3 décembre 2010 Projet initié par:
|
|
- Aimé Émond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Profil de l industrie Secteur de l animation au Québec 3 décembre 21 Projet initié par:
2 Contributeurs majeurs: Partenaires :
3 L analyse du secteur de l animation au Québec se structure autour de 3 facteurs : Méthode Secteur de l animation au Québec Offre Financement Environnement stratégique Les facteurs Offre Financement Environnement stratégique permettent de qualifier l état de l industrie de l animation québécoise. Cette analyse sous trois angles caractérise la santé économique du secteur. 2 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
4 Production d animation (nombre) Production d animation (heures) Le nombre de productions d animation est en baisse continue depuis 24 de 26% par an pour atteindre un plancher de 6 productions seulement en Offre Nombre de productions d animation au Québec (1999 à 21) et heures produites (24 à 21) TCAC * (99-5): -5,8% TCAC * (5-9): -26,% Les grandes perturbations de la dernière décennie Début 2 Suralimentation du marché avec de multiples projets portés par de grandes entreprises (offre supérieure à la demande) Difficultés financières d entreprises majeures de l industrie québécoise nombre de productions d'animation *TCAC: taux de croissance annuel composé production d'animation en heures À partir de 24 Développement des intégrations producteurs-diffuseurs Polarisation de l industrie : l écart entre petites et grandes entreprises s accroît Fin de la décennie Pression accrue pour une production multiplateforme et multi-format Développement des incitatifs en Europe encourageant la coproduction européenne et réduisant les coproductions avec le Québec Source: Nordicity et entrevues avec acteurs de l industrie 3 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
5 Volume de production en millions de $ Nombre de productions Le volume de production en $ a été divisé par 1 en 1 ans (de 2 M$ en 2 à 2M$ en 21) Offre Volume de production d animation au Québec (1999 à 21) (en millions de $) *TCAC: taux de croissance annuel composé TCAC*(99-1):-8,6% TCAC*(99-1):-21,5% Volume de production Nombre de productions Valeur unitaire en chute 11 Le volume $ de la production a diminué 2.5 fois plus fortement que le nombre de productions sur les 1 dernières années (- 8.6% versus 21.5%). Cela s explique essentiellement par les 3 facteurs ci-dessus facteurs expliquant la baisse des volumes en $ : Les nouvelles technologies (animation digitale à partir de 24) permettent une diminution des coûts de production La production évolue vers des séries comportant moins d épisodes et de plus courte durée. Face à la réduction des budgets, les coûts de production sont rationalisés. Le même produit est réalisé avec moins de moyens. Sur les 12 projets d animation présentés par les entreprises québécoises sondées, 24 ont été effectivement produits (ratio de 4,25 pour 1). 4 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
6 Valeur unitaire (en millions de $) Minutage (mn) La valeur unitaire des œuvres d animation diminue parallèlement au nombre de projets. Offre 7 Évolution de la valeur unitaire d une œuvre d animation au Québec (en millions de $) et de sa durée moyenne (en minutes) 24 à 21 5 Coût aux 3 mn des productions d'animation au Québec pour 3 périodes (en $) 6 5,576M $ $ TCAC * (5-8): -8,7% Impact animation digitale 3 33 mn $ 2 1 TCAC*(4-1):-23% TCAC*(4-1):-11% 1,55M$ 182 mn valeur unitaire d'une production durée moyenne d'une production TCAC * (8-1): -19,7% $ Impact type de production et durée Coût ($) *TCAC: taux de croissance annuel composé Source: Données SODEC, analyse Deloitte *TCAC: taux de croissance annuel composé La valeur moyenne d une œuvre d animation en 21 représente à peine plus du quart de celle observée en 24. À partir de 24-25, on assiste à la fin de l animation traditionnelle. À partir de 27-28, l animation digitale se développe en force. En comparaison, le coût aux 3mn en France était en 29 de 3k (45k$ en valeur $ 29) (moyenne de 3k depuis 1 ans avec faible écart type). 5 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
