OBJET : Politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu de travail

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "OBJET : Politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu de travail"

Transcription

1 Page 1 sur 21 A.GÉNÉRALITÉS ET RESPONSABILITÉS 1. ÉNONCÉ DE LA POLITIQUE La présente politique reflète les valeurs que le conseil d administration et la direction générale du Centre de santé et de services sociaux des Etchemins soutiennent à l égard du personnel, des usagers et des personnes qui fréquentent l établissement. Elle énonce clairement la volonté de maintenir un milieu sain, exempt de violence et sécuritaire pour tous afin de répondre adéquatement à la mission de l établissement. Elle vise particulièrement à : Sauvegarder la dignité, l honneur et la réputation du personnel et des usagers; Offrir des conditions justes et raisonnables respectant la santé, la sécurité et l intégrité physique et psychologique de chaque individu; Respecter les droits et libertés de la personne; Maintenir un climat de confiance, ouvert au travail d équipe, de coopération et de respect mutuel. 2. CHAMP D APPLICATION La présente politique s applique à tout le personnel de l établissement, personnel syndiqué et non syndiqué, cadres intermédiaires, supérieurs et hors-cadres, médecins, dentistes, pharmaciens, résidents en médecine, et à toute personne qui œuvre à titre de bénévole ou de stagiaire ou en vertu d un contrat de services. Elle s applique aussi à tous les usagers, résidants ou non-résidants, et aux membres de leur famille ou à leur représentant. Enfin, elle s applique aux relations avec des personnes de l extérieur dans le cadre du travail : fournisseurs, ambulanciers, sous-traitants et visiteurs. Approuvée par : Le conseil d administration Date : En vigueur le : Modifiée le :

2 Page 2 sur OBJECTIFS GÉNÉRAUX En regard de la diminution des conflits et de l élimination du harcèlement et de la violence dans le milieu, le Centre de santé et de services sociaux des Etchemins vise à : Offrir un milieu et de soins exempt de conflits, de harcèlement et de violence sous toutes ses formes; Éliminer et prévenir les conduites répréhensibles; Sensibiliser les personnes travaillant dans l établissement ou traitant avec l établissement aux conséquences des conflits en milieu pouvant générer du harcèlement et de la violence; Assurer à toute personne le droit d être traitée en toute équité, avec civisme, respect, sans abus ni discrimination; Soutenir les personnes qui vivent des conflits ou qui croient être victimes de harcèlement ou de violence par la mise en place de mécanismes d aide et de traitement des plaintes accessibles, simples et efficaces. 4. DÉFINITION DES TERMES Conflit «Qu il soit manifeste ou latent, un conflit peut se définir comme une opposition entre des personnes ou des groupes. Dans le contexte de la présente politique, il signifie toute forme de discorde, d antagonisme ou de tiraillement impliquant deux personnes ou plus, dont les conséquences négatives sur le milieu ou sur les individus sont palpables.» Harcèlement «Soumettre sans répit à de petites attaques réitérées, à de rapides assauts incessants.» Harcèlement psychologique «Une conduite vexatoire se manifestant soit par des comportements, des paroles, des actes ou des gestes répétés, qui sont hostiles ou non désirés, laquelle porte atteinte à la dignité ou à l intégrité psychologique ou physique du salarié et qui entraîne, pour celui-ci, un milieu néfaste. Une seule conduite grave peut aussi constituer du harcèlement psychologique si elle porte atteinte et produit un effet nocif continu pour le salarié.» (Art L.N.T.) Harcèlement sexuel «Une conduite se manifestant par des paroles, des actes ou des gestes à connotation sexuelle, généralement répétés ou non désirés, et qui est de nature à porter atteinte à la dignité ou à l intégrité physique ou psychologique de la

3 Page 3 sur 21 personne ou de nature à compromettre un droit, à entraîner pour elle des conditions défavorables ou une mise à pied ou un congédiement.» Harcèlement selon les autres motifs «Une conduite se manifestant, entre autres, par des paroles ou des gestes généralement répétés, à caractère vexatoire ou méprisant, à l égard d une personne ou d un groupe de personnes, en raison de l un des autres motifs énumérés à l article 10 de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec, dont notamment la race, le sexe, la couleur, le handicap, la grossesse, l orientation sexuelle, l état civil, l âge, la religion, les convictions politiques, la langue, l origine ethnique ou nationale, la condition sociale.» Violence «Caractère de ce qui se manifeste, se produit ou produit ses effets avec une force intense, extrême, brutale.» Violence physique «Le concept de violence physique réfère à l usage de brutalité (menaces, coups ou contraintes physiques) à l égard d une ou plusieurs personnes de son entourage dans le but d intimider et de contraindre ou à l endroit d objets.» 5. LE CADRE ADMINISTRATIF D autres mécanismes ou règlements existent dans l établissement eu égard aux plaintes, incidents et accidents ou précisant des comportements attendus du personnel, des usagers ou des personnes externes à l organisation, notamment : Le code d éthique; La philosophie d harmonisation des relations humaines; Le règlement sur la procédure d examen des plaintes des usagers (AG-3); Le règlement relatif à la divulgation de l information nécessaire à un usager à la suite d un accident (SC-23); La politique (RH-16) pour le signalement de comportements jugés inacceptables auprès des personnes vulnérables dans nos différents programmes. Certains principes directeurs réitèrent les droits des gestionnaires quant à : Exercer leur autorité de façon respectueuse et non abusive; Fixer des objectifs, attribuer des tâches, évaluer le rendement, donner des conseils et faire respecter la discipline;

4 Page 4 sur 21 Instaurer toute mesure nécessaire au fonctionnement du service dont ils ont la responsabilité; et les droits des employés et des gestionnaires quant à : Être traités avec respect, équité et dignité et évoluer dans un milieu exempt de toute forme de conflit, de harcèlement et de violence; Être informés de l existence d une politique sur le sujet et de se voir reconnaître le droit de déposer une plainte formelle en suivant les procédures en place. 6. ENGAGEMENT DU CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DES ETCHEMINS Promouvoir une franche communication pour trouver des solutions aux conflits et appliquer rapidement ces solutions; Faire régner à l intérieur de l établissement un climat favorisant la confiance, l entraide et le respect mutuel, propice à la créativité, à la qualité des services et à l épanouissement de l ensemble du personnel; Ne tolérer aucune forme de harcèlement, de violence ou de discrimination; Prendre toutes les mesures dissuasives nécessaires pour éviter une violation des droits de la personne et apporter les correctifs qui s imposent selon les situations; Voir à ce qu aucun préjudice ne soit subi par une personne qui croit subir du harcèlement ou de la violence et qui dépose une plainte en vertu de la présente politique ni à ce que des représailles ne soient exercées contre elle; Préserver la confidentialité des renseignements relatifs à une plainte ainsi que l identité des personnes impliquées, à moins que les renseignements ne soient nécessaires au traitement de la plainte, à la conduite d une enquête, à l imposition de sanctions ou requis par la loi. 7. RÔLES ET RESPONSABILITÉS Le conseil d administration : Entérine la présente politique; Reçoit du commissaire local aux plaintes et à la qualité des services et transmet à l ordre professionnel concerné une plainte de harcèlement ou une dénonciation de violence physique envers un usager à l encontre d un employé de l établissement ou d un médecin, dentiste, pharmacien, membre d un ordre professionnel, si la plainte est jugée grave par le conseil d administration;

