Le Fonds d Assurance Formation de la Branche sanitaire, et médico-sociale, privée à but non lucratif
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- Alexandre Després
- il y a 8 ans
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1 T sociale Le Fonds d Assurance Formation de la Branche sanitaire, et médico-sociale, privée à but non lucratif
2 Unifaf : des résultats, une politique, des ambitions 2 U N I FA F B I L A N Jean-Baptiste Plarier et Jean-Marie Poujol, respectivement président et président adjoint d Unifaf Il n est qu à se souvenir de la conclusion de la convention d objectifs et de moyens en 2012 pour mesurer le chemin parcouru par Unifaf en deux ans. À cette époque, l OPCA enregistrait un dépassement de ses droits à frais de gestion de 4 millions d euros au regard des nouvelles règles budgétaires. Cette situation inacceptable, préjudiciable à l OPCA et à ses salariés, mais également aux associations et aux professionnels de la Branche pour qui Unifaf représente un formidable levier de développement, nous a mis en mouvement. D autant que notre Branche, avec ses spécificités et ses missions, a besoin de former et de qualifier pour accompagner les milliers de personnes accueillies dans ses établissements. Dès 2012, le Conseil d administration paritaire a opté pour une ligne stratégique audacieuse, refusant de réduire la masse salariale de l OPCA, aux conséquences dévastatrices sur l emploi, tout en privilégiant un scénario d augmentation de la collecte fondé sur le renforcement de la satisfaction des adhérents à tra vers l amélioration et la diversification des services proposés par Unifaf. Et les résultats sont au rendez-vous : entre 2010 et 2014, la collecte est passée de 365 à 403 millions d euros (+10 %) ; les dépenses de formation (360 millions d euros) enregistrent une forte progression (+11,5 % par rapport à 2012) ; les délais de traitement des dossiers de formation ont été divisés par deux (40 jours en 2011, 25 jours en 2013) ; l activité de conseil est en forte hausse (8 600 entretiens conseil réalisés en 2013 contre en 2012, soit une augmentation de 34 %). Ces progrès sont à mettre à l actif des équipes d Unifaf, présentes sur le terrain, au contact quotidien des adhérents pour entendre leurs besoins et y répondre, en croisant des éléments de politique publique, les mécanismes de formation, la recherche de partenariats techniques ou financiers Aux instances paritaires à donner un cadre cohérent et prospectif à cet ensemble, notamment à l occasion des futurs accords de Branche sur la formation professionnelle.
3 Un projet d entreprise au service des associations et des salariés de la Branche Porter un projet volontariste de développement de la collecte en fidélisant nos adhérents dans un contexte d évolutions majeures, touchant à la fois la formation professionnelle et le secteur, telle est l ambition du projet stratégique Unifaf 2017 que nous mettons en œuvre aujourd hui. Jean-Pierre Delfino directeur général d Unifaf Adossé à un vaste programme de professionnalisation des équipes d Unifaf et à la refonte de notre système d information, il repose sur l amélioration du service rendu à tous (employeurs, salariés, représentants du personnel, demandeurs d emploi ). Nous ne partons pas de zéro comme en témoignent les bons résultats de notre activité Notre objectif est désormais de conforter notre avance dans les domaines de la gestion et du conseil où nous avons enregistré une progression très favorable de tous nos indicateurs de traitement des demandes de financement et ce, dans un contexte profondément rénové. En effet, la loi sur la formation professionnelle, entrée en vigueur le 5 mars dernier, élargit notre périmètre d intervention et de nouveaux accords de Branche sont en préparation. Le projet d entreprise Unifaf 2017 traduit notre volonté de nous adapter à ces évolutions, en agissant sur six axes que sont : le développement de notre nouvelle offre de services ; la refonte de notre organisation ; la spécialisation de nos expertises ; l évolution de nos modes de collaboration ; l optimisation de nos processus de gestion ; avec, pour socle, la digitalisation progressive de l OPCA. C est à ces conditions que nous pourrons disposer des marges de manœuvre nécessaires à l exercice de nos missions. Des missions que la loi du 5 mars 2014 élargit : en désignant l OPCA comme le partenaire emploi-formation garant de la performance des entreprises et de la sécurisation des parcours professionnels ; en faisant de l OPACIF, que nous sommes également, un opérateur majeur du conseil en évolution professionnelle aux côtés des autres acteurs concernés. 3 U N I FA F B I L A N
