Développement des ressources humaines
|
|
- Florine Émond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Développement des ressources humaines Comme il a été dit plus haut, la compétitivité d une économie dépend non seulement de son capital matériel mais aussi des connaissances que possèdent ses entrepreneurs et sa main-d oeuvre. Des systèmes d éducation et de formation efficaces sont donc importants pour élever la productivité et encourager la croissance économique. Cependant, il existe des différences frappantes en Europe dans les domaines de l éducation et de la formation. Des différences importantes dans les niveaux d instruction entre Etats membres Malgré la réduction progressive des disparités dans le domaine de l éducation qui a été enregistrée les trente dernières années, il reste un écart important entre les niveaux d instruction au sein des pays de la cohésion et dans le reste de l Union. En particulier, dans les premiers, une fraction importante de la population âgée de 2 à 9 ans n a qu un faible niveau d instruction, c est-à-dire pas de diplômes d enseignement au delà de l enseignement obligatoire (1999: 7% au Portugal, quelque 6% en Espagne et environ la moitié en Grèce et en Irlande). Il en va de même en Italie, où plus de la moitié des personnes de cette classe d âge ont un faible niveau d instruction. Par contre, dans les trois pays nordiques, la Belgique et le Royaume-Uni, plus d un quart des personnes âgées de 2 à 9 ans ont un niveau d instruction élevé (enseignement universitaire ou équivalent) (carte 12). Pays candidats à l adhésion: besoins en enseignement supérieur plus grands que ne l indiquent les chiffres Dans les pays d Europe centrale candidats à l adhésion, une forte proportion de la population âgée de 2 à 9 ans a suivi le second cycle de l enseignement secondaire, surtout dans la République tchèque et la Pologne, où le chiffre dépasse 7%. Toutefois, des études récentes témoignent d une évaluation moins optimiste et suggèrent que la forte proportion de personnes ayant un niveau d instruction dépassant celui de l enseignement élémentaire est surtout due au fait que des écoles professionnelles de niveau inférieur offrent une forme de formation professionnelle de base. «Le fait d avoir un nombre relativement élevé de travailleurs possédant un niveau d instruction supérieur à l enseignement élémentaire a été principalement un sous-produit de la présence dans ces pays d écoles
2 12 Niveaux d instruction, 1999 Faible Moyen Elevé % de la population âgée de 2-9 ans % de la population âgée de 2-9 ans % de la population âgée de 2-9 ans < 19,9 19,9-28,6 28,6-37,3 moyenne = 33, Ecart type = 17,4 < 3,3 3,3-43, 43, - 1,7 moyenne = 47,6 Ecart type = 16,4 < 13,2 13,2-17,3 17,3-21,4 moyenne = 19,4 Ecart type = 8,24 37,3-46, 1,7-9,9 21,4-2, 46, 9,9 2, Source: Eurostat (EFT) 2 12 km MEGRIN pour les frontières administratives
3 professionnelles de niveau inférieur qui offrent généralement une ou deux années de formation à des métiers étroitement définis jusqu à l achèvement de la scolarité obligatoire. Ces écoles professionnelles de niveau inférieur faisaient en réalité partie des écoles élémentaires et ne faisaient même pas partie officiellement du système de l enseignement secondaire dans ces pays.» 1 En outre, on peut s interroger sur la qualité et la nature de la formation professionnelle au niveau du second cycle de l enseignement secondaire, qui semble bien souvent dépassée. Cela souligne la nécessité de développer des stratégies appropriées de développement des ressources humaines dans ces pays afin d éviter que de faibles qualifications ne ralentissent le développement économique et social. Un nombre croissant de jeunes qualifiés Le progrès technologique et la poursuite de la mondialisation augmentent la demande de main-d oeuvre qualifiée. Le niveau d instruction des jeunes dans l Union européenne n a cessé de s améliorer au cours des trente et quelque dernières années. En 1999, 27% seulement des jeunes âgésde2à 34 ans de l Union européenne n avaient pas de qualifications supérieures à la scolarité obligatoire contre 48% dans la classe d âge des -9 ans. De même, 49% des personnes âgées de 2 à 34 ans avaient suivi le second cycle de l enseignement secondaire contre 3% seulement de la classe d âge des -9 ans, alors que 24% des personnes âgées de 2 à 34 ans avaient un