ALPINE GENTRIFICATION: THE NEW UNEVEN SPATIAL DEVELOPMENT DIFFERENT CONCEPTS TO EXPLAIN MIGRATIONS TO THE COUNTRYSIDE
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- Augustin Legaré
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1 ALPINE GENTRIFICATION: THE NEW UNEVEN SPATIAL DEVELOPMENT DIFFERENT CONCEPTS TO EXPLAIN MIGRATIONS TO THE COUNTRYSIDE GENTRIFICATION ALPINE : LA NOUVELLE INEGALITE SPATIALE CONCEPTS DIFFERENTS A EXPLIQUER LES MIGRATIONS VERS L ESPACE «RURAL» Perlik, Manfred UMR PACTE, 14 avenue Marie Reynoard F Grenoble perlik@nsl.ethz.ch, Résumé Alpine gentrification: The new uneven spatial development Different concepts to explain migrations to the countryside With global mobility, temporal and permanent migration to the countryside has tremendously increased. Precisely it is a heterogeneous phenomenon in the form of commuting, permanent and temporary migration or contemporaneous multilocality. Each of these forms has manifold regional variations. Yet, it has some important commonalities. These commonalities concern the rise of tertiarised metropolitan economies, the relocation of industrial manufacturing into new peripheries, the commodification of landscapes, the development of rentseeking economies and the differentiation of lifestyle with segregated forms of living. Because of the heterogeneous situation on different continents and because of different disciplines implicated, there is a varied discourse of researchers and practitioners. The range of explanation reaches from personal hedonistic preferences to global economic processes. The validation of impacts reaches from environmental issues via renewed economic activity to the degradation of territorial capital. What is missing is the validation of the different approaches to estimate short and mid-term consequences of these new forms of spatial use. With examples from USA, Switzerland and Japan the paper presents three case studies with the underlying theoretical approach and tries to reveal specific strength and weaknesses of the theories. The thesis of this presentation states that the affected regions are neither rural nor ex-urban but integrated in a global process of metropolisation. The new spatial disparities cannot be seized by nominal indicators of prosperity but have to be seen in the devaluation of territorial capital, limited degrees of action and asymmetric power relations with large scale appropriation of resources. 1
2 This raises the question which means of intervention might be appropriate to steer these processes. Some hints are given which should be deepened in the discussion. Mots-clés Métropolisation, migration d agrément, multilocalité, développement spatial inégal Introduction 1. Le phénomène : le domicile dans la zone de montagne définitions et démarcations Le but de cette contribution est d avancer d un pas dans la formulation de nouvelles questions de recherche avec le but de mieux comprendre et influencer la nouvelle exploitation de l espace dans les régions de montagne. Déplacer le domicile vers des régions autrefois rurales, attractives comme paysages est un phénomène mondial. En témoigne une littérature abondante, chaque année en augmentation; différentes disciplines s en occupent et ont leur propre point de vue, leur logique de pensées et leur nomenclature. En gros on peut distinguer trois pistes a. La recherche sur les motivations, en particulier du point de vue de l anthropologie sociale et de la psychologie de l environnement. Cette tendance inclut l approche des migrations d agrément (Moss, 2006), l étude de l évolution du phénomène culturel en tant que conséquence des nouvelles mobilités techniques et sociales (résidence multi-locale : voir WEICHHART, 2009 ; migration de mode de vie : MCINTYRE, 2009) mais aussi la différenciation du tourisme et sa transformation en post-tourisme (BOURDEAU, 2009). b. L étude des ressources, sous forme d évaluation des impacts ou dans le cadre des consultations régionales visant à établir des stratégies, notamment pour la planification de l espace et la gestion du territoire régional (GLORIOSO, 2009 ; CHIPENIUK, 2006, RASKER ET AL., 2009 etc.). L économie environnementale fait partie de cette branche (RUDZITIS, 1999). c. Le point de vue de la géographie économique et l analyse des asymétries du pouvoir : concernant le contrôle de l espace, des dynamiques de déplacement et de compétition régionale, de l appropriation du territoire et des phénomènes d inclusion et d exclusion ; tous ces aspects sont devenus connus sous les appellations-clés de «justice sociale» (HARVEY, 1973), de «développement spatial inégal» (SMITH, 1984) et de «justice spatiale» (SOJA, 2010). En partant de réflexions fondamentales sur les nouveaux habitants dans les Alpes je voudrais lancer une discussion sur le