Nouvelles techniques en Radiothérapie. Dr Sonia Roux-Palobart Service de Cancérologie, Polyclinique de Limoges 09/04/2015
|
|
- Pierre-Yves Alphonse Jolicoeur
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Nouvelles techniques en Radiothérapie Dr Sonia Roux-Palobart Service de Cancérologie, Polyclinique de Limoges 09/04/2015
2 PLAN Introduction sur la radiothérapie De la radiothérapie 2D à la Radiothérapie Conformationnelle 3D Evolutions actuelles et futures: - IMRT - IGRT - radiothérapie asservie à la respiration - radiothérapie stéréotaxique - tomothérapie/vmat - protonthérapie
3 Introduction (1) La radiothérapie est un traitement locorégional des cancers. Plus de 50% des patients atteints d un cancer sont traités par radiothérapie à une étape de leur parcours de soin. Elle consiste à utiliser des rayonnements (on dit aussi rayons ou radiations) pour détruire les cellules cancéreuses en bloquant leur capacité à se multiplier. L irradiation a pour but de détruire les cellules cancéreuses tout en préservant le mieux possible les tissus sains et les organes avoisinants. On distingue la radiothérapie externe (RTE) et la curiethérapie : - dans la radiothérapie externe, les rayons sont émis en faisceau par une machine située à proximité du patient ; ils traversent la peau pour atteindre la tumeur. - dans la curiethérapie, des sources radioactives sont implantées directement à l intérieur du corps de la personne malade.
4 Introduction (2) Quels sont les objectifs de la Radiothérapie? 1/ Stériliser la tumeur+++ Condition d une survie prolongée Meilleure couverture tumorale Nouvelles balistiques Escalade de dose 2/ Supprimer les complications: Protéger les tissus sains : moëlle épinière, cœur, cerveau, œsophage, poumon, intestin, vessie Utiliser les facteurs prédictifs de toxicité (HDV)
5 Introduction (3) Comment atteindre ces objectifs? Optimiser la précision et la reproductibilité de la radiothérapie Optimiser la visualisation des structures anatomiques Optimiser la définition des volumes cibles Optimiser la balistique et la dosimétrie Evaluer la qualité de la conformation Réduire la toxicité Augmenter la dose
6 Introduction (4) Aujourd hui, la RT classique utilise des faisceaux de photons et/ou électrons. Les accélérateurs de particules présents dans les appareils de RT classique génèrent un faisceau d électrons. Ces particules chargées sont soit directement utilisées pour traiter le patient, soit dirigées vers une cible qui va créer un faisceau de photons qui est ensuite dirigé vers le patient. Les électrons sont habituellement utilisés pour les irradiations superficielles, de quelques cm de profondeur. Les faisceaux de photons permettent de délivrer une dose plus homogène en profondeur. Toutefois, ce dépôt d énergie n est pas strictement localisé. Il y a une petite dispersion latérale le long du parcours (liée à la pénombre du faisceau), et une forte dispersion avant et après «le maximum du dépôt de dose». L utilisation de collimateurs, la multiplication des faisceaux et la modulation de l énergie du faisceau de photons permettent de réaliser des irradiations extrêmement précises dites «conformationnelles avec modulation d intensité».
