Elisabeth Quignard Médecin gériatre, Unité de soins palliatifs, centre hospitalier de Troyes, membre du comité de pilotage de l EREMA
|
|
- Rodolphe Bonin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le refus de soins en gériatrie Elisabeth Quignard Médecin gériatre, Unité de soins palliatifs, centre hospitalier de Troyes, membre du comité de pilotage de l EREMA P. 1
2 Sommaire Le consentement aux soins... 3 Les spécificités du refus de soins en geriatrie... 4 refus de soins de la part du patient :... 5 refus de soins de la part du médecin :... 7 Comment comprendre le refus de soins?... 8 sur le plan psychologique :... 8 sur le plan philosophique et éthique :... 9 sur le plan juridique : Quelle attitude adopter face au refus de soins? pour le médecin et l équipe soignante : pour la famille et les proches P. 2
3 Le consentement aux soins La notion de refus de soins convoque tout d abord, un peu paradoxalement, la notion de consentement aux soins. On peut définir le consentement aux soins comme l adhésion à tout moment révocable d un malade à un projet thérapeutique. - Cette notion est maintenant bien cadrée par la loi du 04 mars 2002, complétée par la loi du 22 avril 2005 : tout acte de soins, qu il consiste en examen pour diagnostic ou en traitement, doit faire l objet d une explication claire, compréhensible et adaptée au patient ; et l on doit recueillir son consentement pour le pratiquer. - Il s agit d une véritable révolution dans la relation médecin / malade, qui transforme le patient «objet de soins» en patient «partenaire» à part entière dans les décisions qui concernent sa santé. Le consentement au soin proposé fonde donc une sorte de contrat entre le malade et le médecin, basé sur la confiance et le respect de l autre ; n oublions pas que c est le malade qui par son consentement fonde la mission même du médecin. - A l ancien modèle paternaliste qui s appuyait sur le principe de bienfaisance (le médecin agit dans l intérêt exclusif du patient et celui-ci, mis en situation de faiblesse par sa maladie et par son ignorance relative, doit lui faire confiance), se substitue un modèle qui s appuie sur le principe d autonomie et met l accent sur les droits du malade, le respect de sa liberté et de sa dignité de personne, et l obligation du médecin de respecter sa volonté. - Cette évolution est récente et semble s annoncer clairement à partir de 1995 : la charte du malade hospitalisé (circulaire du 06 mai 1995) indique que «tout patient informé des risques encourus peut refuser un acte de diagnostic ou de traitement à tout moment»; de même, le Code de déontologie du 06 septembre 1995 précise dans son article 36 que «le consentement doit être recherché dans tous les cas ; lorsque le patient en état d exprimer sa volonté refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus, après avoir informé le malade de ses conséquences». Ainsi, sur le plan réglementaire et sur le plan déontologique, la notion de consentement aux soins apparaît en miroir comme une possibilité de non consentement ou de refus accordée au patient. De plus ce consentement aujourd hui ne doit plus se contenter d être implicite, mais il doit être explicite. P. 3
4 Les spécificités du refus de soins en geriatrie Ici, il s agit rarement du non consentement à un acte de diagnostic ou de traitement, bien que cette situation puisse se rencontrer en gériatrie, avec des personnes âgées ayant conservé leurs facultés cognitives intactes, ou bien avec des personnes souffrant de syndrome démentiel. On rencontrera plus fréquemment des situations difficiles au cours desquelles des personnes âgées, le plus souvent en institution, refusent les soins habituellement pratiqués par les soignants ; il peut s agir de refus des soins d hygiène, ou de refus alimentaire. Tout se passe comme si la personne souhaitait vivre tranquille, sans être dérangée par des soins dont elle ne saisit pas forcément le sens. Le refus peut être calme, digne, ferme, répété, dans une attitude plutôt démissionnaire ; mais il peut aussi s exprimer de façon agressive ou violente, dans une attitude d opposition, surtout si les soignants insistent et ne respectent pas la volonté du patient. L entourage, familial comme professionnel, peut mettre facilement l accent sur les incapacités de la personne âgée, sur ses éventuelles difficultés psychiques, intellectuelles ou physiques, et en conclure rapidement qu elle est disqualifiée pour comprendre les enjeux de la situation, donner son avis et prendre une décision. Pourtant, la place de la parole de la personne âgée nous