7 Volume (en millions de $) La baisse des coproductions a un impact majeur sur la santé de la filière: 8% des œuvres d animation au Québec sont des coproductions Évolution de la valeur totale des productions et des coproductions québécoises entre 1999 et 21 (en millions de $) TCAC*(99-1):-21,5% TCAC*(99-1):-21,7% Volume de production Volume de coproduction Répartition des coproductions d animation selon la participation du Québec Nombre total de coproductions Irlande, 3 Luxembourg, * Majoritaires 3 N/D Minoritaires 11 6 N/D Origine des coproducteurs en animation de 24 à 29** au Québec Offre *Source: sondage producteur, projets déclenchés pour Allemagne, 3 Royaume-Uni, 4 France, 36 *TCAC: taux de croissance annuel composé Source: Données SODEC, analyse Deloitte **Seuls les pays avec un minimum de deux coproductions ont été considérés L évolution de la production québécoise d animation est strictement corrélée à l évolution des coproductions, lesquelles diminuent pour des raisons à la fois endogènes (faibles déclenchements de projets d animation au Québec) et exogènes (repli de la France et des pays européens sur les coproductions au sein de l UE). Les coproductions québécoises sont exclusivement minoritaires en 21 et elles traduisent une dépendance forte à l égard d un seul pays : la France. Le faible nombre de coproductions projetées sur Analyse (projets du secteur déclenchés) de l animation semble au confirmer Québec la tendance. Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
8 Coût moyen (en millions de $) Le budget moyen des coproductions a diminué de 8% au cours des trois dernières années Offre 12 Coût moyen des productions domestiques québécoises et coproductions d animation de 27 à 21 (en millions de $) 1 8 1,52 M$ Moyenne Coproduction: 5, 821 M$ Production domestique: 3, 125 M$ L écart entre le coût moyen d une coproduction et d une production était de 4 pour 1 en 27. Il est de moins de 2 pour 1 en ,545 M$ 5,577 M$ Les coproductions de taille significative échappent dorénavant à l industrie québécoise de l animation. Les joueurs québécois ne semblent plus en mesure de financer des coproductions de taille internationale. 2 3,26 M$ 2,1 M$ 1,188 M$ Production domestique québécoise Coproduction 7 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
9 Financement L évolution de la structure de financement de l animation au Québec traduit le retrait des coproducteurs et des distributeurs et met en avant le rôle des diffuseurs anglophones. Structure de financement des productions d animation (incluant coproductions) au Québec, Financement total: 111,5 M$ Coproducteurs 56.1% 62,42 M$ Sodec.1% Téléfilm Canada.5% Crédit d'impot provincial 6.1% minitraité.1% Crédit d'impot fédéral 4.2% FCT 1.8% Autres apports publics.5% Fonds privés.6% 8,273 M$ Producteur 7.5% Distributeurs 12.1% 13,391 M$ Autre apports privés 2.6% Diffuseurs francophones 2.7% Diffuseurs anglophones 5.% 5,526 M$ Structure de financement des productions d animation (incluant coproductions) au Québec, Téléfilm Canada 2.2% Coproducteurs 39.3% 8,613 M$ Distributeurs 1.2%,225 M$ Financement total: 21,9 M$ Sodec.7% Diffuseurs anglophones 14.2% 3,124 M$ minitraité.9% ONF 1.9% Crédit d'impot provincial 13.1% Diffuseurs francophones 2.% Crédit d'impot fédéral 5.9% FCT 8.8% Autres apports publics.4%,843 M$ Producteur 3.8% Fonds privés 2.2% Autres apports privés 3.3% La baisse de la part relative des coproducteurs et des distributeurs s accompagne d une baisse de la part relative des diffuseurs francophones. Ce sont essentiellement les diffuseurs anglophones et les crédits d impôts qui assurent l équilibre du financement. La part du financement en fonds propres par les producteurs a quant à elle presque diminuée de moitié à moins de 4%, notamment du fait du crédit d impôt digital qui majore l engagement du producteur et du fait de la baisse d activités d importants producteurs-distributeurs au Québec (Cinar, Cinégroupe). 8 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
10 Environnement stratégique L environnement stratégique du secteur de l animation au Québec contribue à fragiliser l industrie. Producteurs Diminution de la taille des formats (durée en mn) Diminution des coproductions internationales Concurrence accrue des diffuseurs-producteurs (Nickelodeon, Disney, Corus, etc.) et dépendance forte vis-à-vis d un nombre très limité de diffuseurs au Québec Absence de débouchés monétisables sur les nouvelles plateformes Diminution des coûts technologiques de fabrication (baisse résultante des budgets) Disparition des producteurs-distributeurs au Québec Diffuseurs Peu ou pas de quotas de dépenses en animation (sauf Télétoon) Tensions économiques pour les annonceurs (baisse des budgets publicitaires pour les diffuseurs limitant les moyens d action) Diminution du financement public Interdiction de diffusion de la publicité destinée aux enfants Chaînes numériques sans obligation de pré-achats Concurrence du live-action (coûts de production plus faibles que l animation) Concurrence des acquisitions d œuvres d animation étrangères Dépendance vis-à-vis des diffuseurs anglophones pour le déclenchement des productions La combinaison de ces facteurs entraîne-t-elle une baisse structurelle de la taille du marché de l animation ou est-il possible de faire évoluer quelques facteurs (sur lesquels l industrie québécoise a un contrôle) en faveur d une reprise de la production? 9 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
