LA TRANSITION À L'ÂGE ADULTE DES JEUNES DES CJ: DES SAVOIRS SCIENTIFIQUES QUI PEUVENT CHANGER LES PRATIQUES.
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- Beatrice Germain
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1 LA TRANSITION À L'ÂGE ADULTE DES JEUNES DES CJ: DES SAVOIRS SCIENTIFIQUES QUI PEUVENT CHANGER LES PRATIQUES. Marie Robert, Monique Séguin, Annie Desgranges et Guy Beauchamp
2 LES RECHERCHES EN PARTENARIAT Préoccupation par rapport aux jeunes vulnérables : mieux connaître les conditions permettant de contrer la désaffiliation sociale des jeunes afin de favoriser leur passage réussi vers l'âge adulte. Partenaires milieux: Le SPLI (Secrétariat des partenariats de lutte contre l itinérance) Les Centres jeunesse de l Outaouais et autres CJ. Vallée Jeunesse de l Outaouais avec ses partenaires (de l éducation, de l emploi, de la santé et des services sociaux)
3 PLAN DE LA PRÉSENTATION La perception de l avenir des jeunes des CJ Selon les jeunes eux-mêmes Selon les intervenants Les savoirs scientifiques sur la question (ce qu ils deviennent comme adultes) Portrait basé sur des données de recherche descriptives Portrait basé sur les trajectoires de vie et les profils des jeunes (fait saillants de mes recherches) Conclusion: l arrimage des savoirs et des pratiques: une nécessité pour faire une différence dans la vie de ces jeunes.
4 PERCEPTIONS SUR L AVENIR DES JEUNES La perception des jeunes sur leur avenir Ils sont capables d entrevoir le futur: Plusieurs nous ont dit: «Moi je veux une belle vie, être heureux comme tout l monde» (un travail, une blonde et peut-être des enfants). L avenir (par rapport au présent) c est : «une seconde chance dans ma vie, pis j veux tellement que ça marche!»
5 PERCEPTIONS SUR L AVENIR DES JEUNES Plusieurs ont nommés des professions qui exigent une scolarité qu ils n ont pas...mais ce qu ils ont identifié à travers cela c est leur désir de pouvoir aider des jeunes qui leur ressemblent. Ils sont réalistes, pour la plupart: «J suis prête pour revenir sur le bon chemin» et voient leur avenir par étapes: «Je vais arrêter de consommer, faire mon secondaire V»
6 PERCEPTIONS SUR L AVENIR DES JEUNES Une minorité de jeunes n ont pas de vision de leur avenir «J ne sais même pas ce que je vais faire demain, alors le futur c est ben loin.» et vivent dans l instant présent.
7 PERCEPTIONS SUR L AVENIR DES JEUNES Les perceptions des intervenants sur l avenir des jeunes - Quelles sont-elles, selon vous?
8 LES SAVOIRS SCIENTIFIQUES SUR LE Les données de recherche sur la question Une première perspective de recherche: Descriptive et qui pose un regard global (statistiques) sur les jeunes.
9 LES SAVOIRS SCIENTIFIQUES SUR LE Recherches descriptives: Le taux de diplomation (sec V): entre 38% et 88%, selon les études. Ceux qui graduent ont 3 fois plus de chances d obtenir un emploi et ceux qui n ont pas de retard scolaire (finissent dans les temps requis) ont plus de chances de poursuivre au collégial. Parentalité précoce (filles): entre 20% et 50%, selon les études (diminue les chances de diplomation et d emploi ). Moins de cinq ans après leur sortie: près de 40% ont des démêlés avec la justice et 25% seront incarcérés (diminue les chances de diplomation et d emploi). Entre 12% et 34% vivent des périodes d instabilité résidentielle (itinérance) suite à leur sortie des CJ. La santé mentale des jeunes n est pas évaluée (aucune donnée)
10 LES SAVOIRS SCIENTIFIQUES SUR LE Limites des recherches descriptives Les pourcentages des indicateurs d insertion sociale apparaissent très variables (poursuite des études, emploi, stabilité résidentielle, parentalité précoce, évitement ou non de judiciarisation et d incarcération) d une étude à l autre. Les chiffres globaux (des moyennes) peuvent donc masquer l existence de profils et de cheminements différenciés parmi ces jeunes. Les connaissances disponibles (en 2012) ne nous permettent pas de saisir l influence des multiples facteurs qui modulent et façonnent la phase de transition. Par exemple, on ne sait pas si et dans quelle mesure les situations adverses de vie ainsi que les expériences de prise en charge par le SPJ influencent leurs conditions d existence une fois adulte.