5 Page 5 sur 21 Reçoit un rapport trimestriel sur les plaintes, les recommandations, les mesures correctives, ainsi que les signalements (Politique RH-16), rédigé par le responsable - Politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu ; Reçoit et traite toute plainte de harcèlement et toute dénonciation de violence dont fait l objet la directrice générale. Le commissaire local aux plaintes et à la qualité des services (art. 30 et suivants de la Loi sur les services de santé et les services sociaux, en matière de plainte de harcèlement ou de violence) : Reçoit toute plainte des usagers ou des héritiers ou des représentants légaux d un usager décédé (verbales ou écrites) et procède à l examen de chacune d elles; Reçoit toute plainte des usagers et de toute autre personne concernant un médecin, dentiste, pharmacien ou résident en médecine et la transmet sans délai au médecin examinateur; Applique la procédure d examen des plaintes des usagers; Prête assistance à l usager ou aux héritiers ou aux représentants légaux d un usager décédé pour formuler la plainte; Rédige annuellement un rapport sur l examen des plaintes des usagers à transmettre au conseil d administration; Transmet au conseil d administration toute plainte de harcèlement ou de violence d un usager à l encontre d un employé de l établissement ou d un médecin, dentiste, pharmacien, membre d un ordre professionnel. Le médecin examinateur (art. 42 et suivants de la Loi sur les services de santé et les services sociaux, en matière de plainte de harcèlement ou de violence) : Reçoit du commissaire local aux plaintes et à la qualité des services une plainte en provenance d un usager ou de toute autre personne concernant un médecin, un dentiste, un pharmacien ou un résident en médecine; Procède à l examen de toute plainte concernant un médecin, un dentiste, un pharmacien, un résident en médecine, formulée par un usager ou toute autre personne. Le gestionnaire : Doit promouvoir un environnement sain et exempt de conflits, de harcèlement et de violence. Pour ce faire, il : - donne l exemple en adoptant un comportement respectueux; - fait régner, dans sa direction ou son service et avec ses collègues, une ambiance favorable à une bonne communication et à l épanouissement du personnel sous sa responsabilité;

6 Page 6 sur 21 - prend les mesures nécessaires pour régler tout conflit, harcèlement ou violence dont il a connaissance ou qu on lui rapporte; - s assure que les gestionnaires ou les employés sous sa responsabilité reçoivent la formation nécessaire en matière de prévention et de gestion des conflits, de harcèlement et de violence en milieu ; Informe l ensemble de son personnel sur le contenu de la présente politique et sur les mécanismes en découlant; Apporte son aide à tous les employés, sans exception, pour résoudre les conflits et les problèmes de harcèlement ou de violence; Intervient rapidement pour mettre fin à tout conflit, harcèlement ou violence dès qu il est au courant d une telle situation; Gère le personnel sous sa responsabilité dans le respect des droits de la personne et en toute équité; Le cas échéant, achemine au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services toute plainte d un usager ou des héritiers ou représentants légaux d un usager décédé; Collabore à toute enquête relative à une plainte en matière de harcèlement ou de violence; Prend les mesures nécessaires pour assurer la santé, la sécurité et l intégrité physique de son personnel; Remplit le formulaire (AH-223) en vigueur dans l établissement pour tout incident ou accident impliquant un usager; Remplit le formulaire déclaration d acte de violence physique impliquant des membres du personnel. (annexe 2). La directrice générale : Nomme le responsable de l application de la présente politique; Avise par écrit l ordre professionnel concerné, lorsqu un employé ou un médecin, un dentiste, ou un pharmacien membre d un ordre professionnel reçoit des mesures disciplinaires à la suite d une plainte d un usager ou de tout membre du personnel, le cas échéant; Reçoit le rapport d enquête du comité de gestion des plaintes; S assure de l application de la présente politique; S assure que les gestionnaires sous sa responsabilité prennent toutes les mesures nécessaires pour protéger la santé, la sécurité et l intégrité physique de leur personnel.

7 Page 7 sur 21 Le directeur des ressources humaines et informationnelles: Entreprend des activités de sensibilisation, d information et de prévention continue auprès de l ensemble du personnel; Recommande à la directrice générale une personne responsable de l application de la politique et des mécanismes de gestion des conflits, des plaintes de harcèlement et de violence; Soutient les gestionnaires dans la recherche de moyens pour gérer et éliminer les conflits; S assure de la collaboration des associations de cadres et des syndicats; Collabore à l enquête concernant une plainte mettant en cause un employé de l établissement; Offre aux gestionnaires et aux membres du comité de gestion des plaintes de harcèlement la formation requise pour l accomplissement de leurs responsabilités en matière de prévention des conflits et de gestion des plaintes de harcèlement et de violence; Informe le commissaire local aux plaintes et à la qualité des services et la directrice générale de l issue de la plainte d un usager qui soulève une question d ordre disciplinaire et, le cas échéant, de toute mesure disciplinaire prise à l égard du membre du personnel concerné; Reçoit le rapport d enquête du comité de gestion des plaintes. Le responsable du comité des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP) : Collabore à l enquête du médecin examinateur concernant une plainte mettant en cause un médecin, un dentiste, un pharmacien ou un résident en médecine; S assure que tous les médecins, les dentistes, les pharmaciens et les résidents en médecine oeuvrant dans l établissement prennent connaissance de la présente politique et la respectent. La directrice des soins infirmiers (DSI): Collabore à l enquête concernant une plainte mettant en cause un usager ou un gestionnaire ainsi qu une plainte déposée par un membre de la famille d un usager ou d un visiteur; S assure de la diffusion de la politique auprès du personnel infirmier.