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5 À l heure des choix D un côté, une société caractérisée par le vieillissement de sa population, l exclusion professionnelle toujours plus marquée de certains citoyens (jeunes, personnes handicapées, seniors, faibles niveaux de qualification, mères ou pères célibataires ), la remise en cause des modèles traditionnels d intégration (éducation, emploi, famille ).. De l autre, une branche professionnelle en prise directe avec ces mutations et soumise en parallèle à des questions endogènes comme le départ à la retraite de professionnels à l horizon 2020, l attractivité de certains secteurs et de certains territoires, l évolution des modalités d accueil, d accompagnement et de soins et leur déploiement, la recherche systématique de gains de productivité dans un cadre budgétaire toujours plus limité. 5 U N I FA F B I L A N Comment parvenir à concilier ces différentes contraintes dans un projet de développement? Car tel est bien le défi que la Branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif doit relever, au profit des associations et des salariés qui la composent mais également des milliers de personnes accueillies au quotidien dans ses établissements et services.
6 Une nouvelle dynamique paritaire portée par les résultats de l Enquête emploi U N I FA F B I L A N Le temps de l Enquête Emploi révolu, place en 2013 à l analyse des résultats et à leur portage politique. Dans le cadre d un tour de France en 4 dates, les représentants des instances de la Branche - Commission paritaire nationale de l Emploi et de la Formation professionnelle, Observatoire, Unifaf - ont partagé les grandes tendances secto rielles tirées de l exploitation des questionnaires complétés par les adhérents. Un moment clé d appropriation, prélude à l élaboration d orientations plurian nuelles destinées à soutenir la reconfiguration du secteur à court et à moyen terme. Dans le cas d Unifaf, ces orientations, adoptées en juin 2013 par le Conseil d administration paritaire et répertoriées dans un Plan national d actions, s organisent autour de 2 priorités que sont la mobilisation pour l emploi et l accompagnement des transformations du secteur. Deux axes d intervention qui se déclinent en 8 programmes (voir cicontre) et se complètent au niveau régional afin de prendre en compte les spécificités territoriales. Les 8 programmes d intervention d Unifaf pour Développer la qualification ; 2 Appuyer des projets de formation professionnalisants ; 3 Soutenir la formation des emplois aidés et en particulier des jeunes en emploi d avenir ; 4 Poursuivre le développement des savoirs de base et la lutte contre l illettrisme ; 5 Soutenir les établissements et les services en difficulté économique ; 6 Faciliter la reconversion des personnels reconnus handicapés ; 7 Former des animateurs-préventeurs de troubles musculo-squelettiques ; 8 Contribuer, à travers les formations collectives proposées par l OPCA, à l adaptation des structures et des professionnels.
7 Une nouvelle relation adhérent construite dans une logique de services différenciés 7 U N I FA F B I L A N A2 u-delà du Plan national d actions, la volonté d Unifaf d accroître la performance et la visibilité de ses interventions s opère en priorité au profit des adhérents. L enjeu est de taille : en quelques années, les directions d associations ont dû renouveler leur approche emploi-formation afin de répondre au renforcement de la qualité souhaité par leurs autorités de contrôle et leurs partenaires dans un cadre budgétaire contraint. Dans ce contexte, leurs attentes visà-vis de l OPCA se sont diversifiées et complexifiées : longtemps perçu comme un collecteur de taxe parafiscale, Unifaf apparaît désormais comme un partenaire à même d'apporter des solutions à des questions emploi-formation de plus en plus aigües. Sa connaissance approfondie des politiques publiques, sa maîtrise des mécanismes de formation, ses relations partenariales au niveau national et local, et surtout sa capacité à faire interagir ces différents éléments, lui confèrent une position privilégiée au côté de l adhérent. C est ainsi qu en 2013, entretiens-conseil ont été réalisés par Unifaf auprès de dirigeants associatifs, de directeurs d établissements, de directeurs des ressources humaines ou de responsables formation. Un résultat en hausse de 34 % par rapport à l année précédente et qui reflète le besoin qu ont les structures associatives de s assurer les services d un expert sur une matière évolutive.