7 Radiothérapie 2D Planification de la radiothérapie par rapport à la profondeur de la lésion dans 2 plans sagittal et coronal (traitement à mi-diamètre ou à une profondeur donnée) Installation géométrique à l aide d un Simulateur et imagerie orthogonale par rapport aux repères anatomiques (les os)
8 Radiothérapie 2D: les inconvénients (1) Manque de précision du ciblage Pas de connaissance possible de la dose délivrée aux OAR Ex: Variations morphologiques non prises en compte: incertitudes
9 Radiothérapie 2D: les inconvénients (2) Des protections focalisées peu précises par défaut de visualisation des OAR Nécessite une manipulation par les MER, une confection
10 La Radiothérapie Conformationnelle en 3 Dimensions (RC-3D) a remplacé la Radiothérapie conventionnelle en 2D = Gain en contrôle local et en survie/ réduction de la toxicité Simulateur 2D Accélérateur linéaire de particules de radiothérapie conformationnelle avec table de positionnement robotisée
11 La Radiothérapie Conformationnelle 3D (RC-3D) La technique de radiothérapie externe la plus utilisée, elle permet de faire correspondre le plus précisément possible (de conformer) le volume sur lequel vont être dirigés les rayons au volume de la tumeur. Elle utilise des images en 3D de la tumeur et des organes avoisinants obtenues par scanner (scanner dosimétrique), parfois associées à d autres examens d imagerie (IRM, TEPscan ). Des logiciels permettent de simuler virtuellement, toujours en 3D, la forme des faisceaux d irradiation et la distribution des doses. Cela permet de délivrer des doses efficaces de rayons en limitant l exposition des tissus sains. La radiothérapie conformationnelle est notamment utilisée pour le traitement à visée curative des tumeurs de la prostate, du thorax, de l abdomen, du pelvis, du cerveau, de la sphère ORL Tous les centres de radiothérapie sont équipés pour la pratiquer. C est le premier pas vers la radiothérapie de haute précision.
12 La RTE conformationnelle 3D (RC-3D) Le scanner dosimétrique Définition des volumes cibles pour la RTE moderne: - acquisition d images anatomiques à l aide d un scanner dans la zone d intérêt - en position de traitement dans le système de contention: fabrication du matériel de contention (masque ORL, appui bras). L objectif est de retrouver tous les jours la même position = reproductibilité de la position patient Mise en place de marques sur le patient ou sur le système de contention Coupes tous les 2-3 mm +/- injection selon les besoins Transfert des données sur les consoles dosimétriques
13 La RTE conformationnelle 3D (RC-3D) Fusion d images Aide à la délinéation des volumes cibles pour la RTE moderne Fusion d images du scanner dosimétrique avec IRM (RTE cérébrale, ORL, prostatique, pelvienne), TEP-18 FDG (RTE pulmonaire, œsophage)
14 La RTE conformationnelle 3D (RC-3D) La technique à 5 faisceaux
15 Les progrès en radiothérapie sont constants. Il est impossible de décrire dans le détail la totalité des techniques en développement. Aujourd hui, les nouvelles techniques de RTE de haute précision (stéréotaxie, modulation d intensité) ont toutes pour but de focaliser les rayons le plus précisément possible sur la tumeur (et d augmenter la dose délivrée) et d épargner au maximum les tissus sains. Elles sont pratiquées dans un nombre variable d établissements (de plusieurs dizaines à un ou deux), sont souvent encore en cours d évaluation et/ou présentent un intérêt uniquement pour des tumeurs spécifiques.
16 Radiothérapie Conformationnelle avec Modulation d Intensité (RCMI, IMRT) Cette technique consiste à faire varier la forme du faisceau au cours d une même séance pour s adapter précisément au volume à traiter, et ce même s il comporte des «creux» ou des concavités (une tumeur en forme de fer à cheval située autour de la moëlle épinière par exemple). Définition/principe: variation spatiale volontaire de la dose (dite fluence) à l'intérieur d'un faisceau, au cours d'une même séance.
17 RC3D versus IMRT Définition des faisceaux : énergie, angulation, adaptation des champs au volume cible Calcul de la distribution de doses et ajustement des paramètres d'irradiation (énergie, pondération) jusqu'à obtention d'une distribution de doses satisfaisante Utilisation de faisceaux d'intensité uniforme ou modifiés par la présence d'un filtre en coin = PLANIFICATION DIRECTE Définition des faisceaux : énergie, angulation Spécification, prescription de la dose souhaitée : définition de contraintes dose/ volume aux structures internes Calcul de l'intensité des faisceaux par algorithme mathématique : obtention de profils d'intensité modulée = PLANIFICATION INVERSE
18 IMRT Pour enchaîner les segments, les lames se positionnent et lorsqu'elles ont atteint leur positon, l'accélerateur déclenche l'irradiation : la position du bras de l'accélérateur reste fixe.
