En 2007, 88 % des ménages français ont acheté de la viande de porc fraîche, pour

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "En 2007, 88 % des ménages français ont acheté de la viande de porc fraîche, pour"

Transcription

1 Les consommateurs de porc frais et de charcuterie : qui sont-ils? Eclairage sociologique En 2007, 88 % des ménages français ont acheté de la viande de porc fraîche, pour une quantité moyenne de 12,3 kg par ménage acheteur. Quant aux produits de charcuterie, ils ont été présents partout : près de 100 % d acheteurs, pour une moyenne de 29 kg par foyer. Néanmoins, les comportements d achat sont assez hétérogènes selon les individus. Qui consomme le plus de viande de porc? Quels sont les ménages, qui, au contraire, en achètent peu? Se basant sur l analyse de données du panel TNS, le présent article apporte un éclairage sur les caractéristiques sociologiques des consommateurs de porc frais et de charcuterie. Méthode Les données du panel TNS fournissent des informations sur les achats des ménages dans les circuits de la grande distribution et les commerces traditionnels pour la consommation à domicile. Parmi les indicateurs disponibles, les achats des consommateurs seront caractérisés par le prix moyen, la pénétration et le niveau moyen d achat. L année 2007 est utilisée comme référence. La pénétration représente le pourcentage de ménages acheteurs du produit, sur l ensemble de la population. Le niveau moyen d achat d un produit représente la quantité moyenne consommée à domicile par un ménage acheteur de ce produit. Il est exprimé en masse de produit fini 1. Répartition des ménages selon les variables sociologiques (en %) Nombre de ménages français en 2007 : Nombre et âge des membres du foyer (total 100 %) Jeunes Le prix moyen est calculé en divisant les sommes dépensées par les quantités achetées. Le panel TNS fournit également des indications sur les caractéristiques des ménages. Les variables sociologiques étudiées ici sont la zone d habitation, la classe socioéconomique et la composition du ménage (nombre et âge des individus). La zone d habitation distingue les ménages selon le nombre d de la commune où ils habitent : moins de (zone rurale), entre et , entre et , plus de et l agglomération parisienne. TNS reprend les classes socioéconomiques définies par l INSEE, calculées à partir du revenu et du nombre d individus du ménage. Il y a Célibataires Couples Famille âge moyen seniors jeunes âge moyen seniors trois quatre et plus 7 % 12 % 13 % 6 % 17 % 11% 15 % 19 % Zone d habitation (nombre d de la commune) (total 100 %) < à à > Agglomération parisienne 24 % 23 % 13 % 23 % 17 % Classe socioprofessionnelle (total 100 %) supérieure inférieure 15 % 30 % 40 % 15 % Source : IFIP d après TNS Résumé Les différentes catégories socioprofessionnelles de la population française ont des comportements de consommation différents pour les produits porcins. Les classes de population qui consomment le plus de viande de porc sont en particulier les Résumé ménages aux revenus les plus L arti faibles et les ruraux. Plus un ménage est aisé, moins il consomme de porc frais et de charcuterie mais plus le prix moyen de ses achats augmente. Les jeunes ménages sont nettement moins consommateurs de porc frais et de charcuterie que les classes plus âgées. A l inverse, les seniors apprécient particulièrement la charcuterie à la coupe. 1 A ne pas confondre avec la consommation individuelle estimée par bilan, qui correspond à une masse de produit consommée au travers de l ensemble des circuits (à domicile et hors domicile), exprimée en équivalent carcasse et divisée par l ensemble des individus, qu ils soient consommateurs ou non. Financement INAPORC Vincent LEGENDRE TechniPorc, Vol. 31, N 4, la revue technique de l IFIP Synthèse 3

