CONTRÔLE TECHNIQUE SOMMAIRE
|
|
- Céline Leblanc
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CONTRÔLE TECHNIQUE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU CONTRÔLE TECHNIQUE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU CONTRÔLE TECHNIQUE... 6 L'ACTIVITÉ DU CONTRÔLE TECHNIQUE LES POINTS DE VIGILANCE DU CONTRÔLE TECHNIQUE EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR
2 LE MARCHÉ DU CONTRÔLE TECHNIQUE Le secteur du contrôle technique automobile continue de voir son chiffre d affaires augmenter en valeur (effet prix) et, dans une moindre mesure, en volume. En effet, plusieurs facteurs lui sont favorables : - le vieillissement du parc automobile : résultat de la hausse du nombre de contrôles et de l amélioration de la qualité des véhicules, le vieillissement du parc automobile s est accentué (8,2 ans en moyenne). Or, les véhicules de plus de 4 ans étant soumis à une obligation de contrôle tous les 2 ans, ce phénomène est favorable au secteur, - le dynamisme du marché de l occasion : la bonne tenue de ce marché favorise l activité des centres de contrôle, les véhicules d occasion devant être contrôlés depuis moins de 6 mois au moment de leur cession, - l évolution réglementaire : le transfert de compétence des DRIRE (directions régionales de l industrie, de la recherche et de l environnement) vers les réseaux privés pour le contrôle technique des poids lourds (1er janvier 2005) a permis une hausse du chiffre d affaires du secteur en volume. Concernant les véhicules légers, l instauration de nouveaux points de contrôle a stimulé le chiffre d affaires du secteur tant en valeur et qu en volume. En outre, cette évolution réglementaire a entraîné une hausse du nombre de contre-visites et donc une augmentation de l activité des centres de contrôle, - stabilisation de l activité d une année sur l autre : les variations cycliques du chiffre d affaires liées à la périodicité des contrôles (amplitude d activité une année sur deux) sont moins marquées ces dernières années. Malgré ce contexte favorable, l évolution de l activité du secteur laisse apparaître des difficultés. 2
3 Le nombre de centres de contrôle continue de progresser alors que le nombre d'immatriculations de véhicules légers neufs diminue. Le secteur se retrouve donc en situation de surcapacité, entraînant une baisse de la fréquentation moyenne par centre. En outre, bien que le contrôle technique des poids lourds constitue un relais de croissance pour les professionnels, les contraintes réglementaires et les investissements à consentir ne laissent que de faibles perspectives aux indépendants sur ce nouveau segment d activité. Dans ce contexte, les centres de contrôle technique automobile devront poursuivre leurs efforts de fidélisation et d élargissement de leur clientèle : développement des forfaits (contrôle technique + contre-visite + contrôle volontaire), emplacements de premier choix et développement de synergies avec les assurances ayant des participations dans les réseaux. Tendances Sur le segment des contrôles des véhicules légers, le chiffre d affaires du secteur devrait poursuivre sa hausse en valeur soutenu par un effet prix. Conséquence des évolutions réglementaires (nouvelles dispositions prises en 2012), le nombre de contre-visites devrait augmenter compensant le léger repli du nombre de visites périodiques lié au renouvellement du parc automobile encouragé par les primes à la casse et les bonus écologiques (premier contrôle technique à échéance de 4 ans pour un véhicule neuf contre 2 ans pour les autres véhicules). Sur le segment des contrôles des poids lourds, le contexte économique actuel continuera d entrainer une baisse du nombre d immatriculations, nuisant au chiffre d affaires en volume des professionnels. Le projet d instauration du contrôle technique pour les deux roues constituera un nouveau relais de croissance pour les professionnels du secteur. 3
