NEVROSES. -Troubles obsessionnels compulsifs - Névroses phobiques. Dr C. Agbokou Hôpital Pitié-Salpêtrière IFSI 2009
|
|
- Fernande Gilbert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 NEVROSES -Troubles obsessionnels compulsifs - Névroses phobiques Dr C. Agbokou Hôpital Pitié-Salpêtrière IFSI 2009
2 Troubles obsessionnels compulsifs
3 Généralités Trouble peu fréquent Sex ratio = 1 Début chez l adolescent et l adulte jeune Progressif Association fréquente à une personnalité pré-morbide de type obsessionnelle Envahissement de l esprit par 2 types de symptômes spécifiques : les obsessions et les compulsions
4 Diagnostic clinique Existence : d obsessions de compulsions de rituels conjuratoires Conscience du caractère morbide du trouble avec lutte anxieuse Répercussion invalidante des symptômes (perte de temps considérable, conséquences professionnelles) ± personnalité pré-morbide de type obsessionnelle
5 Obsessions Sentiment, pensée ou image qui s impose de manière répétée et incoercible au patient. Malgré la reconnaissance de leur caractère absurde, elles provoquent chez lui un sentiment d angoisse.
6 Obsessions Obsessions idéatives Envahissement de la pensée par des idées (ruminations anxieuses), des mots, des chiffres, des images mentales absurdes (ex : image d une femme nue) folie du doute : doute permanent sur ses actes (ex : éteindre la lumière) Obsessions impulsives Crainte obsédante de réaliser contre sa volonté un acte absurde ou répréhensible (ex : se dénuder dans une église, dire une obscénité ) Phobie d impulsion : présence de l objet ou de la situation phobogène Passage à l acte exceptionnel Obsessions phobiques Envahissement par la pensée d une pensée, d une image ou d une situation redoutée Peur de la saleté, de la contamination, de la maladie
7 Compulsions et rituels conjuratoires «besoin irrépressible» d accomplir des actions, des rites déterminés, pour échapper à la crainte angoissante de ce qui pourrait arriver, si elle n est pas accomplie Les compulsions sont l équivalent des obsessions dans le domaine comportemental (registre de l agir) 1er temps : les compulsions permettent de diminuer l angoisse liée aux obsessions 2nd temps: les compulsions envahissent la vie du patient et deviennent elles-mêmes anxiogènes quand le patient tente de s y opposer (lutte anxieuse). Leur caractère absurde et gênant es reconnu par le patient Lorsque les compulsions se répètent souvent elles aboutissent à des rituels
8 Compulsions et rituels conjuratoires Compulsions en relation avec l obsession (ex : compulsions de lavage lorsque obsessions phobiques sur la peur des virus) Parfois sans lien avec l obsession, avec un caractère magique ex : arithmomanie : si je compte jusqu à 1000, je ne serai pas contaminé par un virus
9 Compulsions et rituels conjuratoires Compulsions élémentaires : toucher compulsivement un objet («folie du toucher»), compter jusqu à 3 lorsqu on croise un chien (rituel conjuratoire) Compulsions plus élaborées Compulsions mentales : arithmomanie Compulsions de lavage (rituels de lavage) : mesures complexes d hygiène et de désinfection, pouvant durer plusieurs heures, souvent secondaires aux obsessions phobiques Compulsions de vérification (rituels de vérification) : souvent associées aux obsessions idéatives, contrôles répétitifs (gaz, serrures, électricité )
10 Diagnostics différentiels Autres névroses : phobique, anxieuse Schizophrénie pseudo-névrotique : syndrome dissociatif, obsessions de contenu bizarre, absence de lutte anxieuse Dépression : épisode dépressif avec symptômes obsessionnels prévalents Affections organiques : épilepsie temporale, Gilles de la Tourette («tics»)
11 Évolution Évolution chronique, de pronostic souvent sévère Alternance de phases d exacerbation et de phase de diminution de la symptomatologie Les compulsions et les rituels interfèrent avec la vie socioprofessionnelle Complications : dépression, conduites addictives
12 Traitement Ambulatoire (hospitalier dans les formes sévères ou lors d épisodes dépressifs) Chimiothérapie Antidépresseurs : traitement de référence, propriétés antiobsessionnelles et anti-compulsives, indépendamment de l effet antidépresseur Benzodiazépines: ponctuellement (risque de pharmacodépendance) Psychothérapie: TCC, analytiques
13 Névroses phobiques
14 Névroses phobiques (trouble phobique) Agoraphobie Phobie sociale Phobies spécifiques
15 Névrose phobique (trouble phobique) Peur irrationnelle apparaissant devant des objets ou des situations n ayant en eux-mêmes pas de caractère objectivement dangereux Fréquence : 0,5% de la population générale Prédominance féminine Début chez l adolescent ou l adulte jeune Personnalité prémorbide possible : de type hystérique, ou passive-dépendante
16 Diagnostic clinique A évoquer devant : Des crises d angoisse suscitées par un objet ou une situation sans danger réel La conscience du caractère morbide du trouble L existence de conduites contra-phobiques (lutte contre l angoisse) : # évitement de l objet ou de la situation phobogène # conduites de réassurance au moyen d un objet ou d une personne contra-phobique # conduites de défi, affrontement délibéré du danger
17 Agoraphobie «peur des places publiques» peur de tout espace vide, foule ou lieu fermé, transports en commun d où on ne pourrait s échapper et où on ne pourrait être secouru Le plus invalidant des troubles phobiques Femmes dans 2/3 des cas Début entre 18 et 35 ans, parfois à la suite d un facteur déclenchant (deuil, rupture sentimentale)
18 Agoraphobie Anxiété anticipatoire marquée : peur de faire une attaque de panique et de se retrouver sans secours Évolution : - Augmentation des conduites d évitement : réduction progressive des sorties, recours systématique à l accompagnement d un tiers - Aggravation progressive du handicap social : désinsertion professionnelle - Résolution définitive rare Complications : - Syndrome dépressif dans 50% des cas - Conduites addictives : alcoolisme et toxicomanie médicamenteuse
19 Phobie sociale Crainte de parler ou d apparaître en public + anxiété anticipatoire due à la peur d être humilié ou soumis au regard de l autre, qui pourrait être critique, dévalorisant ou accusateur Plus fréquente chez l homme Début précoce : vers 15 ans Parfois associée à la peur de rougir en public = l eurotophobie
20 Phobie sociale Sentiment fréquent de culpabilité ou d infériorité associé Evolution : - Perte de confiance en soi puis perte de l estime de soi - Aggravation des conduites d évitement - Réduction progressive de la vie sociale (retrait puis isolement sociale) - Syndrome dépressif, conduites addictives
21 Phobies spécifiques (= phobies simples) Peur d un objet ou d une situation n ayant pas ou peu de caractère menaçant Survenue d attaque de panique en présence du stimulus (et seulement en sa présence) Début dès l enfance, souvent caractère familial Evolution : conduites d évitement et de réassurance permettant au sujet de ne pas être gêné dan sa vie quotidienne
22 Autres phobies Claustrophobie Nosophobie Dysmorphophobie Phobie d impulsion Phobie scolaire Panphobie
23 Diagnostics différentiels Agoraphobie - Névrose d angoisse (TP et TAG) - Névrose obsessionnelle - Mélancolie anxieuse - Schizophrénie pseudo-névrotique Phobie sociale - Névrose d angoisse : TP et TAG - Névrose obsessionnelle - Mélancolie anxieuse - Schizophrénie avec conduite contra-phobique Phobies spécifiques Peurs normales face à de situations potentiellement dangereuses sans anxiété anticipatoire (ex : se retrouver nez à nez avec un lion)
24 Traitement En général ambulatoire Hospitalisation indiquée dans les formes sévères d agoraphobie ou de phobie sociale ou lors d épisodes dépressifs Chimiothérapie - Antidépresseur : agoraphobie et phobie sociale sévère - Benzodiazépines : Traitement d appoint!!!!risque de pharmacodépendance - Β-bloquants : utilisation ponctuelle dans les phobies sociales Psychothérapies notamment TCC
Trouble d anxiété généralisée
Les troubles anxieux Le choix d une thérapie simple ou combinée est un choix personnel. Pour faire un choix éclairé, adapté à votre condition actuelle et répondant à vos besoins, oser poser toutes vos
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailGuide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant
Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION
Plus en détailLE SYNDROME D ASPERGER ou AUTISME DE HAUT NIVEAU TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES
TROUBLES PSYCHOPATHOLOGIQUES ET TROUBLES SPECIFIQUES DES APPRENTISSAGES TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES Dyslexie Dyscalculie Dr. David Da Fonseca Pédopsychiatre, Marseille david.dafonseca@ap-hm
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailIMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES
Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLes cyberaddictions. Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE. Service d addictologie
Les cyberaddictions Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE Centre collaborateur OMS pour la recherche sur les addictions Agenda C est quoi une addiction? L addiction
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailDescription des résidants dans les IHP et les MSP
I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailSNAP-IV Instructions pour la cotation
SNAP-IV Instructions pour la cotation La SNAP-IV est une version modifiée du questionnaire de Swanson, Nolan & Pelham (SNAP ; Swanson et al., 1983). Les items du DSM-IV (1994) du Trouble Déficitaire de
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLes troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne. SCOR inform - Septembre 2012
Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne SCOR inform - Septembre 2012 Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne Auteur Dr Lannes Médecin-Conseil SCOR Global
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailProgramme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives»
Programme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives» SOMMAIRE Pages Présentation de la Formation EPTHECC 2 Les objectifs de la Formation
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailJournée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre
Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Des actions en parallèle tout au
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailLES TROUBLES DU COMPORTEMENT de l enfant et de l'adolescent
Accueil Présentation Enseignement Recherche Actualité Publications Documents Dossiers Pédopsy et Web Bibliothèque Liens Module 3 : MATURATION ET VULNERABILITE. LES TROUBLES DU COMPORTEMENT de l enfant
Plus en détailLe trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction?
Le trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? Emmanuelle Pelletier, M.Ps., L.Psych. Psychologue scolaire Octobre 2004 Trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? La personne oppositionnelle
Plus en détailDéfinition trouble psychosomatique. TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289. Définition trouble psychosomatique. Définition trouble psychosomatique
Définition trouble psychosomatique TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289 La médecine psychosomatique est l étude des perturbations psychiques d ordre affectif et des troubles viscéraux qui en constituent
Plus en détailDIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE EN AMBULATOIRE DU TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ DE L'ADULTE
DIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE EN AMBULATOIRE DU TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ DE L'ADULTE MARS 2001 Recommandation pour la pratique clinique Service recommandations et références professionnelles Dans la
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailFMCAU QUOTIDIEN. De plus en plus populaires, les thérapies LES THÉRAPIES COMPORTEMENTALES ET COGNITIVES. Mise au point. www.quotimed.com N???
MÉDECIN GÉNÉRALISTE PAGES SPÉCIALES - N???? DATE???? 2006 N??? SOMMAIRE Quelles sont les bases théoriques? 2 Quel est le champ d application des TCC? Quelles sont les caractéristiques de la démarche comportementale
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailDossier technique. Guide des éligibilités pour les décisions prises dans les maisons départementales des personnes handicapées
Dossier technique Guide des éligibilités pour les décisions prises dans les maisons départementales des personnes handicapées Mai 2013 II Pour leur participation à l élaboration de ce document, la CNSA
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailL'engagement http://gazette.ditaime.com/article/38.html
L'engagement http://gazette.ditaime.com/article/38.html Définition Que veut dire au juste le mot engagement? Le dictionnaire nous en donne la définition suivante : «Promesse formelle, acte par lequel une
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailComment l enfant pense à la mort
Chapitre 1 Comment l enfant pense à la mort 1. Les situations dans lesquelles un enfant peut être confronté à la mort 2. Le concept de la mort chez l enfant 3. La mort dans le fonctionnement psychique
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailIl évoque un début post-traumatique de ses troubles car il s'est retrouvé 3 fois dans des incendies dont une fois au 15 ème étage!
