur quelques documents éparpillés au sein desquels le sujet de l AMI tient une place secondaire. De plus, lorsqu on mentionne sur un navigateur l anciene adresse du dossier consacré à l AMI, on constate qu il y a un renvoi vers un nouveau dossier consacré à l investissement mais sans aucun lien avec l ancien projet. Cette pratique de suppression du contenu consacré à ce projet défunt me semble poser problème à des fins de compréhension de l histoire, avec et sans grand H. Deuxièmement, le cas cas du Ministère des affaires étrangères et du commerce international du Canada. Pendant plusieurs mois après l échec des négociations, l ensemble du contenu consacré à l AMI est resté en ligne. Certes, on n y avait pas accès à partir d un menu spécifique consacré au sujet mais à partir de l outil de recherche interne. Il était donc possible de comparer l évolution des prises de position officielles au sujet de l AMI, et ceci de façon beaucoup plus simple que s il fallait retrouver par exemple les

3 Éric GEORGE communiqués reproduits dans les journaux. Notre analyse nous a notamment permis de voir comment les discours du Ministère sur le projet avaient évolué en fonction de l histoire de celuici et notamment en fonction de la mobilisation croissante de regroupements de la société civile. Troisième cas de figure : ATTAC. L ensemble du contenu présent sur le site est archivé. On retrouve même quelques contenus issus d autres sites qui sont repris sur le site d ATTAC afin d éviter toute suppression de fichier. Or, cette action systématique de la part des responsables du site d ATTAC a un rôle stratégique dans la possible reconstitution d un événement tel qu il a été appréhendé dans telle ou telle perspective liée aux acteurs. Abordons maintenant l autre élément principal de notre corpus, les listes de discussion. Les trois qui nous ont intéressé ont présenté des profils fort différents, ce qui témoigne encore d une grande variété des utilisations de chacun des dispositifs. Dans le cas de la liste créée par SalAMI, on peut constater que le nombre de personnes ayant envoyé des messages a toujours été faible. Idem pour le nombre de messages. En fait, cette liste a toujours été utilisée pour diffuser quelques informations factuelles. Il n y a jamais eu de débat. À l opposé, la liste «Contrôle-OMC» lancée par un ancien abonné de la liste «ATTAC-talk» a toujours été ouverte à toute participation sans aucune restriction. Deux traits découlent largement de cette autoorganisation permanente : un nombre considérable de messages consacrés à des thématiques très variées et un faible nombre de participants et de participantes. Bref, certains pourraient parler de bouillenement d idées permanent, d autres de bruit. Le cas de la liste «ATTAC-talk» est plus complexe. À l origine, la liste était non modérée mais le mandat de celle-ci semblait relativement précis : traiter ce qui est lié à la spéculation financière. Or, on a pu constater au fil du temps qu aucune unanimité n était possible quant à l admissibilité de tel ou tel sujet. Certains estimant que la mise en valeur du capital, et notamment la spéculation financière, constitue le moteur principal du développement de nos sociétés, avaient tendance à considérer que la plupart des sujets pouvaient être abordés, du moins sous un certain angle, sur la liste. D autres, estimant en revanche que la mise en valeur du capital, et notamment la spéculation financière, ne constitue que l un des moteurs du développement de nos sociétés parmi d autres avaient tendance à circonscrire beaucoup plus le contenu de celle-ci. Autrement dit, c est l identité même de l association qui a été en discussion plus ou moins permanente, en construction plus ou moins permanente sur la liste. Par ailleurs, la concentration du nombre de messages entre un petit nombre de personnes a été maintes soulignée sur la liste et sujette à de nombreux désabonnements. C est à ce moment-là que le responsable de la liste décida de passer celle-ci en mode modéré. Depuis, le nombre de messages a diminué globalement mais le nombre de contributeurs et de contributrices a, lui, augmenté. En conséquence, cela amène à se demander si au nom de la liberté totale d expression sous prétexte de démocratie, on ne favorise pas l existence de considérables inégalités entre les prises de parole. Quelle que soit la réponse, s il y a en a une, il importe d ajouter