2 Les consommateurs les plus modestes achètent davantage de porc que les autres. quatre classes, de la plus à la moins nantie : «aisée», «moyenne supérieure», «moyenne inférieure» et «modeste». La composition du ménage distingue les célibataires, les couples et les familles (3 individus, 4 individus ou plus). En plus, on identifie si le ménage est «jeune» (le responsable des achats a moins de 35 ans), «d âge moyen» (de 35 à 64 ans) ou «senior» (plus de 64 ans). En 2007, la comptait près de 26 millions de ménages. Leur répartition selon les variables sociologiques étudiées est donnée dans l encadré (voir tableaux page précédente). Les indicateurs caractérisant les achats ont été croisés avec les variables sociologiques, afin d analyser la consommation de différentes classes de ménages en porc frais, charcuterie en Libre Service et charcuterie à la coupe. Niveau d achat élevé pour les ménages modestes Pour l ensemble des produits de porc frais et de charcuterie considérés, les prix moyens des achats des consommateurs augmentent avec leur niveau de revenus (Tableau 1). Le prix moyen du jambon cuit acheté par un ménage «modeste» en 2007 s est élevé à 8,3 /kg, contre 12 /kg pour un ménage «aisé». Pour les côtes de porc, les prix moyens s échelonnent entre 5,2 et 6,4 /kg. Tableau 1 : Prix moyen des achats des principaux produits de porc par classe socioéconomique supérieure inférieure ( /kg) Côtes 5,7 6,4 6,0 5,6 5,2 Rôtis 7,7 9,2 8,5 7,3 6,5 Morceaux marinés 8,1 9,9 8,3 7,8 7,4 Morceaux demi-sel 5,5 6,2 5,7 5,3 5,0 Charcuterie ( /kg) Jambon cuit LS 9,9 12,0 10,8 9,5 8,3 Jambon cru LS 17,5 21,9 18,8 16,2 15,0 Lardons LS 6,7 7,9 7,1 6,5 6,0 Saucissons secs LS 10,1 12,4 11,1 9,8 8,7 Saucisses fraîches LS 7,0 8,1 7,4 6,9 6,4 LS: Libre Service Source: IFIP d après TNS La consommation de porc est variable entre les ménages des différentes catégories socioéconomiques. La proportion de ménages acheteurs de porc frais et de charcuterie à la coupe est légèrement inférieur à la moyenne française dans les classes «aisées» et «modestes». La charcuterie en libre Service a quant à elle un taux de pénétration très élevé dans toutes les catégories de consommateurs français (Graphique 1). Les acheteurs de produits de porc sont plus fréquents dans les classes socioéconomiques moyennes. En revanche, s ils sont moins nombreux à acheter du porc, les consommateurs les moins nantis en achètent davantage que les autres. Le niveau de consommation de porc frais va du simple au double entre des ménages «aisés» et «modestes» (de 8 à 16 kg par an) (Graphique 2). Comme pour le porc frais, la consommation des nombreux produits de charcuterie est nettement supérieure chez les ménages aux revenus les plus faibles. Une famille «modeste» achète en un an deux fois plus de charcuterie en Libre-Service qu une famille «aisée» (26 kg contre 12 kg). Les différences sont particulièrement importantes pour le jambon cuit, les lardons, les pâtés et le saucisson sec (Tableau 2). Les niveaux d achat par classe socio-économique sont plus équilibrés pour les rillettes, andouillettes, le boudin et le jambon sec. 100 % supérieure inférieure Libre service Graphique 1 : Taux de pénétration par classe socioéconomique kg par ménage acheteur et par an Libre service supérieure inférieure Graphique 2 : Niveau d achat par classe socioéconomique 4 Synthèse TechniPorc, Vol. 31, N 4, la revue technique de l IFIP

