Promotion et éducation pour la santé face aux comportements à risques et aux maladies non-transmissibles
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- Chantal Plamondon
- il y a 8 ans
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1 Note de cadrage 3 Promotion et éducation pour la santé face aux comportements à risques et aux maladies non-transmissibles Objet : Assises de la santé, groupe Promotion et éducation pour la santé faces aux comportements à risques et aux maladies non-transmissibles 1. Eléments de diagnostic des travaux précédents (groupe de travail «Bilan des politiques de prévention et des réseaux, prospectives», piloté par Bernard ROUCHON et Fabienne LO RE) «Dans le cadre des travaux initiés en 2012, les professionnels ont mis en évidence plusieurs lacunes dans l organisation actuelle et ont émis des propositions pour l améliorer. Ainsi, dans le domaine de la promotion de la santé de la mère et de l enfant, il est pointé l absence d outils communs et partagés entre les 3 provinces et les professionnels de santé, permettant le suivi de cohorte des femmes enceintes et des enfants. [...]. Dans le domaine de la santé scolaire, l absence de réglementation et de référentiel fait que celle-ci est organisée de façon inhomogène selon les provinces tant au plan des niveaux scolaires visités que des objectifs de recherche de pathologies. L ASS- NC est finalement la seule institution à mettre en œuvre un dépistage organisé systématique sur un même niveau scolaire et sur l ensemble des écoles du territoire [...]. [...] Les acteurs sont nombreux : provinces, associations, CLSPD dans certaines communes, ASS-NC. Afin d organiser au mieux les moyens par rapport à la cible et aux objectifs, une clarification des compétences, des missions et de la complémentarité de chacun semble nécessaire. Le pays dispose de cinq couvertures sociales sans passerelles évidentes et automatiques entre elles. Cette situation, favorise les possibilités de ruptures de couvertures qui entrainent systématiquement des ruptures dans la dynamique de prévention et de soins. Les thématiques définies en 1994 (dans le cadre du plan de promotion de la santé et de maîtrise des dépense de soins) ont permis d engager un travail qui malgré les difficultés, a réussi à produire de véritables programmes de santé publique au sein desquels de réelles collaborations d institutions et d acteurs existent. Les champs d intervention qu elles représentent, sont particulièrement importants. Aussi, en l absence de données centralisées économiques, sanitaires et sociales (observatoire), et de définition de critères de priorité d action de santé publique, il est présomptueux de proposer un classement des causes Calédoniennes prioritaires. Toutefois les indicateurs recueillis tant au niveau du baromètre de santé que des 1
2 longues maladies, incitent à l implication sur des sujets tels que la jeunesse et les maladies non transmissibles et leurs prémices comme l obésité.» «Les propositions [des travaux des Assises de 2012] : Questionner la population sur sa perception de la santé, afin de mieux comprendre les freins aujourd hui rencontrés à l adoption de conduites considérées par les professionnels comme plus saines. Amener les élus à s approprier le concept qu un pays en bonne santé est un pays producteur de richesses (la richesse ne doit pas s envisager que sur un plan financier elle est aussi production sociale ou artistique) et non plus qu un pays riche est en bonne santé. Dans ce changement de paradigme la santé est envisagée selon les définitions OMS, de bien-être social, sociétal, sanitaire et psychologique. Faire prendre en compte la dimension santé dans toutes les composantes du développement de la Nouvelle-Calédonie. Positionner tous les élus calédoniens pour une Calédonie en santé et travailler sur les moyens et manières d associer tous les secteurs autres que le sanitaire et social, dans une politique globale de promotion de la santé. Mieux impliquer les élus du congrès dans la définition de priorités de prévention données à l ASS-NC, en prenant en compte : les rapports coûts/bénéfices pour la population, l évaluation des programmes, les schémas d organisation sanitaire et sociale. Maintenir un budget dédié à la prévention pour en permettre le développement. Définir les articulations entre les collectivités notamment provinciales, l'ass- NC, les réseaux, les associations et les professionnels au sein des différents niveaux d intervention en prévention (tant sur le terrain qu en termes de représentation dans l ASS-NC et autres instances) [...]. Définir des modalités pour les professionnels de santé acteurs de prévention o Définition d un parcours de prévention? o Création d actes de prévention dans la nomenclature : forfait prévention? o Élaboration d'un carnet de prévention pour examens médicaux gratuits à certains âges de la vie associé à des avantages pour ceux qui y participent selon le principe du carnet de maternité ouvrant droits à des prestations sociales? o mise en place d interventions individuelles (accompagnement de la personne au changement) qui pourraient être proposées à des personnes de certains groupes à risque en l absence encore de maladie, comme l obésité, par exemple, afin d en reporter ou annuler les conséquences? o Développer l éducation thérapeutique pour les personnes porteuses de pathologies chroniques. 2
