2. La monnaie possède trois rôles principaux : c est un moyen d échange, une unité de compte et un échappatoire à l inflation.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2. La monnaie possède trois rôles principaux : c est un moyen d échange, une unité de compte et un échappatoire à l inflation."

Transcription

1 Thème 6 Monnaie et prix Questions Vrai ou Faux 1. La monnaie et la richesse sont des synonymes. 2. La monnaie possède trois rôles principaux : c est un moyen d échange, une unité de compte et un échappatoire à l inflation. 3. La Banque du Canada est la banque centrale du Canada et elle est dirigée par un conseil d administration, désigné par le ministre des Finances. 4. En pratique, la Banque du Canada est en grande partie indépendante du gouvernement fédéral. 5. Une augmentation du niveau des prix implique une baisse de la valeur de la monnaie. 6. La théorie quantitative de la monnaie implique qu une augmentation de l offre de monnaie fait proportionnellement augmenter la production réelle. 7. Si le niveau des prix double, la quantité de monnaie demandée doublera aussi, puisque les gens auront besoin de deux fois plus de monnaie pour effectuer les mêmes transactions. 8. À long terme, une augmentation du stock de monnaie affectera les variables réelles, mais n affectera pas les variables nominales. 9. Si l offre de monnaie est de 500 $, que la production réelle est de unités et que le prix moyen d une unité produite est de 2 $, alors la vélocité de la monnaie est égale à L effet Fisher démontre qu à long terme, si le taux d inflation passe de 3 % à 7 %, le taux d intérêt nominal devrait augmenter de 4 % et le taux d intérêt réel devrait rester stable. 11. Une taxe à l inflation est supportée par ceux qui investissent en bourse, puisque l inflation réduit la valeur de leurs actions. 12. Le concept de neutralité monétaire implique qu un changement de l offre de monnaie n affecte aucunement les variables économiques. 13. À long terme, l inflation ronge la valeur des salaires des individus et réduit leur niveau de vie. 14. L inflation a tendance à stimuler l épargne, puisqu elle augmente les revenus d intérêts et les plus-values en capital.

2 15. Les pays qui dépensent plus d argent qu ils ne peuvent en collecter (de la taxation ou des emprunts) ont tendance à créer trop de monnaie et, par conséquent, provoquent une montée de l inflation. 16. Si le taux d intérêt nominal est de 7 % et que le taux d inflation est de 5 %, alors le taux d intérêt réel est de 12 %. Choix multiples 1. Laquelle des fonctions suivantes n est pas une fonction de la monnaie? a) celle d unité de compte; b) celle de réservoir de valeur; c) celle de barrière à l inflation; d) celle de moyen d échange. 2. La mesure M1 de la masse monétaire est composée : a) d argent liquide (numéraire) et de dépôts à vue; b) d argent liquide, de dépôts à vue et de fonds mutuels; c) d argent liquide, d obligations gouvernementales et de pièces de monnaie; d) d argent liquide, de comptes d épargne et d obligations gouvernementales; e) aucune de ces réponses. 3. Un exemple de monnaie fiduciaire serait : a) l or; b) le papier monnaie; c) l argent (le métal); d) les cigarettes dans un camp de prisonniers durant la Seconde Guerre mondiale. 4. Lequel des rôles suivants n est pas rempli par la Banque du Canada : a) être le banquier du gouvernement fédéral; b) être le banquier des banques commerciales; c) émettre le papier-monnaie; d) vérifier les dépôts du public dans les banques canadiennes; e) tous ces rôles sont remplis par la Banque du Canada. 5. La monnaie marchandise : a) n a pas de valeur intrinsèque; b) a une valeur intrinsèque; c) est utilisée au Canada exclusivement; d) est utilisée comme réserve pour garantir la monnaie fiduciaire.

3 6. Pour éloigner le gouverneur de la Banque du Canada des pressions politiques à court terme : a) le gouverneur est élu par la population; b) le gouverneur est élu à vie; c) le gouverneur est supervisé par le comité des finances du Parlement; d) le gouverneur est nommé pour un mandat de sept ans. 7. Laquelle des affirmations suivantes est vraie? a) la Banque du Canada utilise couramment le taux d escompte pour modifier l offre de monnaie à long terme; b) la Banque du Canada utilise couramment les opérations d «open-market» pour modifier l offre de monnaie à cour terme; c) la stérilisation est le processus de compensation des opérations sur les devises étrangères avec des opérations d «open-market»; d) la Banque du Canada utilise fréquemment ses réserves de monnaie pour modifier l offre de monnaie; e) toutes ces réponses sont vraies. 8. Le taux d escompte est : a) le taux d intérêt que la Banque du Canada paie sur les dépôts du public; b) le taux d intérêt auquel la Banque du Canada prête aux banques; c) le taux d intérêt que les banques paient sur les dépôts du public; d) le taux d intérêt payé par le public lorsqu il emprunte aux banques. 9. À long terme, l inflation est causée par : a) Les banques qui ont un trop gros pouvoir de marché et qui refusent de prêter de la monnaie ; b) le gouvernement, qui augmente considérablement les coûts d être en affaires en haussant les taxes ; c) la banque centrale, qui crée trop de monnaie ; d) l augmentation du prix des facteurs de production, comme celui du travail ou de l énergie ; e) aucune de ces réponses. 10. À long terme, la demande de monnaie dépend davantage : a) du niveau des prix; b) de l utilisation des cartes de crédit; c) des retraits bancaires; d) du taux d intérêt.