8 Page 8 sur 21 Les responsables des services financiers, des services techniques et d hôtellerie : S assurent que tous les fournisseurs et les sous-contractants avec l établissement prennent connaissance de la présente politique et s engagent à la respecter; Intègrent dans tous les contrats avec l externe une clause mentionnant que l établissement n accepte aucune forme de harcèlement ou de violence envers les employés ou les usagers. Participent à l enquête concernant une plainte mettant en cause un fournisseur, un sous-contractant, un gestionnaire ou un employé sous leur responsabilité; S assurent de la diffusion de la politique auprès de leur personnel. Le personnel : Donne l exemple en adoptant un comportement respectueux; Prend connaissance de la présente politique; Respecte la politique; Contribue au maintien d un climat où règnent la confiance et le respect mutuel; Favorise l entraide et la bonne entente; Participe aux séances d information et de sensibilisation sur la prévention des conflits, du harcèlement et de la violence; Évite de déposer des plaintes frivoles, vexatoires ou empreintes de mauvaise foi; Respecte les droits de la personne et met en application le code d éthique de l établissement; Collabore à toute enquête relative à une plainte en matière de harcèlement ou de violence; Signale, à son supérieur immédiat, toute forme de conflit, de harcèlement ou de violence dont il est témoin ou qu il subit. Les syndicats et les associations de cadres : Donnent l exemple en adoptant un comportement respectueux; Informent leurs membres relativement au contenu de la présente politique; Encouragent leurs membres à respecter la présente politique; Font la promotion auprès de leurs membres des activités de prévention des conflits, du harcèlement et de la violence;

9 Page 9 sur 21 Collaborent lorsque nécessaire à toute enquête relative à une plainte en matière de harcèlement et de violence; Participent aux différentes instances mises en place dans l établissement pour résoudre les conflits dans le milieu et éliminer le harcèlement et la violence; Adoptent et mettent en pratique, dans leurs fonctions de représentants des employés et des cadres, des attitudes et des comportements qui respectent la présente politique. Le responsable Politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu : Voit à l application de la politique et des mécanismes de gestion des conflits, des plaintes de harcèlement et de violence et fait des recommandations à qui de droit; Organise des séances de sensibilisation et de formation en gestion des conflits, des plaintes de harcèlement et de la violence; Assure un soutien aux gestionnaires et aux directeurs en matière de gestion des conflits en milieu ; Aide les employés à résoudre les conflits et les problèmes susceptibles d entraîner du harcèlement ou de la violence en milieu ; Voit à l application de la procédure de médiation prévue dans le mécanisme de gestion des plaintes de harcèlement; Transmet au comité de gestion des plaintes, pour fins d enquête, toute plainte de harcèlement non-réglée; Préside le comité de gestion des plaintes de harcèlement; Assure le suivi des enquêtes et des recommandations; Collabore à toute demande du commissaire local aux plaintes et à la qualité des services dans le cas d une plainte d un usager pour harcèlement ou violence de la part d un membre du personnel ou de toute autre personne; Administre les mécanismes mis en place par l établissement dans le respect des personnes, de la confidentialité et de l impartialité; Reçoit le rapport d enquête du comité de gestion des plaintes; Produit un rapport trimestriel au conseil d administration sur les plaintes, les recommandations et les mesures correctives ainsi que les activités du comité de gestion des plaintes de harcèlement.

10 Page 10 sur 21 Le comité de gestion des plaintes de harcèlement : Chaque membre du comité est habilité à faire enquête sur une plainte de harcèlement à l exception d une plainte d un usager ou d une plainte à l encontre d un médecin, d un dentiste, d un pharmacien ou d un résident en médecine; Fait des recommandations à la direction générale, au directeur des ressources humaines et informationnelles et au responsable - politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu à la suite de l enquête pour plainte de harcèlement; Rend une décision écrite aux parties : plainte fondée on non fondée; Veille à ce que les personnes mises en cause par une plainte aient accès à de l aide et à des conseils appropriés; Assure la confidentialité des documents et des informations à la suite d une enquête; Selon la gravité de la situation, recommande des mesures appropriées en cours d enquête. Composition du comité : le responsable - politique sur la prévention et la gestion des ; une personne représentant les professionnels; une personne représentant les techniciens; une personne représentant le personnel de soutien une personne représentant le personnel de gestion; le comité peut s adjoindre toute personne reconnue pour son expertise en relation d aide.

11 Page 11 sur 21 B. LES MÉCANISMES POUR PRÉVENIR ET GÉRER LES CONFLITS, LE HARCÈLEMENT ET LA VIOLENCE 1. PROCESSUS DE GESTION DES CONFLITS Intervention informelle 2. MÉCANISME DE GESTION DES PLAINTES DE HARCÈLEMENT Intervention formelle 3. MÉCANISME DE GESTION DE LA VIOLENCE PHYSIQUE Intervention formelle 1. PROCESSUS DE GESTION DES CONFLITS (Intervention informelle) Le processus de gestion des conflits proposé est un processus informel permettant de résoudre le plus rapidement possible le conflit qui émerge entre deux ou plusieurs personnes, et ce, avant qu il ne dégénère. Pour des cas d allégation de harcèlement sans plainte formelle, le mécanisme de gestion des conflits doit être appliqué. ÉTAPE 1 : INTERVENTION DU SUPÉRIEUR IMMÉDIAT (S IL N EST PAS LUI-MÊME MIS EN CAUSE OU EN CONFLIT D INTÉRÊT). IL PEUT : Inciter la personne qui se croit offensée ou humiliée à communiquer avec l autre personne afin de l en aviser et ainsi de tenter de régler le problème immédiatement; Participer à la rencontre, si les acteurs mis en cause l acceptent, afin de faciliter l entretien; Tenir une réunion de l équipe afin de discuter du conflit en cause s il s agit d un problème de groupe; Offrir une session de sensibilisation sur le comportement approprié à adopter en milieu ;

12 Page 12 sur 21 Suggérer à la personne qui se croit offensée ou humiliée d écrire à l autre personne si elle est incapable d avoir un entretien avec elle; Suggérer à la personne qui se croit offensée ou humiliée de prendre des notes sur les comportements inadmissibles de l autre personne; Rencontrer l auteur du comportement reproché, avoir avec lui une discussion franche et confidentielle, et lui demander de modifier immédiatement son comportement. S assurer qu il comprend bien la situation et l inciter à s expliquer calmement avec la personne et, s il le faut, à s excuser auprès de la personne offensée; Demander la participation du directeur concerné pour une rencontre individuelle ou de groupe, selon le cas. Si le gestionnaire est mis en cause ou se trouve en conflit d intérêt, l intervention du directeur est privilégiée et les mêmes efforts de règlement rapide doivent être déployés. ÉTAPE 2 : SI LE CONFLIT PERSISTE, INTERVENTION DU DIRECTEUR DU SECTEUR CONCERNÉ QUI PEUT : Rencontrer les personnes en cause et tenter une réconciliation; Demander l aide d un intervenant du PAE. ou de tout autre professionnel en prévention des conflits que l établissement met à la disposition du personnel; Demander l aide du responsable de la politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de violence en milieu. ÉTAPE 3 : SI LE CONFLIT PERSISTE TOUJOURS, INTERVENTION DU RESPONSABLE POLITIQUE SUR LA PRÉVENTION ET LA GESTION DES CONFLITS, DU HARCÈLEMENT ET DE LA VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL. IL PEUT PROCÉDER COMME SUIT : Informer la personne visée de la situation de conflit; Examiner avec les deux parties toutes les possibilités qui s offrent à elles; Aider les parties à se mettre d accord sur les faits inhérents au conflit et sur les moyens de le régler; Agir comme personne ressource si les deux parties sont d accord. Pour ce faire, il établit et maintient le dialogue, aide les parties à s exprimer, cerne les différends à régler et suggère des modes de règlement possibles.

