2. Constats et analyse de l inspection des installations classées
|
|
- Françoise St-Gelais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PREFET ES ALPES MARITIMES irection régionale de l'environnement, de l'aménagement et du Logement de Provence-Alpes-Côte d'azur Nice, le 05 novembre 2015 Unité Territoriale des Alpes-Maritimes Nice Leader Tour Hermès 64/66 route de Grenoble Nice Affaire suivie par : Subdivision Nice 05 max.vaillant@developpement-durable.gouv.fr Tél : Fax : Madame la irectrice de la REAL PACA à Monsieur le PREFET des Alpes-Maritimes A l attention de M. le Secrétaire Général Référence : Nice-Sub05\MV\KV\ S3IC P2 RAPPORT E L INSPECTION ES INSTALLATIONS CLASSEES Objet : Société RECOR France rue des Trois Moulins - Z.I. les Trois Moulins à Antibes Visite d inspection du 16 septembre 2015 Références : Arrêté de mise en demeure du 10/06/2014 Courrier de l exploitant du 08/07/ Contexte La société RECOR France fondée en 1957, au capital 100% familial, a pour objet la fabrication et la commercialisation d amortisseurs hydrauliques. Implantée depuis 1976 sur le site du parc international d activités de Sophia Antipolis, la société RECOR France emploie 125 personnes sur m² couverts. L établissement de traitement de surfaces et d application de peintures d Antibes est réglementé par un arrêté préfectoral en date du 15 décembre L établissement a fait l objet d une visite d'inspection non exhaustive le 15/05/2014. Suite à ce contrôle et conformément aux propositions formulées dans le rapport d inspection référencé MV/MV/ , M. le Préfet a pris un Arrêté Préfectoral de Mise en emeure (APM) en date du 10/06/2014 et a formulé certaines demandes complémentaires. ans un courrier en date du 08 juillet 2014, la société Record France nous indique les actions qu elle a prévues en vue de se conformer à la réglementation, les modalités qu elle a d ores et déjà déployées pour satisfaire à certains points de la mise en demeure et nous apporte quelques éléments de réponses attendus. Le présent rapport présente l analyse de ces éléments et les constats faits lors d une visite de récolement à l APM du 10/06/2014 effectuée le 16 septembre 2015 sur le site. 1/5
2 2. Constats et analyse de l inspection des installations classées 2.1. Situation administrative de l installation L établissement est soumis à autorisation au titre de la rubrique n 2565 (traitement de surface) de la nomenclature des Installations Classées pour la Protection de l Environnement (ICPE). Lui sont greffées des ICPE plus modestes sous régime de déclaration : refroidissement par dispersion d eau dans un flux d air, application de peinture, réfrigération compression, fonderie, travail mécanique des métaux. Le tableau suivant présente l état du classement des installations classées pour la protection de l environnement dans l établissement RECOR France. Rubrique ésignation de l activité Volume autorisé Régime a b Fonderie (fabrication de produits moulés) de métaux et alliages non ferreux (à l'exclusion de celle relevant de la rubrique 2550) La capacité de production étant : 2. Supérieure à 100 kg/j, mais inférieure ou égale à 2 t/j Métaux et alliages (travail mécanique des ) La puissance installée de l ensemble des machines fixes concourant au fonctionnement de l installation étant : 2. Supérieure à 50 kw, mais inférieure ou égale à 500 kw Revêtement métallique ou traitement (nettoyage, décapage, conversion, polissage, attaque chimique, etc) de surfaces (métaux, matières plastiques, semiconducteurs, etc) par voie électrolytique ou chimique à l exclusion du nettoyage, dégraissage, décapage de surfaces visés par la rubrique Procédés utilisant des liquides (sans mise en œuvre de cadmium), le volume des cuves de traitement de mise en œuvre étant : a) Supérieur à 1500 litres Réfrigération ou compression (installations de) fonctionnant à des pressions effectives supérieures à 105 Pa : 2. ans tous les autres cas (fluides non classés inflammables ou toxiques), la puissance absorbée étant : 2 presses à injecter pour la fonte de 400 kg/j de zamak (mélange de 95% zinc, 4% aluminium, 0.7% cuivre) 400 kw - une cuve de dégraissage électrolytique de 1900 litres - une cuve d attaque chromique de 2600 litres - 3 bains de chromage de volume total 9180 litres Volume total pour le classement : litres de capacité maximale 4 compresseurs dont 1 de secours