4 11. Selon la théorie quantitative de la monnaie, à long terme, une augmentation de l offre de monnaie cause : a) une augmentation proportionnelle de la vélocité; b) une augmentation proportionnelle des prix; c) une augmentation proportionnelle de la production réelle; d) une diminution proportionnelle de la vélocité; e) une diminution proportionnelle des prix. 12. Un bon exemple de variable réelle est : a) le taux d intérêt nominal; b) le prix relatif des salaires par rapport au prix des boissons gazeuses; c) le prix du blé; d) les salaires mesurés en dollars; e) toutes ces réponses. 13. Si la neutralité monétaire s applique : a) une augmentation de l offre de monnaie n a aucun impact ; b) l offre de monnaie ne peut pas être modifiée, puisqu elle est directement liée à une ressource comme l or ; c) un changement de l offre de monnaie affecte seulement les variables réelles telle la production réelle; d) un changement de l offre de monnaie affecte seulement les variables nominales tels que les prix et les salaires; e) un changement de l offre de monnaie réduit proportionnellement la vélocité de la monnaie, donc n a aucun effet sur les prix et la production réelle. 14. Si l offre de monnaie augmente de 5 % et que la production réelle augmente de 2 %, les prix devraient augmenter de : a) 5 %; b) moins de 5 %; c) plus de 5 %; d) aucune de ces réponses. 15. Supposons que le taux d intérêt nominal est de 7 %, alors que l offre de monnaie augmente à un taux de 5 % par année. Si le gouvernement augmente le taux de croissance de l offre de monnaie de 5 % à 9 %, l effet Fisher suggère qu à long terme, le taux d intérêt nominal devrait se situer à : a) 4 %; b) 9 %; c) 11 %; d) 12 %; e) 16 %.

5 16. Si l inflation actuelle est plus élevée que prévue : a) la richesse est redistribuée des débiteurs aux créanciers; b) la richesse est redistribuée des créanciers aux débiteurs; c) aucune redistribution n a lieu; d) le taux d intérêt réel ne bougera point. 17. Supposez qu en raison de l inflation, une entreprise d Argentine est dans l obligation de calculer, d imprimer et d expédier par la poste une nouvelle liste de prix à ses clients, et ce, à tous les mois. Ceci est un exemple : a) d un coût d usure; b) d un coût d affichage; c) de coûts liés aux distorsions fiscales; d) d une redistribution arbitraire de la richesse; e) d un coût relié à la gêne et l incompréhension. 18. Supposez qu en raison de l inflation, la population du Mexique économise sur la monnaie et se rend à la banque chaque jour pour combler son besoin quotidien en argent liquide. Ceci est un exemple : a) d un coût d usure; b) d un coût d affichage; c) de coûts liés aux distorsions fiscales; d) de coûts reliés à la variabilité des prix relatifs et à une allocation inefficace des ressources; e) d un coût relié à la gêne et l incompréhension. 19. Si le taux d intérêt réel est de 4 %, que le taux d inflation est de 6 % et que le taux de taxation est de 20 %, quel est le taux d intérêt réel après impôt? a) 1 %; b) 2 %; c) 3 %; d) 4 %; e) 5 %. 20. Quel élément, parmi les suivants, ne fait pas partie du bilan de la Banque du Canada? a) les dépôts du public; b) des bons du Trésor; c) des obligations du gouvernement; d) les billets émis par la Banque du Canada; e) les dépôts des membres de l'acp (incluant les banques à charte).