13 SHÉMA DU PROCESSUS DE GESTION DES CONFLITS (Intervention informelle) Intervention préventive du gestionnaire (supérieur immédiat) Incite le dialogue entre la ou les personnes en cause dans le conflit Participe à la rencontre pour faciliter l entretien Peut tenir une réunion d équipe pour discuter du conflit Offre des sessions de sensibilisation aux comportements appropriés en milieu Peut suggérer à la personne offensée d écrire à l autre personne, de prendre des notes sur les comportements de l autre personne Émergence d un conflit entre membres du personnel Intervention du directeur concerné à la demande du gestionnaire ou de la personne offensée ou humiliée Rencontre les personnes en cause et tente la réconciliation Demande l aide d un intervenant du PAE ou de tout autre professionnel en prévention des conflits que l établissement met à la disposition du personnel Demande l aide du responsable politique sur la prévention et la gestion des conflits du harcèlement et de la violence en milieu de travail Intervention du responsable politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu de travail à la demande du directeur ou de la personne offensée ou humiliée Informe les parties d une demande d intervention Examine avec les parties toutes les possibilités qui s offrent à elles Invite les parties à se mettre d accord sur les faits inhérents au conflit et sur les moyens de le régler Tente d établir et de maintenir le dialogue, cerne les différends à régler et suggère des modes de règlement possibles Page 13 sur 21 GESTION DES RESSOURCES HUMAINES

14 Page 14 sur MÉCANISME DE GESTION DES PLAINTES DE HARCÈLEMENT (Intervention formelle) Lorsque les moyens informels ont été utilisés, mais en vain, la personne plaignante membre du personnel (syndiquée, syndicable non syndiquée, cadre, hors-cadre) peut choisir : De déposer sa plainte selon le mécanisme de gestion des plaintes de harcèlement proposé ci-après; Ou de déposer un grief (si personnel syndiqué); Ou les deux procédures (si personnel syndiqué). Il est fortement suggéré que la présumée victime recoure au mécanisme ci-après décrit : ÉTAPE 1 : Le dépôt d une plainte La personne qui se croit victime de harcèlement doit déposer sa plainte par écrit au responsable - politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu en utilisant le «formulaire de plainte» (en annexe 1). Lorsqu il reçoit une plainte formelle, le responsable de la politique : Accuse réception par écrit (délai de cinq jours ouvrables); Analyse les faits allégués pour s assurer qu ils correspondent aux définitions de harcèlement contenues dans la politique en vigueur dans l établissement; Avise, sans délai, la personne visée de la réception d une plainte à son égard et lui communique la teneur des allégations; Dirige le plaignant vers les instances appropriées après l avoir avisé que la plainte ne correspond pas aux définitions de harcèlement (exemple : un problème de relations ); Suggère la médiation aux parties lorsque la plainte correspond aux définitions de harcèlement. ÉTAPE 2 : La médiation Le responsable de la politique propose des rencontres aux parties dans le cadre de la médiation;

15 Page 15 sur 21 Le processus de médiation ne peut s étendre au-delà de 15 jours ouvrables suivant la date du dépôt de la plainte écrite, à moins de prolongation convenue entre les parties; Le médiateur est une personne-ressource d un organisme externe compétent en la matière; Le médiateur tente de régler à l amiable la plainte de harcèlement, et ce, à la satisfaction des deux parties; Lorsque la médiation s avère infructueuse, le responsable de la politique transfère le dossier de la plainte au comité de gestion des plaintes de harcèlement. ÉTAPE 3 : L enquête Le comité de gestion des plaintes de harcèlement : Procède à l enquête, qui doit se tenir dans un délai maximum de 45 jours ouvrables à compter du dépôt de la plainte de harcèlement; Rencontre individuellement le plaignant et la personne mise en cause; Rencontre les témoins; Rédige un rapport d enquête et le transmet au responsable de la politique sur la prévention et la gestion des conflits, du harcèlement et de la violence en milieu, au directeur des ressources humaines et informationnelles et à la directrice générale; Envoie une décision écrite et motivée aux parties. Selon les résultats de l enquête, quatre possibilités sont envisageables : La plainte est fondée; La plainte est fondée avec harcèlement des deux parties; La plainte n est pas fondée; La plainte est vexatoire ou a été faite de mauvaise foi. Le directeur des ressources humaines et informationnelles et la directrice générale doivent se prononcer sur les conséquences et sur les mesures disciplinaires appropriées, s il y a lieu. Les mesures prises doivent être proportionnelles à la gravité de l acte reproché.

16 Page 16 sur 21

17 Page 17 sur LES SITUATIONS PARTICULIÈRES EN MATIÈRE DE PLAINTE DE HARCÈLEMENT a) Plainte d un membre du personnel à l encontre d un médecin, dentiste, pharmacien ou résident en médecine La plainte doit être déposée au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services qui verra à transmettre la plainte au médecin examinateur 1 La procédure à suivre est celle définie à la section II de la Loi sur les services de santé et les services sociaux. Inversement si la plainte provient d un médecin, dentiste, pharmacien ou résident en médecine à l encontre d un membre du personnel, le mécanisme prévu à la présente politique doit être suivi. Il peut également déposer sa plainte devant d autres instances légales. b) Plainte d un membre du personnel à l encontre d un bénévole La plainte doit être déposée selon le mécanisme prévu à la présente politique lorsqu un bénévole est partie prenante (victime ou personne harcelante) dans une plainte de harcèlement. Le bénévole qui se croit victime de harcèlement peut toutefois déposer sa plainte devant d autres instances légales. c) Plainte d un membre du personnel à l encontre d un fournisseur ou sous-traitant La plainte doit être déposée selon le mécanisme prévu à la présente politique lorsqu un fournisseur ou un sous-traitant est partie prenante (victime ou personne harcelante) dans une plainte de harcèlement. Le fournisseur ou le sous-traitant qui se croit victime de harcèlement peut toutefois déposer sa plainte devant d autres instances légales. d) Plainte d un membre du personnel à l encontre d un visiteur ou membre de la famille d un usager Un membre du personnel qui croit être harcelé par un visiteur ou un membre de la famille d un usager doit obligatoirement en aviser son supérieur immédiat. Ce dernier applique les mécanismes prévus en matière de gestion des conflits et des plaintes de harcèlement prévus à la présente politique. 1 La loi sur les services de santé et les services sociaux stipule que toute plainte adressée contre un médecin, un dentiste, un pharmacien ou un résident en médecine est déposée auprès du commissaire local aux plaintes et à la qualité des services d un établissement qui transmettra la plainte au médecin examinateur nommé par le conseil d administration sur recommandation du CMDP.

