Déontologie, une définition. Thierry Desbonnets. Déontologi(e)s cadre? La cadrature de la déontologie!
|
|
- Victor Juneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Déontologi(e)s cadre? La cadrature de la déontologie! Thierry Desbonnets Descriptif : La déontologie se pose de plus en plus comme une des figures imposées des professions. Au delà des définitions, comprendre comment les codes de déontologies sont structurés avant de déterminer s il lui faut se doter de cet outil législatif et normatif est nécessaire. Pour les cadres de santé, au regard des professions, l exercice passe par un éclaircissement de l identité et de l objet de la fonction. C est l ensemble de ce parcours, pas encore tout à fait ordonné, dont nous dressons un itinéraire particulier aujourd hui. Dans un premier article, «regard sur trois codes de déontologies», la vision synoptique des codes de déontologie médicale, des architectes et de la Police Nationale, amorçait une réflexion sur la déontologie en regard de la fonction de cadre de santé. Cet article, complété par d autres éléments d interrogations et d actualité, telle la création des Ordres des kinésithérapeutes, des pédicurespodologues, et des infirmier(e)s, a donné lieu à une communication publique lors de la 11ième journée d étude et de réflexion de l IUPARM, à Paris, le 2 février Cette présentation est ici reprise, non sous sa forme initiale de diaporama, mais dans une rédaction plus conventionnelle. La déontologie se pose de plus en plus comme une des figures imposées des professions. Au delà des définitions, comprendre comment les codes de déontologies sont structurés constitue une étape utile de la réflexion avant de déterminer s il faut, au sein d une profession, se doter de cet outil législatif et normatif. Pour les cadres de santé, au regard des professions, l exercice passe par un éclaircissement de l identité et de l objet de cette fonction. C est l ensemble de ce parcours, pas encore tout à fait ordonné, dont nous dressons un itinéraire particulier aujourd hui. Trois étapes jalonneront notre parcours : il s agit de définir dans une premier temps la déontologie, pour ensuite interroger le statut professionnel de la fonction de cadre de santé et enfin poser les bases d une déontologie pour les cadres de santé. Déontologie, une définition. L étymologie et les dictionnaires constituent souvent un point de départ. Voyons plutôt : "du grec deon-ontos, ce qu il faut faire et logos discours ; Science qui traite du devoir à remplir." (Larousse) ; "ensemble des règles et des devoirs régissant une profession." (Le Robert). Ces premiers énoncés apportent des précisions complémentaires. D une part, il s agit d un discours, d une mise en mot, selon un ordonnancement logique, de ce qui lie un agir à sa moralité, sa justesse ou son idéalité ; d autre part, c est le corpus de règles et devoirs qui fait sens au sein d une profession et de son exercice par les membres qui la composent. Le terme déontologie s est spécialisé dans le champ professionnel. La déontologie constitue une déclinaison des obligations et des interdits qui s appliquent en situation professionnelle. La déontologie organise alors les principes d action et de relation professionnelles. Elle définit de manière successive les objets et sujets d une profession, les relations entre les divers acteurs ainsi que les régulations au sein de chaque discipline particulière et le contrôle des relations dans l exercice professionnel spécifique. Sont cités en premier lieu les bénéficiaires de l action professionnelle, (le public, l usager, le client ou le patient, affirmé comme personne au service de
2 laquelle la profession s organise) puis sont réglementées les relations aux «confrères», aux hiérarchies ou aux institutions. Il s agit véritablement de structurer la relation professionnelle de façon normative et de règlementer un exercice professionnel, fondamentalement unique en son principe et extrêmement divers dans ses manifestations. Des normes de responsabilité, de comportement et de relation sont arrêtées, définies comme applicables à l ensemble des professionnels. La déontologie statue sur ce qu une profession se fixe comme règles de vie au sein d une société. C est une inscription dans l ordre de la loi, garantissant un exercice professionnel, ayant valeur juridictionnelle, devenant opposable à l ensemble des membres d une profession, et créant des instances de régulation identifiées. Elle est prescriptive d idéalité, en même temps qu elle prend en compte la réalité des pratiques, leurs dérives ou l abus d autorité que peut faciliter l asymétrie relationnelle et fonctionnelle du professionnel, qu il convient ainsi de "rappeler à l ordre", vis-à-vis de son "usager". La déontologie n est pas un référentiel