Grippe A/H1N1 : Elargissement du dispositif de prise en charge des patients au secteur ambulatoire
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- Marie-Thérèse Richard
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1 Grippe A/H1N1 : Elargissement du dispositif de prise en charge des patients au secteur ambulatoire Dossier de presse Mercredi 22 juillet 2009 Contact presse : Service de presse de Roselyne Bachelot-Narquin :
2 Sommaire I- La situation épidémiologique au 22 juillet 2009 P.3 1. Dans le monde P.3 2. En France P.3 II- III- L élargissement du dispositif de prise en charge à la médecine ambulatoire P.4 1. L évolution de la prise en charge P.4 2. Le parcours de soins du patient recentré sur le médecin traitant P.4 Les différentes mesures qui accompagnent l élargissement à une prise en charge en médecine de ville P.6 1. Formation et information des professionnels de santé P.6 2. Les mesures de protection P.6 3. Une concertation régulière avec les instances représentatives P.7 2
3 I La situation épidémiologique au 22 juillet 1) Dans le monde Trois mois après le lancement de l alerte par l OMS, l augmentation du nombre de cas confirmés au niveau mondial se poursuit. L OMS a arrêté le comptage précis des cas et se concentre dorénavant sur le suivi des formes graves. La situation est préoccupante dans l hémisphère Sud où les basses températures de l hiver austral favorisent la circulation du virus ; le Chili, l Argentine et l Australie sont parmi les pays les plus touchés. En Europe, c est le Royaume-Uni, qui déclare à l heure actuelle le plus de cas avec une circulation virale établie. 2) En France En France, l institut de veille sanitaire (InVS) dénombre aujourd hui 793 cas (confirmés ou probables). Actuellement, chaque jour, de l ordre d une cinquantaine de personnes en France sont malades du fait de la grippe A/H1N1. Du fait de l apparition de foyers de cas groupés sans lien avec un voyage à l étranger, l InVS considère que nous sommes au début d une phase de circulation active du virus au sein de la population. Pour s adapter à ce constat, le système de surveillance est en train d évoluer et de se rapprocher de la surveillance populationnelle effectuée tous les ans pour la grippe saisonnière. Le nombre exact de cas ne sera donc plus comptabilisé à partir de maintenant. Seule une estimation de l évolution de l épidémie et une observation précise des cas sévère ou des décès sera effectuée. A ce stade, six personnes, dont l état de santé s est amélioré depuis, ont présenté une forme grave. Aucun décès n a été recensé. Nous sommes aujourd hui face à un virus qui semble avoir acquis une forte capacité de transmission, qui circule rapidement, mais qui reste d une virulence modérée. Nous ne sommes donc pas aujourd hui, même s il faut bien sûr rester très prudent dans cette analyse, face à la pandémie de type A/H5N1 que nous redoutions. Le nouveau virus A/H1N1 n est pas comparable au A/H5N1. Nous envisageons donc un passage en phase 6 à la rentrée sauf si nous observions une accélération de l épidémie dans le courant du mois d août. 3
4 II L élargissement du dispositif de prise en charge à la médecine ambulatoire 1) L évolution de la prise en charge Au début de l épidémie, le principe qui a guidé le choix du mode de prise en charge était une logique de contingentement, par l hospitalisation systématique des cas. L objectif était de ralentir au maximum la pénétration du virus sur le territoire et d améliorer sa connaissance ; le circuit mis en place et où le patient, signalé au centre 15, était orienté vers le centre de référence a donc permis de suivre très précisément le développement des cas français. Du fait de l évolution de la situation épidémiologique internationale et de l augmentation du nombre de cas sur le territoire national, il est apparu nécessaire de faire évoluer le dispositif de prise en charge en : o augmentant le nombre d établissements de santé pouvant assurer la prise en charge des patients (passant de 112 à 450) ; o arrêtant l hospitalisation systématique pour la réserver aux seuls cas graves. Les patients sont isolés à leur domicile ; o