18 Page 18 sur 21 Inversement, un visiteur ou un membre de la famille d un usager peut porter une plainte pour harcèlement de la part d un membre du personnel. Il doit alors procéder selon le mécanisme prévu à la présente politique et le supérieur immédiat de l employé en est avisé. Le visiteur ou le membre de la famille d un usager peut également déposer sa plainte devant d autres instances légales. e) Plainte d un membre du personnel à l encontre d un usager La plainte doit être déposée selon le mécanisme prévu à la présente politique. Inversement, un usager désireux de déposer une plainte pour harcèlement contre un membre du personnel, doit la déposer au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services qui examinera la plainte.

19 Page 19 sur 21 TABLEAU DES SITUATIONS PARTICULIÈRES À L OCCASION D UNE PLAINTE DE HARCÈLEMENT DANS LES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX ACTEUR MIS EN CAUSE PROCÉDURES APPLICABLES VICTIME Personnel ou toute autre personne Personnel ou toute autre personne Personnel Médecin, Dentiste, Pharmacien, Résident en médecine Bénévole, Fournisseur, Sous-traitant, Visiteur Membre de famille de l usager VICTIME Usager Usager Usager PERSONNE HARCELANTE Médecin Dentiste Pharmacien Résident en médecine Bénévole Fournisseur Sous-traitant Visiteur Membre de la famille d un usager Usager Personnel PERSONNE HARCELANTE Personnel Personnel professionnel au sens du Code des professions Médecin Dentiste Pharmacien INTERNE Plainte déposée au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services de l établissement et transférée au médecin examinateur et grief si le personnel impliqué est syndiqué. Plainte au responsable du mécanisme de gestion des plaintes de harcèlement de l établissement et/ou grief si le personnel impliqué est syndiqué. Plainte au responsable du mécanisme de gestion des plaintes de harcèlement de l établissement et/ou grief si le personnel impliqué est syndiqué. Plainte au responsable du mécanisme de gestion des plaintes de harcèlement de l établissement. INTERNE Plainte au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services de l établissement. Plainte au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services de l établissement. Plainte au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services de l établissement et transférée au médecin examinateur. EXTERNE Autres recours possibles devant les tribunaux. Autres recours possibles devant les tribunaux Autre recours possibles devant les tribunaux Autres recours possibles devant les tribunaux EXTERNE Protecteur des usagers Autres recours possibles devant les tribunaux Protecteur des usagers. Autres recours possibles devant les tribunaux. Plainte disciplinaire à l ordre professionnel visé. Autres recours possibles devant les tribunaux. Plainte disciplinaire devant le comité de discipline de l ordre visé.

20 Page 20 sur 21 Usager Résident en médecine Plainte au commissaire local aux plaintes et à la qualité des services de l établissement et transférée au médecin examinateur. Autres recours possibles devant les tribunaux. Demande de révocation du certificat d immatriculation auprès du Collège des médecins du Québec 3. MÉCANISME DE GESTION DE LA VIOLENCE PHYSIQUE (Intervention formelle) 1) Violence physique envers un usager Lorsqu il y a acte de violence envers un usager, la présente politique doit être suivie. À cet effet, une déclaration (sur le formulaire d incident-accident ASSTSASS) doit être déposée par la personne qui constate cet acte de violence, auprès du gestionnaire en charge de l usager qui doit en remettre une copie au responsable de l application de la présente politique. Suivant cette déclaration, une enquête est amorcée par le gestionnaire qui a la responsabilité de prendre les mesures nécessaires pour corriger la situation. Une copie du rapport d enquête et des mesures prises est transmise au responsable de l application de la politique Lorsqu un membre du personnel est en cause, une intervention de la direction des ressources humaines et informationnelles est nécessaire pour assister le gestionnaire dans l enquête et pour s assurer d appliquer, lorsqu indiqué, les mesures disciplinaires ou administratives appropriées. 2) Violence physique d un usager envers un membre du personnel Lorsque survient un acte de violence d un usager envers un membre du personnel, les procédures suivantes sont utilisées : Si possible, tenter de désamorcer la crise : - Évaluer la situation; - Demander de l aide (intervention du personnel en place); - Utiliser le code d urgence; - Appeler le service de police lorsque la situation l exige ou ne peut être contrôlée; - Le gestionnaire avise le responsable de l application de la politique de la situation. Intervention du gestionnaire auprès de l usager : - Avis à l usager de l inadmissibilité de son comportement; - Évaluation du plan de soins, si nécessaire. Intervention rapide du gestionnaire auprès de l employé : - Premiers soins (s il y a lieu);

21 Page 21 sur 21 - Retour post-incident; - Proposition de mesures de soutien, PAE, aide juridique; - Déclaration d incident ou d accident (sur le formulaire d incident- accident AH-223); - Enquête du fait accidentel; - Recommandations; - Recours au service de santé (s il y a blessure); - Déclaration à la CSST (s il y a lieu) en remplissant le formulaire ASSTSAS. Transmission du rapport d enquête à la direction concernée et au directeur des ressources humaines et informationnelles. Intervention du gestionnaire avec l équipe en place : - Retour post-incident; - Système d identification du potentiel de dangerosité du client; - Revue de l aménagement sécuritaire; - Évaluation des cas, révision du partage des cas à risque afin de ne pas les regrouper dans une seule équipe. 3) Violence physique d un membre du personnel envers un autre membre du personnel Le gestionnaire témoin d un acte de violence physique impliquant des membres du personnel doit remplir le formulaire de déclaration (annexe 2). De même, la personne témoin de violence physique d un membre du personnel envers un autre membre du personnel doit en informer le gestionnaire concerné qui doit remplir le formulaire de déclaration d acte de violence physique impliquant des membres du personnel, (annexe 2). Dans les deux situations, une copie doit parvenir au responsable de l application de la politique. Le gestionnaire doit ensuite informer la direction des ressources humaines et informationnelles de l événement. Celle-ci assistera le gestionnaire dans l enquête et s assurera d appliquer, lorsqu indiqué, les mesures disciplinaires ou administratives appropriées. Une copie du rapport d enquête et des mesures prises est transmise au responsable de l application de la politique.

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables

Plus en détail

Le harcèlement psychologique au travail

Le harcèlement psychologique au travail COMMISSION DES NORMES DU TRAVAIL Le harcèlement psychologique au travail COMPRENDRE PRÉVENIR COMPRENDRE Au Québec, chaque salarié a droit à un milieu de travail où il n y a pas de harcèlement psychologique.

Plus en détail

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail

Plus en détail

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137» LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet

Plus en détail

Violence au travail Un organisme national

Violence au travail Un organisme national Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence

Plus en détail

Consultez-nous. Traiter votre plainte par la résolution locale

Consultez-nous. Traiter votre plainte par la résolution locale Consultez-nous Traiter votre plainte par la résolution locale 2 Table des matières Qu est-ce que le Bureau du directeur indépendant de l examen de la police?...3 Qu est-ce que la résolution locale?...