11 Volume en M $ L Ontario semble jouer le rôle de relais de croissance pour l industrie de l animation au Canada. Ontario Volume de production d animation en Ontario (simulation) et au Québec, hors service, de 1998 à 28 (en millions de $) Volume Simulation de du production volume de en Ontario production en Ontario Volume de production au Québec TCAC Québec*(99-1):-21,5% TCAC approximatif Ontario*(98-8): 6% Simulation du volume de production en Ontario Donnée de base: volume $ de production d émissions jeunesse en Ontario Extrapolation de cette donnée grâce au ratio de production live/production d animation au Canada en volume $, année par année Hypothèse sous-tendue par la méthode: le ratio live/animation en Ontario est comparable à celui du Canada *TCAC: taux de croissance annuel composé Source: Volume au Québec : SODEC Volume en Ontario : analyse Deloitte basée sur les données de Nordicity et du CFTPA Avec des entreprises de taille importante comme Nelvana studio (volume de production de 6M$ en 27 incluant l animation) et Cookie Jar (44M$ en 27 incluant l animation), l Ontario est un joueur dominant de l industrie qui bénéficie de l effet de traction et de déclenchement des diffuseurs anglophones. 1 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
12 Revenus internationaux et volume de coproduction (en M d ) Volume de production (en Md ) Face à une baisse relative des coproductions et des ventes internationales au cours des dix dernières années, la France a développé grâce aux quotas un marché domestique autonome. France Évolution du secteur de l animation en France selon trois indicateurs, de 2 à 28 Prod (9) (en M d ) Prod () 281h TCAC*(-9): 1,4% 351h Les diffuseurs et les producteurs jouent un rôle prépondérant dans le financement des projets (quotas d investissement pour les diffuseurs d environ 5M - 7M$ - par an) Principales sources de financement de la production d animation française en 29 1% 2% 2% 19% % 4 TCAC*(-9): -11,2% 3 TCAC*(-9): -7.5% Coproductions Ventes internationales Volume de production *TCAC: taux de croissance annuel composé **SOFICA: Sociétés de financement de l industrie cinématographique et de l audiovisuel 5 7% 28% 17% producteurs français diffuseurs CNC préventes en France coproductions étrangères préventes à l'étranger SOFICA** autres Source pour l ensemble de la page: Le marché de l animation en 29, CNC L industrie de l animation française produit environ 3 heures / an d œuvres pour la télévision (contre 15 heures début 199). La production québécoise, en comparaison, est passée de 11h en 25 à 33h en 21. Les films d animation sont l un des moteurs de la filière française avec 4 à 6 longs métrages pour le cinéma par an (1 productions en 28, 5 en 29). La structure de financement est radicalement distincte de celle prévalant au Québec : part des producteurs de 2% (versus 3.9% au Québec) et part des diffuseurs (29% versus 16.4% au Québec). 11 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
13 En conclusion, le secteur de l animation au Québec est à la croisée des chemins. Le déclin de la production d un facteur 1 en 1 ans doit susciter une réaction de l industrie et des pouvoirs publics. Conclusion Des États Généraux de l industrie de l animation au Québec devraient être réunis à court terme, avec pour objectifs : Une concertation entre l ensemble des intervenants du secteur, de la production à la diffusion, sans oublier le financement Le lancement d un plan de reprise du secteur Un plan de reprise devrait a priori mettre en avant les axes de travail suivants : Étude d opportunité relative à une augmentation des incitatifs de diffusion de l animation (avec les fonds associés) Lancement de nouveaux outils de financement du développement et de la production domestique et internationale Relance de la coproduction internationale (diversification des partenaires, financement spécifique, intégration de l animation dans les accords de libre-échange Canada-UE, etc.) Consolidation de l industrie dans un contexte de fragmentation des producteurs indépendants (regroupement coopératif, consortiums de producteurs, Groupements d intérêt Économique, etc.) Accords sur le partage de la propriété intellectuelle sur les nouveaux médias entre producteurs multiplateformes et produits dérivés Impact du multiplateforme comme relais de croissance et soutien de la stratégie des joueurs sur la chaîne de valeur numérique (génération de nouveaux contenus adaptés, nouvelles formes de diffusion, défis de la stéréoscopie / 3D, etc.) 12 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