6 21. Lequel des items suivants ne constitue pas l'une des fonctions (rôles) de la Banque du Canada? a) agent financier du gouvernement; b) protège les dépôts des Canadiens en les assurant; c) émetteur de papier monnaie; d) gestionnaire de la politique monétaire; e) banquier des banques. 22. Laquelle des affirmations suivantes, relatives au système monétaire canadien, est vraie? a) les billets en circulation hors banques sont inclus dans M2; b) l'essentiel de la monnaie est constitué de billets, qu'importe l'agrégat monétaire; c) les comptes d'épargne des particuliers sont inclus dans M1; d) la liquidité se limite aux billets car c'est le seul moyen d'échange reconnu; e) les dépôts à terme sont des placements, donc ne sont jamais considérés comme de la monnaie. 23. Quel élément, parmi les suivants, ne fait pas partie du bilan d'une banque à charte? a) dépôts du gouvernement; b) dépôts à la Banque du Canada; c) titres du gouvernement; d) billets de banque que les clients ont dans leur poche; e) prêts accordés aux clients. 24. Si l'inflation augmente par rapport à ce qui était attendu, quel en sera l'impact? a) les prêteurs seront contents, car le taux d'intérêt nominal augmentera; b) les emprunteurs seront contents, car le taux d'intérêt réel aura ainsi diminué; c) personne ne sera content, car les prêteurs et les emprunteurs ont signé des contrats garantissant le taux d'intérêt nominal; d) personne ne sera content, car il n'y a pas d'effets de redistribution de richesse; e) les emprunteurs seront mécontents, car leurs revenus nominaux ne bougent pas avec l'inflation. 25. Le taux directeur est : a) le taux d intérêt que la Banque du Canada paie sur les dépôts des banques; b) le taux d intérêt auquel la Banque du Canada prête aux banques; c) le taux d intérêt auquel la Banque du Canada voudrait que les banques se prêtent entre elles; d) le taux d intérêt payé par le public lorsqu il emprunte aux banques.

7 26. Lequel des énoncés suivants est vrai? a) la monnaie, comme l épargne, est une variable de flux; b) la monnaie est la même chose que l épargne; c) la monnaie ne constitue qu une partie des actifs détenus par un individu; d) la monnaie n est constituée que des billets de banque ; e) la monnaie est toujours basée sur l or détenu à la Banque du Canada. 27. Laquelle des actions suivantes fera augmenter immédiatement la masse monétaire? a) le dépôt d un billet de 20 $ à la banque; b) le remboursement d un emprunt bancaire; c) un nouveau prêt d une banque à un client; d) un retrait de 20 $ de la banque. 28. Selon la Théorie quantitative de la monnaie, une hausse du taux de croissance de M causera, à long terme : a) une hausse de la vélocité (vitesse de circulation) de la monnaie; b) une baisse du taux d inflation; c) une hausse du taux de croissance du PIB réel; d) une hausse du taux de croissance du PIB nominal; e) aucune de ces réponses. 29. Si l effet de Fisher s avère vrai, une hausse du taux d inflation anticipé cause : a) une hausse du taux d intérêt réel, mais laisse le taux d intérêt nominal inchangé; b) une hausse du taux d intérêt réel et du taux d intérêt nominal; c) une hausse du taux d intérêt nominal, mais laisse le taux d intérêt réel inchangé; d) une baisse du taux d intérêt réel et une hausse du taux d intérêt nominal; e) aucune de ces réponses.

8 Problèmes 1. Qu est-ce que le troc, et pourquoi limite-t-il le commerce? 2. Quelles sont les deux principales formes de monnaie? 3. Au Canada, quels sont les deux principaux actifs clairement utilisés comme monnaie et comment se distinguent-ils des autres actifs? 4. Supposons que vous expliquiez à un ami le concept de «l impôt inflation». Vous dites : «Lorsqu un gouvernement crée de la monnaie dans le but de couvrir ses dépenses, au lieu de recourir à la taxation ou à l emprunt, cela provoque de l inflation. Il s ensuit une flambée des prix et la valeur de la monnaie diminue. Donc, la charge fiscale de la taxe accable les épargnants». Votre ami rétorque : «Qu y a-t-il de si mauvais à propos de cela? Les riches possèdent tout l argent du monde, alors «l impôt inflation» me semble tout à fait juste. Le gouvernement devrait même financer toutes ses dépenses en imprimant de la monnaie!». a) Est-ce que les riches détiennent un plus fort pourcentage de leur richesse en argent liquide que les pauvres? b) Est-ce que «l impôt inflation» afflige un fardeau fiscal plus lourd aux pauvres qu aux riches? Pourquoi? c) Y a-t-il d autres raisons qui font en sorte qu utiliser «l impôt inflation» n est pas une bonne politique?