19 IMRT Du fait de moduler l'intensité, on obtient une véritable conformation de la distribution de dose à la forme du volume cible - les isodoses englobent le volume cible, indispensable pour des volumes cible de forme concave - adaptation des doses élevées à des volumes complexes Diminution des doses aux organes à risque (diminution de la toxicité aigue et à long terme)
20 IMRT versus RC3D RC3D IMRT
21 IMRT versus RC3D RC3D IMRT
22 Radiothérapie conformationnelle 3D
23 IMRT
24 La radiothérapie guidée par l image= IGRT (1) Objectif: prise en compte des variations anatomiques (déplacements et déformations) survenant entre les séances ou pendant les séances d irradiation Permet de visualiser la tumeur sous l accélérateur au moment de la séance d irradiation par visualisation directe (mode 3D tissus mous) ou indirecte (mode 2D et marqueurs radio-opaques) Si la position de la tumeur sous l accélérateur ne correspond pas à la position théorique définie lors de la planification: déplacement du patient Une nouvelle planification peut se discuter en cas de déformation majeure des structures anatomiques
25 La radiothérapie guidée par l image= IGRT (2) Intérêt: - précision = s assurer de la bonne position de la tumeur mais également de la protection des OAR (organes à risque) - efficacité et tolérance= éviter sous-dosage des volumes cibles/surdosage des OAR Indispensable pour RTE stéréotaxique et hypofractionnée: délivrance doses élevées par fraction Moyens: - gammagraphies/imageries portales kv/mv: recalage sur structures osseuses + marqueurs radio-opaques (ex: grains d or pour RTE prostate) - Cone Beam Computed Tomography= CBCT: système d imagerie scanographique embarquée, recalage sur scanographie dosimétrique et déplacement quantifié et proposé
26 La radiothérapie guidée par l image= IGRT (3) Exemple du Cyberknife Cyberknife = système robotisé qui possède une imagerie de base qui acquiert des images à l aide de deux détecteurs positionnés à 45 par rapport à la table de ttt: permet un recalage sur les structures osseuses ou à l aide de repères fiduciels intra tumoraux au cours de la séance, tracking de la cible (système optique de suivi de la cible en temps réel, information transmise au bras robotisé qui pilote l accélérateur miniaturisé) Indication: - tumeurs mobiles= tumeurs pulmonaires (mouvements respiratoires), rénales, hépatiques - tumeurs rachidiennes - réirradiation tumeurs ORL Doses plus élevées par séance (hypofractionnement), faible nombre de séances (1 à 5 séances)
27 La radiothérapie asservie à la respiration Il s agit de prendre en compte les mouvements de la respiration pendant l irradiation du thorax ou du haut de l abdomen par exemple. Il existe plusieurs solutions : - demander au patient, qui visualise sa respiration sur un écran, de la bloquer pendant quelques dizaines de secondes, à un moment précis de son inspiration ; - laisser le patient respirer normalement et n irradier la tumeur que quand elle se présente devant le faisceau d irradiation = gating - faire suivre les mouvements de la tumeur par le faisceau d irradiation lui-même = tracking (cyberknife )
28 La radiothérapie stéréotaxique (1) Définition: stéréo (en 3D) et taxique (explorer) Elle permet de diriger des faisceaux de radiations vers une région très spécifique (ex: cerveau) C est une technique de haute précision basée sur l utilisation de microfaisceaux convergents permettant d irradier à haute dose de très petits volumes. On distingue: - la radio chirurgie stéréotaxique: on délivre une dose élevée de radiation vers la tumeur (fraction unique) mais pas d incision chirurgicale - la radiothérapie stéréotaxique fractionnée: plus faibles doses de radiation en plusieurs séances (fractions multiples)
29 La radiothérapie stéréotaxique (2) Cette technique peut être réalisée soit à l aide d une machine dédiée (gamma-knife), soit avec un accélérateur linéaire muni de cônes cylindriques de diamètre modulable (ex: Novalis ) Indications: - lésions cérébrales: bénignes ou malignes mais non chirurgicales car trop profondes ou en zone fonctionnelle = gliomes, méningiomes, neurinomes, adénome hypophysaire mais aussi malformations vasculaires cérébrales - métastases cérébrales: localisation unique ou récidive après RC3D - radiothérapie stéréotaxique extra crânienne: lésions de la moëlle épinière, tumeurs pulmonaires, hépatiques Limites: - Nécessité de contentions spécifiques: cadre stéréotaxique fixe ou amovible - limite de taille tumorale de 3 cm en général