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9 A 1 La question RH, enjeu prioritaire pour le secteur La dernière Enquête Emploi le soulignait : entre 2007 et 2012, 17 % des associations de 250 salariés et plus déclaraient avoir absorbé un ou plusieurs établissements gérés auparavant par une autre association ; 21 % des associations avaient en 2012 un projet de regroupement. Par ailleurs, les données relatives à la démographie des professionnels de la Branche convergent vers des problématiques de qualité de vie au travail de plus en plus complexes dans la mesure où, en 2012 : la moitié des salariés de la Branche avaient atteint ou dépassé 45 ans ; le taux d accidents du travail et le taux de licenciement pour inaptitude progressaient. Regroupements /reconfigurations, vieil lissement/recrutement/attractivité, nou velles modalités d accompagnement et de soins/nouvelles compétences au sein des équipes (de terrain, d encadrement, de direction ) : face à ces enjeux, les employeurs et gestionnaires d établissements attendent de leur OPCA un appui sur l ensemble des processus RH. Unifaf y répond en mobilisant sa prestation Conseil RH ou par le biais de partenaires, dont l APEC avec lequel il a passé convention en Prestation Conseil RH La prestation Conseil RH, proposée aux structures de moins de 250 salariés qui cotisent à taux plein (1,6 % en 2013) au titre du Plan de formation, a pour objectif de mesurer les impacts des transformations externes (évolution de la réglementation ) et internes (émergence d une nouvelle activité ) sur l organisation des établissements qui recourent à ce service. En pratique, des spécialistes ressources humaines, sélectionnés et financés par Unifaf, sont auprès des adhérents concernés pour identifier leurs besoins et formaliser le plan d actions RH associé. La durée de la prestation est de 3 à 5 jours. En 2013, 19 diagnostics RH ont été établis et 143 prestations d accompagnement réalisées (contre 34 en 2012) et la tendance haussière se confirme en Partenariat avec l APEC Acteur du marché de l emploi des cadres, l APEC a finalisé en 2013 une convention de partenariat avec Unifaf. Signée en janvier 2014, celle-ci vise à offrir des services complémentaires et à optimiser l accompagnement des entreprises du secteur dans leurs démarches, en faveur de l emploi sur les territoires. Dans ce cadre, l APEC s engage à intervenir auprès des professionnels de la Branche, en orientant vers Unifaf les cadres qui souhaitent monter un projet de formation et plus généralement, en conseillant les salariés dans leurs démarches d évolution professionnelle. En parallèle, l APEC assurera la promotion du secteur de l économie so ciale et solidaire (ESS) auprès des ca dres et des jeunes diplômés. 43 réunions, d ores et déjà programmées de mai à novembre 2014, visent à informer sur les opportunités de l ESS et 29 sessions auront pour thème la création/reprise d une entreprise du secteur. 9 U N I FA F B I L A N
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11 B 2 La dématérialisation des démarches de formation pour plus de réactivité et de fiabilité Mieux conseillés, les adhérents aspirent en parallèle à un allègement de leurs démarches de formation auprès de l OPCA ainsi qu à un renforcement de sa réactivité. Sur ces deux aspects, des progrès tangibles ont été réalisés en 2013 : l échange de données informatisées (EDI) est venu enrichir les fonctionnalités des Webservices conçus pour traiter en ligne les demandes de prise en charge et de remboursement. En important désormais automatiquement des données relatives aux salariés bénéficiaires d une action de formation, l EDI permet de réduire le temps de saisie des adhérents et de fiabiliser les informations transmises. Fin 