3 S appuyer sur le développement de la E-santé, pour récolter et exploiter des indicateurs (à définir), permettant le suivi de l état de santé de la population. Ces données devraient être accessibles en temps réels aux acteurs de santé et décideurs. Développer sur l ensemble des problématiques, l importance de la formation initiale et continue des professionnels de la santé, du social ainsi que celui des autres secteurs, notamment celui de l enseignement. Valoriser le développement des potentialités humaines (en partie développement de l estime de soi) par une approche socio culturelle qui pourrait se scinder opérationnellement en deux secteurs : Scolaire : programme de promotion de santé scolaire intégrant le concept global et transversal de la santé dans un but de valorisation de la personne. Extra-scolaire : encadrement et coordination et appui des acteurs de la société civile, par rapport à un cadre global de promotion de la santé. Secteurs associatifs, coutumiers, religieux, etc Élaborer un cadre réglementaire : Relatif à la promotion de la santé de la mère et de l enfant afin de garantir une égalité des chances des calédoniens dès la conception. Relatif à la santé scolaire et à la promotion de la santé à l école qui semblent être deux concepts complémentaires à développer en parallèle. Relatif à la médecine de prévention ou médecine du travail des fonctionnaires que certaines provinces ont mis en place de leur propre initiative.» 2. Orientation politique des assises Ø «Do Kamo», être véritable ou être épanoui (au sens femme ou homme). Ø Raisonner en trajet de vie afin de développer un paradigme «qui place l usager au centre du système de prise en charge». Ø Anticiper le destin sanitaire du pays par un plan d action intersectoriel dès le commencement de la vie. Ø Intégrer les aînés comme acteurs de promotion de la santé et favoriser le lien intergénérationnel et l utilité sociale. Ø Utiliser les ressources psycho-socio-culturelles du pays (collectives ou personnelles) pour un modèle de santé en communauté. Ø «Sanctuariser la notion de respect et nourrir cette notion par la parole qui est une force en Océanie, respect de la différence en genre notamment et affirmer la notion d égalité». Ø Évaluer notre système de santé sur la base de l efficacité 1, de la cohérence 2 et de la pertinence 3. 1 «L efficacité s apprécie à partir des résultats et des impacts observés: les résultats sont-ils conformes aux objectifs définis? Les impacts de l action sont-ils une réponse aux besoins du public cible? Quels sont les effets plus larges de la politique publique? Il est question de qualifier la performance de l action évaluée (au regard de ses résultats) et l utilité de cette action (au regard de 3
4 Ø Intégrer une approche participative dans toutes les démarches de santé publique. 3. Objectifs du projet Définir une stratégie de promotion de la santé calédonienne mettant l accent sur le commencement de la vie en intégrant la prise en compte de toutes les relations constituant des leviers dans la réalisation de soi (lien intergénérationnels, rôle dans la communauté, valeurs). 4. Périmètre du projet : L ensemble des mesures visant à placer le calédonien au centre de l action publique et l accompagner vers un état de complet bien-être physique, mental, social et spirituel. 5. Organisation Identification du pilote du groupe de travail et de ses responsabilités : Le pilote sera choisi lors de la première réunion du groupe. Il pourra s entourer d une équipe de pilotage. Il est chargé de l animation des travaux et de la production du groupe. Il sera assisté pour cela par l assistant du chef de projet des Assises de la santé Le pilote devra : Ø Animer et cadrer au préalable les échanges pendant les pendant les trois réunions de groupe de travail et les 3 ateliers thématiques des séminaires provinciaux (Nouméa le 22 août, Lifou le 29 août et Koné le 05 septembre). Ø Utiliser le temps d autorégulation durant la semaine du juillet avec son groupe de travail pour rédiger une synthèse. ses impacts). L analyse des impacts peut renseigner aussi sur les impacts non voulus, qui peuvent venir... impacter l efficacité d une action.» Dans La Revue Juridique, Politique et Économique de la N.C. n 24, Pascale DONIGUIAN, «L amélioration de l action publique par l évaluation». 