9 Thème 6 Monnaie et prix Réponses Vrai ou faux 1. Faux. La monnaie n est qu une des formes que peut prendre la richesse. 2. Faux. La monnaie permet de conserver la valeur, i.e. de transférer le pouvoir d achat dans le temps, mais ne permet pas d échapper à l inflation. 3. Vrai. 4. Vrai. 5. Vrai. 6. Faux. Une augmentation de l offre de monnaie fait proportionnellement augmenter le niveau des prix. 7. Vrai. 8. Faux. Une augmentation de l offre de monnaie affectera les variables nominales, mais sans affecter les variables réelles. 9. Vrai. 10. Vrai. 11. Faux. L inflation réduit la valeur des actifs à valeur nominale fixe, tels que la monnaie. 12. Faux. L offre de monnaie n affecte pas les variables réelles, mais elle affecte les variables nominales. 13. Faux. L inflation augmente aussi les revenus nominaux, incluant les salaires. 14. Faux. Elle diminue les revenus des épargnants. 15. Vrai. 16. Faux, le taux d intérêt réel est de 2 %. ( 7 % - 5 % = 2 % )

10 Choix multiples 1. c) Les trois rôles de la monnaie sont : moyen d échange, unité de compte et réserve de valeur. 2. a) Par définition. 3. b) Une monnaie fiduciaire est une monnaie sans valeur intrinsèque, elle est acceptée comme mode de paiement en raison d une décision ou d un décret du gouvernement. 4. d) La Banque du Canada est responsable de réguler la masse monétaire. 5. b) Puisque la monnaie marchandise a une valeur en soi (ex : l or ou les cigarettes dans les camps de prisonniers durant la Seconde Guerre Mondiale) 6. d) 7. c) La stérilisation est une opération d open-market qui vise à annuler les effets d opérations sur le marché des changes, sur la quantité de monnaie en circulation. 8. b) Le taux d escompte est toujours supérieur de 0,25% au taux directeur (taux cible) et de 0,5% au créditeur (taux accordé sur les dépôts des institutions financières à la Banque du Canada). 9. c) L inflation est en relation inverse avec la valeur de la monnaie. 10. a) Plus le niveau des prix est élevé (donc, plus la valeur de la monnaie diminue), plus la quantité demandée de monnaie sera grande, les autres facteurs étant constants. 11. b) Revoir l équation d échange. 12. b) Une variable réelle est une variable mesurée en unités physiques. 13. d) La neutralité monétaire est une proposition selon laquelle les variations de l offre de monnaie n influent pas sur les variables réelles. 14. b) Puisque M V = P Y, et puisque V est constant à long terme, alors, par les approximations : Δ % M Δ % P + Δ % Y. Donc, 5 % Δ % P + 2 %. Alors, Δ % P 3 % < 5 % 15. c) Taux d intérêt nominal taux d intérêt réel + taux d inflation. Ici, 7 % 2 % + 5 %. Si Δ % M augmente de 4 %, Δ % P augmentera aussi de 4 %, donc i aussi, qui passera finalement à 11 %. 16. b) Puisque la valeur réelle de la dette de l emprunteur est réduite. 17. b) Puisque les coûts d affichage sont reliés aux changements fréquents de prix. 18. a) C est un coût de rétention de la liquidité, lié à la perte de temps et aux inconvénients d avoir des liquidités aussi faibles que possible. 19. b) Par i r + π. Ici, i 10 %. L impôt est toujours prélevé sur les revenus nominaux, donc est égal à 10 % x 20 % = 2 %. Cet impôt est enlevé de r ( = 2 %), ce qui donne 2 %. 20. a) La Banque du Canada n est pas une banque à charte, donc il n y a pas de dépôts du public. 21. b) Ce rôle est rempli par la Société d assurance dépôts du Canada (SADC). 22. a) Puisque M2 contient également les éléments de M d) Le billet de banque détenu par un individu est un actif pour cet individu. 24. b) Par i r + π (où π est l inflation attendue). Si le taux d inflation augmente et que le taux d intérêt nominal reste constant, le taux d intérêt réel diminue. 25. c) D où le nom : «taux cible du financement à un jour». 26. c) Puisqu un individu peut aussi détenir d autres formes d actifs comme des actions. De plus, la monnaie est une variable de stock, comme tout actif l est. 27. c) Puisque toute nouvelle monnaie vient de nouveaux prêts. 28. d) M V = P Y. À long terme, V est constante, Y n est pas causé par M, donc P suivra M. Or, P x Y est égal au PIB nominal. Utilisez les approximations. 29. c) En raison du principe de la neutralité monétaire, une hausse de taux d inflation se répercute sur le taux d intérêt nominal, laissant le taux d intérêt réel inchangé.

11 Problèmes 1. Le troc est l échange direct de biens et services contre d autres biens et services. Il limite le commerce, puisqu il requiert une double concordance des besoins. Par exemple, un vendeur de calèches qui désire acheter des chaises doit trouver un vendeur de chaises qui désir également acheter une calèche. 2. La monnaie marchandise et la monnaie fiduciaire. 3. L argent liquide ainsi que les dépôts à vue. Ces deux principaux actifs sont immédiatement disponibles pour acheter des biens et services. 4. a) Non, sans aucun doute, les pauvres détiennent un plus fort pourcentage de leur richesse en argent liquide. En fait, les pauvres n ont souvent aucune autre forme d avoir financier. b) «L impôt inflation» crée un fardeau fiscal plus lourd pour les pauvres que pour les riches. En effet, les riches sont en mesure de conserver la plupart de leurs avoirs dans des types de placements dont la valeur réelle se maintient, malgré l inflation. c) L inflation entraîne plusieurs autres coûts en dehors de «l impôt inflation» : le coût d usure, le coût d affichage, la variation imprévue des charges fiscales, la confusion ou la gêne liées à la variation des unités de compte et la redistribution arbitraire des richesses entre créanciers et débiteurs.