4 L organisation du marché - Les réseaux de contrôle technique agréés : 86% des centres sont rattachés à un réseau. Pour être agréés, ces réseaux doivent comporter des centres de contrôle dans au moins 90 départements et n'exercer aucune autre activité que celle du contrôle technique. Les réseaux agréés sont les suivants : - Auto Securité (900 centres en France), - AutoSur (850 centres en France), - Autovision (plus de 1000 centres en France), - Dekra/Norisko (1400 centres en France), - Securitest (1000 centres en France). - Les centres de contrôles techniques non rattachés à un réseau : ils ne représentent que 12,5% des centres. Certains font partie de groupements d'indépendants qui offrent certains services comme la formation du personnel ou des logiciels spécifiques à l'activité (groupement autonome de centres indépendants, coopérative A3S). -Les installations auxiliaires : Il s'agit des installations de contrôle situées dans les locaux de réparation et de commerce automobile. L'agrément n'est accordé à ces centres qu'en cas de nécessité d'assurer une meilleure couverture géographique et de répondre aux besoins des usagers. On en dénombre moins de 100 en France. 4
5 CONTRÔLE TECHNIQUE NOMBRE D'ENTREPRISES DU SECTEUR (1) CHIFFRE D'AFFAIRES DU SECTEUR (en milliards d'euros) ,087 Md (2) ÉVOLUTION DU CHIFFRE D'AFFAIRES DU SECTEUR EN VALEUR (indice ICA base 100 en 2010) ,8 (3) 101,9 101,2 103,0 100,0 (1) Source: INSEE, démographie des entreprises et des établissements champs marchand non agricole, Stocks d'entreprise au 1er janvier (2) Source: INSEE, ESANE. (3) Source: INSEE, Bulletin statistique. 5
6 LA RÉGLEMENTATION DU CONTRÔLE TECHNIQUE Les aptitudes professionnelles Le contrôleur technique a l expérience professionnelle d un mécanicien ou d un chef d atelier reconverti et a suivi une formation spécifique à la spécialité. Plusieurs voies sont possibles pour accéder au contrôle de véhicules légers, à savoir : - un CAP ou un CFP dans une discipline de l automobile et un stage de 900 heures, - un BAC Pro ou un BTS ou un DUT dans une discipline de l automobile et un stage de 175 heures, - un CAP ou un CFF ou un BEP dans une discipline de l automobile, une expérience dans la réparation automobile de 2 ans minimum et un stage de 175 heures, - un CPP dans une discipline de l automobile et une expérience dans la réparation automobile de 2 ans minimum, - une expérience dans la réparation automobile de 5 ans minimum et 175 heures de stage. Pour le contrôle technique des poids lourds, le professionnel doit justifier au minimum : - d un CAP, BEP, CFP, CPP dans une discipline de l automobile et une formation complémentaire de 900 heures. - d un CAP, BEP, CFP, CPP dans une discipline de l automobile, une expérience professionnelle d au moins 3 ans et d une formation de 285 heures. - d un BAC PRO, BP, BTA, BTS, DUT dans une discipline de l automobile et 285 heures de formation : 6
7 Le contrôle de véhicules de transports en commun de personne et de matières dangereuses nécessite une formation complémentaire d au moins 15 heures. Le contrôleur technique doit être extrêmement rigoureux et avoir une conscience professionnelle très développée. Toujours au courant des évolutions technologiques des nouveaux véhicules, il suit les changements de la réglementation dans sa spécialité. L environnement réglementaire Les contraintes à l installation Le contrôleur ainsi que le centre de contrôle (véhicules légers ou poids lourds) font l objet d un agrément délivré par la préfecture. Le professionnel doit justifier d une qualification (diplôme ou expérience professionnelle dans une discipline de l automobile et formation complémentaire au contrôle technique). Il ne doit faire l objet d aucune condamnation inscrite sur le bulletin n 2 du casier judiciaire. Les locaux professionnels doivent être spécifiques et réservés au contrôle technique. Le contrôleur ne doit pas exercer d activité de commerce ou de réparation automobile. Pour les véhicules légers, le professionnel doit disposer des matériels prévus dans l annexe 3 de l arrêté du ainsi que des moyens informatiques nécessaires à la saisie des informations en temps réel, à l édition des procèsverbaux de contrôle et la transmission des données à l OTC ou au réseau. Il doit en outre disposer d un système de qualité respectant les normes IOS 9000 et EN Pour les poids-lourds, les professionnels doivent justifier d une accréditation suivant la norme NF EN dans le domaine "contrôle des véhicules lourds". La durée de l agrément pour les réseaux de centres de contrôle technique des véhicules légers est de 10 ans. L agrément des centres qui ne sont pas rattachés 7