de puissance totale électrique totale absorbée de: 66 kw A b) Supérieure à 50 kw, mais inférieure ou égale à 500 KW b Refroidissement par dispersion d eau dans un flux d air (installations de) : 1. Lorsque l installation n est pas du type «circuit primaire fermé» : Puissance thermique évacuée maximale est de 174 kw. b) La puissance thermique évacuée maximale étant inférieure à kw Vernis, peinture, apprêt, colle, enduit, etc, (application, cuisson, séchage de) sur support quelconque (métal, bois, plastiques, textile, ) à l exclusion : - des activités de traitement ou d emploi de goudrons, d asphaltes, de brais et de matières bitumineuses couvertes par la rubrique 1521 ; b - des activités couvertes par les rubriques 2445 et 2450 ; - des activités de revêtement sur véhicules et engins à moteur couvertes par la rubrique 2930 ; Application à froid de peinture par pulvérisation, la quantité maximale de peintures susceptible d être mise en œuvre est de 50 kg/j. - ou de toute activité couverte explicitement par une autre rubrique 2. Lorsque l application est faite par tout procédé autre que le "trempé" (pulvérisation, enduction ) Si la quantité maximale de produits susceptible d être mise en œuvre est : b) Supérieure à 10 kg/jour, mais inférieure ou égale à 100 kg/jour : éclaration A : Autorisation 2/5
3 2.2. Visite d inspection du 15/05/2014 : constats et suites La visite d inspection du 15/05/2014 était axée sur le récolement partiel à l arrêté préfectoral d autorisation n du 15/12/2008. Lors de ce contrôle, l inspection a relevé 8 écarts à la réglementation et formulé 2 remarques. En conséquence, M. le Préfet a pris un APM en date du 10/06/2014 et a formulé certaines demandes complémentaires. L exploitant dans un courrier en date du 08/07/2014 a pris des engagements en vue de se conformer à la réglementation et a transmis des rapports d analyses et de contrôles effectués par des organismes extérieurs sur ses installations Constats faits par l inspection vis-à-vis de l APM du 10/06/2014 La visite d inspection du 16/09/2015 a été conduite sur le recollement des prescriptions de l APM du 10/06/2014. Concernant l absence de Plan de Gestion des Solvants (PGS) : Lors de l inspection, l exploitant nous a remis un «PGS» portant sur les six dernières années. Cependant, ce bilan ne comportant que les quantités de peinture et de diluant utilisés n est pas conforme aux dispositions de l'article 28.1 de l'arrêté du 2 février 1998 modifié relatif aux prélèvements et à la consommation d'eau ainsi qu'aux émissions de toute nature des ICPE. Constat n 1 : La première prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «L exploitant est tenu de mettre en place un plan de gestion de solvants, mentionnant notamment les entrées et les sorties des solvants de l installation. Ce plan est tenu à la disposition de l inspection des installations classées.», n est que partiellement satisfaite. Il conviendra par conséquent de demander à l exploitant de produire un PGS ad hoc sous deux mois en se référant, par exemple, au guide d élaboration d un PGS proposé par L INERIS. Concernant l absence de relevé régulier des volumes d eau mesurés : Lors de l inspection, l exploitant nous a présenté un registre dans lequel est consignée hebdomadairement la consommation d eau de l atelier de traitement de surface. Constat n 2 : La deuxième prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «Un dispositif de mesure totalisateur de la quantité d eau consommée par l atelier de traitement de surface est installé. Ces mesures sont régulièrement relevées et le résultat est enregistré et tenu à la disposition de l inspection des installations classées.» est satisfaite. Concernant la fermeture de sûreté du local dédié aux produits toxiques : Nous avons constaté que la porte du local où est stocké le trioxyde de chrome est désormais cadenassée. Constat n 3 : La troisième prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «Les locaux doivent être pourvus de fermeture de sûreté», est satisfaite. Concernant le calcul consommation d eau spécifique du traitement de surface : L exploitant nous a produit le calcul annuel de la consommation spécifique d'eau par mètre carré de surface traitée et par fonction de rinçage. Constat n 4 : La quatrième prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «L exploitant calcule une fois par an la consommation spécifique de son installation, sur une période représentative de son activité. Il tient à disposition de l inspection des installations classées le résultat et le mode de calcul de cette consommation spécifique ainsi que les éléments justificatifs de ce calcul.», est satisfaite. Concernant le contrôle périodique des rejets atmosphériques et l estimation des émissions diffuses sur les conduits n 4 et 5 : ans son courrier du 08/07/2014 l exploitant a annexé un rapport d essai de contrôles des rejets atmosphériques émis par les conduits n 4 (bains de chromage) et 5 (bains de dégraissage) réalisés le 16 juin 2014 par le BUREAU VERITAS. 3/5