3 A la coupe, les écarts de niveau d achat sont plus réduits (12 kg par an pour la classe «modeste» contre 9 kg pour les ménages «aisés»). Les familles modestes comptent donc une moindre proportion de consommateurs de porc, mais ils achètent plus que les autres classes, pour des prix moyens inférieurs. D après TNS, en 2007, 40 % du jambon cuit et plus de 50 % du jambon cru achetés en Libre Service en grande distribution l ont été sous forme de produits «économiques» (hard discount, marques «premiers prix» des hypermarchés et des supermarchés). Une consommation plus soutenue en milieu rural La consommation de viande de porc est plus soutenue dans les communes rurales (moins de ) que dans les agglomérations de taille plus importante, tant pour la viande fraîche que pour la charcuterie. Les ménages acheteurs y sont plus fréquents et ils achètent des quantités plus importantes. A l opposé, en région parisienne, la consommation de porc frais et de charcuterie (notamment à la coupe) est beaucoup plus faible que la moyenne (Graphique 3). Tableau 2 : Niveau d achat par classe socioéconomique En kg par ménage acheteur et par an supérieure inférieure Côtes 4,2 2,9 3,8 4,4 5,5 Rôtis 4,3 3,4 4,1 4,5 4,7 Jambon cuit LS 5,8 4,0 5,3 6,3 7,4 Jambon cru LS 1,0 0,9 1,0 1,0 1,2 Pâtés LS 1,9 1,2 1,6 2,0 2,6 Rillettes 1,2 1,0 1,1 1,3 1,4 Lardons LS 2,9 2,0 2,6 3,1 3,5 Saucissons secs LS 2,7 1,8 2,4 2,9 3,5 Saucisses fraîches LS 4,1 2,8 3,6 4,4 5,3 Andouilles et andouillettes LS 1,1 0,9 1,0 1,2 1,3 Boudin LS 1,2 1,2 1,3 1,2 1,3 % kg par ménage acheteur et par an < à < à % des ménages des zones rurales achètent du porc frais, contre 87 % dans les zones peuplées de plus de et 81 % en agglomération parisienne. La consommation annuelle de porc frais par ménage acheteur varie de à > à Nombre d' Source : IFIP d après TNS Libre service Agglomération parisienne Nombre d' Graphique 3 : Pénétration par taille de commune d habitation LS > Graphique 4 : Niveau d achat par taille de commune d habitation 15 kg à la campagne à 9 kg dans la capitale (Graphique 4). Pour les produits de charcuterie, il y a également un gradient décroissant du niveau d achat entre les zones rurales et les grandes villes, à l exception du jambon sec, dont En 2007, 40 % du jambon cuit et plus de 50 % du jambon cru achetés en Libre Service en grande distribution sont des produits «économiques». La consommation de viande de porc est plus soutenue dans les zones rurales. TechniPorc, Vol. 31, N 4, la revue technique de l IFIP Synthèse 5