semble importante, quel que soit son état : pour les patients souffrant de démence, et parfois même à un stade avancé de la maladie, on peut encore informer le patient, s assurer qu il comprend qu un choix lui est offert, recueillir son avis sur son état de confort et s enquérir de ses souhaits quant aux décisions qui le concernent, que ce soit pour une entrée en institution ou bien quant à sa fin de vie. En effet, les travaux de Louis Ploton et de François Blanchard nous ont bien montré qu il persiste une vie psychique chez le patient souffrant de maladie d Alzheimer ou de syndrome apparenté, ainsi qu une grande richesse émotionnelle et affective : au-delà du déficit intellectuel et de la désorientation, il exprime par son attitude et son comportement ce qu il ne peut exprimer verbalement. Et il nous appartient de chercher par tout moyen à communiquer avec l autre, et de respecter ce minimum d autonomie qui subsiste, malgré les limites de l âge et de la maladie en chaque personne, comme l exprime Maguy Merlin. P. 4
5 S il est arrivé à un stade où son expression verbale est diminuée et l empêche de donner son avis ou d exprimer clairement sa volonté, on sera donc particulièrement attentif à son comportement en essayant de repérer s il est plutôt coopérant, opposant ou bien démissionnaire. Le refus de soins peut alors être considéré comme un véritable mode d expression pour le patient dément : cette attitude est donc porteuse de sens, mais nous ne sommes que rarement en mesure de comprendre. Le refus de soins recouvre donc des situations très diverses, que l on peut tenter de classer par typologies afin de réfléchir en amont aux décisions à prendre dans tel type de situation, mais en sachant bien qu il convient toujours d affiner l analyse de chaque cas particulier pour chaque individu dans sa singularité. refus de soins de la part du patient : refus d entrée en institution : il peut y avoir conflit de valeurs, notamment pour les patients souffrant de démence avec des troubles du jugement, et qui ne peuvent comprendre ni accepter le fait qu il n est plus raisonnable de rester seul à domicile, surtout si la famille ne vit pas à proximité. Pour autant, il est important de dialoguer ouvertement avec le patient, de lui expliquer clairement la situation et les enjeux, de laisser place à son expression, d écouter son avis, d essayer de le convaincre sinon de choisir du moins d accepter ce difficile tournant dans sa vie, puis de l accompagner dans la rude épreuve que constitue l abandon de son domicile et de son existence antérieure. L impression que tous se liguent contre lui est parfois la plus forte chez le vieillard, et peut générer des attitudes de refus de soins violentes ou au contraire un lâcher prise avec perte de l élan vital. refus d hospitalisation : il pose aussi de nombreuses questions, mais surgit brutalement, dans un contexte de crise généralement, ce qui complique encore la situation pour l entourage, et risque de laisser peu de possibilités de choix au patient. refus des soins quotidiens de base : toilette A un stade plus évolué de la démence, on sait que les soins d hygiène corporelle, et plus généralement les soins qui touchent à l intimité du patient peuvent entraîner opposition et attitude de refus. En institution, le moment de la toilette peut être source de violence, si l approche physique du corps de l autre n est pas suffisamment douce ni accompagnée de paroles apaisantes. Cela requiert du temps, de la patience, et demande une formation adaptée pour les soignants, par exemple selon la méthode Gineste Marescotti, qui a fait ses preuves. C est forcément plus difficile à réaliser si le contexte de l institution P. 5
6 est fortement marqué par une pénurie de personnel soignant et une surcharge de travail. refus alimentaire : peut-il constituer un langage? Comme chez l enfant? Ou plutôt l expression d une sagesse pour la personne qui «sent» ce qui est bon pour elle ou non? est-il aussi un mécanisme de défense pour conserver un semblant d autonomie, pouvoir encore décider seul quelque chose? Refuser de manger est parfois le seul espace de liberté qui reste à un vieillard pour s exprimer et se faire entendre. Sachons le comprendre au lieu de recourir d emblée à des solutions inappropriées et irrespectueuses des désirs profonds de la personne Il n est guère difficile de poser une GPE, mais bien plus délicat de réfléchir à son utilité dans un contexte de refus de soins, et plus ennuyeux encore de prendre une décision de retrait! Le recours à l alimentation artificielle pour un patient