Synthèse de la présentation de. Gemma PECK

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Synthèse de la présentation de. Gemma PECK"

Transcription

1 Les Rencontres FutuRIS vendredi 8 avril 2011 «La réforme de l enseignement supérieur en Angleterre» Gemma PECK Senior Policy Advisor Department for Business, Innovation and Skills Synthèse de la présentation de Gemma PECK L origine de la réforme La réforme de l enseignement supérieur en Angleterre a été initiée sous l impulsion du rapport de Lord Browne. Le Parlement a voté en 2010 cette réforme qui conduit à modifier en profondeur le système de l enseignement supérieur et son mode de financement. Un Livre Blanc de l enseignement supérieur sera élaboré au printemps 2011 pour structurer ce nouveau cadre universitaire. Il sera complété en mai 2012 par une loi sur les universités. Ainsi les étudiants s inscriront dans le nouveau système universitaire dès septembre 2012 mais le nouveau cadre de l enseignement supérieur ne sera en place que pour la rentrée Certains ont contesté ce processus considérant inapproprié que le financement soit arrêté avant de décider d une stratégie. La réponse à cette interrogation est que ce nouveau mode de financement permettra de réduire les dépenses publiques. Il convient de rappeler que Lord Browne a été mandaté par le précédent gouvernement au pouvoir mais qu il a reçu le soutien des différents partis en place. Il constate que le système actuel ne peut perdurer dans un contexte de démocratisation de l accès à l enseignement supérieur. Le système doit, en outre, prendre une nouvelle orientation pour positionner le pays de manière compétitive parmi ses pairs dans la nouvelle société du savoir. Son rapport publié le 12 octobre 2010 repose sur six recommandations : convaincre les étudiants d investir davantage dans leurs études ; améliorer l information des étudiants afin de mieux orienter leurs choix ; 1

2 permettre aux jeunes présentant un potentiel d avoir accès à l enseignement supérieur ; demander le paiement des études une fois les jeunes entrés dans la vie active ; proposer des modes de remboursement proportionnels aux revenus ; porter plus d attention aux étudiants à temps partiel. Du rapport au Livre Blanc Le rapport Browne a été accepté dans ses grandes lignes par le gouvernement qui lui a néanmoins apporté quelques modifications majeures. Alors que le rapport proposait que les frais universitaires soient non limités, le gouvernement a préféré fixer un montant plafond à et à dans des cas très exceptionnels. Le gouvernement a pris la décision d accorder des prêts aux étudiants pour faire face à ces frais de scolarité majorés, prêts qu ils auront à rembourser une fois entrés sur le marché du travail. Ce principe vaut aussi pour les étudiants à temps partiel. Des bourses seront également proposées aux étudiants issus de milieux défavorisés. A la différence des prêts, ces bourses ne seront pas remboursables. Contrairement à ce que préconisait le rapport Browne, les aides proposées pour faire face au coût de la vie seront plus importantes pour les populations les moins favorisées. Une autre différence avec le rapport initial tient au fait que le taux d intérêt appliqué au remboursement des prêts sera plus progressif, à un taux de 3 % pour les diplômés dont les revenus dépasseront par an et à un taux plus important pour des salaires supérieurs. Le gouvernement a souhaité également que les universités exigeant des frais de scolarité importants (entre et ) soient en nombre limité et proposent en contrepartie des dispositifs améliorant l accès à leurs formations. Cette réforme a été votée avec ces modifications en décembre 2010 dans les deux chambres. Cette réforme a suscité un fort mécontentement parmi les étudiants : les jeunes ont manifesté à travers le pays en 2010 et 2011 pour s y opposer. Un changement majeur dans le financement des universités Cette décision a des conséquences importantes pour le financement des universités. Alors que les universités les plus prestigieuses du pays (Russell Group) se financent aujourd'hui pour un tiers de leur budget sur les frais de scolarité, cette part sera de 50 % une fois la réforme en place. Pour les autres universités, l écart sera encore plus flagrant : alors que les frais universitaires représentent aujourd'hui 50 % de leurs revenus en moyenne, ils sont appelés à en représenter 75 % à l horizon Cette réforme conduira à réduire les dépenses publiques puisqu une fois la réforme en place, les subventions publiques ne financeront que les domaines et disciplines les plus onéreuses, à savoir la médecine, les études vétérinaires, les sciences dures et de l ingénieur. Pour autant, le gouvernement ne cessera pas d apporter des subventions au bénéfice de l enseignement supérieur. En effet, le gouvernement continuera de proposer des aides aux étudiants par l intermédiaire du système de prêts. En fait, l investissement dans le système d enseignement supérieur pourrait même croître de 10 % d ici

