AMELIORER LA COMPOSITION DU LAIT

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1 AMELIORER LA COMPOSITION DU LAIT Cet appui comporte 2 étapes : Un diagnostic qui démarre par une mise à plat de la problématique de l éleveur (Quelle est sa perception de la situation, est il ou non satisfait?quelles difficultés rencontre t il? Quelles en sont les conséquences? ), se poursuit par un état des lieux qui quantifie et analyse les résultats obtenus dans l élevage et se conclut par une synthèse qui met en évidence les points forts et les points à améliorer. Un plan d action qui fait des propositions concrètes d amélioration des pratiques Il s accompagne de la mise à disposition de références utiles à l analyse du sujet. DEFINITION Le diagnostic Il a pour but d identifier les pratiques d élevages responsables des difficultés rencontrées et de les hiérarchiser. Il est réalisé par le conseiller, avec l éleveur. Après avoir bien cerné la problématique de l éleveur, il démarre par un état des lieux qui quantifie et analyse les résultats obtenus dans l élevage et se conclut par une synthèse qui met en évidence les points forts et les points à améliorer. Pour réaliser un diagnostic précis, il est souvent nécessaire de collecter des renseignements dans l élevage, de réaliser des calculs complémentaires et d avoir recours à des référentiels locaux ou nationaux. Le plan d action La formulation de conseils à l éleveur est l aboutissement de la démarche. Après avoir rappelé la situation de l exploitation, le plan d action précise le (ou les) objectif (s) fixés avec l éleveur et décrit les mesures prioritaires à mettre en œuvre ; leurs modalités d application et de suivi doivent être claires et précises, et tenir compte des possibilités de réalisation pratiques dans l élevage. Ces mesures peuvent être à court ou long terme, simples ou remettant en cause des pratiques voire des éléments du système de production. Elles peuvent alors déboucher sur des études de projet.

2 Diagnostic : état des lieux et analyse Elevage Adresse Date de réalisation Période étudiée Appréciation générale de la composition du lait du troupeau La composition du lait de vos chèvres est-elle en accord avec vos objectifs? Etes-vous satisfaits de vos résultats? Si vous n êtes pas totalement satisfait, quelles difficultés rencontrez-vous? A quelles périodes de l année? Quelles en sont les conséquences (techniques, financières..)?

3 Etat des lieux Race... Pratique de l IA oui non Adhérent à Capgènes oui non Index PT Index TB Période de MB saisonnée désaisonnée insuffisante Bilan de la paie de lait sur un an Mois Livraison T.B. T.P. Incidence TB Incidence TP Taux inversés (% chèvres) Moyenne Total /1000 l Nombre de mois en taux inversés... Pour les éleveurs fromagers : 1.1 TB/TP 1.2 Si l élevage est au CL en protocole A, il peut être intéressant de regarder le % de chèvres en taux inversés pendant ces mois là : Quel est l impact financier?

4 Ration au cours de l année Ration d été Aliments Ration d hiver Aliments Utilisation de matière grasse (tournesol, tourteaux fermiers gras, aliment du commerce) oui non Préciser la nature et la quantité Repère : au moins 30 g/j/chèvre de MG pure. Sanitaire : Nombre de chèvres en acidose par an/nombre moyen de chèvres : Nombre de mammites par an/nombre moyen de chèvres : Les références utiles Systèmes alimentaires caprins en Centre-Ouest. Outil de diagnostic et conseils pour optimiser les performances laitières. Marie-Catherine Rousselot IE Guide Alimentation du groupe alimentation de l Institut de l Elevage Contacts Document rédigé par : Coralie BLONDEAU - COPAVENIR et Vincent LICTEVOUT - Touraine Avenir Lait Avec la participation de : Bertrand BLUET - Chambre d Agriculture de l Indre, Nicole BOSSIS - Institut de l Elevage, Charles DROUOT - Chambre d Agriculture de la Dordogne, Cécile PANDROT - Contrôle Laitier de la Drôme, Bernard POUPIN - Contrôle Laitier de la Vendée, Christine ROBERT - EDE-Contrôle Laitier de l Aveyron, Hervé THOMAS - COPAVENIR avec la participation financière de FranceAgriMer

5 Analyse L alimentation Les facteurs de risques Les bonnes pratiques Positionnement de l élevage TB Faibles, TB/TP faible : Manque de fibrosité de la ration Fourrages «mous» Finesse de hachage (ensilage de maïs) Quantité de concentrés ingérés trop importante Les chèvres ont toutes une place aux fourrages Distribution des concentrés en premier Quantité de concentrés par repas Ration faible en matière grasse Transitions alimentaires Apport d au moins 60% de la ration fourragère sous forme de foin. Apporter au moins 1 kg MS de foin. Assurer un rapport Fourrages/concentrés d au moins à 60/40. Faire consommer des fibres grossières par les chèvres Distribuer les fourrages en premier pour éviter des pics d acidose. Limiter les concentrés à 300/400 g par repas. Taux de MG idéal dans la ration, 4 à 5 % : supplémentation par apport de MG protégées, de tourteaux gras de colza ou tournesol, de graines de tournesol entières. Taux butyreux : Saanen < 33 > 38 Alpine < 35 > 40 TP Faibles : Manque d énergie de la ration Fourrages «mous» Couvrir les besoins énergétiques en priorité pour : - Favoriser une ingestion forte de la ration, - Augmenter la quantité de déshydratés distribués, - Augmenter la quantité de concentrés distribués. Taux protéique : Saanen < 29,5 > 32,5 Alpine < 31 > 34

6 Analyse La génétique Les facteurs de risques Les bonnes pratiques Positionnement de l élevage Peu ou pas d utilisation de génétique Niveau génétique du troupeau faible en taux Elevages de chevrettes et boucs issues de mères à taux faibles voir inversés Aucune connaissance des origines des animaux IA ou achat de boucs et chevrettes ayant de la génétique à l extérieur. Travailler sur les Index ICC, ITP et ITB. Revoir sa stratégie de choix des mères à boucs. Filiation des animaux. Le sanitaire Les facteurs de risques Les bonnes pratiques Positionnement de l élevage Présence de chèvres en acidose Revoir la ration (amidon inférieur à 25%). Alcalose??? Fourrages mal conservés (donc mal consommés) Revoir la stratégie de distribution de la ration. Revoir la qualité des fourrages.

7 Plan d action La composition du lait du troupeau Les problèmes de taux inversés se caractérisent par : Les chèvres à problèmes sont plutôt des chèvres qui : Points forts à préserver Points faibles à améliorer 1/ 1/ 2/ 2/ 3/ 3/ Objectif (s) fixés et incidences/economie, temps de travail

8 Les mesures à mettre en œuvre Domaines d application Actions à mettre en place Comment? (qui?, avec quels moyens? ) Calendrier de mise en œuvre

9 Suivi/Bilan de l appui technique Réalisé le par Evolution de la composition du lait dans l élevage Conditions d application des mesures (ce qui a été fait, ce qui a bien marché, ce qui reste à faire)

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