4 Lors de la visite, l exploitant nous a fourni un rapport d essai de contrôles des rejets atmosphériques émis par les conduits des deux cabines de peinture réalisés le 9 septembre 2014 par le BUREAU VERITAS. Ces deux rapports font apparaître que les Valeurs Limites d Emissions (VLE) sont respectées pour l ensemble des paramètres mesurés. Constat n 5 : La cinquième prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «Les mesures portent sur les rejets définis à l article cf plan de situation en annexe 2 du présent arrêté. L exploitant fait effectuer au moins une fois tous les trois ans, par un organisme agréé par le ministère en charge de l environnement, une mesure du débit rejeté et de sa concentration de l ensemble des polluants émis par les conduits 1, 2, 3, 6 et 7 visés à l article selon les méthodes normalisés en vigueur. L exploitant fait effectuer au moins une fois par an, par un organisme agréé par le ministère en charge de l environnement, une mesure du débit rejeté et de sa concentration des polluants émis par les conduits 4 et 5 visés à l article selon les méthodes normalisés en vigueur. Une estimation des émissions diffuses sur les émissaires 4 et 5 est également réalisée selon la même périodicité. Les résultats de ces mesures seront adressés à l inspection des installations classées dans le mois qui suivra leur réalisation», est satisfaite. Concernant la mesure de moins d un an des rejets en eaux pluviales : ans son courrier du 08/07/2014 l exploitant a annexé un rapport d analyse des eaux pluviales réalisée le 09/04/2014 par le laboratoire PROTEC SEROM. Lors de l inspection, l exploitant nous a fourni un rapport d analyse des eaux pluviales réalisée le 17/03/2015 par le laboratoire PROTEC SEROM. Ces rapports font apparaître que les Valeurs Limites d Emissions (VLE) sont respectées pour l ensemble des paramètres mesurés. Constat n 6 : La sixième prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «Une mesure annuelle des paramètres repris à l article (valeurs limites d émission des eaux exclusivement pluviales) est effectuée aux point de rejets 3 et 4 des eaux pluviales sur un échantillon représentatif.», est satisfaite. Concernant l absence de mesure de la situation acoustique de l établissement : Lors de la visite, l exploitant nous a fournis un rapport de mesure de bruit dans l environnement du site réalisée par le BUREAU VERITAS le 10 septembre Ce rapport fait apparaître que les niveaux limites de bruit ainsi que les valeurs limites émergences sont respectées en tous points. Constat n 7 : La septième prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «Une mesure de la situation sera effectuée tous les trois ans à compter de la date de notification du présent arrêté», est satisfaite. Concernant l absence de transmission du rapport de synthèse de l autosurveillance : L exploitant nous a transmis les résultats de la surveillance des émissions requis ; toutefois, il conviendra de lui rappeler que conformément aux dispositions de l arrêté ministériel du 28 avril entré en vigueur le 1er janvier 2015 la transmission de ces données doit être effectuée par voie électronique sur le site internet Gestion Informatique des onnées de l Autosurveillance Fréquente (GIAF à l adresse dans les délais prescrits dans l arrêté d autorisation préfectoral du 15 décembre Constat n 8 : La huitième prescription de l arrêté de mise en demeure, à savoir : «Sans préjudice des disposition de l article R du code de l environnement, l exploitant établi un rapport de synthèse relatif aux résultat des mesures et analyses imposées au chapitre 8.2 (MOALITE EXERCICE ET CONTENU E L AUTOSURVEILLANCE) Ce rapport réalisé le mois N est adressé à l inspection des installations classées avant la fin du mois N+1.», est partiellement satisfaite. 4/5