remplaçant de la prescription systématique d antiviraux par une prescription au cas par cas, sur évaluation du clinicien. Avec le début de la circulation active du virus dans la population détectée par l InVS, c est une nouvelle étape qui est nécessaire : celle de l élargissement du dispositif à la médecine ambulatoire. Les professionnels de santé libéraux, en particulier les médecins généralistes vont par conséquent être, dès le 23 juillet au cœur du dispositif. Cet élargissement à la médecine de ville est mis en place alors que le nombre de cas en France est limité à ce jour, pour qu il puisse se «roder» avant une augmentation possiblement importante du nombre de cas. 2) Le parcours de soins du patient recentré sur le médecin traitant Le médecin traitant est au cœur du dispositif : o c est lui que le patient qui a des symptômes évocateurs de grippe consulte ; o c est lui qui évalue l état clinique du patient et décide si la prescription d un antiviral est nécessaire ; o c est lui qui recommande les mesures d hygiène et d isolement à domicile ; o c est lui qui oriente les cas graves vers le SAMU/Centre 15 pour une prise en charge adaptée. Le dispositif SAMU/centre 15 et des établissements de santé dotés d une consultation dédiée restent activés. Ce dispositif est destiné à prendre en charge les cas graves et dans tous les cas les enfants de moins de 1 an qui doivent faire l objet d un traitement et d une surveillance en milieu hospitalier. 4
5 Le prélèvement naso-pharyngé n est plus réalisé systématiquement. Il est désormais effectué chez les patients présentant des signes de gravité, chez les patients traités et présentant une aggravation de leur état ainsi que sur quelques patients parmi des cas groupés. Par ailleurs, et comme cela est le cas pour la grippe saisonnière, des prélèvements sont réalisés par échantillonnage par les médecins du réseau de surveillance de la grippe (le GROG). La surveillance de l épidémie va donc s approcher de celle mise en place pour la grippe saisonnière. Elle ne comptabilisera plus précisément le nombre de cas mais en évaluera l évolution. Les pharmacies d officine délivrent, sur prescription médicale, les masques anti-projections (dits masques chirurgicaux) gratuitement et, quand ceux-ci sont nécessaires, les antiviraux, qui sont remboursés par l Assurance maladie. Les antiviraux pédiatriques restent pour l instant dans les seules pharmacies à usage intérieur des établissements de santé siège de SAMU. Le stock d Etat d antiviraux est réservé au moment où la circulation active du virus sur notre territoire le justifiera. A ce moment-là, les antiviraux seront délivrés gratuitement. Les dispositions ont été prises pour que les produits nécessaires à la prise en charge des patients atteints par la grippe soient disponibles dans les pharmacies d officine au plus tard le 23 juillet. Pour les antiviraux, c est à l officine d en faire la commande auprès du grossiste répartiteur en fonction du besoin (circuit classique du médicament). Le ministère de la santé et des sports s est assuré que les grossistes répartiteurs disposaient des quantités de traitement nécessaires. Les masques chirurgicaux sont en cours de mise à disposition des officines et les livraisons seront complétées en fonction du besoin. 5
6 III - Les différentes mesures qui accompagnent l élargissement de la prise en charge à la médecine de ville 1) Formation et information des professionnels de santé Notre pays se prépare à la pandémie grippale depuis plusieurs années. Au cours de cette phase de préparation, les professionnels de santé exerçant en libéral ont été informés et formés. En effet, plusieurs initiatives ont été prises pour les associer et les informer à l aide d outils : o kits de formation, d information et de communication et fiches «mémo» qui ont été adressés en 2006 ; o la première dotation de masques (FFP2 et anti-projections) dont professionnels ont été destinataires ; o deux numéros thématiques de la collection «repères pour votre pratique» sur la grippe édités l institut national de prévention et d éducation pour la santé (INPES) ; o des sessions de