2013, soit 6 mois après le lancement de cette solution, 288 adhérents l avaient déjà adoptée en interfaçant leur logiciel interne avec la plateforme d Unifaf ; les délais de traitement relatifs à l acceptation des prises en charge et au remboursement des actions de formation enregistrent une baisse significative, de 5 jours pour les prises en charge et de 11 jours pour les remboursements. Un résultat d autant plus satisfaisant qu il intervient alors que le nombre de dossiers formation reçus par les services régionaux d Unifaf a progressé de 6 % en Ces deux exemples mettent en exergue l apport de la dématérialisation dans l amélioration du service à l adhérent et la possibilité, pour l OPCA, de réduire le temps consacré aux actes de gestion standard pour développer et promouvoir des services à forte valeur ajoutée, en matière d ingénierie financière ou pédagogique. L effort de dématérialisation s est donc poursuivi en 2013 avec l expérimentation «100 % Web» lancée dans 6 régions pilotes (Champagne- Ardenne, Franche-Comté, Lorraine, Haute -Normandie, L anguedoc- Roussillon, Provence-Alpes-Côte d Azur et Corse) avec pour objectif la gestion en ligne de l ensemble des dossiers de formation reçus. En décembre 2013, ces régions affichaient un taux de dématérialisation de 85 %, soit 10 points supé rieur à la moyenne nationale. Un résultat particulièrement positif, à l origine de la décision de déploiement du «100 % Web» dans l ensemble des régions dès avril U N I FA F B I L A N
12 C 3 L expérimentation Grands Comptes 12 U N I FA F B I L A N Au-delà du bouquet de services commun à l ensemble des adhérents, Unifaf s attache à répondre aux besoins spécifiques de certains d entre eux : en 2012, l OPCA avait relevé de 2000 euros le forfait au titre du Plan de formation des entreprises de moins de 20 salariés et déployé sa nouvelle prestation Conseil RH (voir p. 9) en direction des structures de moins de 250 collaborateurs ; en 2013, il s est attaché à l élaboration d une offre de services Grands Comptes après avoir enquêté auprès d un échantillon représentatif de 50 adhérents de 250 ETP 1 et plus, issus de 11 régions pour mieux cerner leurs attentes prioritaires. Ce dialogue privilégié a conduit Unifaf à construire une gamme de services spécifiques pour les Grands Comptes comprenant 4 familles de prestations autour de : la gestion et le pilotage de la formation ; l information et le système d information RH ; le conseil en ingénierie de formation et en ingénierie financière ; l optimisation financière. 1 ETP Équivalent temps plein 2 BFA Budget formation adhérent 3 GCSMS Groupement de coopération sociale et médico-sociale Qui sont nos adhérents «Grands Comptes»? Les associations de 250 salariés et plus : 1 représentent 6 % des associations adhérentes à Unifaf, soit près de 500 associations ; Particularité : l accès à tout ou partie des prestations dépend du taux de cotisation de l adhérent. Si celui-ci cotise au-delà de l obligation conventionnelle (1,6 % en 2013), il accède à un ensemble de prestations complémentaires, parmi lesquelles figurent : une souplesse de gestion du BFA 2 en fonction du déroulement des projets de formation au-delà d un an ; un appui-conseil indispensable à la mise en œuvre d'un projet emploi-compétences ; un accès réservé, négocié et optimisé, aux financements internes et externes. Cette offre Grands Comptes sera déployée en emploient un salarié sur deux de la Branche, avec une sur-représentation dans le secteur sanitaire et le secteur de la personne handicapée ; 3 sont à 61 % des multi-établissements dont 22 % situés dans plusieurs régions ; 4 sont particulièrement concernées par les reconfigurations en cours dans le secteur (GCSMS 3, logique de réseau, intégration ).