14 Propositions pour les prochaines étapes Propositions Scénarios Échéancier Comités préparatoires Organisation d États Généraux de l animation (1-2 jours) Production d un «Livre Blanc» à l attention des Ministres concernés Juin 211 Juin 211 Comité Diffusion Comité Financement Comité Main d œuvre Comité International Comité Long terme & innovation (PI, multiplateforme, etc.) Proposition alternative de mobilisation de l industrie À définir À définir +Lancement du Comité Financement 13 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
15 14 Analyse du secteur de l animation au Québec Deloitte & Touche s.r.l. et ses sociétés affiliées
COMMENT FINANCER. Cinema et television PIXIT
ISABELLE TERREL CHRISTOPHE VIDAL COMMENT FINANCER Cinema et television PIXIT SOMMAIRE INTRODUCTION 11 LE MONTAGE FINANCIER OU COMMENT BÄTIR SON PLAN DE FINANCEMENT 13 I L'enjeu du plan de financement 15
Plus en détailL Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0
L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux
Plus en détailGESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675
GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...
Plus en détail0.443.917.2. Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques
Texte original 0.443.917.2 Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques (Accord de coproduction entre la Suisse et la Belgique) Conclu le 9 janvier
Plus en détailLa Réunion, terre d images et de tournages
TOP RÉSA 2011 / 20-23 SEPTEMBRE 2011 À PARIS www.regionreunion.com La Réunion, terre d images et de tournages LA RÉUNION AU PATRIMOINE MONDIAL DE L HUMANITÉ cirques, pitons, remparts Terre d images Terre
Plus en détailInvestissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?
28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de
Plus en détailConvention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012
AFPF APC APFP SPI UPF Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012 Notre étude d impact a été réalisée à partir de données objectives
Plus en détailPRÉSENTATION. C'est un moyen original de découvrir le secteur du cinéma et ses coulisses,
PROD 1 PRÉSENTATION CINÉFEEL est une société de production cinématographique française qui intervient majoritairement sur des films d auteur aux budgets maîtrisés (entre 1 et 5M ) et à fort potentiel en
Plus en détaill importance des fonds de travailleurs pour l économie du Montréal métropolitain
Rapport sur l importance des fonds de travailleurs pour l économie du Montréal métropolitain Un rapport de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Chambre de commerce du montréal métropolitain
Plus en détailCONTENUS NUMÉRIQUES ÉTUDE NOV. 2014
CONTENUS Le partenariat entre Industries Culturelles et opérateurs télécoms doit être redynamisé afin de faire face aux enjeux posés par la numérisation et le développement des usages. L accès aux œuvres,
Plus en détailEtude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites
Etude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites Note de synthèse avril 2012 A l'attention de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres
Plus en détailPlan Stratégique 2008-2013
Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite
Plus en détailLE CONTRAT DE COPRODUCTION
LE CONTRAT DE COPRODUCTION 1. Parties 2. Objet 3. Durée 4. Responsabilité de la production 5. Budget et financement de la production 6. Répartition des recettes d exploitation 7. Livraison des masters
Plus en détailESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia
ESTIM Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia GOUVERNANCE DE LA CSTI FORMATION NUMÉRIQUE /ARTS SCIENCES TECHNOLOGIES Face à une crise économique mondiale et aux
Plus en détailÉtude sur les médias et les communications. Fédération des Chambres de Commerce du Québec. Par. Yves Rabeau PhD Professeur titulaire ESG-UQAM
Sommaire exécutif de la version complète présentée le 26 mars 2009 Étude sur les médias et les communications Préparée pour la Fédération des Chambres de Commerce du Québec Par Yves Rabeau PhD Professeur
Plus en détailÉtude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile
Résumé du rapport Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Numéro de contrat : 90030-121581/001/CY Contrat attribué le : 2013-01-18 Préparé pour : Office national
Plus en détail@LON Arts et lettres options numériques
Arts et lettres options numériques Contexte et historique : - Commande de la ministre en mars 2010 - Sondage SOM Utilisation des technologies numériques - Consultations dans tout les secteurs 12 rencontres,
Plus en détaild évaluation Objectifs Processus d élaboration
Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailRecommandation de la Commission sur la limitation de la responsabilité civile des contrôleurs des comptes - Foire aux questions
MEMO/08/366 Bruxelles, 6 juin 2008 Recommandation de la Commission sur la limitation de la responsabilité civile des contrôleurs des comptes - Foire aux questions Pourquoi la Commission a-t-elle publié
Plus en détailPrésentation du projet Smart Electric Lyon
. Présentation du projet Smart Electric Lyon 4/03/2014 EDF Les réseaux électriques deviendraient-ils intelligents? Décembre 2012 2 Consommation par marché et usages 2/3 pour le spécifique (Éclairage et
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détailCONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE»
CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» > PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L INDICE DE LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE POSITIVE 2014 UNE INITIATIVE DE DÉROULÉ DE LA CONFÉRENCE
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE
ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE Madrid, le 14 janvier 1985 ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT
Plus en détailRéduisez votre ISF en 2014
Réduisez votre ISF en 2014 et profitez du dynamisme de l industrie du cinéma Investissement au capital d'une PME qui permet de réduire son ISF jusqu à 45.000 euros à hauteur de 47,62 % des sommes investies
Plus en détailL économie de la télévision de rattrapage
L économie de la télévision de rattrapage Medianalyses Scholè Marketing Sommaire I. SYNTHESE... 4 A. Le succès d audience de la télévision de rattrapage... 5 1. Environ un tiers de la population concernée...
Plus en détailFiche entreprise : E12
Fiche entreprise : E12 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée a une formation en génie mécanique et agit à titre de directrice de la production, ce qui inclut la responsabilité
Plus en détailLa diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française
La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour
Plus en détailLes médias en quelques statistiques
Les médias en quelques statistiques Daniel Giroux Secrétaire général, Centre d études sur les médias, Université Laval Avec la collaboration de Sébastien Charlton Le fait que les Québécois passent de plus
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détaill originalité conseil en stratégies médias pour une croissance pérenne Your business technologists. Powering progress
l originalité pour une croissance pérenne conseil en stratégies médias Your business technologists. Powering progress Realizing Customer Value Une nouvelle approche Dans le monde des médias, la prise de
Plus en détailSociété française des intérêts des auteurs de l écrit
Découvrez la Sofia Le droit de prêt La rémunération pour copie privée numérique La retraite complémentaire des écrivains et des traducteurs L action culturelle Société française des intérêts des auteurs
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailPROFITEZ DE DONNÉES DE CLASSE MONDIALE. Creditsafe lance une suite de solutions conçues pour accompagner votre développement à l international
PROFITEZ DE DONNÉES DE CLASSE MONDIALE Creditsafe lance une suite de solutions conçues pour accompagner votre développement à l international Nous sommes fiers de vous présenter la nouvelle gamme de solutions
Plus en détailSociété française des intérêts des auteurs de l écrit
Société française des intérêts des auteurs de l écrit Le droit de prêt La rémunération pour copie privée numérique La retraite complémentaire des écrivains et des traducteurs L action culturelle Les livres
Plus en détailAchats en ligne. et conversion. Le marketing à la performance, du premier affichage au dernier clic. tradedoubler.com
Achats en ligne et conversion Le marketing à la performance, du premier affichage au dernier clic tradedoubler.com Lorsqu il s agit de choisir une marque ou un produit à acheter, les consommateurs européens
Plus en détailManagement Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques
L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les
Plus en détailUn fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche
Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet
Plus en détailLes salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris
Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com
Plus en détailL importance du secteur bancaire suisse
Août 2012 L importance du secteur bancaire suisse Une étude économique L importance du secteur bancaire suisse ASB Août 2012 1 L importance du secteur bancaire suisse Executive summary 5 1 Le secteur bancaire
Plus en détailLA RFID ET VOUS. Grand sondage Stef-TFE / BVA sur les projets réels des entreprises agroalimentaires en matière de RFID SONDAGE.