30 La tomothérapie C est une technique de radiothérapie guidée par l image, qui consiste à coupler un scanner et un accélérateur de particules miniaturisé qui tourne autour du patient en «spirale» (= radiothérapie hélicoïdale), pendant que la table de radiologie se déplace longitudinalement. Les faisceaux de RT varient en fonction du déplacement du patient (variation de l ouverture au cours de l irradiation permettant une radiothérapie avec modulation d intensité) Avantages: meilleur ciblage du tissu tumoral à irradier, meilleure épargne des tissus sains environnants En 2015: une dizaine de centres français et 3 CHU sont équipés d un appareil de tomothérapie
31 Le Cyberknife C est un nouveau système de radiochirurgie qui utilise la robotique pour traiter des tumeurs dans tout le corps. Elle consiste en un petit accélérateur linéaire, tenu par un robot capable de le déplacer dans toutes les directions possibles. Les faisceaux produits par cet appareil sont assez petits, mais ils peuvent être multipliés quasiment à l infini et varier tous les angles de tir. Cela permet de focaliser la dose d irradiation en minimisant l impact sur les tissus sains avoisinants. Cette technique permet de traiter des tumeurs de taille limitée. La tomothérapie et le Cyberknife sont destinés à traiter des tumeurs dont la localisation ne permet pas la réalisation d une radiothérapie conformationnelle «classique».
32 VMAT = irradiation avec Modulation d intensité Volumétrique par Arc Thérapie Synthèse des dernières évolutions techniques de la RT = association de la RT conformationnelle guidée par l image + modulation d intensité possibilité d irradier la tumeur avec plus de précision que la RT conventionnelle grâce à un contrôle (une modulation) des faisceaux d irradiation sur un arc complet de 360. Les organes sains sont préservés lors de l irradiation de tumeurs voisines. Comme la tomothérapie, méthode d irradiation conformationnelle avec modulation d intensité par action circulaire. Traitement plus rapide mais sur des zones plus réduites Le processus pour délivrer des doses par technique VMAT est très complexe. Il nécessite des experts en radio physique et en dosimétrie. Une assurance qualité est obligatoire à chaque étape du processus.
33 VMAT
34 VMAT versus IMRT
35 Hadronthérapie L hadronthérapie utilise des faisceaux de particules: les hadrons - protons = protonthérapie - ions carbone= carbonethérapie Les protons présentent des propriétés balistiques avantageuses (qui permettent de réduire la dose déposée dans les tissus traversés avant la tumeur, et de ne pas irradier les tissus situés derrière la tumeur). But: améliorer l irradiation des cellules tumorales tout en épargnant les tissus sains aux alentours Indications: pertinence pour ttt nécessitant une très grande précision: tumeurs de l œil et de la base du crâne (proches des voies optiques et de la moëlle épinière)
36 La protonthérapie En pratique: jusque la fin des années 1980, phase expérimentale. Depuis 1990, plusieurs CH dédiés ont été construits ou sont en projet, principalement au Japon et aux Etats Unis. Limites: - cela nécessite des technologies lourdes (accélérateur de particules à protons, enceinte de radioprotection) et sophistiquées (systèmes de planification du ttt, de conformation du faisceau, de positionnement du patient) - accessibilité réduite: 2 centres seulement en France (centre de protonthérapie Institut Curie à Orsay et le cyclotron Centre Antoine Lacassagne à Nice) - indications limitées: tumeurs radiorésistantes (nécessitant très fortes doses) avec épargne indispensable des OAR environnants, tumeurs intracrâniennes, de la base du crâne, médullaires, notamment tumeurs de l enfant (chondromes, chondrosarcomes, médulloblastomes, craniopharyngiomes) Ions carbone: pas de centre actuellement en France, projet ETOILE Lyon suspendu, projet ARCADE à Caen 2017?