5 2.4. Réponses aux remarques complémentaires suite à la visite du 15/05/2014 En remarque n 1, il a été demandé à l exploitant de joindre une copie des rapports d analyse effectués par le laboratoire lors de la transmission du bilan annuel du suivi de la concentration en légionnelles dans l eau du circuit de sa tour aéroréfrigérante. L exploitant a pris en compte cette demande en nous faisant parvenir les documents requis. La seconde requête concernait la transmission à l inspection du montage de chacun des bains de l installation de traitement de surface (produits, volume, densité, température ). L exploitant nous a remis un document contenant les informations attendues. 3. Conclusions et propositions de l inspection des installations classées Compte tenu des constats réalisés lors de la visite de récolement du 16/09/2015 et des éléments de réponses reçues, nous proposons à M. Le Préfet : - qu il indique à l exploitant que l inspection a constaté le respect des prescriptions de son arrêté préfectoral de mise en demeure du 10/06/2014 ; - qu il réclame toutefois de l exploitant la transmission d un PGS ad hoc sous deux mois ; - qu il rappelle à l exploitant son obligation de transmission des résultats de son autosurveillance par voie électronique sur le site du ministère en charge des installations classées prévu à cet effet ; - qu il nous adresse une copie de la preuve de notification du courrier à l exploitant. Conformément à l article L du Code de l Environnement, nous avons adressé copie du présent rapport et de la pièce jointe à l exploitant qui est invité à faire valoir ses observations sous huit jours à M. le Secrétaire Général de la préfecture des Alpes Maritimes. L inspecteur de l environnement, L inspecteur de l environnement, Max VAILLANT Kim VU Vu et transmis avec avis conforme pour la irectrice et par délégation Le chef de l Unité Territoriale des Alpes Maritimes Bernard MULLER 5/5
CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailLE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3
LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3 Dernière révision du document : février 2013 Entré en vigueur le 1 er octobre 2002, le "Permis d Environnement" (créé par le décret du 11 mars 1999) peut être considéré
Plus en détailPrésentation Saint Cézaire. 26 novembre 2014
Présentation Saint Cézaire 26 novembre 2014 Formations sur le site de Grasse Formation Initiale Transport de marchandises dangereuses IATA DGR1 EXPEDITEURS Recyclage Transport de marchandises dangereuses
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailTours de refroidissement Technologie environnementale
Tours de refroidissement Technologie environnementale Nos points forts Technologie et environnement Surfaces d échange adaptées à chaque besoin : applications industrielles ou tertiaires Propreté et résistance
Plus en détailCONTEXTE ADMINISTRATIF
Contexte administratif 1/11 Site d USSEL (19) CONTEXTE ADMINISTRATIF Novembre 2008 Contexte administratif 2/11 SOMMAIRE 1 HISTORIQUE...3 2 STRUCTURE ADMINISTRATIVE...4 2.1 ISOROY SAS MAISON MERE 4 2.2
Plus en détailPRÉFÈTE DU CHER. La Préfète du Cher, Chevalier de la Légion d Honneur,
Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations Pôle de la Protection des Populations Service de la Protection de l Environnement Installation classée soumise à autorisation
Plus en détailLE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution
LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution 11 octobre 2012 LES REGLES DU JEU : L ANCIEN ET LE NOUVEAU Introduction Le cadre légal et réglementaire Les principes généraux La liste des
Plus en détail1/4 N 13824*03. N de l autorisation. Le cas échéant, n de la déclaration préalable 1 effectuée au titre du code de l urbanisme :
MINISTÈRE CHARGÉ DE LA CONSTRUCTION Demande d autorisation de construire, d aménager ou de modifier un établissement recevant du public (ERP) Cette demande vaut également demande d approbation d un Agenda
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailPREFET DES BOUCHES-DU-RHONE
PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE DIRECTION DEPARTEMENTALE INTERMINISTERIELLE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS Siège : 22, Rue Borde - 13285 MARSEILLE CEDEX 08 Publipostage MARSEILLE, 03.04.2013 Téléphone :