diplôme universitaire ou équivalent contre 17% pour la classe d âge des -9 ans. On s attend à ce que le nombre d individus inscrits dans l enseignement supérieur double dans les dix ans 12 Niveau d'instruction élevé par pays et par classe d'âge, En % de la population de la classe d'âge BG, CY, LT, MT, SK: 2-34 ans -9 ans à venir et cela soumettra à des tensions les systèmes d enseignement supérieur en Europe. L amélioration des niveaux d instruction est patente dans tous les Etats membres. Elle est particulièrement marquée dans les pays de la cohésion, ainsi qu en Italie, où le niveau d instruction moyen des personnes relativement âgées est assez faible. La proportion des personnes âgées de 2 à 34 ans dans les pays de la cohésion qui avaient une qualification correspondant au second cycle de l enseignement secondaire en 1999 était deux fois plus élevée que chez les personnes âgées de à 9 ans et la différence était similaire dans le cas de l enseignement supérieur (graphique 12). En conséquence, l écart entre niveaux d instruction entre les Etats membres se réduit. Dans le même temps, l amélioration des niveaux d instruction tend àêtre plus grande chez les femmes que chez les hommes et, dans presque tous les Etats membres, les femmes des classes d âge relativement jeunes ont un niveau d instruction supérieur à celui de leurs homologues de sexe masculin. Néanmoins, le nombre de jeunes qui abandonnent prématurément le système scolaire avec seulement les qualifications les plus élémentaires reste substantiel. Ces jeunes sont incapables de répondre adéquatement à l exigence d une remise à niveau permanente de leurs connaissances et compétences tout au long de la vie, qui est devenue nécessaire à cause de l accélération du rythme de l évolution technologique, scientifique et économique de la société Dans l Union européenne, une moyenne de 22% des jeunes entre 18 et 24 ans acquiert seulement au mieux un niveau d instruction correspondant au premier cycle de l enseignement secondaire. 16 Certains Etats membres se situent nettement au dessus de cette moyenne. En outre, on constate aussi certains taux alarmants dans des zones urbaines ou périphériques et dans des groupes sociaux défavorisés Le problème est le plus sérieux au Portugal où plus de 4% des jeunes de 18 à 24 ans ne passent pas de l enseignement obligatoire à un enseignement supérieur ou à une formation professionnelle complémentaire. B DK D EL E F IRL I L NL A P FIN S UK CZ EE HU LV PL RO SI Dans une société du savoir, les stratifications sociales sont de plus en plus assises 6
4 sur les lignes de partage entre possédants et non possédants en termes de qualifications et de compétences. Les abandons scolaires ont donc des conséquences beaucoup plus durables qu il y a quelques années. Ils peuvent marquer quelqu un pour la vie et rétrécir radicalement l éventail des projets de vie. Les écoles sont au centre de la société du savoir et l apprentissage tout au long de la vie commence à l école. Les échecs scolaires touchent toutes les classes et tous les groupes de la société, mais pas de manière égale. Des enquêtes montrent que les abandons concernent souvent des familles à bas revenu et il semble qu il y ait une forte composante intergénérations dans les échecs scolaires. Nombre des jeunes concernés proviennent de familles brisées et de familles d immigrés mal intégrées ou réfugiées. L abandon scolaire est lié àune multitude de facteurs sociaux, sanitaires, familiaux et financiers. L échec scolaire fait ainsi partie d un «effet-dominos» plus large de dénuement social. L abandon scolaire, de manière souvent irrémédiable, prive les jeunes des atouts dont ils pourraient faire usage pour réussir ou même pour jouer un rôle significatif dans la société: qualifications, compétences, contacts sociaux. Le combat contre l échec scolaire est au coeur des débats sur la réforme de l éducation. Il est indispensable pour la réussite durable d une économie fondée sur le savoir et c est une condition pour le maintien d une société cohésive et d une démocratie participative dans lesquelles chaque individu a un rôle à jouer. une moindre mesure au Portugal, le chômage dans l Union est beaucoup plus faible chez les personnes qui ont un niveau d instruction élevé que chez celles qui ont un niveau d instruction plus faible. En 1999, le taux moyen de chômage des