11 Autre perspective de recherche: profils et trajectoires de transition (une seule autre, Yates et Grey en 2012). Une première étude a consisté à mettre au jour les trajectoires de passage à l âge adulte d adolescents qui ont fait l objet d intervention du SPJ, afin de: saisir l hétérogénéité de leur situation une fois adulte; Identifier les facteurs qui contribuent à façonner leurs trajectoires et à expliquer leur situation à l âge adulte.
12 Construction des trajectoires (analyse de régression multinomiale): jeunes (18 à 22 ans); - Variable dépendante: - leur statut occupationnel (emploi, études) comme indicateurs d adaptation externe. - Variables indépendantes: 1) cheminement scolaire (retard, échecs); 2) soutien social et relations parentales; 3) situation résidentielle; 4) les expériences de prises en charge antérieures (moment, durée, placements et déplacements); et 5) leur état de santé mentale.
13 Aux études (18,4 %) LSJPA (¾) En emploi (54,7 %) LSJPA (½) Sans occupation (26,7 %) LPJ (3/5 ou 60%)
14 Facteurs de risque Les échecs scolaires Les périodes d itinérance Facteurs de protection L existence du soutien parental La diversité de leur réseau social (richesse du réseau) Leur état de santé mentale
15 Aux études (18,4 %) LSJPA Présence de soutien parental (¾ ) peu d échecs scolaires pas d itinérance - réseau social riche 25% ont un problème de santé mentale En emploi (54,7 %) Mixte La ½ reçoit du soutien parental la ½ a redoublé itinérance (1/3) 38% ont un problème de santé mentale Sans occupation (26,7 %) LPJ Moins de ½ vit avec un parent ¾ ont redoublé itinérance (1/3) 55% ont un problème de santé mentale
16 À leur entrée au CJ À leur sortie du CJ Troubles extér. (T.C.) Troubles intér. (anxité/ dépres.) Aux études (LSJPA) En emploi (mixte) Sans occup. (LPJ) 26 % 52 % 60 % 16 % 40 % 31 % Problème Santé mentale Aux études (LSJPA) Global: 40% En emploi (mixte) Sans occup. (LPJ) 26 % 38 % 55 %
17 Constats: Les jeunes qui manifestent une bonne adaptation externe (ou sociale) sont touchés par des problèmes de santé mentale. L étude de McMillen (2005) est une des rares études qui a évalué l état de santé mentale et estime à 37% la prévalence des troubles mentaux chez cette clientèle (40% selon notre étude). Selon un recensement effectué en 2006 auprès de jeunes hébergés en CJ, 45% ont un diagnostic de trouble mental inscrit au dossier (Rapport du comité de travail sur la santé mentale des jeunes suivis par les centres jeunesse, 2007) Le diagnostic le plus fréquent est: le TDA -H (trouble du déficit de l attention avec ou sans hyperactivité).
18 Le rapport du comité de travail sur la santé mentale signale que la majorité de ces jeunes (61%) sont suivis par un professionnel en santé mentale soit un pédopsychiatre ou psychiatre (près de 40% ne le sont pas). Quelles sont les pratiques qui sont mises en place pour répondre à cette problématique chez les jeunes des CJ? Existe-t-il un arrimage entre les interventions psychosociales et médico-psychiatriques? Quels sont les obstacles rencontrés?
19 Rappel la perspective de recherche que nous utilisons Par rapport aux méthodes utilisées dans la majorité des recherches sur la transition, la trajectoire de vie ajoute une dimension importante: Au-delà de sa capacité à identifier des cheminements différents de transition à l âge adulte, elle permet de mieux comprendre comment se développe les problématiques chez les jeunes, de l enfance à l adolescence et jusqu à l âge adulte.
20 Les patterns de développement des problématiques est un type de connaissances fort utile pour la mise en place de stratégies de prévention: - quand intervenir et sur quoi intervenir (ex.: faut-il mieux mettre l accent sur les habiletés sociales ou la consommation de substances ou encore les problèmes de santé mentale?)