édictant des normes techniques et des «bonnes pratiques», elle porte sur la personne du professionnel en relation, sur les principes de l action plus que sur son déroulement et la réalisation actes. La stabilité des règles déontologiques s oppose en ce sens à l évolution quasi permanente des techniques et des protocoles professionnels, liée à l évolution des connaissances et des technologies. Même si la loi exige maintenant très clairement l information du patient et l obtention de son consentement éclairé, tendant à instaurer une relation contractuelle paritaire, les usagers de santé demeurent peu ou prou, non dans un statut, mis dans une position où la pathologie les place dans une situation de dépendance fonctionnelle par rapport aux professionnels.la déontologie instaure alors une régulation des relations asymétriques d autorité avec le public. En prenant quelque liberté avec l étymologie avérée du terme, on pourrait cependant espérer, métaphoriquement, que la «dé(-)ontologie», est écriture d une «ontologie professionnelle», rappel à l ordre incessant de ce qu est être professionnel dans toutes les relations en situation professionnelle. La déontologie médicale reste à cet égard tout à fait exemplaire, notamment dans le lien logique qui s établit entre le serment et la déontologie professionnels. Cette «ontologie du cadre de santé», qui constitue en toute situation son identité spécifique, doit être définie avant que de déterminer ce que pourra être sa déontologie. Faut-il rappeler que la fonction de cadre de santé est une évolution des professions initiales, mais elle se constitue dans un rapport de professionnalisation différent, un rapport plus indirect, moins immédiat avec les patients? Peut-être peut-on alors parler de médiation du soin, que l on soit en équipe ou en institut de formation. Si le soin n exclut jamais la prise en charge de la collectivité, le soin direct laisse le primat à la personne, tandis que le cadre de santé se situe dans un rapport dialogique entre l individu et le groupe. A ce niveau, quoi qu il en soit, la déontologie médicale demeure paradigmatique «au service de l individu et de la santé publique, ( ) dans le respect de la vie humaine, de la personne et de sa dignité.» (Code de déontologie médicale, art.2) Profession(s) cadre de santé. Pourtant un cadre de santé, ça n existe pas, mais il y a des cadres de santé. En effet 14 professions
3 donnent accès à la fonction de cadre de santé. La profession d origine conditionne l identité du cadre de santé, l introduisant dans un paradigme d action et de représentation auprès des patients et des populations spécifiques. Le soin est différencié selon les professions, chacune défendant le principe d une approche globale, avec cependant des voies d accès à la personne malade variées et complémentaires. C est une première pluralité dans la fonction, la pluralité de l origine. Autre pluralité, la pluralité d exercice. En effet, selon les institutions, les services, les missions et le public, patients ou étudiants, le cadre de santé exerce des fonctions et des responsabilités qui ne sont pas identiques. Un service d urgence, un institut de formation, la gestion d une hospitalisation à domicile, une pharmacie centrale exigent des compétences, des connaissances et des positionnements différents par rapport aux missions du cadre. Certains cadres restent dans la prise en charge, les cadres rééducateurs notamment, d autres n acquittent que des missions transversales, sans équipe propre, d autres enfin sont d avantage tournés vers la formation, de façon exclusive ou en «alternance» avec d autres pratiques professionnelles. Cette «poly praxie» des cadres de santé se trouve définie de façon assez exemplaire dans le décret de 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière : Les agents du grade de cadre de santé exercent : 1 Des fonctions correspondant à leur qualification et consistant à encadrer des équipes dans les unités fonctionnelles, services, départements ou fédérations des établissements ; 2 Des missions communes à plusieurs services ou de chargé de projet au sein de l établissement ; 3 Des fonctions d encadrement correspondant à leur qualification dans les instituts de formation et écoles relevant d établissements publics de santé qui préparent aux différentes branches des professions infirmières, de rééducation et médico-techniques. (Décret n du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière) La fonction de cadre de santé se déploie alors davantage en métiers qu en profession qui la font osciller entre enseignement, management uni ou pluri-professionnel et missions expertes. La spécificité émerge du croisement (plus ou moins logique) de la compétence professionnelle initiale, des missions confiées