3 En contrepartie du plus lourd tribut à payer pour les étudiants, le Livre Blanc recommande de renforcer les trois domaines suivants : l information des étudiants, l égalité et l accès aux études, et la qualité de l enseignement. 50 % des jeunes anglais considèrent aujourd'hui que l information qui leur est donnée sur les orientations universitaires possibles est insuffisante. L information existante sur les formations apparaît comme étant peu lisible. Pour corriger cet aspect, le Livre Blanc exige que chaque établissement d enseignement supérieur rédige une charte très claire décrivant ses formations et programmes et ses méthodes pédagogiques. Parallèlement, le ministère travaille avec le HEFCE (Higher Education Funding Council for England) en vue d enrichir le site Internet Unistats lequel permettra ainsi de comparer facilement les formations des différents établissements. Le Livre Blanc souhaite également améliorer l accès aux études supérieures en soutenant plus largement les jeunes issus de milieux moins favorisées. Il établit également le principe que les universités qui demanderont des frais de scolarité supérieurs à proposeront en contrepartie des facilités d accès et amélioreront la démocratisation de l accès à l élite. Avec cette réforme, le gouvernement souhaite également améliorer la qualité de l enseignement. Dans cette optique, l objectif est de multiplier les rencontres de travail entre les étudiants et leurs tuteurs mais aussi de favoriser l insertion professionnelle des jeunes à l issue de leurs études. D ailleurs, les chartes rédigées par les directions des universités permettront de mettre en exergue ces dispositifs particuliers en direction de l emploi. L objectif de la réforme est également d impliquer davantage les étudiants dans la qualité des formations et d encourager les entreprises à collaborer à la conception des cours afin que ceux-ci correspondent mieux à leurs besoins opérationnels. L objectif est véritablement de rendre ce nouveau système plus dynamique et plus compétitif. Le système actuel présente des avantages. Basé sur la stabilité, il n a entraîné aucune faillite d université. En revanche, il présente aussi des inconvénients car le système en place est relativement peu souple et peu accessible aux nouveaux entrants. Les règles qui s imposent actuellement aux établissements freinent l entrée de nouveaux venus dans le système. Le nouveau cadre universitaire doit favoriser les regroupements et les fusions mais aussi faciliter l entrée de nouveaux opérateurs sur le marché. Le système actuel est également pour le moins complexe voire peu transparent et limite la flexibilité de l ensemble du système d enseignement supérieur. La nouvelle organisation universitaire doit permettre aux étudiants de recevoir un enseignement de qualité et de disposer d une information plus précise sur les orientations possibles. Toutefois, rien ne permet de dire aujourd'hui comment le marché réagira à cette réforme ni quel sera le comportement des étudiants. Contrairement à ce que recommandait le Parlement, il s avère que beaucoup d universités pourraient demander à fixer leurs droits d admission à Les autorités publiques hésitent aujourd'hui entre attendre que le marché se régule par lui même ou intervenir pour influencer le niveau des droits d admission. La question est de savoir si les étudiants oseront s orienter vers de nouveaux fournisseurs qui pourront proposer des droits d admission moins élevés. 3