qui refuse toute nourriture peut constituer une grande violence dont il faut prendre conscience. refus de traitement : il peut s exprimer sur le plan personnel (je refuse cette opération chirurgicale que l on me propose et préfère mourir de ce cancer), et peut avoir parfois une dimension plus communautaire (refus de vaccination, par exemple). Dans le cas particulier des maladies démentielles, les refus de soin ou abandons de suivi sont fréquents et ont fait l objet d analyses, notamment dans le cadre de protocoles d études, car celles-ci peuvent se trouver biaisées. L étude de JACOVA et al. avait pour objectif d évaluer le taux de refus et de perdus de vue dans les études d observations et d étudier leurs caractéristiques ainsi que leur impact sur les résultats, à propos des données de l étude canadienne ACCORD (Canadian Cohort Study of Cognitive Impairment and Related Dementias). L échantillon était composé de 124 sujets présentant des fonctions cognitives normales et de 342 sujets présentant un déficit cognitif sans véritable démence. Les sujets qui ont accepté les évaluations cognitives ont été comparés à ceux qui ont refusé d être évalués, et les sujets qui ont accepté le suivi ont été comparés à ceux qui ont refusé d être suivis. Le taux de refus était fréquent, 40 % à l inclusion, et le taux de perdus de vue était de 55 % à 2 ans. Le refus était plus fréquent chez les sujets les plus âgés et les moins éduqués ; il est également associé à un risque accru d être perdu de vue pendant la période de 2 ans de suivi. Les sujets les plus à risque de conversion vers la démence dans les études de prévention sont aussi les plus à risque de refuser les évaluations cognitives ou le suivi. Cette analyse souligne l importance des sorties d étude dans le suivi de personnes âgées, en particulier dans le cas d une atteinte des fonctions P. 6
7 cognitives ; il semble donc intéressant de développer des stratégies pour maintenir ces sujets dans les essais afin d en assurer la validité. refus de soins de la part du médecin : Envers les patients âgés, de la part d équipes de spécialités médicales ou chirurgicales, estimant les demandes du médecin traitant ou du gériatre inappropriées (ex. pose d un stimulateur cardiaque, etc.). Le refus du seul fait de l âge est choquant, et l on aimerait que les décisions soient prises au terme d une évaluation des bénéfices attendus et des risques encourus, réalisée de façon pluridisciplinaire et discutée de façon collégiale. P. 7
8 Comment comprendre le refus de soins? sur le plan psychologique : Un refus de soins peut s expliquer par une absence d information du patient ou provenir d une insuffisance d écoute de la part du médecin ou du soignant ; il peut être réactionnel à un sentiment de perte de la maîtrise des événements qui concernent sa vie, voire à un sentiment de déshumanisation. Il peut traduire l épuisement lié aux différents renoncements obligés qu apporte la vieillesse, aux deuils à faire par rapport aux pertes physiques, à la perte du statut social antérieur, à l entourage qui devient plus clairsemé. Il peut s expliquer aussi par une douleur ou une souffrance morale insuffisamment prises en compte. Le refus de soins doit conduire les soignants à s interroger sur une éventuelle douleur qui n est pas verbalisée, mais s exprime par des signes indirects tels une apathie, un mutisme ou au contraire un état d agitation avec parfois refus alimentaire ou refus de soins. Une prise en compte efficace de la douleur repérée peut lever parfois rapidement une situation d opposition et de refus. Le vieillard vulnérable peut s enfermer dans un état dépressif, et il convient donc de chercher à discerner si le refus de soins correspond à un désir profondément ancré et durable, ou bien s il est l expression d une difficulté de vivre momentanée. En cas de doute, un traitement antidépresseur d épreuve semble incontournable. Plus particulièrement chez le patient dément, le refus peut aussi traduire son angoisse de mort souvent très forte, plus qu un véritable désir de mourir. N oublions pas ce que nous en dit Jean Maisondieu, qui voit dans la démence un refuge pour celui qui ne peut exprimer son refus viscéral de la mort Mais le refus de soins peut aussi exprimer une sorte de sagesse du patient âgé, fidèle à sa propre histoire, face à nos propositions de soins qu il juge disproportionnées au regard de ses attentes. Il nous enseigne alors à respecter ses propres limites et son désir d un espace de liberté. De même que le patient exprime par son attitude de refus une souffrance, de même le refus de soins peut induire une souffrance dans son entourage, tant parmi les soignants que parmi les membres de la famille. Peut-on en tant que soignant accepter de ne pas traiter un symptôme ou une maladie curable chez un patient qui refuse un traitement? Peut-on P. 8