Plus en détail

Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR

Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR Politique en matière de respect de la dignité de la personne au travail La BEI vise à offrir un environnement de travail favorable, qui aide et encourage

Plus en détail

European School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels

European School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels European School Brussels II Avenue Oscar Jespers 75 1200 Brussels Toute forme de harcèlement, qu il soit verbal, physique ou psychologique, est absolument inacceptable dans notre école. Ce document de

Plus en détail

Code à l intention des partenaires commerciaux

Code à l intention des partenaires commerciaux Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect

Plus en détail

Code de franc-jeu. du joueur LE FRANC-JEU, C EST L AFFAIRE DE TOUS

Code de franc-jeu. du joueur LE FRANC-JEU, C EST L AFFAIRE DE TOUS du joueur 1) Je jouerai au hockey de mon plein gré et non pour obéir à mon entourage ou à mes entraîneurs. 2) Je respecterai les règles et l esprit du jeu. 3) Je maîtriserai mon tempérament les bagarres

Plus en détail

POLITIQUE INTERCULTURELLE

POLITIQUE INTERCULTURELLE POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel

Plus en détail

Déléguée ou délégué : une fonction officielle

Déléguée ou délégué : une fonction officielle Déléguée ou délégué : une fonction officielle OCTOBRE 2007 Fédération des professionnelles et professionnels de l éducation du Québec (CSQ) site web: www.fppe.qc.ca ES-ND-0708-04 (6.3.2) La clause ou l

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. PARTIE 1 Des agissements destructeurs de la dignité humaine... 21. 1 Le droit et la psychologie à la rescousse de la victime...

TABLE DES MATIÈRES. PARTIE 1 Des agissements destructeurs de la dignité humaine... 21. 1 Le droit et la psychologie à la rescousse de la victime... TABLE DES MATIÈRES Préface.............................................................. V Remerciements.................................................... 3 Abréviations et explications......................................

Plus en détail

2.2.5 LA SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC

2.2.5 LA SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC 2.2.5 LA SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC 139 LA SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC La Société de l assurance automobile du Québec «a pour mission d assurer et de protéger les personnes

Plus en détail

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information CA 06-02-2015 Annexe 10.1 Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information Janvier 2015 2 1. PRÉAMBULE La Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) est une fédération

Plus en détail

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société

Plus en détail

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs Droits et obligations des travailleurs et des employeurs La Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) vise à assurer des conditions de santé et de sécurité minimales dans les entreprises québécoises.

Plus en détail

Code d Éthique ArcelorMittal

Code d Éthique ArcelorMittal Code d Éthique ArcelorMittal ArcelorMittal a une réputation d honnêteté et d intégrité dans ses pratiques de gestion ainsi que dans toutes les transactions commerciales. Pour la société, y compris chaque

Plus en détail

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL Les relations de travail sont révélatrices de l atmosphère qui règne au sein de votre entreprise. Le gestionnaire désirant obtenir de saines relations de travail se doit d être proactif dans ses actions.

Plus en détail

La mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1

La mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1 La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu

Plus en détail

Ce que les parents devraient savoir

Ce que les parents devraient savoir Renvoi : Ce que les parents devraient savoir Un climat positif à l école et un milieu d apprentissage et d enseignement sécuritaire sont indispensables à la réussite scolaire des élèves. Un climat positif

Plus en détail

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes

Plus en détail

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE «Nos valeurs et nos règles» pour nos partenaires commerciaux Code de conduite pour le partenaire commercial de MSD [Édition 1] MSD est engagée dans une démarche

Plus en détail

Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec.

Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec. Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec. Pour réaliser sa mission, le Ministère intervient dans les secteurs d activité suivants : les services de prévention et de lutte

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

Politique de sécurité de l information

Politique de sécurité de l information 5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Téléc. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca Politique de sécurité de l information Émise par la Direction, Gestion des

Plus en détail

Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation.

Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Chaque Matin... Chaque heure de MIDI... Chaque AprÈs-midi... Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Apprenez comment vous pouvez faire cesser l intimidation. Les communautés et les écoles

Plus en détail

PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean

PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence Justice alternative Lac-Saint-Jean Printemps 2013 OBJECTIFS Démystifier la problématique violence. Promouvoir les solutions pacifiques en matière de résolution de

Plus en détail

CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE

CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE Nicolae Cochinescu Juge à la Cour constitutionnelle de la Roumanie CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE 1. Conformément à l article 146 de la Constitution de la

Plus en détail

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un

Plus en détail

ARROW ELECTRONICS, INC.

ARROW ELECTRONICS, INC. 7459 South Lima Street Englewood, Colorado 80112 Aout 2013 P 303 824 4000 F 303 824 3759 arrow.com CODE DE CONDUITE DES PARTENAIRES COMMERCIAUX ARROW ELECTRONICS, INC. Cher partenaire commercial, Le succès

Plus en détail

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4

Plus en détail

Nouvelle demande de permis d agent ou de courtier d assurances I.A.R.D.

Nouvelle demande de permis d agent ou de courtier d assurances I.A.R.D. Nouvelle demande de permis d agent ou de courtier d assurances I.A.R.D. Réservé à l usage del organisme de réglementation Approuvé N o du permis Date de délivrance Date d expiration 1. Renseignements personnels

Plus en détail

COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE

COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de

Plus en détail

Code de Conduite des Fournisseurs de Microsoft

Code de Conduite des Fournisseurs de Microsoft Code de Conduite des Fournisseurs de Microsoft Microsoft aspire à être davantage qu une bonne entreprise elle souhaite être une grande entreprise. Pour atteindre cet objectif, nous nous sommes fixé pour

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

L ASSURANCE COLLECTIVE : LES DÉFIS ÉMERGEANTS. Présentation du 27 octobre 2008. Par Me MICHEL GILBERT GRONDIN POUDRIER BERNIER S.E.N.C.R.L.