37 Conclusion Progrès majeurs de la radiothérapie ces vingt dernières années! De la radiothérapie 2D à la radiothérapie 3D avec acquisition d images scanographiques (+ fusion d images) pour une meilleure définition des volumes tumoraux Modulation d intensité et multiplication des portes d entrée des faisceaux pour une meilleure couverture du volume cible Systèmes modernes d imageries embarqués pour un contrôle quotidien du positionnement du patient et de la tumeur traitée Objectifs respectés actuellement: meilleure couverture du volume tumoral et augmentation de la dose délivrée pour une plus grande efficacité du ttt, avec protection des tissus sains environnants pour réduire les effets secondaires aigus et tardifs Perspectives nombreuses, en particulier recherches sur les ttt radio sensibilisants
38 Merci de votre attention!
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailAssurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques
Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailComprendre la radiothérapie
OCTOBRE 2009 Comprendre la radiothérapie collection guides de référence La radiothérapie externe La curiethérapie les effets secondaires La surveillance Mieux vivre la radiothérapie La sécurité et la qualité
Plus en détailHADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE
HADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE Annexes au rapport préliminaire Février 2010 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél. : 01 55 93 70
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailRADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE
RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailBases physiques de l imagerie en
Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika
Plus en détailBrochure pour patients. La radiothérapie. www.cancer.lu
Brochure pour patients La radiothérapie www.cancer.lu La radiothérapie Source «La radiothérapie», 2009 Copyright : Ligue suisse contre le cancer, Bern Editeur Fondation Cancer 209, route d Arlon L-1150
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailAdvanced Resource Centre for Hadrontherapy in Europe PROJET SCIENTIFIQUE
1 Advanced Resource Centre for Hadrontherapy in Europe PROJET SCIENTIFIQUE ARCHADE / Ion Beam Applications (IBA) Coordination : Pr. J. Bourhis Rédaction : E Baron, A. Batalla, J. Bourhis, J. Colin, D.
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailCORRECTION URGENTE SUR LES DISPOSITIFS MÉDICAUX NOTIFICATION DE SÉCURITÉ AUX UTILISATEURS
Objet : Produit concerné : Référence / identifiant FSCA : Date de la notification : Type d'action : Erreur de calcul des champs IMRT comportant plusieurs groupes de chariots avec le AAA Algorithme analytique
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailLE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose
LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le
Plus en détailDTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE
DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE Formation sous contrat d association avec l Etat Dossier d intégration en 1 ère année ÉCOLE MASO 7, avenue des Palmiers 66000 Perpignan tél. 04 68 35 76
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailFRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.
GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailUne ère nouvelle d imagerie dentaire
FRANÇAIS Une ère nouvelle d imagerie dentaire L appareil à rayons X révolutionnaire Planmeca ProMax permet un vaste choix de modalités d imagerie radiographique extra-orale pour répondre aux besoins de
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailProgramme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse
Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr
Plus en détailPLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR
Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailComplément: Sources naturelles de rayonnement
Complément: Sources naturelles de rayonnement 1 Notions de dose Dose absorbée en 1 point (D) unité: Jkg -1 ou gray (Gy) valeur moyenne de l énergie impartie (déposée) à la matière par unité de masse à
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailDOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public
R A P P O R T DOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public Rapport DRPH/SER N - DIRECTION DE LA RADIOPROTECTION
Plus en détailDossier thématique de la. Fondation de l'avenir. Chirurgie du futur SOMMAIRE
Dossier thématique de la Fondation de l'avenir Chirurgie du futur SOMMAIRE I L évolution de la chirurgie A La vidéochirurgie : une chirurgie mini-invasive 1 En quoi consiste la vidéochirurgie 2 - Les bénéfices
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailCompte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE
Compte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE Intervenants : - Docteur Nicolas Bonnet, chirurgien, service de Chirurgie Thoracique et Cardiovasculaire de l Hôpital de la Pitié-Salpêtrière,
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailPROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM
PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLes tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.
Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailRédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM)
G U I D E D E L ' A S N M E D I C A L en collaboration avec SOCIETE FRANÇAISE DE PHYSIQUE MEDICALE Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM) GUIDE Nº 20 Version du 19/04/2013 Préambule
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailRad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical
Bruxelles, 15 octobre 2013 Communiqué de presse Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical La radioactivité au service de la médecine, un savoir-faire belge qui s exporte dans le monde
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailConflits d intérêts. Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange 23/03/2011
Conflits d intérêts Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange Guy Kantor et AQUILAB : Stic stéréotaxie Projet commun INCa P2E (2007 à 2010) Focus group Artiview Projets conseil régional
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailL imagerie dentaire 3 D.
L imagerie dentaire 3 D. Tomographie, tomodensitométrie, Scanner (Ct Scan), tomographie volumétrique à faisceau conique ou CBCT (Cone Beam Computerized Tomography) tous ce termes font appel à la reconstitution
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailfacilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort
Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile
Plus en détailChapitre V : La gestion de la mémoire. Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping
Chapitre V : La gestion de la mémoire Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping Introduction Plusieurs dizaines de processus doivent se partager
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailThe consent form is also available in English.
Université McGill et hôpitaux affiliés Centre universitaire de santé McGill (CUSM) Hôpital général juif - Sir Mortimer B. Davis The Sir Mortimer B. Davis - Jewish General Hospital Centre hospitalier de
Plus en détailPHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010
Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire
Plus en détailÉvaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie
Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine
Plus en détailLeçon n 1 : «Les grandes innovations scientifiques et technologiques»
Leçon n 1 : «Les grandes innovations scientifiques et technologiques» Intro : Le XXè siècle fut un siècle de grands progrès scientifiques et techniques. Les évolutions connues par la médecine, les transports
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection
Plus en détailIntroduction. Installation de SPIRAL
JOURNEES ACCELERATEURS Roscoff 20/22 mars 2000 PROJET SPIRAL : LE POINT M.P. Bourgarel, P. Bertrand, C. Barué, D. Bibet, B. Bru, A. Chabert, F. Chautard, M. Di Giacomo, M. Duval,G. Gaubert, S. Gibouin,
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailCommuniqué de presse Information réglementée
IBA PUBLIE SES RESULTATS DU 1 ER SEMESTRE 2015 PROGRESSION DES VENTES DE 23,3 % ET PREVISIONS DE CROISSANCE 2015 REVUES A LA HAUSSE Louvain-La-Neuve, Belgique, 27 août 2015 - IBA (Ion Beam Applications
Plus en détailM. Pierre-frédéric VILLARD
N o d'ordre : 165-2006 Année 2006 THÈSE présentée devant l'universite CLAUDE BERNARD - LYON 1 pour l'obtention du DIPLOME DE DOCTORAT (arrêté du 25 avril 2002) présentée et soutenue publiquement le 28
Plus en détailD O S S I E R D E P R E S S E
La Fondation Lenval présente le bilan des réalisations financées grâce aux dons et lance sa campagne d information 2014 Mon ISF pour nos enfants D O S S I E R D E P R E S S E 16 avril 2014 Sommaire P 2/4
Plus en détail