A.MAALEJ, H.KETATA, M.ABDELKEFI,Y.GUERMAZI, S.YAICH, K.CHARFEDDINE, KH.Ben Mahfoudh, Z.MNIF SFAX TUNISIE.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "A.MAALEJ, H.KETATA, M.ABDELKEFI,Y.GUERMAZI, S.YAICH, K.CHARFEDDINE, KH.Ben Mahfoudh, Z.MNIF SFAX TUNISIE."

Transcription

1 TUMEURS SOLIDES SUITE A UNE TRANSPLANTATION RENALE A PROPOS DE 5 CAS A.MAALEJ, H.KETATA, M.ABDELKEFI,Y.GUERMAZI, S.YAICH, K.CHARFEDDINE, KH.Ben Mahfoudh, Z.MNIF SFAX TUNISIE.

2 INTRODUCTION Les néoplasies constituent l une des complications tardives les plus redoutables de la greffe rénale. Le risque néoplasique est multiplié par 3 à 5 par rapport à la population générale. Le traitement immunosuppresseur constitue le facteur favorisant prédominant. L imagerie joue un rôle essentiel dans le bilan pré greffe chez le donneur à la recherche d éventuelle tumeur et dans le suivi au long cours du receveur afin de dépister des tumeurs à un stade précoce en vu d un traitement conservateur.

3 MATERIELS ET METHODES Il s'agit d'une étude rétrospective portant sur une série de 5 patients (4 femmes et 1 homme) dont l'âge est compris entre 26 et 51 ans. Le délai entre la greffe et le diagnostic positif de la tumeur a été en moyenne de 2,5 ans. Une exploration par TDM abdominale ou thoraco-abdominopelvienne a été réalisée dans les 5 cas, une échographie abdominale dans 3 cas et un transit du grêle dans un cas. Une confirmation histologique a été obtenue dans les 5 cas.

4 RESULTATS Les tumeurs retrouvées dans notre série étaient: Sarcome de Kaposi : 2 cas localisation digestive et cutanée : 1 cas. localisation digestive, cutanée et thoracique : 1 cas. Lymphome : 2 cas Lymphome B à grandes cellules : atteinte grêlique et ganglionnaire Maladie de Hodgkin : 1 cas Adénocarcinome du greffon : 1 cas

5 Cas n 1 Patiente F.M greffée à l âge de 38 ans, à partir d un donneur vivant non apparenté. Un an après, apparition de lésion cutanée au niveau du décolleté, dont la biopsie a révélé un sarcome de Kaposi. Dans le cadre du bilan de cette maladie d autres explorations ont été réalisées: - sérologie HHV (+) - Fibroscopie oeso-gastro-duodénale: normale - coloscopie: double lésion nodulaire framboisée rectale dont la biopsie a conclu à un sarcome de Kaposi.

6 Une TDM thoraco-abdomino-pelvienne (TAP) a été réalisée dans ce bilan initial s est révélée normale. La patiente a été mise sous Mabthera. Les doses d immunosuppresseurs ont été diminués. L évolution initiale était favorable avec FOGD et coloscopie de contrôle sans anomalies. Sur le scanner TAP de contrôle réalisé 2 ans après (le scanner initial) a montré l apparition d atteinte parenchymateuse évocatrice de localisation pulmonaire du sarcome de Kaposi (figures 1 et 2).

7 TDM THORACIQUE Figure 1: Multiples nodules de contours spiculés et entourés de verre dépoli de distribution prédominante péribroncho- vasculaire. Noter l épaississement septal irrégulier.

8 TDM THORACIQUE Figure 2: Multiples nodules de contours spiculés et confluents associés à des zones de condensation parenchymateuse. Noter l épaississement péribroncho- vasculaire.

9 Commentaires: La pathogénie de la maladie de Kaposi implique le virus Herpès Humain8 (HHV-8). Le risque de développer cette maladie est de 25% chez les receveurs séropositifs contre 0.7% chez les séronégatifs. Le délai moyen d apparition des premiers signes cliniques est de 20 mois en moyenne ( de 2 mois à 18 ans) Les localisations cutanéo-muqueuses Représentent plus de 90% des manifestations cutanées sous forme de plaques ou de nodules rouges violacés d aspect angiomateux dont le nombre et l extension dépendent du niveau d immunosuppression.

