DiversitÉ et technologie
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- Marie-Anne Bélanger
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1 DiversitÉ et technologie
2 REMERCIEMENTS Malcolm Scoble, B. Sc., M. Sc., Ph. D., titulaire de la chaire en génie minier de l Université de la Colombie-Britannique et membre du Conseil canadien de l innovation minière. Lorri A. McCann, B. Sc., ingénieur, directeur en gestion de projet et en ressourcement en construction chez Vale, et membre du Conseil canadien de l innovation minière. Participants aux entrevues téléphoniques et participants à la séance de discussion en groupe réalisée à l occasion de l International Future Mining Conference (conférence internationale sur l avenir de l industrie minière) organisée en novembre 2011 par l AusIMM. Ce projet est financé en partie par le Gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils sectoriels. Le Conseil RHiM désire souligner la contribution de Kingsford Consulting Ltd. Les opinions et les interprétations figurant dans la présente publication sont celles de l auteur et ne représentent pas nécessairement celles du gouvernement du Canada. Conseil des ressources humaines de l industrie minière (Conseil RHiM), 2012 Tous droits réservés. L utilisation de toute partie de la présente publication à des fins de reproduction, de conservation dans un système d extraction ou de transmission sous toute forme ou de quelle que manière que ce soit (par voie électronique ou mécanique, par photographie, par photocopie ou par enregistrement) sans avoir préalablement obtenu la permission écrite du Conseil RHiM constitue une violation de la Loi sur le droit d auteur. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Conseil des ressources humaines de l industrie minière 260, chemin Hearst Bureau 401 Kanata (Ontario) K2L 3H1 Tél. : Téléc. : Courriel : research@mihr.ca Vous pouvez également consulter le site Web suivant : Date de publication : mars 2012
3 Diversité et technologie La demande mondiale pour les matières premières entraîne une hausse du prix des produits de base et de la demande en maind œuvre minière. Selon le Conseil des ressources humaines de l industrie minière (Conseil RHiM), «les besoins cumulatifs en matière d embauche devraient être supérieurs à la moitié de la main-d œuvre actuelle de l industrie minière d ici 2021». En outre, selon l analyse Plus de nouveaux mineurs qualifiés seront requis d ici des principales tendances dans l industrie minière effectuée par Deloitte, «le capital humain disponible est tout simplement insuffisant pour que se matérialise la croissance prévue par les sociétés minières». Alors que la demande est en croissance, l offre de travailleurs est menacée par le recrutement insuffisant et le départ à la retraite imminent des baby-boomers. Le rapport Prévisions sur l emploi et l embauche dans l industrie minière canadienne 2011 du Conseil RHiM indique que le plus grand besoin en matière d embauche sera dans les métiers et les emplois non désignés, à travailleurs, ce qui représente environ 32 pour cent de l ensemble des besoins en matière d embauche. «Le départ à la retraite imminent de travailleurs de la génération du baby-boom, la difficulté d attirer et d embaucher de jeunes travailleurs, et une sous-représentation de divers groupes, comme les femmes et les nouveaux Canadiens, sont tous des éléments qui contribuent aux difficultés sur le plan des ressources humaines.» Il existe plusieurs moyens d atténuer cette pénurie de travailleurs qualifiés, comme tirer profit des progrès technologiques et diversifier la main-d œuvre actuelle. Le présent article examine comment la promotion des technologies d aujourd hui et de demain peut rendre le secteur plus attrayant auprès des groupes démographiques ciblés. L article est fondé sur une série d entrevues effectuées auprès d experts en technologie et en innovation de l industrie minière, de fournisseurs de services et d équipement miniers, de formateurs et de dirigeants d autres secteurs d activité. Un complément d information a été obtenu par l intermédiaire d une séance de discussion en groupe réalisée à l occasion de l International Future Mining Conference (conférence internationale sur l avenir de l industrie minière) organisée en novembre 2011 par l AusIMM. L étude s est penchée sur les nouvelles technologies introduites au cours des cinq dernières années et leurs répercussions sur les mineurs au cours des cinq à dix années suivantes. 1 Diversité et technologie