personnes âgées de 2 à 9 ans ayant un niveau d instruction correspondant à l enseignement supérieur était de % contre 8% pour les personnes ayant un niveau correspondant au second cycle de l enseignement secondaire et 12% pour celles ayant seulement suivi un enseignement élémentaire. Dans certains Etats membres, les taux de chômage des personnes ayant un faible niveau d instruction étaient trois à quatre fois plus élevés que ceux des personnes ayant un niveau d instruction plus élevé (graphique 13). Le lien entre éducation et taux d emploi est encore plus étroit surtout pour les femmes. Cela tient à ce qu une large fraction des femmes ayant un faible niveau d instruction et une proportion importante d hommes n appartient pas à la population active. En d autres termes, les niveaux d instruction n influent pas seulement sur les chances d être au chômage mais aussi sur celles d être économiquement inactif. Une configuration similaire s observe aussi dans les pays candidats à l adhésion. La différence entre les taux de chômage des personnes ayant différents niveaux d instruction est très marquée dans la République tchèque, en Hongrie, en Pologne et en Slovaquie, où les personnes ayant un faible niveau d instruction ont sept fois plus de chances d être au chômage que celles ayant un niveau d instruction élevé. Dans les pays candidats, une amélioration du niveau d instruction est aussi patente. Dans la plupart d entre eux, la proportion des jeunes âgés de2à 34 ans ayant un niveau correspondant au second cycle de l enseignement secondaire est nettement supérieure à celle des personnes âgées de à 9 ans, alors que la proportion des personnes ayant un 2 niveau d instruction correspondant à l enseignement supérieur reste voisine et 2 reste assez faible chez les jeunes. Les taux de fréquentation de l enseignement universitaire sont ainsi généralement très 1 inférieurs à ceux de l Union européenne. En Grèce, en Espagne et en Italie, en particulier, comme dans la plupart des pays candidats à l adhésion, un 13 Taux de chômage selon le niveau d'instruction, 1999 En % de la population active 1er cycle sec. 2ème cycle sec. Supérieur BG, CY, MT, SK: Les perspectives d emploi augmentent avec le niveau d instruction Dans presque tous les Etats membres de l Union européenne, le niveau d instruction est un facteur important pour l obtention d un emploi. Sauf en Grèce, et dans B DK D EL E F IRL I L NL A P FIN S UK CZ EE HU LT LV PL RO SI E1 7
5 nombre important de jeunes de 2 à 34 ans ont toutefois du mal à trouver un emploi après l achèvement de leurs études, ce qui contraste fortement avec la situation des personnes plus âgées possédant des qualifications similaires. Il faut aussi souligner que les différences dans les perspectives d emploi entre les hommes et les femmes persistent. Les femmes ayant un niveau d instruction donné ont plus de chances d être au chômage que les hommes ayant un niveau d instruction similaire dans la plus grande partie de l Union européenne. Les inégalités sont particulièrement marquées en Grèce, en Espagne et en Italie. Par contre, dans la plupart des pays candidats à l adhésion, les femmes semblent généralement avoir une position moins inégale que dans l Union européenne. Enfin, il faut noter qu il y a une relation clairement positive entre les niveaux d instruction et les rémunérations. Dans tous les Etats membres, les personnes employées à temps plein possédant un niveau d instruction correspondant à l enseignement supérieur gagnent en moyenne plus que celles ayant un niveau correspondant au second cycle de l enseignement secondaire. La différence dépasse % en Allemagne, en France et en Autriche et % au Portugal. La différence de gains entre les personnes ayant un niveau d instruction correspondant au second cycle de l enseignement secondaire et celles ayant un niveau lié au premier cycle est bien moindre dans la plupart des Etats membres (-2%) mais reste importante. L accès à la formation continue varie encore fortement entre les Etats membres L éducation et la formation continue sont essentielles à la fois pour les perspectives d emploi des individus et pour le maintien de la compétitivité d une économie moderne. Alors que des indicateurs suggèrent que la participation à une formation professionnelle des personnes occupant un emploi a augmenté dans toute l Europe, ils