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailAU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D AUVERGNE, STATUANT EN SECTION
CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'AUVERGNE COMMUNE DE CERILLY N codique : 003 015 048 Département : Allier Trésorerie de Cérilly-Ainay-Le-Château Exercices 2004 et 2005 Audience publique du 9 juin 2010 Lecture
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailArchiver dans une entreprise privée commerciale Fiche 4 : au moins 5 ans
Sécurité Livre de paie (applicable jusqu au 31/07/1998) art. L. 143-5). Déclarations préalables à l embauche L. 320). Relevé mensuel des contrats de travail art. R. 320-1-1). Tous documents, en général,
Plus en détailBENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS
BENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS MonsieurleProcureurdelaRépublique TribunaldeGrandeInstancedeMontauban Placeducoq 82000MONTAUBAN Paris,le20octobre2010 LR+AR
Plus en détailBORDEREAU DE SUIVI DES DECHETS
BORDEREAU DE SUIVI DES DECHETS Pour une meilleure traçabilité Une nouvelle réglementation vient clarifier les règles de traçabilité du circuit des déchets dangereux Chambre de Métiers et de l'artisanat
Plus en détailI. Etapes du service et procédés utilisés
I. Etapes du service et procédés utilisés Réception des vêtements Détachage des vêtements Nettoyage à sec des vêtements Lavage des vêtements Essorage des vêtements Séchage des vêtements Repassage des vêtements
Plus en détailPLOMBIER. Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec nom d usage
Répertoire des activités de travail exposant aux cancérogènes GISCOP93 Université Paris 13 (Bobigny) plombierv2 Page 1 sur 9 PLOMBIER Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailLe confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire
Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant
Plus en détailStockage et distribution de Liquides inflammables
Contrôles périodiques des installations soumises à DC Stockage et distribution de Liquides inflammables 2009 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire a été établie à partir des textes réglementaires
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailT.Flow Activ. Chauffer l eau. EXPERT
E A U C H A U D E S A N I T A I R E T.Flow Activ Chauffer l eau. EXPERT T.Flow Activ Source inépuisable d eau chaude T.Flow Activ est un chauffe-eau thermodynamique qui révolutionne la production d eau
Plus en détailSoltherm Personnes morales
Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailAutorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013
Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 CLI de Saint-Alban / Saint-Maurice l Exil 19 mai 2014 19/05/2014 1 L Autorité de sûreté
Plus en détailÉTAT DES LIEUX ÉTAT DES LIEUX CONTRADICTOIRE À ANNEXER AU CONTRAT DE LOCATION
ÉTAT DES LIEUX ÉTAT DES LIEUX CONTRADICTOIRE À ANNEXER AU CONTRAT DE LOCATION État des lieux d'entrée État des lieux de sortie Nouvelle adresse (Etats des lieux de sortie) LES LOCAUX Appartement Maison
Plus en détailLES CONDITIONS D EXERCICE DE LA POLICE DES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC PREALABLE
LES CONDITIONS D EXERCICE DE LA POLICE DES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC PREALABLE A/ Une réglementation et un contrôle spécifiques - une réglementation fondée sur le Code de la Construction et de
Plus en détailCirculaire du 20 avril 2015 relative au délai de transmission des arrêts de maladie des fonctionnaires dans la fonction publique de l État
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Circulaire du 20 avril 2015 relative au délai de transmission des arrêts de maladie des fonctionnaires dans la fonction
Plus en détailPompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies
Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet
Plus en détailVu la demande d'avis de M. Christos DOULKERIDIS, Secrétaire d Etat au Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale reçue le 23/02/2012;
1/8 Avis n 12/2012 du 11 avril 2012 Objet: Communication de données de consommation d eau et d électricité par les services de distribution à la Cellule administrative régionale ad hoc de la Région de
Plus en détailProtégez-vous des risques liés aux fumées de soudage. Information prévention. Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie?