4 CONSTATATIONS La numérisation des activités minières, qui comprend par exemple le développement de l enseignement assisté par ordinateur, les progrès en matière de systèmes de communication souterrains (service Internet) et l intégration d ordinateurs à l équipement lourd, représente le principal progrès technologique des cinq dernières années. Les innovations qu a connues le secteur minier au cours des cinq dernières années n ont pas eu pour effet de diminuer davantage les aptitudes physiques requises chez les mineurs; les grands changements à ce chapitre ont eu lieu il y a 10 à 15 ans. Le manque de sensibilisation du public à l égard de la réduction des aptitudes physiques requises pour le travail minier freinerait considérablement l attrait et le recrutement de divers travailleurs au sein du secteur. Les systèmes et l équipement télécommandés et autonomes font de l industrie minière un choix de carrière plus intéressant et accessible pour les travailleurs ayant des personnes à charge ou ceux qui sont aux prises avec des difficultés physiques. NUMÉRISATION Au chapitre des compétences requises, le changement le plus frappant entraîné par les progrès technologiques est la connaissance de l informatique. Les travailleurs âgés sont généralement perçus comme étant moins réceptifs à la technologie en milieu de travail. Or, dans une récente étude effectuée dans le cadre du rapport X, Y, baby-boomers : la gestion des effectifs multigénérationnels dans l industrie minière, le Conseil RHiM a demandé à des travailleurs du secteur minier issus de la génération du baby-boom (nés entre 1943 et 1960) comment ils réagissent à la nouvelle technologie au travail. Leurs réponses ont remis en question les perceptions communes chez les employeurs interrogés tant pour le rapport ci-dessus que pour la présente étude, La technologie et l effectif minier du Canada. «En fait, les données suggèrent que le quart des baby-boomers associent les nouvelles technologies à une source de satisfaction professionnelle importante. Les baby-boomers bénéficient peut-être grandement de l efficacité accrue et de la réduction du travail manuel que procurent les progrès technologiques. En outre, de tels progrès stimulent peut-être l intérêt des baby-boomers en les obligeant à adopter une nouvelle approche ou à relever des défis.» Cette constatation laisse croire que les connaissances informatiques maintenant requises dans le secteur minier n expliqueraient peutêtre pas totalement pourquoi il est difficile d attirer les travailleurs âgés vers la profession; l obstacle serait plutôt la perception selon laquelle les travailleurs âgés ne s intéressent pas ou sont réticents aux nouvelles technologies. Ce facteur, combiné à la réserve de «En raison de leur expérience, les travailleurs âgés sont indispensables.» certaines compagnies minières à investir dans la formation de travailleurs âgés en raison des années de travail potentielles limitées, élimine un précieux groupe démographique expérimenté du bassin de maind œuvre. Les travailleurs âgés qui possèdent de l expérience dans le secteur minier jouent un rôle essentiel à titre de mentors pour les nouveaux mineurs. Il importe qu ils bénéficient d occasions d acquérir des compétences technologiques. 2 Diversité et technologie
5 EXIGENCES PHYSIQUES ET PERCEPTIONS ERRONÉES Les répondants de toutes les catégories interrogés dans le cadre de la présente étude, La technologie et l effectif minier du Canada, estimaient en très grande majorité que la technologie qui avait permis de réduire les exigences physiques des mineurs était instaurée depuis environ 10 ans dans la plupart des mines. Bien que la technologie introduite au cours des cinq dernières années et la technologie future continueront d abaisser les aptitudes physiques requises, l effet sera moindre; la technologie a déjà diminué la force brute nécessaire dans la plupart des procédés miniers. Aujourd hui, les innovations rendent l équipement «intelligent» et le milieu de travail, plus attirant. Les participants ont tous affirmé que les exigences physiques ne constituaient pas un obstacle important pour les femmes intéressées par une carrière dans l industrie minière. Cela ne signifie pas qu aucune difficulté ne s oppose aux femmes, mais que la force physique représente un obstacle de moindre importance que la perception ou la culture, par exemple. «Nos meilleurs opérateurs d équipement minier sont des femmes. Malheureusement, elles sont peu nombreuses à postuler pour ces postes.» De nombreux répondants ont souligné que les femmes sont déjà présentes