prolongement de la recherche sur la migration d agrément respectivement les nouveaux habitants multilocaux. Les pratiques décrites par les différentes disciplines ne sont pas identiques, au contraire elles sont assez hétérogènes. Il existe toujours un lien entre la résidence et autres secteurs économique et autres pratiques socioculturelles : a. Certaines formes de tourisme comme la location de résidences de vacances doivent être prises en considération, parce qu elles se manifestent souvent ensemble avec la propriété d une maison de vacances. b. Le «beau paysage» est souvent au centre de l argumentation des résidents, mais en réalité, le lieu de résidence dépend directement ou indirectement d un salaire ou une rente. c. Dans les régions de montagne en particulier, la recherche d une résidence exige une offre correspondante, c est-à-dire l activité d agents immobiliers impliqués. d. La résidence dans les zones de montagne peut être d une durée variable et d une intensivité différente. Cela dépend si les habitants sont actifs dans leur profession ou retraités, s ils ont un ou plusieurs domiciles et où se trouve leurs centre de vie. Par conséquent on peut distinguer trois formes de résidence : 2
3 1. la migration: on cherche un endroit qu on a choisi comme futur centre de vie (pour travailler ou pour la fin de la vie). 2. Faire la navette longue distance: le centre de vie se trouve encore et toujours en ville (par le lieu de travail ou l offre culturel), le domicile par contre à la campagne ou dans les montagnes. 3. La résidence multilocale: Ici aussi, le centre de vie se trouve en ville; on a accès à une ou plusieurs habitations (temporaires) dans une autre ville, au bord de mer ou dans les montagnes. Comme nous l avons dit une restriction à certains phénomènes n est pas possible, parce que différents phénomènes font apparition en même temps. Il y a des niveaux et des formes différentes: Il y a la résidence secondaire visitée tous les week-ends, il y la navette entre différentes métropoles et endroits (dans la variante luxueuse par ex. Washington- Paris- Maroc) et il y a la hacienda en Amérique du Sud, où un PDG dirige son entreprise dans l hémisphère nord. Le lien économique se trouve là, où il y a la valeur ajoutée. C est la différentiation entre une économie productive (les valeurs ajoutées sont produits sur place) et une économie résidentielle (les habitants consument des salaires ou des rentes générées en dehors de leur lieu de résidence). Mais ici de même les jonctions sont flexibles. Les domiciles attractifs sont seulement des domiciles, qui ont près de chez eux en grande mesure des prestations de services. Et des domiciles importants peuvent développer sur place des prestations de services. Les lieus au début strictement résidentielles peuvent développer une filière de service forte avec nombre de postes pendent ce développement. Une restriction supplémentaire (encore plus importante) doit être faite: A quelle distance doit être fait le périmètre, qu est ce qui est à l intérieur ou à l extérieur. Autrement dit: Si les communes dortoirs à l intérieur d une agglomération passent pour à l intérieur, où sont alors les limites et qu est ce qui passe pour se trouver à l extérieur? Mais cette objection ne change rien que cette distinction des phénomènes selon l endroit de la valeur ajoutée est assez utile. Deuxième partie 2.1 La question fondamentale: Besoin universel ou nouveau bien de consommation? En suivant nous voulons analyser: S agit-il concernant les nouvelles formes d habitations (a) d un besoin universel, d une qualité universelle que tout le monde veut avoir et que se développe comme droit de l homme ou est-ce que l habitation dans les régions de montagne est plutôt (b) un nouveau bien de consommation qui se manifeste seulement sous certaines conditions sociales. La question est importante de plusieurs points de vue pour interpréter exactement les motifs des nouveaux habitants des montagnes: S agit-il d un changement de préférence de durée (à cause de nouvelles obligations ou de nouvelles possibilités)? Ou s agit-il de nouveaux biens de consommation dans un panier de marchandises plus élargi, sous conditions historiques et spatiales spécifiques pour les nouvelles classes moyennes des pays riches et les élites des pays pauvres? Sur cette base il est possible, de juger les effets et les stratégies du développement régional. S il s agit avec le nouvel habitat dans les montagnes d une qualité universelle, comparable au toit sur la tête, l approvisionnement d eau ou l accès aux soins médicaux en cas de maladie, alors on faudrait viser un approvisionnement de domiciles dans des paysages attractifs selon des valeurs esthétiques-universelles pour tous (toute la population). Si par contre il s agit d une nouvelle marchandise (une valeur