SONDAGE LA RFID ET VOUS Grand sondage Stef-TFE / BVA sur les projets réels des entreprises agroalimentaires en matière de RFID octobre 2005 > Depuis quelques temps, certains acteurs de la grande distribution
Plus en détailDroits d auteurs : quelles opportunités fiscales?
Droits d auteurs : quelles opportunités fiscales? Vincent Lamberts et Jean-Luc Wuidard Avocats au Barreau de Liège 26 novembre 2010 Petit déjeuner conférence Etudes et Expansion ASBL Plan des exposés -1.
Plus en détailUNE FENÊTRE OUVERTE SUR LES MÉDIAS DE SERVICE PUBLIC EUROPÉENS
UNE FENÊTRE OUVERTE SUR LES MÉDIAS DE SERVICE PUBLIC EUROPÉENS LA COMMUNAUTÉ DE MÉDIAS LA PLUS INFLUENTE DU MONDE L UER, qui compte des Membres dans 56 pays d Europe et d alentour, est la plus grande alliance
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%)
COMMUNIQUE DE PRESSE 1 RESULTATS 2014 : Le 20 février 2015, 16 h 30 INFORMATION REGLEMENTEE Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3
Plus en détailLe marché publicitaire télévisuel français en 2009 : (r)évolution? Commission prospective
Le marché publicitaire télévisuel français en 2009 : (r)évolution? Commission prospective Février 2009 Synthèse L annonce par le Président de la République, le 8 janvier 2008, d engager une réflexion sur
Plus en détailFrance et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts
France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle
Plus en détailTéléfilm Canada. Du cinéma au téléphone cellulaire
Téléfilm Canada Du cinéma au téléphone cellulaire Téléfilm Canada Pourquoi sommes-nous ici aujourd hui? Pour vous donner un compte rendu de ma première année comme directeur général de Téléfilm Canada
Plus en détailSous réserve des lois applicables, ce règlement régit tous les aspects du concours Tremplin, et lie tous les participants.
01 CONCOURS TREMPLIN 2014 1. Règlement obligatoire Sous réserve des lois applicables, ce règlement régit tous les aspects du concours Tremplin, et lie tous les participants. 2. Objectif du concours Le
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailProgramme-cadre européen pour la recherche et l innovation. Horizon 2020. Lignes directrices pour la gestion des données dans Horizon 2020
Programme-cadre européen pour la recherche et l innovation Horizon 2020 Lignes directrices pour la gestion des données dans Horizon 2020 Version 1.0 11 décembre 2013 Titre original : Guidelines on Data
Plus en détailRéunion de concertation avec les associations de consommateurs sur la réforme du crédit à la consommation
Réunion de concertation avec les associations de consommateurs sur la réforme du crédit à la consommation Christine LAGARDE, Ministre de l Economie, de l Industrie et de l Emploi Luc CHATEL Secrétaire
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA Résultats exceptionnels d Argenta pour l année de crise 2011 La cinquième banque de Belgique n a pas désappris le métier du banquier de détail.