formation, organisées en 2006 et en 2007 dans toutes les régions et pour lesquelles le taux de participation a été important (entre 50 et 60%). A partir du 23 juillet, s ouvrira, sur le site Internet du ministère de la santé, et des sports un espace dédié aux professionnels de santé : Le site Internet dédié aux professionnels de santé permettra d informer les praticiens de l évolution des recommandations de prise en charge des patients. Il mettra à disposition une série de fiches «mémo» pour la pratique quotidienne. Il répondra aux questions que les praticiens se posent, comme celle par exemple de leur couverture assurantielle en pandémie. A l automne il comportera une rubrique régionale qui permettra à chacun de savoir comment il s inscrit dans le dispositif de soins local et quels sont les interlocuteurs de terrain auxquels il peut être fait appel. Les professionnels de santé libéraux ont été associés aux travaux d élaboration de cet espace dédié, travaux qui ont débuté le 1 er juillet et qui vont se poursuivre tout l été. 2) Les mesures de protection Parce que les professionnels de santé, quelles que soient les modalités de leur exercice, sont parmi les populations les plus exposées au virus et parce que la prise en charge des patients atteints de grippe ne peut se faire sans eux, l Etat a fait le choix d acquérir des stocks très importants de masques de protection dits «FFP2» qui sont massivement et gratuitement mis à la disposition des professionnels. 6
7 Depuis le début de l alerte, les moyens de protection nécessaires ont été mis à disposition des professionnels de santé exerçant en libéral. Il s agit de masques de protection dits FFP2 pour les professionnels, ainsi que de masques chirurgicaux qu ils pourront utiliser pour leur patientelle avant que ces derniers n aillent s en procurer en pharmacie. Ces dispositifs ont initialement été mis en place dans les établissements siège de SAMU afin que les médecins qui ne disposaient plus des réserves constituées par le kit fourni en 2007 puisse se réapprovisionner. Néanmoins, pour faciliter l accès à ces dispositifs, des livraisons complémentaires ont été assurées au niveau de chaque département. Les préfets ont ensuite organisé, au niveau du département, la mise à disposition des ces masques dans des sites de proximité. Les professionnels de santé peuvent se renseigner auprès de leur DDASS pour connaitre l adresse de ces sites de mise à disposition. 3) Une concertation régulière avec les instances représentatives La France dispose d un plan pensé et conçu pour un virus H5N1 dont la létalité est très supérieure à celle du virus A/H1N1 tel qu il circule à ce jour. Aussi, il est important d adapter avec les professionnels les modalités d adaptation de notre réponse. Le 27 juin 2009, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé et des sports, a ouvert le troisième congrès de la médecine générale à Nice et a échangé avec les professionnels présents sur ce sujet. Les 2 et 15 juillet 2009, Roselyne Bachelot-Narquin a réuni le conseil national de l ordre, les unions régionales de médecins libéraux (URML) et les syndicats pour faire avec eux un point de situation et écouter l analyse qu ils font de la situation et les éventuelles craintes qu ils expriment. Aujourd hui pour accompagner l élargissement du dispositif de prise en charge des patients : o La ministre a adressé personnellement aux médecins généralistes, pédiatres, pneumologues et ORL un courrier pour expliciter le nouveau dispositif ; o avec Brice Hortefeux, ministre de l Intérieur, de l Outre-mer et des collectivités territoriales, Roselyne Bachelot-Narquin a demandé aux préfets, de rencontrer les professionnels de santé de leur territoire d ici le 23 juillet dans le cadre des CODAMUPS ; ces rencontres seront l occasion de relayer le message auprès des professionnels localement. Cette concertation va se poursuivre et le ministère de la santé sera attentif à prendre en compte les remontées du terrain et à rester à l écoute des professionnels de santé qui sont en première ligne dans la lutte contre le virus A/H1N1. 7
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