et du développement du capital expérientiel du cadre. Déontologie(s) et coeur de métier Pourtant, derrière la pluralité compétences et des fonctions en situations, il convient sans doute de rechercher le cœur de métier des cadres de santé. Je propose d envisager d abord la nature commune des différents soins paramédicaux. Il me semble que si le paradigme de l action médicale est le «guérir», celui des paramédicaux est le «soigner». Il est à l intersection de plusieurs principes : un principe d altérité qui définit «le soin» comme devoir du soignant ; un principe d intégrité qui affirme «la santé» comme un droit du patient un principe de communauté qui inscrit le tout dans la recherche de conciliation des intérêts individuels et de l intérêt collectif. Autre caractéristique du cœur de métier des cadres de santé, du cadre de proximité jusqu aux directeurs des soins si l on considère qu il s agit entre ces deux statuts d un changement d échelle et non de nature, la responsabilité de l encadrement est de rendre opératoire : des soins de qualité, continus et efficients,
4 au niveau collectif, et non de façon individuelle, adaptés aux besoins de santé, par le développement et l optimisation des compétences techniques et relationnelles, en adéquation avec les ressources humaines, conceptuelles et logistiques disponibles, dans l interaction constante des fins et des moyens, dans la formation, le management ou les missions transverses. Notons enfin qu il n y a pas de tiers archétypal et unique pour le cadre de santé, mais une pluralité de tiers significatifs qui fait sa fonction. Chacun des types de relation avec les catégories de tiers du cadre de santé le place dans une posture déontologique différenciée. Les patients, les usagers du système de soins et de santé, nous mettent face à nos responsabilités vis-à-vis du pouvoir et des connaissances sur le corps. La déontologie des cadres de santé s articule nécessairement à la déontologie médicale, contrôle du pouvoir d agir sur le corps. C est donc une justesse de compréhension et d action sur les problème de santé que la déontologie cadre doit garantir. La distance qu à le cadre au patient est tantôt clinique, tantôt institutionnelle. Son positionnement est en équilibre entre la défense des intérêts individuels de santé et la promotion d une santé collective, entre individu, institution et société. Les étudiants, les stagiaires, les jeunes collègues ou les arrivants dans un service ou selon une spécialité nouvelle, tous engagent le cadre de santé par rapport au processus continu de formation et l oblige à intégrer une déontologie de type pédagogique ou «andragogique», contrôle du pouvoir du savoir. Il en va d une justesse de professionnalisation des actes, des connaissances et de la relation dans les échanges et la construction des savoirs. L adaptation des savoirs est une nécessité et une exigence permanentes. Les équipes, les collègues, la "chaine hiérarchique" de la même façon, incitent à adopter une déontologie managériale, contrôle du pouvoir sur le travail. Les processus décisionnels et organisationnels doivent ici trouver eux aussi leur justesse. Ce jeu intègre les relations d interdépendance avec les ressources et services logistiques et financiers. Doit-on alors même, dans ce versant inclure une éthique ou une déontologie de l efficience, des ressources humaines, en garantissant, au sein de la fonction, les conditions de l évolution professionnelle, de l enrichissement de la mobilité et de la mobilisation des compétences? Les cadres de santé sont confrontés à la pluralité des professions, au sein des établissements ou des équipes. Si le cadre de santé reste de sa profession d origine, obligatoirement membre de son ordre professionnel pour les infirmiers, les kinésithérapeites ou les pédicures- podologues, sa fonction est commune à 13 professions, avec des situations de formation ou d encadrement d équipes plurielles, où il convient des respecter les champs d actes professionnels en même temps que de viser leur complémentarité et le maillage des compétences en un tissu de soin pertinent et efficace. Une forme de collégialité soignante interprofessionnelle fait donc partie de la déontologie des cadres de santé. Une déontologie à formuler Elle reste à écrire, mais on peut déjà la pressentir. C est donc une déontologie complexe, croisement d un axe vertical professionnel, liant le cadre à la déontologie et/ ou à l ordre de sa profession d origine, et d une dimension transverse à ses fonctions, le liant à l exercice d une responsabilité collective, le mettant en relation de façon également significative aux patients, aux autres professionnels de santé et aux contraintes socio-culturelles et économiques pesant sur notre système de santé. Il existe une collégialité des cadres, plus qu une confraternité, au sein de laquelle se pose la question de la responsabilité, de l indépendance et/ou de la solidarité du cadre par rapport à son