Plus en détailMaster international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation
Master international de Management des Médias à distance Organisation pédagogique de la formation Session 2014/2015 Table des matières Organisation pédagogique... 1 UE 1 : Histoire, économie et mondialisation
Plus en détailMobilité de l enseignement supérieur
Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailMaster 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science. Syllabus 2015-2016
Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science Syllabus 2015-2016 Intitulés des UE de l'ue Heures encadrées Formes du remploi dans le cinéma
Plus en détailÉTUDE DE L ARUCC ET DU CPCAT SUR LES NORMES EN MATIÈRE DE RELEVÉS DE NOTES ET DE NOMENCLATURE DES TRANSFERTS DE CRÉDITS
SOMMAIRE ÉTUDE DE L ARUCC ET DU CPCAT SUR LES NORMES EN MATIÈRE DE RELEVÉS DE NOTES ET DE NOMENCLATURE DES TRANSFERTS DE CRÉDITS Examen des pratiques actuelles des établissements postsecondaires canadiens
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailNouveau sondage sur les perspectives des Canadiens à propos des changements climatiques et de la crise économique
Nouveau sondage sur les perspectives des Canadiens à propos des changements climatiques et de la crise économique 45% des Canadiens sont d accord pour dire que les actions sérieuses en matière de changements
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailPOURQUOI INVESTIR EN FRANCE
POURQUOI INVESTIR EN FRANCE UN PAYS SITUÉ AU CŒUR DU MARCHÉ EUROPÉEN AVEC UNE PORTE D ACCÈS À LA ZONE EMEA 10 L ESSENTIEL EN POINTS 1 UNE PUISSANCE ÉCONOMIQUE DE RANG MONDIAL La France est la 2 e puissance
Plus en détailEtats Financiers consolidés au 31/12/2014
Etats Financiers consolidés au 31/12/2014 METROPOLE TELEVISION M6 SOCIETE ANONYME A DIRECTOIRE ET CONSEIL DE SURVEILLANCE AU CAPITAL DE 50 504 974,80 SIEGE SOCIAL : 89 AVENUE CHARLES DE GAULLE 92575 NEUILLY-SUR-SEINE
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailExcellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailElaboration du plan France Numérique 2020
Paris, le 30 septembre 2011 Elaboration du plan France Numérique 2020 Réponse de l ARPP à la consultation publique Organisme de régulation professionnelle de la publicité en France, l Autorité de Régulation
Plus en détailLe grand rendez-vous des exportateurs à ne pas manquer!
Le grand rendez-vous des exportateurs à ne pas manquer! www.forum-export.ca Palais des Congrès de Montréal Montréal (Québec) 12 et 13 novembre 2003 Un forum de mobilisation des exportateurs québécois Paul-Arthur
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailLA PRODUCTION AUDIOVISUELLE FRANCAISE ET SON FINANCEMENT
LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE FRANCAISE ET SON FINANCEMENT Rapport établi à la demande du ministre de la culture et de la communication par Antoine Schwarz Décembre 2003 2 Cette mission a bénéficié de l
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailBulletin de déclaration d une œuvre audiovisuelle
Bulletin de déclaration d une œuvre audiovisuelle (1) Ne rien inscrire dans ce cadre n d œuvre Je déclare (ou nous déclarons) au répertoire de la Scam (2) titre de l œuvre durée de l œuvre N épisode saison
Plus en détailLES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE
LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE RAPPORT REDIGE PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE S.A. POUR La Direction Générale Emploi et Affaires sociales Sécurité sociale et intégration sociale Recherche
Plus en détailRESULTATS DE L EXERCICE 2014
Communiqué de presse Paris, le 11 mars 2015 RESULTATS DE L EXERCICE 2014 EBITDA : 26,3 M, +20% RESULTAT NET : 14,3 M, + 10 % aufeminin (ISIN : FR0004042083, Mnemo : FEM), annonce ce jour ses résultats
Plus en détailLes Ateliers NPA. S appuyant sur cette expertise, Les Ateliers NPA
Formations Les Ateliers NPA R Référence en matière d étude et de conseil dans le secteur des médias et des services numériques, NPA Conseil met à disposition son expertise au service de son département
Plus en détailÉtude des tendances en matière de soins de santé au Canada
www.bucksurveys.com Étude des tendances en matière de soins de santé au Canada Résultats 2011 Introduction: Faibles augmentations à tous les niveaux Depuis que Buck a lancé, en 2001, sa première Étude
Plus en détailDU Paris II Modèle de l économie numérique. Commerce électronique et conflits de canaux de distribution
DU Paris II Modèle de l économie numérique Commerce électronique et conflits de canaux de distribution Introduction La notion de canaux de distribution : => réseaux de distribution propre : automobiles,
Plus en détailPROPOSITION D ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE/RESPONSABILITÉ CIVILE GÉNÉRALE DES ENTREPRISES MULTIMÉDIAS DES DIFFUSEURS AVIS :
PROPOSITION D ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE/RESPONSABILITÉ CIVILE GÉNÉRALE DES ENTREPRISES MULTIMÉDIAS DES DIFFUSEURS AVIS : LA PRÉSENTE PROPOSITION SE RAPPORTE À UNE GARANTIE D
Plus en détailRemerciements à Frédéric Bouchar (Media Marketing) et Frédéric Jadinon (bpost) pour leur input précieux.
