Le réseau SEGA Océan Indien, un dispositif pour la réduction des risques liés aux maladies émergentes et épidémiques

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1 Le réseau SEGA Océan Indien, un dispositif pour la réduction des risques liés aux maladies émergentes et épidémiques 1

2 Introduction Les réseaux transfrontaliers de veille sanitaire pourraient contribuer à La réduction du risque épidémique Et àla réduction du risque lié à l émergence de maladies infectieuses Y compris pour les territoires insulaires 2

3 Introduction Le réseau de Surveillance Epidémiologique et de Gestion des Alertes (SEGA )océan Indien Réaction àune crise sanitaire àforte résonance médiatique et politique : l épidémie régionale de chikungunya de 2006 Déclaration des Ministres de la santé des 5 états membres de la Commission de l Océan Indien (COI) en 2006 s engageant à renforcer leur système de veille sanitaire et àcollaborer Financement de l Agence Française de développement Piloté par l Unité de Veille Sanitaire de la COI, une organisation inter gouvernementale 3

4 Objectifs Organiser et systématiser l échange d information sanitaire formelle et informelle entre les états membres de la COI Renforcer les capacités des services de veille sanitaire Renforcer les systèmes de veille sanitaire Faciliter l accès au diagnostic biologique Systématiser l investigation Renforcer les compétences au sein des services de veille sanitaire Contribuer à créer un «vivier» d épidémiologistes d intervention dans la région 4

5 Méthodes Le développement du réseau est au cœur de toutes activités menées Développement et maintien de la confiance au sein des acteurs du réseau et entre institutions Formalisation de l échange et de la diffusion d information sanitaire (validée et non validée) Création d un comité technique régional SEGA interdisciplinaire se réunissant tous les 8 mois Organisation et animation d un web conférence hebdomadaire entre les services de surveillance Organisation de web conférence régulières pour les laboratoires, les vétérinaires, les responsables LAV Organisation de missions conjointes avec les responsables de la veille sanitaire 5

6 Méthodes Développement d une formation en réseau Toutes les actions menées sont considérées comme terrain d apprentissage Création d un programme FETP océan Indien 6 stagiaires pour cette 1 ère cohorte Formation sur 24 mois Adaptée du modèle EPiET et EIS 9 ateliers pédagogiques (11 semaines au total) auxquels participent d autres professionnels de santé publique 6

7 Méthodes Appui au renforcement des capacités Laboratoire Transport et financement d analyses biologiques Evaluation des réseaux nationaux de laboratoire Formation assurance qualité et formation IATA Renforcement des systèmes de surveillance Surveillance syndromique et surveillance biologique des fièvres Initiation de système de collecte et de gestion des signaux sanitaires Appui au développement des TIC Renforcement du parc informatique Plate forme web saisie et collecte des données Transmission des données par SMS Site web collaboratif Plateforme webconférence 7

8 Résultats Partage d information sanitaire au sein du réseau 8

9 Résultats Partage d information sanitaire au sein du réseau Une réalité 284 signaux depuis 2010 Des données de surveillance structurées (courbes épidémiques, seuils, bulletins de rétro informations) Avec des règles de protection et de diffusion respectée Vers les principaux acteurs de la veille sanitaire Mais Des signaux qui échappent parfois au réseau Nécessité de maintenir une diffusion restreinte 9

10 Résultats Veille sanitaire régionale et internationale 139 Bulletins de Veille Océan Indien publiés et diffusés en français et en anglais 137 Revues de presse régionales publiées et diffusées 10

11 Résultats Surveillance épidémiologique et investigation 11

12 Résultats Surveillance épidémiologique et investigation Des données de plus en plus disponibles (et partagées) Des analyses de plus en plus systématiques Des bulletins de rétro informations dans chaque pays Des investigations (un peu) plus nombreuses Mais Approche méthodologique encore fragile Qualité, exhaustivité des données non évaluées Pas d investigations communes Investigations pas assez systématiques et pas assez documentées 12

13 Résultats Réseau de laboratoire Evaluations des laboratoires de santé publique de 4 pays recommandations pratiques en partie mise en oeuvre Appui technique des laboratoires de La Réunion et de l IPM (PCR, diagnostic leptospirose, Elisa) Appui àla confirmation biologique Mise en place technique papier buvard pour diagnostic des arboviroses Programme régional de contrôle de qualité externe chikungunya dengue (avec CNR de Marseille) Réseau AnimalRisk Intégré au comité technique régional SEGA Alerte Zoonoses 13

14 Résultats Renforcement institutionnel de la surveillance Une direction de la veille sanitaire à Madagascar Un «Disease Surveillance and Response Unit» aux Seychelles Un «center for disease control unit» aux compétences élargies à Maurice Mais Des budgets de fonctionnement inexistants ou insuffisants Pas encore de structure clairement définie aux Comores 14

15 Résultats e surveillance 15

16 Résultats e surveillance Seychelles : Collecte des données de surveillance et des notifications immédiates via plateforme web Voozanoo pour 37 sites Madagascar : Collecte des données via SMS Sites sentinelles de surveillance des fièvres (IPM) Région sud 153 centres de santé 16

17 Résultats Formation FETP océan Indien 14 mois du début de la formation 4 stagiaires àjour dans leurs objectifs pédagogiques 2 stagiaires en difficultés Stages de 3 mois àla CIRE océan Indien et à l IPM Participent àla gestion des systèmes de surveillance, aux investigations Rédaction de protocole d études 17

18 Discussion Confiance et communication Socles indispensables à l efficacité de ce type de réseau et au renforcement des systèmes de surveillance Importance de la combinaison du facteur technique et du facteur humain dans l animation d un réseau Un impact inattendu Renforcement des collaborations interdisciplinaires, intersectorielles au sein d un même pays Difficultés Grande hétérogénéité entre les états membres de la COI Moyens dédiés àla veille sanitaire Compétences Culture de l épidémiologie d intervention Un contexte politique difficile pour certains pays 18

19 Discussion Une réelle satisfaction des acteurs du réseau «Le réseau, franchement c est un bon instrument!» Représentant de l OMS «Le réseau aide aussi àrenforcer les liens entre les personnes dans un même pays et à réorganiser notre travail» Responsable de laboratoire «Pour qui a assisté aux réunions depuis le début du projet, l ambiance est de plus en plus coopérative et l importance de la surveillance épidémiologique est une évidence, ce qui n était pas le cas au début du projet» Responsable national de la surveillance «Un problème du réseau devient notre problème. Nos atouts sont aussi àeux!» Responsable LAV «Si le réseau avait existé, l épidémie de Chikungunya de 2005 n aurait pas eu un tel impact!» Responsable de laboratoires 19

20 Discussion Des réseaux comparables ont été développés Mekong Basin Disease Surveillance network Middle East Consortium on Disease Surveillance Réseau Océanien de Surveillance en santé Publique Caribvet pour la santé animale Le retour d expérience de ces réseaux semble conduire à des résultats similaires Renforcement de la veille sanitaire des pays Participent àla mise en œuvre du RSI 20

21 Conclusions Réseaux transfrontaliers de veille sanitaire Apparaissent comme des dispositifs efficaces Mais nécessité de pérenniser ces réseaux via des financements sur le long terme Phase du réseau sega Organiser l animation du réseau sur le long terme Intégrer l animation de la veille sanitaire régionale en santé animale au sein de l unité de veille sanitaire de la COI Poursuivre le programme FETP OI (2 nouvelles cohortes) et organiser sa poursuite après

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