L ASSURANCE COLLECTIVE : LES DÉFIS ÉMERGEANTS. Présentation du 27 octobre 2008. Par Me MICHEL GILBERT GRONDIN POUDRIER BERNIER S.E.N.C.R.L. L ASSURANCE COLLECTIVE : LES DÉFIS ÉMERGEANTS Présentation du 27 octobre 2008 Par Me MICHEL GILBERT GRONDIN POUDRIER BERNIER S.E.N.C.R.L. I- CONTRAT D ASSURANCE COLLECTIVE A) Définition du contrat d assurance

Plus en détail

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3 OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

Politique de sécurité de l actif informationnel

Politique de sécurité de l actif informationnel TITRE : Politique de sécurité de l actif informationnel Adoption par le conseil d administration : Résolution : CARL-130924-11 Date : 24 septembre 2013 Révisions : Résolution : Date : Politique de sécurité

Plus en détail

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non

Plus en détail

ACCORD DU 5 AVRIL 2006

ACCORD DU 5 AVRIL 2006 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 7501. CRÉDIT AGRICOLE (4 novembre 1987) ACCORD DU 5 AVRIL 2006 RELATIF AUX MODALITÉS D APPLICATION

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

Charte Éthique. de la Mutuelle Intégrance. Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance

Charte Éthique. de la Mutuelle Intégrance. Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance Charte Éthique de la Mutuelle Intégrance Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance Préambule La Mutuelle Intégrance est une mutuelle basée sur une solidarité militante. Celle d une mutuelle fondée par

Plus en détail

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui

Plus en détail

Règlement sur l utilisation et la gestion des actifs informationnels

Règlement sur l utilisation et la gestion des actifs informationnels Le texte que vous consultez est une codification administrative des Règlements de l'uqam. Leur version officielle est contenue dans les résolutions adoptées par le Conseil d'administration de l'uqam. La

Plus en détail

Liste des recommandations

Liste des recommandations RECOMMANDATIONS À TOUS LES MINISTÈRES ET ORGANISMES L EXERCICE DES POUVOIRS DISCRÉTIONNAIRES DE L ADMINISTRATION: Que lorsque, dans l exercice de ses pouvoirs discrétionnaires, l Administration prend une

Plus en détail

Chapitre 5. Déontologie des représentants en assurance de dommages

Chapitre 5. Déontologie des représentants en assurance de dommages Chapitre 5 Déontologie des représentants en assurance de dommages 5.1 Le maintien de la discipline C est la Chambre d assurance de dommages (Chad) qui est chargée de faire respecter la discipline. Une

Plus en détail

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.

Plus en détail

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines

Plus en détail

Politique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01

Politique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS

Plus en détail

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Banque européenne d investissement. Politique de signalement

Banque européenne d investissement. Politique de signalement POLITIQUE DE SIGNALEMENT DE LA BANQUE EUROPEENNE D INVESTISSEMENT INDEX I. INTRODUCTION... 2 I.1 Généralités... 2 I.2 Principes de base... 2 I.3 Portée de la Politique... 2 II. OBLIGATIONS DE SIGNALEMENT...

Plus en détail

Entente de reconnaissance mutuelle. entre. l Institute of Actuaries of Australia. l Institut canadien des actuaires

Entente de reconnaissance mutuelle. entre. l Institute of Actuaries of Australia. l Institut canadien des actuaires Entente de reconnaissance mutuelle entre l Institute of Actuaries of Australia et l Institut canadien des actuaires Entente de reconnaissance mutuelle TABLE DES MATIÈRES 1. CONTEXTE 1 2. CONDITIONS CONVENUES

Plus en détail

Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite -

Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite - Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite - Version 1.0 Principes et lignes directrices des entreprises de NIEDAX GROUP pour un management socialement responsable Page 1 sur 7 Charte des valeurs

Plus en détail

Règlement du Programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM. 1- Objectifs

Règlement du Programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM. 1- Objectifs Règlement du Programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM 1- Objectifs Le programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM a pour but de promouvoir l entreprenariat chez les jeunes avocats

Plus en détail

Section 3. Utilisation des ressources informatiques et du réseau de télécommunication

Section 3. Utilisation des ressources informatiques et du réseau de télécommunication SECTION 3 : ADMINISTRATION CENTRALE Titre de la procédure: Utilisation des ressources informatiques et du réseau de télécommunication Politique : En vertu de la politique 3.1 : Relations : La direction

Plus en détail

ENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE

ENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE ENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE www.fc-csn.ca BV5087F (2014-09) La force du nombre Depuis 1988, la Fédération du commerce (CSN) et son partenaire, SSQ Groupe financier, allient leurs forces et leur expertise

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se

Plus en détail

Politique Utilisation des actifs informationnels

Politique Utilisation des actifs informationnels Politique Utilisation des actifs informationnels Direction des technologies de l information Adopté le 15 octobre 2007 Révisé le 2 juillet 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. OBJECTIFS... 3 2. DÉFINITIONS... 3

Plus en détail

L utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes

L utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes L utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes Table des matières 1. Objet de la politique... 4 2. Cadre légal et règlementaire...

Plus en détail

CODE DE CONDUITE CONFORMITÉ AUX EXIGENCES JURIDIQUES

CODE DE CONDUITE CONFORMITÉ AUX EXIGENCES JURIDIQUES CODE DE CONDUITE LE PRÉSENT CODE DE CONDUITE EST FONDÉ SUR LES VALEURS DE GMI- DISTRIBUTION. IL A POUR OBJET DE GARANTIR QUE L ENSEMBLE DES EMPLOYÉS, DES GESTIONNAIRES ET DES DIRIGEANTS DE GMI-DISTRIBUTION

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

Pour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.

Pour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire. Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation

Plus en détail

4./4/14 DE DROIT AÉRIEN. (Montréal, 26 CONVENTION SURVENANT. (12 pages) 14-1044 DCTC_WP_DCTC_

4./4/14 DE DROIT AÉRIEN. (Montréal, 26 CONVENTION SURVENANT. (12 pages) 14-1044 DCTC_WP_DCTC_ DCTC Doc n o 33 4./4/14 CONFÉRENCE INTERNATIONALE DE DROIT AÉRIEN (Montréal, 26 mars 4 avril 2014) TEXTE REFONDU DE LA CONVENTION RELATIVE AUX INFRACTIONS ET À CERTAINS AUTRES ACTES SURVENANT À BORD DES

Plus en détail

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue anglaise régira à tous égards vos droits et obligations. L

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

_Règlement Caritas Protection des enfants

_Règlement Caritas Protection des enfants _Règlement Caritas Protection des enfants 2 Convaincus que les enfants ont le droit d être protégés et stimulés dans leur développement, respectés comme des acteurs indépendants et associés aux décisions,

Plus en détail

PROTOCOLE A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES RELATIF AUX DROITS DES FEMMES

PROTOCOLE A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES RELATIF AUX DROITS DES FEMMES PROTOCOLE A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES RELATIF AUX DROITS DES FEMMES 1 PROTOCOLE A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES, RELATIF AUX DROITS DE LA FEMME

Plus en détail

discrimination directe Membres du CET enjoindre à discrimination indirecte harcèlement www.cet.lu www.cet.lu

discrimination directe Membres du CET enjoindre à discrimination indirecte harcèlement www.cet.lu www.cet.lu www.cet.lu Principe de l égalité de traitement La législation luxembourgeoise consacre le principe de l égalité de traitement et protège contre toute discrimination directe ou indirecte fondée sur : l

Plus en détail

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec

Plus en détail

CODIFICATION ADMINISTRATIVE DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES ENTRE POUR LE QUÉBEC :