5 environnement au service du paradigme du soigner commun à l ensemble des professions qui ont des cadres de santé. Sans constituer d ordre professionnel, ce collège des cadres de santé peut, à raison, s offrir des règles professionnelles transversales aux professions et récapitulatives de l ensemble de ses missions. Il en va de la professionnalisation de la fonction de cadre, pour aller au-delà du langage et de la culture communs, socle sur lequel se sont constitués la formation et le diplôme de cadre de santé et pour transformer la fonction de cadre de santé, non en une somme de métiers, mais en une profession à part entière.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailFédération des Syndicats Pharmaceutiques de France
Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France Note de synthèse relative à la formation pharmaceutique continue en Présenta Plus de 150 000 personnes travaillent dans les 23 006 pharmacies d'officine
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailRéférentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010
Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailCommission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS
Commission Statut et Juridique AH-HP COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Février 2010 1 Origine du code de déontologie Faisant
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailAPPEL A CANDIDATURES
APPEL A CANDIDATURES L objet Le présent appel à candidatures a pour objet le développement de formations à destination des salariés des professions libérales de santé, dans les domaines suivants : Accueil,
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailDepuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE SOLIDARITÉS PROFESSIONS SOCIALES Arrêté du 18 mai 2009 relatif au diplôme d Etat d éducateur technique spécialisé
Plus en détailEpargne : définitions, formes et finalités.
Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,
Plus en détailAssociations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX
Associations, Syndicats, Ordre Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Trois systèmes complémentaires aux fonctions et missions bien définies : Associatif regroupement de personnes
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Concepteur et intégrateur web et mobiles de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation
Plus en détailContrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats
Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le
Plus en détailL Ag ence esanté en route...
L Ag ence esanté en route... Le Luxembourg souhaite se doter d un dossier électronique national d échange et de partage de données de santé, entre et pour les professionnels de santé intervenant auprès
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailDestinataires d'exécution
Information Secrétariat général Service des ressources humaines Sous-direction du développement professionnel et des relations sociales 78, rue de Varenne 75349 PARIS 07 SP 0149554955 Note de service SG/SRH/SDDPRS/2015-206
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailPanorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé
Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,
Plus en détailCATALOGUE FORMATION LA FRANCHISE. L Académie de la Franchise L ACADEMIE DE. Le socle de vos savoir-faire, le tremplin de votre succès
CATALOGUE FORMATION L Académie de la Franchise Le socle de vos savoir-faire, le tremplin de votre succès L Académie de la Franchise L ACADEM LA FRANC L Acad de la F UTURS FRANCHIS FUTURS FRANCHISÉS DEVENIR
Plus en détailPROGRAMME DÉTAILLÉ DU BTS MUC
PROGRAMME DÉTAILLÉ DU BTS MUC I - Gestion de la relation commerciale MODULE 1 : LA RELATION COMMERCIALE ET SON CONTEXTE La relation commerciale et les unités commerciales L unité commerciale physique La
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailLes Cahiers de l Actif
Les Cahiers de l Actif N 424-425 - septembre - octobre 2011 Le Référent : un Objet Professionnel Non Identifié? S o m m a i r e éditorial 3 dossier 5 I - Représentations et fonctions identitaires du Référent...
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailPosition de la CSF sur le projet de loi relatif à la consommation
Position de la CSF sur le projet de loi relatif à la consommation Dans son ensemble, la CSF accueille favorablement le projet de loi, mais reste néanmoins mobilisée contre la volonté du gouvernement de
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailLa complémentaire santé pour tous : chef d entreprise, ce que vous devez savoir!
