LE RISQUE INFECTIEUX EN GÉRIATRIE DR C LAFFITTE PH CHIELVR

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1 LE RISQUE INFECTIEUX EN GÉRIATRIE DR C LAFFITTE PH CHIELVR Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD CHU le 24 novembre 2009

2 Le risque infectieux en gériatrie Les particularités en gériatrie La population en EHPAD Caractéristiques de l EHPAD Le concept d infection contractée en EHPAD

3 Les particularités en gériatrie Vieillissement de la population Facteurs physiologiques Baisse de l immunité à différents niveaux : 1. Fragilisation des barrières cutanées et cutaneomuqueuses 2. Involution thymique et altération des lymphocytes T 3. Dénutrition et carence protéique

4 La dénutrition protéique La population âgée est à haut risque La malnutrition protéique : <5% chez le SA autonome 15 à 30% en EHPAD La dénutrition est corrélée à une diminution de la réponse immunitaire l infection entraine un hypercatabolisme protidique Corrélation entre la prévalence des infections et la malnutrition protéinoénergétique

5 Les particularités chez la PA Les infections sont plus fréquentes 3 à 20 fois plus fréquentes Les plus fréquentes : infections respiratoires hautes et basses, urinaires Les infections sont plus sévères 3 à 5 fois plus graves

6 La gravité des infections Favorisée par la polypathologie Décompensation de pathologies chroniques Favorisent la perte d autonomie et les pathologies de decubitus, elles mêmes facteurs d infections : cercle vicieux

7 Le syndrome d immobilisation Risque thromboembolique Risque d escarres : porte d entrée infectieuse, hypercatabolisme protidique Stase vésicale : la rétention urinaire et les résidus post mictionnels favorisent l infection Troubles de déglutition et alitement : risque d inhalation Perte d appétit, dépression : baisse des apports caloriques et hydriques => dénutrition, déshydratation

8 Diagnostic des infections Peut être difficile : Problème de communication verbale (aphasie, altération cognitive, sd confusionnel ) Atypie clinique : Malaise et chute, sd confusionnel, absence de douleur, de toux Une pathologie peut en cacher une autre Absence de fièvre Les examens complémentaires : Difficultés d accès à la radio, difficultés techniques pour un examen

9 La population âgée en EHPAD Très âgée (>80 ans) Plus dénutrie 50% présentent des troubles cognitifs graves (maladie d Alzheimer ou apparentée) avec un % de troubles psychocomportementaux Prise en charge de plus en plus médicalisée : perf SC, SU, GPE, pansements Vient de l hôpital ou ATCD d hospitalisation fréquents; hospitalisations courtes, retours très (trop?) rapides à l EHPAD

10 La population âgée en EHPAD Population «fragile» : diminution de la résistance aux agressions et des ressources physiologiques pour y répondre Population en perte d autonomie : Interventions des soignants : Aide, stimulation, lutte contre la grabatisation = effet positif au niveau infectieux Risque de transmission des germes manuportée

11 Les risques de transmission manuportée dans le nursing Favorisés par : Les chambres à plusieurs PA Le manque de personnel Les multitaches La vétusté des locaux Le manque de moyens Le manque de coopération du résident

12 Caractéristiques d une EHPAD Établissement médicosocial : contrairement aux USLD Ni hôpital ni domicile Lieu de vie; projet de vie individualisé collectivité; règles de fonctionnement (contrat de séjour)

13 Risques infectieux liés à l EHPAD Activités collectives : repas, animations, sorties Visiteurs Conduites individuelles inappropriées (stockage, hygiène douteuse) Transferts vers l hôpital pour les examens ou les consultations spécialisées

14 Le concept d infections contractées en EHPAD (J. Carlet 2005) EHPAD ni domicile ni hôpital => infections nosocomiales? Infections liées à l état de santé et à la dépendance du résident Prévention : Lutte contre l immobilisation L hygiène de base : les dents, les pieds Dépistage et traitement de la dénutrition protéique (soins dentaires, de bouche, diversification des menus, compléments)

15 Infections contractées en EHPAD Infections liées à la vie en collectivité Par contagion supposée Mesures d hygiène individuelles et éventuellement collectives Vaccinations des résidents (grippe, tétanos, pneumocoque) et du personnel (grippe) «Isolement» technique, géographique? Allo hygiéniste dans les cas difficile; gale.

16 Infections contractées en EHPAD Infections liées aux soins Actes invasifs Effets indésirables des médicaments (psychotropes) Mésusage des antibiotiques : Guides de recommandations : EHPAD non mentionnées; écologie des germes proche des germes hospitaliers mais pas de plateau technique, difficultés d utiliser la voie IV, coût de certains antibiotiques Ne pas traiter par excès des colonisations bactériennes (urines, plaies) Savoir traiter rapidement en cas de signes de gravité

17 Infections liées à l environnement La legionellose Les intoxications alimentaires Allo les hygiénistes

18 Conclusion 1 La lutte contre les infections s intègre totalement dans les missions de la gériatrie Les règles d hygiène sont fondamentale mais l erreur est facile en gériatrie La réflexion éthique, l évolution de la population des EHPAD conduit à envisager de plus en plus un nursing personnalisé, plus humain, basé sur la réassurance par le toucher, le regard, la parole

19 Conclusion 2 Ces nouvelles techniques sont-elles compatibles avec l hygiène? Le toucher à main nue est à favoriser : qui doit-on convaincre?... A quand la baisse de consommation des gants dans les indicateurs qualité?...

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