4 Débat Le risque de cette réforme réside dans le fait que les étudiants ne prendront pas nécessairement des décisions rationnelles pour choisir leur établissement d accueil. Le confirmez-vous? Lors de la dernière réforme des universités qui a eu lieu en 2006, laquelle avait conduit à une augmentation des droits d admission, il avait été observé que cette hausse des frais de scolarité n avait pas eu d impact négatif sur la décision de poursuivre des études supérieures. Cependant, l augmentation avait été bien moindre à cette époque (en moyenne contre auparavant) qu elle n est attendue en La réforme de l enseignement supérieur en Angleterre conduit à se concentrer sur les quelques disciplines les plus cotées laissant de côté les sciences humaines et sociales lesquelles ne recevront plus de subventions publiques. Des compensations seront-elles apportées à ces matières? La réforme conduit en effet à focaliser les subventions sur les disciplines les plus onéreuses. Les universités qui proposent des formations en sciences sociales et humaines devront en conséquence ajuster leurs droits d admission pour couvrir le coût des formations. Cependant, l équilibre du système dépendra effectivement du comportement des étudiants et de leurs décisions d orientation. L incertitude porte également sur les estimations de revenus que feront les étudiants sachant que le remboursement de leurs prêts dépendra de leurs revenus futurs. L information qui sera fournie aux étudiants permettra de comparer les carrières et les revenus des anciens élèves. Cependant, la réputation des établissements reste une vérité. Tous les établissements devront présenter une charte en Il est tout à fait vrai que les étudiants ne tireront pas tous les bénéfices du nouveau système dès 2012 mais qu il faudra du temps avant que la réforme ne produise tous ses effets. Quel sera le montant des prêts accordés? Quel sera le coût du système sur le long terme? Le gouvernement souhaite résolument réduire ses dépenses publiques avec cette réforme. Le régime de prêts sera certes important mais les pouvoirs publics pourront récupérer leurs fonds au terme du prêt. Par ailleurs, les taux applicables ne sont pas encore fixés pour l heure. Aujourd'hui, les étudiants ne paient pas de taux d intérêt sur leurs prêts. Le système est donc très onéreux pour le gouvernement. Le système de financement sera précisé lorsque les établissements auront annoncé le niveau de leurs droits d admission. Quel est le taux d abandon des études supérieures? Le taux d abandon en cours de formation est très peu élevé. Les élèves non diplômés auront à rembourser leurs prêts. Une autorité publique sera-t-elle en charge d évaluer le succès de cette nouvelle organisation? 4

5 Le département de l Innovation évaluera ce nouveau système. Les évaluations seront partagées. Le QAA (Quality Assurance Agency for Higher Education) pourrait être impliqué dans cette procédure d évaluation. Le système ne va-t-il pas conduire à faire disparaître certaines disciplines? Les universités proposant des formations d histoire ou de sociologie, par exemple, pourront exiger le paiement de droits d admission plus élevés qu aujourd'hui et ces formations ne disparaîtront donc pas à la faveur de la suppression des subventions publiques pour ces disciplines. La réforme ne se veut pas une attaque à l endroit des sciences humaines et sociales mais cherche simplement à focaliser les subventions sur les formations les plus coûteuses. Quel sera le montant des frais universitaires pour les étudiants étrangers? Les droits d admission seront identiques pour les étudiants de l Union européenne et ces derniers pourront bénéficier des mêmes aides que les étudiants anglais à l exception des aides accordées pour subventionner le coût de la vie. Un système de remboursement sera mis en place avec des équivalences suivant les pays. Pour les étudiants non issus de l Union européenne, les droits d admission ne seront pas limités. Ce niveau est déjà relativement élevé aujourd'hui : pourtant la demande des étudiants reste forte. C est d ailleurs une source de financement importante pour les universités anglaises. Les pouvoirs publics sont-ils en contact avec des entreprises pour les inciter à s impliquer dans les programmes qui seront proposés par les nouveaux entrants sur le marché? Pour l heure, peu de nouveaux fournisseurs se profilent. La réponse reste difficile à apporter. Les autorités chercheront à favoriser les fusions et regroupements pour éviter toute faillite d un établissement. En effet, il ne pourrait être que négatif pour un étudiant d être diplômé d une université ayant disparu. Le mode de financement variera-t-il suivant la durée des formations? Le mode de financement vaut quelle que soit la durée des études (3 ou 4 ans). De plus en plus d étudiants optent pour la poursuite de leurs études et préparent un Master, aussi le système devra s adapter à cette tendance. 5

sous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE

sous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE sous réserve de validation des modifications Niveau : MASTER année Domaine : Mention : DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT M2 Spécialité : FINANCE 120 ES Volume horaire étudiant : 335 h 35 h

Plus en détail

Un régime d assurance? Si oui, lequel?