à ce sujet que les échanges ont d autant plus de chances de se développer sur un sujet qu il y a au moins une personne, sinon deux qui assure l animation. Les débats qui ont abouti le plus souvent à un texte collectif mis ensuite en ligne, éventuellement rediscuté lors d un colloque, sur d autres listes, etc., bref à un texte utilisé en tant que «contreexpertise» pour reprendre la terminologie d ATTAC ont été ceux qui ont été «encadrés» de la façon suivante : par la présence d un animateur ou d une animatrice, par l envoi d un texte initial servant de base à la discussion, par l annonce dès le départ de la discussion du temps limité de celle-ci et de la réalisation finale d une synthèse, voire de la tenue d un colloque dans de rares

4 Éric GEORGE cas. On retrouve ici l importance de faire coïncider communication et action qui ne se développent pas forcément dans les mêmes cadres temporels. Enfin, nous avons remarqué que le dispositif technique utilisé pour échanger pouvait lui-même être remis en question. Ainsi, a-t-on débattu pendant plusieurs semaines sur les mérites respectifs des listes de discussion et des forums de discusssion comme espaces publics propices aux échanges. Au-delà de ces analyses, nous nous sommes plus particulièrement intéressé au développement d ATTAC et aux liens entre ce développement et celui de l utilisation du «Net» au sein de l association. À ce sujet, il importe tout d abord de signaler que les lancements de la liste de discussion «ATTAC-talk» et du site d ATTAC en février 1998, la première ayant eu pour premier objectif d alimenter le second en contenu, ont été antérieurs à la création officielle de l association, qui date du mois de juin suivant. Dans certains cas, au fil des mois, une véritable synergie a eu lieu entre le développement général d ATTAC et celui des activités électroniques de l association pour reprendre la terminologie en vigueur au sein de celle-ci. Ainsi, de nombreuses listes spécialisées ont été créées pour contribuer à certaines tâches (coordination internationale, liens entre groupes locaux, opérations de traduction, etc.). Certaines utilisations en la matière ont même été bien au-delà des objectifs initiaux, par exemple dans le secteur de la traduction, secteur crucial pour une association qui veut contribuer à l édification d une société civile internationale. Certains membres de l association en sont même venus à proposer des séances de formation qui ne sont pas consacrées à l économie et à la politique mais à l utilisation du réseau Internet à des fins militantes. On peut considérer ici qu il y a une véritable appropriation sociale du dispositif technique au sens entendu par Serge Proulx. Toutefois, les inégalités d utilisation du «Net» demeurent considérables au sein même de l association. Dans certains cas, la place de celui-ci dans le développement des activités de l association est relativement faible. Celle-ci tient par exemple une place très secondaire dans le processus de production de la documentation émanant du conseil scientifique, les membres de celui-ci estimant que rien ne vaut le face-à-face pour élaborer des documents collectifs de plusieurs dizaines, voire centaines de pages. Dans ce cas, les services du «Net» vont plutôt être mobilisés en amont et en aval. D un côté, il va y avoir un appel systématique à participation sur toutes les listes de discussion avant tout lancement d un débat au sein du conseil scientique. De l autre, une fois le document rédigé et signé par le conseil scientifique, celui-ci va être systématiquement mis en ligne sur le site et envoyé sur les listes à des fins de discussion. L intensité de l utilisation du réseau Internet au sein de l association peut donc varier selon les activités. Elle dépend aussi des pays. De façon générale, on constate que les activités électroniques sont d autant plus importantes et diversifiées que l association est développée. Dans le cas du Québec, le développement du site a ainsi été effectué au moment où l association tenait son premier congrès. Les difficultés à enrichir son contenu, l absence de création de liste de discussion spécifiquement québécoise témoigne des difficultés et contribue aux difficultés que connaît l association ici. Les seules exceptions à cette rêgle sont constituées par les pays du sud. Dans ces cas-là, au Brésil par exemple, le site est mis à jour régulièrement mais ce n est pas évidemment pas une priorité dans un pays où le taux de branchement demeure très faible. Dans d autres pays comme le Sénégal et la Tunisie, les sites ne sont pas mis à jour. Les priorités sont ailleurs. En Tunisie par exemple, ATTAC doit lutter contre la censure. Cela dit, plus généralement, nous nous sommes interrogé sur les caractéristiques de l espace public créé par les utilisations du réseau Internet en nous posant trois questions. Premièrement,