La monnaie, les banques et les taux d intérêt

La monnaie, les banques et les taux d intérêt Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires

Plus en détail

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite) Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,

Plus en détail

12. Le système monétaire

12. Le système monétaire 12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre

Plus en détail

10. L épargne, l investissement et le système financier

10. L épargne, l investissement et le système financier 10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement

Plus en détail

Nobody s Unpredictable

Nobody s Unpredictable Connaissance qu a le public de la Banque du Canada (Comparaison des résultats de l enquête téléphonique et de l enquête en ligne) Enquête de décembre 2010 commandée par la Banque du Canada Nobody s Unpredictable

Plus en détail

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système

Plus en détail

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait

Plus en détail

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres

Plus en détail

Macroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be

Macroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be Macroéconomie Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be Macroéconomie Monnaie Fonction de la monnaie Moyen de paiement: troc incompatible avec une forte division du travail acceptation

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

Le revenu et le pouvoir d achat

Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation

Plus en détail

Préambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :

Préambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique : Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir

Plus en détail

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes

Plus en détail

Calcul et gestion de taux

Calcul et gestion de taux Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4

Plus en détail

PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE

PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 QUESTION NIVEAU 1: FACTURE... 4

Plus en détail

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

3e question : Qui crée la monnaie?

3e question : Qui crée la monnaie? 3e question : Qui crée la monnaie? INTRO : Sensibilisation Vidéo : Comprendre la dette publique en quelques minutes (1min à 2min 27) http://www.youtube.com/watch?v=jxhw_ru1ke0&feature=related Partons de

Plus en détail

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable

Plus en détail

SCIAN Canada Cliquez ici pour retourner à indexf.pdf Descriptions

SCIAN Canada Cliquez ici pour retourner à indexf.pdf Descriptions Cliquez ici pour retourner à indexf.pdf 514210 Services de traitement des données Voir la description de la classe 51421 ci-dessus. 52 Finance et assurances Ce secteur comprend les établissements dont

Plus en détail

Plan du cours. I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé.

Plan du cours. I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé. 1 Plan du cours I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé. II. Les échanges interbancaires. III. La création monétaire et les échanges interbancaires dans un système bancaire hiérarchisé.

Plus en détail

SADC Document de référence

SADC Document de référence SADC Document de référence Protection des épargnes Donnez à vos clients toutes les pièces du casse-tête En donnant à vos clients toutes les pièces du cassetête concernant l assurance-dépôts de la SADC,

Plus en détail

Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie

Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n

Plus en détail

Document de recherche n 1 (GP, EF)

Document de recherche n 1 (GP, EF) Conservatoire National des Arts et Métiers Chaire de BANQUE Document de recherche n 1 (GP, EF) Taxation de l épargne monétaire en France : une fiscalité potentiellement confiscatoire Professeur Didier

Plus en détail

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux 6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

QU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques

QU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques Les banques en tant qu intermédiaires financiers Qu est-ce qu une banque? Une banque est une entreprise dont l activité principale consiste à recevoir l épargne en dépôt, à accorder des crédits et à fournir

Plus en détail

Les 10 étapes vers un patrimoine en toute sérénité

Les 10 étapes vers un patrimoine en toute sérénité Les 10 étapes vers un patrimoine en toute sérénité Présentation d'optima Fondée en 1991 Indépendante 13.160 clients au 01/09/2010 316 collaborateurs Leader sur le marché belge Bureaux à Gand et à Braine-l

Plus en détail

Macroéconomie. Monnaie et taux de change

Macroéconomie. Monnaie et taux de change Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de

Plus en détail

Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014

Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014 Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014 La monnaie Les moyens de paiement La banque La bourse Qui protège l épargne et les dépôts du public dans

Plus en détail

Le meilleur programme de financement par cartes-cadeaux au Canada

Le meilleur programme de financement par cartes-cadeaux au Canada Le meilleur programme de financement par cartes-cadeaux au Canada Aperçu du programme Juin 2015 À propos du programme FundScrip FundScrip est un programme de levée de fonds pancanadien qui fait en sorte

Plus en détail

A Comment passe-t-on des revenus primaires au revenu disponible?