Un régime d assurance? Si oui, lequel? Un régime d assurance? Si oui, lequel? AFESH-UQAM 20 novembre 2013 Résumé Ce texte présente quelques pistes de réflexion concernant le régime d assurance collective de l AFESH-UQAM. Il s agit d un document

Plus en détail

Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes

Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes 2013 marque le début de la refondation de la formation initiale des enseignants > Pour remplacer les départs des enseignants en 2013, 22 100 postes

Plus en détail

I. LE PROJET DE RENOUVELLEMENT DES SUPPORTS D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE

I. LE PROJET DE RENOUVELLEMENT DES SUPPORTS D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE SUIVI D UN PROJET D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE : LES DIFFICULTÉS D APPLICATION DU CADRE NORMATIF DANS LE MONDE BANCAIRE Le poste que j occupe au sein du service d archives du Crédit Lyonnais qui sont désormais

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Traitement et contrôle des opérations bancaires en services (pôles) d'appui technique et commercial en réseau de

Plus en détail

L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité?

L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? 1 L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? Prof. Gérard CLIQUET Président de la CIDEGEF IGR-IAE, Université de Rennes 1, FRANCE L année

Plus en détail

Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL

Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL mc14 036 Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal Prise de position du SYVICOL Suite à la réunion du Conseil supérieur des finances communales du 20 mai 2014, le SYVICOL souhaite

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

Renouvellement. collectives 2013

Renouvellement. collectives 2013 Renouvellement Assurances collectives 2013 Campagne de sensibilisation 2012 Médicament générique Économie de 300 000$ si la consommation de générique augmente de 2% Si 5% = 750 000$ Si tous les médicaments

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La

Plus en détail

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire

Plus en détail

CHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET

CHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET CHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET Février 2010 Fondation Condorcet / Paris Dauphine Bureau B019 - Place du Maréchal de Lattre de Tassigny - 75775 Paris cedex

Plus en détail

Directeur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON F. 04 90 80 81 32

Directeur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON F. 04 90 80 81 32 SUR LES SEJOURS LINGUISTIQUES DOSSIER DE PRESSE Mercredi 15 février de 13 h à 17 h Ancienne caserne des pompiers rue Carreterie Avignon Directeur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR

ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR L enquête L UFC-Que Choisir vient de réaliser une enquête sur les

Plus en détail

Licence professionnelle Bibliothécaire

Licence professionnelle Bibliothécaire Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Bibliothécaire Université Bordeaux Montaigne Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/16 - Traitement comptable des subsides, dons et legs, octroyés en espèces, dans le chef des grandes et très grandes associations et fondations bénéficiaires

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Paris-Est Créteil Val de Marne - UPEC Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Bruno Belzile Candidat au doctorat en génie mécanique, Polytechnique

Plus en détail

Paris, le 10 février 2014

Paris, le 10 février 2014 Paris, le 10 février 2014 Consultation publique de la Commission de régulation de l énergie sur la création d une place de marché commune aux zones GRTgaz Sud et TIGF au 1 er avril 2015 Les tarifs d utilisation

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013 La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document

Plus en détail

LETTRE D INFORMATION IMMOBILIER

LETTRE D INFORMATION IMMOBILIER LETTRE D INFORMATION IMMOBILIER ANNEE 2014 SEPTEMBRE N 752 LOI ALUR TROISIEME PARTIE : COPROPRIETE Jean-Jacques Salmon Philippe Salmon Christine Baugé David Alexandre Droit immobilier Droit de la construction

Plus en détail

PRÊT DE TITRES: CHECKLIST A L ATTENTION DES PRETEURS DE TITRES

PRÊT DE TITRES: CHECKLIST A L ATTENTION DES PRETEURS DE TITRES PRÊT DE TITRES: CHECKLIST A L ATTENTION DES PRETEURS DE TITRES Mai 2011 1 l PRET DE TITRES LISTE A L ATTENTION DES PRETEURS INTRODUCTION Ce guide a pour but de rassembler les principales questions à se

Plus en détail

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL

Plus en détail

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux

Plus en détail

L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel

L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel Atelier régional sur le pilotage de la masse salariale Abidjan, 8 au 12 avril 2013 Bruno Imbert, Conseiller résident AFRITAC