13 Une nouvelle CONFIGURATION PARTENARIALE EN SOUTIEN DES PRINCIPAUX ENJEUX SOCIO-ÉCONOMIQUES L3 a dégradation continue de l environnement socioéconomique impose aux pouvoirs publics d envisager des réformes inédites et de mobiliser l ensemble des acteurs concernés pour opérationnaliser les décisions. Cette urgence à agir, Unifaf y souscrit au quotidien dans deux domaines : celui de l emploi et du développement des compé tences des entreprises adhé rentes et de leurs salariés mais également celui de l accueil, de l accompagnement et du soin des usa gers des établissements dont les profils et les attentes se diversifient, réinterrogeant les bases théoriques et pratiques des professionnels qui les encadrent. Pour avancer sur l ensemble de ces questions, l OPCA dispose d un vaste réseau de partenaires, au plan national et local, donneurs d ordre, opérateurs, financeurs grâce auxquels il peut répondre aux nombreuses attentes du secteur et contribuer à son développement. En 2013, plusieurs projets ont ainsi bénéficié d un soutien partenarial décisif, parmi lesquels : A Les emplois d avenir ; B Le développement professionnel continu ; C L accompagnement des personnes avec autisme et troubles apparentés ; D La lutte contre l illettrisme et le développement des savoirs de base ; E L accompagnement des adolescents en difficulté ; F Le certificat de Branche Moniteur d atelier ; G La formation des travailleurs handicapés d Esat 1 ; 13 U N I FA F B I L A N Esat Établissement et service d aide par le travail H La prévention du handicap et la reconversion professionnelle.
14 A LES EMPLOIS D AVENIR Créé par la loi du 26 octobre 2012 pour lutter contre le chômage endémique des jeunes peu ou pas qualifiés, le dispositif des emplois d avenir concernait, un an plus tard, personnes tous secteurs confondus, dont plus de dans la Branche. auxiliaire de puériculture ) ; 36 % étaient positionnés sur des formations d adaptation au poste, dans les domaines de l informatique, de l entretien, de la sécurité incendie 21 % s inscrivaient dans un cycle de remise à niveau ou d acquisition des savoirs de base. 14 U N I FA F B I L A N Un résultat conforme à l engagement pris par le Conseil d administration paritaire d Unifaf qui, sur la période , s est assigné un objectif de parcours de formation à financer. Qui sont ces jeunes? Quelles fonctions occupentils au sein des associations du secteur? Quel parcours formatif ont-ils amorcé? Autant de questions intégrées dans l enquête menée par l OPCA en juillet 2013 auprès d un échantillon représentatif de 600 associations adhérentes. À la lecture des résultats de l enquête, on constate que : les jeunes recrutés étaient à 70 % des femmes et à 92 % âgés de 20 ans et plus ; 69 % d entre eux avaient un niveau d études inférieur au Baccalauréat, 26 % n ayant aucun diplôme ; 48 % étaient positionnés sur une fonction support ou administrative (agent de service, agent d entretien, agent d accueil, secrétaire ) et 33 % émargeaient dans la filière éducative (animateur, aide médico-psychologique ) ; ils étaient à 90 % en CDD, dont 51% pour une durée de 3 ans. La volonté de la Branche d inscrire ces jeunes dans des perspectives professionnelles durables a conduit Unifaf à développer, avec le concours des missions locales, de Pôle emploi, un dispositif d accompagnement global répondant à la fois aux attentes de l employeur et du jeune, précisément : en amont de l embauche : aide à la formalisation des besoins du recruteur, définition des compétences attendues sur le poste à pourvoir, financement de la formation dans le cadre d une préparation opérationnelle à l emploi (POE) ; au moment de la signature du contrat : détermination du parcours de formation et de la solution financière la plus adaptée, mobilisation du dispositif tutoral de Branche ; à l issue du contrat : examen avec l employeur des suites à donner au parcours dans le cas où le jeune serait confirmé dans son emploi. 1 FPSPP Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels 2 CNSA Caisse nationale de solidarité pour l autonomie Au regard de l exigence de formation intrinsèque au dispositif, 73% des jeunes en emploi d avenir avaient amorcé, au moment de l enquête, cette étape clé de leur intégration professionnelle : 43 % étaient inscrits dans un parcours diplômant tourné vers les métiers du soin et de l accompagnement (aide médico-psychologique, aide-soignant, Dotés de 14 millions d euros en 2013, grâce à un cofinancement Unifaf, FPSPP 1, CNSA 2, à l apport de plusieurs collectivités locales (Conseils régionaux, Conseils généraux) et du Fonds social européen, les emplois d avenir poursuivent en 2014 leur progression dans une Branche qui, compte tenu de sa démographie, va devoir renouveler un septième de ses effectifs d ici à 2020.