9 accepter le refus des soins d hygiène, le refus de s alimenter sans tenter de convaincre, puisque l on ne peut contraindre? Face aux situations de refus de soins, les équipes soignantes sont soumises à de fortes tensions, car chacun se sent plus ou moins remis en cause dans son objectif professionnel premier qui est de soigner l autre. Cela évoque un échec de la mission du soignant qui peut être ressenti de façon très culpabilisante. Il convient d essayer de comprendre ce qui se joue dans la relation entre soignant et soigné : les interactions, les phénomènes d identification et de projection, les dérives possibles qui peuvent aller du maternage à l infantilisation en passant par le pouvoir dominateur. Il faut aussi savoir identifier, comme nous savons si bien le faire pour nos patients, quels sont nos propres mécanismes de défense face à l angoisse du patient âgé, et à ses détériorations tant physiques que psychiques sur le plan philosophique et éthique : Le respect de la liberté et de la dignité du malade implique le respect de son autonomie. L autonomie est la faculté de se donner à soi-même la loi de son action sans la recevoir d un autre. Selon l analyse de Suzanne Rameix, dans le domaine des soins, les décisions doivent donc se prendre au moins sous couvert d une négociation contractuelle, et le non consentement aux soins apparaît alors comme un contre-pouvoir à la technique, potentiellement manipulatrice de l homme. L autonomie du sujet, dans l analyse morale de Kant, ne peut par définition produire que des lois ; or le concept de loi impose l universalité. Produisant ses propres lois, l homme se libère des lois de la nature ou de la loi divine, mais pour se soumettre à la contrainte de sa raison législatrice universalisante. Et Suzanne Rameix poursuit : «Il faudra donc se demander, par exemple, si le refus de soins futiles est universalisable ; s il l est, on peut alors accepter, en respectant l humanité et du patient et du médecin, qu un patient et un médecin consentent à ne pas entreprendre des soins disproportionnés.» P. 9
10 sur le plan juridique : L information devient donc l élément clé qui alimente l autonomie du patient dans la décision de soins et qui lui permet d exprimer son consentement. Implicite jusqu en 1995, l information est désormais inscrite et détaillée dans le Code de déontologie médicale qui stipule dans son article 35 : «Le médecin doit à la personne qu il examine, qu il soigne ou qu il conseille, une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu il lui propose. Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension.» Depuis 1997, les magistrats ont décidé qu il appartenait désormais au médecin d apporter la preuve qu il avait donné au malade l information appropriée ; ceci complique particulièrement la situation en gériatrie, domaine où il est plus difficile de demander un consentement écrit. En revanche, le refus du consentement sera toujours noté dans le dossier, par exemple un refus d hospitalisation. Et l article 36 du Code de déontologie indique : «Si le malade est hors d état d exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que ses proches aient été prévenus et informés, sauf urgence ou impossibilité.» Il y a là une obligation d expliquer en détail aux membres de la famille la situation et le projet thérapeutique envisagé, et l entourage peut alors apporter au médecin le témoignage de ce qu aurait souhaité la personne âgée si celle-ci avait été capable d exprimer sa volonté. De plus, la loi du 04 mars 2002, puis la loi du 22 avril 2005 ont développé la possibilité pour toute personne de rédiger des directives anticipées, et également de désigner une personne de confiance. On peut simplement déplorer que ces lois soient encore insuffisamment connues du public, mais aussi des soignants voire du monde médical. L impossibilité de consentir, pour un patient âgé, malade, ou dépendant, ne doit pas cependant en faire un citoyen de deuxième classe : il reste une personne humaine dont la dignité et la respectabilité lui sont intrinsèques et ne peuvent être remises en cause. L impossibilité de consentir peut être de fait, par exemple en cas de démence, mais la finalité d une décision thérapeutique reste d améliorer la situation du patient, son confort et sa qualité de vie. Et l on mesure combien, dans cette situation, l habituel dialogue singulier médecin / P. 10