8 à un réseau n est pas limité dans le temps. Les réseaux de centres doivent couvrir au moins 90 départements. La durée de l agrément pour les réseaux de centres de contrôle technique des poids-lourds est de 10 ans. L agrément des centres qui ne sont pas rattachés à un réseau n est pas limité dans le temps. Les réseaux doivent exploiter au moins 30 centres de contrôle dans au moins 20 régions. Les principaux points de la réglementation professionnelle La profession est très réglementée. La périodicité des contrôles des véhicules légers est fixée par l article R 1191 du code de la route : dans les 6 mois qui précèdent la 4ème date anniversaire de la mise en circulation d un véhicule neuf, puis tous les 2 ans. Pour les véhicules d occasion, le vendeur doit remettre à l acquéreur un procès verbal de contrôle de moins de 6 mois. Les points de contrôles sont listés à l annexe de l arrêté du 18 juin 1991 modifié (la nomenclature applicable à comter du 31/12/2011 comporte 124 points de contrôle). Les tarifs des visites et contre visites sont librement fixés par les centres. Concernant les installations auxiliaires (installations de contrôle abritées dans les locaux de commerce et de réparation automobile), la loi du prévoit que le contrôleur ne peut effectuer plus de 35% du nombre de ses contrôles techniques par trimestre. L arrêté du fixe les 201 points de contrôle à effectuer chaque année sur les poids-lourds (tous les 6 mois pour les véhicules de transport public de personnes). Le maintien de l agrément des contrôleurs techniques de poids lourds nécessite une formation annuelle d au moins 24 heures, d un audit annuel favorable et la réalisation d au moins 500 contrôles sur les 12 derniers mois d activité. Pour les véhicules de transports en commun et de matières dangereuses, le maintien de l agrément nécessite une formation supplémentaire d au moins 4 heures par an, d un audit annuel favorable et la réalisation d au moins 25 contrôles sur les 12 derniers mois d activité. Un seul client d un centre 8
9 de contrôle technique pour poids lourds ne peut représenter plus de 10% du chiffre d affaires du centre. Toutefois, afin d assurer une bonne couverture du territoire, le préfet peut accorder une dérogation dans la limite maximale de 35% du chiffre d affaires du centre. Statut juridique et fiscal Rendez-vous dans notre rubrique Les guides pratiques / Mes impôts & taxes pour connaître le taux de TVA qui s applique à votre activité ainsi que le mode d imposition de vos bénéfices. Rendez-vous dans notre rubrique Les guides pratiques / Mon régime social pour connaître le montant des cotisations et des prestations de votre régime social obligatoire. 9
10 L'ACTIVITÉ DU CONTRÔLE TECHNIQUE L installation Le secteur étant en situation de sur-capacité, la création est un mode d installation est risqué. Pour la reprise, la valeur du fonds dépend de l emplacement et de l état du matériel. L exploitation d un fichier clients déjà constitué rend plus sûr ce mode d installation. Les premiers entrants dans le secteur atteignant l âge de la retraite, les opportunités de reprises sont assez nombreuses. Les investissements Pour le contrôle de véhicules légers, le professionnel doit disposer d un local de 200 à 250 m² avec une aire de dégagement. Le matériel informatique et les installations de contrôle (dont la liste est réglementée) représentent un investissement variant de 55 à 75 K. Pour le contrôle de véhicules lourds, le professionnel doit disposer d une surface d au moins m² (installations, parking, accès). Les installations et les équipements sont réglementés par arrêté. L investissement représente 300 K. La gestion Le suivi au quotidien Le professionnel suit l évolution de son chiffre d affaires en tenant compte des variations cycliques de son activité d une année sur l autre. Il tient à jour son fichier clients afin d effectuer des relances et, pour diversifier son activité, s attache à développer sa clientèle tant professionnelle (garages) que privée. 10
11 Les recettes de l activité Un CCTA effectue en moyenne 16 contrôles par jour, qu il facture entre 40 et 65 selon l endroit où il exerce. Un contrôle se fait en 1/2 h, ce qui, pour le professionnel exerçant seul, exige un gros effort d organisation. Les charges à surveiller Les charges de personnel représentent un poste très élevé et délicat à gérer en raison des à-coups d activité. Une gestion rigoureuse du personnel est donc nécessaire (CDD, horaires annualisés ). La part des charges de loyer s est accrue ces dernières années du fait de l importance de plus en plus grande du choix de l emplacement des locaux (centre ville ). La maîtrise du résultat Le compte de résultat dépend de la bonne maîtrise des coûts salariaux et de l importance de la concurrence. La gestion financière et les besoins en trésorerie Les fonds propres doivent représenter au minimum 30% des investissements. Bien que les variations d activité tendent à s estomper, les besoins en trésorerie peuvent être plus élevés une année sur deux (périodicité des contrôles). 11