de position, ou un capital symbolique) alors ce capital symbolique dépend des processus de marché. Il faudra donc surtout rechercher les effets de l exploitation et de contrôler, si les signaux du marché reflètent d une façon correcte les proportions de pénurie. Nos recherches en Suisse, mais aussi l évolution dans d autres pays européens montrent que l attraction vers la ville est ininterrompue. Les prestations de service hautes de gamme s installent dans les villes centres, les employés cadres se dirigent vers les aires métropolitaines les plus importantes, de suite les grandes villes proposent les meilleures chances aussi pour des personnes avec peu de formation. Communication, interaction et les réseaux professionnels sont plus importants que la tranquillité et la contemplation. 3
4 2.2 Exemples Trois exemples devraient démontrer ces processus : a. la Suisse : les flux démographiques pendant les dernières décennies montrent la périurbanisation du pays, en particulier l élargissement vers les communes à proximité des Alpes. Dans les années 2000 émergent des nouvelles agglomérations de loisirs qui se développe dans la forme d un métissage entre station touristique et station résidentielle. Se développent des nouvelles disparités qui sont liées à la réputation. b. l Amérique du Nord : Les anciennes petites villes minières ont transformées en lieux de résidence secondaires. Le modèle fonctionne selon une division spatiale à grande échelle entre zones productives (métropoles prospérant ou zones industrialisées (extraction des sables au goudron) et zones résidentielles respectivement zones de loisirs. Actuellement ces tendances sont freinées par la crise financière. c. le Japon : En Japon ce sont les plaines et les bassins intra-montagnes qui sont peuplés très dense ; les autres aires de montagne sont inhabité ou en voie de dépopulation. Contrairement à la situation en Europe, la dispersion de la zone construit («l étalonnement urbain»), se produise de façon inverse par le dépeuplement des zones construit du au vieillissement. Les zones de montagne sont devenu des aires de réserve pour l implantation des nouveaux migrants, déplacés des plaines inondés par le tsunami. Bilan : Avec des exemples on peut déduire: L utilisation de la nature et la préférence pour certains paysages sont changeantes dans l histoire et selon la région. Là, où de nouvelles couches d habitants déménagent dans les zones de montagne pour créer leur centre de vie, elles utilisent de nouvelles niches (comme réfugiés, couches peu aisées) ; ou elles maintiennent leur centre de vie dans la ville centre et utilisent les paysages de montagne comme nouveaux besoins de consommation (les nouvelles classes moyennes). Elles trouvent une nouvelle offre, qui est possible avec une nouvelle structure économique et une autre population dans les régions d accueil. Ici un nouveau choix d immobilier est possible. Dans les régions d accueil les nouveaux habitants changent en plus les structures économiques et les structures des habitants. Les régions d accueil peuvent ainsi dans le cadre de la division spatiale de fonctions assumer des nouvelles fonctions économiques et sociales. La question des forces motrices peut être ainsi clarifiée, ainsi que la question si avec les nouvelles préférences il s agit d un changement de paradigmes, ou non. Je pense que non. 2.3 Quelles questions doivent être traitées, pour avoir des réponses au besoin d action? La question se pose: De quelle façon les nouvelles structures des économies résidentielles profitent-elles aux régions dans le long terme? Comment cette forme de la division de travail spatial et fonctionnel a-t-elle un développement pérenne? Jusqu où peut-on apprécier le besoin des agréments comme besoin durable et quelles nouvelles formes économiques vont être développés? Du point de vue théorique voici l évaluation suivante: Les aires métropolitaines sont les gagnants en raison de leurs économies de taille. Les aires dites rurales ou montagnard délivrent les unicités aux aires métropolitaines et gagnent du support financier. Les ressources spécifiques des régions de montagne s épuisent. Un renouvellement avec des nouvelles ressources spécifiques est incertain. Cela veut dire une inclusion des régions des montagnes dans la zone fonctionnelle d influence des aires métropolitaines et une dégradation du capital territorial existant. Dans certains cas cette évolution peut être considérée comme «enlèvement territorial», d une façon analogue comme le land grabbing des matières premières en Afrique et en Asie. L évolution décrite offre quand même de nouvelles possibilités. A long terme les économies résidentielles sont seulement possibles, s il y a au lieu de résidence une offre séduisante de prestation de service. La division conséquente en économies productives et économies résidentielles ne peut être maintenue à long terme. Donc, 4