La complémentaire santé pour tous : chef d entreprise, ce que vous devez savoir! AGAMY 25/06/15 Par Philippe BARRAUD, Inspecteur Collectives AXA ENTREPRISES & Dominique THIERY, Agent AXA Patrimoine & Prévoyance
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailChargé(e) d Accueil. La filière certifications de l afpols
Chargé(e) d Accueil La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailUcanss. Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières
Ucanss Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières Potocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières
Plus en détailProfil d études détaillé. Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique
Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique Page 1/6 1. Introduction L enseignement de la Haute Ecole Louvain en Hainaut donne la place centrale à l étudiant. Celui-ci trouvera
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES _ SANTÉ Professions de santé Arrêté du 23 septembre 2014 relatif à la création d une annexe «Supplément au diplôme» pour les formations
Plus en détailCatalogue d offre de services de télésanté
Catalogue d offre de services de télésanté Document révisé 2014 12 08 Ce document est basé sur le gabarit ITIL utilisé dans la région 05 - Estrie. Table des matières DEFINITIONS... III GLOSSAIRE ET ACRONYMES...
Plus en détailLa société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr
La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012 Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr Le décret n 2012-407 du 23 /03 /2012 (JO du 25 /03) relatif aux sociétés interprofessionnelles
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailIntervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification
Reconnaissance de la professionnalité de stagiaires en enseignement au secondaire et rôles des superviseurs Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation
Plus en détailRÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014
RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailPROTOCOLE D ACCORD M.F.P. - C.N.S.D.
PROTOCOLE D ACCORD M.F.P. - C.N.S.D. Concernant l amélioration de l accès aux soins dentaires Texte consolidé tel qu annexé au cinquième avenant du 1 er janvier 2013 PREAMBULE La Mutualité Fonction Publique
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Philosophie, psychanalyse de l Université Paul-Valéry Montpellier 3 Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations
Plus en détailDossier Patient Informatisé : L expérience Valaisanne
Dossier Patient Informatisé : L expérience Valaisanne Hélène Hertzog Responsable du dossier patient informatisé Hôpital du Valais Sommaire L hôpital du Valais en quelques chiffres 1 ère ère : du papier
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailLA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes
LA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes La profession infirmière Elle est protégée par le Code de la santé publique. L exercice
Plus en détailPROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL
Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détail1. L ENTREPRISE 2. CARACTERISTIQUES ET DEROULEMENT DE LA PRESTATION CHARTE QUALITE 2.1. DEMARCHE VOLONTAIRE 2.2. REALISATION DE L AUDIT
REGLEMENT DU DISPOSITIF CHARTE QUALITE 1. L ENTREPRISE Cette prestation est réservée à toute personne physique ou morale immatriculée au Répertoire des Métiers, quelle que soit la forme juridique que revêt
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailOn a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir.
Le droit d être informé prend sa source dans les droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés québécoise. L article 44 confirme que tout Québécois a droit à l information, sous réserve de la
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailFormation professionnelle continue
Formation professionnelle continue La formation professionnelle continue comprend deux types d actions : - les actions figurant dans le plan de formation de l établissement ; - les actions choisies par
Plus en détailModalités de prise en charge
ATTENTION : Certaines des modalités de prise en charge de l année 2015 pourront faire l objet de modifications en cours d année. 2015 Modalités de prise en charge Fonds paritaire interprofessionnel de
Plus en détailR E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S
Direction des ressources humaines Centre de formation Formations spécialisées en soins R E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S P O U
Plus en détailContribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours
Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailSection narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario
Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Centre d accès aux soins communautaires du Nord-Est Approuvé par le conseil d administration
Plus en détailPROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT)
PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT) 1. Les orientations générales L enseignement de droit est centré sur la maîtrise des mécanismes juridiques fondamentaux et
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détailGroupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences
Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3034 Convention collective nationale IDCC : 1090. SERVICES DE L AUTOMOBILE (Commerce
Plus en détailGuide d accompagnement. Document réalisé par Softcomputing et Microsoft France.
RESSOURCE PME Cahier des charges d un outil de gestion de la relation client (GRC) ou Customer Relationship Management (CRM) Guide d accompagnement. Ce document donne aux PME des clés pour mener à bien
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap
LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS
Plus en détail