4 En kg par ménage acheteur et par an Les jeunes ménages consomment peu de porc, surtout du jambon cuit et des lardons. Tableau 3 : Niveau d achat par taille de commune d habitation < à la consommation est plus homogène (Tableau 3). Un ménage rural achète en moyenne sur un an 7 kg de charcuterie en Libre Service et 6 kg de produits à la coupe de plus qu un ménage parisien. D après l indicateur «métier du chef de famille» de TNS, ce sont les ouvriers et les agriculteurs qui ont le plus fort niveau d achat, pour presque tous les produits de porc frais et de charcuterie. Les jeunes en queue de peloton à Le nombre et l âge des qui composent le ménage influencent aussi la consommation. Les ménages «jeunes» sont proportionnellement moins nombreux que la moyenne à acheter du porc : le taux de pénétration du porc frais et de la charcuterie à > Agglomération parisienne Côtes 4,2 4,8 4,5 4,0 3,7 3,5 Rôtis 4,3 4,9 4,4 4,1 3,9 3,7 Jambon cuit LS 5,8 7,0 5,9 5,5 5,4 5,0 Jambon cru LS 1,0 1,0 1,1 1,0 1,0 1,0 Lardons LS 2,9 3,5 3,0 2,5 2,6 2,4 Saucissons secs LS 2,7 3,1 2,8 2,6 2,5 2,2 Saucisses fraîches LS 7,8 9,2 8,2 7,2 7,4 5,9 Ce sont les ouvriers et les agriculteurs qui achètent le plus de porc frais et de charcuterie. Source : IFIP d après TNS la coupe sont plus faibles chez eux, qu ils soient célibataires ou en couple, que dans les autres catégories (Tableau 4). Leurs niveaux d achats sont extrêmement bas. Ramené par unité de consommation (Voir note du graphique 5), un individu de moins de 35 ans vivant seul ou en couple achète seulement 4 kg de porc frais par an et moins de 3 kg de charcuterie à la coupe, contre respectivement 9 et 6,5 kg pour un membre d une famille de 4 ou plus (Graphique 5). En revanche, les jeunes ménages acheteurs sont plus nombreux pour les produits de charcuterie en Libre Service, en particulier pour le jambon cuit et les lardons. Les jeunes font partie des consommateurs qui achètent le plus de lardons (plus de 2 kg par an pour les jeunes couples, soit un niveau unitaire supérieur à celui des familles avec enfants) (Tableau 5). L observation des niveaux d achat par unité de consommation montre que les célibataires consomment un peu plus de viande de porc marinée que les autres types de ménages. Ces produits ne représentent encore que des volumes faibles, mais leur fort développement est notamment tiré par cette catégorie de population. La consommation de porc frais et de charcuterie des ménages les plus âgés est supérieure à celle des plus jeunes. Ainsi, le taux de pénétration et le niveau moyen d achat d une famille dont l enfant le plus âgé est majeur sont supérieurs à ceux d un ménage dont l aîné a moins de 5 ans. Ce constat soulève la question de l évolution qualitative et quantitative des habitudes de consommation. La consommation d un ménage jeune augmentera t-elle avec le temps, se rapprochant de celle des ménages plus âgés observés ici? Ou alors est-elle fortement marquée par des habitudes propres à la génération du ménage, qui varieront peu? L analyse présentée reste «statique», basée sur l observation d une année ; une analyse «dynamique» de la consommation, la comparant sur des périodes longues, pourrait lui apporter un complément intéressant. En % Tableau 4 : Pénétration selon le nombre et l âge des individus du ménage française jeunes Célibataires Couples Famille âge moyen seniors jeunes âge moyen seniors trois quatre et plus 88,2 67,0 75,0 87,8 86,0 94,6 97,1 91,4 93,5 Ensemble charcuterie 99,8 99,7 99,7 99,3 99,9 100,0 100,0 99,9 99,9 Charcuterie 84,6 57,6 75,3 90,1 70,9 94,0 97,4 85,8 86,4 Charcuterie LS 99,2 99,4 98,3 97,7 99,9 99,6 98,7 99,8 99,8 Jambon cuit LS 91,8 88,5 87,9 84,7 97,3 94,7 84,7 97,2 97,0 Jambon cru LS 68,1 56,8 57,7 55,0 79,9 73,5 64,4 74,3 76,9 Lardons LS 86,2 82,4 74,9 71,1 95,4 90,7 82,2 93,1 95,4 Saucissons secs LS 81,0 66,3 66,7 66,6 89,6 85,2 82,2 89,7 92,1 Source: IFIP d après TNS 6 Synthèse TechniPorc, Vol. 31, N 4, la revue technique de l IFIP

5 kg par unité de consommation du ménage acheteur et par an (1) Charcuterie Charcuterie LS Les célibataires consomment un peu plus de viande de porc marinée, en fort développement jeunes âge moyen seniors jeunes âge moyen seniors Célibataires Couples Trois Quatre (et plus) Source: IFIP d'après TNS (1) Pour la variable "nombre et âge des individus du ménage", les niveaux d'achat sont exprimés par "unités de consommation" (uc) du ménage, d'après la table de conversion de l'insee: 1UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour chaque adulte (+ de 15 ans) et 0,3 UC pour chaque enfant (- de 15 ans) supplémentaire. Cela permet de comparer la consommation de ménages de tailles différentes. Graphique 5 : Niveau d achat selon le nombre et l âge des individus du ménage Tableau 5 : Niveau d achat selon le nombre et l âge des individus du ménage En kg par unité Célibataires Couples Famille de consommation quatre du ménage acheteur age Jeunes et par an (1) moyen seniors jeunes âge moyen seniors trois et plus (2) Côtes 2,0 2,8 2,9 1,8 3,1 3,1 2,6 2,8 Rôtis 1,5 2,5 2,5 1,6 3,6 3,2 2,8 2,6 Morceaux marinés 0,9 1,1 1,1 0,7 1,0 0,7 0,9 1,0 Morceaux demi-sel 0,9 1,9 2,0 1,2 2,2 2,5 1,6 1,6 Jambon cuit LS 3,0 3,8 2,8 3,6 4,0 2,9 4,0 4,5 Jambon cru LS 0,5 0,8 0,7 0,6 0,8 0,7 0,6 0,6 Lardons LS 1,8 1,8 1,4 2,2 1,8 1,3 1,9 2,2 Saucissons secs LS 1,8 1,9 1,5 1,5 1,9 1,6 1,8 1,8 Saucisses fraîches LS 1,6 2,1 2,2 1,6 3,2 3,0 2,5 2,8 (1) voir graphique 5 ; (2) les chiffres correspondent à un ménage de quatre Source: IFIP d après TNS Les couples seniors achètent plus de charcuterie à la coupe qu en Libre Service, et apprécient les produits traditionnels. La coupe, une affaire de seniors La consommation des seniors, seuls ou en couple, se caractérise en particulier par des achats de charcuterie à la coupe bien plus importants que les autres catégories de ménages (Graphique 5). Les couples seniors représentent même la seule catégorie qui achète plus de produits à la coupe (13 kg par an) qu en Libre Service (10 kg). Le profil des produits qu ils achètent est également différent : leur consommation de charcuterie s oriente essentiellement vers des produits comme les saucisses à cuire, les andouilles et andouillettes et les boudins, tandis qu ils délaissent les lardons et le jambon cuit. Pour ce qui est du porc frais, les seniors représentent les tranches de population qui achètent le plus de porc demi-sel. Les seniors paraissent donc apprécier les produits de porc les plus «traditionnels», qui nécessitent du temps pour les préparer. Conclusion Ce sont généralement les mêmes classes de consommateurs qui achètent le plus de produits de porc frais et de charcuterie. Les taux de pénétration des principaux produits de porc (côtes, rôtis, jambon cuit, lardons, saucissons secs) sont élevés : ils occupent une place importante dans la consommation quotidienne des français. La charcuterie en libre service est ainsi présente dans la quasi-totalité des foyers, notamment du fait de la popularité du jambon cuit. TechniPorc, Vol. 31, N 4, la revue technique de l IFIP Synthèse 7