5 pour les recherches des conséquences concrètes de l économie résidentielle dans les régions de montagne il faut faire de la recherche empirique, qui dépasse la recherche sur la motivation des nouveaux habitants. Ces recherches doivent être faites au niveau des communes. Conclusion Nouvelles pistes de recherche et nouveaux plans de recherche Des nouveaux projets de recherche sont nécessaires avec une focalisation sur les futures trajectoires des régions de montagne selon les critères suivants : 1. Changement de perspective : De la perception des résidents nouveaux à l activité des acteurs de naissance et leurs pratiques à maintenir la dynamique régionale avec les nouveaux habitants. 2. Après l analyse des flux d argent : Qu est-ce que les communes développent comme systèmes productifs locaux? 3. Que-ce que sont les liens entre les zones de montagne et les métropoles et que-ce que sont les conditions pour une urbanisation spécifique à la montagne? Donc, je propose un changement de la perspective : Envers le débat sur la migration d agrément je propose une réorientation sur les acteurs de terroir et leurs capacités à intégrer les nouveaux habitants. Les nouvelles politiques régionales qui visent à améliorer la capacité d innovation des économies productives en zone de montagne ont des limites ; on voit la même chose pour les économies résidentielles. On doit réunir les lieux résidentiels et les lieux productifs. Bibliographie BOURDEAU P., 2009: Amenity Migration as an Indicator of Post-Tourism. In: Moss et al.: CHIPENIUK R., 2006: Planning for Amenity migration in Communities of The British Columbia Hinterland. In: Moss: COGNARD F., 2006: The role of socio-demographic reconstitution in the new rural dynamics: the example of Diois. Méditerranée 107: DAVEZIES L., 2009 : L économie locale «résidentielle». Géographie Économie Société. Vol. 11 : DESSEMONTET P./JARNE A./SCHULER M., 2009 : Suisse romande Les facettes d'une région affirmée. Lausanne. FUSCO G./SCARELLA F., 2010: Processus de métropolisation et ségrégation socio-spatiale. Analyse des flux de mobilités résidentielles en PACA. Communication AISRe/ASRDL, Aoste, septembre. GUIMOND L./SIMARD M., 2010: Gentrification and neo-rural populations in the Quebec countryside: representations of various actors, Journal of Rural Studies. GLORIOSO R., 2009: Toward A Strategy for Managing Amenity Migration: The Role of Multiple Future Scenarios. Die Erde 140(3): GOSNELL H./ABRAMS J., 2009: Amenity migration: diverse conceptualizations of drivers, socioeconomic dimensions, and emerging challenges. GeoJournal. URL : ( ) HARVEY D., 1982: The limits to capital. Basil Blackwell. Oxford. MCINTYRE N., 2009: Rethinking Amenity Migration: Integrating Mobility, Lifestyle and Social-Ecological Systems. Die Erde 140(3) : Moss L.A.G., ed., 2006: The Amenity Migrants: Seeking and sustaining Mountains and their Cultures. Wallingford/UK, Cambridge/USA, CABI. NEPAL S., 2011 : Resort-induced Changes in Small Mountain Communities in British Columbia, Canada. Mountain Research and Development 31(2) :
6 PECQUEUR B., 1996 : Processus cognitifs et construction des territoires économiques. Dans: GUILHON, B./HUARD P./ORILLARD M./ZIMMERMANN J.B. : La Connaissance dans la dynamique des organisations productives. Paris : L'Harmattan. PECQUEUR B., 2007 : L'économie territoriale : une autre analyse de la globalisation. L'Économie politique 33(1). PERLIK M., 2006: The Specifics of Amenity migration in the European Alps. In: MOSS: PERLIK M., 2010: Leisure landscapes and urban agglomerations. Disparities in the Alps. In: BORSDORF A. et al.: Wien. PERLIK M., 2011: Gentrification alpine : Lorsque le village de montagne devient un arrondissement métropolitain. Les nouveaux résidents partagés entre amour du paysage et capital symbolique. Revue de Géographie Alpine 99(1). PETITE M./CAMENISCH M., 2010: Trajectoires résidentielles dans les montagnes suisses. Genève. RASKER R./GUDE P./ GUDE J./VAN DEN NOORT J., 2009: The economic importance of air travel in high-amenity rural areas. Journal of Rural Studies 25(3): RUDZITIS G., 1999: Amenities increasingly draw People to the rural West. Rural Development Perspectives : 14(2) : SOJA E., 2010: Seeking Spatial justice. Minneapolis: University of Minnesota Press. SMITH N., 1984, 2008: Uneven Development. Nature, Capital, and the Production of Space. Athens, Georgia. The University of Georgia Press. VACCARO I./BELTRAN O., 2009: The mountainous space as a commodity: the Pyrenees at the age of globalization. Revue de géographie alpine, 97(3). WEICHHART P., 2009: Multilokalität - Konzepte, Theoriebezüge und Forschungsfragen. Inform. z. Raumentwicklung 1-2:
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