Plus en détail

Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques

Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques En 2013, le Conseil des arts du Canada a publié le Document d'information : Révision des programmes de subventions de fonctionnement

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés

Plus en détail

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et

Plus en détail

DROIT- ECONOMIE - GESTION. Sciences économiques. Sciences économique Santé, Emploi - Formation

DROIT- ECONOMIE - GESTION. Sciences économiques. Sciences économique Santé, Emploi - Formation 2012-2016 Niveau : MASTER Année Domaine : Mention : DROIT- ECONOMIE - GESTION Sciences économiques M1 Spécialité : Sciences économique Santé, Emploi - Formation 60 ES Volume horaire étudiant : 302 h 87

Plus en détail

«Les certificats blancs : comment lancer le système?»

«Les certificats blancs : comment lancer le système?» MINEFI DGEMP Bercy Paris 27 octobre 2005 «Les certificats blancs : comment lancer le système?» Discutant Jacques Percebois Professeur à l Université Montpellier I Directeur du CREDEN DISPOSITIFS EFFETS

Plus en détail

COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE :

COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE : COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE : SYNAMI S ENGAGER POUR CHACUN AGIR POUR TOUS UNE NEGOCIATION ABOUTISSANT À UNE BONNE COUVERTURE Pourquoi, pour qui? D ici au 1er Janvier 2016, la loi du 14 juin 2013 relative

Plus en détail

Passer à un modèle services de conseils tarifés. Parlons vrai avec les clients : les frais

Passer à un modèle services de conseils tarifés. Parlons vrai avec les clients : les frais Passer à un modèle services de conseils tarifés Parlons vrai avec les clients : les frais De plus en plus d investisseurs dans le monde exigent une meilleure transparence des frais de placement. Le Royaume-Uni

Plus en détail

Comment la recherche en sciences humaines est-elle utilisée? Observations tirées du sondage du groupe d experts chargé de l examen des pratiques d

Comment la recherche en sciences humaines est-elle utilisée? Observations tirées du sondage du groupe d experts chargé de l examen des pratiques d Comment la recherche en sciences humaines est-elle utilisée? Observations tirées du sondage du groupe d experts chargé de l examen des pratiques d évaluation par les pairs du CRSH Où la recherche est-elle

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Informatique de l Université Paris 7 Denis Diderot Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des Formations et des

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droit des affaires européen et comparé de l Université du Littoral Côte d Opale - ULCO Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

QUELLE VISION ONT LES TPE-PME DE L ECONOMIE CIRCULAIRE?

QUELLE VISION ONT LES TPE-PME DE L ECONOMIE CIRCULAIRE? QUELLE VISION ONT LES TPE-PME DE L ECONOMIE CIRCULAIRE? Découvrez les résultats de l enquête de l observatoire FUSION! L Observatoire FUSION, au service de l économie circulaire Le projet FUSION regroupe

Plus en détail

Site(s) (lieux où la formation est dispensée, y compris pour les diplômes délocalisés) :

Site(s) (lieux où la formation est dispensée, y compris pour les diplômes délocalisés) : Evaluation des diplômes Masters Vague D Académie : Paris Etablissement déposant : Académie(s) : / Etablissement(s) co-habilité(s) : / Mention : Economie managériale et industrielle Domaine : Economie,

Plus en détail

Projet de loi n o 102. Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de retraite

Projet de loi n o 102. Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de retraite FÉDÉRATION DE L ÂGE D OR DU QUÉBEC AVIS PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES Projet de loi n o 102 Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de Mai 2000 Introduction Fondée en 1970,

Plus en détail

BTS (brevet de technicien supérieur) DUT (diplôme universitaire de technologie) Filière santé (médecine, pharmacie, sage-femme, dentaire)

BTS (brevet de technicien supérieur) DUT (diplôme universitaire de technologie) Filière santé (médecine, pharmacie, sage-femme, dentaire) Un BTS ou un DUT, une prépa ou une université, ou bien une école spécialisée? Choisir son orientation après le bac n'est pas toujours facile. Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous proposons quelques

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Gestion des flux internationaux des PME/PMI - Achats, vente, négociation internationale de l Université du Littoral