6 Les classes de population qui consomment le plus de viande de porc sont en particulier les ménages aux revenus les plus faibles et les ruraux. Marqué par un positionnement compétitif de son prix, le porc frais est une viande accessible à tous. Plus un ménage est aisé, moins il consomme de porc frais et de charcuterie et plus le prix moyen de ses achats augmente. Les jeunes ménages sont nettement moins consommateurs de porc frais et de charcuterie (surtout à la coupe) que les plus âgés. Leurs achats se concentrent sur des produits faciles et rapides à préparer, privilégiant nettement le Libre Service. A l inverse, les seniors apprécient particulièrement la charcuterie à la coupe et les produits qui nécessitent du temps de préparation. Les enseignements que l on peut tirer sur le «profil» des consommateurs de porc ne doivent cependant pas faire oublier que le comportement d achat peut se révéler très variable chez un même individu, selon les situations de consommation. Une observation des caractéristiques des consommateurs et de leur consommation a pour vocation de livrer des éclairages alimentant une réflexion plus opérationnelle. Mieux connaître les consommateurs permet d adapter au mieux l offre et la communication qui leur sont destinés. Contact : vincent.legendre@ifip.asso.fr Le Porc Par Les Chiffres édition 2008 Les chiffres clés les plus récents de la production porcine (filière, structures, prix), la sélection porcine, les résultats des élevages, le coût des bâtiments, le classement des carcasses, sous forme de tableaux, cartes, graphiques. Tous les prix et coûts pour se repérer tout au long de l année et avoir les derniers chiffres toujours sous la main : un outil indispensable à tous. Un CD contenant le fichier powerpoint des principaux graphiques et schémas complète la brochure ; les visuels présentant les données de chaque maillon de la filière peuvent directement servir à la préparation d interventions techniques. 25 (Brochure + CD Rom) - 52 pages Porc Performances 2007 édition 2008 Les résultats présentés dans la brochure Porc Performances proviennent des chaînes nationales de gestion technique des troupeaux de truies (GTTT), de gestion technicoéconomique (GTE) et de Tableau de bord (TB) qui rassemblent les résultats techniques et économiques des élevages de porcs français. Chaque année, un grand nombre de références sont calculées. Elles produisent les indicateurs indispensables à la conduite de l atelier porcin pages 21 x 29,7 Bon de commande à renvoyer ou à faxer à IFIP-Editions, 149 rue de Bercy PARIS Cedex 12 - brigitte.laval@ifip.asso.fr - Fax : Synthèse TechniPorc, Vol. 31, N 4, la revue technique de l IFIP

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013 n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à