11 malade devient un échange beaucoup plus large entre une équipe pluridisciplinaire et l entourage du malade. L impossibilité de consentir peut-elle être de droit? Nombreuses sont les personnes, en institution gériatrique, qui sont placées sous régime de protection juridique ; pour autant, même si elles doivent être conseillées ou bien représentées, elles conservent souvent des capacités de compréhension, d expression, voire de consentement, et il semble primordial de recueillir au minimum leur avis pour les décisions qui les concernent, qu il s agisse d une entrée en institution ou bien d un quelconque traitement. Leur avis pèsera dans la décision finale, mais ne sera pas obligatoirement suivi, par exemple en cas de trouble du jugement. (De la même façon que les directives anticipées, l avis de la personne de confiance ou l avis de tel membre de la famille, selon la loi Léonetti, doivent être pris en compte dans les décisions mais ne s imposent pas au médecin, qui reste au final celui qui prononce la décision et en assume la responsabilité). P. 11
12 Quelle attitude adopter face au refus de soins? Soulignons qu en amont de ces situations de refus ou de décisions difficiles à prendre, il convient de s attacher à mettre tout en œuvre pour des conditions de vie et d hébergement satisfaisantes pour les personnes âgées, dans un souci de qualité de soins adaptés à chaque patient dans le cadre d un projet de soins défini en équipe et écrit (de trop nombreuse équipes font des projets de soins sans les formaliser véritablement) pour le médecin et l équipe soignante : - il s agit tout d abord d entendre ou de percevoir cette volonté chez un vieillard ; cela nécessite une certaine humilité de la part du médecin, auquel le patient trace ainsi les limites de son art - soulignons aussi que, si les critères d âge et de handicap ne peuvent à eux seuls peser sur les décisions, on doit néanmoins en tenir compte pour que celles-ci restent éthiquement valables, lorsqu elles concernent des personnes vulnérables ou en situation précaire - pour les soignants, face à un refus de soins, il s agit de dépasser le cap de la déstabilisation, de l incertitude, de la frustration ou même de la culpabilité, pour s interroger sur leurs pratiques et les valeurs qui les soustendent, sur la relation de soins qu ils souhaitent et notamment sur la place laissée au patient pour exprimer son autonomie, même lorsqu il est âgé, dépendant, malade, ou dément - sortir des alternatives : accepter ou refuser, faire ou ne pas faire. Ce sont peut-être de faux problèmes, car ils semblent cristalliser toutes les attentes et les espoirs sur un moment unique de décision, alors que celleci s inscrit dans le continuum d une histoire et d un parcours de soins où la vigilance éthique se doit aussi d être présente à chaque étape. - écouter l avis des soignants et de l entourage, rechercher en équipe des compromis et accepter de laisser au patient des possibilités de choix, même à propos de détails,. - être capable enfin de s incliner devant ce refus, tout en continuant à proposer des soins de confort et à assurer un entourage relationnel et affectif de qualité, sans abandonner celui qui choisit d autres voies, selon d autres valeurs Le CCNE rappelle ceci clairement dans son avis n 87 intitulé «Refus de traitement et autonomie de la personne» : «Une personne en fin de vie est dans la plus grande vulnérabilité qui soi, et l accompagnement, quelle qu en soit sa forme, constitue une exigence qui transcende largement le refus de traitement. Respecter un refus de traitement engage une obligation d accompagnement. C est pourquoi P. 12
13 toute pratique de refus ou de retrait ne peut jamais se limiter à l acte thérapeutique lui-même, mais oblige à la mise en place d autres stratégies d aide.» Le refus du patient oblige à la parole, à l échange, au dialogue, dans un climat de confiance : il s agit de faire alliance, de décider ensemble, dans une sorte d «alliance thérapeutique», comme disent avec justesse les psychiatres. Il s agit d un pacte qui engage les deux partenaires et aussi d une tentative de modérer l évidente asymétrie dans la relation entre le médecin et le malade, celui qui a du savoir et du pouvoir et celui qui n en a pas, celui qui est debout et celui qui est allongé, celui qui est bien portant et celui qui est malade. Alors une ouverture est possible vers un consentement, évolutif au fil du temps, à condition que s installe un climat d écoute et de