21 Construction de 25 trajectoires de vie de jeunes (16 à 24 ans) recevant des services de l organisme Vallée Jeunesse de l Outaouais. L organisme communautaire Vallée Jeunesse offre des programmes d insertion sociale via l emploi ou le retour aux études et de l hébergement temporaire aux jeunes. Les jeunes qui reçoivent des services de l organisme ont grand besoin de soutien pour réussir leur transition à l âge adulte. Ce qu ils ont en commun: - c est d avoir vécu dans une famille dysfonctionnelle au cours de l enfance et de ne pas pouvoir compter sur leurs parents comme ressources (psychologiques, financières) pour accomplir leur transition à l âge adulte.
22 Nous avons identifié et daté les événements de leur vie en utilisant le Questionnaire de la Trajectoire de vie permet de tracer l apparition d événements, des difficultés et des protections, selon plusieurs sphères différentes: Résidentielle: lieu de résidence et changements de domicile au cours de la vie; Relationnelle: parents et fratrie; relations amoureuses et de travail Événementielle: les épisodes de difficultés personnelles ( maladies, adversités, etc.). Académique et professionnelle. Présence des facteurs de protection interne au cours de la vie (ressources psychiques telles la compétence psychosociale ( Masten & Curtis, 2000) qui renvoie à un sentiment de contrôle sur sa vie et à la capacité de poser des actions proactives et protectrices ); Présence de facteurs de protection externe au cours de la vie (présence d un soutien social informel tel que amis proches, grands -parents proactifs dans le soin/éducation du jeune, etc.; implication dans des activités sportives, religieuses ou récréatives ). La recherche et consultation de services sociaux ou de santé mentale (type de traitements, durée, etc.).
23 ÉCHANTILLON (N=25) PRÉSENCE (%) Placement en milieu substitut - Enfance 32% Placement en milieu substitut - Adolescence 48% Avoir utilisé une ressource d hébergement, car pas d endroit où dormir 56% Age moyen lors de la première fois 15.1 ans Durée < 1 mois 32% Diagnostique de santé mentale (à vie) Trouble du déficit de l attention avec hyperactivité 28% Troubles de la conduite (adolescence) 36% Trouble de consommation de substances 40% (à vie) ; 24% ( 6 mois) Trouble de l humeur (actuellement) 20% Avoir commis une tentative de suicide (derniers cinq ans) 44%
24 Le devenir de près de la moitié des jeunes vulnérables est compromis par des comportement suicidaires, notamment des tentatives de suicide. En sachant que la tentative de suicide est le meilleur prédicteur d un suicide complété, nous avons cherché à identifier l existence de trajectoires communes et spécifiques chez les jeunes qui ont posé ce geste par rapport à autres jeunes de l échantillon.
25 Présence d adversité familiale RÉSULTATS DE MES RECHERCHES SUR LE Figure 1. Développement des facteurs de risque ENFANCE TDAH (n=7) ADOLESCENCE + Dépression Tentative de suicide Abus sexuel (n=4) + T.C. (Troubles conduite) et/ou Problèmes de consommation
26 La dispensation de services appropriés aux besoins des jeunes, offerts rapidement et au bon moment dans la vie des jeunes vulnérables, peut faire une différence importante dans leur développement. Des participants présentent un TDAH diagnostiqué dès l enfance en plus de troubles de la conduite précoces, sans toutefois présenter «la suite» de problèmes (consommation et conduites suicidaires). Ces jeunes ont reçu des services spécialisés en santé mentale et ont participé, pendant plusieurs années, aux programmes enfance et adolescence offerts par le Centre hospitalier Pierre-Janet. Les jeunes «suicidaires» n ont pas eu ce type de services (ni aucun autre type de service), malgré la présence des mêmes problématiques à l enfance.
27 La présence de troubles mentaux est importante, même chez les jeunes des CJ qui manifestent un bon niveau d adaptation externe à leur sortie des services. Sans doute que l adversité familiale qu ils ont vécu a contribué largement au développement de problèmes de santé mentale. Lorsqu ils ne sont pas reconnus et traités, les problèmes de santé mentale chez les jeunes vulnérables favorisent le développement de conduites suicidaires (risques de 8 fois supérieurs aux jeunes de la population générale).
28 DISCUSSIONS Ces résultats de recherche font-ils sens par rapport aux savoirs d expérience des intervenants? Existent-ils des programmes ou pratiques déjà implantés qui permettraient un arrimage entre les sphères psychosociale et le médico-psychiatrique qui correspondent aux besoins de plusieurs jeunes? Quelles seraient les stratégies de prévention réalistes à retenir qui pourraient répondre aux besoins en santé mentale?
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