A Comment passe-t-on des revenus primaires au revenu disponible? 32 LES FACTEURS ECONOMIQUES DE LA CONSOMMATION A Comment passe-t-on des revenus primaires au revenu disponible? 1 De la production aux revenus primaires 1. Une fois la richesse produite dans les entreprises

Plus en détail

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD

Plus en détail

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident

Plus en détail

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales) b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

3 ) Les limites de la création monétaire

3 ) Les limites de la création monétaire 3 ) Les limites de la création monétaire Si un banquier n a besoin que de son stylo pour créer de la monnaie, on peut se demander ce qui empêche une création infinie de monnaie. En fait, la création monétaire

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE

FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT ET DE GESTION Adopté le 26 septembre 2009 1 RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT

Plus en détail

COMBIEN UN MÉDECIN A-T-IL BESOIN D ARGENT POUR SA RETRAITE?

COMBIEN UN MÉDECIN A-T-IL BESOIN D ARGENT POUR SA RETRAITE? COMBIEN UN MÉDECIN A-T-IL BESOIN D ARGENT POUR SA RETRAITE? Des tableaux inédits, pour tous les médecins, quel que soit l âge ou le revenu Par Eric F. Gosselin, Adm.A, Pl.Fin. ericg@finances-etc.com Avec

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait

Plus en détail

Commentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme

Commentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme Commentaires Michael Narayan L étude de Levin, Mc Manus et Watt est un intéressant exercice théorique qui vise à extraire l information contenue dans les prix des options sur contrats à terme sur le dollar

Plus en détail

Chapitre 4 - La valeur de l argent dans le temps et l'actualisation des cash-flows

Chapitre 4 - La valeur de l argent dans le temps et l'actualisation des cash-flows Chapitre 4 - La valeur de l argent dans le temps et l'actualisation des cash-flows Plan Actualisation et capitalisation Calculs sur le taux d intérêt et la période Modalités de calcul des taux d intérêts

Plus en détail

LE RISQUE DE CHANGE INTRODUCTION : LE MARCHE DES CHANGES : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT. touscours.net

LE RISQUE DE CHANGE INTRODUCTION : LE MARCHE DES CHANGES : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT. touscours.net LE RISQUE DE CHANGE INTRODUCTION : LE MARCHE DES CHANGES : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT I. LE MARCHE AU COMPTANT : A. DEFINITION : Le marché au comptant, encore appelé «marché spot» est le marché sur

Plus en détail

Les principaux crédits et les pièges à éviter

Les principaux crédits et les pièges à éviter Chapitre 1 Les principaux crédits et les pièges à éviter 1. Le crédit revolving Le crédit revolving (ou crédit permanent) est souvent vendu comme une réserve d argent permettant de financer des envies

Plus en détail

Gestion de trésorerie: guide d auto-apprentissage. Gestion de trésorerie et taux de change multiples

Gestion de trésorerie: guide d auto-apprentissage. Gestion de trésorerie et taux de change multiples Gestion de trésorerie: guide d auto-apprentissage Cours de niveau avancé Leçon 9: Gestion de trésorerie et taux de change multiples Objectifs À la fin de cette leçon, vous devriez savoir: définir les besoins

Plus en détail

Procédure administrative Vérification des factures et des remboursements

Procédure administrative Vérification des factures et des remboursements Procédure administrative Vérification des factures et des remboursements A) Introduction La présente procédure a pour but d'aider les facultés et services à s'acquitter de leurs responsabilités de vérification

Plus en détail

Présentation des termes et ratios financiers utilisés

Présentation des termes et ratios financiers utilisés [ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.

Plus en détail

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC DOCUMENT D INFORMATION Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC document d information Septembre 2014 La fiscalité des particuliers au Québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte

Plus en détail

Manuel de référence Options sur devises

Manuel de référence Options sur devises Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à

Plus en détail

Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia

Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire

Plus en détail

A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION?

A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION? L épargne, la fiscalité et les régimes de retraite Congrès 2012 de l ASDEQ, Session 1, conférence 3, A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION? Jean-Pierre Aubry, fellow

Plus en détail

Document d information n o 4 sur les pensions

Document d information n o 4 sur les pensions Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,

Plus en détail

Financer ses activités commerciales en Turquie. Julien Richard Directeur Commerce International 13 mars 2014

Financer ses activités commerciales en Turquie. Julien Richard Directeur Commerce International 13 mars 2014 Financer ses activités commerciales en Turquie Julien Richard Directeur Commerce International 13 mars 2014 Une approche globale 1 2 Stratégie et Évaluation 8 recherche d opportunités clients et fournisseurs

Plus en détail

L importance de la monnaie dans l économie

L importance de la monnaie dans l économie L importance de la monnaie dans l économie Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion UE 13 Relations professionnelles Etude réalisée par : Marina Robert Simon Bocquet Rémi Mousseeff Etudiants