montrent aussi que la participation à la formation professionnelle reste encore relativement faible et qu il subsiste d amples disparités entre Etats membres. En 1999, un peu plus de % seulement des salariés de l Union européenne couverts par l Enquête sur les forces de travail (EFT) avaient entrepris une formation pendant les quatre semaines précédentes. Les taux de participation variaient de moins de % dans environ la moitié des Etats membres à plus de 2% aux Pays-Bas, au Danemark, en Finlande et en Suède. Bien que ces chiffres comportent un fort degré d incertitude et ne soient pas totalement comparables d un pays à l autre, ils indiquent que l accès à la formation est certainement moindre dans les pays de la cohésion qu ailleurs. Quoiqu elle ne tienne pas compte de la qualité et de la pertinence de la formation, une enquête récente de l OCDE suggère que la durée de la formation liée à l emploi varie aussi de façon importante entre les pays couverts. Le nombre d heures annuelles de formation suivies par les salariés allait ainsi de 27 en Belgique (Flandres seulement) à 7 aux Pays-Bas. 17 Les données de l EFT suggèrent aussi que les jeunes salariés bénéficient de plus de formation que les salariés plus âgés. Alors que 2,% seulement des salariés de à 9 ans dans l Union européenne avaient participéàune formation ou à des cours d enseignement pendant les semaines de référence, le chiffre était de % pour les salariés de 2 à 29 ans et de 8% pour ceux âgés de3à 34 ans. De plus, il semble qu il y ait un lien clair entre le niveau d instruction et l accès à la formation dans tous les Etats membres: les salariés qui ont un niveau d instruction élevé ont plus de chances de bénéficier d une formation que ceux dont le niveau d instruction est plus faible. Il faut donc intensifier les efforts visant àéviter que les problèmes des personnes ayant un faible niveau d instruction initial ne soient aggravés par le fait qu ils n aient qu un accès limitéàla formation continue. L adaptation des systèmes d enseignement aux technologies de l information et de la communication a démarré mais il reste du chemin à faire Pour effectuer une entrée en douceur sur les marchés du travail modernes, les étudiants ont besoin d avoir été en contact avec les nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC) à l école. L intégration des NTIC dans le système éducatif est de plus en plus répandue dans l Union européenne, à mesure que les Etats membres mettent en oeuvre les conclusions du Conseil de Lisbonne, ainsi que les objectifs de l initiative E-Learning qui invitaient à renforcer les NTIC dans les systèmes éducatifs européens: les NTIC sont incluses dans les programmes des deux cycles de l enseignement secondaire dans la majorité des Etats membres de l Union et des pays candidats à l adhésion. Cependant, l ampleur des progrès accomplis dans ce domaine est difficile àévaluer. S il existe des données nationales, il n y a harmonisées disponibles au niveau de l Union européenne. Une étude pilote de l OCDE suggère que l accès aux NTIC dans l éducation, mesuré par le nombre d élèves par ordinateur, varie fortement au sein de l Union. 18 Alors que les écoles primaires de Finlande, de Suède et du Danemark comptent généralement de 11 à 14 élèves par ordinateur, le chiffre va de à pour l Italie et le Portugal. Dans les écoles secondaires, où il y a une moyenne de 7 élèves par ordinateur en Suède, en Finlande et en Irlande, le chiffre est de 6 au Portugal. Dans l enseignement primaire et secondaire, l accès aux ordinateurs est plus faible dans presque tous les Etats membres qu aux Etats-Unis. 8
Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux
Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.
Plus en détailCOMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER?
COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER? 2/09/2008-22/10/2008 329 réponses PARTICIPATION Pays DE - Allemagne 55 (16.7%) PL - Pologne 41 (12.5%) DK - Danemark 20 (6.1%) NL - Pays-Bas 18 (5.5%) BE
Plus en détailNotes explicatives concernant le formulaire d opposition
OFFICE DE L HARMONISATION DANS LE MARCHÉ INTÉRIEUR (OHMI) (marques, dessins et modèles) Notes explicatives concernant le formulaire d opposition 1. Remarques générales 1.1 Utilisation du formulaire Le
Plus en détailJe suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie?