confiance qui permette un véritable accompagnement dans la durée. Il s agira aussi d accepter les limites du travail des soignants en gériatrie, le poids de tâches répétitives et de soins qui conduisent malgré tout vers la mort, inéluctablement, plutôt que vers la guérison. Ceci est vrai pour bien des maladies chroniques graves, mais avec une allure particulière chez les déments, dont l état semble se dégrader inexorablement au fil du temps et de l évolution de la maladie. C est le travail en équipe et la cohérence de la prise en charge, la concertation répétée et les espaces de parole telles les réunions de synthèse hebdomadaires et les groupes de parole, qui pourront éviter l usure et le sentiment d isolement du personnel, et permettre des relations de qualité entre soignants et soignés, des relations de personne à personne où chacun se sent reconnu et respecté. Ce travail d équipe permet aussi au médecin de prendre des décisions médicales difficiles dans ces situations difficiles où les certitudes vacillent. Ensemble, on parvient à définir et coordonner les prises en charge ; en référence à des valeurs communes, le rôle de chacun est défini et valorisé, les différentes approches professionnelles s harmonisent et deviennent complémentaires, la bientraitance devient autre chose qu un mot et peut se vivre. P. 13
14 pour la famille et les proches Pour maintenir le lien familial, il convient d intégrer la famille dans la prise en charge du patient, autant que faire se peut (c'est-à-dire à la mesure aussi de leur désir dans ce domaine), et selon différentes modalités à trouver au cas par cas, selon les institutions et selon les individus : dans le processus d admission, dans l élaboration du projet de vie, dans les gestes de la vie quotidienne comme l aide à l alimentation ; n oublions pas que les proches ont souvent passé, durant les mois précédant l entrée en institution, beaucoup de temps à accomplir seuls ces gestes au domicile, et qu ils se sentent souvent dépossédés de leur fonction, quoique de façon ambivalente et avec un certain soulagement Il importe toujours, quelles que soient les formes d implication proposées aux proches, d éviter que s installe un vécu de culpabilité pour eux et /ou de rivalité avec l institution et son personnel. Une grande attention à la communication est donc nécessaire, en expliquant ce qui se passe, en fournissant des informations claires, en accompagnant la famille durant une évolution souvent longue et apparemment dénuée de sens, ce qui génère de la souffrance. Les proches connaissent l histoire de vie et les traits de caractère du malade et peuvent éclairer les soignants dans certaines situations difficiles à comprendre, à condition qu on leur laisse un espace d échange où ils se sentent écoutés. Un mot pour souligner toute la place des bénévoles dans ce type d accompagnement, à condition qu une formation minimale puisse venir étayer la bonne volonté, nécessaire mais non suffisante Pour conclure, le refus de soins comme le refus alimentaire demande d abord d être entendu ; cela nécessite certainement une certaine humilité de la part du médecin, auquel le patient trace ainsi les limites de son art Face au refus de l autre en matière de soins, il existe toujours différentes possibilités de réponses de la part des soignants, mais les meilleures attitudes semblent se situer, au cas par cas, dans la recherche d un compromis, en laissant au patient des possibilités de choix même minimes, mais aussi en sachant accepter ce refus et continuer à accompagner l autre dans son cheminement. P. 14
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailFONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE
FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE 1999 La Fondation nationale de gérontologie et le ministère des affaires
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailPrésentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes
Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailPage1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE
Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailLe guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé
DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLE MALADE EN FIN DE VIE
LE MALADE EN FIN DE VIE Un précepte, donc à suivre scrupuleusement, est celui de ne jamais abandonner un malade même en état de mort imminente et de tout mettre en œuvre pour relever les forces, et soulager
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailDonneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches.