Plus en détail

Observatoire des loisirs des Français

Observatoire des loisirs des Français Observatoire des loisirs des Français 8 e édition avril 2015 Rapport d étude Les loisirs, créateurs de lien social TNS 2015 Sommaire 1 Présentation de l étude 3 2 Principaux enseignements 5 3 Résultats

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail

Chapitre 1 : La consommation et l épargne

Chapitre 1 : La consommation et l épargne Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

L état de la pauvreté en France

L état de la pauvreté en France Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie

Plus en détail

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 23 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE 2014 ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est

Plus en détail

Menaces informatiques et Pratiques de sécurité en France Édition 2014. Paris, 25 juin 2014

Menaces informatiques et Pratiques de sécurité en France Édition 2014. Paris, 25 juin 2014 Menaces informatiques et Pratiques de sécurité en France Édition 2014 Paris, Enquête 2014 Les Internautes M. Serge PRISO Manager Sécurité 2 Les Internautes présentation de l échantillon 1 009 internautes

Plus en détail

Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin.

Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin. Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin. Les principaux points à retenir La fracture numérique de

Plus en détail

CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ

CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ Etude des produits transformés disponibles sur le marché français entre 2008 et 2011 ÉDITION 2015 2015 Etude du secteur des glaces

Plus en détail

Complémentaire Santé. Assurance Santé, Prévoyance, Retraite : risques perçus, risques assurés

Complémentaire Santé. Assurance Santé, Prévoyance, Retraite : risques perçus, risques assurés Complémentaire Santé 9 Français sur 10 estiment être bien couverts alors même qu ils ne connaissent pas exactement les frais de santé restant réellement à leur charge 9 Français sur 10 déclarent être couverts

Plus en détail

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager

Plus en détail

La complémentaire santé : une généralisation qui

La complémentaire santé : une généralisation qui La complémentaire santé : une généralisation qui n efface pas les inégalités Thibaut De Saint Pol, François Marical To cite this version: Thibaut De Saint Pol, François Marical. La complémentaire santé

Plus en détail

Conférence ALINE GRENIER, AGR. ET PIERRE MASSIE PROGRAMME D APPRENTISSAGE EN MILIEU DE TRAVAIL (PAMT)

Conférence ALINE GRENIER, AGR. ET PIERRE MASSIE PROGRAMME D APPRENTISSAGE EN MILIEU DE TRAVAIL (PAMT) Conférence ALINE GRENIER, AGR. ET PIERRE MASSIE PROGRAMME D APPRENTISSAGE EN MILIEU DE TRAVAIL (PAMT) 38 Programme d apprentissage en milieu de travail (PAMT) ALINE GRENIER ET PIERRE MASSIE POURQUOI LE

Plus en détail

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction

Plus en détail

3. Enquête Particuliers

3. Enquête Particuliers 3. Enquête Particuliers 3.1 Synthèse Enquête Particuliers Rappel méthodologique Mode de recueil : échange téléphonique d une vingtaine de minutes Échantillon de 1 000 particuliers Principaux thèmes abordés

Plus en détail

En 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat

En 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat Pages économiques et sociales des Antilles-Guyane N 36 - mai 2013 Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat En Guadeloupe, en 2010, un ménage sur trois est endetté

Plus en détail

La motorisation des ménages continue de s accroître au prix d un vieillissement du parc automobile

La motorisation des ménages continue de s accroître au prix d un vieillissement du parc automobile La motorisation des ménages continue de s accroître au prix d un vieillissement du parc automobile Marina Robin, CGDD, SOeS Avec 32,7 millions de véhicules, le parc automobile des ménages métropolitains

Plus en détail

jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\==

jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\== = = ëééíéãäêé=omnm= Fiche n MQ= jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\== = = L Enquête Nationale Trports et Déplacements (ENTD) réalisée en 27- est l occasion de faire le point

Plus en détail

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires

Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires > ÉDITION avril 2015 RAPPORT AU PARLEMENT FranceAgriMer 12 rue Henri Rol-Tanguy / TSA 20002 / 93555 Montreuil cedex www.franceagrimer.fr https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr MINISTÈRE DE L