FR Je suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie? B Informations pour les demandeurs d une protection internationale dans le cadre d une procédure de Dublin en vertu de l article 4 du Règlement
Plus en détailJ ai demandé l asile dans l Union européenne quel pays sera responsable de l analyse de ma demande?
FR J ai demandé l asile dans l Union européenne quel pays sera responsable de l analyse de ma demande? A Informations sur le règlement de Dublin pour les demandeurs d une protection internationale en vertu
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailGuide SEPA Paramétrage Experts Solutions SAGE depuis 24 ans
Guide SEPA Paramétrage Axe Informatique Experts Solutions SAGE depuis 24 ans Installation Paramétrage Développement Formation Support Téléphonique Maintenance SEPA Vérification du paramétrage des applications
Plus en détailPrix de l énergie dans l Union européenne en 2010
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 249 Septembre 2011 Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2010, le prix du gaz a diminué dans l Union européenne
Plus en détailThème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire
FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailQui sont les enseignants?
Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),
Plus en détailB o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1
1 B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1 Objectif : Acquérir une expérience professionnelle en réalisant un stage en entreprise de 3 mois à temps plein à l étranger
Plus en détailLES EUROPEENS ET LES LANGUES
Eurobaromètre Commission européenne LES EUROPEENS ET LES LANGUES Terrain : Mai Juin 2005 Publication : Septembre 2005 Eurobaromètre Spécial 237-Vague 63.4 TNS Opinion & Social Sondage commandité et coordonné
Plus en détailSécurité des patients et qualité des soins de santé Rapport
Eurobaromètre spécial Commission européenne Sécurité des patients et qualité des soins de santé Rapport Terrain : septembre - octobre 2009 Publication : avril 2010 Eurobaromètre 327 / Vague TNS Opinion
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailPaiements transfrontaliers
Paiements transfrontaliers Transférer rapidement et facilement des fonds à partir de et vers un compte à l étranger Valable à partir du 1 e janvier 2007 Valable à partir du 1 e janvier 2007 La vie actuelle
Plus en détailFlavien Neuvy Responsable de L Observatoire Cetelem
1 Flavien Neuvy Responsable de L Observatoire Cetelem 2 Méthodologie Enquête réalisée par TNS Sofres : interrogation par Internet d échantillons représentatifs des populations nationales (18 ans et plus)
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailL Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0
L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailAnalyse comparative du. temps d'instruction. dans l'enseignement obligatoire à temps plein en Europe 2013/2014. Rapport Eurydice
Analyse comparative du temps d'instruction dans l'enseignement obligatoire à temps plein en Europe 2013/2014 Rapport Eurydice Éducation et formation Analyse comparative du temps d'instruction dans l'enseignement
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION
REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs
Plus en détailPrix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailDélégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1
Délégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1 Déroulement de la journée Tiers Recherches et Couguar Créations et particularités Demandes d achats Principes et création Commandes Informations
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailOBSERVATION ET STATISTIQUES
COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté
Plus en détailLes obstacles au marché intérieur du point de vue des citoyens
Eurobaromètre études qualitatives Les obstacles au marché intérieur du point de vue des citoyens Rapport complet Commission européenne Les obstacles au marché intérieur du point de vue des citoyens Rapport
Plus en détailTaux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque
168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre
Plus en détailL IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détaile-mail : bcf.courrier@bcf.asso.fr site internet : www.bcf.asso.fr. ASSURANCE FRONTIÈRE --------------------- CAHIER DES CHARGES
BUREAU CENTRAL FRANÇAIS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES CONTRE LES ACCIDENTS D AUTOMOBILES Adresser toute correspondance : 1, rue Jules Lefebvre 75431 PARIS CEDEX 09 Téléphone : 01 53 21 50 80 Télécopieur :
Plus en détailLes enfants ayant besoin d une protection internationale
FR Les enfants ayant besoin d une protection internationale Informations destinées aux enfants non accompagnés qui introduisent une demande de protection internationale conformément à l article 4 du Règlement
Plus en détailAméliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi
Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi
Plus en détailFocus sur les structures de l enseignement supérieur en Europe 2004/2005 Évolutions nationales dans le cadre du Processus de Bologne