10 Les localisations extra-cutanées Représentées essentiellement par les organes lymphatiques, digestifs et pulmonaires. Ces localisations doivent être systématiquement recherchées par une radiographie du thorax et/ou une TDM thoracique, une TDM abdomino-pelvienne, une fibroscopie. 1- Atteinte pulmonaire 1- Atteinte pulmonaire Constitue un signe évolué de la maladie. Les signes TDM sont: épaississement pariétal bronchique, condensations parenchymateuses péri bronchiques, des nodules pulmonaires multiples à limites irrégulières avec une distribution prédominante péribroncho-vasculaire.

11 2- Atteinte digestive Les lésions se traduisent par des nodules sous-muqueux de taille variable avec ou sans ombilication centrale, apparaissant violacés à l'endoscopie. Une localisation intestinale isolée sans lésions cutanées est possible (10 %). Les sites préférentiels sur le tractus digestif sont, par ordre de fréquence décroissante, l'hypopharynx, le rectum, l'estomac, le duodénum, l'intestin grêle, le côlon et l'œsophage. L'épaississement pariétal digestif peut être visualisé par l'échographie et le scanner.

12 3- Atteinte ganglionnaire Environ 50 % des patients avec un Sarcome de Kaposi présentent des adénopathies mésentériques et/ou rétropéritonéales. Le caractère hyper vasculaire de ces lésions est bien mis en évidence par le rehaussement intense sur le scanner après injection de produit de contraste, ce qui facilite le diagnostic différentiel notamment avec un LNH.

13 Classification Une classification du sarcome de Kaposi du transplanté en fonction du bilan d extension a été proposée Tableau 1 Classification de la maladie de Kaposi. Stade I Lésions cutanées localisées à un membre Stade II Lésions cutanées localisées à plus d un membre. Stade III Adénopathie unique ou multiple, ou atteinte viscérale Stade IV Associée à d autres cancers ou infections

14 Cas n 2 Patiente I.J greffée en 2002 à l âge de 18 ans à partir d un rein de cadavre. Elle a été mise initialement sous Cortancyl/ Prograf/ Imurel. La patiente a présenté une altération de la fonction rénale en Une Ponction Biopsie du Greffon(PBG) a été réalisée: Néphrotoxicité médicamenteuse; qui a nécessité l ajustement du traitement immunosuppresseur. Hospitalisée en 2010, pour Altération de l état général et douleur abdominale sans trouble du transit. Une échographie abdominale puis un transit du grêle et une TDM TAP ont été réalisés (figures 3; 4 ; 5 et 6):

15 Echographie abdominale A B C Figure 3: Epaississement pariétal d une anse iléale (A) associée à de multiples adénopathies coelio-mésentériques (B et C)

16 Transit Du Grêle A B Figure 4: Présence de 2 fenêtres radiologiques avec sténose irrégulière et rigidité pariétale de 2 anses iléales associée à une dilatation des anses grêles en amont.

17 TDM Abdominale B A C Figure 5: TDM reconstruction coronale (A), coupes axiales APC (B et C)Important épaississement circonférentiel asymétrique de quelques anses iléales. Greffon au niveau de la FID d aspect normal.

18 TDM Abdominale A B ADP coelio- Figure 6: Multiples mésentériques. La patiente a été opérée et l exploration per opératoire a objectivé une tumeur grêlique. Examen Anapath: lymphome B du grêle. C

19 Commentaires: Le syndrome lymphoprolifératif post transplantation (SLPT) constitue, après les épithéliomas cutanés, le cancer le plus fréquent chez les transplantés (16 % des cancers) et est associé à une mortalité élevée. 93 % des SLPT sont des lymphomes non hodgkiniens, 3% des myélomes et 4% sont des maladies de hodgkin. Contrairement à la population générale, la présentation clinique est extra ganglionnaire dans 70% des cas, avec atteinte du système nerveux central ( 30% des cas) et du tube digestif. Le greffon est infiltré par le tissu lymphomateux patients. chez 18 à 30 % des Les principaux facteurs de risque dans ce contexte sont les infections à l EBV retrouvée chez 98% des patients et le traitement immunosuppresseur.