Plus en détail

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment

Plus en détail

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des

Plus en détail

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de

Plus en détail

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement

Plus en détail

L essentiel sur. Le crédit immobilier

L essentiel sur. Le crédit immobilier L essentiel sur Le crédit immobilier Emprunter pour devenir propriétaire Le crédit immobilier est, pour la plupart des ménages, le passage obligé pour financer l achat d un bien immobilier. C est un poste

Plus en détail

Le placement, ou comment faire fructifier votre argent

Le placement, ou comment faire fructifier votre argent Chapitre 12 Le placement, ou comment faire fructifier votre argent Comme l a dit J.H. Morley : Lorsque vous placez de l argent, le montant de l intérêt dépendra de votre préférence : voulez-vous bien manger,

Plus en détail

ISCFE Faits et institutions économiques 1M LA MONNAIE

ISCFE Faits et institutions économiques 1M LA MONNAIE LA MONNAIE 1 Fonctions de la monnaie Unité de mesure universelle de la valeur. Moyen intermédiaire universel d'échange. Réserve de valeurs intemporelle. 2 Formes de la monnaie Monnaie divisionnaire Valeur

Plus en détail

BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois

BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique

Plus en détail

FKF34005 (10-13) Investir en harmonie avec votre style de vie. 69061_Broch_FED_FKF34005.indd 2

FKF34005 (10-13) Investir en harmonie avec votre style de vie. 69061_Broch_FED_FKF34005.indd 2 FKF34005 (10-13) Investir en harmonie avec votre style de vie 69061_Broch_FED_FKF34005.indd 2 13-09-27 17:26 LES PORTEFEUILLES DIAPASON Plus qu une solution pour vos placements Vous avez des obligations

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.

Plus en détail

Existe-t-il un taux d endettement optimal des États?

Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Nicolas Marceau, CIRPÉE et UQÀM mai 2003 Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? 1 Plan de la présentation 1. Équivalence ricardienne 2.

Plus en détail

Opérations bancaires et investissements

Opérations bancaires et investissements Opérations bancaires et Publication : 1 avril 2003 Révision : TABLE DES MATIÈRES But et portée... 1 Principes... 1 Glossaire... 2 Directive exécutoire... 3 Résumé des responsabilités... 4 Collèges... 4

Plus en détail

Réforme monétaire: par où commencer?

Réforme monétaire: par où commencer? Réforme monétaire: par où commencer? Troisième université d automne de l économie autrichienne 4-6 Octobre 2013, Troyes Nikolay Gertchev Chargé de cours à l'ichec Brussels Management School Plan de l'exposé

Plus en détail

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT)

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) Portefeuille de trésorerie de l Université d Ottawa Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) 1. But L Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie

Plus en détail

PROTECTION DE VOS DÉPÔTS. De 1 $ jusqu à 100 000 $

PROTECTION DE VOS DÉPÔTS. De 1 $ jusqu à 100 000 $ PROTECTION DE VOS DÉPÔTS De 1 jusqu à 100 000 La Société d assurance-dépôts du Canada (SADC) est une société d État fédérale créée en 1967 pour protéger l argent que vous déposez dans les institutions

Plus en détail

Choisir le bon compte d épargne

Choisir le bon compte d épargne OPÉRATIONS BANCAIRES Choisir le bon compte d épargne Un compte d épargne est un bon moyen de mettre de l argent de côté pour atteindre des objectifs à court terme ou constituer un fonds d urgence pour

Plus en détail

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près

Plus en détail

Les Politiques macro-économiques

Les Politiques macro-économiques Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE

Plus en détail

ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU

ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU 1 CHAPITRE 3: L ASYMÉTRIE D INFORMATION NOTIONS IMPORTANTES: Asymétrie d information Antisélection (ou sélection

Plus en détail

L éducation financière. Manuel du participant Les notions de base du crédit

L éducation financière. Manuel du participant Les notions de base du crédit L éducation financière Manuel du participant Les notions de base du crédit 2 Contenu DOCUMENT 6-1 Les types de crédit Type de crédit Prêteur Usages Modalités Crédit renouvelable Carte de crédit (garantie

Plus en détail

RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE

RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE A Demande R-3541 2004 RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE LOUIS SIMARD ET PAUL-ANDRÉ PINSONNAULT Original: 2004-09-30 HQD-11, Document 8 Page 1 de 33 LE FINANCEMENT D

Plus en détail

Cours 1. 3. L environnement politique. INTRODUCTION AU MARCHÉ DES CHANGES : Le marché au comptant

Cours 1. 3. L environnement politique. INTRODUCTION AU MARCHÉ DES CHANGES : Le marché au comptant Cours INTRODUCTION AU MARCHÉ DES CHANGES : Le marché au comptant I. INTRODUCTION : L ENVIRONNEMENT FINANCIER INTERNATIONAL A. Différences entre finance domestique et finance internationale. L environnement

Plus en détail

Analyse financière détaillée

Analyse financière détaillée Analyse financière détaillée L analyse financière détaillée réintègre le cadre comptable de la comptabilité générale. En particulier les hypothèses introduites dans l analyse sommaire sont levées. Cela

Plus en détail

Atelier La Gestion du Cash Flow. CBDC, NB Février, 2008. Présenté par: ACSBE (Traduit de l anglais par André Chamberland : andre.cham@sympatico.

