Synthèse sur le bilan de la qualité de l air en Seine-et-Marne en 2007 Point à proximité du trafic

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1 Synthèse sur le bilan de la qualité de l air en Seine-et-Marne en 2007 Point à proximité du trafic A la demande du Conseil Général de la Seine-et-Marne, AIRPARIF a établi un bilan de la qualité de l air à l échelle du département pour l année Pour évaluer la qualité de l air en Ile-de-France, Airparif dispose de stations de mesure fixes, des systèmes de modélisation et réalise des campagnes de mesure. Le réseau fixe comporte 5 stations de mesure en Seine-et-Marne : la station urbaine de Lognes, la station péri-urbaine de Melun, et les trois stations rurales de Montgé-en-Goële, Fontainebleau et Saints. Ces stations sont représentatives des concentrations «de fond». La station trafic temporaire de Melun située sur la RN6 a intégré le réseau fixe le 1 er janvier 2009 ; cette station a pour objectif de documenter la qualité de l air à proximité du trafic. Suivant les stations, les polluants mesurés sont les polluants réglementés caractéristiques du trafic (oxydes d azote (NOx), particules de diamètre inférieur à 10 µm (PM10), monoxyde de carbone (CO), benzène), du secteur industriel (dioxyde de soufre, SO2) et enfin l ozone, polluant secondaire formé en présence de NOx et de CO et/ou de composés organiques volatils (notés COVNM). Le monoxyde de carbone et le dioxyde de soufre ne dépassent pas les normes de qualité de l air à l échelle de l Ile-de-France. Le monoxyde de carbone n est donc pas mesuré en Seine-et-Marne. Les dernières mesures de dioxyde de soufre en Seine-et- Marne ont eu lieu en L ozone étant un polluant secondaire, non directement émis à la surface de la Terre, son étude n a d intérêt que dans les zones éloignées des sources de pollution directes. Il n est mesuré que dans les stations «de fond». En revanche, benzène, particules et dioxyde d azote sont mesurés en fond, mais aussi à proximité du trafic. Le suivi d un certain nombre de polluants non réglementés est également assuré via les campagnes de mesures. Stations de mesure de la qualité de l air du réseau Airparif implantées en Seine-et-Marne

2 I- Bilan météorologique de l année 2007 L année 2007 est une année météorologique singulière. La France a connu à partir de fin mars et durant le mois d avril une succession d épisodes de pollution de grande ampleur géographique. Le printemps a été particulièrement sec et ensoleillé, avec des températures élevées pour la saison. En Ile-de-France, l absence de pluie et de flux océanique perturbé a conduit à des phénomènes de re-circulation de masses d air polluées, notamment en particules. Ces conditions très sèches ont été accompagnées d une activité photochimique importante avec formation précoce de forts niveaux d ozone. Aucun épisode de pollution n a été enregistré durant l été 2007, caractérisé par un fort déficit d ensoleillement et des températures faibles pour la saison. En revanche, les conditions météorologiques ont été défavorables à la bonne dispersion des polluants à l occasion d un épisode anticyclonique froid fin décembre 2007 au cours duquel les concentrations de dioxyde d azote et de particules ont connu de fortes hausses. Concernant le dioxyde d azote, deux journées consécutives de dépassement de seuil (200 µg/m 3 ) ont été observées lors de cet épisode, le week-end précédant Noël. Les épisodes de pollution particules d avril et décembre 2007 n ont été que peu documentés, car les particules n ont fait l objet d une procédure d information et d alerte qu à partir de début II- La qualité de l air ambiant en Seine-et-Marne Les polluants réglementés l ozone L ozone (O3) est le seul polluant parmi ceux surveillés en Ile-de-France pour lequel les concentrations moyennes sont en augmentation tous les ans, de même que dans tout l hémisphère Nord où les niveaux de base ont été multipliés par 5 en l espace d un siècle. Dans l agglomération parisienne, les niveaux ont doublé entre 1992 et 2006 avec une même tendance à la hausse en zone rurale (18 % de hausse entre 1992 et 2006). Ce polluant estival est produit, sous l effet de la chaleur et des rayons UV du Soleil, à partir d oxydes d azote provenant du trafic routier et d hydrocarbures (vapeurs d essence, utilisation de solvants, de colles, de peintures.) émis dans l atmosphère au-dessus de l agglomération parisienne. La transformation de ces polluants en ozone nécessite un certain temps durant lequel les masses d air se déplacent sous l influence des vents dominants. Ce qui explique pourquoi on observe en zone rurale des niveaux d ozone plus élevés qu en plein cœur de Paris. La formation de ce polluant dépend donc fortement des conditions météorologiques. Des «accidents», comme la canicule de l été 2003, peuvent entraîner une forte augmentation des niveaux annuels d ozone. Le nombre de jours de dépassement de l objectif de qualité en ozone (110 µg/m 3 sur 8 heures) n a pas excédé 20 jours en zone rurale, et 10 en zone urbaine/périurbaine en Seineet-Marne en D une manière générale, les concentrations en ozone en 2007 ont été les plus basses depuis 2002 aussi bien en zone urbaine que rurale à l échelle de l Ile-de-France, en raison de conditions météorologiques peu propices à la formation de l ozone durant une grande partie de l été Cela s est aussi vérifié dans les 5 stations de Seine-et-Marne. le dioxyde d azote Pour le dioxyde d azote (NO2), l amorce d une baisse des concentrations moyennes annuelles s observe depuis En situation de fond en 2007, l objectif de qualité fixant la moyenne annuelle de dioxyde d azote à 40 µg/m 3 a été respecté au niveau des stations de fond seine et marnaises.