5 Éric GEORGE celui-ci est-il avant tout de dimension internationale ou d autres niveaux, local, régional, national, s avèrent-ils aussi pertinents? À ce sujet, les utilisations du «Net» au sein d ATTAC illustrent bien les possibilités transfrontières de ce moyen de communication. Toutefois, on constate parallèlement d autres tendances. La première d entre elles, c est que contrairement à une idée souvent répandue la langue ne lie par forcément des êtres humains. Je prendrai un exemple pour illustrer mon propos : à l origine, la liste de discussion «ATTAC-talk» était la seule liste francophone et dès son lancement, nous avons pu constater qu il y avait non seulement des Français mais aussi des Québécois, des Canadiens et des Suisses qui s exprimaient. Or, très vite, dès que l association s est développée en Suisse et que des Suisses ont créé leurs propres listes, soit à l échelle confédérale, soit à l échelle des cantons, il y a eu un retrait de la liste francophone. Il en est de même au Québec. L un des premiers objectifs de la direction de l association, objectif toujours pas réalisé en ce jour, a été de créer une ou plusieurs liste(s) pour les Québécois et pour les Québécoises. Cette tendance s explique pour deux raisons : premièrement, devant la présence largement dominante des internautes français échangeant sur des thèmes franco-français, les autres francophones ont progressivement abandonné la liste. Deuxièmement, lorsqu il y a eu de véritables échanges à échelle internationale, on s est rendu compte qu il était nécessaire, mais quasiment impossible, de consacrer des messages entiers à des mises en contexte, les situations politique et économique demeurant très différentes selon les pays. La création de listes restreintes à des territoires nationaux ou locaux témoigne également du processus d appropriation sociale. Toutefois, si l échelon local est pertinent pour le travail sur le terrain, l échelon national demeure essentiel car il s agit du niveau d intervention principal du politique. Deuxièmement, quels sont les liens entre cet espace public et d autres espaces publics liés à d autres pratiques médiatiques ou plus largement culturelles? Ils sont en fait de plusieurs ordres. Premièrement, certains sites font référence à des revues de presse et proposent en conséquence des liens, soit vers des extraits de contenus repris notamment de journaux, soit vers d autres sites de journaux, de stations de radio ou de chaînes de télévision. Deuxièmement, la couverture médiatique est souvent abordée au sein même de la liste de discussion. Les propos sont la plupart du temps critiques, les médias traditionnels étant souvent considérés comme des véhicules de l idéologie dominante, le néolibéralisme, alors que le réseau Internet est considéré comme un espace public plus ouvert à des discours alternatifs. Toutefois, on trouve aussi parfois des propos teintés d admiration envers la télévision qui est vue comme le seul moyen de rejoindre rapidement une très large partie de la population. Troisièmement, les messages envoyés sur la liste ne sont pas toujours uniquement lus par les abonnés-ées. Ceux-ci les transmettent parfois -- c est le cas de la moitié des abonnés-es qui ont répondu à notre questionnaire -- à des collègues, des amis ou de la famille. On peut donc conclure que les pratiques du réseau Internet contribuent certes encore un peu plus au morcellement de l espace public, mais qu elles permettent aussi de créer des liens entre les différentes composantes de celui-ci. Troisièmement, l établissement d un espace public fondé sur les échanges témoigne-t-il ou contribue-t-il à la formation de véritables réseaux sociaux? À cette question, je serais tenté de répondre à la fois «oui» et «non». Lorsqu on étudie dans le détail les liens entre les différentes associations qui ont lutté contre l AMI, on se rend compte combien les réseaux sociaux préexistants ont tenu un rôle central dans la mobilisation. Plusieurs organismes ont appris à travailler ensemble, notamment depuis les premières oppositions à l ALENA et au GATT. L utilisation du réseau Internet est considérée comme étant fort utile mais aussi comme