12 CONTRÔLE TECHNIQUE EVOLUTION DU NOMBRE DE CRÉATION (1) LES RATIOS DE GESTION CLEFS Chiffre d'affaires moyen Marge brute Excédent brut d'exploitation Rotation des stocks Crédit clients Crédits fournisseurs Besoin en fonds de roulement 139 K (2) 99,99 % du CA 41,43 % du CA 121 jours de CA 21 jours de CA 41 jours de CA 26 jours de CA (1) Source : Insee, Démographie des entreprises et des établissements - champ marchand non agricole, Créations d entreprises. (2) Source : Moyenne indicative élaborée à partir de données Insee "Données du compte de résultat et bilan pour les personnes physiques", 2009 & Données exprimées en % et jours de chiffre d'affaires. 12
13 LES POINTS DE VIGILANCE DU CONTRÔLE TECHNIQUE Les principales difficultés du métier Dans un contexte de plus en plus concurrentiel du fait de la surcapacité du secteur, il est difficile pour les entreprises de maintenir un volume d activité permettant un bon niveau de rentabilité. L insuffisance des capitaux propres Cette insuffisance, souvent aggravée par un faible volume d activité, empêche le professionnel d améliorer ses équipements. Or, le matériel à haute technologie, très coûteux, est indispensable dans la profession. La surcapacité du secteur : Les réseaux ont mené une politique de maillage territorial qui a conduit à une surcapacité du secteur. La multiplication des centres de contrôle technique exacerbe les pressions concurrentielles et menace la rentabilité des centres contraints de mener une politique tarifaire attractive tout en subissant une diminution de la fréquentation moyenne de leur établissement. L impact de la réglementation : Les professionnels du secteur sont dépendants des évolutions réglementaires fixant les points de contrôle, le matériel nécessaire à l exercice de l activité et la périodicité des contrôles. En outre, les contraintes réglementaires sur le segment des contrôles des poids lourds sont très contraignantes (maintien des agréments, formation continue, etc ). 13
14 Dans un contexte de concurrence acharnée et d une réglementation contraignante, l adhésion à un réseau constitue un atout indéniable. Les professionnels qui réussiront le mieux seront ceux capables de maintenir leur volume d activité par une politique de fidélisation auprès de leur clientèle à la fois professionnelle et privée. CONTRÔLE TECHNIQUE TAUX DE SURVIE AU- DELÀ DES 5 PREMIÈRES ANNÉES Contrôle technique automobile Commerce et réparation Moyenne tous secteurs 87,5 % (1) 46,1 % 51,9 % (1) Source : Insee, Taux de Survie à 5 ans pour la génération
15 EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR Les principales organisations professionnelles SNCTA Syndicat National du Contrôle Technique Automobile 209 Route de Charlieu ROANNE Tél : CNPA Conseil National des Professions de l Automobile 50 rue Rouget de l Isle Suresnes Cedex Tel : Fax : FNAA Fédération Nationale de l Artisanat Automobile Immeuble Axe Nord, 9-11 rue Michelet St Ouen Cedex Tel : Fax : La presse spécialisée L automobile Magazine L auto Journal Auto Plus 15
COMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES
COMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES... 5 L'ACTIVITÉ DU
Plus en détailSOCIÉTÉ DE GARDIENNAGE
SOCIÉTÉ DE GARDIENNAGE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE LA SOCIÉTÉ DE GARDIENNAGE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE LA SOCIÉTÉ DE GARDIENNAGE... 5 L'ACTIVITÉ DE LA SOCIÉTÉ DE GARDIENNAGE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DE LA
Plus en détailENTREPRISE DE NETTOYAGE
ENTREPRISE DE NETTOYAGE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DE
Plus en détailCOUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ
COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ SOMMAIRE LE MARCHÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 2 LA RÉGLEMENTATION DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 5 L'ACTIVITÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 8 LES POINTS DE VIGILANCE
Plus en détailAGENCE IMMOBILIÈRE SOMMAIRE
AGENCE IMMOBILIÈRE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 8 LES POINTS DE VIGILANCE DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE...
Plus en détailTRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE
TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 8 LES POINTS DE VIGILEANCE DES TRAVAUX DE PLOMBERIE...