3 les particules Depuis 2007, la méthode de mesure des particules a changé. En situation de fond, l objectif de qualité (30 µg/m 3 en moyenne annuelle) a été respecté pour les particules dans toutes les stations rurales, périurbaines et urbaines, et franchi pour l ensemble des stations trafic, pour lesquelles la valeur limite (40 µg/m 3 en moyenne annuelle) a aussi été franchie. Les polluants non réglementés les métaux La station de Paris les Halles et le site de l aciérie SAM Montereau à Montereau-Fault-Yonne ont été le siège de la campagne métaux réalisée par Airparif en Les résultats de l étude montrent que les émissions de métaux de cette dernière installation sont importantes à l échelle régionale : 1 er rang pour le zinc, 2 nd pour le cuivre, le chrome et le manganèse, 4 ème pour le plomb, 6 ème pour l arsenic, 7 ème pour le nickel, 12 ème pour le cadmium. Cependant, pour tous ces polluants, les normes de la qualité de l air sont respectées, même à proximité des zones industrielles. Des mesures ont été poursuivies en 2008 autour de la raffinerie de Grandpuits. Les résultats sont en cours d analyse. les pesticides Les sites de Coulommiers (zone urbanisée isolée entourée de cultures céréalières) et de Chelles (limite de l agglomération parisienne et de zones de culture) ont été instrumentés pendant la campagne pesticide qui a eu lieu du 14 mars au 20 juin Sur les 80 pesticides recherchés au cours de la campagne (dont 23 herbicides, 31 insecticides, 23 fongicides, 2 acaricides et un némanticide), 30 ont été retrouvés dans l air ambiant francilien, 23 à Coulommiers et 20 à Chelles. Les herbicides et fongicides représentent 80 % des pesticides analysés. Plus l activité agricole autour du site de mesure est intense, plus le nombre de pesticides dans l air ambiant est élevé. D autre part, l étude pesticides ( montre aussi que les zones urbaines sont également touchées par la présence de pesticides. les dioxines La campagne dioxine de 2004 a mobilisé deux sites de Seine et Marne, un site de fond, d observation, à Fontainebleau, et un site proche des installations émettrices notamment l aciérie de SAM Montereau, déjà pré-cité dans les études métaux. Les concentrations mesurées sur les deux sites seine-et-marnais ne dépassent pas 0.1 pg I-TEQ / m 3 (équivalent toxique). Actuellement, seules les émissions sont réglementées. Néanmoins, le Ministère de l Environnement de l Ontario (Canada) préconise un critère de qualité de l air ambiant de 5 pg I-TEQ / m 3 en moyenne sur 24 heures (Source : Summary of points of impingement guidelines and ambiant air quality citeria (AAQCs), Standards development branch, Ontario Ministry of the Environment, septembre 2001). les suies L impact des retombées de suies sur les matériaux en sites péri-aéroportuaires a été étudié en , à proximité de Roissy, Orly, et sur quatre sites témoins, dont celui de Fontainebleau. Si l étude n a pas permis de mettre en évidence une majoration des suies autour des plates-formes aéroportuaires, une omniprésence des dépôts a pu être mise en évidence sur toute l Ile-de-France. L impact du trafic routier et celui des activités aéroportuaires n ont pas pu être départagés.

4 III L impact du trafic routier Les «points chauds» de Seine-et-Marne, c est-à-dire les axes routiers où les différents objectifs de qualité relatifs aux trois polluants «trafic» ont été dépassés, sont représentés sur la figure suivante. L ouest du département est plus fortement touché, en raison d un réseau routier plus dense, un urbanisme accru et des niveaux de fond plus élevés (d autant plus élevés qu on s approche de l agglomération parisienne). L impact de la francilienne est important, ainsi que celui de l autoroute du soleil et de l est, ou celui des nationales très empruntées telles que la N2, la N3, la N6. le dioxyde d azote A proximité du trafic, la station temporaire de Melun dépasse les objectifs qualité de 13 µg/m 3 en A plus grande échelle, les outils de modélisation ont permis de constater 114 km de dépassement (sur les km de voiries seine-et-marnaises modélisées) du même objectif de qualité, soit 3.6 % du réseau modélisé. L ouest du département est plus fortement touché par les dépassements, en particulier les principaux axes autoroutiers, A6, A104 (francilienne), A4, et de nombreux tronçons de routes nationales (N2, N3, N6, N34). les particules A proximité du trafic routier, 139 km de voiries (4.2 % du réseau modélisé en Seine-et-Marne) dépassent les objectifs qualité en Les axes concernés sont les mêmes que pour le dioxyde d azote. le benzène A proximité du trafic, 14 km de voiries (soit 0.5 % du réseau modélisé) dépassent les objectifs de qualité (2 µg/m 3 en moyenne annuelle). Contrairement aux deux autres polluants «trafic», les dépassements ont lieu essentiellement au sein des villes (Melun, Fontainebleau, Meaux, Chelles) ou sur de petites portions d autoroute. Les axes congestionnés ou à très forts débits sont propices aux dépassements de l objectif de qualité en benzène.

5 Résumé des axes dépassant les objectifs de qualité pour le NO2 (40 µg/m 3 - rouge), les PM10 (30 µg/m 3 - noir) et le benzène (2 µg/m 3 bleu) en Seine-et-Marne en 2007

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