Plus en détail

Plan d action du PDC concernant le franc fort

Plan d action du PDC concernant le franc fort Plan d action du PDC concernant le franc fort Vendredi 20 février 2015, à 16 h 45 Renseignements : Filippo Lombardi, président du groupe et conseiller aux Etats (TI), mobile : 079 620 64 65 Pirmin Bischof,

Plus en détail

- CONSEIL RÉGIONAL DE LA MARTINIQUE

- CONSEIL RÉGIONAL DE LA MARTINIQUE Jérôme DUPUIS CONSULTANT Conseil en Gestion Des Organisations Publiques - CONSEIL RÉGIONAL DE LA MARTINIQUE Note de synthèse portant conclusion de l audit de gestion de la politique sportive régionale

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais

Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Des conclusions qui appellent à la mobilisation Rapport du RIOCM sur le sous-financement des organismes communautaires de

Plus en détail

LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE

LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE Préparer sa retraite MA RET RAITE Sommaire Le système de retraite en France, deux grands principes...2 Pour les régimes du privé, du salariat agricole, de l

Plus en détail

SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION

SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION LIVRE BLANC SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION Découvrez comment le Social CRM peut travailler pour vous LIVRE BLANC SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION 2 À PROPOS Au cours des dernières années, vous

Plus en détail

CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND

CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND DOSSIER A : GESTION DES COMPTES 20 points A.1 Conservation des relevés de compte 2 A.2 Démarche en cas d anomalie sur relevé 3 A.3 Calcul montant des agios (annexe A) 7

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

immigration conséquences positives pour les assurances sociales

immigration conséquences positives pour les assurances sociales immigration conséquences positives pour les assurances sociales Fiche d information 4 : Assurances sociales L essentiel en bref : Seuls ceux qui cotisent aux assurances sociales peuvent bénéficier de leurs

Plus en détail

Convention d assurance chômage

Convention d assurance chômage Aux Union Départementales Aux Fédérations Nationales Paris, le 28 mars 2014 Secteur Formation Professionnelle Emploi/Assurance chômage Réf. : JCM/SL/DD Circ. : n 058-2014 Convention d assurance chômage

Plus en détail

Cas Crédit Agricole - Crédit Lyonnais

Cas Crédit Agricole - Crédit Lyonnais Cas Crédit Agricole - Crédit Lyonnais Thierry Pénard Mai 2004 Crédit Agricole-Crédit Lyonnais Le leader sur le marché bancaire français 9 100 agences avec deux réseaux différents 21 millions de clients

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Actualité Juridique & Fiscale

Actualité Juridique & Fiscale Septembre 2011 2011 Actualité Juridique & Fiscale Sommaire Sommaire I Petits-enfants venant à une succession par suite de la renonciation de leur auteur, enfant unique : impossibilité d appliquer l abattement

Plus en détail

10 Savoir investir en Bourse avec Internet

10 Savoir investir en Bourse avec Internet INTRODUCTION Avec près de 7 millions de Français actionnaires en 2007, l investissement boursier est devenu depuis quelques années un important moteur de l épargne nationale. Dans un pays relativement

Plus en détail

des associations locales

des associations locales Pour en savoir plus www.credit-agricole.fr Guide de la nouvelle des associations locales les réponses à toutes vos questions Le contrat Complémentaire Santé associations est assuré par PACIFICA, filiale

Plus en détail

LE 16 FÉVRIER 2015 Mémoire présenté au Conseil d experts sur les contributions d assurance automobile dans le cadre de la consultation publique

LE 16 FÉVRIER 2015 Mémoire présenté au Conseil d experts sur les contributions d assurance automobile dans le cadre de la consultation publique LE 16 FÉVRIER 2015 Mémoire présenté au Conseil d experts sur les contributions d assurance automobile dans le cadre de la consultation publique sur les contributions d assurances automobiles PAR LE TABLE

Plus en détail

Programme Bourses Diversité et Réussite

Programme Bourses Diversité et Réussite Donner à chacun les meilleures chances de réussir Programme Bourses Diversité et Réussite La Fondation INSA de Lyon Ensemble développons notre vocation L INSA de Lyon tire sa force de l intégration de