Plus en détailINSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION
INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES
Plus en détailCOURTIER ET AGENT D ASSURANCE
COURTIER ET AGENT D ASSURANCE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 4 L'ACTIVITÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 7 LES POINTS
Plus en détailTRANSPORT SANITAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 15/09/2014 1
TRANSPORT SANITAIRE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU TRANSPORT SANITAIRE... 4 L'ACTIVITÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 6 LES POINTS DE VIGILANCE DU TRANSPORT SANITAIRE...
Plus en détailTRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE
TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE SOMMAIRE MARCHÉ DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE...
Plus en détailAUTO-ÉCOLE SOMMAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 09/06/2015 1
AUTO-ÉCOLE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'AUTO-ÉCOLE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'AUTO-ÉCOLE... 6 L'ACTIVITÉ DE L'AUTO-ÉCOLE... 9 LES POINTS DE VIGILANCE DE L'AUTO-ÉCOLE... 12 EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR...
Plus en détailTRAVAUX DE SERRURERIE
TRAVAUX DE SERRURERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE SERRURERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE SERRURERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE SERRURERIE... 8 LES POINTS DE VIGILANCE DES TRAVAUX DE
Plus en détailDIAGNOSTIC IMMOBILIER
DIAGNOSTIC IMMOBILIER SOMMAIRE LE MARCHÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 2 LA RÉGLEMENTATION DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 5 L'ACTIVITÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER...
Plus en détailMASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE
MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE... 5 L'ACTIVITÉ DU MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DU MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE...
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détail672ZA Auxiliaires d'assurances
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,
Plus en détailElectricité - Plomberie
Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire
Plus en détailRéussir sa création d entreprise : les conseils de l expert-comptable
CSOEC 2015 Comité Création d Entreprise Réussir sa création d entreprise : les conseils de l expert-comptable La création d entreprises en 2014 550 800 entreprises créées en 2014 en France (+2,3% / 2013)
Plus en détailAnnée Scolaire 2013/2014 - Circulaire n 8 SOMMAIRE
Arradon, le 24 Avril 2014 N 863 / UDOGEC Pour Information à : A l'attention de : Mr le Directeur Diocésain Mmes et Mrs les Présidents d'ogec Mmes et Mrs Les Membres du C.A S/C de leur Chef d'etablissement
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailRéussir sa création d entreprise
Chambre des Experts Comptables du Cœur d Hérault Réussir sa création d entreprise Les conseils de l expert-comptable Support téléchargeable sur : www.cecch.fr CSOEC 2012 Comité Création d Entreprise La
Plus en détailREPRISE - CREATION D ENTREPRISE
REPRISE - CREATION D ENTREPRISE Stage de préparation à l installation Une équipe de chargés de développement économique à votre écoute Vous souhaitez devenir chef d entreprise, la Chambre de Métiers et
Plus en détailI'Car Mobility. La solution de gestion dédiée aux Agents de marque, Réparateurs Agréés, et indépendants
I'Car Mobility La solution de gestion dédiée aux Agents de marque, Réparateurs Agréés, et indépendants " S'engager auprès de vous pour simplifier votre quotidien " Entrez dans le monde de Sage L expertise
Plus en détailMon véhicule. «En auto ou à moto, chaque jour, je veux pouvoir me déplacer facilement.»
Mon véhicule «En auto ou à moto, chaque jour, je veux pouvoir me déplacer facilement.» Pour la Macif, être à vos côtés au quotidien, dans chacun de vos déplacements, est essentiel. «POUR VOUS, LA MACIF
Plus en détailDOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE
DOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE SOMMAIRE I. PRÉSENTATION DU PORTEUR DE PROJET. PAGE 3 I.1- Présentation générale I.2- Situation familiale I.3- Scolarité et formation professionnelle II.