Plus en détail

Les Français et la banque en ligne

Les Français et la banque en ligne Les Français et la banque en ligne Rapport d étude réalisé pour monabanq. Décembre 2010 CREDOC / 17 mai 2011 1 Synthèse 1 Internet a modifié la relation des Français avec leurs banques en s imposant comme

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages

Plus en détail

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets

Plus en détail

LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI

LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI Juin 2008 - N 24.1 LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI En 2007, la Dares et la Drees ont conduit une enquête

Plus en détail

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire

Plus en détail

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 23 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est un e-courtier,

Plus en détail

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires

Plus en détail

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette

Plus en détail

Les Français et le courrier publicitaire. Rapport

Les Français et le courrier publicitaire. Rapport Les Français et le courrier publicitaire Rapport Sommaire 1. Présentation de l'étude 2. Principaux enseignements 3. Résultats détaillés 4. Les habitudes en termes de courrier 5. Appréciation des différents

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre!

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait

Plus en détail

L impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P)

L impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P) L impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P) Auteurs : Hélène Xuan, Déléguée générale de la Chaire Transitions Démographiques,

Plus en détail

Départs en vacances : la persistance des inégalités

Départs en vacances : la persistance des inégalités SOCIÉTÉ Départs en vacances : la persistance des inégalités Céline Rouquette * Chaque année, quatre Français sur dix ne partent pas en vacances. Après des décennies de croissance régulière, la proportion

Plus en détail

Tablette tactile : la nouvelle nounou?

Tablette tactile : la nouvelle nounou? Observatoire Orange - Terrafemina Tablette tactile : la nouvelle nounou? Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 13 ème vague d un baromètre

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

Des économies potentielles en eau et énergie en abattoir

Des économies potentielles en eau et énergie en abattoir Des économies potentielles en eau et énergie en abattoir L IFIP a réalisé un bilan des consommations d eau et d énergie (gaz, électricité, fioul) sur la période 27 à 28 dans 3 outils d abattage-découpe

Plus en détail

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,

Plus en détail

60 produits solidaires pour les familles

60 produits solidaires pour les familles 60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers

Plus en détail

Définitions. Définitions sur le logement

Définitions. Définitions sur le logement Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente

Plus en détail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture

Plus en détail

Focus sur. métiers du numérique. métiers. les. Contexte régional. La piste. des

Focus sur. métiers du numérique. métiers. les. Contexte régional. La piste. des La piste des métiers Focus sur les métiers du numérique D ans sa définition la plus large, la filière numérique regroupe les entreprises des secteurs producteurs de biens et services numériques : électronique

Plus en détail

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Rappel de la méthodologie mise en œuvre Echantillon Mode de recueil Dates de terrain 2800 individus âgés de 6 à 65 ans. Plus précisément : 2000

Plus en détail

Gestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes

Gestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes Gestion de comptes - Rapport d étude Auteur Pôle Banque Finance et Assurance N étude 1400127 Février 2014 1 Gestion de comptes Sommaire 1. La méthodologie 3 2. Les résultats de l étude 6 3. Annexes 12

Plus en détail

les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français 2013 Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français septembre 2013 Cette étude a été réalisée par : 138

Plus en détail

L évolution de l illettrisme en France

L évolution de l illettrisme en France une comparaison dans le temps établie avec les mêmes outils de mesure L évolution de l illettrisme en France Agence Nationale de Lutte Contre l Illettrisme Pour l accès de tous à la lecture, à l écriture

Plus en détail

Emploi et Formation Secteur Publicité

Emploi et Formation Secteur Publicité Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES

Plus en détail

Héritages, donations et aides aux ascendants et descendants

Héritages, donations et aides aux ascendants et descendants Dossier Héritages, donations et aides aux ascendants et descendants Bertrand Garbinti, Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Le patrimoine d un ménage est constitué par la somme de tous les biens qu il

Plus en détail

Lutter contre les exclusions

Lutter contre les exclusions D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,

Plus en détail

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif

Plus en détail

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme?