ISSN 1830-348X Direction générale de l éducation et de la culture Focus sur les structures de l enseignement supérieur en Europe 2004/2005 Évolutions nationales dans le cadre du Processus de Bologne Commission
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailAMÉLIORER LE RAPPORT COÛT-EFFICACITÉ DES SYSTÈMES DE SANTÉ
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE 2010, Améliorer le rapport coût-efficacité des systèmes de santé, OCDE Département des Affaires Économiques, Note de politique économique,
Plus en détailLe travail non déclaré au sein de l Union européenne
Eurobaromètre Spécial Commission européenne Le travail non déclaré au sein de l Union européenne Terrain : mai juin 2007 Publication : octobre 2007 Rapport Eurobaromètre Spécial 284 / Vague 67.3 TNS Opinion
Plus en détailL'enseig. gnement des science. s en Europe: Commission européenne
L'enseig gnement des science i s en Europe: E politiquess nationales, pratiquess et recherche BG Commission européenne L enseignement des sciences en Europe: politiques nationales, pratiques et recherche
Plus en détailLa santé dentaire. Terrain: Octobre 2009 Publication: Février 2010
Eurobaromètre Special 330 EUROBAROMETRE Spécial 330 La santé dentaire Terrain: Octobre 2009 Publication: Février 2010 Rapport Eurobaromètre Special 330 / Wave TNS Opinion & Social Sondage commandité par
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailÉtude de marché. Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN
Étude de marché Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN EDMS N : 1382269 MS-4034/GS Afin d être pris en considération en tant que soumissionnaire
Plus en détailL ANNÉE EUROPÉENNE POUR LE DÉVELOPPEMENT AVIS DES EUROPÉENS SUR LE DÉVELOPPEMENT, LA COOPÉRATION ET L AIDE
Eurobaromètre spécial 421 L ANNÉE EUROPÉENNE POUR LE DÉVELOPPEMENT AVIS DES EUROPÉENS SUR LE DÉVELOPPEMENT, LA COOPÉRATION ET L AIDE RAPPORT Terrain : Septembre 2014 Publication : Janvier 2015 Cette étude
Plus en détailANNEXE VI CONTRAT FINANCIER ERASMUS MOBILITE 2013-2014 REGLES GENERALES D UTILISATION DES FONDS ERASMUS : EXTRAIT
ANNEXE VI CONTRAT FINANCIER ERASMUS MOBILITE 2013-2014 REGLES GENERALES D UTILISATION DES FONDS ERASMUS : EXTRAIT 4. LISTE DES PAYS PARTICIPANTS Pays membres de l Union européenne Pays ALLEMAGNE AUTRICHE
Plus en détailNOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)
NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Politiques, pratiques et données statistiques sur les mineurs isolés étrangers (MIE) dans les États membres de l UE et en Norvège 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse
Plus en détailLES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE
LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE RAPPORT REDIGE PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE S.A. POUR La Direction Générale Emploi et Affaires sociales Sécurité sociale et intégration sociale Recherche
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailInnover à l'ère du numérique : ramener l'europe sur la bonne voie Présentation de J.M. Barroso,
Innover à l'ère du numérique : ramener l'europe sur la bonne voie Présentation de J.M. Barroso, Président de la Commission européenne, au Conseil européen des 24 et 25 octobre 213 Indice de compétitivité
Plus en détailNiveau de scolarité et emploi : le Canada dans un contexte international
N o 81-599-X au catalogue Issue n o 008 ISSN : 1709-8661 ISBN : 978-1-100-98615-9 Feuillet d information Indicateurs de l éducation au Niveau de scolarité et emploi : le dans un contexte international
Plus en détailL indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne
L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité
Plus en détailLes concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»
Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches
Plus en détailCentre pour la recherche et l innovation dans l enseignement L'INVESTISSEMENT DANS LE CAPITAL HUMAIN OCDE. Une comparaison internationale
Centre pour la recherche et l innovation dans l enseignement OCDE L'INVESTISSEMENT DANS LE CAPITAL HUMAIN Une comparaison internationale CENTRE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION DANS L ENSEIGNEMENT L INVESTISSEMENT
Plus en détail20 ANS. du marché unique européen. Ensemble pour une nouvelle croissance. Principales réalisations. Marché intérieur et services
20 ANS du marché unique européen Ensemble pour une nouvelle croissance Principales réalisations Marché intérieur et services Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses aux
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailLe besoin d épargne retraite en Europe
À propos d Aviva Aviva est le 6e assureur mondial*, avec plus de 5 millions de clients répartis en Europe, en Amérique du Nord et dans la zone Asie-Pacifique. Les principaux métiers du groupe Aviva sont
Plus en détailContribution des entreprises de travail intérimaire aux transitions sur le marché du travail : l exemple de la formation professionnelle
Contribution des entreprises de travail intérimaire aux transitions sur le marché du travail : l exemple de la formation professionnelle A Au nom de : Eurociett et UNI-Europa Réalisé par : IDEA Consult
Plus en détailBMW Service. BMW Service. BMW Mobile Care. La garantie de mobilité BMW valable dans toute l'europe. Assistance même en situations extrêmes.