Atelier La Gestion du Cash Flow. CBDC, NB Février, 2008. Présenté par: ACSBE (Traduit de l anglais par André Chamberland : andre.cham@sympatico. Atelier La Gestion du Cash Flow CBDC, NB Février, 2008 Présenté par: ACSBE (Traduit de l anglais par André Chamberland : andre.cham@sympatico.ca) Précédente session de formation Les sept (7) attributs

Plus en détail

Marché de la monnaie et marché des capitaux

Marché de la monnaie et marché des capitaux Chapitre 3 Marché de la monnaie et marché des capitaux 3.1 Introduction Ce chapitre est consacré à l étude du rôle de la monnaie dans l économie et à la description le fonctionnement du marché de la monnaie.

Plus en détail

CHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE

CHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE CHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE 9.1 LE SYSTÈME BANCAIRE AMÉRICAIN Contrairement aux banques de plusieurs pays, les banques américaines ne sont ni détenues ni gérées par le gouvernement. Elles offrent des

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

Vos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à 100 000 $

Vos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à 100 000 $ Vos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à La garantie de base sur vos dépôts Quels dépôts sont garantis par l assurance-dépôts? L

Plus en détail

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants

Plus en détail

Ville de Beauceville

Ville de Beauceville N o 3087 SÉANCE AJOURNÉE 7 NOVEMBRE 2012 Procès-verbal de la séance ajournée des Membres du Conseil de la Ville de Beauceville tenue ce 7 novembre 2012 à 17h00 et à laquelle sont présents Monsieur le Maire

Plus en détail

Table des Matières. 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) Finances Publiques. (sources : BRH / MEF)

Table des Matières. 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) Finances Publiques. (sources : BRH / MEF) Table des Matières 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) 6 Finances Publiques (sources : BRH / MEF) 7 Secteur réel (sources : IHSI / BRH / EDH) 10 Secteur externe (sources : BRH / AGD / Maison

Plus en détail

Comptes publics du Canada

Comptes publics du Canada Gouvernement du Canada Government of Canada Établis par le Receveur général du Canada Comptes publics du Canada 2014 Volume I Revue et États financiers consolidés Canada Ministre des Travaux publics et

Plus en détail

L ASSURANCE-DÉPÔTS UNE PROTECTION POUR VOS ÉCONOMIES

L ASSURANCE-DÉPÔTS UNE PROTECTION POUR VOS ÉCONOMIES en collaboration avec L ASSURANCE-DÉPÔTS UNE PROTECTION POUR VOS ÉCONOMIES Le supplément L assurance-dépôts: une protection pour vos économies a été réalisé par Option consommateurs en partenariat avec

Plus en détail

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie

Plus en détail

monnaie Dar As-Sikkah, entité appartenant à Bank Al-Maghrib, fabrique les pièces de Et les billets de banque en circulation

monnaie Dar As-Sikkah, entité appartenant à Bank Al-Maghrib, fabrique les pièces de Et les billets de banque en circulation Monnaie Un peu d histoire... Avant l apparition de la monnaie, il y avait le troc, qui constitue l échange d un produit contre un autre d une valeur équivalente Mais celui-ci posait de nombreuses contraintes

Plus en détail

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne

Plus en détail

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a

Plus en détail

Troisième partie Le marché monétaire

Troisième partie Le marché monétaire Troisième partie Le marché monétaire Les mécanismes économiques que nous avons examinés dans les deux premières parties faisaient abstraction du rôle de la monnaie. Nous avions bien parlé de prix, et donc

Plus en détail

Gérard Huguenin Petit guide pour s enrichir au quotidien

Gérard Huguenin Petit guide pour s enrichir au quotidien Gérard Huguenin Petit guide pour s enrichir au quotidien Groupe Eyrolles, 2005, 2007 ISBN 10 : 2-7081-3782-4 ISBN 13 : 978-2-7081-3782-0 Table des matières Sommaire....................................................5

Plus en détail

Ressources pour le lycée général et technologique

Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Sciences économiques et sociales - Terminale ES Enseignement spécifique Science économique Thème n 2 : Mondialisation, finance internationale et

Plus en détail