Plus en détailde nouvelles aides pour les employeurs d apprentis Du CAP à Ingénieur un parcours gagnant l Apprentissage Un salaire progressif * Age de l apprenti 1re année du contrat 2e année du contrat 3e année du
Plus en détailÉvolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1
N 14 Avril 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Évolution du budget automobile des ménages
Plus en détailEN LIGNE. EMPLOYEUR Pôle emploi
Août 2012 GUIDE PRATIQUE Guide de SAISIE EN LIGNE de l ATTESTATION EMPLOYEUR Pôle emploi Depuis le 1 er janvier 2012 les entreprises de plus de 10 salariés doivent transmettre leur attestation employeur
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailRésultats financiers du 1 er trimestre 2015 Numericable-SFR retrouve le chemin de la croissance avec un EBITDA en hausse de 21%
Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 mai 2015 Résultats financiers du 1 er trimestre 2015 Numericable-SFR retrouve le chemin de la croissance avec un EBITDA en hausse de 21% Leader sur le marché de
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailÉdition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente
1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles
Plus en détailBaisse de l autofinancement et des investissements : un défi pour l action publique locale
Serge Bayard Président du conseil d administration La Banque Postale Collectivités Locales Jean-Pierre Balligand Président du Comité d orientation des finances locales La Banque Postale Thomas Rougier
Plus en détailAUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR
AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailLe régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM
Le point sur SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte»
Plus en détailCA CEBATRAMA. 10 décembre 2014 PRESENTATION
CA CEBATRAMA 10 décembre 2014 CONJONCTURE TP 2014 2 TRAVAUX REALISES : L ACTIVITE POURSUIT SA BAISSE AU 3T 2014/13 12,0 11,5 11,0 milliards d'euros constants - prix 2013 2011 2012 2013 2014 +4,3% -1,7%
Plus en détailPresse C H I F F R E S C L É S 2 0 1 2 S T A T I S T I Q U E S D E L A C U L T U R E
Presse C H I F F R E S C L É S 2 0 1 2 S T A T I S T I Q U E S D E L A C U L T U R E Ministère de la Culture et de la Communication Secrétariat général Service de la coordination des politiques culturelles
Plus en détailStatistiques Exercice 2011
Statistiques Exercice 2011 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations consignées dans ce fascicule sont communiquées à titre indicatif et ne peuvent être considérées,
Plus en détailLe contrat d apprentissage
Mai 2009 contrats et mesures Le contrat d apprentissage Vous recrutez un jeune tout en bénéficiant d avantages financiers. Vous le préparez à un métier de votre entreprise et à une qualification professionnelle
Plus en détail«Mécanismes» et contraintes budgétaires
Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr
Plus en détailRÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF
COMMUNIQUÉ PARIS, LE 12 FEVRIER 2015 RÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF Préambule : le présent communiqué s inscrit dans le contexte de la mise en œuvre de la Loi du 4 août 2014 portant réforme ferroviaire
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE BOUYGUES
Paris, le 25 février 215 COMMUNIQUÉ DE PRESSE BOUYGUES RÉSULTATS ANNUELS RÉSULTATS EN LIGNE AVEC LES ATTENTES BONNES PERFORMANCES COMMERCIALES RÉSULTAT OPÉRATIONNEL COURANT : 888 MILLIONS D EUROS RÉSULTAT
Plus en détailLe compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis
Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailLa Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif
Ivry, le 27 février 2014 La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Progression du résultat opérationnel courant à 72 m (+13,3%) Résultat net positif
Plus en détailLe régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM. À jour au 1 er janvier 2015
Le point sur ( ) SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur À jour au 1 er janvier 2015 L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur
Plus en détailL activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le régime. Le point sur. Auto-entrepreneur
Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte», par un
Plus en détailAujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»!
1 Aujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»! La démarche rationnelle qui vise à élaborer un projet de création ou de reprise d entreprise doit se traduire
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3034 Convention collective nationale IDCC : 1090. SERVICES DE L AUTOMOBILE (Commerce
Plus en détailAssurance Assistance et Prévention
Assurance Assistance et Prévention Solutions Partenaire Services Protéger votre Activité Animer vos Hommes Optimiser vos Finances Atouts Parc : la solution adaptée aux besoins d assurance, d assistance
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailLe régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Auto-entrepreneur. À jour au 1 er janvier 2014
Le point sur ( ) Le régime Auto-entrepreneur À jour au 1 er janvier 2014 L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se
Plus en détailAUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015
AUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015 Introduction A compter du 1 er janvier 2015, certaines conditions de l auto entreprise changent : un seul statut unique immatriculation obligatoire aux chambres consulaires
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailRégime matrimonial : Votre conjoint participe-t il (elle) à votre projet : Oui Non
BUSINESS PLAN Présentation du porteur de projet et de ses associés Etat Civil Nom : Prénom : Adresse : Code postal : Ville : Téléphone : Télécopie : Portable : Date de naissance : Lieu de naissance : Nationalité
Plus en détailService Economie du SNE. Economie du livre. Repères statistiques 2011 et tendances 2012. Mars 2013
Economie du livre Repères statistiques 2011 et tendances 2012 Mars 2013 0 Sommaire 1 Marché de l'édition en 2011 Un marché de l'édition stable Dynamisme de la production éditoriale Des relais de croissance
Plus en détailExiste-t-il une assurance auto qui s adapte à tous et surtout à moi?