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et

Plus en détail

santé AIDE pour votre

santé AIDE pour votre santé AIDE pour financer votre complémentaire santé Le chèque santé, une démarche simple et immédiate L Aide POUR UNE Complémentaire Santé (A.C.S.), un soutien pour protéger votre santé Il s agit d une

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

1) L impôt sur le revenu des personnes physiques

1) L impôt sur le revenu des personnes physiques DIRECTION DE LA LEGISLATION FISCALE Sous-Direction E - Bureau E 2 139, RUE DE BERCY - TELEDOC 568 75572 PARIS CEDEX 12 DLF/E/DO/2006000762 Fiscalités étrangères FE n 11/06 Anne Galmace 01 53 18 92 24 Fax

Plus en détail

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

Pierre Marchand Consultant

Pierre Marchand Consultant Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de

Plus en détail

Focus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage

Focus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe

Plus en détail

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur N 28 juillet 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Auteur : Nicolas ROUX 1 Le secteur de la

Plus en détail

Les coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7

Les coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7 Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Huitième édition 3 e trimestre 2013 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université

Plus en détail

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 2 e ÉDITION

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 2 e ÉDITION L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 2 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est un e-courtier,

Plus en détail

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques.

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques. LE PARC DE LOGEMENTS À PARIS Le parc existant La construction neuve Le marché immobilier Juillet 2007 Préfecture de Paris / DULE / Bureau de l habitat Section analyse et prospective habitat 1. INTRODUCTION

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Cinquième édition 4 e trimestre 2012 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université

Plus en détail

Dares Analyses L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011

Dares Analyses L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011 Dares Analyses OCTOBRE 2013 n 066 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011 En 2011, 2 millions de

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

q u estions santé d économie de la résultats Repères

q u estions santé d économie de la résultats Repères Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé résultats Repères Fin 2003, l Irdes a mené une enquête sur la protection sociale complémentaire d entreprise (PSCE) auprès

Plus en détail

Stéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements

Stéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements En un quart de siècle, la mobilité sociale a peu évolué Stéphanie Dupays En 2003, un homme âgé de 40 à 59 ans sur trois a une position sociale identique à celle de son père au même âge. Ce chiffre cache

Plus en détail

Les Français et le pouvoir d achat

Les Français et le pouvoir d achat Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire

Plus en détail

ESSEC Cours Wealth management

ESSEC Cours Wealth management ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique

Plus en détail

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée Les Français et le chauffage Résultats de l étude menée par IPSOS pour Via sèva Méthodologie et échantillon METHODOLOGIE : Cette étude a été réalisée en adhoc online, auprès d un échantillon issu de l

Plus en détail

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français > ÉDITION mars 2015 DONNÉES Achats de fruits et légumes frais par les ménages français Rappel Méthodologique Le panel Kantar Worldpanel mesure les achats de 12 000 ménages représentatifs de la population

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Sixième édition 1 er trimestre 2013 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

Les Français et l assurance Prévoyance

Les Français et l assurance Prévoyance Les Français et l assurance Prévoyance Protection financière de leurs proches en cas de coup dur : les Français sont préoccupés mais ne passent pas à l acte Méthodologie Échantillon 959 individus âgés

Plus en détail

santé AIDE POUR FINANCER VOTRE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ

santé AIDE POUR FINANCER VOTRE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ santé AIDE POUR FINANCER VOTRE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ LE CHÈQUE SANTÉ, UNE DÉMARCHE SIMPLE ET IMMÉDIATE L AIDE POUR UNE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ (A.C.S.), UN SOUTIEN POUR PROTÉGER VOTRE SANTÉ Il s agit d une

Plus en détail

LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE

LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE RAPPORT REDIGE PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE S.A. POUR La Direction Générale Emploi et Affaires sociales Sécurité sociale et intégration sociale Recherche

Plus en détail

Panorama du Crédit à la Consommation de SOFINCO. Les Seniors & le Crédit à la Consommation

Panorama du Crédit à la Consommation de SOFINCO. Les Seniors & le Crédit à la Consommation Panorama du Crédit à la Consommation de SOFINCO Les Seniors & le Crédit à la Consommation Étude de SOFINCO Novembre 2008 Synthèse Les seniors représentent une part croissante des utilisateurs de crédit

Plus en détail

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006 La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

Corefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?

Corefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,

Plus en détail

Septembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010

Septembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010 Septembre 10 - N 87 L édition 10 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique Enquête réalisée du 18 au juin 10 Depuis 1987, le Game Fair a élu domicile dans le cadre prestigieux

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail