La mémoire du mitterrandisme au sein du Parti socialiste

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La mémoire du mitterrandisme au sein du Parti socialiste"

Transcription

1 PRIX DE LA FONDATION JEAN-JAURES 2002 Remi Darfeuil La mémoire du mitterrandisme au sein du Parti socialiste Mémoire pour le DEA de sociologie politique de l Institut d études politiques de Paris, sous la direction de Gérard Grunberg septembre

2 RÉSUMÉ DU MÉMOIRE Comme l indique l intitulé, le mémoire a pour objet le souvenir du mitterrandisme, défini de manière neutre comme la période allant de 1971 à 1995, durant laquelle François Mitterrand, successivement Premier secrétaire puis Président de la République, est demeuré le principal leader du Parti socialiste. Ayant fait le choix d interroger le rapport à ce passé proche au sein du seul Parti socialiste, nous avions pour ambition d étudier la mémoire sous son triple visage de contenu, d objet en construction, et d enjeu de pouvoir : quelle trace François Mitterrand a-t-il laissé au sein du parti? Comment s élabore une représentation partagée de ce passé? En quoi constitue-t-il un enjeu de pouvoir au moment de la mise en place d une nouvelle équipe dirigeante? L objectif empirique était double : saisir d un côté l image que gardait les socialistes d une période particulièrement marquante dans leur histoire, avec l accession puis la permanence au pouvoir, mais aussi d importants renoncements idéologiques et un lourd discrédit concrétisé dans la déroute électorale de 1993 ; comprendre d un autre côté, les mécanismes de gestion de la mémoire qui avaient permis la réussite de la transition après S y articulait en outre une problématique plus théorique, centrée autour de la notion de mémoire collective et de son application en sociologie politique. À travers ce sujet, nous voulions ainsi tester la validité d un modèle d étude de la mémoire partisane, construit à partir du cas du PCF, en l appliquant à l organisation plus souple que constitue le PS. Au principe de ce modèle, se trouve le refus de la position anthropomorphiste qui assimile la mémoire partisane au seul discours sur le passé produit par les instances dirigeantes, lui-même analysé du seul point de vue de leurs intérêts stratégiques. Sans nier cette dimension, mais avec la volonté de redonner une place au vécu individuel des militants, le cadre théorique choisi définit la mémoire au sein d un parti comme point de rencontre entre deux pôles, celui de la mémoire officielle d un côté, celui des souvenirs individuels de l autre. Plus précisément, les discours historiques produits par les dirigeants fournissent des cadres interprétatifs, que les militants vont mobiliser plus ou moins complètement pour reconstruire le récit de leur passé, selon l adéquation avec leur vécu personnel. La structure de ce modèle théorique détermine la progression du plan, les discours officiels sur le mitterrandisme étant analysés dans la deuxième partie, avant d être confrontés dans la troisième à des souvenirs militants recueillis en situation d entretien. La première partie est consacrée à la définition du cadre d analyse et à l examen des problèmes posés par l application au PS d un modèle construit pour le PCF. En effet, la lecture officielle du passé, facile à identifier et univoque dans le cas du PCF, s incarnant même parfaitement dans les écrits historiques de l Institut Maurice Thorez, apparaît à la fois plus diffuse et plus diverse au PS. Prenant la forme de grands principes d interprétation plutôt que d un récit circonstancié, elle s exprime à 5

3 travers divers médias, discours, bulletins internes, production historique à visée commémorative, ou encore témoignages de dirigeants. A côté des instances dirigeantes du parti, les fondations intellectuelles qui gravitent autour de lui jouent ici un rôle important. Corollaire de cette pluralité des moyens d expression, se fait ainsi jour une pluralité des lectures du passé, pouvant se réclamer d une certaine légitimité officielle. Si une mémoire officielle au sens strict peut ainsi être identifiée à travers les propos du Premier secrétaire et du porte-parole du parti, il est également possible de distinguer des «mémoires autorisées», versions divergentes que font entendre certains dirigeants bénéficiant d une légitimité partisane suffisante et d un espace pour s exprimer, et qui peuvent constituer des cadres alternatifs pour la reconstruction des souvenirs individuels. Ce sont ces différents courants de mémoire que nous avons analysés dans la deuxième partie de notre mémoire, à partir du dépouillement des discours dirigeants prenant pour objet ou faisant référence à la période mitterrandienne, des articles parus dans L Hebdo des Socialistes, des productions historiques des fondations, et encore des témoignages collectifs ou individuels publiés en librairie. La difficulté provient du fait que notre étude prenant pour objet une période de transition, ce que nous avons appelé la mémoire officielle au sens strict est elle-même mouvante. À une mémoire anticipée du temps de François Mitterrand célébrant le bilan et notamment l accession au pouvoir, succède après 1995, une mémoire plus distanciée, qui sépare des premières années de pouvoir idéalisées dans la continuité d une décennie de conquête et un second septennat occulté. Par rapport à cet axe central, nous identifions deux courants antagonistes qui ressortissent des mémoires autorisées : un courant anti-mitterrandiste, essentiellement porté par les rocardiens, qui s oppose presque point par point à la mémoire officielle première manière ; et un courant pro-mitterrandiste, véhiculé entre autres par l Institut François Mitterrand, qui prend lui le contre-pied de la mémoire officielle deuxième manière en mettant l accent sur la continuité, la gratitude et la responsabilité collective pour le passé. Schématique, cette représentation réduit la complexité d une configuration mémorielle où s entrechoquent positionnements stratégiques et attachements affectifs au passé. Elle a cependant le mérite d identifier les différents cadres susceptibles d être mobilisés par les militants pour reconstruire leurs souvenirs. Deuxième matériau empirique analysé, ceux-ci ont été recueillis au travers d une vingtaine d entretiens réalisés auprès de militants de deux sections, aux caractéristiques sociales et politiques diverses. L analyse de ces entretiens et leur confrontation aux résultats obtenus dans le pôle de la mémoire officielle, font émerger une double structuration. En fonction d une part de la proximité par rapport au parti, qui varie en fonction de la date d adhésion, du degré de responsabilité et du sexe, et qui commande la mobilisation de cadres mémoriels internes au parti, de préférence à des cadres externes, familiaux ou générationnels ; d autre part de l appartenance de courant, qui détermine le point de 6

4 vue au travers duquel est relue l histoire du parti et donc laquelle des mémoires autorisées est actualisée. Révélant le poids d évènements fondateurs, producteurs de clivages structurants qui marquent durablement les mémoires individuelles et leur organisation, comme le congrès de Metz ou la prise de distance de Lionel Jospin en 1995 autour du thème du droit d inventaire, l analyse pousse à conclure à une cohérence supérieure entre discours officiels et souvenirs individuels au niveau des courants qu à celui du parti. Toutefois, les dernières évolutions du discours officiel, vers une célébration plus appuyée de l héritage mitterrandien associée à une occultation constante du second septennat, peuvent laisser supposer l émergence d une mémoire collective a minima du mitterrandisme. La problématique construite permet à cet égard de réinterpréter les évolutions du discours officiel à partir de la thématique initiale du droit d inventaire, non plus seulement au regard des seuls impératifs tactiques, mais dans la perspective de la construction d une mémoire collective apaisée, permettant la réconciliation au sein d un même itinéraire collectif et individuel des souvenirs positifs de 1981 et de ceux, traumatiques de Au-delà toutefois de la complexification d un modèle d analyse de la mémoire partisane et de cette interprétation renouvelée des enjeux mémoriels de la transition à la tête du Parti socialiste, le travail permet également de mieux apprécier la trace laissée par le mitterrandisme au sein du parti. Sont très largement reconnus comme apports l Union de la Gauche, la vocation gouvernementale et l accession au pouvoir, mais c est surtout la dimension affective de la mémoire qui se révèle, dimension qui affleure à l évocation du souvenir du 10 mai, porteur d un fort potentiel de mobilisation et qui se manifeste dans l identification entre l homme et la période. La dimension d incarnation par un homme d une expérience collective et donc aussi de chaque trajectoire militante peut ainsi expliquer le caractère passionné des débats suscités par l homme François Mitterrand. SOURCES Vendredi et L Hebdo des Socialistes (Office universitaire de recherche socialiste) Bulletin de l Institut François Mitterrand (Institut François Mitterrand) Dossiers de presse sur François Mitterrand (Institut d études politiques de Paris) Pascal LEBRUN Pour mémoire Paris, Bruno Leprince Éditeur, 1995, 128 p. 7

5 François Mitterrand d Épinay à l Élysée L hommage du PS Paris, Bruno Leprince Éditeur, 1996, 130 p. Daniel BENOIST Mémoires de LUI et de MOI Sury-en-Vaux, Éditions du terroir, 2000, 206 p. Michel CHARASSE 55, faubourg Saint-Honoré. Entretien avec Robert Schneider Paris, Grasset, 1996, 332 p. Claude ESTIER De Mitterrand à Jospin : trente ans de campagnes présidentielles Paris, Stock, 1995, 350 p. Laurent FABIUS Les Blessures de la vérité Paris, Flammarion, 1995, 276 p. Jean GLAVANY Mitterrand, Jospin et nous Paris, Grasset, 1998, 308 p. Lionel JOSPIN L invention du possible Paris, Flammarion, 1991, 322 p. Jean LACOUTURE, Patrick ROTMAN Mitterrand, Le Roman du pouvoir Paris, Le Seuil, 2000, 285 p. François MITTERRAND, Élie WIESEL Mémoires à deux voix Paris, Odile Jacob, 1995, 225 p. François MITTERRAND Mémoires interrompus Paris, Odile Jacob, 1996, 257 p. Hubert VÉDRINE Les Mondes de François Mitterrand Paris, Fayard, 1996, 784 p. 8

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

ASSEMBLEE GENERALE DE L ASSOCIATION FRANCAISE DES MAGISTRATS DE LA JEUNESSE ET DE LA FAMILLE des 16 et 17 MAI 2014

ASSEMBLEE GENERALE DE L ASSOCIATION FRANCAISE DES MAGISTRATS DE LA JEUNESSE ET DE LA FAMILLE des 16 et 17 MAI 2014 ASSEMBLEE GENERALE DE L ASSOCIATION FRANCAISE DES MAGISTRATS DE LA JEUNESSE ET DE LA FAMILLE des 16 et 17 MAI 2014 LA JUSTICE DES MINEURS : CAP SUR L AVENIR La Garde des Sceaux a lancé une vaste consultation

Plus en détail

G uide M éthodologique

G uide M éthodologique MESURES DE PROTECTION DES MINEURS Suivez le guide!!! AVRIL 2015 G uide M éthodologique Document actualisé le 07 avril 2015 par Le Service en charge des Mesures de Protection des Mineurs de l UDAF de la

Plus en détail

Observatoire National de la santé des jeunes. Accès aux droits et aux soins

Observatoire National de la santé des jeunes. Accès aux droits et aux soins Observatoire National de la santé des jeunes Accès aux droits et aux soins Données septembre 2012 «Observatoire santé UNHAJ - accès aux droits et aux soins» La santé des jeunes sous observationerreur!

Plus en détail

Agriculture et Finances

Agriculture et Finances Agriculture et Finances Quelles régulations pour une allocation optimale des capitaux? Cahier n 12 Présentation générale du Cahier Dans les systèmes d économie de marché des pays développés comme des pays

Plus en détail

XX IÈME EDITION. Bernard Ramanantsoa Directeur Général d HEC Paris

XX IÈME EDITION. Bernard Ramanantsoa Directeur Général d HEC Paris 3 En 2005, trois étudiants de l école lançaient sur le campus le premier Class Gift des Elèves, illustrant par leur action solidaire l entraide qui fait la force du réseau HEC. Jamais démenti depuis, cet

Plus en détail

LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL

LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 février 2007 LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL FINANTOIT est le premier outil d investissement

Plus en détail

Projet d établissement

Projet d établissement Projet d établissement Le Lycée Expérimental de Saint-Nazaire est un établissement public assurant une formation de second cycle de l enseignement secondaire. Il regroupe des enseignants volontaires qui

Plus en détail

Niveau de management Individuel Relationnel Organisationnel Accueillir l Homme dans sa globalité et capitaliser sur son hyper complexité

Niveau de management Individuel Relationnel Organisationnel Accueillir l Homme dans sa globalité et capitaliser sur son hyper complexité Chapitre 3 MANAGEMENT DANS L INCERTITUDE ET LA COMPLEXITÉ 3.1 Manager la complexité 3.1.1 Manager la complexité au niveau individuel L évolution du travail illustre le passage de l unidimensionnalité à

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies

Plus en détail

La conduite du changement

La conduite du changement Université de Lausanne MBA - HEC 2004 La conduite du changement Présentation du programme du colloque HEC-MBA, 2-3 avril 2004 Stéphane Haefliger Sociologue, Chargé de cours, HEC-MBA-UNIL Responsable du

Plus en détail

Un régime d assurance? Si oui, lequel?

Un régime d assurance? Si oui, lequel? Un régime d assurance? Si oui, lequel? AFESH-UQAM 20 novembre 2013 Résumé Ce texte présente quelques pistes de réflexion concernant le régime d assurance collective de l AFESH-UQAM. Il s agit d un document

Plus en détail

PÉRENNISER LA PERFORMANCE

PÉRENNISER LA PERFORMANCE PÉRENNISER LA PERFORMANCE La recherche de performance est aujourd hui au cœur des préoccupations des organisations : succession des plans de productivité et de profitabilité, plans de reprise d activités,

Plus en détail

Pôles de recherche et d enseignement supérieur (PRES) et reconfiguration des sites universitaires, IGAENR 1, mars 2010.

Pôles de recherche et d enseignement supérieur (PRES) et reconfiguration des sites universitaires, IGAENR 1, mars 2010. Pôles de recherche et d enseignement supérieur (PRES) et reconfiguration des sites universitaires, IGAENR 1, mars 2010. Les premiers PRES ont été créés en 2007, leur principale ambition était de développer

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix! Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher

Plus en détail

«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables

«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables Le Centre de Langues et de Traduction de l Université Libanaise vous invite à prendre part au colloque international : «L impact de l interculturel sur la négociation» qui se tiendra dans les locaux du

Plus en détail

Intervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger

Intervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger Intervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger ORDRE DU JOUR 10 h Introduction 10 h 10 Aperçu des organismes de bienfaisance et des organismes sans but

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

Au cours du séminaire de clôture seront présentés les livrables suivants :

Au cours du séminaire de clôture seront présentés les livrables suivants : La gouvernance du projet de coopération est assurée par un Comité de Pilotage composé par - Le Président de la Chambre Régionale d Agriculture qui en assure la présidence - Deux représentants élus de chaque

Plus en détail

Conseil & Audit Les leviers de la croissance

Conseil & Audit Les leviers de la croissance Conseil & Audit Les leviers de la croissance Les cabinets de conseil et d audit vivent une évolution de fond qui remet en cause certains fondamentaux de leur culture : Concurrence accrue, moindre différenciation,

Plus en détail

12-13/06/2013 C.COLIN / MA. BLOCH

12-13/06/2013 C.COLIN / MA. BLOCH Réunionn du Conseil Scientifique de l EHESP 11 juin 2013 Compte rendu synthétique et relevé de décisions Référence Révision Date d application Version CS _juin_2013 Validation Rédigé Date 11/06/2013 Prénom

Plus en détail

La construction métropolitaine en Ile-de-France

La construction métropolitaine en Ile-de-France 1 La construction métropolitaine en Ile-de-France Eléments d actualité: La réforme territoriale Le devenir du Grand Paris 29 Novembre 2012 Intercommunalité et Métropolisation en Ile-de-France 2 Eléments

Plus en détail

La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ. Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS. En partenariat avec

La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ. Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS. En partenariat avec La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ En partenariat avec Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS 4 MÉMENTO Dans le cadre d un projet d étude collectif, notre promotion a effectué un

Plus en détail

DOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE

DOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE DOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE DE MOBILISATION DU MECENAT POPULAIRE Nom du délégué Fondation du Patrimoine local :.. PIECES A FOURNIR IMPERATIVEMENT POUR L INSTRUCTION DE VOTRE DOSSIER :

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE DEPLACEMENT AUX FORGES DE TRIE-CHATEAU DU GROUPE LEBRONZE ALLOYS

DOSSIER DE PRESSE DEPLACEMENT AUX FORGES DE TRIE-CHATEAU DU GROUPE LEBRONZE ALLOYS DOSSIER DE PRESSE DEPLACEMENT AUX FORGES DE TRIE-CHATEAU DU GROUPE LEBRONZE ALLOYS Vendredi 3 avril 2015 ACCELERER L INVESTISSEMENT EN FRANCE Une situation économique française qui s améliore, favorable

Plus en détail

Le podium des ministres sur Internet

Le podium des ministres sur Internet Le podium des ministres sur Internet L agence Human to Human dresse le panorama de la présence des ministres du nouveau gouvernement Fillon sur les médias sociaux Les membres du gouvernement «Fillon 4»

Plus en détail

Notions et définitions utiles

Notions et définitions utiles Notions et définitions utiles 1 Notions et définitions utiles I. Notions d usage 1. La notion de compétitivité. La notion de «compétitivité» est la symbolique de l enjeu de développement des entreprises.

Plus en détail

Après la Grèce, l Italie doit désigner son nouveau président de la République

Après la Grèce, l Italie doit désigner son nouveau président de la République PRÉSIDENTIELLE EN ITALIE 29 janvier 2015 Observatoire des Élections en Europe Après la Grèce, l Italie doit désigner son nouveau président de la République Corinne Deloy Analyse Résumé : Le président de

Plus en détail

Nous avons besoin de passeurs

Nous avons besoin de passeurs 1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire

Plus en détail

compl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis

compl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis Introduction L ensemble ensemble documentaire qui suit est complémentaire compl mentaire des dossiers réalisés r dans le cadre du Concours national de la Résistance R sistance et de la Déportation, D notamment

Plus en détail

L économie sociale et solidaire

L économie sociale et solidaire L économie sociale et solidaire Traditionnellement le mois de novembre est le mois de l Economie Sociale et Solidaire. Cette année comme les années précédentes de nombreuses actions et rencontres ont eu

Plus en détail

Commission Energie et Collectivités territoriales du GRALE Compte-rendu n 3 (réunion du 3 mai 2011) Centre Malher, Paris

Commission Energie et Collectivités territoriales du GRALE Compte-rendu n 3 (réunion du 3 mai 2011) Centre Malher, Paris Commission Energie et Collectivités territoriales du GRALE Compte-rendu n 3 (réunion du 3 mai 2011) Centre Malher, Paris Présents Claudie Boiteau (CB) - Laurence Calandri (LC) - Anne-Christine Eiller (ACE)

Plus en détail

La délégation de pouvoirs

La délégation de pouvoirs La délégation de pouvoirs, est un acte juridique par lequel une personne/autorité (le délégant) se dessaisit d'une fraction des pouvoirs qui lui sont conférés et les transfère à une personne/autorité subordonnée

Plus en détail

TITRE D'HABILITATION TITRE D'HABILITATION

TITRE D'HABILITATION TITRE D'HABILITATION Nom : FONI Prénom : LAURENT Nom et prénom : CORDA CLAUDE Validité : 31/12/08 Nom : GUINY Prénom : PASCAL Nom et prénom : CORDA CLAUDE Validité : 31/12/08 Nom : GALLO Prénom : PHILIPPE Nom et prénom : CORDA

Plus en détail

Publication au JORF du 5 mai 2002. Décret n 2002-788 du 3 mai 2002. Décret relatif au compte épargne-temps dans la fonction publique hospitalière

Publication au JORF du 5 mai 2002. Décret n 2002-788 du 3 mai 2002. Décret relatif au compte épargne-temps dans la fonction publique hospitalière 1 sur 5 01/08/2007 23:43 Publication au JORF du 5 mai 2002 Décret n 2002-788 du 3 mai 2002 Décret relatif au compte épargne-temps dans la fonction publique hospitalière NOR:MESH0221497D version consolidée

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

Enquête auprès des parents

Enquête auprès des parents Projet Brosse à dents débutant Institut für Hygiene und Arbeitsphysiologie ETH-Zentrum, Clausiusstr. 25 8092 Zürich Adresse électronique: www_zahnbuerstenergonomie@web.ethz.ch Enquête auprès des parents

Plus en détail

Plan stratégique 2012-2017

Plan stratégique 2012-2017 Plan stratégique 2012-2017 Présentation Le Plan stratégique 2012-2017 présente ce que Polytechnique Montréal s'engage à accomplir durant les cinq prochaines années dans le but de poursuivre sa mission,

Plus en détail

!" #$%&'(&)'*'+,--./&0'1&23,+2.)$4$%52'&%'6.%&2'

! #$%&'(&)'*'+,--./&0'1&23,+2.)$4$%52'&%'6.%&2' Évaluer un site web, cours de descriptions de controverses i Dans le cadre du cours Description des controverses, le repérage des acteurs et la connaissance de leurs positions passent largement par l identification

Plus en détail

Notre stratégie de développement porte ses fruits

Notre stratégie de développement porte ses fruits Newsletter 2009/1 Editorial Notre stratégie de développement porte ses fruits Une fois encore, les clients de Win se déclarent particulièrement satisfaits des services offerts par notre entreprise et de

Plus en détail

La loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue

La loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les

Plus en détail

Ambassador s Activities

Ambassador s Activities Ambassador s Activities 2013 Distributor: French Embassy in the UK - Press and Communications Services - 58 Knightsbridge, SW1X 7JT London E-Mail: press@ambafrance-uk.org Web: Intervention de SEM Bernard

Plus en détail

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark Campus Paris Saclay L enquête en ligne Les déplacements : des spécificités par statut L équipement : un intérêt marqué pour les transports doux et les services pratiques Le logement : des attentes et des

Plus en détail

Seul mais jamais isolé!

Seul mais jamais isolé! Mottet, M. (2013). Course d Orientation, Seul mais jamais isolé? Revue EP.S n 355, 11-14 1 Terrain Course d orientation Seul mais jamais isolé! En course d orientation, la question de l autonomie de l

Plus en détail

Le Baromètre Politique Français (2006-2007) CEVIPOF - Ministère de l Intérieur

Le Baromètre Politique Français (2006-2007) CEVIPOF - Ministère de l Intérieur Le Baromètre Politique Français (2006-2007) CEVIPOF - Ministère de l Intérieur 1 ère vague Printemps 2006 Les électeurs français et l information télévisée Thierry Vedel Centre de Recherches Politiques

Plus en détail

Méthode du commentaire de document en Histoire

Méthode du commentaire de document en Histoire Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.

Plus en détail

N 2843 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2843 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2843 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 3 juin 2015. PROPOSITION DE LOI visant à développer l entrepreneuriat

Plus en détail

Augmenter l impact économique de la recherche :

Augmenter l impact économique de la recherche : Augmenter l impact économique de la recherche : 15 mesures pour une nouvelle dynamique de transfert de la recherche publique, levier de croissance et de compétitivité Partout dans le monde, la recherche

Plus en détail

L ACCOMPAGNEMENT DES EQUIPES où le temps de «l entreprise en transition»?

L ACCOMPAGNEMENT DES EQUIPES où le temps de «l entreprise en transition»? L ACCOMPAGNEMENT DES EQUIPES où le temps de «l entreprise en transition»? Nous vivons tous et toutes au sein des organisations et une grande partie de notre vie, nous conduit à agir et vivre au cœur même

Plus en détail

Durée de l'épreuve : 4 heures Coefficient : 7

Durée de l'épreuve : 4 heures Coefficient : 7 BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2007 SÉRIE : SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE LA GESTION ÉPREUVE ÉCRITE DE LA SPÉCIALITÉ : COMPTABILITÉ ET FINANCE D ENTREPRISE Durée de l'épreuve : 4 heures Coefficient :

Plus en détail

PRIX DU MEILLEUR ETUDIANT JURISTE IMMOBILIER

PRIX DU MEILLEUR ETUDIANT JURISTE IMMOBILIER PRIX DU MEILLEUR ETUDIANT JURISTE IMMOBILIER Prix du Meilleur Etudiant Juriste Immobilier 2014 Le prix a vocation à récompenser le meilleur étudiant juriste immobilier en Master 2. Il est attribué sur

Plus en détail

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 ATTENTION : UNE SEULE SESSION EN 2015 La Région Rhône-Alpes et l État, DRAC Rhône-Alpes, ont souhaité mettre conjointement en place le

Plus en détail

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Bruno Belzile Candidat au doctorat en génie mécanique, Polytechnique

Plus en détail

L ASSURANCE CHÔMAGE AUX ÉTATS-UNIS. Stéphane Auray et David L. Fuller

L ASSURANCE CHÔMAGE AUX ÉTATS-UNIS. Stéphane Auray et David L. Fuller L ASSURANCE CHÔMAGE AUX ÉTATS-UNIS Stéphane Auray et David L. Fuller Catalogage Électre-Bibliographie (avec le concours de la Bibliothèque de Sciences Po) L assurance chômage aux États-Unis / Stéphane

Plus en détail

LE TELEPHONE PORTABLE : LES MESSAGES SMS ou MMS Envoyez des messages ciblés à votre entourage afin d appeler à voter. LES AFFICHES Affichez-les sans tarder dans vos locaux syndicaux ou vos permanences

Plus en détail

BULLETIN D INSCRIPTION Réponse souhaitée pour le 30 octobre 2014 dernier délai par mail à l adresse suivante : aurelie.rojewski@artoiscomm.

BULLETIN D INSCRIPTION Réponse souhaitée pour le 30 octobre 2014 dernier délai par mail à l adresse suivante : aurelie.rojewski@artoiscomm. DIRECTION DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE BULLETIN D INSCRIPTION Réponse souhaitée pour le 30 octobre 2014 dernier délai par mail à l adresse suivante : aurelie.rojewski@artoiscomm.fr FORMATION RELATIVE AUX

Plus en détail

La définition La méthode. Les échelles de mesure L ENQUETE PAR SONDAGE : LA METHODE

La définition La méthode. Les échelles de mesure L ENQUETE PAR SONDAGE : LA METHODE L ENQUETE PAR SONDAGE : LA METHODE La définition La méthode Le questionnaire Les biais La passation du questionnaire La validité des réponses Les échelles de mesure Les échelles d évaluation Les échelles

Plus en détail

Rapport de stage d initiation

Rapport de stage d initiation Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique Direction Générale des Études Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de SILIANA Département Technologies de l

Plus en détail

COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE

COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE 1 COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE Christiane SEYDOU : «Comment définir le genre épique? Un exemple : l épopée africaine» in JASO Journal of the Anthroplogical Society

Plus en détail

ENQUETE : COMMERÇANTS ET FRAIS BANCAIRES

ENQUETE : COMMERÇANTS ET FRAIS BANCAIRES ENQUETE : COMMERÇANTS ET FRAIS BANCAIRES Introduction Qu est ce qu une Commission Interbancaire de Paiement (CIP)? Lorsqu une transaction est réglée par carte bancaire de paiement, la banque du consommateur

Plus en détail

FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904)

FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904) ARCHIVES MUNICIPALES DE NANCY 3 Z FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904) REPERTOIRE NUMERIQUE DETAILLE THIBAUD PETER SOUS LA DIRECTION DE DANIEL PETER, CONSERVATEUR, NANCY 2008 2 FICHE DESCRIPTIVE CHAMP DESCRIPTION

Plus en détail

MUSIQUE ET POINTS DE VENTE FOCUS SALONS DE COIFFURE

MUSIQUE ET POINTS DE VENTE FOCUS SALONS DE COIFFURE 1 Date Titre présentation MUSIQUE ET POINTS DE VENTE FOCUS SALONS DE COIFFURE Service études et prospective, Direction des ressources et de la stratégie, Juliette Delfaud Octobre 2014 www.sacem.fr SOMMAIRE

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du

Plus en détail

Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi

Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par

Plus en détail

Appel à communication Colloque. 16 et 17 octobre 2014

Appel à communication Colloque. 16 et 17 octobre 2014 Appel à communication Colloque 16 et 17 octobre 2014 «IFRS Bâle Solvency : Impacts des contraintes comptables et réglementaires sur les établissements financiers» IAE de Poitiers Laboratoire CEREGE Le

Plus en détail

L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris

L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris La loi sur le Grand Paris, ainsi que les décisions récentes prises par les pouvoirs publics (Etat, Région), devraient permettre

Plus en détail

«seul le prononcé fait foi»

«seul le prononcé fait foi» «seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion de la réunion du Pacte de Responsabilité et de Solidarité Lundi 26 mai 2014 Lesparre-Médoc Mesdames et Messieurs les Parlementaires Mesdames et Messieurs

Plus en détail

Gestion Participative Territoriale :

Gestion Participative Territoriale : !!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet

Plus en détail

Regard critique de D.E.I.-France sur le 2 rapport de la France relatif à l application de la CIDE. Genève le 6 février 2004

Regard critique de D.E.I.-France sur le 2 rapport de la France relatif à l application de la CIDE. Genève le 6 février 2004 Regard critique de D.E.I.-France sur le 2 rapport de la France relatif à l application de la CIDE Genève le 6 février 2004 intervention de Fabienne Bonnet-Cogulet et Jean-Pierre Rosenczveig 1 La légitimité

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente

Plus en détail

E M. Management de la sûreté et de la sécurité. Executive Master. Janvier 2014. 30 jours de formation. Modules de 4 journées / mois.

E M. Management de la sûreté et de la sécurité. Executive Master. Janvier 2014. 30 jours de formation. Modules de 4 journées / mois. S C I E N C E S - P O G R E N O B L E F O R M A T I O N C O N T I N U E E M Executive Master Management de la sûreté et de la sécurité Janvier 2014 30 jours de formation Modules de 4 journées / mois Durée

Plus en détail

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)

Plus en détail

Observatoire des politiques publiques :

Observatoire des politiques publiques : Observatoire des politiques publiques : Les Français et l économie sociale et solidaire Sondage Ifop pour Acteurs Publics Contact Ifop : Damien Philippot Directeur des Etudes Politiques Département Opinion

Plus en détail

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise

Plus en détail

STAGE D INITIATION RAPPORT DE. Elaboré par. Prénom NOM. Encadré par : Mr Prénom NOM (Société) Société d accueil :. (Sigle de la société d accueil)

STAGE D INITIATION RAPPORT DE. Elaboré par. Prénom NOM. Encadré par : Mr Prénom NOM (Société) Société d accueil :. (Sigle de la société d accueil) (Sigle de la société d accueil) REPUBLIQUE TUNISIENNE ***** MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE ***** DIRECTION GENERALE DES ETUDES TECHNOLOGIQUES *****

Plus en détail

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)

Plus en détail

Le point de vue de l UNSA

Le point de vue de l UNSA Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Le Crédit Mutuel Arkéa annonce son intention de rejoindre Paylib, aux côtés de BNP Paribas, La Banque Postale et Société Générale. De gauche à droite : Frédéric COLLARDEAU (Directeur

Plus en détail

ERIC FRECHON. La cuisine pour un vélo, cela semble bien surprenant. Et pourtant, c est bien pour cela qu Eric Frechon est arrivé aux fourneaux.

ERIC FRECHON. La cuisine pour un vélo, cela semble bien surprenant. Et pourtant, c est bien pour cela qu Eric Frechon est arrivé aux fourneaux. Roméo Balancourt Roméo Balancourt ERIC FRECHON Portrait d un homme Portrait d un Chef La cuisine pour un vélo, cela semble bien surprenant. Et pourtant, c est bien pour cela qu Eric Frechon est arrivé

Plus en détail

FAQ appel à candidatures LEADER 2014-2020

FAQ appel à candidatures LEADER 2014-2020 FAQ appel à candidatures LEADER 2014-2020 Remarque préalable : ce document a un caractère technique ; il garde un caractère non définitif dans la mesure où le PDR n est pas encore adopté, et que des prescriptions

Plus en détail

Le régime juridique qui est contractuellement attaché aux

Le régime juridique qui est contractuellement attaché aux La rédaction des clauses relatives aux biens dans les DSP La question des biens au sein des de délégation de service public nourrit de nombreux contentieux devant le juge administratif. L une des problématiques

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

Lucile Cognard. S identifier à son symptôme

Lucile Cognard. S identifier à son symptôme Lucile Cognard S identifier à son symptôme Dans notre milieu analytique, l expression est connue : «s identifier à son symptôme». D où vient-elle, que recouvre-t-elle? C est la question que je me suis

Plus en détail

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 joel.vormus@cler.org

Plus en détail

Audition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition

Audition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition Audition publique sur la vaccination des enfants par le BCG. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition 13-14 novembre 2006 Société française

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045

LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045 LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045 GRANDE DIFFUSION Réf Classement 1;010;04 Montreuil, le 12/08/2015 12/08/2015 DIRECTION DE LA REGLEMENTATION DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE SOUS DIRECTION REGLEMENTATION

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Editeur de logiciel pour centre de contacts CONTACT PRESSE

DOSSIER DE PRESSE. Editeur de logiciel pour centre de contacts CONTACT PRESSE Editeur de logiciel pour centre de contacts DOSSIER DE PRESSE CONTACT PRESSE Violaine BRENEZ : marketing executive Boulevard de la Woluwe, 62 1200 Bruxelles Tel : +32 (0)2.307.00.00 Email : v.brenez@nixxis.com

Plus en détail

CODE DE BONNE CONDUITE

CODE DE BONNE CONDUITE HAUT CONSEIL DE LA COMMUNICATION HCC CODE DE BONNE CONDUITE POUR LES ACTEURS POLITIQUES, SOCIAUX ET LES MEDIAS A L OCCASION DES ELECTIONS PRESIDENTIELLE ET LEGISLATIVES DE 2011 -*-*-*-*-*-*- Bangui, décembre

Plus en détail

La crise économique vue par les salariés français

La crise économique vue par les salariés français La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

Le futur doit s ancrer dans l histoire

Le futur doit s ancrer dans l histoire Conférence de presse du 3 septembre 2013 Le texte prononcé fait foi. Le futur doit s ancrer dans l histoire Patrick Odier, Président du Conseil d administration, Association suisse des banquiers Mesdames,

Plus en détail

LES RESEAUX SOCIAUX SONT-ILS UNE MODE OU UNE REELLE INVENTION MODERNE?

LES RESEAUX SOCIAUX SONT-ILS UNE MODE OU UNE REELLE INVENTION MODERNE? LES RESEAUX SOCIAUX SONT-ILS UNE MODE OU UNE REELLE INVENTION MODERNE? Hugo Broudeur 2010/2011 2ieme année Télécom SudParis SOMMAIRE Introduction... 3 A) Des réseaux sociaux pour tout le monde... 4 1)

Plus en détail