L Agence de la biomédecine DON D ORGANES le guide L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE
PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailLA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort
LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort relation SRLF Paris, 11-12-13 mai C.LE BRIS BENAHIM Psychothérapeute - Formatrice Quimper CHIC Comment le vécu
Plus en détailLa responsabilité juridique des soignants
La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques
Plus en détaille guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine
le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement
Plus en détailLes aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne
guide pratique Les aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE SECRÉTARIAT D'ÉTAT CHARGÉ DES AÎNÉS eslégalesà
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailL ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE
N 220 - ROUFIDOU Irini L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE Pendant notre recherche du D.E.A., nous avons étudié l acquisition du langage chez le tout petit en
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailDocuments mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention
Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailInformation destinée aux proches. Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques
Information destinée aux proches Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques Qu est-ce qu une démence? La démence est une affection qui entraîne une détérioration du fonctionnement
Plus en détailCritères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer
CANCERS : LES DÉFIS «QUALITÉ» 67 Critères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer F. Bettevy, C. Dufranc, G. Hofmann Ligue nationale contre
Plus en détailLes grands-parents ont-ils le droit de voir leurs petitsenfants même en cas de conflit aigu avec les parents?
Les grands-parents ont-ils le droit de voir leurs petitsenfants même en cas de conflit aigu avec les parents? Oui. Sauf si l intérêt de l enfant nécessite l absence de tous contacts avec ses grands-parents.
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailLA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN
LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailasdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid
Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailIl y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à
Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à la sagesse qu il lui faut, avant tout, adapter ses
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailL'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique
L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique Vous trouverez ici notre guide d utilisation et d accompagnement pour l'aidant familial utilisant la tablette et nos jeux de
Plus en détail5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 c.sanfacon@videotron.ca
5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 LES TECHNIQUES D INTERVENTION Accepter mes propres émotions, éviter l affrontement, respecter l image du jeune. Ce n est pas toujours évident d intervenir
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailCours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»
«LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du
Plus en détailA.PERRIER, Directeur Soins Infirmiers A. GAUDILLERE, Resp. Assurance Qualité
Développer la Bientraitance dans un établissement de court séjour. s Retour d expd expérience A.PERRIER, Directeur Soins Infirmiers A. GAUDILLERE, Resp. Assurance Qualité Journée régionale 2010 «Qualité
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions.
LA REBELLION La rébellion est le fait de s'opposer violemment aux fonctionnaires et officiers publics qui agissent pour l'exécution et l'application des lois. I - ELEMENTS CONSTITUTIFS A - L ELEMENT LEGAL
Plus en détailRésidence Saint Jean
Résidence Saint Jean 41 Avenue Félix Baert 59380 BERGUES Tél : 03.28.68.62.99 Fax : 03.28.68.53.19 Email : stjean.residence@wanadoo.fr Site web : www.residence-saint-jean.fr Madame, Monsieur, Le Conseil
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailUn regard différent, une approche différente
Un regard différent, une approche différente Qu est-ce que la maladie d Alzheimer? La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées entraînent des difficultés au niveau de la mémoire, du langage, de
Plus en détailLe guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.
Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit
Plus en détailLE MARKETING SOCIAL ET
LE MARKETING SOCIAL ET LA PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE MARIE-HÉLÈNE GAGNÉ 6ème Colloque québécois sur la maltraitance envers les enfants et les adolescents Montréal, 29 octobre 2013 LE FARDEAU DE LA MALTRAITANCE
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailPROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean
PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence Justice alternative Lac-Saint-Jean Printemps 2013 OBJECTIFS Démystifier la problématique violence. Promouvoir les solutions pacifiques en matière de résolution de
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailUn contrôle citoyen avec les entreprises
Un contrôle citoyen avec les entreprises mai 2014 2 L objectif du plan d action La grande majorité des entreprises s inscrivent dans une démarche citoyenne et veillent à acquitter correctement leurs impôts.
Plus en détailGroupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5
Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Chapitre 6 La gestion des incidents Quelles que soient la qualité du système d information mis en place dans l entreprise ou les compétences des techniciens
Plus en détailBien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble
Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE
RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR L admission à la cantine ne constitue pas une obligation pour la commune, mais un service rendu aux familles dans le cadre de l organisation arrêtée par la collectivité
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détail