12 BMW Service Comment procéder en cas de panne. Toujours en cas de panne, prenez contact d'abord avec le service d'assistance, en téléphonant : De l'intérieur : au 0844 85 75 75 De l'étranger : au +41
Plus en détailEP 2 063 325 A2 (19) (11) EP 2 063 325 A2 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.05.2009 Bulletin 2009/22
(19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 063 325 A2 (43) Date de publication: 27.05.2009 Bulletin 2009/22 (51) Int Cl.: G04B 17/06 (2006.01) G04B 17/34 (2006.01) (21) Numéro de dépôt: 08167317.0
Plus en détailL assurance qualité N 4. Décembre 2014
N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailRETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?
RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise
Plus en détailFiscalité des actifs des particuliers : tendances
fiscalité des actifs des Particuliers : tendances Fiscalité des actifs des particuliers : tendances m. nautet k. van cauter l. van meensel * Introduction Aujourd hui, à l heure où une politique budgétaire
Plus en détailPublication. Novembre 2005
Publication Etude sur l application du Cadre d auto-évaluation des fonctions publiques dans les administrations publiques européennes & 2 e événement CAF européen, Luxembourg le 1-2 juin 2005 Novembre
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailInformations techniques et questions
Journée Erasmus Appel à propositions 2015 Informations techniques et questions Catherine Carron et Amanda Crameri Coordinatrices de projet Erasmus Contenu Call solution transitoire 2015 : remarques générales
Plus en détailVous avez eu ou élevé des enfants Vos droits
Salariés FÉVRIER 2014 Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits B Les majorations de durée d assurance B Le congé parental B La majoration pour 3 enfants Vous avez eu ou élevé des enfants Vous avez
Plus en détailProfessions indépendantes. Vos prestations maladie
Professions indépendantes Vos prestations maladie Édition 2012 Vos prestations maladie Sommaire Quels sont les bénéficiaires de l assurance maladie? 3 Comment bénéficier des prestations? 4 Quels sont les
Plus en détailProgramme SOCRATES / COMENIUS Action 2 Bourse de formation continue. Code Postal : Ville : Tél. : Fax : E-mail :
Programme SOCRATES / COMENIUS Action 2 Bourse de formation continue Candidat Madame Mademoiselle Monsieur Groupe Nom : Prénom : Nationalité : Date de naissance : Personne défavorisée : NON OUI : Handicap
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailLe coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011
Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat
Plus en détailEtude sur les communications électroniques auprès des ménages. Résumé. Eurobaromètre Spécial
Eurobaromètre Spécial Commission Européenne Etude sur les communications électroniques auprès des ménages Terrain Décembre 2005 Janvier 2006 Publication Juillet 2006 Résumé Eurobaromètre Spécial 249 /
Plus en détailTests d accès pour les concours généraux
Tests d accès pour les concours généraux EPSO/AD/53-62/06 Administrateurs (AD5) de citoyennetés chypriote, tchèque, estonienne, hongroise, lituanienne, lettone, maltaise, polonaise, slovène, slovaque dans
Plus en détailATTESTATION CONCERNANT LA COMPOSITION DE LA FAMILLE EN VUE DE L'OCTROI DES PRESTATIONS FAMILIALES. 1.1. Nom ( 1 bis )...