dans les mines, où elles sont reconnues comme des opératrices d équipement prudentes et minutieuses. Le soin avec lequel les femmes manœuvrent l équipement revêt une importance particulière étant donné la tendance vers l utilisation d équipement minier plus imposant et plus coûteux. L industrie minière est préoccupée depuis un certain temps du nombre insuffisant de femmes qui envisagent une carrière dans le secteur. Nombre de répondants au sondage estimaient que le grand public ne comprend pas tout à fait les conditions de travail dans les mines ni les exigences requises; beaucoup d entre eux étaient d avis que les perceptions erronées nuisent à la participation des femmes et des personnes handicapées au secteur minier. Un répondant a indiqué : «Les nouvelles technologies rendent les mines beaucoup plus accessibles pour les femmes, les personnes handicapées et les travailleurs âgés. Toutefois, en réalité, il y a peu des femmes et de personnes handicapées dans les mines.» ÉQUIPEMENT TÉLÉCOMMANDÉ ET AUTOMATISÉ De nos jours, la plupart des mineurs font fonctionner de gros appareils, et, le plus souvent, ils le font sur place. En revanche, grâce aux récents progrès technologiques, les mineurs n ont parfois pas besoin de se trouver physiquement au même emplacement que l équipement qu ils utilisent. Un parfait exemple de ce type d avancée : les véhicules de transport sans conducteur. La séparation de la personne et de l équipement voire du lieu de travail réduit les obstacles à l embauche de travailleurs handicapés et de ceux pour qui un lieu de travail éloigné n est pas attirant (p. ex., avec personnes à charge). Le travail dans des sites éloignés est souvent synonyme de longs séjours loin de la famille, un obstacle de taille pour quiconque a des personnes à sa charge, comme c est souvent le cas des femmes. Cette constatation ressort dans le rapport intitulé Ramp-UP: A Study on the Status of Women in Canada s Mining and Exploration Sector, qui cite le manque de souplesse dans les modalités de travail, l absence de préavis de déplacement, l absence de services de garde et l insuffisance des congés parentaux comme facteurs freinant la venue de femmes dans le secteur. 3 Diversité et technologie
6 Au fur et à mesure que l industrie adopte de l équipement et des procédés télécommandés et automatisés, il deviendra essentiel de communiquer cette évolution de l environnement de travail au grand public afin de contribuer à régler les problèmes d attrait et de recrutement découlant d anciennes perceptions des exigences physiques et des conditions de travail dans les mines. PISTES À SUIVRE Sensibiliser davantage le public aux conditions de travail dans les mines modernes pourrait se traduire par un intérêt accru des groupes sous-représentés femmes, jeunes, Autochtones et personnes handicapées pour une carrière dans le secteur minier. Remettre en question les perceptions relatives à la réceptivité des travailleurs âgés à l égard des nouvelles technologies en milieu de travail est susceptible de conduire au maintien en poste de travailleurs expérimentés. Offrir à cette cohorte une formation et une mise à niveau sur les nouvelles technologies constitue un moyen rentable de conserver de précieux mentors. Les activités minières télécommandées rendent les carrières dans le secteur minier plus attrayantes pour les travailleurs ayant des personnes à charge et les personnes handicapées. Ces occasions doivent toutefois être clairement communiquées au grand public par l intermédiaire de campagnes de sensibilisation faisant la promotion de la haute technologie qui caractérise l industrie minière canadienne moderne. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Deloitte. Suivi des tendances en 2012 : Les dix principaux enjeux des sociétés minières pour l année à venir. d3310vgnvcm c56f00arcrd.htm. Ernst & Young. Business risks facing mining and metals, Mining---Metals/Business-risks-facing-mining-and-metals Conseil RHiM. Prévisions sur l emploi et l embauche dans l industrie minière canadienne, FINALAug17.pdf. Conseil RHiM. Découvrir des possibilités : Les défis et possibilités en matière de ressources humaines au sein du secteur canadien de l exploration minérale, UP_Decouvrir_Poss_RPT_FR_FINAL.pdf Conseil RHiM. X, Y, baby-boomers : la gestion d effectifs multigénérationnels dans l industrie minière, Women in Mining Canada. Ramp-UP: A study on the status of women in Canada s mining and exploration sector, février Diversité et technologie
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