20 En imagerie la localisation cérébrale n a pas d aspect spécifique, et on trouve la même sémiologie que chez l immunocompétent. Le diagnostic de lymphome digestif est fait essentiellement sur des biopsies endoscopiques. * L échographie Met en évidence la masse tissulaire hypoéchogène, polylobée contenant une zone centrale hyperéchogène associée dans 50% des cas à des adénomégalies adjacentes.

21 *LaTDM Permet de faire le bilan d extension et établit une stadification ganglionnaire nécessaire à la prise en charge thérapeutique. Elle montre typiquement un épaississement circonférentiel asymétrique étendu ou multifocal. Le rétrécissement luminal est peu marqué, la lésion pouvant être au contraire ectasique de type dilatation pseudo-anévrysmale. Des ganglions régionaux ou rétro péritonéaux sont retrouvés dans 2/3 des cas.

22 Au terme, l exploration radiologique permet de différentier quatre formes de lymphome digestif: *Une forme infiltrante (très fréquente): épaississement pariétal souvent important dépassant les 15mm. *Une forme multi nodulaire : hyperplasie lymphoïde. *Une forme tumorale: volumineuse masse endo-luminale ronde. *Une forme mésentérique: forme ganglionnaire s étendant à la paroi digestive ou à développement exo- luminal mésentérique.

23 Cas n 3 Patiente F.C greffée à l âge de 45 ans, à partir d un rein de cadavre. L évolution initiale était bonne; les différentes échographies pratiquées dans le cadre de surveillance étaient normales. Hospitalisée un an après pour insuffisance rénale aigue obstructive. Echographie: dilatation des cavités pyélo-calicielles du greffon en amont d un obstacle tissulaire de la jonction pyélourétérale. La patiente a bénéficié d un uroscanner et d une IRM du greffon.

24 UROSCANNER A B Figure 7: TDM du greffon; coupes axiales sans (A) et avec injection de produit de contraste aux temps artériel (B) et tardif (C); processus tissulaire de la lèvre antérieure du greffon, iso dense, se rehaussant de façon progressive après injection. C

25 UROSCANNER 47 UH 64 UH Figure 8: TDM reconstructions coronales sans et avec injection de produit de contraste aux différents temps. Noter le rehaussement progressif de la masse tissulaire pyélique et calicielle inférieure envahissant le parenchyme en regard. 72 UH 84 UH

26 IRM du greffon A B C Figure 9: IRM du greffon; coupes coronales pondérées en T1 avant (A) et après injection de gadolinium avec saturation de la graisse (B), axiales T2 (C). Processus tissulaire en iso signal T2, discret hypo signal T1 se rehaussant après injection de gadolinium. Examen Anapath: carcinome indifférencié.

27 Commentaires: Les tumeurs malignes du greffon rénal peuvent avoir 3 origines : - Tumeur déjà présente lors du prélèvement sur les reins du donneur. -Tumeur des reins propres du receveur qui préexistaient à la transplantation. -Tumeurs rénales développées après la transplantation (tumeurs dites «de novo»).

28 L âge avancé de certains donneurs devrait conduire à une augmentation du risque de cancer de novo du transplant rénal. Un délai tardif séparant la transplantation du diagnostic de cancer du transplant rénal est en faveur de l hypothèse d un carcinome de novo. Dans la littérature, ce délai est ainsi compris entre 4 et 25 ans. En imagerie, l échographie constitue l examen de choix. Les lésions échographiques suspectes doivent être mieux étudiées par une TDM ou par une IRM.

29 Le carcinome à cellules rénales (CCR) sur un rein transplanté est une complication rare, une cinquantaine de cas seulement ayant été rapportés dans la littérature. Ils sont dus, en partie, aux traitements immunosuppresseurs. Il n existe pas d aspect tomodensitométrique particulier des tumeurs du transplant rénal, elles ont les mêmes caractéristiques que les CCR des reins natifs. Les carcinomes tubulo-papillaires, sont distinguées par leur caractère peu vascularisées. Ils apparaissent,en IRM, hypo-intenses en T1 et T2, et ne se rehaussent que faiblement après l administration de gadolinium contrairement aux CCR.

30 Il est conseillé de réaliser à la fois une TDM et une IRM en cas de tumeur du transplant rénal. L IRM serait moins sensible que la TDM pour le diagnostic des lésions rénales solides de moins de 3 cm. L IRM serait plus informative que la TDM pour les diagnostics différentiels (cas de syndrome lymphoprolifératif) et apprécierait mieux une éventuelle extension veineuse ou extra capsulaire. L IRM serait plus sensible que la TDM pour apprécier un caractère multifocal éventuel.