CODIFICATION ADMINISTRATIVE DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES ENTRE POUR LE QUÉBEC : Ce document n a pas valeur officielle CODIFICATION ADMINISTRATIVE DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES ENTRE POUR LE QUÉBEC : L ORDRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

Code d éthique et de conduite. Nous. nous engageons

Code d éthique et de conduite. Nous. nous engageons Code d éthique et de conduite Nous nous engageons Énoncé de la Mission de Bombardier Notre mission est d être le chef de file mondial dans la fabrication d avions et de trains. Nous nous engageons à fournir

Plus en détail

DÉCISION DU TIERS DÉCIDEUR. SPRL LES COMPTABLES ET FISCALISTES ASSOCIES / SPRL EKITAS CONSULTING Affaire N 44286 : cfabelgium.be

DÉCISION DU TIERS DÉCIDEUR. SPRL LES COMPTABLES ET FISCALISTES ASSOCIES / SPRL EKITAS CONSULTING Affaire N 44286 : cfabelgium.be CENTRE BELGE D ARBITRAGE ET DE MEDIATION DÉCISION DU TIERS DÉCIDEUR SPRL LES COMPTABLES ET FISCALISTES ASSOCIES / SPRL EKITAS CONSULTING Affaire N 44286 : cfabelgium.be 1. Les parties 1.1. Le Plaignant

Plus en détail

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale 2 Définitions Définitions Banque Bureau de l ombudsman Ombudsman Client Client commercial Client particulier Décision d affaires Décision

Plus en détail

Restaurant scolaire : règlement intérieur

Restaurant scolaire : règlement intérieur Mairie Restaurant scolaire : règlement intérieur d Artigueloutan 4, rue de la mairie 64420 Artigueloutan Le 24 mars 2014, Préambule Durant l année scolaire, un restaurant scolaire fonctionne dans le bâtiment

Plus en détail

MINISTÈRE DE L ÉDUCATION DES ÉTATS-UNIS. Bureau des Droits Civiques (BDC) Formulaire de plainte pour discrimination

MINISTÈRE DE L ÉDUCATION DES ÉTATS-UNIS. Bureau des Droits Civiques (BDC) Formulaire de plainte pour discrimination MINISTÈRE DE L ÉDUCATION DES ÉTATS-UNIS 1. Saisissez les informations vous concernant. Bureau des Droits Civiques (BDC) Formulaire de plainte pour discrimination Prénom : Nom Adresse : Ville : État : Code

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

- La mise en cause d une personne déterminée qui, même si elle n'est pas expressément nommée, peut être clairement identifiée ;

- La mise en cause d une personne déterminée qui, même si elle n'est pas expressément nommée, peut être clairement identifiée ; E-réputation : la poursuite et les sanctions des propos injurieux ou diffamatoires sur internet Article juridique publié le 15/07/2014, vu 4483 fois, Auteur : MAITRE ANTHONY BEM L'injure et la diffamation

Plus en détail

CONVENTION DE STAGE - Master 2 en Sciences Biomédicales Cosmétologie FACULTE DE PHARMACIE

CONVENTION DE STAGE - Master 2 en Sciences Biomédicales Cosmétologie FACULTE DE PHARMACIE CONVENTION DE STAGE - Master 2 en Sciences Biomédicales Cosmétologie FACULTE DE PHARMACIE ENTRE : 1. L Université Libre de Bruxelles, institution universitaire dotée de la personnalité juridique en vertu

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Droit du travail - Jurisprudence. Inaptitude médicale résultant de faits de harcèlement moral

Droit du travail - Jurisprudence. Inaptitude médicale résultant de faits de harcèlement moral Inaptitude médicale résultant de faits de harcèlement moral Cour de cassation - chambre sociale Audience publique du 14 septembre 2010 N de pourvoi: 09-66762 Cassation partielle sans renvoi Dans un arrêt

Plus en détail

Déclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique

Déclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique Déclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique Conférence sur l assistance judiciaire dans le système pénal : le rôle des avocats, nonavocats et autres acteurs

Plus en détail

Phoenix Roller In line Hockey a.s.b.l.

Phoenix Roller In line Hockey a.s.b.l. Règlement d Ordre Intérieur 1. Objectifs Le club a pour objectifs: de promouvoir le Roller In Line Hockey pour le loisir et la compétition, en organisant des séances d'initiations, d'entraînements et de

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

Thule Group Code of Conduct

Thule Group Code of Conduct Thule Group Code of Conduct Thule Group AB Adopted by Thule Group Board of Directors at the Board meeting on February 11, 2015 French Le Code of Conduct est publié dans de différentes langues. La version

Plus en détail

NOTE D ORIENTATION DU SECRETAIRE GENERAL. Aide à la consolidation de l état de droit : l approche de l ONU

NOTE D ORIENTATION DU SECRETAIRE GENERAL. Aide à la consolidation de l état de droit : l approche de l ONU U N I T E D N A T I O N S N A T I O N S U N I E S NOTE D ORIENTATION DU SECRETAIRE GENERAL Aide à la consolidation de l état de droit : l approche de l ONU 12-38583 (F) Avril 2008 U N I T E D N A T I O

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

L obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières

L obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières L obligation de déposer un rapport Guide à l intention des employeurs, exploitants et infirmières Table des matières Introduction.... 3 Pourquoi faut-il déposer un rapport?... 3 Que fait l Ordre lorsqu

Plus en détail

ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK. Politique sur l éducation professionnelle continue

ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK. Politique sur l éducation professionnelle continue ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK Politique sur l éducation professionnelle continue Approuvée à la réunion annuelle juin 1997/modification approuvée par le Conseil le 1 mai 1999/des

Plus en détail

SERVICES FID Affaires

SERVICES FID Affaires Accès à l information X X X X X Accident de travail X X X Achat et vente d entreprises X X X X X X X Acquisition X X X X X X X X Administration de conventions collectives X X X Alliance stratégique X X

Plus en détail

Déclaration sur le droit au développement

Déclaration sur le droit au développement Déclaration sur le droit au développement Adoptée par l'assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 41/128 du 4 décembre 1986 L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de

Plus en détail

REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE

REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE Le présent document définit les règles générales d organisation et de fonctionnement du Service prestataire d Aide à Domicile de Ramonville-Saint-Agne

Plus en détail

OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL

OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL À : &' 1$,'6 M. Richard Drouin, O.C., c.r. Président, Commission d examen sur la rémunération des juges 2CVTKEM,/QPCJCP DATE :

Plus en détail

Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique

Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux, Direction des dépendances et de l itinérance Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique

Plus en détail

Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime. Vue d ensemble. Martin Shain, S.J.D.

Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime. Vue d ensemble. Martin Shain, S.J.D. Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime Vue d ensemble Martin Shain, S.J.D. Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime : Exigences liées à l obligation récente

Plus en détail