COMMISSION ADMINISTRATIVE POUR LA SÉCURITÉ SOCIALE DES TRAVAILLEURS MIGRANTS Voir «Instructions» page 4 E 401 ( 1 ) ATTESTATION CONCERNANT LA COMPOSITION DE LA FAMILLE EN VUE DE L'OCTROI DES PRESTATIONS
Plus en détailNOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)
NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Approches et outils employés par les États membres en vue d identifier les besoins du marché du travail 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse du REM (EMN Inform) fournit
Plus en détailFormulaire de Candidature
Numéro de référence A compléter par les services de l'agence exécutive Formulaire de Candidature Programme Culture (2007-2013) Sous - programme NON APPLICABLE Action Volet 1.2.2 Date limite de soumission
Plus en détailANNEX 1 ANNEXE RÈGLEMENT DÉLÉGUÉ (UE) N /.. DE LA COMMISSION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 26.11.2014 C(2014) 8734 final ANNEX 1 ANNEXE au RÈGLEMENT DÉLÉGUÉ (UE) N /.. DE LA COMMISSION remplaçant les annexes I et II du règlement (UE) n 1215/2012 du Parlement
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailQui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web
Qui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web La Motivation intangible : portails collaboratifs métiers, innovation collaborative, management des idées, brainstorming La Motivation tangible
Plus en détailLe travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté?
ISBN 978-92-64-6795- Perspectives de l emploi de l 29 Faire face à la crise de l emploi 29 Chapitre 3 Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? L emploi réduit considérablement le risque
Plus en détailLes prestations servies dans la zone UE-EEE-Suisse entre 2004 et 2013
R EGARD SUR... Les prestations servies dans la zone UE-EEE-Suisse entre 24 et 213 (application des règlements (CEE) n 148/71 puis (CE) n 883/24) Chaque année, les paiements effectués par la France en application
Plus en détailMobilité de l enseignement supérieur
Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailLa taxation à l achat et le contrôle des performances environnementales du parc automobile
La taxation à l achat et le contrôle des performances environnementales du parc automobile Mise en perspective européenne Fédération Inter-Environnement Wallonie Septembre 2013 «Un instrument fiscal visant
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailFlotte Automobile (-3,5t)
Flotte Automobile (-3,5t) ASSISTANCE AUX ENTREPRISES Votre parc toujours en mouvement Panne, accident, vol, gestion... AXA Assistance vous simplifie la vie à tous les niveaux. Un simple véhicule immobilisé
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailRÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : ÉTAT DES LIEUX COMPARAISON STATISTIQUE INTERNATIONALE
15 JOHN M. EVANS DOUGLAS C. LIPPOLDT PASCAL MARIANNA 1 RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : ÉTAT DES LIEUX COMPARAISON STATISTIQUE INTERNATIONALE RÉSUMÉ. Cette contribution 2 plante le décor des débats sur
Plus en détailCompétitivité française : Quelques constats
Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis
Plus en détailCombien y a-t-il d'élèves par classe?
Extrait de : Regards sur l'éducation 8 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/1.1787/978926649-fr Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (9),, dans Regards sur l'éducation 8 :
Plus en détailTRANSITIONS PROFESSIONNELLES : ET SI ON RÉFORMAIT ENFIN LE MARCHÉ DU TRAVAIL?
E M P L O I ÉTUDE - NOVEMBRE 2014 T R A V A L I TRANSITIONS PROFESSIONNELLES : ET SI ON RÉFORMAIT ENFIN LE MARCHÉ DU TRAVAIL? TRANSITIONS PROFESSIONNELLES : ET SI ON RÉFORMAIT ENFIN LE MARCHÉ DU TRAVAIL?
Plus en détailLes Français ais et à la consommation
Les Français ais et le crédit à la consommation Introduction Crédit Agricole Consumer Finance, acteur majeur du crédit à la consommation en Europe, publie un sondage réalisé par Opinionway sur les Français
Plus en détail