31 POINTS CLÉS Le greffé est exposé au risque des complications néoplasiques du fait du traitement immunosuppresseur. Ce risque est très souvent lié à des infections virales oncogènes qui expliquent en partie l'originalité des cancers observés. Les tumeurs les plus fréquentes sont: tumeurs cutanées, cancer du col et du rectum, carcinomes à cellules rénales, sarcome de Kaposi, syndromes lymphoprolifératifs L imagerie intervient dès le bilan de pré greffe dans la dépistage de néoplasie chez le donneur, puis joue un rôle essentiel dans le suivi au long cours du greffon. En effet une surveillance échographique régulière et prolongée permet de dépister ces tumeurs à des stades précoces pour lesquels un traitement conservateur est possible.

32 EVALUATION QCM 1: A propos du sarcome de Kaposi: A- Constitue la complication néoplasique la plus fréquente de la greffe rénale. B- La localisation pulmonaire est un signe évolué de la maladie. C- En TDM, la localisation pulmonaire peut donner un syndrome interstitiel. D- En TDM, la localisation pulmonaire peut être responsable d un épaississement péri-broncho-vasculaire. E- La localisation digestive se traduit souvent par un épaississement pariétal.

33 EVALUATION QCM 1: Réponse A propos du sarcome de Kaposi: A- Constitue la complication néoplasique la plus fréquente de la greffe rénale. B- La localisation pulmonaire est un signe évolué de la maladie. C- En TDM, la localisation pulmonaire peut donner un syndrome interstitiel. D- En TDM, la localisation pulmonaire peut être responsable d un épaississement péri-broncho-vasculaire. E- La localisation digestive se traduit souvent par un épaississement pariétal.

34 EVALUATION QCM 2: Le syndrome lymphoprolifératif post transplantation(slpt): A- Constitue la 2 ème cause de néoplasie chez le greffé. B- La présentation clinique est extra ganglionnaire dans seulement 10% des cas. C- L atteinte du système nerveux central est trouvée dans 50% des cas. D- La forme infiltrante est la plus fréquente, en cas d atteinte digestive. E- Présente un aspect spécifique, en cas de localisation cérébrale.

35 EVALUATION QCM 2: Réponse Le syndrome lymphoprolifératif post transplantation(slpt): A- Constitue la 2 ème cause de néoplasie chez le greffé. B- La présentation clinique est extra ganglionnaire dans seulement 10% des cas. C- L atteinte du système nerveux central est trouvée dans 50% des cas. D- La forme infiltrante est la plus fréquente, en cas d atteinte digestive. E- Présente un aspect spécifique, en cas de localisation cérébrale.

36 EVALUATION QCM 3: Une tumeur de novo sur un greffon rénal : A- Est le plus souvent un CCR. B- Apparait toujours hyper-vasculaire en scanner. C- Le scanner est plus sensible que l IRM dans le diagnostic des masses de moins de 3cm. D- Apparait toujours en hypo signal T1, hyper signal T2, se rehaussant de façon progressive après injection de gadolinium. E- Un délai tardif séparant la transplantation du diagnostic de cancer du transplant rénal est en faveur de l hypothèse d un carcinome de novo.

37 EVALUATION QCM 3: Réponse Une tumeur de novo sur un greffon rénal : A- Est le plus souvent un CCR. B- Apparait toujours hyper-vasculaire en scanner. C- Le scanner est plus sensible que l IRM dans le diagnostic des masses de moins de 3cm. D- Apparait toujours en hypo signal T1, hyper signal T2, se rehaussant de façon progressive après injection de gadolinium. E- Un délai tardif séparant la transplantation du diagnostic de cancer du transplant rénal est en faveur de l hypothèse d un carcinome de novo.