Réseaux de veille et de prévention des risques professionnels en PACA Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie? Protégez-vous des risques
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule
DOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule Commune de Préambule La société H. REYNAUD & FILS est spécialisée dans la production et la commercialisation d'huiles essentielles, d'arômes et de bases
Plus en détailBATIMENT COORDONNEES DES C.F.A. DIPLOMES DISPENSES PAR C.F.A. BOUCHES DU RHONE (13)
BATIMENT BOUCHES DU RHONE (13) C.F.A. BTP MARSEILLE Impasse de la Montre 13011 MARSEILLE Tél : 04.91.87.98.00 Fax : 04.91.87.98.01 Mail : cfabtp.marseille@ccca-btp.fr Site : www.formation-btp-paca.com
Plus en détail3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet
3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet Table des matières 07 3CB : une centrale nouvelle génération développée et exploitée par Alpiq 09 Historique du projet 11 Le cycle combiné : une technologie moderne,
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailEt la ventilation créa l eau chaude
VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %
Plus en détailRAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN
" PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL
Plus en détailExtraits du Code du Travail
Extraits du Code du Travail Bruit au travail - Santé auditive QUATRIÈME PARTIE : SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL LIVRE IV : PRÉVENTION DE CERTAINS RISQUES D EXPOSITION TITRE III : PRÉVENTION DES RISQUES D
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailIntroduction 3. 1. Cadre réglementaire Installations Classées pour la Protection de l Environnement 4. 1.1. Généralités sur les ICPE 4
Introduction 3 1. Cadre réglementaire Installations Classées pour la Protection de l Environnement 4 1.1. Généralités sur les ICPE 4 1.2. Le cas des entrepôts : exigences /textes décodés 10 2. L application
Plus en détailC.C.T.P. D.P.G.F. LOT 8
Communauté de communes de la MONTAGNE BOURBONNAISE CONSTRUCTION D UN BATIMENT LOCATIF A USAGE ARTISANAL OU INDUSTRIEL Zone d activités du Mornier 03250 LE MAYET DE MONTAGNE Marché de travaux C.C.T.P. D.P.G.F.
Plus en détailLISTE RÉCAPITULATIVE MATÉRIAUX ABRASIFS ET APPLICATIONS
56 LISTE RÉCAPITULATIVE MATÉRIAUX ABRASIFS ET APPLICATIONS 57 58 VUE D ENSEMBLE UTILISATION DU TABLEAU Dans ce chapitre, nous vous présentons tous les matériaux abrasifs de base avec leur caractéristiques.