Plus en détail

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été

Plus en détail

DISCOUNTED CASH-FLOW

DISCOUNTED CASH-FLOW DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif

Plus en détail

MASTER PROFESSIONNEL INFORMATION ET COMMUNICATION DANS L ESPACE LOCAL ET REGIONAL ICELR.2008/2009

MASTER PROFESSIONNEL INFORMATION ET COMMUNICATION DANS L ESPACE LOCAL ET REGIONAL ICELR.2008/2009 MASTER PROFESSIONNEL INFORMATION ET COMMUNICATION DANS L ESPACE LOCAL ET REGIONAL ICELR.2008/2009 La spécialité Information et communication dans l espace local et régional ( ICELR) est dispensée à l ISCEA/

Plus en détail

Statuts I. BUT ET SIEGE II. SOCIETAIRES

Statuts I. BUT ET SIEGE II. SOCIETAIRES Case postale 7141 tél. 031 / 323 53 36 3001 Berne fax 031 / 322 37 46 www.svri.ch Statuts I. BUT ET SIEGE Art. 1 But L "Association suisse pour le développement de l informatique juridique" vise à promouvoir,

Plus en détail

Appel d offres pour l accompagnement du Pôle Fibres Energivie dans la création de son niveau site Internet

Appel d offres pour l accompagnement du Pôle Fibres Energivie dans la création de son niveau site Internet Appel d offres pour l accompagnement du Pôle Fibres Energivie dans la création de son niveau site Internet 1. Contexte 1.1 Les Pôles de compétitivité Ce sont des structures, en général associatives, mises

Plus en détail

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif

Plus en détail

fin d une époque Négoce de devises et de métaux précieux:

fin d une époque Négoce de devises et de métaux précieux: Négoce de devises et de métaux précieux: fin d une époque L assujettissement des négociants en devises à la Loi sur les banques et les autres restrictions imposées par la CFB ont mis un sérieux coup d

Plus en détail

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer

Plus en détail

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à

Plus en détail

Les étudiants dans les écoles de management reconnues à diplôme visé en 2009-2010 Augmentation continue des effectifs

Les étudiants dans les écoles de management reconnues à diplôme visé en 2009-2010 Augmentation continue des effectifs note d 1.1 informationdécembre Enseignement supérieur & Recherche En 29-21, 87 8 étudiants suivent une formation dans l une des 84 écoles de management reconnues et habilitées à délivrer un diplôme visé,

Plus en détail

[Budgets B2B] Le guide d optimisation financière. (marketing, commercial et digital)

[Budgets B2B] Le guide d optimisation financière. (marketing, commercial et digital) [Budgets B2B] Le guide d optimisation financière. (marketing, commercial et digital) Les tendances en matière de répartition des budgets. sommaire 1. Les budgets marketing sont à la hausse. 2. La part

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes

Plus en détail

UN MBA POUR QUI, POURQUOI?

UN MBA POUR QUI, POURQUOI? PARTIE 1 UN MBA POUR QUI, POURQUOI? L e MBA est une formation connue et reconnue dans le monde entier. Cependant, l appellation MBA n est pas un label déposé. Conséquence : l univers des MBA est un monde

Plus en détail

GUIDE DE LA NOUVELLE. des professionnels. Guide de la nouvelle. les réponses à toutes vos questions

GUIDE DE LA NOUVELLE. des professionnels. Guide de la nouvelle. les réponses à toutes vos questions GUIDE DE LA NOUVELLE Guide de la nouvelle des professionnels les réponses à toutes vos questions SI ON PARLAIT «COMPLÉMENTAIRE SANTÉ COLLECTIVE»? QUE DIT LA NOUVELLE LOI? Avant le 1 er janvier 2016, toutes

Plus en détail

BUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015

BUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015 BUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015 1 Résultat Budget Prévisionnel Budget Budget Article Compte 2013 2014 2014 2015 2016 Nombre - indice 761,00 780,01 775,17 789,70 804,47 DEPENSES BUDGET DES

Plus en détail

Guide de l inscription en ligne des étudiants

Guide de l inscription en ligne des étudiants Bienvenue sur le site de l EDHEC. Cette inscription en ligne va vous permettre de renseigner votre dossier scolaire en indiquant les données utiles, telles que civilité et adresses, et le mode de règlement