38 REFERENCES 1. G. Mourad a, V. Garrigue, S. Delmas; Complications infectieuses et néoplasiques après transplantation rénale. EMC-Néphrologie 2 (2005) Ducloux D, Carron PL, Rebibou JM, Aubin F, Fournier V, Bresson-Vautrin C, et al. CD4 lymphocytopenia as a risk factor for skin cancers in renal transplant recipients. Transplantation 1998;65: Penn I. Cancers in ciclosporine-treated vs azathioprinetreated patients. Transplant Proc 1996;28: Penn I. Cancers complicating organ transplantation. N Engl J Med 1990;323: O. Hélénon, J.M. Correas, D. Eiss, E. Thervet, C. Legendre ; Imagerie diagnostique du rein transplanté et des complications de la greffe rénale; EMC-Néphrologie 2 (2005) Frick MP, Salomonowitz E, Hanto DW, Gedgaudas-McClees K. CT of abdominal lymphoma after renal transplantation. AJR Am J Roentgenol 1984;142: H. Vacher-Coponat, B. Dussol, yo Berland; Affections néoplasiques et transplantation d'organe; Rev MEd Interne 1999 ; 20 : Yann NEUZILLET, Eric LECHEVALLIER; Transplantation rénale et transmission tumorale; Progrès en Urologie (2007), 17, J.-F. Héteta, J. Rigaudb, M. Dorel-Le Théoc; Tumeurs de novo du transplant rénal; Annales d urologie 41 (2007) P.Grenier; Chapitre: tumeurs bronchopulmonaires; p ; Imagerie thoracique de l adulte; 3 ème édition, septembre Gérard Schmutz ; Laurence Maillet; Jean Marc Peron; Frédéric Chapuis; Denis Régent; Eugène Morel; Dzon N'Guyen; Jean-Michel Bruel; Tumeurs et lymphomes du grêle; Traité de Radiodiagnostic IV - Appareil digestif : A-10 (1997).

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Patho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme

Patho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de

Plus en détail

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,

Plus en détail

Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger

Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Informations sur le cancer de l intestin

Informations sur le cancer de l intestin Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Le Don de Moelle Ça fait pas d mal!

Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel

Plus en détail

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Comprendre les lymphomes non hodgkiniens

Comprendre les lymphomes non hodgkiniens France Lymphome Espoir Comprendre les lymphomes non hodgkiniens Un guide d information pour les patients et leurs proches En partenariat avec Edition septembre 2011 Préambule La première édition datant

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients

Plus en détail

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC 1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

TRAITEMENT DES TUMEURS DU REIN PAR RADIOFRÉQUENCE

TRAITEMENT DES TUMEURS DU REIN PAR RADIOFRÉQUENCE TRAITEMENT DES TUMEURS DU REIN PAR RADIOFRÉQUENCE J. M. COR- REAS ET COLL. par J.M. CORREAS*, A. MÉJEAN**, D. JOLY*** et O. HÉLÉNON* Le développement du traitement faiblement invasif des cancers du rein

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction

Plus en détail

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

Suivi post-professionnel après exposition à l amiante

Suivi post-professionnel après exposition à l amiante AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer de l œsophage?

Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Les greffes de cellules souches

Les greffes de cellules souches A qui en parler? Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir

Plus en détail

Définitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave

Définitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

La nouvelle classification TNM en pratique

La nouvelle classification TNM en pratique La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le

Plus en détail

Le cancer du foie. Carcinome hépatocellulaire. Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches

Le cancer du foie. Carcinome hépatocellulaire. Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Le cancer du foie Carcinome hépatocellulaire Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse

Plus en détail

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la

Plus en détail

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après

Plus en détail

Etablissement Français du Sang

Etablissement Français du Sang Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité

Plus en détail

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large

Plus en détail

PROGRAF MC Toutes indications

PROGRAF MC Toutes indications PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT

Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité

Plus en détail

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

LA CHAINE DU PRELEVEMENT

LA CHAINE DU PRELEVEMENT LA CHAINE DU PRELEVEMENT et de la greffe Prélèvements et greffes Une volonté collective de qualité La pratique des prélèvements et des greffes représente pour un établissement de santé une mission exigeante.

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent

Plus en détail

mon enfant a un cancer www.e-cancer.fr

mon enfant a un cancer www.e-cancer.fr mon enfant a un cancer GUIDE d information à l intention des familles www.e-cancer.fr mon enfant a un cancer Ce guide a été édité en août 2009 par l Institut national du cancer (INCa) et la Société française

Plus en détail

Moyens d étude de la peau

Moyens d étude de la peau Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de

Plus en détail