Auto Existe-t-il une assurance auto qui s adapte à tous et surtout à moi? La gamme auto AXA Des tarifs réduits Des formules sur-mesure Des services Plus Le rapport des Français à leur véhicule a pris aujourd
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailCréer son institut de Beauté Esthétique à domicile
Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile Vous souhaitez créer votre institut ou devenir indépendante en réalisant des soins à domicile? Vous ne savez pas quelles démarches entreprendre et quelles
Plus en détailUne épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales
Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer
Plus en détailLettre Entreprise Info. N 14 / Février 2014. Lettre Entreprise Info
N 14 / Février 2014 Lettre Entreprise Info N 14 / Février 2014 Sommaire Social AGIRC-ARCCO : la clé de répartition des hausses de cotisations 2014-2015 est fixée : L objectif de la loi du 20 janvier 2014
Plus en détail2015/16. Autoentrepreneur. Bénédicte Deleporte
Autoentrepreneur 2015/16 Bénédicte Deleporte Avocat au Barreau de Paris Chargée d enseignement à l Univeristé Paris Est Créteil (UPEC, ex Paris 12) Deleporte Wentz Avocat www.deleporte-wentz-avocat.com
Plus en détailREUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014. Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.
REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014 Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.fr SOMMAIRE LE MARCHE DU PNEUMATIQUE EN FRANCE EN 2013 (Sources : ventes
Plus en détailLe régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur
Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte» ou à titre
Plus en détailProgramme ESSEC Gestion de patrimoine
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire «L investissement immobilier» Fiscalité de l immobilier François Longin 1 www.longin.fr Fiscalité de l immobilier Plusieurs niveaux de fiscalité (investissement
Plus en détailRÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC. Par : Service de fiscalité
RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Par : Service de fiscalité PRÉSENTATION Veuillez prendre note qu'il ne s'agit pas d'un résumé exhaustif de toutes les mesures contenues
Plus en détailDossier de presse. Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales. Du 18 au 25 novembre 2011
Dossier de presse Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales Du 18 au 25 novembre 2011 2 Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales - 18 au 25 novembre 2011
Plus en détailDOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE
DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE BUSINESS PLAN Partie 1 : Présentation de votre projet 1 Vous êtes prêt à créer votre entreprise? Ce dossier va vous permettre de préciser et de mettre en forme votre projet
Plus en détailBulletin trimestriel de conjoncture n 59
Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse
Plus en détailGaranties 2007 APRIL Gestion du Risque Client
[ la protection financière ] Entreprises Garanties 2007 APRIL Gestion pour petites et moyennes entreprises Un contrat unique qui vous donne accès à tous les outils de gestion de vos risques d'impayés APRIL
Plus en détailSCPI Rivoli Avenir Patrimoine
SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise, avec la SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Durée d investissement recommandée de 8 ans.
Plus en détailLicence professionnelle Management des relations commerciales
IUP Management et Gestion des Entreprises Licence professionnelle Management des relations commerciales / Lieux Lieux de formation de formation : Aurillac, : Clermont-Ferrand et et Brioude Vichy Objectifs
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailLicence professionnelle Assistant juridique
Promotion / Site : Clermont-Ferrand Objectif de cette licence professionnelle : Licence professionnelle Assistant juridique La licence professionnelle assistant juridique offre aux étudiants qui ont acquis
Plus en détailLe guide des formalités
Le guide des formalités Tout au long la de votre vie, CMA 30 est là... Sommaire Quelques rappels importants permettant de faciliter la réalisation des formalités auprès du Service Formalités des Entreprises
Plus en détailLe réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission
Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Un accompagnement historique! * Création ou reprise d entreprises agricoles Voyage de presse installation-transmission - 4 avril
Plus en détailPRÊTS IMMOBILIERS. Concrétisez vos projets immobiliers!
PRÊTS Concrétisez vos projets immobiliers! TOUTES UNIVERS NOS BANQUE SOLUTIONS POUR VOTRE IMMOBILIER PROJET IMMOBILIER PRÊTS PRÊT CLÉ DE SOL Vous prévoyez l achat d un bien immobilier? Avec Groupama Banque,
Plus en détailAnnexes RNCSA (2.5) SÉRIE 1
Annexes RNCSA (2.5) REPERTOIRE NATIONAL DES CERTIFICATIONS DES SERVICES DE L AUTOMOBILE 2015 Accord du 3 juillet 2014, étendu par arrêté du 5 janvier 2015 (J.O. du 10 janvier) SÉRIE 1 référence 3, dans
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailFiche pratique n 27. Les mentions sur les documents commerciaux et les factures. Août 2011. Fiche pratique n 27. CCIT d Alençon. Août 2011.
Les mentions sur les documents commerciaux et les factures Page 1/8 Page 2/8 Sommaire Documents concernés 4 Documents non concernés 4 Caractéristiques 4 Mentions obligatoires 4 Mentions facultatives (hors
Plus en détailRappels sur les missions, l évolution des populations couvertes et les engagements stratégiques
DOSSIER DE PRESSE Point presse du 2 juillet 2013 ANNEXES Rappels sur les missions, l évolution des populations couvertes et les engagements stratégiques www.rsi.fr Une mission : assurer la protection sociale
Plus en détailStatistiques Exercice 2012
Statistiques Exercice 2012 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations communiquées dans ce fascicule sont communiquées titre indicatif et ne peuvent être considérées,
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailLe pacte de responsabilité et de solidarité
Le pacte de responsabilité et de solidarité Direccte CENTRE Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi Qu est ce que le pacte de responsabilité
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PERIODE DU 1 ER AVRIL AU 31 DECEMBRE 2004-1 - COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ Période du 1 er avril au 31 décembre 2004 2003 2003 Exercice clos le Notes Pro forma 31 mars 2004
Plus en détailALLOCATIONS CHOMAGE. Effet au 01/07/2014
Questions sociales Note d information n 14-15 du 6 août 2014 ALLOCATIONS CHOMAGE Effet au 01/07/2014 Références Arrêté du 25 juin 2014 portant agrément de la convention du 14 mai 2014 relative à l indemnisation
Plus en détailCroissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance
Communiqué de Presse 20 février 2013 Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Résultats solides en 2012 Progression
Plus en détailI. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT
I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT Communication de M. Philippe Marini Rapporteur général I. LES DERNIERES DONNEES SUR LES DELOCALISATIONS
Plus en détail2.2. Les impôts et taxes PARTIE 2
2.2 Les impôts et taxes PARTIE 2 L avis de l expert-comptable La plupart des taxes sont dues à partir d un certain seuil d effectif (avec une période de franchise totale de 3 ans puis partielle : formation
Plus en détailUNE PROTECTION SOCIALE L EXEMPLE DE PRO BTP COMPLÉMENTAIRE SOLIDAIRE ET INTERGÉNÉRATIONNELLE IPSE BOLOGNE 4 JUILLET 2014
UNE PROTECTION SOCIALE COMPLÉMENTAIRE SOLIDAIRE ET INTERGÉNÉRATIONNELLE L EXEMPLE DE PRO BTP IPSE BOLOGNE 4 JUILLET 2014 1 Sommaire 1. Présentation de PRO BTP 2. Une protection sociale complémentaire Solidaire
Plus en détailLES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE
LES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE ETUDE ET PROPOSITIONS SEPTEMBRE 2010 SOUS LA PRESIDENCE DE : Bruno BERTHIER, Président du CCC COMITE DE PILOTAGE : Bernard BELLER, GAM BNP Paribas Bruno BERTRAND,
Plus en détailDevHopons plus que des relations
DevHopons plus que des relations TOGO : LES NOUVELLES OFFRES D EMPLOI 21/05/2013 01 ASSISTANT ADMINISTRATIF ET DES RESSOURCES HUMAINES. ATTRIBUTIONS : Placé sous l'autorité hiérarchique du Directeur des
Plus en détailMontpellier. 24 mai 2011
Montpellier 24 mai 2011 SOMMAIRE Le Groupe AXA Retour sur 2010, une année charnière Performance en 2010 et indicateurs d activité 2011 Priorités pour 2011 et après Christian RABEAU Directeur de la Gestion
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détail