Plus en détail

Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan

Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Terres Romanes en Pays Catalan est porteur, en partenariat avec le Pnr

Plus en détail

Université d Ottawa. ÉCOLE de GESTION TELFER. La haute performance. Ça part d ici : le MBA Telfer

Université d Ottawa. ÉCOLE de GESTION TELFER. La haute performance. Ça part d ici : le MBA Telfer Université d Ottawa ÉCOLE de GESTION TELFER La haute performance Ça part d ici : le MBA Telfer La haute performance À propos de l École de gestion Telfer de l Université d Ottawa L École de gestion Telfer

Plus en détail

PETIT GUIDE PEDAGOGIQUE DE L ETUDIANT EN DROIT A DISTANCE

PETIT GUIDE PEDAGOGIQUE DE L ETUDIANT EN DROIT A DISTANCE PETIT GUIDE PEDAGOGIQUE DE L ETUDIANT EN DROIT A DISTANCE (IED - UNIVERSITE PARIS 8) 2013-2014 SOMMAIRE : I - S INFORMER VIA LE SITE DE L IED DE PARIS 8... 2 II - S ORGANISER POUR TRAVAILLER VIA INTERNET...

Plus en détail

La perspective de «windfall profits» (profits indus) pour les électriciens allemands

La perspective de «windfall profits» (profits indus) pour les électriciens allemands UNIDEN UNION DES INDUSTRIES UTILISATRICES D'ENERGIE 19.04.04 DIRECTIVE «QUOTAS D EMISSION» : COMMENT EVITER DE DESASTREUSES CONSEQUENCES? La mise en œuvre de la Directive «Quotas d émission», via son impact

Plus en détail

L Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ci-après «l Autorité»),

L Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ci-après «l Autorité»), Avis n 2014-0659 de l Autorité de régulation des communications électroniques et des postes en date du 10 juin 2014 relatif à une modification du catalogue des prestations internationales du service universel

Plus en détail

CAMPUS SENGHOR du SENEGAL ENDA-MADESAHEL. Mbour, Sénégal. Master Santé Environnementale

CAMPUS SENGHOR du SENEGAL ENDA-MADESAHEL. Mbour, Sénégal. Master Santé Environnementale CAMPUS SENGHOR du SENEGAL ENDA-MADESAHEL Mbour, Sénégal Master Santé Environnementale Les problèmes environnementaux auxquels l Etat, les collectivités locales, les entreprises et la société civile doivent

Plus en détail

Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016

Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Date limite pour l annonce du dépôt d une demande de soutien

Plus en détail

Le Rectorat de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale,

Le Rectorat de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale, Règlement de filière du Bachelor of Science HES-SO en International Business Management Version du 14 juillet 2015 Le Rectorat de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale, vu la convention intercantonale

Plus en détail

Charte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements

Charte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements Charte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements Bilan 2009-2011 Mars 2012 1 Les signataires Depuis juillet 2009

Plus en détail

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique

Plus en détail

Réformes socio-économiques

Réformes socio-économiques Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme

Plus en détail

THÈME 1. Ménages et consommation

THÈME 1. Ménages et consommation THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail

Plus en détail

IV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu. Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond

IV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu. Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond IV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond Pour une protection solidaire et équitable : l assurance générale

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Gestion du temps de travail et des rémunérations de l Université Montpellier 2 Sciences et techniques UM2 Vague

Plus en détail

UNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD

UNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD UNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD Par KAMALIDDINE AFRAITANE Doyen de la Faculté des Sciences et Techniques HISTORIQUE Mise en place du Comité

Plus en détail

PME Finance 29 avril 2014

PME Finance 29 avril 2014 PME Finance 29 avril 2014 http://www.pmefinance.org/9587-crowdfunding-analyse-du-projet-d-ordonnance.html Crowdfunding : le projet d'ordonnance se précise Très attendu, le projet d'ordonnance de simplification

Plus en détail

Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées

Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées Objectif 1 L objectif de la présente norme est de spécifier la comptabilisation d

Plus en détail

Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2)

Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2) Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2) Une précédente analyse 1 a introduit le concept d'effet de levier, procédé visant à s'endetter pour chercher à accroître

Plus en détail