Newsletter April 17, 2013 Dans ce numéro: L étude Marines 2012 prend l eau : voici pourquoi Aujourd hui, le média pèserait 2/3 du total... 2 contre 1/3 il y a 20 ans?... 4 Sur-estimation du média, hors
Plus en détailLe MIC lance un appel à projet «Serious Game»
Microsoft Innovation Center asbl Siège social : Parc Initialis, Boulevard Initialis 1 à 7000 Mons Le MIC lance un appel à projet «Serious Game» Le Microsoft Innovation Center (MIC) fait appel aux candidatures
Plus en détailL'ouverture à la concurrence
[Extrait] CONSOMMATION ET CONCURRENCE RÉGLEMENTATION Services en réseaux L'ouverture à la concurrence Article du bureau Économie des réseaux, de la direction de la Prévision et de l analyse économique.
Plus en détailLes concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»
Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches
Plus en détailENQUÊTE SUR LES ENTREPRISES DE L INDUSTRIE DE LA LANGUE AU CANADA
ÉTUDE ÉCONOMIQUE ENQUÊTE SUR LES ENTREPRISES DE L INDUSTRIE DE LA LANGUE AU CANADA Traduction, interprétation et formation linguistique d après une enquête menée par Statistique Canada en 2005 Août 2006
Plus en détail*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre
Plus en détailCahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D
Cahier des charges pour la réalisation d une étude Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Sommaire Sommaire...2 Article 1 Objet du marché...3 Article 2 Contexte...3
Plus en détailChiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino
Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22
Plus en détailPOINTS DE VUE DES CANADIENS SUR LA COUVERTURE DES MÉDICAMENTS D ORDONNANCE
www.ekos.com POINTS DE VUE DES CANADIENS SUR LA COUVERTURE DES MÉDICAMENTS D ORDONNANCE [Ottawa 22 mai 2013] Selon un nouveau sondage commandé par la Coalition canadienne de la santé (CCS) et la Fédération
Plus en détailComité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée
Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert
Plus en détailDécembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte
Décembre 2009 Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Sommaire Introduction La loi handicap Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Résultats de l enquête nationale Recrutement, sous-traitance,
Plus en détailConférence de presse BearingPoint SP2C
Conférence de presse BearingPoint SP2C «Face aux enjeux de restructuration du secteur, quelles sont les perspectives d évolution pour les Centres de Contacts?» Présenté par Laurent Uberti (SP2C) et Eric
Plus en détailLa perspective de «windfall profits» (profits indus) pour les électriciens allemands
UNIDEN UNION DES INDUSTRIES UTILISATRICES D'ENERGIE 19.04.04 DIRECTIVE «QUOTAS D EMISSION» : COMMENT EVITER DE DESASTREUSES CONSEQUENCES? La mise en œuvre de la Directive «Quotas d émission», via son impact
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détail«LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER»
28/04/15 1 «LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER» Le 6 novembre 2014, le Président de la République a officiellement annoncé la candidature de la France à l organisation
Plus en détailProtection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes
Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Avner Levin * * Professeur agrégé et directeur, Privacy and Cyber
Plus en détail