Monsieur G Monsieur G réside sur la région depuis environ un an. Il vient consulter en disant qu'il a fait des attaques de panique depuis qu il était étudiant. Il avait vu un psychiatre sur Boulogne où
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailLes jeunes et les médias interactifs, les jeux et les réseaux sociaux
Les jeunes et les médias interactifs, les jeux et les réseaux sociaux Internet Jeux en ligne Textos Courriel Messagerie vocale Facebook Twitter Autrefois, les parents s inquiétaient du temps que leurs
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailUrgences psychiatriques à Paris
O R G A N I S AT I O N D E S S O I N S Urgences psychiatriques à Paris www.psycom.org Urgences psychiatriques à Paris SOMMAIRE Qu est-ce qu une urgence en psychiatrie? p. 03 Que faire en cas d urgence?
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailInégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF
Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités
Plus en détailLes diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale
Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Journée d étude «Les personnes sans chez soi» 29 mai 2015 2 Sommaire I. La démarche de diagnostic
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailJudy TAIANA, Dr en Psychologie Clinique, Psychanalyste 1
Judy TAIANA, Dr en Psychologie Clinique, Psychanalyste 1 INTRODUCTION Vous avez en permanence le besoin de vous sentir soutenu(e), reconnu(e), encouragé(e), aimé(e) par votre conjoint et vos amis? La peur
Plus en détailDemande de règlement d invalidité de longue durée
Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailContenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage
Contenu Introduction Répondants au sondage Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs Pour chacun des quadrants Pour les dimensions des quadrants Retrait de certains indicateurs Indicateurs
Plus en détailpsychiques : rôle et place du travailleur social
Santé mentale Souffrances ou troubles psychiques : rôle et place du travailleur social Direction générale de la Santé Direction générale de l Action sociale 1 Avant-propos Souffrances et troubles psychiques
Plus en détailPour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).
P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?
Plus en détailACCUEIL EN CENTRE DE LOISIRS ENFANT PORTEUR DE HANDICAP
ASSOCIATION DES CENTRES DE LOISIRS 11 avenue Jean Perrot - 38100 GRENOBLE Tél. : 04 76 87 76 41 - Fax : 04 76 47 52 92 E-mail : secretariat@acl-grenoble.org Site Internet : http://www.acl-grenoble.org
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailLa santé mentale et les maladies mentales chez les enfants et les adolescents Renseignements à l intention des parents et des aidants
La santé mentale et les maladies mentales chez les enfants et les adolescents Renseignements à l intention des parents et des aidants Qu est-ce que la santé mentale? La santé mentale (comme la santé physique)
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailLes stagiaires, au nombre de 12 maximum, disposent de tables de travail et de chaises.
Créé en 2005, l Institut Mots pour Maux est une association d accompagnement et d aide à la personne. Son objectif est de favoriser et de développer l amélioration de la condition de l être humain et son
Plus en détail«SOINS ET PSYCHOSE : QUESTION DE TEMPS»
«SOINS ET PSYCHOSE : QUESTION DE TEMPS» Les 8 et 9 mai 1998 LE CORUM MONTPELLIER Organisé par l association ISADORA et le Centre psychothérapique Saint Martin de Vignogoul Atelier E Président : P. FAUGERAS
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailINTRODUCTION 1. DESCRIPTION DU MILIEU
Recueil d internats en psychologie clinique (oriientatiion clliiniique et neuropsychollogiie) Édition 2013-2014 CSSS Allphonse-Desjjardiins,, centtre hospiittalliier uniiversiittaiire de Léviis 2 Table
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailPrévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français
Prévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français étude OCTOBRE 2014 L Institut Montaigne est un laboratoire d idées - think tank - créé fin 2000 par Claude Bébéar et dirigé
Plus en détailLe Stress Post - Traumatique
Le Stress Post - Traumatique Synonyme(s) : état de stress post-traumatique. Synonyme(s) : ESPT ; ESPT aigu ; ESPT chronique ; Névroses post-traumatiques ; Syndrome de stress posttraumatique ; Syndrome
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailL approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement.
L approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement. Présenté par: Lyne Roberge, chef en réadaptation Rina Dupont, coordonnatrice clinique
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailLa Mutualité en chiffres
La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailPrévalence des céphalées à travers l enquête décennale Santé 2002-2003
Ministère de l Emploi, de la cohésion sociale et du logement Ministère de la Santé et des Solidarités Près d une personne sur deux âgée de 15 ans et plus déclare être sujette à des maux de tête. Ceux-ci
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détail