Plus en détailGuide ENVIRONNEMENT & risques industriels des métiers de l agroalimentaire. Performance Bretagne Environnement Plus ABEA
Guide ENVIRONNEMENT & risques industriels des métiers de l agroalimentaire Performance Bretagne Environnement Plus ABEA Le secteur agroalimentaire breton, lié à une activité agricole soutenue, est très
Plus en détailCLASSEMENT - NOTE DE CLARIFICATION -
CLASSEMENT DES VILLAGES DE VACANCES - NOTE DE CLARIFICATION - (REVISION 1) Objet Le présent document a pour objet d apporter des clarifications sur les exigences ou méthodologies d évaluation des critères
Plus en détailTOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00
TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 L entreprise Professionnel dans la collecte, le traitement et la valorisation de déchets industriels depuis plus de 80 ans
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailLe ministre de l'intérieur. La ministre des sports, de la jeunesse, de l éducation populaire et de la vie associative
MINISTERE DE L INTERIEUR MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE, DE L EDUCATION POPULAIRE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DE LA MODERNISATION ET DE L ACTION TERRITORIALE SOUS-DIRECTION
Plus en détail1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE
CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS
a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques
Plus en détailCONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)
3, rue Malakoff Immeuble le forum 38031 Grenoble cedex 01 : 04 76 59 59 59 Fax : 04 76 59 57 26 CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) Convention pour
Plus en détailT.Flow Activ. Chauffer l eau. EXPERT
E A U C H A U D E S A N I T A I R E Chauffer l eau. EXPERT Source inépuisable d eau chaude est un chauffe-eau thermodynamique qui révolutionne la production d eau chaude à la maison et vous offre le confort
Plus en détailLe triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique
LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue
Plus en détail«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim
«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim Dates et faits marquants 1987 : études de l ANDRA sur le comportement du sel des Mines de Potasse
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailRAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE
Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:
Plus en détailDirection départementale des territoires NOTE DE PROCEDURE A DESTINATION DES SERVICES INSTRUCTEURS OU SECRETARIATS DE MAIRIE
PRÉFET DES ARDENNES Direction départementale des territoires Service Sécurité et bâtiment durable Accessibilité ddt-accessibilite@ardennes.gouv.fr NOTE DE PROCEDURE A DESTINATION DES SERVICES INSTRUCTEURS
Plus en détailFORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL
FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus
Plus en détailCONVENTION TYPE D OCCUPATION PRECAIRE ET REVOCABLE DU DOMAINE PUBLIC ACTIVITE : OCCUPATION A LA DEMANDE. N du
CONVENTION TYPE D OCCUPATION PRECAIRE ET REVOCABLE DU DOMAINE PUBLIC ACTIVITE : OCCUPATION A LA DEMANDE N du Entre d une part La Communauté d'agglomération Sophia Antipolis Sise Hôtel de Ville BP 2205
Plus en détailARRETE PREFECTORAL. portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels électriques de la société GEMFI à Châteaubourg
PREFECTURE Direction de la Coordination Interministérielle et de l'action Départementale Bureau des installations classées ARRETE PREFECTORAL portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels
Plus en détailLe pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.
NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements
Plus en détailQuestionnaire. Date d effet souhaitée : Nom de l entreprise à assurer : Nom et prénom du gérant : Adresse de l entreprise : Tél.
Questionnaire Questionnaire RC & DECENNALE Merci de bien vouloir nous retourner le questionnaire dûment complété et signé par: mail : contact@assurei.fr fax : 05.35.54.12.03 ou par courrier. Date d effet
Plus en détailTyp REA 120 Lit REA 200 Lit REA 300 Lit Capacité 120 l 200 l 300 l Dimensions Cuve (HxBxT)
Chaudière industrielle REA Standard - Entièrement en acier chrome nickel avec bain à l huile thermique - Robinet de purge - Aditec-display digital programmateur électronique de temps et de température
Plus en détailI OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISSION PARITAIRE NATIONALE DE L'EMPLOI DE LA METALLURGIE Qualification : 1997 03 42 69 0156 Catégorie : C* Dernière modification : 10/09/2009 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Chargé (e) de travaux
Plus en détailClassement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs
Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune
Plus en détailCONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE
CONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE NATURE DES ÉPREUVES Arrêté du 24 janvier 1992 (publié au Journal officiel du 14 février 1992) Les épreuves
Plus en détailL atelier départemental du SDIS 06
L atelier départemental du SDIS 06 Le Groupement fonctionnel «Technique» Au sein de la sous-direction technique et des systèmes d information, le groupement fonctionnel technique (GFTE), placé sous l autorité
Plus en détailLes technologies alternatives au nettoyage de vêtements et d articles textiles au perchloréthylène
Fiche introduction Les technologies alternatives au nettoyage de vêtements et d articles textiles au perchloréthylène Introduction L activité de pressing a pour vocation de nettoyer, pour le compte de
Plus en détail2105-2110 mm 1695 mm. 990 mm Porte-à-faux avant. Modèle de cabine / équipage Small, simple / 3. Codage 46804211 46804311 46804511
CANTER 3S13 2105-2110 mm 1695 mm 990 mm Porte-à-faux avant 3500 3995 4985 Longueur max. de carrosserie** 2500 2800 3400 Empattement 4635 4985 5785 Longueur hors tout Masses/dimensions Modèle 3S13 Modèle
Plus en détailInstitut Universitaire de Formation des Maîtres
Institut Universitaire de Formation des Maîtres Route du Phare BP 678 97262 Fort-de-France MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET DE SERVICE REGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.) établi en application
Plus en détailAnnexe 6 : Modèle de déclaration de candidature à remplir par chaque candidat
Annexe 6 : Modèle de déclaration de candidature à remplir par chaque candidat 53 54 Annexe 7 : Modèle de déclaration de candidature à remplir par le candidat tête de liste ou son mandataire 55 56 Annexe
Plus en détailAgrément des associations de protection de l environnement
1 Agrément des associations de protection de l environnement (Articles L 141-1 et R 141-1 à R 141-20 du code de l environnement). Le cadre général Les conditions pour qu une association soit agréée Le
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailAUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?
Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détaille dossier individuel de l agent
QUESTION DE DROIT : le dossier individuel de l agent Le dossier administratif d un agent de la Fonction Publique est un document obligatoire que le service du personnel de chaque établissement se doit
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détailDEMANDE D INFORMATIONS RFI (Request For Information)
Demande d informations MAINTENANCE SERVEURS RFI_MITI_Maintenance_Serveurs_v2.docx MITI DEMANDE D INFORMATIONS RFI (Request For Information) - MITI MAINTENANCE DE SERVEURS INFORMATIQUES RFI_MITI_Maintenance_Serveurs_v2.docx
Plus en détailAuré. AuréaSystème. Les solutions solaires. Chauffe-Eau Solaire. Combiné Solaire Pulsatoire 90% Système solaire AUTO-VIDANGEABLE et ANTI-SURCHAUFFE
Les solutions solaires pour l Eau Chaude Sanitaire ou le Chauffage ficie z d'u Auréa n it Crédpôt d'imn la loi deueur Béné Solar Keymark N 011-7S841 F Chauffe-Eau Solaire selo s en vig ce finan Système
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailEvaluation des émissions
Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr
Plus en détailO v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s
Expertise globale de la maintenance des échangeurs thermiques à plaques O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s LE CENTRE DE MAINTENANCE
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailANAC INDUS. Analyses d huile pour applications industrielles
ANAC INDUS Analyses d huile pour applications industrielles ANAC INDUS : l outil indispensable pour optimiser vos coûts d exploitation L huile en service au cœur de vos équipements recèle des informations
Plus en détail25/11/2010. La nouvelle réglementation des distributeurs de carburants. Réunion d information. Sommaire. 1 Nouvelle rubrique ICPE
La nouvelle réglementation des installations de distribution de carburants & les aides financières du CPDC Véronique Poutas Responsable Environnement pour les 2 CCI de l Aude Pierre Vicart Secrétaire Général
Plus en détailVERSION 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé les travaux
VERSION 2011 Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt du 1 er janvier 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014
«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine
Plus en détail