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16 B Le développement professionnel continu C L accompagnement des personnes avec autisme ET troubles apparentés 16 U N I FA F B I L A N O Depuis le 1 er janvier 2013, tous les professionnels de santé doivent remplir annuellement une obligation de développement professionnel continu (DPC). bjectif? Améliorer la qualité et la sécurité des soins en favorisant la mise à jour des connaissances et l analyse des pratiques via des programmes cohérents, traçables et validés scientifiquement. Pour accompagner la montée en charge de ce nouveau dispositif, Unifaf a lancé deux actions collectives nationales avec pour objectifs d aider les établissements adhérents à mettre en œuvre le DPC et, pour ceux qui souhaitent réaliser des opérations de DPC en interne, les orienter dans leur démarche d enregistrement en tant qu organisme DPC. Côté financement, une contribution forfaitaire a été négociée avec l OGDPC 1 pour la mise en œuvre des parcours des médecins salariés, les actions des autres professionnels de santé étant à la charge des établissements, ce qui n est pas sans risque quant à un assèchement des plans de formation. Au terme de l année 2013, que retenir? parcours de médecins ont été réalisés avec, parmi les thématiques privilégiées, la prise en charge du cancer, l éducation thérapeutique et l animation/participation à des groupes d évaluation des pratiques professionnelles. Et pour 2014? Le nombre de parcours de médecins devrait augmenter compte tenu de leur effectif dans la Branche ( médecins travaillent à plus d 1/4 d ETP 2) et de l annualité de l obligation de DPC. La renégociation de la convention avec l OGDPC pour 2014 devra donc intégrer ces perspectives de croissance. Répondant au besoin d actualisation des connaissances et de partage des bonnes pratiques entre professionnels, Unifaf a déployé en 2013 dans l ensemble de son réseau régional une action collective visant à diffuser et à partager les recommandations édictées par la HAS 3 et l ANESM 4 dans ce domaine. Avec l appui de la CNSA, ce programme s intègre dans les axes de progrès affichés dans le troisième Plan autisme qui, outre le dépistage précoce, l augmentation des places en structures spécialisées, le droit au répit des parents et la participation des familles aux instances de gouvernance du Plan, entend assurer la formation de professionnels du secteur médico-social. En matière de formation, la Franche- Comté se singularise au sein du réseau Unifaf par l ampleur du programme qu elle a initié dès Avec le soutien du Fonds social européen, professionnels ont été formés dans cette région ces deux dernières années et 700 inscriptions sont déjà enregistrées pour Le plus de cette démarche? La modularisation de la formation qui permet au stagiaire, selon son expérience et ses acquis, d opter pour le parcours complet (15 à 18 jours) ou le(s) module(s) répondant à ses attentes. 1 OGDPC Organisme gestionnaire du développement professionnel continu 2 ETP Équivalent temps plein 3 HAS Haute Autorité de Santé 4 ANESM Agence nationale de l évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux Ce projet inédit en France, par le nombre de salariés et de partenaires mobilisés, traduit la capacité d Unifaf à conjuguer impératifs nationaux et locaux afin d améliorer l accompagnement des personnes et de leurs familles.
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18 D La lutte contre l illettrisme et le développement des savoirs de base E L accompagnement des adolescents en difficulté 18 U N I FA F B I L A N C Grande cause nationale 2013, la lutte contre l illettrisme a fait l objet d une médiatisation sans précédent tout au long de l année passée. ampagne grand public, assises régionales, initiatives labellisées sur l ensemble du territoire Autant d opérations pour rappeler que l illettrisme n est pas une fatalité et qu il est possible d envisager des solutions en direction des 2,5 millions de personnes pénalisées par la maîtrise insuffisante des savoirs de base. Investi depuis de nombreuses années sur ce champ, Unifaf a poursuivi son action en 2013 à travers une démarche originale portant sur l acquisition des compétences de base nécessaires à l exercice des métiers de premier niveau de qualification dans la Branche. Soutenue par le FPSPP pour un montant de 3,2 millions d euros, cette action collective proposée par l OPCA met à disposition des employeurs un guide de repérage des besoins des salariés concernés ainsi qu un parcours modulaire de formation axé sur des situations professionnelles très concrètes parcours de formation ont été suivis en Autre fait marquant : Unifaf s est associé aux Assises nationales et européennes de l illettrisme organisées à Lyon en novembre dernier. Trois journées pendant lesquelles les 900 participants ont pu mesurer le chemin parcouru et dresser de nouvelles perspectives. L occasion également pour Unifaf de présenter, en atelier, comment mettre en place une action de formation avec l aide du réferentiel des compétences clés en situation professionnelle (RCCSP). 1 MECS Maison d enfants à caractère social 2 FAE Foyer d action éducative 3 CER Centre éducatif renforcé 4 CEF Centre éducatif fermé 5 ITEP Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique 6 SESSAD Service d éducation spéciale et de soins à domicile 7 IME Institut médico-éducatif 8 AEMO Action éducative en milieu ouvert Pour répondre à la problématique des ruptures dans l accompagnement des adolescents en difficulté, Unifaf a lancé en octobre 2012 une action collective, portée par le réseau des CREAI et déclinée dans 18 régions. Proposée aux professionnels des MECS 1, FAE 2, CER 3, CEF 4, ITEP 5, SESSAD 6, IME 7 et services d AEMO 8, cette formation-action a déjà été suivie par plus de 800 participants à ce jour (membres des équipes éducatives, de l encadrement et de la direction). Au regard des premiers questionnaires de satisfaction, les stagiaires soulignent la plus-value de développer leur interconnaissance et de poser les bases d un travail en commun. Les stages croisés destinés aux salariés des équipes éducatives ont été particulièrement appréciés : ils se déroulaient dans des établissements participant à l action collective ou dans d autres structures du champ des adolescents en difficulté, comme des services de pédopsychiatrie ou des unités de la Protection Judiciaire de la Jeunesse. Des suites sont d ores et déjà identifiées dans certaines régions : mise en place d un groupe d échange de pratiques et de création d outils, projets de formation sur des thèmes communs Deux éléments essentiels se dessinent pour que le travail en réseau perdure : il convient d une part que l un des établissements ou partenaires s engage dans le portage du réseau, le deuxième levier concernant la nécessité de laisser du temps aux salariés pour favoriser leur implication.
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20 F Le certificat de Branche Moniteur d atelier 20 U N I FA F B I L A N En 2013, à l initiative de la Commission paritaire nationale de l Emploi et de la Formation professionnelle (CPNE-FP), 4 régions (Aquitaine, Franche-Comté, Midi-Pyrénées et Pays de la Loire ) ont proposé un parcours de formation visant l obtention du premier certificat de Branche jamais délivré et destiné aux moniteurs d atelier. 1 AFPA Association nationale pour la formation professionnelle des adultes 2 Unaforis Union nationale des associations de formation et de recherche en intervention sociale 3 RNCP Répertoire national des certifications professionnelles Les études réalisées par l Observatoire des métiers et des qualifications de la Branche le confirment : les Esat se sont profondément transformés ces dernières années, sous la pression économique et l ensemble des dispositions légales et réglementaires visant à favoriser l intégration professionnelle et sociale des travailleurs handicapés. En première ligne pour accompagner ces changements, les moniteurs d atelier bénéficient désormais d un référentiel emploi-formation rénové. Elaboré à la demande de la CPNE-FP par la Direction recherche, études et développement d Unifaf avec, en particulier, le concours de professionnels des Esat, mis en œuvre par l AFPA 1 et l Unaforis 2 en partenariat, ce nouveau référentiel vise un équilibre entre trois domaines de compétences : l accompagnement, la production et le soutien à la professionnalisation des travailleurs handicapés. Proposée aux moniteurs d atelier déjà en poste, la formation d environ 14 mois est dispensée en alternance et son issue se matérialise par le passage devant un jury habilité à valider le certificat de Branche «Moniteur d atelier» délivré par la CPNE-FP. Un premier pas vers la reconnaissance du titre au RNCP 3, niveau 4. À terme, cette formation devrait concerner 400 moniteurs d atelier par an.
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