6 Éric GEORGE secondaire par rapport à la nécessité de se rencontrer afin de travailler ensemble, de se connaître et de se faire confiance. J aboutis aux mêmes conclusions au sujet du développement international d ATTAC. Le réseau constitué par les différentes déclinaisons d ATTAC de par le monde est beaucoup plus structuré par la présence internationale du «Monde Diplomatique» que par le «Net». Le rôle du réseau n est donc pas vraiment structurant. Cela ne veut pas dire pour autant qu il est nul. Bien au contraire. S il ne suffit pas à créer des réseaux sociaux durables, il permet de les consolider. La médiation technique ne saurait faire l économie des contacts physiques, mais elle maintient des liens essentiels dans l intervalle des rencontres. Enfin, j aborderais brièvement deux points afin de voir dans quelle mesure les utilisations de l Internet contribuent à la démocratisation de nos sociétés, il importe tout d abord de suivre avec attention le rôle qu elles pourraient tenir dans la reconfiguration de l articulation entre les trois composantes de l organisation politique présentées ainsi par Cornelius Castoriadis : l oïkos, autrement dit la maison, ce qui relève de la vie privée ; l agora, l endroit où les individus se rencontrent, échangent, forment des associations, ce que l on nomme souvent la société civile ; l ecclesia, le lieu où s exerce le pouvoir politique en tant que tel. Comme l ont déjà montré plusieurs études sur la question, les frontières entre sphères privée et publique ont déjà été largement remises en question par le développement des médias. Dans le cas du réseau Internet, une utilisation au domicile s effectue donc dans l oïkos, mais on se trouve en fait dans l agora. Phénomène peut-être important à moyen terme, cette remise en cause des frontières peut éventuellement servir à modifier le profil militant. Toutefois, l enjeu véritable se situe sans doute entre les frontières de l agora et de l ecclesia. On dit souvent que le renouveau de la démocratie va provenir de la société civile, notamment parce que la sphère politique, l État est actuellement sous l emprise totale ou quasi-totale de la sphère économique, c est-à-dire essentiellement les transnationales. Or, dans cette perspective, on ne sait pas encore très bien quel va être le rôle exact de cette multitude de regroupements qui sont à la fois très différents les uns des autres et relativement complémentaires? S agit-il avant tout de peser sur les institutions politiques, ce qui contribuerait à revitaliser le système politique de la représentation? Y-a-t-il au contraire des remises en cause de la démocratie représentative afin de développer des formes de participation à la vie politique plus directes? Il est impossible de répondre en l état à cette question. Il est également impossible de répondre au sujet du rôle éventuel du réseau Internet en la matière. Nous concluerons tout à fait notre propos avec l idée suivante. Pour aller vite, le développement du réseau Internet prend appui sur deux principes, celui de la transformation de la valeur d usage en valeur d échange à travers le processus de production et la mise en marché, caractéristiques dominantes du système capitaliste et celui de la gratuité qui repose au contraire sur l absence de transformation de la valeur d usage en valeur d échange. Or, les utilisations du réseau Internet par des organismes comme ATTAC contribuent largement à enrichir le contenu de celui-ci. Il nous apparaît fondamental qu elles reposent sur le bénévolat et que de ce fait, elles contribuent à diminuer du moins symboliquement la fétichisation de l argent qui tend à devenir la valeur centrale de notre époque à l ère de l omnimarchandisation de celle-ci pour reprendre les termes de Serge Latouche. In fine, il s agit peut-être, pour reprendre les propos d André Gorz, de contribuer à «élargir au maximum les espaces et les moyens qui permettent la production de

7 Éric GEORGE sociétés alternatives, de modes de vie, de coopération et d activités soustraits aux dispositifs du capital et de l État». Fin de citation et fin de ma présentation.

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