2 «La cohérence apprécie l adéquation ou non des moyens budgétaires, juridiques, administratifs, humains... mobilisés au regard des objectifs fixés au départ. Les moyens étaient-ils suffisants? Adaptés? Etc. Une analyse socio-organisationnelle peut aussi être mobilisée suivant les cas : la culture des administrations mobilisées était-elle compatible avec la nature de l action qu elles devaient mettre en œuvre? Quel jeu d acteur s est-il déployé, qui a favorisé ou empêché la réussite de l action? Etc.» Ibidem. 3 «La pertinence apprécie le degré d adéquation des objectifs de l action aux besoins auxquels elle doit répondre et qui la légitiment. L action publique est-elle en phase avec les besoins qu elle veut traiter? A-t-on une connaissance suffisante, adéquate, de ces besoins? Etc. La question de la pertinence est liée à celle de l utilité (cf. supra) : une action dont les objectifs sont non pertinents risque de ne pas résoudre le problème social qui la fonde.» Ibidem. 4
5 Ø Présenter le 4 août en séance plénière une synthèse des orientations à court, moyen et long terme avec des axes stratégiques et des objectifs opérationnels et un PWP de 10min. Format du rendu (production attendue du groupe) Une dizaine d axes stratégiques qui seront déclinés en préconisations argumentées à soumettre au débat démocratique lors des séminaires. Les préconisations feront apparaître leurs effets attendus à court, moyen et long terme et devront respecter les orientations politiques données aux groupes de travail. Ø 5 diapos : 1ère page de présentation du groupe, 2 pour les axes opérationnels et 1 diapositive d illustration. Ø Une photo éventuellement et pas plus de 150 caractère par diapo, 10 minutes de présentation (les notes de cadrage auront déjà présentés le diagnostic). Ø Synthèse : présentation des axes stratégiques, des objectifs opérationnels et de leurs phasage (4000 caractères maximum). 6. Propositions d orientations des travaux Intégrer la promotion de la santé dans une démarche : - Innovante en stimulant, par exemple, la recherche en promotion de la santé, soutenir les expérimentations et évaluer leurs apports. - Participative en informant, par exemple, les professionnels de santé, les gestionnaires et les usagers sur les actions et interventions de promotion de la santé mises en œuvre, en fondant la méthodologie participative sur les savoirs populaires et traditionnels. - D évaluation : o par la définition préalable des objectifs de l action publique, la méthode d évaluation, leur mesure régulière et le réajustement selon les résultats de l évaluation ; o Développer l observation et les connaissances pour adapter au mieux les actions de prévention et les modes de prise en charge. - Ajustée aux spécificités culturelles du pays, en installant, par exemple, un travail de coopération dans la construction même des actions, quelles qu elles soient, avec la société civile et des ressources disposant d une bonne compréhension de la culture et des règles sociétales importantes pour les personnes vivant en Nouvelle-Calédonie. - En adéquation avec la «tradition orale» du pays, en favorisant, par exemple, les débats, actions de proximité et échanges avec tous les acteurs des programmes de promotion de la santé : professionnels de la santé, du 5
6 social, de l éducation, associations, employeurs et leaders d opinion (politiques, églises, coutumiers). - Coordonnée entre les acteurs et les différentes thématiques : o agir de manière coordonnée avec les acteurs des autres politiques publiques (habitat, sport, enseignement, culture...) sur les déterminants de la santé ; o déterminer les champs communs et spécifiques d intervention entre l ASS-NC, les Provinces et les autres acteurs spécialisés ou non (CAFAT, éducation, employeurs ) ; o Élaborer un cadre de référence pour les outils et interventions (impulser l élaboration d actions de promotion de la santé commune à plusieurs programmes, rendre visible les articulations inter-programmes) ; o renforcer le poids de l éducation pour la santé dans l accompagnement des patients (éducation thérapeutique et diffusion de messages de prévention) afin d assurer une approche transversale de la santé des individus. Rappel des dates de réunion du groupe de travail : Groupe de travail n 3 : 24 juin 2015, 18-20h en salle juillet 2015, 16-18h en salle juillet 2015, 18-20h en salle 111. Groupe de travail en autorégulation le 30 juillet 16-18h, pour produire la synthèse et la présentation en diaporama lors de l assemblée plénière du 4 août Présentation en COPIL des Assises de la santé, le 04 août Atelier thématique n 3 au séminaire de : Nouméa le 22 août Lifou le 29 août Koné le 05 septembre
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